RESEPAG. Observatoire de la Sécurité Alimentaire du Sud. Résumé de la situation

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1 RESEPAG Observatoire de la Sécurité Alimentaire du Sud Bulletin d information: janvier-mars 2015 publication: Avril 2015 Résumé de la situation La rareté des pluies, l infestation de la cochenille blanche, la hausse des prix de l haricot noir constituent les principaux événements qui ont marqué le département du sud au cours des deux mois écoulés. De janvier à mars 2015, le sud a collecté 127 mm de pluie dont seulement 21 mm en février. Conséquemment, les plantations du printemps, qui contribuent à plus de 50% de la production annuelle, accusent au moins deux semaines de retard au niveau de la plupart des plaines non irriguées et des montagnes sèches. D ailleurs, les premières plantations de février sont perdues suite à trois décades sèches entre février et mars (Voir graphique 1). A la rareté de pluie, il faut ajouter la menace causée par la cochenille blanche (Crypticerya genistae) qui au cours de la campagne d hiver a entrainé des pertes de récolté d arachide et de pois congo. A date, la cochenille blanche est présente à travers 10 des 18 communes du département, selon les informations fournies par le point focal de la Protection des Végétaux dans le sud. Sur les marchés on retrouve aussi bien le produits importés que produits locaux notamment les céréales, tubercules, légumineuses et légumes provenant du département voisin, Grand Anse. Cependant, si les prix des produits importés sont restés assez stables pour la période, ceux de certains produits locaux ont subi de fortes hausses liées à la saisonnalité et à la perte de récolte. C est particulièrement le cas de l haricot noir et du pois rouge qui ont cru respectivement de 39% et de 22% en moyenne sur l ensemble des marchés de la première semaine de février à la quatrième semaine de mars. Par ailleurs, des cas mortels de choléra ont été recensés dans certaines communes, signe d une certaine détérioration des conditions sanitaire et alimentaire au niveau des zones touchées. La rareté des pluies, la volatilité des prix de certains produits sur le marché, les menaces phytosanitaires, la remontée du Cholera dans les communes risquent de détériorer la situation alimentaire de la population vulnérable. Face à cette situation des mesures urgentes s imposent comme : i. Des mesures de contrôle de la cochenille blanche dans les communes touchées accompagnée de mesures de protection dans les endroits non encore affectés

2 ii. La valorisation des points d eau par la mise à disposition des associations de pompes d irrigation accompagnée de mesures de pérennisation à travers la protection des bassins versants surplombant iii. Création d emplois de type HIMO au profit des communautés les plus vulnérables iv. La fourniture à temps aux planteurs des intrants (semences, fertilisants, pesticides) dont ils auront besoin. La vulgarisation de mesures d hygiène en prévention de la propagation du choléra. Analyse de la disponibilité alimentaire Pluviométrie Pour la période allant de janvier à mars 2015, le département a recueilli 127 mm de pluie. Cette quantité est jugée insuffisante pour la période considérant les besoins en eau importants pour le début de la campagne de printemps. En effet, les 91 mm de pluie enregistrés pour février et mars sont assez mal repartis dans la mesure où sur l ensemble de ces deux mois, le département a enregistré quatre décades successives assez sèches s étendant sur les deux tiers du mois de février et mars. Cependant si la situation pluviométrique semble s améliorer pour la commune de Tiburon avec 136 mm collectées à la dernière décade de mars, elle demeure assez préoccupante pour la commune d Aquin qui a collecté seulement 14 mm de pluie pour les deux mois. Cette situation qui a déjà retardé le début effectif de la campagne de printemps pourrait entrainer entre autre l accroissement du temps de soudure, la rareté de pâture pour le bétail et la perte des parcelles à cause des averses habituelles de mai notamment pour le haricot noir qui n auront pas été encore récolté. La production agricole La campagne de printemps a démarré avec des plantations de maïs, haricot, riz et tubercules au niveau des plaines irriguées et des montagnes humides. Cependant au niveau de la plupart des

3 plaines non-irriguées, les agriculteurs attendent encore les premières pluies pour mettre en culture leurs terres déjà labourées. En appui aux producteurs, le Ministère de l agriculture compte subventionner des semences de maïs, pois noir, pois inconnu, petit mil, ignames aux petits agriculteurs. Ces activités complètent les initiatives du projet SECAL et de la mission technique de Taïwan qui offrent un appui direct aux producteurs de Torbeck, Cayes, Camp Perrin. Au nombre des éléments pouvant menacer la campagne de printemps citons la sécheresse, l infestation de la cochenille blanche (Cryptcerya genistae) qui menace les légumineuses. A date, cette peste est identifiée au niveau de 12 communes du département mais plus particulièrement sur les six communes de la Cote Sud, Chantal, Torbeck, Aux Cayes, Camp Perrin, Port Salut et Saint Jean. D autre part, tirant leçons des campagnes passées, la carence et le prix élevé des fertilisants peuvent être considérées comme des facteurs pouvant limiter le rendement des cultures. Élevage En appui à l élevage, la DDAS a permis la vaccination de plus de bœufs contre le charbon bactéridien, 5000 poules contre le New Castle et 1000 porcins contre le Teschen. Toutefois cet appui ne suffit pas à contenir l épidémie de New Castle à La colline d Aquin, aux Cayes, Torbeck, Chantal, la Cote Sud ET Camp-Perrin. Les cas de vol de bétail si courants dans le passé sont réduits grâce au programme d identification du bétail conduit par le Ministère de l Agriculture à travers tout le département du sud. Accessibilité des produits sur le marché Pour la période en question, les produits importés et locaux étaient présents sur l ensemble des marchés. Des échanges avec la Grand Anse ont facilité la disponibilité en certains produits locaux notamment le haricot noir. Les prix des produits importés ont évolué en dents de scies allant de -4% pour le sucre blanc à 3% pour le maïs. Le prix de la farine de blé et de l huile Gourmet sont restés pratiquement inchangés pour la même période soit à 75 gourdes et 300 gourdes. À l'inverse, les prix des produits locaux tendent à la hausse au cours de la période considérée. Ainsi, le prix moyen de l'haricot noir est passé de 213 gourdes à la première semaine de février à 296 gourdes à la quatrième semaine de mars soit

4 une variation de 39% sur deux mois. C est à peu près la même situation pour le pois rouge dont le prix a cru pour la même période à 22%. A noter que le marché de Tiburon demeure l'un des marchés les plus chers du département du sud dus probablement à ses carences en infrastructures routières et de stockage. Les principales activités génératrices de revenus pour la période ont été : - Les travaux agricoles (Préparation de sol) - la pêche à Port-salut, Tiburon, les Anglais, Saint jean, Ile à Vache, Chardonnière, Cayes et Saint-Louis, - la production et la commercialisation de charbon de bois à Aquin, Cahouane, Soulét (Torbeck), - le petit commerce de détail un peu partout à travers le sud - les petits services dont le transport par moto-taxi Situation nutritionnelle En dépit de conditions plutôt sèches du département du sud au cours du premier trimestre 2015, des cas de choléra dû au vibrio cholerae sont enregistrés au niveau des communes des Cayes, de Les Anglais et de Port Salut, d Aquin. Pour le seul mois de février 3 cas de mortalité ont été comptés sur les 95 cas enregistrés. Cette situation traduit une tendance à la détérioration de la situation nutritionnelle dans le département en général et dans les communes touchées en particulier. Tableau 1 : Evolution Cholera dans le sud (Janvier-mars 2015) COMMUNES JANVIER 2015 FEVRIER 2015 MARS 2015 Cayes Les Anglais Aquin Camp-Perrin Port à Piment Port-Salut Cavaillon Coteaux TOTAL Source : MSPP/ DDS

5 Recommandations Avec pratiquement deux mois de sécheresse de février- mars 2015, la campagne agricole de printemps a démarré à la fin du mois de mars. Soit avec un retard d au moins un mois au niveau des zones non irriguées. Par ailleurs, l infestation de la cochenille blanche dans 12 des 18 communes du département menace la production de légumineuses dans ces secteurs. Ces deux éléments risquent à eux seuls de réduire de moitié la performance de la campagne par rapport à la production moyenne des cinq dernières campagnes de printemps. Cette situation est de nature à alimenter la flambée de prix de l haricot (noir et rouge) dans le département comme conséquences immédiates de la rareté éventuelle de ce produit sur le marché. D autre part, considérant les nombreux cas de choléra déjà enregistrés dans certaines communes en période plutôt sèche, il y a lieu de s inquiéter d une flambée de cette infection à l approche de la saison pluvieuse d ici la fin-avril, avec comme conséquence immédiate une détérioration de l état nutritionnel de cette frange de la population. Dans le but d atténuer ces problèmes qui risque d aggraver la situation alimentaire de la population et surtout les couches les plus vulnerables, nous recommandons aux autorités les mesures suivantes : - le contrôle de la cochenille blanche dans les communes touchées incluant simultanément le traitement des zones infectées et la prévention et de protection dans les autres endroits non d autres encore affectés - La valorisation des points d eau par la mise à disposition des associations de planteurs des pompes d irrigation. Et, parallèlement des travaux visant la pérennisation à travers la protection des bassins versants surplombant - Création d emplois de type HIMO orientés vers des travaux de protection de l environnement au profit des communautés les plus vulnerables - La fourniture à temps aux planteurs des intrants (semences, fertilisants, pesticides) dont ils auront besoin. - La vulgarisation de mesures d hygiène en prévention de la propagation du choléra.

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