Version finale de la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Version finale de la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise"

Transcription

1 Renvoi : Ligne directrice à l intention des banques / SPB / SFP / ACC / SAV / SSM / SAM / SPA Le 28 janvier 2013 Destinataires : Institutions financières fédérales (IFF) Objet : Version finale de la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise Le 7 août dernier, le BSIF a fait paraître une nouvelle version à l étude sa ligne directrice sur la gouvernance d entreprise en invitant les intéressés à en prendre connaissance et à lui faire part de leurs observations au plus tard le 14 septembre. Cet exercice de consultation nous a valu plus d une trentaine de commentaires. Je tiens à remercier tous ceux et celles qui nous ont fait part de leurs commentaires et suggestions. Après étude des commentaires, nous publions maintenant la version finale de cette ligne directrice, de même que, joint en annexe, un résumé des principaux commentaires reçus et l explication de leur prise en compte dans la version finale. Le BSIF s attend à ce que les institutions financières fédérales examinent leurs activités à la lumière de la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise et prennent les mesures nécessaires pour s y conformer. On leur demande de rendre compte par écrit à leur gestionnaire des relations des résultats de cet examen, ainsi que des mesures prévues, d ici le 1 er mai Les institutions devront conserver les documents relatifs à cet examen dans leurs dossiers et les produire au BSIF sur demande. Toutes les institutions financières fédérales devront se conformer intégralement à la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise d ici le 31 janvier À compter du printemps, le BSIF offrira aux dirigeants de petites et moyennes IFF des séminaires sur la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise. Le BSIF communiquera directement avec les conseils d administration des IFF pour leur donner des précisions. Le surintendant auxiliaire, Secteur de la réglementation, Mark Zelmer 255, rue Albert Ottawa, Canada K1A 0H2

2 Annexe Résumé des commentaires reçus pendant la consultation et réponses du BSIF Commentaires Commentaires généraux Adaptation à la réalité des IFF de petite taille Bien qu il soit indiqué au début de la ligne directrice que les pratiques en matière de gouvernance peuvent varier en fonction de la taille, de la structure du capital social et du profil de risque de l institution financières, plusieurs commentaires témoignent des craintes que soulève le fait que la ligne directrice et les attentes du BSIF s adresse aux grandes institutions et qu elle ne soit pas adaptée à la réalité des institutions de petite taille. Entre autres exemples d exigence notés par les commentateurs, citons : l existence d un agent principal de gestion des risques (APGR); la création d un cadre de gestion de la propension à prendre des risques (qui n est guère utile aux IFF à bureau et à produit uniques, qui ne sont pas des institutions de dépôts); la séparation des attributions du chef et président de la direction de celles du président du conseil d administration; la réalisation d examens par des tiers indépendants. La révision de la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise visait notamment à indiquer quels éléments peuvent être appliqués par les IFF avec plus de flexibilité, en fonction des circonstances qui leur sont propres. Par exemple : Dans le cas des institutions financières de petite taille et peu complexes et de petite taille, le conseil d administration plénier ou un de ses comités peut faire office de comité de gestion des risques. Le cas échéant, ce comité devra réunir, à titre collectif, les compétences et le savoir requis pour assurer une supervision efficace de la gestion des risques et avoir le temps pour le faire; les IFF ne sont pas tenues d avoir un APGR désigné. Toutefois, elles doivent désigner un cadre supérieur chargé de la surveillance de tous les risques importants. Cette fonction peut être exercée par un autre dirigeant de l IFF, qui assume ainsi un double rôle. L essentiel est qu il y ait dans l entreprise un cadre supérieur tenu de rendre des comptes au conseil d administration et à la haute direction à l égard des mêmes fonctions que celles d un APGR. Nous préférons que le rôle du président du conseil d administration soit séparé de celui du chef et président de la Janvier 2013 Page 2 de 9

3 La notion d autonomie Des commentateurs ont fait savoir que la ligne directrice devrait être plus claire et plus précise au sujet de la signification d autonomie ou d indépendance. De plus, certains ont indiqué qu il n était pas clair si la signification d autonomie ou d indépendance différait d une partie de la ligne directrice à une autre. Par exemple, la signification d autonomie dans le contexte du bon fonctionnement du conseil d administration diffère-t-elle de celle s appliquant à l ensemble des membres du comité d audit? Application de la ligne directrice aux filiales Des commentateurs ont fait observer que, selon la taille de la filiale et l étendue et la complexité de ses activités, la société mère pouvait, de façon appropriée et efficace et dans certaines circonstances, exercer certaines des fonctions énoncées dans la ligne directrice. Par exemple, il y a des situations dans lesquelles il n est ni nécessaire ni approprié pour la filiale direction, car cela est essentiel au maintien de l autonomie du conseil. Cela vaut particulièrement pour les institutions financières, et cette séparation existe dans plusieurs normes internationales. Par ailleurs, compte tenu des risques que les IFF prennent, nous nous attendons à ce chacune d entre elles instaure un cadre de gestion de la propension à prendre des risques adapté à sa taille et à l étendue de ses activités. Nous estimons que la notion d autonomie est bien comprise, surtout dans le milieu juridique, et qu elle est beaucoup utilisée dans les normes internationales. Si nous donnions une définition de la notion d autonomie ou d indépendance, nous courrions le risque que les IFF n effectuent qu un simple exercice de conformité (c.-à-d. une vérification en regard d une liste de critères du BSIF) et qu elles ne respectent pas nécessairement l esprit de parfaite indépendance. Cela dit, la ligne directrice a été modifiée afin que la notion d autonomie ou d indépendance soit utilisée de manière sélective et appropriée (au-delà de la mention d autonomie du conseil d administration). L Annexe B qui figurait dans la version provisoire de la ligne directrice n avait pas pour but de modifier les pratiques courantes des institutions financières (cette section était tirée textuellement de la version 2003 de la ligne directrice sur la gouvernance d entreprise). Janvier 2013 Page 3 de 9

4 d avoir son propre comité de gestion des risques, ni d établir une distinction entre le rôle du chef et président de la direction et celui du président du conseil d administration. Par ailleurs, des commentateurs ont fait remarquer que c est généralement la société mère qui possède un cadre de gestion de la propension à prendre des risques et qui assume le rôle d APGR. Conseil d administration Usage du terme «ensure» dans la version anglaise de la ligne directrice Des commentateurs ont fait remarquer que, en ce qui concerne les devoirs du conseil d administration, le terme «ensure» utilisé à plusieurs reprises dans la version anglaise du texte était trop fort, car il confond le rôle du conseil d administration avec celui de la haute direction. En matière de supervision, le conseil d administration ne peut jamais veiller à ce que des actions soit prises ou être garant de résultats, ce qui correspond à la notion de ensure, en anglais. Durée du mandat des administrateurs et autonomie Plusieurs commentateurs désapprouvent l affirmation selon laquelle les administrateurs de longue date ne sont plus considérés comme étant indépendants. Ils ont fait remarquer par ailleurs que la plus grande partie, sinon la totalité, des institutions financières avaient instauré des limites pour la durée du mandat des administrateurs ou une politique en la matière. Quoi qu il en soit, pour plus de clarté, nous avons supprimé l Annexe B et l avons remplacée par une section abrégée qui figure dans le corps du texte. Cette nouvelle section insiste sur le fait que «le conseil d administration de la société mère doit déterminer la structure des conseils d administration des filiales qui permet le mieux d assurer une supervision efficace de leurs activités.» Nous avons supprimé le terme «ensure» dans la totalité de la ligne directrice. Nous nous attendons plutôt à ce que le conseil d administration «obtienne l assurance de la haute direction» (seek assurances from Senior Management) ou «mette en place des processus visant à valider périodiquement les assurances fournies par la haute direction» (establish processes to periodically assess the assurances provided to it by Senior Management). Bien que de nombreuses institutions aient établi des limites pour la durée du mandat des administrateurs ou une politique en la matière, le BSIF estime que la durée du mandat de l administrateur est l un des facteurs dont l IFF devrait tenir compte, s il y a lieu, lors de l élaboration de sa politique sur l autonomie des membres du conseil d administration. Un grand nombre de pays ont prévu des limites explicites relativement à la durée du mandat des administrateurs et à leur Janvier 2013 Page 4 de 9

5 Examens par des tiers indépendants Selon de nombreux commentateurs, il existe plusieurs problèmes d ordre pratique relativement aux examens par des tiers indépendants : le manque d examinateurs qualifiés, du fait que la nature, les activités, les risques et la gouvernance de chaque IFF sont uniques. Certains examinateurs pourraient être portés à faire preuve de zèle lorsqu ils appliquent aux IFF de petite taille les pratiques de gouvernance considérées comme étant «exemplaires» pour les grandes IFF complexes; l absence de critères objectifs et clairs et de normes mesurables, que ce soit dans la ligne directrice ou dans les normes sectorielles établies. L examinateur évalue-t-il les pratiques de gouvernance mises par écrit ou l efficacité globale? Le degré de subjectivité serait grand; l examen par un tiers indépendant des fonctions de supervision (la gestion des risques, par exemple) fait double emploi avec l examen des contrôles internes que réalisent les auditeurs internes et externes ainsi que l actuaire indépendant; l incertitude et le risque juridique qui peut survenir lorsque le conseil d administration désapprouve un rapport d examen défavorable émanant d un tiers. indépendance (p. ex., R.-U., Espagne), mais nous n avons pas adopté cette approche. Nous avons révisé la ligne directrice pour indiquer que «le conseil d administration de l IFF devrait procéder périodiquement à une autoévaluation de l efficacité de ses pratiques et de celles de ses comités, quelquefois avec l aide de conseillers externes indépendants. L étendue et la fréquence de cette collaboration de l extérieur doivent être établies par le conseil d administration.» Nous avons aussi modifié la ligne directrice pour préciser que, en ce qui concerne l efficacité des fonctions de supervision : «De temps à autre, dans le cadre de son évaluation, il [le conseil d administration] effectuera une analyse comparative de ces fonctions ou de leurs processus avec l aide de conseillers externes indépendants.» Par ailleurs, on a aussi noté que la ligne directrice n indiquait Janvier 2013 Page 5 de 9

6 pas clairement si le BSIF s attendait à une opinion définitive, un rapport comparatif ou une évaluation conceptuelle. Intermédiaire entre le conseil d administration et les fonctions de supervision Selon certains commentateurs, on ne sait pas très bien comment et pourquoi le conseil d administration «doit approuver et jouer un rôle actif dans les activités des fonctions de supervision». Si l on ajoute à cela le fait qu il doit intervenir en matière de rémunération et de gestion du rendement, cela donne à penser que le conseil d administration doit dépasser son rôle de gérance et agir comme gestionnaire opérationnel des fonctions de supervision. Nous avons supprimé cette phrase de la ligne directrice, laquelle indique maintenant que le conseil d administration devrait approuver le mandat, les ressources et les budgets des fonctions de supervision et, s il y a lieu, la nomination, l évaluation du rendement et la rémunération des dirigeants de ces fonctions. Gouvernance des risques Cadre de gestion de la propension à prendre des risques Des commentateurs ont fait valoir que le cadre de gestion de la propension à prendre des risques ne devrait pas prendre en compte l ensemble des risques. L analyse de tous les types de risques fait partie intégrante du Programme interne d évaluation de l adéquation des fonds propres ou du dispositif ORSA, et elle peut être utile lorsqu il s agit de formuler le cadre. Selon certains commentateurs, le cadre de gestion de la propension à prendre des risques devrait être axé sur les risques majeurs susceptibles d avoir une incidence considérable sur l IFF. Comité de gestion des risques et indépendance Des commentateurs ont fait remarquer qu il était difficile de recruter des administrateurs ayant une connaissance suffisante Nous avons modifié la ligne directrice pour indiquer que le cadre de gestion de la propension à prendre des risques doit prendre en compte les «risques importants» auxquels l IFF est exposée, et non l ensemble des risques. Nous avons modifié la ligne directrice pour indiquer que tous les membres du comité de gestion des risques de l IFF doivent être Janvier 2013 Page 6 de 9

7 de la gestion des risques et qui comprennent bien les types de risques auxquels l IFF est exposée (l une des principales compétences des membres du comité de gestion des risques) et qui sont en plus indépendants. indépendants (p. ex., les administrateurs d entreprises liées sont éligibles), ce qui est cohérent avec les normes internationales. Selon eux, certains des administrateurs les plus compétents du comité de gestion des risques appartiennent au groupe et ils sont très utiles du fait qu ils ont une connaissance approfondie des activités de l IFF. Pour certaines IFF, le comité de gestion des risques est le seul comité du conseil d administration sur lequel peuvent siéger des administrateurs qui ne sont pas autonomes. Rémunération de l APGR Mise à part la mention des Principles for Compensation du Conseil de stabilité financière, des commentateurs ont fait valoir que la ligne directrice devrait indiquer de façon explicite que la rémunération de l APGR ne doit pas être liée aux aspects de la production de recettes de l IFF. L APGR et l actuaire désigné Des commentateurs ont noté que, à la différence des autres institutions financières, qui peuvent effectuer des opérations d intermédiation financière et être ainsi exposées à une grande volatilité de leurs actifs et passifs, le principal risque auquel sont exposées les sociétés d assurances multirisques est celui de l insuffisance de leurs réserves. C est pourquoi l actuaire désigné d une société d assurances multirisques devrait être autorisé à exercer les fonctions d APGR. Nous avons modifié la ligne directrice pour indiquer que «la rémunération de l APGR [ ] ne doit pas être liée à la performance de secteurs d activité spécifiques de l IFF.» Elle peut toutefois être liée à la performance globale de l IFF. Nous avons modifié la ligne directrice afin d y inclure la note de bas de page 13, qui indique que «le rôle d APGR peut être exercé par un autre dirigeant de l IFF, qui assume ainsi un double rôle. Certaines IFF n ont pas d AGPR en tant que tel, mais elles savent néanmoins qui doit rendre des comptes au conseil d administration et à la haute direction à l égard de ces mêmes fonctions.» Janvier 2013 Page 7 de 9

8 Plan de relève de l APGR La version provisoire de la ligne directrice indique qu il incombe au comité de gestion des risques de superviser la planification de la relève de l APGR et d autres postes clés au sein de la fonction de gestion des risques. Des commentateurs ont fait valoir que, chez la plupart des IFF, cette fonction est exercée par le comité de gestion des ressources humaines ou l équivalent, et non par le comité de gestion des risques. Rapports hiérarchiques directs Des commentateurs ont proposé que nous supprimions la mention de «rapport hiérarchique direct». On s accorde généralement pour dire que les dirigeants des fonctions de contrôle doivent avoir un accès direct aux comités concernés du conseil d administration. Toutefois, s ils devaient relever des comités et n avoir qu un rapport hiérarchique administratif avec le chef et président de la direction, leur capacité de travailler efficacement en tant que membre de l équipe de gestion serait compromise. Assurance de l objectivité de l analyse de la part de l APGR Selon certains commentateurs, il n est pas raisonnable que le conseil d administration et le comité de gestion des risques doivent obtenir l assurance de l APGR de l objectivité de l analyse qu il est censé superviser. Cette assurance devrait être fournie par le chef de l audit interne en sa qualité de partie sans lien de dépendance. Nous avons modifié la ligne directrice pour indiquer que le conseil d administration (soit le conseil d administration plénier ou l un de ses comités auquel il a délégué cette fonction) doit approuver, s il y a lieu, les plans de relève des dirigeants des fonctions de supervision. Nous avons modifié la ligne directrice pour indiquer que les dirigeants des fonctions de supervision «devraient aussi pouvoir consulter librement le conseil d administration ou le comité concerné du conseil (le comité d audit ou de gestion des risques, par exemple) et, à des fins fonctionnelles, entretenir des rapports directs avec eux», ce qui est cohérent avec les normes internationales. Le BSIF ne voulait pas laisser entendre que l APGR se substitue au chef de l audit interne. Cependant, son rôle consiste à évaluer l information qui porte sur le risque ou les analyses de risques que produisent les secteurs d activités, et d émettre une opinion à leur sujet à l intention du conseil d administration. Janvier 2013 Page 8 de 9

9 Rôle du comité d audit Autonomie du comité d audit La ligne directrice propose que les membres du comité d audit n aient aucun lien de dépendance. Or, des commentateurs ont fait remarquer que les lois régissant les institutions financières exigent que le comité d audit soit composé d administrateurs qui ne sont pas des employés de l IFF et dont la plupart ne sont pas «affiliés» à l institution. Des commentateurs souhaitent que la ligne directrice du BSIF soit cohérente avec la Loi sur les banques, la Loi sur les sociétés d assurances, etc. Le passage de la ligne directrice qui exigeait que les membres du comité d audit n aient aucun lien de dépendance a été supprimé afin de se conformer aux lois fédérales. Toutefois, l absence de liens de dépendance des membres du comité d audit est une pratique exemplaire qui a cours à l échelle internationale et à laquelle se plie déjà nombres d IFF, ce à quoi souscrit le BSIF. Normes d audit Des commentateurs ont noté que les Normes canadiennes d audit (NCA) comportaient des exigences relatives aux communications de l auditeur avec le conseil d administration et que celles-ci étaient complètes. Selon certains, les critères énumérés dans le projet de ligne directrice semblent être plus exigeants et plus spécifiques que les critères des NCA. Les critères énumérés relativement aux communications de l auditeur avec le conseil d administration sont conformes à plusieurs pratiques exemplaires, et ils se veulent plus stricts que ceux des NCA du fait que le secteur des institutions financières se distingue des autres secteurs de l économie. Janvier 2013 Page 9 de 9

NOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité

NOTE D INFORMATION. Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Date : Le 28 octobre 2013 NOTE D INFORMATION Destinataires : Institutions financières fédérales Objet : Conseils sur l autoévaluation en matière de cybersécurité Les cyberattaques sont de plus en plus

Plus en détail

Note de mise en œuvre

Note de mise en œuvre Note de mise en œuvre Objet : appliquant l approche standard ou une AMA Catégorie : Fonds propres N o : A & A-1 Date : Mai 2006 I. Introduction L objectif de cette note de mise en œuvre est de présenter

Plus en détail

Cadre de surveillance

Cadre de surveillance Cadre de surveillance Bureau du surintendant des institutions financières 255, rue Albert, 16 e étage, Ottawa, ON K1A 0H2 Téléphone : 613-990-7788 Télécopieur : 613-952-8219 N o sans frais : 1 800-385-8647

Plus en détail

CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.

CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. Adoptée le 28 septembre 2009 (Modification la plus récente : novembre 2013) La présente charte

Plus en détail

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration

Bureau du surintendant des institutions financières. Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Bureau du surintendant des institutions financières Audit interne des Services intégrés : Services de la sécurité et de l administration Avril 2014 Table des matières 1. Contexte... 3 2. Objectif, délimitation

Plus en détail

Guide de travail pour l auto-évaluation:

Guide de travail pour l auto-évaluation: Guide de travail pour l auto-évaluation: Gouvernance d entreprise comité d audit Mars 2015 This document is also available in English. Conditions d application Le Guide de travail pour l auto-évaluation

Plus en détail

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification

CNAC. Appel à commentaires. Missions d examen. préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Appel à commentaires Missions d examen préparé par le Conseil des normes d audit et de certification Date limite de réception des commentaires : le 11 avril 2011 CNAC APPEL À COMMENTAIRES MISSIONS D EXAMEN

Plus en détail

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES

ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES PPB-2006-8-1-CPA ANNEXE A LA CIRCULAIRE SUR LE CONTROLE INTERNE ET L AUDIT INTERNE TABLE DES MATIERES Introduction 0. Base légale 1. Le contrôle interne 1.1. Définition et éléments constitutifs 1.2. Mesures

Plus en détail

Aperçu des 37 principes directeurs

Aperçu des 37 principes directeurs Département fédéral des finances DFF Administration fédérale des finances AFF Gouvernement d entreprise de la Confédération Aperçu des 37 principes directeurs Principe n o 1 En principe, il convient d

Plus en détail

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS

ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS Le 12 septembre 2013 Introduction ASSOCIATION CANADIENNE DES COURTIERS DE FONDS MUTUELS PRINCIPE DIRECTEUR N O 2 DE L ACFM NORMES MINIMALES DE SURVEILLANCE DES COMPTES Le présent Principe directeur fixe

Plus en détail

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance

Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Compte rendu de l examen par le BSIF des coefficients du risque d assurance Le présent document précise encore davantage les données et la méthodologie utilisées par le BSIF pour calculer les marges pour

Plus en détail

CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES

CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Index A n o 9 CESSATION DES OPÉRATIONS D ASSURANCE AU CANADA DES SOCIÉTÉS D ASSURANCES ÉTRANGÈRES Fondement législatif Articles 650, 651 et 654 de la Loi sur les sociétés d assurances (la «Loi») Définitions

Plus en détail

Politique...2 Procédures...2 Limites...3 Approbation...3 Communication de l'information au Bureau...4 Annexe...5

Politique...2 Procédures...2 Limites...3 Approbation...3 Communication de l'information au Bureau...4 Annexe...5 Bureau du surintendant des institutions financières Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2

Plus en détail

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE

CHAPITRE 4. APPLICATION DE LA NOTION D ETABLISSEMENT STABLE COMMERCE ELECTRONIQUE ET IMPOTS @ OCDE CLARIFICATION POUR L APPLICATION DE LA DÉFINITION D ÉTABLISSEMENT STABLE DANS LE CADRE DU COMMERCE ÉLECTRONIQUE : MODIFICATIONS DES COMMENTAIRES SUR L ARTICLE 5 22

Plus en détail

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées

Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Ligne directrice Objet : Ligne directrice sur les simulations de crise à l intention des régimes de retraite assortis de dispositions à prestations déterminées Date : Introduction La simulation de crise

Plus en détail

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture

Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 510, Audit initial Soldes d ouverture Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil des normes internationales

Plus en détail

Economical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques

Economical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques COMMUNIQUÉ DE PRESSE Economical présente un aperçu du projet de règlement sur la démutualisation des sociétés d assurances multirisques Processus à quatre étapes avec une participation importante des souscripteurs

Plus en détail

Lignes directrices à l intention des praticiens

Lignes directrices à l intention des praticiens Janvier 2005 Lignes directrices à l intention des praticiens Visiter notre site Web : www.cga-pdnet.org/fr-ca Le praticien exerçant seul ou au sein d un petit cabinet et l indépendance Le Code des principes

Plus en détail

Limites régissant les engagements importants

Limites régissant les engagements importants Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :

Plus en détail

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi?

En quoi le chapitre 1591 est-il important pour moi? Alerte info financière NCECF MAI 2015 Chapitre 1591, «Filiales» En septembre 2014, le Conseil des normes comptables (CNC) a publié le chapitre 1591, «Filiales», de la Partie II (Normes comptables pour

Plus en détail

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe

Exposé-sondage. Novembre 2014. Projet de prise de position conjointe Exposé-sondage Projet de prise de position conjointe Prise de position conjointe sur les communications avec les cabinets d avocats au sujet des réclamations en cours et des réclamations éventuelles lors

Plus en détail

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs

Appendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme

Plus en détail

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION

Obtenir le titre de prêteur. agréé. La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION Obtenir le titre de prêteur agréé La clé qui ouvre de nouvelles portes AU CŒUR DE L HABITATION La SCHL aide les Canadiens à répondre à leurs besoins en matière de logement. En tant qu autorité en matière

Plus en détail

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications

Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications Annexe au document intitulé Communication relative à certaines questions de politique concernant le Bureau de Procureur : renvois et communications La présente annexe au document de politique du Procureur

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation

Plus en détail

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques

Outil d autoévaluation LPRPDE. Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques Outil d autoévaluation LPRPDE Loi sur la protection des renseignements personnels et les documents électroniques table des matières Utilité de cet outil... 3 Utilisation de cet outil... 4 PARTIE 1 : Guide

Plus en détail

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance

Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 260, Communication avec les responsables de la gouvernance Le présent document a été élaboré et approuvé par le

Plus en détail

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018

Exposé-sondage. Conseil des normes actuarielles. Avril 2013. Document 213018 Exposé-sondage Révisions aux Normes de pratique applicables aux régimes de retraite Hypothèses pour les évaluations de liquidation hypothétique et de solvabilité Conseil des normes actuarielles Avril 2013

Plus en détail

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada

Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Conseil de recherches en sciences humaines du Canada Annexe à la Déclaration de responsabilité de la direction englobant le contrôle interne en matière de rapports financiers (non vérifiée) Exercice 2011-2012

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires

Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires Canadian Institute of Actuaries Institut Canadien des Actuaires MÉMOIRE DE L INSTITUT CANADIEN DES ACTUAIRES DESTINÉ AU SURINTENDANT DES INSTITUTIONS FINANCIÈRES DE L ALBERTA, MINISTÈRE DES FINANCES DE

Plus en détail

Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes

Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes Principes anti-blanchiment de Wolfsberg pour les banques correspondantes 1 Préambule Le groupe de Wolfsberg d établissements financiers internationaux 1 s est accordé sur ces Principes qui constituent

Plus en détail

MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA

MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA 24 septembre 2013 MANDAT DU COMITÉ DE PLACEMENT DU FONDS DE PENSION BANQUE DU CANADA 1. Introduction La Banque du Canada (la «Banque») est l administrateur du Régime de pension de la Banque du Canada (le

Plus en détail

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013

Banque Zag. Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation. 31 décembre 2013 Banque Zag Troisième pilier de Bâle II et III Exigences de divulgation 31 décembre 2013 Le présent document présente les informations au titre du troisième pilier que la Banque Zag (la «Banque») doit communiquer

Plus en détail

IFAC Board. Prise de position définitive. Mars 2012. Norme internationale d audit (ISA)

IFAC Board. Prise de position définitive. Mars 2012. Norme internationale d audit (ISA) IFAC Board Prise de position définitive Mars 2012 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 315 (révisée), Compréhension de l entité et de son environnement aux fins de l identification et de l évaluation

Plus en détail

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions

Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions Table des matières: Guidelines Fonds de Pensions TABLE DES MATIERES... 1 INTRODUCTION... 2 1 FINANCEMENT ET FINANCEMENT MINIMUM... 3 1.1 FINANCEMENT... 3 1.2 FINANCEMENT DE PLAN... 3 1.3 FINANCEMENT MÉTHODE

Plus en détail

N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010

N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010 Ligne directrice Objet : (entreprises d assurance-vie) Catégorie : Comptabilité N o : D-1A Version initiale : décembre 1997 Révision : juillet 2010 Introduction La présente ligne directrice énonce les

Plus en détail

CADRE DE TRAVAIL. Mai 2008. Autorité des marchés financiers - Mai 2008 Page 1

CADRE DE TRAVAIL. Mai 2008. Autorité des marchés financiers - Mai 2008 Page 1 CADRE DE TRAVAIL Principes à suivre pour les coopératives de services financiers adoptant une approche de notation interne pour le risque de crédit et / ou une approche standard ou de mesure avancée pour

Plus en détail

EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION

EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION I. COMPOSITION ET FONCTIONNEMENT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION 1. Le Comité de la vérification (le «comité»)

Plus en détail

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES

3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES 3. NORMES RELATIVES A LA CERTIFICATION DES COMPTES ANNUELS CONSOLIDES Considérant que la révision des comptes consolidés doit s exercer conformément aux normes générales de révision; que ses caractéristiques

Plus en détail

Introduction... 3. Objectif et portée de la vérification... 3. Opinion de la Vérification interne... 3

Introduction... 3. Objectif et portée de la vérification... 3. Opinion de la Vérification interne... 3 Assurance et cautionnement de contrats (CIB) Octroi de crédit, souscription de prêts, facturation, recouvrement et surveillance Rapport de vérification final Rapport n o 12/13 17 février 2014 Diffusion

Plus en détail

Opérations entre apparentés

Opérations entre apparentés exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Opérations entre apparentés Septembre 2012 DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES COMMENTAIRES : LE 21 NOVEMBRE 2012

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la gouvernance ministérielle. Rapport final BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ Vérification de la gouvernance ministérielle Division de la vérification et de l évaluation Rapport final Le 27 juin 2012 Table des matières Sommaire... i Énoncé d assurance...iii

Plus en détail

États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS

États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS États financiers de INSTITUT CANADIEN POUR LA SÉCURITÉ DES PATIENTS Au 31 mars 2014 Deloitte S.E.N.C.R.L./s.r.l. 2000 Manulife Place 10180 101 Street Edmonton (Alberta) T5J 4E4 Canada Tél. : 780-421-3611

Plus en détail

Ligne directrice. Critères de prêts commerciaux. N o : E-2 Date : Juin 1992

Ligne directrice. Critères de prêts commerciaux. N o : E-2 Date : Juin 1992 Bureau du surintendant des Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2 Ligne directrice Objet :

Plus en détail

Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision

Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision Compte rendu des délibérations, y compris les motifs de décision relativement à Demandeur Ontario Power Generation Inc. Objet Lignes directrices pour l évaluation environnementale (portée du projet et

Plus en détail

CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.

CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,

Plus en détail

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE

ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE ÉNONCÉ DE PRINCIPES LE COMMERCE ÉLECTRONIQUE DES PRODUITS D ASSURANCE Le présent document reflète le travail d organismes de réglementation membres du CCRRA. Les opinions qui y sont exprimées ne doivent

Plus en détail

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés)

Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) Nouvelle norme de révision: Contrôle du rapport de gestion sur les comptes annuels (ou consolidés) INTRODUCTION Historique 1. Le 6 octobre 1989, le Conseil de l IRE a approuvé une recommandation de révision

Plus en détail

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE Direction générale adjointe Planification, qualité et mission universitaire Coordination de l enseignement et de la recherche 1250, rue Sanguinet, Montréal, QC H2X 3E7 Tél. : (514) 527-9565 / Téléc. :

Plus en détail

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011

Le Conseil canadien des consultants en immigration du Canada États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Le Conseil canadien des consultants États financiers Pour la période du 18 février 2011 (date de création) au 30 juin 2011 Contenu Rapport d un vérificateur indépendant 2 États financiers Bilan 3 État

Plus en détail

Introduction FISCALITÉ

Introduction FISCALITÉ Introduction 51 Impôt sur le revenu 53 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une filiale 54 Exercer une activité au Canada par l intermédiaire d une succursale 56 Mesures de contrôle des

Plus en détail

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT

COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT COMMANDITÉ DE BROOKFIELD RENEWABLE ENERGY PARTNERS L.P. CHARTE DU COMITÉ D AUDIT Février 2015 Un comité du conseil d administration (le «conseil») du commandité (le «commandité») de Brookfield Renewable

Plus en détail

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative

Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Le 28 mars 2006 Commentaires sur le projet de lignes directrices (G3) pour l évaluation de la durabilité de la Global Reporting Initiative Nous sommes heureux d avoir l occasion de présenter nos commentaires

Plus en détail

Carrier Enterprise Canada, L.P.

Carrier Enterprise Canada, L.P. Date : DEMANDE DE CRÉDIT Nom du demandeur (Si le demandeur est une société par actions ou une S.A.R.L., inscrire la dénomination indiquée dans les STATUTS CONSTITUTIFS) Énumérer toutes les appellations

Plus en détail

Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture

Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture Proposition liée à l utilisation des débits intermembres Comprend un cadre de travail proposé pour la correction des erreurs de paiement de facture juillet 2012 SOMMAIRE 3 I. CONTEXTE ET PRÉSENTATION 6

Plus en détail

L Audit Interne vs. La Gestion des Risques. Roland De Meulder, IEMSR-2011

L Audit Interne vs. La Gestion des Risques. Roland De Meulder, IEMSR-2011 L Audit Interne vs. La Gestion des Risques Roland De Meulder, IEMSR-2011 L audit interne: la définition L audit interne est une activité indépendante et objective qui donne à une organisation une assurance

Plus en détail

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL

E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL E-COMMERCE VERS UNE DÉFINITION INTERNATIONALE ET DES INDICATEURS STATISTIQUES COMPARABLES AU NIVEAU INTERNATIONAL Bill Pattinson Division de la politique de l information, de l informatique et de la communication

Plus en détail

L Espagne est un pays qui bénéficie des

L Espagne est un pays qui bénéficie des Accords préalables de prix "intra- groupe" avec l'administration fiscale : une nouvelle frontièr ontière de l'audit? José Maria Bove L Espagne est un pays qui bénéficie des investissements en provenance

Plus en détail

Entente de reconnaissance mutuelle. entre. l Institute of Actuaries of Australia. l Institut canadien des actuaires

Entente de reconnaissance mutuelle. entre. l Institute of Actuaries of Australia. l Institut canadien des actuaires Entente de reconnaissance mutuelle entre l Institute of Actuaries of Australia et l Institut canadien des actuaires Entente de reconnaissance mutuelle TABLE DES MATIÈRES 1. CONTEXTE 1 2. CONDITIONS CONVENUES

Plus en détail

LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ

LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ Avril 2009 Table des matières Préambule... 3 Introduction... 4 Champ d application... 5 Entrée en vigueur et processus de mise à jour... 6 1. Cadre de gestion de la conformité...

Plus en détail

CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL

CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL CADRE D AGRÉMENT APPROCHE STANDARD DU RISQUE OPÉRATIONNEL Coopératives de services financiers Publication initiale : Décembre 2007 Mise à jour : TABLE DES MATIÈRES 1. Introduction... 3 2. Principes généraux...

Plus en détail

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à :

Toronto (Ontario) Le vendredi 26 octobre 2007 L ÉNONCÉ FAIT FOI. Pour de plus amples renseignements, s adresser à : Allocution présentée par la surintendante Julie Dickson Bureau du surintendant des institutions financières Canada (BSIF) dans le cadre du Colloque des affaires réglementaires du Bureau d assurance du

Plus en détail

Ressources humaines et Développement des compétences Canada Tableau du fonds de la somme désignée pour le paiement d expérience commune

Ressources humaines et Développement des compétences Canada Tableau du fonds de la somme désignée pour le paiement d expérience commune Ressources humaines et Développement des compétences Canada Tableau du fonds de la somme désignée pour le paiement d expérience commune 30 septembre 2012 (en milliers de dollars) Le présent document ne

Plus en détail

Principales dispositions du projet de règlement

Principales dispositions du projet de règlement Principales dispositions du projet de règlement (TEXTE VOTÉ PAR LA COMMISSION JURI LE 21 JANVIER 2014) Février 2014 1 Honoraires d audit (article 9) (1/3) Limitation des services non audit Si un contrôleur

Plus en détail

évaluations avec date de calcul à compter du 31 décembre 2014 (mais au plus tard le 30 décembre 2015).

évaluations avec date de calcul à compter du 31 décembre 2014 (mais au plus tard le 30 décembre 2015). NOTE DE SERVICE À : De : Tous les actuaires des régimes de retraite Bruce Langstroth, président Direction de la pratique actuarielle Manuel Monteiro, président Commission des rapports financiers des régimes

Plus en détail

Codes des banques 9 septembre 2009

Codes des banques 9 septembre 2009 Codes des banques 9 septembre 2009 1/16 PREAMBULE Le Code des banques a été établi par l Association des banques néerlandaises (NVB) en réponse au rapport intitulé Naar herstel van vertrouwen (vers le

Plus en détail

1. INTRODUCTION 2. CONSEIL D ADMINISTRATION ÉNONCÉ DES PRATIQUES DE GOUVERNANCE

1. INTRODUCTION 2. CONSEIL D ADMINISTRATION ÉNONCÉ DES PRATIQUES DE GOUVERNANCE ÉNONCÉ DES PRATIQUES DE GOUVERNANCE 1. INTRODUCTION Le conseil d administration (le «Conseil») de la Banque Nationale du Canada (la «Banque») considère la gouvernance comme un outil efficace pour accroître

Plus en détail

RECOMMANDATIONS PROPOSÉES

RECOMMANDATIONS PROPOSÉES SYNDICAT CANADIEN DE LA FONCTION PUBLIQUE RECOMMANDATIONS PROPOSÉES (Ce guide doit être utilisé avec le Programme de vérification des syndics) **Ce n est pas nécessaire de le retourner au Bureau national**

Plus en détail

CONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE

CONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE CONVENTION PORTANT CREATION D UNE COMMISSION BANCAIRE DE L AFRIQUE CENTRALE Sur recommandation du Comité Monétaire institué par la Convention de Coopération du 22 novembre 1972, Le Gouvernement de la République

Plus en détail

APERÇU DES OBLIGATIONS

APERÇU DES OBLIGATIONS Avis sur les règles Note d orientation Règles des courtiers membres Destinataires à l'interne : Affaires juridiques et conformité Détail Formation Haute direction Institutions Vérification interne Personne-ressource

Plus en détail

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES

POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT D ACTIONS INCITATIVES POLITIQUE 4.4 OPTIONS D ACHAT Champ d application de la politique Les options d achat d actions incitatives servent à récompenser les titulaires d option pour les services qu ils fourniront à l émetteur.

Plus en détail

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques

Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements et la défense des droits. Société canadienne de la sclérose en plaques Cadre de travail sur les relations avec les gouvernements Société canadienne de la sclérose en plaques Juin 2009 Table des matières Contexte... 3 1.0 Mission de la Société canadienne de la sclérose en

Plus en détail

Annexe A.4 Sociétés de secours mutuel Entités admissibles

Annexe A.4 Sociétés de secours mutuel Entités admissibles les règlements pertinents. Notes : 1. Dans la présente annexe, RDRP signifie Règlement sur la dispense des restrictions en matière de placements; société de secours désigne une société de secours mutuel.

Plus en détail

Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014

Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014 Diffusion : Cadre de gestion du risque de fraude Rapport d audit Rapport n o 5/14 2 septembre 2014 Destinataires : Président et chef de la direction Premier vice-président et chef de la direction financière

Plus en détail

Plan d enseignement individualisé

Plan d enseignement individualisé Ministère de l Éducation Plan d enseignement individualisé Normes pour l élaboration, la planification des programmes et la mise en œuvre 2000 TABLE DES MATIÈRES Introduction.............................................

Plus en détail

Obligations des courtiers membres qui vendent des fonds négociés en bourse à effet de levier et à rendement inverse

Obligations des courtiers membres qui vendent des fonds négociés en bourse à effet de levier et à rendement inverse Avis sur les règles Note d orientation Règles des courtiers membres Destinataires à l interne : Affaires juridiques et conformité Détail Haute direction Formation Personne-ressource : Carmen Crépin Vice-présidente

Plus en détail

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final

BUREAU DU CONSEIL PRIVÉ. Vérification de la sécurité des technologies de l information (TI) Rapport final Il y a un astérisque quand des renseignements sensibles ont été enlevés aux termes de la Loi sur l'accès à l'information et de la Loi sur la protection des renseignements personnels. BUREAU DU CONSEIL

Plus en détail

++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI

++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI ++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI Réglementation de la profession d expert comptable en Tunisie - Loi 88-108 du 18 août 1988, portant refonte de la législation relative à

Plus en détail

Conversion des devises

Conversion des devises exposé-sondage CONSEIL SUR LA COMPTABILITÉ DANS LE SECTEUR PUBLIC PROJET DE NORMES COMPTABLES Conversion des devises Octobre 2009 date limite de réception des commentaires : le 15 JANVIER 2010 Le présent

Plus en détail

C11 : Principes et pratique de l assurance

C11 : Principes et pratique de l assurance Spécimen de questionnaire d examen C11 : Principes et pratique de l assurance IMPORTANT : Vous disposez de 3 heures pour passer cet examen. Total : 200 points Lorsque vous quittez la salle d examen, vous

Plus en détail

vérificatrice générale du Canada à la Chambre des communes

vérificatrice générale du Canada à la Chambre des communes 2010 Rapport de la vérificatrice générale du Canada à la Chambre des communes AUTOMNE Chapitre 5 La réglementation et la surveillance des grandes banques Bureau du vérificateur général du Canada Le Rapport

Plus en détail

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL.

DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ TABLE DES MATIÈRES GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL. DOSSIER MODÈLE D'AUDIT NAGR OSBL DU SECTEUR PRIVÉ GÉNÉRALE PARTIE 1 NOTIONS THÉORIQUES PARTICULARITÉS POUR LES OSBL Introduction Module 1 Contrôle de la qualité et documentation Module 2 Acceptation de

Plus en détail

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption

Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Nations Unies CAC/COSP/IRG/2015/2 Conférence des États parties à la Convention des Nations Unies contre la corruption Distr. générale 24 mars 2015 Français Original: anglais Groupe d examen de l application

Plus en détail

Organe consultatif indépendant de surveillance de l OMPI

Organe consultatif indépendant de surveillance de l OMPI F WO/IAOC/32/2 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 14 AVRIL 2014 Organe consultatif indépendant de surveillance de l OMPI Trente-deuxième session Genève, 17 21 mars 2014 RAPPORT adopté par l Organe consultatif indépendant

Plus en détail

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS

CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS CFC 450 PROGRAMME DES CADRES DIRIGEANTS SYLLABUS AVANT-PROPOS 1. Le Programme des cadres dirigeants (PCD) est un programme de séminaire en résidence de quatre jours et demi à l intention des officiers

Plus en détail

PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD)

PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) PROFIL DE RISQUE INTÉGRÉ DU RÉGIME R DE RENTES DU MOUVEMENT DESJARDINS (RRMD) 1 ICA 15 avril 2008 Le RRMD en chiffres Plus de 500 employeurs 35 900 participants actifs 6 600 retraités 12 000 en 2014 5,5

Plus en détail

1. Politiques en matières d appel. 2. Définitions. 3. Portée de l appel

1. Politiques en matières d appel. 2. Définitions. 3. Portée de l appel 1. Politiques en matières d appel L Association Québec Snowboard ( ci-après désignée par AQS ) reconnaît le droit de tout Membre d en appeler des décisions de l AQS et offre par les présentes un processus

Plus en détail

IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence

IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence IFRS 11 : Coentreprises Passage de la méthode de la consolidation proportionnelle à la méthode de la mise en équivalence Extrait, Groupe de discussion sur les IFRS Compte rendu de la réunion du 18 octobre

Plus en détail

POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS

POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS POLITIQUE 4.1 PLACEMENTS PRIVÉS Champ d application de la politique Il y a placement privé lorsqu un émetteur distribue des titres en contrepartie d espèces aux termes des dispenses de prospectus ou des

Plus en détail

RÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA

RÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA RÉGIME GÉNÉRAL D ÉPARGNE ET D ACHAT DE TITRES DE LA BANQUE ROYALE DU CANADA 1. Définitions Pour les fins du présent régime, les termes énumérés ci-dessous ont le sens suivant : «actions ordinaires» désigne

Plus en détail

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique

Veuillez transmettre vos soumissions et vos questions à : M me Maria Policelli Directrice de politique CCRRA Le 30 mars 2004 Madame, Monsieur, Au nom du Conseil canadien des responsables de la réglementation d assurance (CCRRA), je suis heureux de vous annoncer la publication d un document de consultation

Plus en détail

CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU

CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU Préambule Le sport de haut niveau joue un rôle social et culturel de première importance. Conformément aux valeurs de l Olympisme énoncées dans la Charte olympique et aux

Plus en détail

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit

Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales d audit IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 200, Objectifs généraux de l auditeur indépendant et réalisation d un audit conforme aux Normes internationales

Plus en détail

Comité de la réglementation des assurance de l AAI Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel des sociétés d assurances

Comité de la réglementation des assurance de l AAI Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel des sociétés d assurances Le rôle de l actuaire dans le contrôle prudentiel Introduction Cette note a pour but d établir la position de l AAI sur le rôle que les actuaires devraient jouer dans le contrôle prudentiel des sociétés

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/CECI/2015/7 Conseil économique et social Distr. générale 26 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de l innovation, de la compétitivité et des

Plus en détail

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS

FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Financement d entreprise et fusions et acquisitions 27 FINANCEMENT D ENTREPRISES ET FUSIONS ET ACQUISITIONS Le Canada est doté de marchés financiers bien développés et très évolués. Les principales sources

Plus en détail

Publication : 19 novembre 2008 BANQUE DU CANADA RÈGLES RÉGISSANT LES AVANCES AUX INSTITUTIONS FINANCIÈRES

Publication : 19 novembre 2008 BANQUE DU CANADA RÈGLES RÉGISSANT LES AVANCES AUX INSTITUTIONS FINANCIÈRES Publication : 19 novembre 2008 BANQUE DU CANADA RÈGLES RÉGISSANT LES AVANCES AUX INSTITUTIONS FINANCIÈRES 1. GÉNÉRALITÉS Les présentes Règles constituent les lignes directrices générales et la procédure

Plus en détail