Personne de confiance et directives anticipées en médecine générale : quel cadre à la discussion sur la fin de vie? Étude qualitative par focus group

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1 UNIVERSITÉ DE LORRAINE FACULTÉ DE MÉDECINE DE NANCY 2017 n THÈSE pour obtenir le grade de DOCTEUR EN MÉDECINE Présentée et soutenue publiquement dans le cadre du troisième cycle de Médecine Générale par Frédérique MARQUE-PILLARD le 12 mai 2017 Personne de confiance et directives anticipées en médecine générale : quel cadre à la discussion sur la fin de vie? Étude qualitative par focus group Membres du jury : Président : M. Pierre-Édouard BOLLAERT Professeur Juges : Mme Laure JOLY Mme Sophie SIEGRIST Mme Frédérique CLAUDOT Mme Isabelle GIRAUD-OGIER Professeur Professeur Maître de Conférence Docteur en Médecine

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3 LISTE DES PROFESSEURS 3

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5 16 février 2017 Président de l Université de Lorraine : Professeur Pierre MUTZENHARDT Doyen de la Faculté de Médecine Professeur Marc BRAUN Vice-doyens Pr Karine ANGIOI-DUPREZ, Vice-Doyen Pr Marc DEBOUVERIE, Vice-Doyen Assesseurs : Premier cycle : Deuxième cycle : Troisième cycle : Dr Guillaume GAUCHOTTE Pr Marie-Reine LOSSER Pr Marc DEBOUVERIE Innovations pédagogiques : Pr Bruno CHENUEL Formation à la recherche : Dr Nelly AGRINIER Animation de la recherche clinique : Pr François ALLA Affaires juridiques et Relations extérieures : Dr Frédérique CLAUDOT Vie Facultaire et SIDES : Pr Laure JOLY Relations Grande Région : Pr Thomas FUCHS-BUDER Etudiant : M. Lucas SALVATI Chargés de mission Bureau de docimologie : Dr Guillaume VOGIN Commission de prospective facultaire : Pr Pierre-Edouard BOLLAERT Orthophonie : Pr Cécile PARIETTI-WINKLER PACES : Dr Chantal KOHLER Plan Campus : Pr Bruno LEHEUP International : Pr Jacques HUBERT ========== DOYENS HONORAIRES Professeur Jean-Bernard DUREUX - Professeur Jacques ROLAND - Professeur Patrick NETTER - Professeur Henry COUDANE ========== PROFESSEURS HONORAIRES Etienne ALIOT - Jean-Marie ANDRE - Alain AUBREGE - Jean AUQUE - Gérard BARROCHE Alain BERTRAND - Pierre BEY Marc-André BIGARD - Patrick BOISSEL Pierre BORDIGONI - Jacques BORRELLY - Michel BOULANGE Jean-Louis BOUTROY Serge BRIANÇON - Jean-Claude BURDIN - Claude BURLET - Daniel BURNEL Claude CHARDOT - Jean-François CHASSAGNE - François CHERRIER Jean-Pierre CRANCE - Gérard DEBRY Emile de LAVERGNE - Jean-Pierre DESCHAMPS - Jean DUHEILLE - Jean-Bernard DUREUX - Gilbert FAURE - Gérard FIEVE Jean FLOQUET - Robert FRISCH - Alain GAUCHER - Pierre GAUCHER - Alain GERARD - Hubert GERARD Jean-Marie GILGENKRANTZ - Simone GILGENKRANTZ - Gilles GROSDIDIER - Oliéro GUERCI - Philippe HARTEMANN Gérard HUBERT - Claude HURIET Christian JANOT - Michèle KESSLER - François KOHLER - Jacques LACOSTE Henri LAMBERT - Pierre LANDES - Marie-Claire LAXENAIRE - Michel LAXENAIRE - Alain LE FAOU - Jacques LECLERE Pierre LEDERLIN - Bernard LEGRAS - Jean-Pierre MALLIÉ - Philippe MANGIN Jean-Claude MARCHAL - Pierre MATHIEU Michel MERLE - Pierre MONIN Pierre NABET - Jean-Pierre NICOLAS - Pierre PAYSANT - Francis PENIN - Gilbert PERCEBOIS Claude PERRIN - Luc PICARD - François PLENAT - Jean-Marie POLU - Jacques POUREL - Jean PREVOT - Francis RAPHAEL Antoine RASPILLER Denis REGENT - Michel RENARD - Jacques ROLAND - Daniel SCHMITT - Michel SCHMITT Michel SCHWEITZER - Daniel SIBERTIN-BLANC - Claude SIMON - Danièle SOMMELET - Jean-François STOLTZ Michel STRICKER - Gilbert THIBAUT - Gérard VAILLANT - Paul VERT Hervé VESPIGNANI - Colette VIDAILHET Michel VIDAILHET - Jean-Pierre VILLEMOT - Michel WEBER 5

6 ========== PROFESSEURS ÉMÉRITES Professeur Etienne ALIOT - Professeur Gérard BARROCHE - Professeur Pierre BEY Professeur Serge BRIANÇON Professeur Jean-Pierre CRANCE - Professeur Gilbert FAURE - Professeur Alain GERARD - Professeure Michèle KESSLER - Professeur Jacques LECLÈRE - Professeur Alain LE FAOU - Professeur Jean-Marie GILGENKRANTZ - Professeure Simone GILGENKRANTZ Professeur Gilles GROSDIDIER - Professeur Philippe HARTEMANN - Professeur François KOHLER Professeur Alain LE FAOU - Professeur Pierre MONIN - Professeur Jean-Pierre NICOLAS Professeur Luc PICARD - Professeur François PLENAT Professeur Daniel SIBERTIN-BLANC - Professeur Jean-François STOLTZ - Professeur Paul VERT - Professeur Michel VIDAILHET ========== PROFESSEURS DES UNIVERSITÉS - PRATICIENS HOSPIT ALIERS (Disciplines du Conseil National des Universités) 42 ème Section : MORPHOLOGIE ET MORPHOGENÈSE 1 ère sous-section : (Anatomie) Professeur Marc BRAUN Professeure Manuela PEREZ 2 ème sous-section : (Histologie, embryologie et cytogénétique) Professeur Christo CHRISTOV Professeur Bernard FOLIGUET 3 ème sous-section : (Anatomie et cytologie pathologiques) Professeur Jean-Michel VIGNAUD Professeur Guillaume GAUCHOTTE 43 ème Section : BIOPHYSIQUE ET IMAGERIE MÉDICALE 1 ère sous-section : (Biophysique et médecine nucléaire) Professeur Gilles KARCHER Professeur Pierre-Yves MARIE Professeur Pierre OLIVIER 2 ème sous-section : (Radiologie et imagerie médicale) Professeur René ANXIONNAT - Professeur Alain BLUM - Professeur Serge BRACARD - Professeur Michel CLAUDON Professeure Valérie CROISÉ-LAURENT - Professeur Jacques FELBLINGER 44 ème Section : BIOCHIMIE, BIOLOGIE CELLULAIRE ET MOLÉCULAIRE, PHYSIOLOGIE ET NUTRITION 1 ère sous-section : (Biochimie et biologie moléculaire) Professeur Jean-Louis GUEANT - Professeur Bernard NAMOUR - Professeur Jean-Luc OLIVIER 2 ème sous-section : (Physiologie) Professeur Christian BEYAERT - Professeur Bruno CHENUEL - Professeur François MARCHAL 4 ème sous-section : (Nutrition) Professeur Didier QUILLIOT - Professeure Rosa-Maria RODRIGUEZ-GUEANT - Professeur Olivier ZIEGLER 45 ème Section : MICROBIOLOGIE, MALADIES TRANSMISSIBLES ET HYGIÈNE 1 ère sous-section : (Bactériologie virologie ; hygiène hospitalière) Professeur Alain LOZNIEWSKI Professeure Evelyne SCHVOERER 2 ème sous-section : (Parasitologie et Mycologie) Professeure Marie MACHOUART 3 ème sous-section : (Maladies infectieuses ; maladies tropicales) Professeur Thierry MAY - Professeure Céline PULCINI - Professeur Christian RABAUD 46 ème Section : SANTÉ PUBLIQUE, ENVIRONNEMENT ET SOCIÉTÉ 1 ère sous-section : (Épidémiologie, économie de la santé et prévention) Professeur François ALLA - Professeur Francis GUILLEMIN - Professeur Denis ZMIROU-NAVIER 3 ème sous-section : (Médecine légale et droit de la santé) Professeur Henry COUDANE 4 ème sous-section : (Biostatistiques, informatique médicale et technologies de communication) Professeure Eliane ALBUISSON - Professeur Nicolas JAY 47 ème Section : CANCÉROLOGIE, GÉNÉTIQUE, HÉMATOLOGIE, IMMUNOLOGIE 1 ère sous-section : (Hématologie ; transfusion) Professeur Pierre FEUGIER 2 ème sous-section : (Cancérologie ; radiothérapie) Professeur Thierry CONROY - Professeur François GUILLEMIN - Professeur Didier PEIFFERT - Professeur Frédéric MARCHAL 3 ème sous-section : (Immunologie) Professeur Marcelo DE CARVALHO-BITTENCOURT Professeure Marie-Thérèse RUBIO 4 ème sous-section : (Génétique) Professeur Philippe JONVEAUX - Professeur Bruno LEHEUP 6

7 48 ème Section : ANESTHÉSIOLOGIE, RÉANIMATION, MÉDECINE D URGENCE, PHARMACOLOGIE ET THÉRAPEUTIQUE 1 ère sous-section : (Anesthésiologie-réanimation ; médecine d urgence) Professeur Gérard AUDIBERT - Professeur Hervé BOUAZIZ - Professeur Thomas FUCHS-BUDER Professeure Marie-Reine LOSSER - Professeur Claude MEISTELMAN 2 ème sous-section : (Réanimation ; médecine d urgence) Professeur Pierre-Édouard BOLLAERT - Professeur Sébastien GIBOT - Professeur Bruno LÉVY 3 ème sous-section : (Pharmacologie fondamentale ; pharmacologie clinique ; addictologie) Professeur Pierre GILLET - Professeur Jean-Yves JOUZEAU - Professeur Patrick NETTER 4 ème sous-section : (Thérapeutique ; médecine d urgence ; addictologie) Professeur François PAILLE - Professeur Patrick ROSSIGNOL - Professeur Faiez ZANNAD 49 ème Section : PATHOLOGIE NERVEUSE ET MUSCULAIRE, PATHOLOGIE MENTALE, HANDICAP ET RÉÉDUCATION 1 ère sous-section : (Neurologie) Professeur Marc DEBOUVERIE - Professeur Louis MAILLARD - Professeur Luc TAILLANDIER - Professeure Louise TYVAERT 2 ème sous-section : (Neurochirurgie) Professeur Jean AUQUE - Professeur Thierry CIVIT - Professeure Sophie COLNAT-COULBOIS - Professeur Olivier KLEIN 3 ème sous-section : (Psychiatrie d'adultes ; addictologie) Professeur Jean-Pierre KAHN - Professeur Raymund SCHWAN 4 ème sous-section : (Pédopsychiatrie ; addictologie) Professeur Bernard KABUTH 5 ème sous-section : (Médecine physique et de réadaptation) Professeur Jean PAYSANT 50 ème Section : PATHOLOGIE OSTÉO-ARTICULAIRE, DERMATOLOGIE ET CHIRURGIE PLASTIQUE 1 ère sous-section : (Rhumatologie) Professeure Isabelle CHARY-VALCKENAERE - Professeur Damien LOEUILLE 2 ème sous-section : (Chirurgie orthopédique et traumatologique) Professeur Laurent GALOIS - Professeur Didier MAINARD - Professeur Daniel MOLE - Professeur François SIRVEAUX 3 ème sous-section : (Dermato-vénéréologie) Professeur Jean-Luc SCHMUTZ 4 ème sous-section : (Chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique ; brûlologie) Professeur François DAP - Professeur Gilles DAUTEL - Professeur Etienne SIMON 51 ème Section : PATHOLOGIE CARDIO-RESPIRATOIRE ET VASCULAIRE 1 ère sous-section : (Pneumologie ; addictologie) Professeur Jean-François CHABOT - Professeur Ari CHAOUAT - Professeur Yves MARTINET 2 ème sous-section : (Cardiologie) Professeur Edoardo CAMENZIND - Professeur Christian de CHILLOU DE CHURET - Professeur Yves JUILLIERE Professeur Nicolas SADOUL 3 ème sous-section : (Chirurgie thoracique et cardiovasculaire) Professeur Thierry FOLLIGUET - Professeur Juan-Pablo MAUREIRA 4 ème sous-section : (Chirurgie vasculaire ; médecine vasculaire) Professeur Sergueï MALIKOV - Professeur Denis WAHL Professeur Stéphane ZUILY 52 ème Section : MALADIES DES APPAREILS DIGESTIF ET URINAIRE 1 ère sous-section : (Gastroentérologie ; hépatologie ; addictologie) Professeur Jean-Pierre BRONOWICKI - Professeur Laurent PEYRIN-BIROULET 3 ème sous-section : (Néphrologie) Professeur Luc FRIMAT - Professeure Dominique HESTIN 4 ème sous-section : (Urologie) Professeur Pascal ESCHWEGE - Professeur Jacques HUBERT 53 ème Section : MÉDECINE INTERNE, GÉRIATRIE, CHIRURGIE GÉNÉRALE ET MÉDECINE GÉNÉRALE 1 ère sous-section : (Médecine interne ; gériatrie et biologie du vieillissement ; addictologie) Professeur Athanase BENETOS - Professeur Jean-Dominique DE KORWIN - Professeure Gisèle KANNY Professeure Christine PERRET-GUILLAUME Professeur Roland JAUSSAUD Professeure Laure JOLY 2 ème sous-section : (Chirurgie générale) Professeur Ahmet AYAV - Professeur Laurent BRESLER - Professeur Laurent BRUNAUD 3 ème sous-section : (Médecine générale) Professeur Jean-Marc BOIVIN Professeur Paolo DI PATRIZIO 7

8 54 ème Section : DÉVELOPPEMENT ET PATHOLOGIE DE L'ENFANT, GYNÉCOLOGIE-OBSTÉTRIQUE, ENDOCRINOLOGIE ET REPRODUCTION 1 ère sous-section : (Pédiatrie) Professeur Pascal CHASTAGNER - Professeur François FEILLET - Professeur Jean-Michel HASCOET Professeur Emmanuel RAFFO - Professeur Cyril SCHWEITZER 2 ème sous-section : (Chirurgie infantile) Professeur Pierre JOURNEAU - Professeur Jean-Louis LEMELLE 3 ème sous-section : (Gynécologie-obstétrique ; gynécologie médicale) Professeur Philippe JUDLIN - Professeur Olivier MOREL 4 ème sous-section : (Endocrinologie, diabète et maladies métaboliques ; gynécologie médicale) Professeur Bruno GUERCI - Professeur Marc KLEIN - Professeur Georges WERYHA 55 ème Section : PATHOLOGIE DE LA TÊTE ET DU COU 1 ère sous-section : (Oto-rhino-laryngologie) Professeur Roger JANKOWSKI - Professeure Cécile PARIETTI-WINKLER 2 ème sous-section : (Ophtalmologie) Professeure Karine ANGIOI - Professeur Jean-Paul BERROD - Professeur Jean-Luc GEORGE 3 ème sous-section : (Chirurgie maxillo-faciale et stomatologie) Professeure Muriel BRIX ========== PROFESSEURS DES UNIVERSITÉS 61 ème Section : GÉNIE INFORMATIQUE, AUTOMATIQUE ET TRAITEMENT DU SIGNAL Professeur Walter BLONDEL 64 ème Section : BIOCHIMIE ET BIOLOGIE MOLÉCULAIRE Professeure Sandrine BOSCHI-MULLER ========== PROFESSEUR ASSO CIÉ DE MÉDECINE GÉNÉRALE Professeur associé Sophie SIEGRIST ========== M AÎTRES DE CONFÉRENCES DES UNIVERSITÉS - PRATICIENS HOSPIT ALIERS 42 ème Section : MORPHOLOGIE ET MORPHOGENÈSE 1 ère sous-section : (Anatomie) Docteur Bruno GRIGNON 2 ème sous-section : (Histologie, embryologie et cytogénétique) Docteure Chantal KOHLER 43 ème Section : BIOPHYSIQUE ET IMAGERIE MÉDICALE 1 ère sous-section : (Biophysique et médecine nucléaire) Docteur Jean-Marie ESCANYE 2 ème sous-section : (Radiologie et imagerie médicale) Docteur Damien MANDRY - Docteur Pedro TEIXEIRA 44 ème Section : BIOCHIMIE, BIOLOGIE CELLULAIRE ET MOLÉCULAIRE, PHYSIOLOGIE ET NUTRITION 1 ère sous-section : (Biochimie et biologie moléculaire) Docteure Shyue-Fang BATTAGLIA - Docteure Sophie FREMONT - Docteure Isabelle AIMONE-GASTIN Docteure Catherine MALAPLATE-ARMAND - Docteur Marc MERTEN - Docteur Abderrahim OUSSALAH 2 ème sous-section : (Physiologie) Docteure Silvia DEMOULIN-ALEXIKOVA - Docteur Mathias POUSSEL 3 ème sous-section : (Biologie Cellulaire) Docteure Véronique DECOT-MAILLERET 45 ème Section : MICROBIOLOGIE, MALADIES TRANSMISSIBLES ET HYGIÈNE 1 ère sous-section : (Bactériologie Virologie ; hygiène hospitalière) Docteure Corentine ALAUZET - Docteure Hélène JEULIN - Docteure Véronique VENARD 2 ème sous-section : (Parasitologie et mycologie) Docteure Anne DEBOURGOGNE 8

9 46 ème Section : SANTÉ PUBLIQUE, ENVIRONNEMENT ET SOCIÉTÉ 1 ère sous-section : (Epidémiologie, économie de la santé et prévention) Docteure Nelly AGRINIER - Docteur Cédric BAUMANN - Docteure Frédérique CLAUDOT - Docteur Alexis HAUTEMANIÈRE 2 ème sous-section (Médecine et Santé au Travail) Docteure Isabelle THAON 3 ème sous-section (Médecine légale et droit de la santé) Docteur Laurent MARTRILLE 47 ème Section : CANCÉROLOGIE, GÉNÉTIQUE, HÉMATOLOGIE, IMMUNOLOGIE 1 ère sous-section : (Hématologie ; transfusion) Docteure Aurore PERROT Docteur Julien BROSEUS (stagiaire) 2 ème sous-section : (Cancérologie ; radiothérapie) Docteure Lina BOLOTINE Docteur Guillaume VOGIN (stagiaire) 4 ème sous-section : (Génétique) Docteure Céline BONNET - Docteur Christophe PHILIPPE 48 ème Section : ANESTHÉSIOLOGIE, RÉANIMATION, MÉDECINE D URGENCE, PHARMACOLOGIE ET THÉRAPEUTIQUE 2 ème sous-section : (Réanimation ; Médecine d urgence) Docteur Antoine KIMMOUN 3 ème sous-section : (Pharmacologie fondamentale ; pharmacologie clinique ; addictologie) Docteur Nicolas GAMBIER - Docteure Françoise LAPICQUE - Docteur Julien SCALA-BERTOLA 4 ème sous-section : (Thérapeutique ; Médecine d urgence ; addictologie) Docteur Nicolas GIRERD 50 ème Section : PATHOLOGIE OSTÉO-ARTICULAIRE, DERMATOLOGIE ET CHIRURGIE PLASTIQUE 1 ère sous-section : (Rhumatologie) Docteure Anne-Christine RAT 3 ème sous-section : (Dermato-vénéréologie) Docteure Anne-Claire BURSZTEJN 4 ème sous-section : (Chirurgie plastique, reconstructrice et esthétique ; brûlologie) Docteure Laetitia GOFFINET-PLEUTRET 51 ème Section : PATHOLOGIE CARDIO-RESPIRATOIRE ET VASCULAIRE 3 ème sous-section : (Chirurgie thoracique et cardio-vasculaire) Docteur Fabrice VANHUYSE 52 ème Section : MALADIES DES APPAREILS DIGESTIF ET URINAIRE 1 ère sous-section : (Gastroentérologie ; hépatologie ; addictologie) Docteur Jean-Baptiste CHEVAUX 53 ème Section : MÉDECINE INTERNE, GÉRIATRIE, CHIRURGIE GÉNÉRALE ET MÉDECINE GÉNÉRALE 3 ème sous-section : (Médecine générale) Docteure Elisabeth STEYER 54 ème Section : DEVELOPPEMENT ET PATHOLOGIE DE L'ENFANT, GYNECOLOGIE-OBSTETRIQUE, ENDOCRINOLOGIE ET REPRODUCTION 5 ème sous-section : (Biologie et médecine du développement et de la reproduction ; gynécologie médicale) Docteure Isabelle KOSCINSKI 55 ème Section : PATHOLOGIE DE LA TÊTE ET DU COU 1 ère sous-section : (Oto-Rhino-Laryngologie) Docteur Patrice GALLET ========== M AÎTRES DE CONFÉRENCES 5 ème Section : SCIENCES ÉCONOMIQUES Monsieur Vincent LHUILLIER 7 ème Section : SCIENCES DU LANGAGE : LINGUISTIQUE ET PHONETIQUE GENERALES Madame Christine DA SILVA-GENEST 19 ème Section : SOCIOLOGIE, DÉMOGRAPHIE Madame Joëlle KIVITS 9

10 60 ème Section : MÉCANIQUE, GÉNIE MÉCANIQUE, GÉNIE CIVIL Monsieur Alain DURAND 64 ème Section : BIOCHIMIE ET BIOLOGIE MOLÉCULAIRE Madame Marie-Claire LANHERS - Monsieur Nick RAMALANJAONA - Monsieur Pascal REBOUL 65 ème Section : BIOLOGIE CELLULAIRE Madame Nathalie AUCHET - Madame Natalia DE ISLA-MARTINEZ - Monsieur Jean-Louis GELLY Madame Céline HUSELSTEIN - Madame Ketsia HESS Monsieur Hervé MEMBRE - Monsieur Christophe NEMOS 66 ème Section : PHYSIOLOGIE Monsieur Nguyen TRAN ========== M AÎTRES DE CONFÉRENCES ASSOCIÉS DE MÉDECINE GÉNÉRALE Docteur Pascal BOUCHE Docteur Olivier BOUCHY - Docteur Arnaud MASSON Docteur Cédric BERBE Docteur Jean-Michel MARTY ========== DOCTEURS HONORIS CAUSA Professeur Charles A. BERRY (1982) Centre de Médecine Préventive, Houston (U.S.A) Professeur Pierre-Marie GALETTI (1982) Brown University, Providence (U.S.A) Professeure Mildred T. STAHLMAN (1982) Vanderbilt University, Nashville (U.S.A) Professeur Théodore H. SCHIEBLER (1989) Institut d'anatomie de Würtzburg (R.F.A) Université de Pennsylvanie (U.S.A) Professeur Mashaki KASHIWARA (1996) Research Institute for Mathematical Sciences de Kyoto (JAPON) Professeure Maria DELIVORIA-PAPADOPOULOS (1996) Professeur Ralph GRÄSBECK (1996) Université d'helsinki (FINLANDE) Professeur Duong Quang TRUNG (1997) Université d'hô Chi Minh-Ville (VIÊTNAM) Professeur Daniel G. BICHET (2001) Université de Montréal (Canada) Professeur Marc LEVENSTON (2005) Institute of Technology, Atlanta (USA) Professeur Brian BURCHELL (2007) Université de Dundee (Royaume-Uni) Professeur Yunfeng ZHOU (2009) Université de Wuhan (CHINE) Professeur David ALPERS (2011) Université de Washington (U.S.A) Professeur Martin EXNER (2012) Université de Bonn (ALLEMAGNE) 10

11 REMERCIEMENTS 11

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13 À notre Maître et Président, Monsieur le Professeur Pierre-Édouard BOLLAERT Professeur en Réanimation Nous vous remercions de l honneur que vous nous faites en présidant le jury de notre thèse. Soyez assuré de notre profond respect. 13

14 À notre Maître et juge, Madame le Professeur Laure JOLY Professeur en Gériatrie Nous vous remercions d avoir accepté de juger notre thèse. À notre Maître et juge, Madame le Professeur Sophie SIEGRIST Professeur associé de Médecine Générale Nous vous remercions de nous avoir fait découvrir l Éthique, de l intérêt porté à notre travail et de votre implication pour le juger. À notre juge, Madame le Docteur Frédérique CLAUDOT Docteur en Droit Public, Science Politique Maître de Conférences des Universités - Praticien Hospitalier Nous vous remercions de nous avoir confié ce sujet de thèse. Merci pour vos enseignements et votre accompagnement. Soyez assurée de notre sincère gratitude. À notre juge, Madame le Docteur Isabelle GIRAUD-OGIER Docteur en Médecine Générale Assistante spécialiste des hôpitaux Nous vous remercions de votre disponibilité, de votre patience, et de votre minutie. Soyez assurée de notre profonde reconnaissance pour votre soutien et votre bienveillance. 14

15 À ma Maman, pour ton amour inconditionnel, ton soutien, et ta psychorigidité laxiste à mon égard ^^ (bah oui, la preuve que ça existe). Merci pour tes moyens mnémotechniques et pour toutes les leçons parfois durement récitées («tu reviendras quand tu sauras!») : ça a fini par payer, et c est grâce à Toi À mon amoureux, mon évidence, comme convenu : «merci de ne pas m avoir quittée ni jetée par la fenêtre». Et puis bon, je ne suis pas comme ça, alors merci aussi pour : ton soutien, ta patience, ta tolérance, ton amour et pour être ce que tu es 15

16 À mes trois mentors : quand je serai grande, j aimerais bien être comme vous Aude, pour tout ce que tu nous apprends au quotidien, pour ta rigueur, ta vivacité d esprit, ta gentillesse et aussi pour tes pâtisseries! Agnès, pour ton humour, tes notes d esprit, de sagesse et de bon sens. J ai bien retenu que «la seule urgence c est l arrêt», qu il faut éviter de parler à certaines personnes (#autocensure, #diplomatie, tout ça tout ça ) et que «trop d info tue l info». Restons simples ^^. Pour tout le reste, «ça ne se raconte pas, ça se vit»! Isabelle, pour ton humanité et ton humilité. Il convient d y ajouter : ton sens inné de la diplomatie, ta mine éveillée même après une nuit d astreinte difficile, tes brioches maison sorties du four juste avant d arriver dans le service, et ta capacité de gestion des situations de crise/guerre : «bon les filles, aujourd hui ça va être difficile mais ça va aller!». Ça doit être ton côté Maman ^^! Merci de t être embarquée avec moi dans cette aventure À Mme Rapenne, pour votre sens de l humour si peu commun et votre bienveillance. À Catherine, Émilie, Patricia, Marie-Thé, Rénald, Anne et Carole (bref, à l équipe de «la petite mort»!) pour votre accueil et votre pédagogie. Merci de m avoir activement supportée (dans tous les sens du terme!) pendant ces mois de labeur et de «râleries»! Au Docteur Maria Riff, pour vos bons conseils, votre optimisme et vos techniques de communication : «Et on dort comment la nuit? On mange bien? On cogite? Est-ce qu on a mal?». Le coup du «on» est définitivement adopté, surtout s il me permet d être aussi proche de mes patients que vous l êtes avec les vôtres (bon sauf avec les petits, hein. Mais merci quand même pour la psychothérapie!). Sur vos bons conseils, je vais continuer de m amuser! Au Docteur Charles Boeckler, pour votre simplicité, votre bienveillance, votre sens du partage et votre passion pour la notion «organe, personne, environnement» : ça, c est de la médecine générale, de la vraie! Au Docteur Gilbert Martellina, pour m avoir appris qu il fallait adapter la médecine à l homme et non l homme à la médecine 16

17 À ma Suzie, pour avoir sauvé mon premier stage d interne. Merci pour tes conseils et ton écoute. Merci de ton soutien, surtout ce jour où j ai eu l audace (!!!) de demander une échographie pour une femme enceinte. Mouhahaha. Je te souhaite le meilleur dans tout ce que tu pourras entreprendre. Au Docteur Florian Drouot, car toi aussi tu as sauvé mon premier stage d interne! Tout ça c est un peu grâce à toi et à cette petite mamie qu on a eu une nuit : on ne savait pas quoi faire et ça a donné une thèse ^^ Si un jour je me retrouve à la place de cette dame, j espère que ce sera un médecin comme toi qui me soignera. À Alice : merci Dr Cordier de ta bienveillance, de tes encouragements, et de ton soutien dans cette période de blablabla quotidiens absolument insupportables dont j ai le secret : «au secours ma robe! Au secours l article! Au secouuuuuurs!». Merci de tes leçons de patience et de gentillesse, ainsi que pour ton «courage, force, honneur et bonne humeur» qui trône désormais sur mon bureau. Je te souhaite le meilleur dans tous les rôles de ta vie (même si tu dois quand même arrêter de pousser de pauvres petites choses dans les escaliers #messagecodé, #pasdepreuvepasdecrime, tout ça tout ça ). Au Docteur Armelle Breton. En plus d être un chirurgien proche de ses patients, tu m as accompagnée de l externat à l internat malgré des spécialités différentes, et tu m as appelée par mon prénom plutôt que de me héler : «Eh, l externe!!!». Merci pour ton humanité. À Madame Estelle Capdeville. Neuf ans après avoir quitté le lycée, je pense toujours à vous lorsque je dois analyser ou rédiger un texte, traumatisée par les «lourd» et «syntaxe» écrits dans la marge Vous m avez fait aimer le français par votre approche à la fois baroque et scientifique de cette discipline. Votre rigueur m a beaucoup apporté (j ai longtemps hésité sur l accord avec le COD, mais je pense que c est bon car en fait c est un COI. Ça, c est un traumatisme du collège ). Je vous remercie sincèrement de ce que vous m avez appris, et de l investissement que vous avez auprès de vos élèves. Bon, je m arrête là avant de tomber dans le «pathos» (souvenir du lycée ). 17

18 À Madame Catherine Piotrowski, pour votre efficacité et votre gentillesse. Votre aide m a été très précieuse dans la réalisation de ce travail. Où que vous soyez, j espère que vous y êtes heureuse. Aux médecins ayant eu la gentillesse de participer à ce travail, aussi bien pour la revue de littérature que pour l étude en elle-même. Aux patients que j ai croisés ou soignés : merci à tous, y compris ceux à qui j ai dit de colère : «bon, je vais chercher mon chef!» (d ailleurs, comment je vais faire quand je serai grande????). Merci à ceux qui m ont faite rire («parce qu une grossesse ça peut commencer par une angine????!!!»), ou qui m ont faite pleurer. Grâce à vous tous j ai appris, et je continuerai d apprendre. Alors merci, et aussi désolée :-/ 18

19 SERMENT 19

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21 «Au moment d'être admise à exercer la médecine, je promets et je jure d'être fidèle aux lois de l'honneur et de la probité. Mon premier souci sera de rétablir, de préserver ou de promouvoir la santé dans tous ses éléments, physiques et mentaux, individuels et sociaux. Je respecterai toutes les personnes, leur autonomie et leur volonté, sans aucune discrimination selon leur état ou leurs convictions. J interviendrai pour les protéger si elles sont affaiblies, vulnérables ou menacées dans leur intégrité ou leur dignité. Même sous la contrainte, je ne ferai pas usage de mes connaissances contre les lois de l'humanité. J'informerai les patients des décisions envisagées, de leurs raisons et de leurs conséquences. Je ne tromperai jamais leur confiance et n'exploiterai pas le pouvoir hérité des circonstances pour forcer les consciences. Je donnerai mes soins à l'indigent et à quiconque me les demandera. Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. Admise dans l'intimité des personnes, je tairai les secrets qui me sont confiés. Reçue à l'intérieur des maisons, je respecterai les secrets des foyers et ma conduite ne servira pas à corrompre les mœurs. Je ferai tout pour soulager les souffrances. Je ne prolongerai pas abusivement les agonies. Je ne provoquerai jamais la mort délibérément. Je préserverai l'indépendance nécessaire à l'accomplissement de ma mission. Je n'entreprendrai rien qui dépasse mes compétences. Je les entretiendrai et les perfectionnerai pour assurer au mieux les services qui me seront demandés. J'apporterai mon aide à mes confrères ainsi qu'à leurs familles dans l'adversité. Que les hommes et mes confrères m'accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ; que je sois déshonorée et méprisée si j'y manque». 21

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23 «L avenir n est jamais que du présent à mettre en ordre. Tu n as pas à le prévoir, mais à le permettre». Antoine de Saint-Exupéry 23

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25 LISTE DES ABRÉVIATIONS 25

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27 ACP CCNE CHRU CHU CISPAD CNSPFV COREQ DIU DU HAS IFOP IGAS MCA POLST PSDA ROSP SEM SODEV Advance Care Planning Comité Consultatif National d Ethique Centre Hospitalier Régional Universitaire Centre Hospitalier Universitaire Certificat Interdisciplinaire de Soins Palliatifs, d Accompagnement et de Douleur Centre National des Soins Palliatifs et de la Fin de Vie COnsolidated criteria for REporting Qualitative research Diplôme Inter Universitaire Diplôme Universitaire Haute Autorité de Santé Institut Français d Opinion Publique Inspection Générale des Affaires Sociales Mental Capacity Act Physicians Order for Life-Sustaining Treatment Patient Self Determination Act Rémunération sur Objectifs de Santé Publique Séminaire d Entrevues Médicales Supervision par Observation Directe avec Enregistrement Vidéo 27

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29 TABLE DES MATIÈRES 29

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31 1. PREMIÈRE PARTIE : PRÉSENTATION DU SUJET 1.1. LES DISPOSITIFS D EXPRESSION ANTICIPÉE DE LA VOLONTÉ DU PATIENT CONCERNANT SA FIN DE VIE : SITUATIONS NORD-AMÉRICAINE ET EUROPÉENNE p En Amérique du Nord p Aux États-Unis p Au Canada p En Europe p DIRECTIVES ANTICIPÉES ET PERSONNE DE CONFIANCE EN FRANCE p État des lieux avant la loi du 2 février 2016 p Avantages des directives anticipées et de la personne de confiance p Limites des directives anticipées et de la personne de confiance p Évolution et place du médecin traitant p Perspective de recherche p

32 2. DEUXIÈME PARTIE : ARTICLE Personne de confiance et directives anticipées en médecine générale : quel cadre à la discussion sur la fin de vie? Étude qualitative par focus group 2.1. RÉSUMÉS ET MOTS-CLÉS p Résumé et mots-clés p Abstract and keywords p INTRODUCTION p MÉTHODE p RÉSULTATS p Caractéristiques des entretiens et de l échantillon étudié p Résultats de l analyse qualitative des données p Initiation de la discussion sur la fin de vie p Contenu de la discussion p Format de la consultation p Rémunération du médecin traitant p DISCUSSION p Critique de la méthode p Interprétation des résultats p Initiation de la discussion sur la fin de vie p Contenu de la discussion p Format de la consultation p Rémunération du médecin traitant p Implications futures de l étude p CONCLUSION p

33 3. TROISIÈME PARTIE : CONCLUSION ET PERSPECTIVES 3.1. CONCLUSION p PERSPECTIVES p Formation des professionnels de santé à la communication p Renforcement des dispositifs d expression anticipée de la volonté par le mandat de protection future p Perspectives économiques p RÉFÉRENCES BIBLIOGRAPHIQUES 4. Références bibliographiques p ANNEXES 5.1. Annexe 1 : résumé envoyé aux médecins sur les directives anticipées et la personne de confiance p Annexe 2 : guide d entretien p Annexe 3 : questionnaire de recueil des données sociodémographiques p Annexe 4 : retranscription des entretiens p Annexe 5 : caractéristiques des médecins interrogés p Annexe 6 : lettre à la rédaction et récépissé de soumission de l article p Permis d imprimer p

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35 PREMIÈRE PARTIE : PRÉSENTATION DU SUJET 35

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37 1.1. LES DISPOSITIFS D EXPRESSION ANTICIPÉE DE LA VOLONTÉ DU PATIENT CONCERNANT SA FIN DE VIE : SITUATIONS NORD-AMÉRICAINE ET EUROPÉENNE En Amérique du Nord Aux États-Unis Le concept de directives anticipées naît aux États-Unis en Il est proposé par l Euthanasia Society of America. Luis Kutner, avocat engagé dans l association Right to Die, décrit le concept en 1969 en l intitulant «living will», soit «testament de vie». L objectif est de permettre aux patients d exprimer leurs souhaits quant à la prolongation de la vie, au cas où ils se trouveraient un jour en état végétatif. Le premier texte légal sur les directives anticipées est le Natural Death Act, promulgué en Californie en Il permet à un adulte d écrire ses directives anticipées pour informer son médecin d arrêter ou de ne pas entreprendre des traitements ayant pour but de prolonger artificiellement sa vie si elle se trouve en phase terminale d une maladie (1). En 1991, le Patient Self Determination Act ou PSDA a été imposé dans les structures de soins financées par Medicare et Medicaid, Health Maintenance Organization, et dans la plupart des hôpitaux et maisons de retraite. Le patient est alors informé de ses droits dès son admission, la rédaction de ses directives anticipées lui est proposée et le personnel de ces structures est formé (2). Les directives sont de deux types : 1. «instructive» : le «living will», qui décrit les traitements médicaux que la personne voudrait recevoir en cas d incapacité à prendre elle-même les décisions, en cas de maladie terminale ou d état végétatif persistant, et les conditions dans lesquelles une tentative de prolongation de la vie devrait être commencée ou arrêtée : «do not resuscitate order». Ce formulaire décrit également l accord ou le refus pour le don d organes ; 2. «proxy» : «Durable Power of Attorney for Health Care», ou personne de confiance. L «Advance care planning» ou ACP, processus en quatre étapes visant à aider les patients à prendre leurs décisions de soins futurs dans le cas où ils ne seraient plus en capacité de s exprimer. Ce processus inclut quatre étapes : 1. réfléchir à ses valeurs et préférences ; 2. en parler avec sa personne de confiance, des membres de sa famille et/ou avec les professionnels de santé ; 37

38 3. les décrire dans les directives anticipées ; 4. les revoir régulièrement et les actualiser si nécessaire. Il est recommandé que l ACP soit mis en œuvre chez les patients hospitalisés ou admis dans des organisations de soins. En dehors des établissements de santé, il est proposé d en parler avec les patients à risque de perte d autonomie (2). Le «Physicians Order for Life-Sustaining Treatment» ou POLST, est un «ordre» donné aux médecins pour aider les patients gravement malades ou médicalement fragiles à contrôler les soins de leur fin de vie. Le POLST complète les directives anticipées. Il est de couleur rose vif, signé par le médecin et le patient, et décrit les types de traitement médical que le patient souhaite recevoir en fin de vie. Tous les professionnels de santé peuvent en parler avec le patient et l aider à le remplir, mais seul le médecin peut le signer. Ce document est modifiable et révocable pas le patient, et modifiable par le médecin ou la personne de confiance si la situation change. Si le patient est en incapacité de s exprimer, un professionnel de santé peut le remplir sur la base des informations données par la famille. Ce document suit le patient dans ses transferts : entre établissements hospitaliers, entre services, ou au domicile (2). Enfin, le «Five Wishes», reconnu dans 42 États, prévoit l expression des cinq volontés suivantes : 1. choix de sa personne de confiance, et choix des actions que cette personne peut faire ; 2. directives anticipées ; 3. état de bien-être auquel le patient aspire : gestes de confort et d hygiène ; 4. manière dont le patient souhaite «être traité» : présence des proches, prières, lieu du décès ; 5. ce que le patient souhaite faire savoir à ses proches. Ce formulaire doit être signé par deux témoins, et selon les États doit ou non être certifié auprès d un notaire (2). Le taux de rédaction de directives anticipées aux États-Unis varie de 4 à 17 % (3) Au Canada Au Canada, les directives anticipées sont proposées dans neuf États, et la personne de confiance dans onze. L «Advance Care Planning» est proposé dans quelques États. Son objectif est de réfléchir et de communiquer à propos de ses volontés, en cas de situation d incommunicabilité. Une vidéo à destination des professionnels de santé explique les étapes à suivre pour l expliquer aux 38

39 malades ayant une pathologie sévère. De la même manière, une vidéo didactique existe pour les patients, décrivant en cinq étapes comment anticiper ses décisions de fin de vie : 1. réfléchir à ses valeurs, ses volontés, ses convictions, sa compréhension de sa situation médicale ; 2. se renseigner sur les divers traitements médicaux et sur ce qu ils peuvent apporter ; 3. décider en choisissant son mandataire ; 4. discuter avec son mandataire, ses proches, son médecin ; 5. consigner ses volontés sur papier. Comme aux États-Unis, les directives anticipées sont «instructive» ou «proxy». Au Québec, il existe le «testament biologique», aussi appelé «directives de fin de vie». Sont proposés un guide de rédaction, et un document de six pages incluant exemples et suggestions : nomination de l exécuteur testamentaire biologique, énoncé de la volonté, directives spécifiques des refus de soins, don d organes, autres directives, exécuteur testamentaire biologique remplaçant, signature et témoins, et instructions de rédaction et explication (2). Au Canada, le taux de rédaction des directives anticipées est de 47 % (3) En Europe En Hongrie, la législation sur les directives anticipées date de Ces dernières doivent être vérifiées par un notaire et justifient d un avis psychiatrique. Elles sont valides pendant deux ans, et sont contraignantes en cas de fin de vie avec douleurs réfractaires (3). En Belgique, depuis 2002, la loi prévoit un modèle de directives anticipées pouvant préciser une demande d euthanasie. Elles doivent être rédigées en présence de deux témoins, dont un au moins n ayant aucun intérêt matériel au décès. Elles sont contraignantes, sauf pour ce qui concerne la demande d euthanasie, et sont valables cinq ans. Le taux de rédaction de ces directives est de 50 % en maison de retraite (2,3). Le patient peut également désigner une personne de confiance qui l assiste et peut, si tel est le souhait du patient : s informer sur son état de santé et son pronostic probable, consulter son dossier médical, et demander une copie du dossier. Il est également possible de désigner un mandataire (4). 39

40 En Espagne, les directives anticipées sont contraignantes et inscrites sur un registre national. Leur taux de rédaction est de 0.2 % (3). En Grande-Bretagne, le Mental Capacity Act MCA - de 2005, complété par le Statutory instrument de 2007, intègre des principes sur les directives anticipées qui se limitent aux décisions de refus de traitement. Le MCA s applique en Angleterre et au pays de Galles. Son objectif est de protéger les personnes qui ne sont pas en état de prendre leurs décisions sur les soins et traitements. Cette loi s applique dès l âge de 16 ans. Ainsi, le patient peut exprimer ses préférences pour les soins et traitements dans le cas où il ne serait plus en capacité de prendre les décisions, et désigner une personne de confiance pour prendre les décisions en son nom. Il faut le différencier des «advance statements and decisions», qui sont un document écrit précisant les préférences de la personne, ses souhaits, ses croyances, et ses valeurs quant à ses soins futurs, mais qui n est pas lié par la loi. L objectif est alors de donner un guide pour celui qui pourrait avoir à prendre les décisions, dans le meilleur intérêt de la personne. Ce guide peut couvrir tous les aspects médicosociaux de la personne. Les décisions anticipées - refus de traitement, do not resuscitate order, living will - sont signées en présence d un témoin et sont contraignantes y compris en cas d urgence. Elles permettent à toute personne de plus de 18 ans, toujours capable, de refuser un traitement médical pour le cas où elle perdrait un jour sa capacité de refuser ou d accepter un traitement (2). En Autriche, existantes depuis 2006, les directives anticipées peuvent être données à un médecin oralement ou de manière écrite, afin de s opposer à un traitement médical futur. Elles ne sont pas contraignantes mais doivent servir de ligne directrice. En revanche, le «Verbindliche Patientenverfugung» est une instruction contraignante rédigée avec l aide d un juriste ou d un notaire qui est valable 5 ans et peut être reconduite, et permet de porter une carte précisant ses volontés (2,3). En Allemagne, la loi régissant les directives anticipées existe depuis La personne doit écrire une demande formelle se référant à des situations précises et désigner une personne de confiance. Ces directives sont indépendantes de l âge ou de l état de santé de la personne. En l absence de directives anticipées, la personne de confiance peut attester des choix du patient. S il n existe pas de personne de confiance, et en dehors de l urgence, un représentant des droits du patient est requis par voie légale. Un formulaire proposé par le ministère allemand de la 40

41 Justice est proposé, et décrit différentes situations. Ces directives sont contraignantes. Le taux de rédaction de telles directives est de 10 % en moyenne (2,3). En Suisse, les directives anticipées sont créées en 2009 par l Académie Suisse des Sciences Médicales. Elles sont reprises par la loi du 1 er janvier 2013 sur la protection des adultes. Selon cette loi, toute personne capable de discernement peut rédiger ses directives anticipées contraignantes -, précisant les traitements médicaux auxquels elle consent ou non au cas où elle deviendrait incapable de discernement. Elle peut aussi désigner une personne physique qui pourra décider en son nom en cas d incapacité de discernement, et qui sera dans l obligation de respecter les instructions qui lui auront été données, sauf en cas d illégalité de la demande ou de doute sur l expression libre de la volonté du patient. Les médecins, soignants et autres professionnels de santé assurent l information relative à ces directives et apportent une aide au patient au moment de leur rédaction. Des formulaires de rédaction sont proposés, notamment par l Académie Suisse des Sciences Médicales. Dans ces directives, le patient déclare des valeurs personnelles - motivation à rédiger ses directives, situation de vie, qualité de vie souhaitée, acceptation ou non de la dépendance, convictions personnelles -, désigne sa personne de confiance, prend les dispositions relatives aux décisions médicales avec description des situations médicales, de ses souhaits ou non de réanimation, et des mesures médicales du maintien de la vie, et prévoit ses dispositions après la mort : don d organes, autopsie, voire consultation du dossier médical (2). Au Luxembourg, la législation relative aux soins palliatifs, aux directives anticipées et à l accompagnement de fin de vie date de Les directives anticipées peuvent désigner une personne de confiance. Des formulaires sont proposés, parmi lesquels une déclaration en vue de l obtention ou d une prolongation de soins palliatifs, précisant le lieu souhaité pour recevoir de tels soins, les soins souhaités, et un formulaire de demande d euthanasie ou d assistance au suicide (2). Aux Pays-Bas, il n existe pas de loi spécifique aux soins palliatifs. La loi sur l euthanasie date de Les directives anticipées sont contraignantes, avec demande d euthanasie possible mais non contraignante. 5 % de la population a rédigé de telles directives (2,3). En Finlande, les directives anticipées sont contraignantes, et peuvent préciser le refus de traitement y compris psychiatrique (3). 41

42 1.2. DIRECTIVES ANTICIPÉES ET PERSONNE DE CONFIANCE EN FRANCE En France, le dispositif de personne de confiance a été créé par la loi n du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité du système de santé (5). Ainsi, «toute personne majeure peut désigner une personne de confiance qui peut être un parent, un proche ou le médecin traitant, et qui sera consultée au cas où elle-même serait hors d'état d'exprimer sa volonté et de recevoir l'information nécessaire à cette fin. [ ] Si le malade le souhaite, la personne de confiance l'accompagne dans ses démarches et assiste aux entretiens médicaux afin de l'aider dans ses décisions [ ]». La loi n du 22 avril 2005 relative aux droits des malades et à la fin de vie, dite «loi Leonetti» (6), a créé les directives anticipées afin de renforcer le respect des volontés du patient qui se trouverait hors d état de s exprimer. Ainsi, «toute personne majeure peut rédiger des directives anticipées pour le cas où elle serait un jour hors d'état d'exprimer sa volonté. Ces directives anticipées indiquent les souhaits de la personne relatifs à sa fin de vie concernant les conditions de la limitation ou l'arrêt de traitement [ ]». En 2009, l enquête La fin de vie en France, menée par l Institut National d Etudes Démographiques (7), rapportait que seuls 2.5 % des patients décédés avaient rédigé des directives anticipées. En 2014, Monsieur Claeys et Monsieur Leonetti soulignaient l application insuffisante de la loi du 22 avril 2005 (8). Nous avons cherché à comprendre les perspectives d évolution des directives anticipées et de la personne de confiance. Pour cela, leurs avantages et leurs limites ont été analysées, ainsi que le rôle du médecin traitant dans leur utilisation État des lieux avant la loi du 2 févier Avantages des directives anticipées et de la personne de confiance La relation médecin-patient a évolué d une relation paternaliste à une relation favorisant l autonomie du patient. L essor de la médecine qui permet de prolonger la durée de vie, en augmentant ainsi la proportion de patients souffrant de pathologies chroniques, amène à s interroger sur les conditions de sa fin de vie. Directives anticipées et personne de confiance 42

43 sont ainsi des dispositifs favorablement accueillis par les patients et par les professionnels de santé. En 2014, Sonia AYLLON-MILLA montrait dans sa thèse de médecine que 87.9 % des 58 patients interrogés avaient une opinion positive du dispositif de personne de confiance, et 86.2% des directives anticipées (9). Fruits d une réflexion anticipée du patient, ces dispositifs sont les éléments les plus fiables pour déterminer la volonté du patient en incapacité de s exprimer, pour respecter son autonomie et lutter contre l obstination déraisonnable, notamment en cas d isolement du patient ou au contraire lorsque la famille, par peur d abandon trop précoce, est demandeuse de soins (10 12). Pour les professionnels de santé, ils sont un guide les orientant dans leurs prises de décisions, et leur apportant une certaine légitimité rassurante sur le plan médico-légal, notamment par crainte de réclamation inopinée d un proche (10,13). Ces outils sont également perçus comme une aide aux familles, les soulageant d une certaine responsabilité, raison citée par 20 % des patients favorables à ces dispositifs (14,15). Le rôle de la personne de confiance était perçu comme bénéfique pour 70.4 % des 108 médecins généralistes interrogés dans un travail de thèse de 2013, à la fois pour son soutien au patient, et sa capacité à favoriser les échanges avec le médecin et la famille, prévenant parfois des conflits familiaux ou permettant d en prendre le rôle d arbitre de manière légitime (16,17). Elle apparaît comme un interlocuteur privilégié, permettant de rapporter les caractères, valeurs et attentes du patient qui l avait nommée (12), et autorise, au contraire des directives anticipées, une discussion pour une meilleure adaptation de la prise en charge du patient (17). Directives anticipées et personne de confiance apparaissent comme des outils de dialogue - entre le patient, le médecin et les proches -, et d accompagnement, favorisant la réflexion et l anticipation du patient concernant sa fin de vie (17). Selon Caroline LEBON dans son travail de thèse mené en 2013, le sentiment d angoisse précédant la rédaction de directives anticipées, issu de l impuissance ressentie face au futur et à la mort, faisait place au soulagement dans les suites de cette rédaction dans 90 % des cas (18). Ce dialogue conjure le tabou de la mort et permet d améliorer la communication ultérieure entre médecin, patient, et famille, les attentes et la réflexion du patient étant mieux cernées par ses interlocuteurs, permettant alors d adapter la prise en charge et de favoriser l adhésion thérapeutique du patient et une amélioration de sa qualité de vie (19). 43

44 Limites des directives anticipées et de la personne de confiance La principale limite de ces dispositifs résidait en leur méconnaissance par la population générale et par les professionnels de santé, malgré une tendance à l amélioration. Le «manque de volonté politique», entraînant un défaut de promotion de ces dispositifs, si ce n était par les associations militantes, provoquait leur méconnaissance par la population (8,9,11,13,14,16). Pourtant, une étude demandée par le Collectif Interassociatif Sur la Santé en 2016, montrait que 82 % des interrogés connaissaient leur possibilité de désigner une personne de confiance, et 73 % connaissaient leur «possibilité de rédiger leurs souhaits pour leur fin de vie» (20). Concernant la formation des médecins, Régis Aubry décrivait en 2011 l hétérogénéité entre les facultés de médecine concernant le volume horaire dédié aux thèmes de l éthique et du soin palliatif - entre 2 et 35 heures -, et le manque de terrains de stages dans les services de soins palliatifs pour les étudiants de troisième cycle (21). Selon une thèse de médecine menée en 2012 par Anne GOUBET auprès de 604 médecins généralistes, 56 % pensaient ne pas disposer de suffisamment d informations concernant la personne de confiance, et 76 % concernant les directives anticipées (22). Le dialogue concernant la fin de vie s avère être un exercice périlleux pour la plupart des médecins. Le «tabou de la mort» freine le dialogue, aussi bien du côté des patients que de celui des médecins, qui craignent de susciter l angoisse chez leurs patients, mais également de se confronter à leur propre mort (22). Les sujets âgés présentent un mouvement défensif face au vieillissement et à la mort, s exprimant par une ambivalence : ils oscillent entre déni et résignation. Lorsque ces mécanismes ne suffisent plus, ils évitent le sujet, ou invoquent le paternalisme médical, la responsabilité de leurs proches, ou s en remettent à Dieu (23). Ces réactions sont confirmées par l étude du centre d éthique clinique de l hôpital Cochin, au cours de laquelle 83 % des sujets interrogés de plus de 75 ans refusaient de se saisir de directives anticipées (14). Pourtant, selon un sondage IFOP de 2010, 75 % des interrogés estimaient qu on parlait plus facilement de la mort qu autrefois et que c était une bonne chose (24). Le dialogue sur la fin de vie nécessite une grande part de psychologie et une bonne maîtrise des techniques communicationnelles qui font défaut au cours des études médicales. D autres médecins n évoquent pas ces dispositifs en raison de leur mauvaise maîtrise du sujet (22,25), et du caractère chronophage de ce dialogue (12,16,22). Le caractère chronophage d une telle discussion effraye un certain nombre de médecins, alors qu aucune tarification particulière n est prévue pour ce type de consultations. 44

45 L accès à ces dispositifs pour les professionnels de santé était très limité, et aggravé par la culture de l oral. En effet, le médecin traitant et les proches n avaient parfois pas connaissance de l existence de tels documents (26). De plus, la culture de l oral des médecins les conduit à retranscrire dans le dossier du patient ce qui peut s apparenter à des directives orales, plutôt que de demander un écrit, cet acte s apparentant à une «contrainte administrative» (17). La personne de confiance est souvent confondue avec la personne à prévenir (13). Nicolas MEROT, dans sa thèse de médecine de 2011, mettait en évidence la place prépondérante «des protecteurs naturels» du patient, dont la place sociologique rendait la terminologie confuse (27). Lorsque la désignation était faite, un membre de la famille était choisi dans 96 % des cas (7), certains ne désignant personne par peur de «blesser» certains proches (28), et le médecin traitant estimant complexe d être désigné, risquant de provoquer des conflits avec la famille du patient, et l empêchant de «garder la distance nécessaire» (17,29). La fiabilité de la personne de confiance est discutée (16), notamment par l ignorance qu elle peut avoir de sa désignation, et parfois même des souhaits du patient (12). Une étude de 2011 révélait que 65.9 % des répondants suivraient l avis du médecin au risque de modifier la volonté du patient, s ils étaient désignés personne de confiance (30). La capacité de la personne de confiance à faire abstraction de ses propres émotions et conceptions de la vie est remise en question (29). Concernant les directives anticipées, il paraît complexe de se projeter dans le futur et encore plus d admettre et d anticiper sa propre finitude, essentiellement lorsqu aucune pathologie n est connue (25). L évolution des souhaits du patient, notamment par l évolution de la maladie ellemême et de l apparition des capacités d adaptation du patient à sa situation, pose le problème de la constance dans le temps des volontés émises par le patient (12,13,26). Il semble que la qualité de vie du patient au moment où il émet ses volontés, influe sur les conditions de vie qu il est prêt à accepter dans le futur (31). Le souci de la précision de l écrit est soulevé, alors que les patients mentionnent «pas d acharnement thérapeutique» sans savoir définir ce qu ils entendent par-là (14). Les directives rédigées sur papier libre risquent d être peu précises, alors que les directives «pré-remplies» peuvent refléter un manque de réflexion personnelle et d appropriation du dispositif par le patient (32). Pourtant, la rédaction de directives anticipées exige un haut niveau de précision afin de limiter au maximum le risque de mauvaise interprétation par les professionnels de santé. 45

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