CUMBRE MUNDIAL ENFERMERÍA ANTE EL VIRUS ÉBOLA SOMMET MONDIAL SOINS INFIRMIERS FACE AU VIRUS EBOLA. Madrid, 27 et 28 octobre 2014

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1 CONSEIL INTERNATIONAL DES INFIRMIÈRES CUMBRE MUNDIAL ENFERMERÍA ANTE EL VIRUS ÉBOLA SOMMET MONDIAL SOINS INFIRMIERS FACE AU VIRUS EBOLA Madrid, 27 et 28 octobre 2014 DECLARATION DE MADRID Consejo General de Enfermería CONSEJO INTERNACIONAL DE ENFERMERAS INTERNATIONAL COUNCIL OF NURSES

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3 DECLARATION DE MADRID SOMMET INTERNATIONAL 1 SOINS INFIRMIERS FACE AU VIRUS EBOLA Madrid, le 28 octobre Réunis dans la ville de Madrid, au siège du Conseil Général en soins infirmiers d Espagne, les 27 et 28 octobre 2014, à l occasion du Sommet International «Soins infirmiers face au virus Ebola (MVE)», les experts participants, représentants de : Le Conseil International des Infirmières regroupant 140 pays et 16 millions d infirmiers, La Fédération européenne des associations infirmières réunissant 34 pays en représentation de 6 millions d infirmiers, L Internationale des Services Publics regroupant plus de 20 millions de travailleurs représentés par 650 syndicats de 148 pays et territoires, Des délégués des pays européens et africains ayant soigné des patients atteints par la maladie à virus Ebola, Le Conseil Général en soins infirmiers d Espagne. Le Syndicat espagnol des infirmiers (SATSE), Le Syndicat espagnol des aides soignants (SAE), Médecins sans frontières, Des sociétés et associations scientifiques de soins infirmiers, Des infirmiers experts dans la prise en charge directe des patients ayant contracté le virus Ebola,

4 2 Réalisent la déclaration suivante: CONSIDÉRANT Que le 6 août 2014, l OMS a manifesté que les conditions pour déclarer une urgence de santé publique de portée internationale étaient réunies, à cause de la flambée de MVE en Afrique de l Ouest, et qu elle constituait donc un «événement extraordinaire» et supposait un risque de santé publique pour d autres Etats. CONSIDÉRANT Tous les conseils donnés par l OMS pour l approche de cette maladie et en particulier le conseil concernant le fait que les Etats devraient veiller à ce que les professionnels de la santé disposent de mesures adaptées visant à garantir leur sécurité et protection et qu ils bénéficient d une formation et qualification appropriées en matière de prévention et de contrôle de l infection, en particulier en ce qui concerne l utilisation correcte des équipements de protection individuelle. CONSIDÉRANT L évidence réglementaire en matière de protection des travailleurs dans le cadre européen face aux risques biologiques, exprimée dans: La directive cadre européenne 89/391/CEE, relative à l application de mesures visant à promouvoir l amélioration de la sécurité et la santé des travailleurs au travail. La directive 2000/54/CE, concernant la protection des travailleurs contre les risques liés à l exposition à des agents biologiques au travail. Et la directive 2010/32/UE, portant application de l accord cadre relatif à la prévention des blessures par objets tranchants dans le secteur hospitalier et sanitaire conclu par l HOSPEEM (Association européenne des employeurs hospitaliers) et la FSESP (Fédération syndicale européenne des services publics).

5 CONSIDÉRANT Que les expériences et les cadres de travail des professionnels de la santé mettent en évidence les difficultés à intervenir en cas de risques biologiques comme le virus Ebola, face auxquels des politiques actives de sécurité des travailleurs, transparents et coordonnées, s avèrent indispensables. 3 CONSTATANT Que l évidence démontre que les infirmiers effectuent 95 % des interventions directes aux patients atteints de maladie à virus Ebola (MVE). L inexistence d une réponse coordonnée au niveau international. Que les professionnels de la santé doivent recevoir une information et une formation adaptées pour la prévention et l approche des patients atteints de MVE et la minimisation des risques en dérivant. La nécessité de disposer de protocoles et de procédures spécifiques élaborés par les professionnels eux mêmes, qui les dotent de cadres de travail sûrs et procurent sécurité aux patients et à eux mêmes. L importance de réaliser un soutien et suivi biologique, psychologique et social aux professionnels de la santé qui se sont occupés de soigner des patients atteints de MVE, en accordant une attention toute particulière aux éléments pouvant aider à éviter de stigmatiser ces professionnels. La nécessité de protéger l intimité des personnes et la confidentialité de leurs coordonnées conformément aux principes légaux, éthiques et déontologiques applicables. L importance de partager et de diffuser les connaissances sur des critères et principes d objectivité, de véracité et d indépendance. DECLARENT Leur gratitude et reconnaissance envers tous les professionnels qui, jusqu à aujourd hui, se sont occupés de l assistance, dans des circonstances difficiles, très hétérogènes et particulièrement risquées, des patients infectés par le

6 4 virus Ebola dans le monde entier. La nécessité impérative d adopter tous les mécanismes indispensables afin d instaurer le principe de «tolérance zéro» pour éviter la contagion de davantage de professionnels de la santé. Que, sans les ressources et les investissements appropriés et une main d œuvre hautement qualifiée et compétente en nombre pertinent, il n existe aucune mesure de protection suffisante pour garantir la sécurité. Les infirmiers mettent en jeu leur propre vie. L importance de respecter la réglementation légale qui, aussi bien au niveau international qu européen et national, établit les mécanismes nécessaires pour garantir la sécurité des travailleurs sanitaires en matière de risques professionnels, biologiques et de biosécurité. La nécessité de travailler conjointement, en coordination et sous la direction internationale du Conseil International des Infirmières, à l adoption de mesures garantissant une pratique des soins infirmiers sûre, éthique et de qualité, reposant sur l évidence scientifique, l évaluation de la compétence et l élaboration de protocoles et procédures, élaboration à laquelle participeront directement les professionnels infirmiers. Leur conviction qu une formation spécifique, un entraînement approprié et la disponibilité de mesures et d équipements préventifs de protection ne constituent pas seulement un droit des professionnels mais un devoir préalable à la prestation de leurs services. L exigence de fournir une assistance axée sur le patient et ses droits définis dans la Charte européenne des droits du patient et dans les législations nationales correspondantes, et visant à respecter le principe de confidentialité et de secret professionnel établi dans tous les codes éthiques et déontologiques de la profession infirmière au niveau international, européen et national. DEMANDENT INSTAMMENT AUX GOUVERNEMENTS De destiner les aides et les ressources disponibles, de préférence, au continent africain, afin de combattre l infection dans les régions d origine.

7 De créer des «cadres de travail sûrs» comme exigence préalable à la prestation d assistance aux patients infectés par le virus Ebola. A cet effet, les éléments suivants devront obligatoirement être pris en considération : 5 1. La capacité et la compétence préalable des professionnels. 2. Une formation et un entraînement spécifiques et accrédités. 3. La nécessité de disposer de protocoles et de procédures spécifiques élaborés par tous ceux qui, comme les infirmiers, doivent les mettre en application pour procurer qualité et sécurité aux patients et à eux mêmes. 4. Une pratique professionnelle adaptée à la préparation et la formation des professionnels (niveaux de prise en charge). 5. La disponibilité de matériel et d équipements de protection sûrs. 6. La formation et la mise en œuvre de dispositifs appropriés pour l élimination des déchets. 7. L évaluation des risques. 8. L habilitation d espaces adaptés (chambre, sas, etc.). 9. La gestion et l optimisation des temps d assistance directe des patients. Au niveau européen : CONVIENNENT De participer à la réunion convoquée par la DG SANCO, le 4 novembre 2014 à Luxembourg, sur la prévention et la transmission du virus Ebola et les soins de santé, pour présenter les résultats de ce sommet et les diverses expériences vécues au niveau européen.

8 6 De créer, de manière immédiate, un Observatoire européen des soins infirmiers sur les risques professionnels, biologiques et de biosécurité pour l évaluation et le suivi de la réglementation correspondante, des programmes de formation et des protocoles de prise en charge des patients atteints de maladie à virus Ebola. De créer immédiatement un groupe de travail composé d infirmiers experts qui ont eu une relation directe avec des patients infectés dans divers pays d Europe ; il se chargera d élaborer un document complet sur tous les éléments relatifs à la prévention et au contrôle des patients atteints par la maladie à virus Ebola. Ce groupe complètera le protocole de l OMS et les protocoles nationaux en ajoutant les procédures spécifiques qui ont été omises jusqu à présent. D informer les ministres européens, par le biais des délégués à la santé, et de demander au Conseil Européen des Ministres de décembre 2014 la mise en œuvre des mécanismes appropriés pour renforcer les systèmes de santé se consacrant à l Ébola et pour poursuivre les «investissements dans le domaine de la santé». De tenir une réunion «ad doc» avec les députés européens de la commission santé pour qu ils transmettent aux membres du Parlement européen et de la Commission européenne, les témoignages des professionnels spécialisés dans la prise en charge directe des patients ayant contracté le virus Ebola en Europe. Au niveau international: De compléter le standard international sur les protocoles de prévention et de prise en charge des patients atteints de MVE à partir du travail réalisé par la Fédération européenne de soins infirmiers et le groupe d experts d autres régions du monde compétents dans la prise en charge de ces patients. De développer des programmes de formation (situations de risque faible et élevé) garantissant la compétence, et accrédités au niveau international par le Conseil International des Infirmières.

9 De créer une plateforme centralisée d information pour recueillir toutes les informations existantes en la matière et les mettre à la disposition de toutes les institutions et infirmiers du monde. 7 D exiger, au niveau international, la participation active des infirmiers dans tous les domaines et à tous les niveaux de prise de décisions en matière de prévention et de soins aux patients atteints de MVE.

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