Objectif: évaluation de la corrélation entre la présence du «disruption
|
|
- Andrée Lavallée
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1
2 Objectif: évaluation de la corrélation entre la présence du «disruption pattern» dans la zone ellipsoïde ( EZ ) dans un groupe de patients atteints de DMLA et le développement d une atrophie géographique ( AG ) 1 an après la première notification.
3 Méthode: une étude rétrospective a été réalisée depuis juin jusqu à novembre 2013 dans un group de patients atteints de DMLA sèche. Les yeux ayant un antécédant de néovaisseaux choroïdiens ont été exclus.
4 RPE RPE-fit ImageJ Sotware
5 Résultats: 37 yeux de 31 patients atteints de DMLA ont été inclus. Le pattern de la zone d interruption ellipsoïdale était corrélé à l AG à 1 an chez 2/3 des patients. Le disruption EZ et l élargissement de l AG (1 an après) ont une basse corrélation lors de l analyse au moyen des algorithmes REP-fit et RPE. La corrélation était plus forte en sélectionnant des yeux sans drusen pseudoréticulaires.
6
7
8
9 Conclusions: L interruption de la zone ellipsoïde pourrait être un bon indicateur pour la progression de l AG; toute fois, ce pattern ne permet pas de prédire l extension de l AG dans la population générale 1 an après, à l exception des patients avec drusen pseudoréticulaires.
10
11 Objectif: vérifier si l absence de la perfusion phériphèrique a l angiographie à la fuorésceine ( FA ) grand champ est associée à la gravité de la rétinopathie diabétique ( RD ) et à la présence de lesions surtout phériphériques ( LPPs ). Étude croisée, retrospective. Participants: soixante-huit yeux de 37 sujets diabétiques, avec ou sans rétinopathie diabétique et n ayant pas eu de photocoagulation laser panrétinienne.
12 Méthodes: les patients ont bénéficié d images grand champ ainsi qu une angiographie à la fluorésceine grand champ. Les modèles de l étude ETDRS sur le traitement précoce de la réthinopatie diabétique ont été numériquement superposés sur la zone du disque optique et de la macula ( images à grand champ stéréographiquement projetées). Les images à l angiographie à la fluorésceine grand champ ont été évaluées avec diffèrents index NPI pour quantifier les zones de perfusion ( NPA ) et de non perfusion (NPI).
13
14
15 Résultats : corrélation entre le NPA et NPI avec la gravité de la réthinopatie diabéthique et la présence de lésions phèriphériques.
16
17
18
19
20 Conclusions: l évaluation de NPA et NPI est réproductible, en suivant le protocole. Les deux paramètres sont fortement corrélés à la présence de LPPs et à la gravité de la RD, dès l instant où la présence de LPPs est associée à une augmentation du risque du développement de la RP. L identification clinique de LPPs pourrait se répercuter directement sur l extension des zones de non perfusion et ischémiques et celà pourrait être utile pour l évaluation du risque de progrèssion de la RD.
21
22 Objectif: Analyser l acuité visuelle ( AV ) avant et après avoir changé un protocole de traitement programmé dans l étude VIEW à la semaine 52 ( S 52 ). Multiples analyses à posteriori de quelques sous-groupes définis dans 2 études multicentriques, multinationales, double aveugle. Participants: deux mille quatre cent quarante-sept patients ayant une dégénérescence maculaire exsudative ( DMLA ). Méthodes: les patients ont été randomisés pour recevoir un traitement de Ranibizumab mensuel (0.5 mg), une injection intravitréenne mensuelle de mg d Aflibercept, une injection intravitréenne mensuelle de 2 mg d Aflibercept à cadence variable après trois mois, jusqu à la S52. De la S52 jusqu à la semaine 96 les patients ont reçu la première dose que comprenait le régime Pro Re Nata ( PRN ), avec des critères de retraitement basés sur la baisse de l acuité visuelle et les signes morphologiques de l activité de la maladie. Dans ce cas, l injection du produit est obligatoire chaque 12 semaines au moins.
23 Résultats : les mesures de l acuité visuelle et la tomographie à cohérence optique était indispensables à chaque examen à partir du baseline jusqu à a la S96. Les résultats qui dévaient être notifiés consistaient dans les changements de l acuitè visuelle et de l épaisseur centrale de la rétine. La variation des paramètres des patients qui ont terminé les deux années de l étude VIEW a été évaluée. Les dérnières dates des consultations ont été utilisées pour remplacer les dates manquantes des consultations intermédiaires..
24
25
26 Conclusions: Ces analyses suggérent qu il y a des sous-groupes de patients, pour lesquels les changements d acuité visuelle pendant la deuxième année de l étude VIEW sont moins stables par rapport à la prémière année. Pour ces patients, la semaines 52 répresente un tournant dans leur maladie. Même s il n est pas possible exclure d autres raisons liées aux caractéristiques de la DMLA sous-jacente, on peut dire que le changement du protocole de traitement peut être une explication plausible.
27
28 Objectif: comparer une stratégie thérapeutique de Treat and Extent ( TREX ) avec un traitement mensuel de Ranibizumab chez des patients naïfs avec dégénérescence maculaire exsudative ( DMLA ). Étude de phase IIIb, multicentrique, randomisée, controlée. Participants: soixante patients avec DMLA naïve ont été randomisés 1:2 pour un traitement mensuelle ou Treat and Extent.
29 Méthods: les patients de l étude ETDRS ayant une meilleure acuité visuelle (BCVA ) de 20/32 à 20/500 ( sur l échelle de Snellen ) ont été randomisés pour recevoir un traitement avec une injection mensuelle de 0.5 mg de Ranibizumab ou un traitement selon le protocole Treat and Extent. Le protocole TREX prévoyait un traitement d au moins 3 mois, jusqu à la résolution des signes cliniques et tomographiques d exsudation. L intervalle entre les consultations a été individualisé selon un protocole prospectif strict.
30 Les variation de BCVA ont été mesurées.
31
32
33
34 Conclusion: dans cette étude prospective, randomisée, contrôlée, le régime de traitement TREX a montré des résultats anatomiques et fonctionnels comparables au traitement avec injections mensuelles de Ranibizumab.
35
36 Objectif: comparer l efficacité et la sûreté obtenues avec des injections mensuelles de Ranibizumab pour le traitement de l oedème maculaire diabétique avec des injections faites avec une cadence supérieure a un mois. Étude randomisée; troisième phase de contrôle de l étude RIDE et RISE. Participants: cinq cent des 582 patients qui ont reçu les 36 injections mensuelles.
37 Tous les patients qui avaient participé à l étude OLE ont reçu une dose de 0.5 mg de Ranibizumab selon les critères de retraitement prédéfinis. Le traitement a été administré au moment de la découverte de l oedème maculaire à l OCT ou dans le cas de baisse de l acuité visuelle ETDRS au mois 36. Les patients ont été observé chaque jours, selon les besoins du traitement.
38 Résultats: Les paramètres qui ont été évalués sont: l incidence et la gravité des effets oculaires ou systémiques; le pourcentage des patients qui ont gagné 15 lettres ou plus ( BCVA ) par rapport à la baseline; les changements de la BCVA au mois 36; le volume fovéolaire moyen; la moyenne des changements du volume fovéolaire à partir du mois 36.
39 Une moyenne de 4.5 injections a été administrée pendant un follow up de 14.1 mois. Approximativement 20% des patients n ont pas eu besoin d être retraités, comme prévu par les critères du protocole pour le retraitement.
40
41
42
43 Conclusions: l amélioration de l acuité visuelle après 1 ou 3 ans de traitement mensuel avec Ranibizumab a été maintenue avec une réduction significative de la fréquence du traitement; quelques patients n ont pas eu besoin d autres injections supplémentaires. Les patients pour lesquels les injections de Ranibizumab ont été différées n ont pas atteint la même acuité visuelle des patients qui ont reçu le traitement mensuel.
44 Merci pour l attention
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Wilfried Minvielle
AJO/ BJO/ Retina Oct 2014 Par Service du Professeur E. Souied Ophtalmologie Centre Hospitalier Intercommunal de Creteil Objectif Déterminer l inocuité du laser diode micropulse transfovéolaire dans l'œdème
Plus en détailDégénérescence maculaire liée à l âge
Dégénérescence maculaire liée à l âge LUC-09-02/10-6087 - 1 - Dégénérescence maculaire liée à l âge Sommaire 1. Introduction 2. Qu est-ce que la dégénérescence maculaire liée à l âge? 3. Forme sèche et
Plus en détailOphtalmologie. L œdème maculaire diabétique : traitement actuel et options futures. Département. d ophtalmologie et des sciences de la vision,
Ophtalmologie Conférences scientifiques MD 211 Volume 9, numéro 2 COMPTE RENDU DES CONFÉRENCES SCIENTIFIQUES DU DÉPARTEMENT D OPHTALMOLOGIE ET DES SCIENCES DE LA VISION, FACULTÉ DE MÉDECINE, UNIVERSITÉ
Plus en détailVotre santé visuelle :
Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Votre santé visuelle : on peut faire plus! Droit d auteur 2007, INCA ISBN 978-0-921122-27-6 Titre : Votre santé visuelle
Plus en détailMise en place d un réseau régional de soins pour la Dégénérescence Maculaire Liée à l Age (DMLA) Projet Nord-DMLA
Mise en place d un réseau régional de soins pour la Dégénérescence Maculaire Liée à l Age (DMLA) Projet Nord-DMLA Fiche de présentation Intitulé du projet Nord-DMLA (Réseau de soins Ophtalmologique de
Plus en détailLa maladie de Stargardt
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Stargardt.
Plus en détailEstelle Marcault. 20/01/2012 URC Paris Nord 1
Estelle Marcault 20/01/2012 URC Paris Nord 1 Définition du Monitoring Surveillance de l avancement d un essai clinique Garantie que la conduite de l essai, les enregistrements et les rapports sont réalisés
Plus en détailDÉBAT LE LIVRE EN QUESTION... DOSSIER SANTÉ
VoirN 49_0 06/05/10 15:08 Page1 VOIR Lettre d Information Trimestrielle de la Fédération des Aveugles et Handicapés Visuels de France DÉBAT LE LIVRE EN QUESTION... DOSSIER SANTÉ DMLA : de nouveaux médicaments
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailUn comparatif de rétinographes non mydriatiques
Un comparatif de rétinographes non mydriatiques Xavier Zanlonghi L es rétinographes non mydriatiques (RNM), qui, dans leur conception d origine n étaient pas destinés aux ophtalmologistes, ont depuis fait
Plus en détailLa malvoyance d un instant n est pas celle d une vie
La malvoyance d un instant n est pas celle d une vie La malvoyance, un handicap grave Une personne malvoyante est une personne dont la vue est déficiente malgré le port de lunettes ou de lentilles, ou
Plus en détailVOIR FOCUS UN CERTAIN ART DE VIVRE. Guérir un jour la DMLA. Le feuilleton des ARN interférents. Aidez-nous à susciter des vocations DOSSIER SANTÉ
VOIR Lettre d Information Trimestrielle de la Fédération des Aveugles et Handicapés Visuels de France AOÛT 2008 N 42 DOSSIER SANTÉ Guérir un jour la DMLA PERSPECTIVES Le feuilleton des ARN interférents
Plus en détailDISPOSITIF D ABAISSEMENT DE L ÂGE DE LA RETRAITE POUR LES FONCTIONNAIRES AYANT COMMENCÉ TÔT LEUR ACTIVITE PROFESSIONNELLE
DISPOSITIF D ABAISSEMENT DE L ÂGE DE LA RETRAITE POUR LES FONCTIONNAIRES AYANT COMMENCÉ TÔT LEUR ACTIVITE PROFESSIONNELLE TEXTES Loi n 2004-1484 du 30 décembre 2004 de finances pour 2005 Article 119 :
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailLEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE
ordre des optométristes du québec LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE LES OPTOMÉTRISTES : LEUR FORMATION, LEURS SERVICES ET LEUR CADRE DE PRATIQUE VOIR QUI AU
Plus en détailLe rapport 8 de l étude AREDS
AREDS : au-delà du rapport 8 Résumé : L étude AREDS constitue un élément unique et incontournable sur la micronutrition en ophtalmologie. La taille importante de l échantillon de population étudié, le
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailService évaluation des actes professionnels
TRAITEMENT DES AGÉNÉSIES DENTAIRES MULTIPLES LIÉES AUX DYSPLASIES ECTODERMIQUES OU À D'AUTRES MALADIES RARES, CHEZ L ENFANT ATTEINT D OLIGODONTIE, AVEC POSE DE 2 IMPLANTS (VOIRE 4 MAXIMUM) UNIQUEMENT DANS
Plus en détailAlemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III
COMMUNIQUE DE PRESSE Alemtuzumab (Lemtrada * ) réduit significativement les rechutes dans la sclérose en plaques comparé à l interféron Bêta-1a dans une étude de Phase III - Présentation de nouvelles données
Plus en détailMise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick
Bulletin n 902 le 6 mars 2015 Mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick Cette mise à jour du formulaire pour les régimes de médicaments du Nouveau-Brunswick entre en
Plus en détailLe Comité Scientifique a traité les questions suivantes : «Association reconnue d utilité publique» - 1 -
- 1 - Prise de position de l'association Française pour l'etude du Foie (AFEF) sur les trithérapies (Peg-IFN + ribavirine + inhibiteur de protéase) dans la prise en charge des malades atteints d'hépatite
Plus en détailLa rétinite pigmentaire Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa
Rod-cone dystrophie Retinitis pigmentosa La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée
Plus en détailAssurance-maladie complémentaire (LCA)
CC (Conditions complémentaires) Visana Assurances SA Valable dès 2014 Assurance-maladie complémentaire (LCA) Traitements ambulatoires Sommaire Page 3 3 4 6 Assurance complémentaire des frais de guérison
Plus en détailLes Jeudis de l'europe
LE DIABETE SUCRE EST DEFINI EN DEHORS DE TOUT EPISODE DIABETOGENE : 1.26 g/l SOIT 7 mmol/l PREVALENCE DU DIABETE DE TYPE 2 EN FRANCE METROPOLITAINE 3.4 % AGE = 63 ANS HOMMES = 54% 25% > 75 ans OUTRE MER
Plus en détailVous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire
Vous allez être opéré(e) de Membrane Epimaculaire HÔPITAL LARIBOISIERE Service d'ophtalmologie 2 rue Ambroise Paré 75475 Paris cedex 10 tel : 33 (0)1 49 95 64 88 La rétine est constituée de cellules visuelles
Plus en détail«Les lombalgies chroniques communes à la consultation de rhumatologie du CHU de Fès»
2006-2007 Premier Prix : «La voie d abord postérieure mini-invasive modifiée de la hanche» Dr. Chbani Idrissi Badr Deuxième Prix «Éradication de l helicobacter pylori: quelle trithérapie en première intention?»
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailEstelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1
Estelle Marcault 06/02/2015 URC PARIS NORD 1 Définition du Monitoring Garantie que la conduite de l essai clinique, les enregistrements et les rapports sont réalisés conformément : Au protocole Aux Procédures
Plus en détailGarder la tête froide en cas de maladie. Assurance perte de salaire selon la LCA.
Garder la tête froide en cas de maladie. Assurance perte de selon la LCA. Désormais, tout devient plus simple. Avec Sympany. Sympany. L assurance qui fait la différence. Sympany est la première assurance
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailSéminaire du Pôle Santé
1 Séminaire du Pôle Santé Les télésoins à domicile au Québec représentent-ils une solution économiquement viable? Guy Paré, Ph.D., MSRC Titulaire de la Chaire de recherche du Canada en technologies de
Plus en détailGLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE
Texte de janvier 2007 GLAUCOME QUALITE DE VIE BASSE VISION APTITUDE CONDUITE - EXPERTISE Dr Xavier Zanlonghi (1, 2) 1 - Clinique Sourdille Centre Basse Vision 3 place Anatole France 44000 NANTES tél :
Plus en détailDiabète de type 1 de l enfant et de l adolescent
GUIDE - AFFECTION DE LONGUE DURÉE Diabète de type 1 de l enfant et de l adolescent Juillet 2007 Juillet 2007 1 Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service communication
Plus en détailConnaître. facultatif. le régime. de complémentaire. santé Pour les anciens salariés
1 Connaître le régime facultatif de complémentaire santé Pour les anciens salariés Préambule Le 12 août 2008, l Union des Caisses Nationales de Sécurité sociale et des organisations syndicales ont signé
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détaile-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé
e-santé du transplanté rénal : la télémédecine au service du greffé Professeur Michèle Kessler CHU de Nancy et réseau Néphrolor L une des applications de la télémédecine est la télésurveillance à domicile,
Plus en détailIngénieur c est bon pour la Santé? 10 ans de X-Biotech FM, 17 mars 2014
Ingénieur c est bon pour la Santé? 10 ans de X-Biotech FM, 17 mars 2014 biomérieux 50 ans. Pure player de diagnostic in vitro (#1 en microbiologie clinique, #1 en contrôle industriel). > 8 000 personnes
Plus en détailHôtel Plaza Québec Les hôtels JARO
Jeudi 9 avril 2015 + PROGRAMME POUR LES COMMANDITAIRES ET LES EXPOSANTS Hôtel Plaza Québec Les hôtels JARO (3031 boulevard Laurier à Québec) INCA Québec 3044, rue Delisle, Montréal (Québec) H4C 1M9 Tél.
Plus en détailLe backup LOGOSw (Backup interne)
Le backup LOGOSw (Backup interne) LOGOSw est fourni avec son propre programme de backup Backup très performant utilisant le format PKZIP PKZIP = format industriel de compression de données, actuellement
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailA. Protocole de recherche (ainsi que l abrégé en langue française)
Commission d'éthique cantonale (VD) de la recherche sur l'être humain Av. de Chailly, 23, 1012 Lausanne Courriel : secretariat.cer@vd.ch 5.12.2013/mz Recommandations pour la soumission d un dossier Tous
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailÀ CHAQUE BESOIN LE BON OUTIL
PRÉVOYANCE PROFESSIONNELLE À CHAQUE BESOIN LE BON OUTIL BUSINESSCOMPOSIT VOUS ÊTES AU CENTRE DE NOS PRÉOCCUPATIONS Nous voulons être la meilleure assurance de prévoyance de Suisse. Telle est la vision
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailCMU. Vaccins. Reste à charge. Nomenclature. Ticket modérateur. Parodontologie. Forfait 18 euros. Assurance Maladie Obligatoire
Glossaire de l assurance santé Ticket modérateur Ayant droit Assurance Maladie Obligatoire CMU Forfait 18 euros Vaccins Reste à charge Nomenclature Prestations Parodontologie Auxiliaires médicaux 1 Vous
Plus en détailLa recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique
2 èmes Assises de l Innovation Thérapeutique Paris, 05-11-2014 La recherche clinique au cœur du progrès thérapeutique Pr. Jean-François DHAINAUT Président du Groupement Inter-régional de la Recherche Clinique
Plus en détailDOSSIER : RECHERCHE et CONSEIL SCIENTIFIQUE À l aube d une ère nouvelle. poster. bilan 2007. formation. chiens-guides d aveugles.
juillet 2008 I n 35 bilan 2007 Affectation des dons formation Des collégiens apprenent le Braille chiens-guides d aveugles Selection et éducation enquête L observatoire de la transparence des associations
Plus en détailOUVERTURE ET MISE EN PLACE
OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite
Plus en détailLigne Dentaire. Système Dentaire Panoramique et 3D
Ligne Dentaire Système Dentaire Panoramique et 3D La Société Villa Sistemi Medicali est fière de présenter son nouveau panoramique Rotograph Evo 3D, un système d'imagerie dentaire avec fonctionnalité 3-en-1:
Plus en détailFormation en Implantologie
COURS EN IMPLANTOLOGIE Saint - Domingue (République Dominicaine) Pratique clinique sur patients dr.lebbar@lapostre.net +212(0) 5 37 68 32 03 COURS PRATIQUE EN IMPLANTOLOGIE À SAINT - DOMINGUE Pratiques
Plus en détailAspects juridiques de la transplantation hépatique. Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat
Aspects juridiques de la transplantation hépatique Pr. Ass. F. Ait boughima Médecin Légiste CHU Ibn Sina, Rabat CONTEXTE - La greffe, longtemps image expérimentale, est une thérapeutique éprouvée - Première
Plus en détailLogiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel
Logiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel Pascale COUSIN 2 ème Rencontres internationales de la gouvernance des risques en santé 7 juin 2010 Présentation SNITEM
Plus en détailCadre de référence. Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal
Cadre de référence Implantation de l Accueil Clinique au CIUSSS du Centre Est-de-l Île-de-Montréal Révisé en février 2015 1 TABLE DES MATIÈRES Abréviations utilisées. 3 Mise en contexte. 4 Buts et objectifs.
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailIschémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète.
Ischémie myocardique silencieuse (IMS) et Diabète. A propos d un cas clinique, sont rappelés: - les caractères cliniques et pronostiques de l IMS chez le diabétique, - la démarche de l identification de
Plus en détailCE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT
CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page
Plus en détailTraitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant
Traitement de l insuffisance rénale chronique terminale: Place de la greffe de donneur vivant Pr Maryvonne Hourmant Service de Néphrologie-Immunologie clinique. CHU de Nantes Le constat Coût du traitement
Plus en détailAPRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE. 3. Elaboration des recommandations de pratique. 4. Diffusion au personnel des recommandations.
PROCESSUS D ASSURANCE QUALITE MIS EN ŒUVRE APRES TOUT ACTE DE MALTRAITANCE 1. Identification des circonstances déclenchantes de l acte de maltraitance. 2. Définition des objectifs correctifs. 3. Elaboration
Plus en détaill implantologie basale
Plaquette n 17 6/11/08 11:04 Page 1 Apport de l implantologie basale dans les reconstructions implantaires fixes : une alternative aux greffes osseuses? Denis DOUGNAC-GALANT L omnipraticien est, dans son
Plus en détailProvisions pour risques croissants en santé SACEI 13 mars 2008
Provisions pour risques croissants en santé SACEI 13 mars 2008 Anne MARION A C T U A R I E L L E S actuarielles@actuarielles.com L aléa en santé Assurance vie : (décès) Survenance certaine à date aléatoire
Plus en détailÉtudes épidémiologiques analytiques et biais
Master 1 «Conception, évaluation et gestion des essais thérapeutiques» Études épidémiologiques analytiques et biais Roxane Schaub Médecin de santé publique Octobre 2013 1 Objectifs pédagogiques Connaitre
Plus en détailAssistant Manager. Vendeur spécialisé BTS Management des Unités Commerciales
Les offres d emploi décrites ci-dessous vous permettent de suivre une formation en alternance dans le cadre du contrat de professionnalisation. Vous pouvez ainsi acquérir de l expérience professionnelle
Plus en détailCapteurs pour la santé et l autonomie. Nouvelles approches technologiques. pour le suivi sur les lieux de vie
Capteurs pour la santé et l autonomie Nouvelles approches technologiques pour le suivi sur les lieux de vie Santé : nécessité de nouvelles approches Le nouveau contexte créé par les technologies de l information
Plus en détailAssurance perte de gain.
Assurance perte de gain. Une couverture d assurance pour les entreprises. Les collaborateurs sont le capital le plus précieux de toute entreprise. Ils contribuent à son succès économique et à une croissance
Plus en détailSyndromes coronaires aigus
CONGRES American College of Cardiology J.P. COLLET Service de Cardiologie, Hôpital Pitié-Salpêtrière, PARIS. Syndromes coronaires aigus L American College of Cardiology a encore montré le grand dynamisme
Plus en détail187 - ANOMALIES DE LA VISION D APPARITION BRUTALE. Ce qu il faut savoir
anomalies de la vision d apparition brutale 187 - ANOMALIES DE LA VISION D APPARITION BRUTALE Ce qu il faut savoir 1. Savoir énumérer les étiologies des baisses brutales de la vision : - en cas d œil blanc
Plus en détailFigure 1 Différents éléments influençant les mesures de seuil réalisées en champ visuel
LE CHAMP VISUEL DU SUJET NORMAL INFLUENCE DES METHODES D'EVALUATION Jacques CHARLIER U279 INSERM, LILLE INTRODUCTION La connaissance du champ visuel du sujet normal, de ses variations intra et interindividuelles
Plus en détailLes donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie!
Les donneurs d organes potentiels ne se retrouvent pas seulement dans les grands centres de traumatologie! Kathy Poulin Infirmière ressource au don d organes et de tissus 1 Taux et nombre de donneurs décédés
Plus en détailLES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et moins)
FÉDÉRATION DU PERSONNEL DE SOUTIEN DE L ENSEIGNEMENT SUPÉRIEUR GUIDE POUR LES MEMBRES DU PERSONNEL DE SOUTIEN DES COLLEGES LES PRESTATIONS D ASSURANCE TRAITEMENT (Pour une invalidité de 104 semaines et
Plus en détailRésistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux
14 ème forum SOS Hépatites, Lyon Résistance du virus de l hépatite C aux nouveaux traitements anti-viraux Dr. Sylvie LARRAT Laboratoire de Virologie CHU Grenoble Hépatite C chronique 180 millions de porteurs
Plus en détailLES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES
LES DIFFÉRENTS FORMATS AUDIO NUMÉRIQUES Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Compétence(s) spécifique(s) : Reconnaître des signaux de nature
Plus en détailAvis 17 octobre 2012
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 17 octobre 2012 BETESIL 2,25 mg, emplâtre médicamenteux Boite de 8 emplâtres médicamenteux en sachets (CIP : 34009 377 977 4 0) Laboratoire GENEVRIER DCI Code ATC (2012)
Plus en détailLe titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement. Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var
Le titrage de l AgHBs: un témoin du statut du patient et de la réponse au traitement Denis Ouzan Institut Arnault Tzanck, Saint-Laurent-du-Var Objectifs pédagogiques Connaitre les problèmes pratiques posés
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailCegid Business Paie. Mise à jour plan de paie 01/03/2014. Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025
Cegid Business Paie Mise à jour plan de paie 01/03/2014 Service d'assistance Téléphonique 0 825 070 025 Mise à jour plan de paie Mars 2014 Sommaire 1. MISE A JOUR DE MARS 2014... 4 Eléments nationaux...
Plus en détailIntroduction au métier d ARC. en recherche clinique
Introduction au métier d ARC en recherche clinique Déroulement d un projet de recherche clinique Idée Faisabilité Avant Pendant Après Protocole accepté Démarches réglementaires Déroulement de l étude Analyse
Plus en détailLes Applications industrielles et commerciales des cellules souches. Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises
Les Applications industrielles et commerciales s cellules souches Inserm Transfert Pôle Création d Entreprises Matthieu COUTET, Responsable du Pôle Jean-François RAX, Business Analyst 1 Plan Cellules souches
Plus en détailLogiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Université d été E-Santé Castres-Mazamet 4, 5, 6 juillet 2012 «Des supports numériques au service de l éducation thérapeutique des patients» Logiciels d éducation à la Nutrition et à l activité physique
Plus en détailFanny Cadoret. Voir aussi le décret n 2011-796 du 30 juin 2011, J.O. du 1-07-11
Fanny Cadoret Fanny Cadoret, correspondante locale du département de la Loire Atlantique (44). Je m appelle Fanny Cadoret et je suis correspondante locale pour La Loire-Atlantique. Cette année, le 3 février
Plus en détailTRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND
TRAITEMENTS MEDICAMENTEUX DU DIABETE DE TYPE 2 (Hors Insuline) MAREDIA Dr Marc DURAND PHYSIOPATHOLOGIE DE L HYPERGLYCEMIE DU DT2 Tube digestif Pancréas endocrine α β Tissu adipeux cellules β insuline cellules
Plus en détailINFORMATIQUE. WinBIZ & Excel. pour la gestion financière d entreprise. Votre partenaire formation continue
INFORMATIQUE WinBIZ & Excel pour la gestion financière d entreprise Votre partenaire formation continue www.virgile.ch tél. 021 921 19 62 info@virgile.ch IINFORMATIQUE Renseignements généraux Sommaire
Plus en détailSupplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique
Supplément du BDK 24 : Aide à la recherche bibliographique 1- Introduction 2- Les différentes études 3- Les bases de données 4- Comment chercher un article 5- Lecture critique d article Rédaction : Antoine
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailAssurance perte de gain pour les membres de MEDISERVICE VSAO-ASMAC.
Assurance perte de gain pour les membres de MEDISERVICE VSAO-ASMAC. Protégez-vous des conséquences économiques d une perte de gain par le biais du contrat-cadre pour les membres de MEDISERVICE VSAO-ASMAC.
Plus en détailLIVRE BLANC. Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités
Mise en œuvre d un programme efficace de gestion des vulnérabilités Sommaire Les défis de la gestion des vulnérabilités 3 Identification des principales faiblesses 3 Développement d un programme efficace
Plus en détailUN PATIENT QUI REVIENT DE LOIN. Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie
Abdelmalek AZZOUZ GRCI 29/11/2012 Service de Cardiologie A2 CHU Mustapha. Alger Centre. Algérie Mr A.A. âgé de 55ans. Facteurs de risque: Diabétique depuis 5ans. Antécédents: aucun. Fumeur 15paquets/année.
Plus en détailCahier des charges pour la mise en place de l infrastructure informatique
1 COMMUNE DE PLOBSHEIM Cahier des charges pour la mise en place de l infrastructure informatique Rédaction Version 2 : 27 /05/2014 Contact : Mairie de PLOBSHEIM M. Guy HECTOR 67115 PLOBSHEIM dgs.plobsheim@evc.net
Plus en détailBien voir pour bien conduire
Bien voir pour bien conduire Bien voir pour sa sécurité Que signifie avoir une bonne vue? Voir bien donne plus d assurance sur la route. Diverses études récentes prouvent qu une bonne vue et une perception
Plus en détailLes assurances sociales au quotidien II
François Wagner Les assurances sociales au quotidien II Assurances maladie et prévoyance professionnelle Assurance vieillesse et survivants Allocations familiales CIP-Notice abrégée de la deutsche Bibliothek
Plus en détail@-SOF. La newsletter des Orthoptistes. Le Syndicat des Orthoptistes de France vous informe Mai 2014 EDITO. Bonjour à tous et à toutes
@-SOF La newsletter des Orthoptistes Le Syndicat des Orthoptistes de France vous informe Mai 2014 EDITO Bonjour à tous et à toutes Vous trouverez ci-joint les dernières informations et toutes les démarches
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailLa recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux
La recherche clinique de demain ne se fera pas sans les paramédicaux Marc Beaumont, kinésithérapeute - 5ème journée inter régionale GIRCI - Tours, 3 juin 2015 Qu est ce que la recherche clinique? «une
Plus en détailLecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air
Lecture critique d article ou comment briller en société sans en avoir trop l air Réunion Inter-Corevih Basse Normandie - Bretagne Mont Saint-Michel Février 2014 Jean-Marc Chapplain Plan Actualité Dissection
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détail23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement
23. Interprétation clinique des mesures de l effet traitement 23.1. Critères de jugement binaires Plusieurs mesures (indices) sont utilisables pour quantifier l effet traitement lors de l utilisation d
Plus en détailQue représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil
Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions
Plus en détailLA CHIRURGIE DE LA CATARACTE. Comment se déroule la chirurgie de la cataracte?
LA CHIRURGIE DE LA CATARACTE Comment se déroule la chirurgie de la cataracte? Une intervention de routine En France, plus de 500 000 chirurgies de la cataracte sont réalisées chaque année. L intervention
Plus en détailInformations détaillées pour l emploi du calculateur TCF sur le 2 e pilier
Informations détaillées pour l emploi du calculateur TCF sur le 2 e pilier 1 er secteur: informations tirée de votre certificat d assurance Vous recevez chaque année, entre février et mars, un certificat
Plus en détail