> >> X Y Z. Corrigé des Travaux dirigés ( ) Chapitre II : Substitution nucléophile. Cl < <
|
|
- Mireille Boivin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Chapitre : Substitution nucléophile Corrigé des Travaux dirigés ( ) Exercice 1 assement des substrats suivants selon leur réactivité en SN 2 : < 2-bromo-2-methylpentane 1-chloro-2,2-dimethylpentane < < 1-chloro-3,3-dimethylpentane bromoethane (CH 3 ) 2 CHCH 2 CH 2 CH 2 > (CH 3 ) 2 CHCH 2 CH 2 CH 2 > (CH 3 ) 3 CCH 2 > (CH 3 ) 2 CH > (CH 3 ) 3 C < K L N < OTs > >> X Y Z Exercice 2 assement des substrats suivants selon leur réactivité en SN 1 : (CH 3 ) 3 C > CH 3 CHCH 3 > CH 3 CHCH 3 > CH 3 CH 2 CH 2 > CH 3 Exercice 3 La réaction est une SN 2 : acétonitrile: solvent polaire aprotique. Le substrat (a) réagit plus vite en SN 2 : substrat primaire, substitué par le tosylate (très bon groupement partant).? CH 3 NH 2 CH 3
2 Chapitre : Substitution nucléophile OTs a) b) c) OTs d) Exercice 4 H H Pour la réaction 1, on observe une double inversion de configuration 2 SN 2 suivies: 1 ère SN 2 : conversion du en. 2 ème SN 2 : conversion du en. OH H SN 2 OH H SN 1 O SN 2 O N C C N SN 2
3 Chapitre : Substitution nucléophile Exercice 5 Les meilleurs nucléophiles pour une réaction SN 2 sont : a) HOCH 2 CH 3 b) CH 3 O - Na + c) Na + - OCH 2 CH 3 d) CH 3 OH e) H 2 O Remarque : Une entité chargée est meilleur nucléophile que la molécule neutre correspondante. Pour une SN 2, on utilise des nucléophiles forts. Exercice 6 Les meilleurs nucléophiles pour une réaction SN 1 sont : a) HOCH 2 CH 3 b) CH 3 O - Na + c) Na + - OCH 2 CH 3 d) CH 3 OH e) H 2 O Remarque : Une entité chargée est meilleur nucléophile que la molécule neutre correspondante. Pour une SN 1, on utilise des nucléophiles moyens. Exercice 7 CH 3 SH 1M CH 3 SH 2M Pour cette réaction, le substrat est primaire, il s agit donc d une SN 2 : la vitesse de réaction dépend de la concentration du substrat et du nucléophile. La 2 ème réaction est, par conséquent, plus rapide que la première.
4 Chapitre : Substitution nucléophile La nucléophilie augmente de haut en bas, dans le tableau périodique : L iode () est donc, meilleur nucléophile que le brome (). La 2 ème réaction est, par conséquent, plus rapide que la première. CH 3 S CH 3 S Pour cette réaction, le substrat est primaire et (CH 3 S - ) est un bon nucléophile, il s agit donc d une SN 2 : le 2 ème substrat est substitué en β (gêne stérique), alors que le 1 er substrat est substitué plus loin du carbone fonctionnel. La 1 ère réaction est, par conséquent, plus rapide que la seconde. N 3 NaN 3 NaN 3 N 3 Pour cette réaction, on utilise N 3 - qui est un bon nucléophile, il s agit donc d une SN 2 : le 1 er substrat est cyclique (secondaire), alors que le 2 ème substrat est primaire. La 2 ème réaction est, par conséquent, plus rapide que la première. Na Na
5 Chapitre : Substitution nucléophile Pour cette réaction, le substrat est primaire et ( - ) est un bon nucléophile, il s agit donc d une SN 2 : le 1 er substrat est substitué en β (gêne stérique), alors que le 2 ème substrat n est pas substitué. La 2 ème réaction est, par conséquent, plus rapide que la première. CH 3 OH (C 2 H 5 ) 2 O Pour cette réaction, le substrat est primaire, il s agit donc d une SN 2 : plus rapide dans les solvants polaires aprotiques (C 2 H 5 ) 2 O que dans les solvants polaires protiques (CH 3 OH). La 2 ème réaction est, par conséquent, plus rapide que la première. CH 3 S CH 3 SH Une entité chargée (CH 3 S - ) est meilleur nucléophile que la molécule neutre correspondante (CH 3 SH). Pour cette réaction, le substrat est tertiaire, il s agit donc d une SN 1 : Le nucléophile n intervient pas dans la 1 ère étape de la réaction (étape déterminante) et les 2 réactions se font à la même vitesse.
6 Chapitre : Substitution nucléophile Pour cette réaction, le substrat est primaire, il s agit donc d une SN 2 : le brome () est meilleur groupement partant que le chlore () : la liaison C- est plus longue que C-, donc plus fragile. La 2 ème réaction est, par conséquent, plus rapide que la première. Nucléophiles forts et basiques: NaOH, NaOR, NaNH 2, NaNR 2 Nucléophiles forts et non-basiques: NaSH, NaSR, Na, NaN 3, X- Nucléophiles faibles et non-basiques: H 2 O, ROH, RCO 2 H
LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPHILES EN SÉRIE ALIPHATIQUE S N 1 ET S N 2
Pr atem BEN ROMDANE LES SUBSTITUTIONS NUCLÉOPILES EN SÉRIE ALIPATIQUE S N 1 ET S N 2 3 - LE MÉCANISME S N 2 a - Constatations expérimentales Cinétique : l'étude des réactions de substitution nucléophile
Plus en détailPartie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés
Molécules et matériaux organiques Partie 1. Addition nucléophile suivie d élimination (A N + E) 1.1. Réactivité électrophile des acides carboxyliques et groupes dérivés bjectifs du chapitre Notions à connaître
Plus en détailK W = [H 3 O + ] [OH - ] = 10-14 = K a K b à 25 C. [H 3 O + ] = [OH - ] = 10-7 M Solution neutre. [H 3 O + ] > [OH - ] Solution acide
La constante d autoprotolyse de l eau, K W, est égale au produit de K a par K b pour un couple acide/base donné : En passant en échelle logarithmique, on voit donc que la somme du pk a et du pk b d un
Plus en détailLes isomères des molécules organiques
Les isomères des molécules organiques René CAHAY, Jacques FURNÉMONT I.- INTRODUCTION Le terme isomérie tire son origine du grec ίσος (isos = identique) et µερος (meros = partie). Le phénomène d isomérie
Plus en détailLe ph, c est c compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc.
Le ph, c est c pas compliqué! Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc. Conseiller en serriculture Des réponses r aux questions C est quoi et pourquoi c est c important? Conséquences d un d débalancementd? Comment
Plus en détail5.5.5 Exemple d un essai immunologique
5.5.5 Exemple d un essai immunologique Test de grossesse Test en forme de bâtonnet destiné à mettre en évidence l'hormone spécifique de la grossesse, la gonadotrophine chorionique humaine (hcg), une glycoprotéine.
Plus en détailACIDES BASES. Chap.5 SPIESS
ACIDES BASES «Je ne crois pas que l on me conteste que l acide n ait des pointes Il ne faut que le goûter pour tomber dans ce sentiment car il fait des picotements sur la langue.» Notion d activité et
Plus en détailSECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène
SECTEUR 4 - Métiers de la santé et de l hygiène A lire attentivement par les candidats Sujet à traiter par tous les candidats inscrit au BEP Les candidats répondront sur la copie. Les annexes éventuelles
Plus en détail- pellicule de fruits qui a un rôle de prévention contre l'évaporation, le développement de moisissures et l'infection par des parasites
LES LIPIDES Quelles Sont les Idées Clés? Les lipides sont les huiles et les graisses de la vie courante. Ils sont insolubles dans l eau. Pour les synthétiser, une réaction : l Estérification. Pour les
Plus en détail1.2 Coordinence. Notion de liaison de coordinence : Cas de NH 3. et NH 4+ , 3 liaisons covalentes + 1 liaison de coordinence.
Règle de l octet : tendance qu on les atomes à s entourer de 8 électrons dans l édifice moléculaire. Ce n est pas une règle générale. Composés respectant la règle de l octet Composés ne respectant pas
Plus en détailEXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points)
Bac S 2015 Antilles Guyane http://labolycee.org EXERCICE II. SYNTHÈSE D UN ANESTHÉSIQUE : LA BENZOCAÏNE (9 points) La benzocaïne (4-aminobenzoate d éthyle) est utilisée en médecine comme anesthésique local
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailConception de Médicament
Conception de Médicament Approche classique HTS Chimie combinatoire Rational Drug Design Ligand based (QSAR) Structure based (ligand et ou macromolec.) 3DQSAR Docking Virtual screening Needle in a Haystack
Plus en détailEffets électroniques-acidité/basicité
Université du Maine Faculté des Sciences Retour Révisions de cours Effets électroniquesacidité/basicité Il est très important dans un cours de himie organique de connaitre ces notions qui vont intervenir
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailMarine PEUCHMAUR. Chapitre 4 : Isomérie. Chimie Chimie Organique
himie himie Organique hapitre 4 : Isomérie Marine PEUMAUR Année universitaire 200/20 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. . Isomérie plane 2. Stéréoisomérie de configuration (chiralité)
Plus en détailPartie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN
Partie Observer : Ondes et matière CHAP 04-ACT/DOC Analyse spectrale : Spectroscopies IR et RMN Objectifs : Exploiter un spectre infrarouge pour déterminer des groupes caractéristiques Relier un spectre
Plus en détailRésume de Cours de Chimie Organique (Prof. M. W. Hosseini) Notions acquises Définitions et conventions : Ordre de grandeur de longueur d'une liaison
ésume de ours de himie rganique (Prof. M. W. osseini) Notions acquises Définitions et conventions : Liaison : mise en commun de 2 éléctrons (.. ) Déplacement de deux électrons Déplacement d'un électron
Plus en détailListes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016
Listes de fournitures du secondaire pour la rentrée 2015-2016 Classe de 6 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petit) Classe de 5 ème - Un paquet de pinceaux (gros, moyens, petits) Classe de 4 ème
Plus en détailEnseignement secondaire
Enseignement secondaire Classe de IIIe Chimie 3e classique F - Musique Nombre de leçons: 1.5 Nombre minimal de devoirs: 4 devoirs par an Langue véhiculaire: Français I. Objectifs généraux Le cours de chimie
Plus en détailOrganisation Gestion du temps. Participation Notes et résumés Etudes et examens
Organisation Gestion du temps Participation Notes et résumés Etudes et examens Le SIEP de Mons organise des ateliers dynamiques pour t aider à découvrir ta Avec des conseils pratiques, des trucs et astuces!
Plus en détailBTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1
BTS BAT 1 Notions élémentaires de chimie 1 I. L ATOME NOTIONS EÉLEÉMENTAIRES DE CIMIE Les atomes sont des «petits grains de matière» qui constituent la matière. L atome est un système complexe que l on
Plus en détailSPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE
18 CHAPITRE III SPECTROSCOPIE D ABSORPTION DANS L UV- VISIBLE La spectroscopie d absorption dans l UV et le visible est une méthode très commune dans les laboratoires. Elle est basée sur la propriété des
Plus en détailComment déterminer la structure des molécules organiques?
Comment déterminer la structure des molécules organiques? Quelques notions de Résonance Magnétique Nucléaire RMN du «proton» 1 H et d infrarouge IR. En accompagnement de la vidéo disponible sur le site
Plus en détailCIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010
CIRCULAIRE N 2983 DU 18/01/2010 Objet : Utilisation des fluides frigorigènes dans les installations de réfrigération A l'attention de(s) : Pour information : Monsieur l'administrateur général de l'administration
Plus en détail------- SESSION 2013 ÉPREUVE À OPTION. (durée : 4 heures coefficient : 6 note éliminatoire 4 sur 20) CHIMIE
CNCURS SUR ÉPREUVES UVERT AUX CANDIDATS TITULAIRES D UN DIPLÔME U TITRE CNFÉRANT LE GRADE DE MASTER U D'UN DIPLÔME U TITRE HMLGUÉ U ENREGISTRÉ AU RÉPERTIRE NATINAL DES CERTIFICATINS PRFESSINNELLES AU NIVEAU
Plus en détailC3. Produire de l électricité
C3. Produire de l électricité a. Electricité : définition et génération i. Définition La matière est constituée d. Au centre de l atome, se trouve un noyau constitué de charges positives (.) et neutres
Plus en détailMASSE, VOLUME ET QUANTITE DE MATIERE
MASSE, OLUME ET QUANTITE DE MATIERE Exercices du Livre Microega Hatier (004 Correction L acide sulfurique 1. Calculons la asse olaire de l acide sulfurique : M(H SO 4 xm(h + M(S + 4xM(O M(H SO 4 x1,00
Plus en détailLa gravure. *lagravureparvoiehumide *lagravuresèche
La gravure Après avoir réalisé l étape de masquage par lithographie, il est alors possible d effectuer l étape de gravure. L étape de gravure consiste à éliminer toutes les zones non protégées par la résine
Plus en détailCORRIGE. CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE
Thème : L eau CHAP 04-ACT PB/DOC Electrolyse de l eau 1/12 Domaine : Eau et énergie CORRIGE 1. ALIMENTATION ELECTRIQUE D'UNE NAVETTE SPATIALE 2.1. Enoncé L'alimentation électrique d'une navette spatiale
Plus en détailNos héritages arabes dans le ciel étoilé
1 Nos héritages arabes dans le ciel étoilé par Roland Laffitte, mardi 5 août Les deux tiers des noms d étoiles sont d origine arabe : ils sont parvenus à nous notamment par les traductions médiévales des
Plus en détailLes réactions ion neutre dans la base de
1eratelierdugroupederéflexionsurlesbasesdedonnées chimiquespourlemilieuinterstellaire Lesréactionsion neutredanslabasede donnéesosu:r1++r2 P1++P2 NathalieCarrasco,PascalPernot ChristianAlcaraz,RolandThissen,OdileDutuit
Plus en détailmais on suppose maintenant que ses préférences sont représentées par la fonction
Ecole Nationale de la Statistique et de l Administration Economique 2ème année, 1er semestre, 2007/2008 Examen de Macroéconomie Stéphane Gauthier 2 heures, sans document ni calculatrice 1. Questions de
Plus en détailANALYSE SPECTRALE. monochromateur
ht ANALYSE SPECTRALE Une espèce chimique est susceptible d interagir avec un rayonnement électromagnétique. L étude de l intensité du rayonnement (absorbé ou réémis) en fonction des longueurs d ode s appelle
Plus en détailHRP H 2 O 2. O-nitro aniline (λmax = 490 nm) O-phénylène diamine NO 2 NH 2
! #"%$'&#()"*!(,+.-'/0(,()1)2"%$ Avant d effectuer le dosage en IR de la biotine, il est nécessaire de s assurer de la reconnaissance du traceur par la streptavidine immobilisée sur les puits. Pour cela,
Plus en détailSynthèse et propriétés des savons.
Synthèse et propriétés des savons. Objectifs: Réaliser la synthèse d'un savon mise en évidence de quelques propriétés des savons. I Introduction: 1. Présentation des savons: a) Composition des savons.
Plus en détailLa reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel Modélisation moléculaire: Introduction Hiver 2006
La reconnaissance moléculaire: la base du design rationnel En 1890 Emil Fisher a proposé le modèle "serrure et clé" pour expliquer la façon de fonctionner des systèmes biologiques. Un substrat rentre et
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailDes molécules hydrophobes dans l eau
Des molécules hydrophobes dans l eau B. Cabane PMMH, ESPCI, Paris bcabane@pmmh.espci.fr Je remercie pour leurs contributions: D. Durand, B. Guillot, H. Lannibois-Drean, C. Pascal, C. Poncet-Legrand, A.
Plus en détailPortrait du Groupe Roquette
Portrait du Groupe Roquette «Servir les femmes et les hommes en offrant le meilleur de la nature» Vision Devenir, sur des marchés identifiés, un acteur leader à l échelle mondiale en solutions et produits
Plus en détailMolécules et Liaison chimique
Molécules et liaison chimique Molécules et Liaison chimique La liaison dans La liaison dans Le point de vue classique: l approche l de deux atomes d hydrogd hydrogènes R -0,9-1 0 0,5 1 1,5,5 3 3,5 4 R
Plus en détail30 MAI 1 er JUIN 2011 PARIS
4 th EUROPEAN CONFERENCE ON HEALTHCARE ENGINEERING 51 è JOURNEES D ETUDES ET DE FORMATION IFH 30 MAI 1 er JUIN 2011 PARIS Peut-on externaliser la maintenance des bâtiments et infrastructures techniques
Plus en détailCHAPITRE VI : HYBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES
CAPITRE VI : YBRIDATION GEOMETRIE DES MOLECULES VI.1 : YBRIDATION DES ORBITALES ATOMIQUES. VI.1.1 : Introduction. La théorie d hybridation a été développée au cours des années 1930, notamment par le chimiste
Plus en détailChapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission
1re B et C 11 Réactions nucléaires, radioactivité et fission 129 Chapitre 11: Réactions nucléaires, radioactivité et fission 1. Définitions a) Nucléides (= noyaux atomiques) Les nucléides renferment les
Plus en détailBilan des émissions de gaz à effet de serre
Bilan des émissions de gaz à effet de serre SOMMAIRE 1 Contexte réglementaire 3 2 Description de la personne morale 4 3 Année de reporting de l exercice et l année de référence 6 4 Emissions directes de
Plus en détailCONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières
CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010
Plus en détailMANAGEMENT SPÉCIALISTE DE LA CONDUITE D'UN GROUPE ET CERTIFICATS EN LEADERSHIP & MANAGEMENT
Secteur Tertiaire MANAGEMENT SPÉCIALISTE DE LA CONDUITE D'UN GROUPE ET CERTIFICATS EN LEADERSHIP & MANAGEMENT Brevet fédéral Préparation aux examens 1 Situation de la formation Domaines Bilans de compétences
Plus en détailne définition de l arbre.
LA PHYSIOLOGIE DES ARBRES. U ne définition de l arbre. L es arbres sont des êtres vivants qui occupent une place à part dans le monde végétal. Ils sont indispensables à la vie sur terre et ils ont largement
Plus en détailANTICORPS POLYCLONAUX ANTI IMMUNOGLOBULINES
L OUTIL IDEAL POUR TOUTES LES DETECTIONS IMMUNOCHIMIQUES pour toutes les techniques immunodosages (EIA/ELISA) dot/ westernblot immunohistochimie immunocytochimie cytométrie en flux quel que soit le système
Plus en détailGUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU TRANSMETTEUR TÉLÉPHONIQUE INTERACTIF RTC DIAG52AAX
GUIDE DE PROGRAMMATION COMPLÉMENTAIRE DU TRANSMETTEUR TÉLÉPHONIQUE INTERACTIF RTC DIAG52AAX Avant propos IMPORTANT Le transmetteur dispose de plusieurs paramètres offrant de multiples possibilités et permettant
Plus en détailTransport des gaz dans le sang
UE3-2 - Physiologie Physiologie Respiratoire Chapitre 9 : Transport des gaz dans le sang Docteur Sandrine LAUNOIS-ROLLINAT Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits
Plus en détailCOMPRENDRE LA BOURSE
COMPRENDRE LA BOURSE Les principaux indicateurs économiques Ce document pédagogique n est pas un document de conseils pour investir en bourse. Les informations données dans ce document sont à titre informatif.
Plus en détailFiche professeur. Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu
Fiche professeur TEME du programme : Comprendre ous-thème : Cohésion et transformations de la matière Rôle de la polarité du solvant : Dissolution de tâches sur un tissu Type d activité : Activité expérimentale
Plus en détail2- Relation entre Writer et Calc dans le mailing
Particularité du mailing sous Ooo 1- Une époque révolue A l'époque (oh combien regrettée par certain), nous avions l'habitude de réaliser des mailing à partir d'une source de donnée de type tableur (excel
Plus en détailCHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules
CHAPITRE 2 : Structure électronique des molécules I. La liaison covalente 1) Formation d une liaison covalente Les molécules sont des assemblages d atomes liés par des liaisons chimiques résultant d interactions
Plus en détailFonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique
Fonctionnalisation de surfaces de carbone nanostructuré et son effet sur la réponse électrochimique Méthodes d analyses chimiques et microbiologiques dites alternatives ou rapides : Biocapteurs Utilisation
Plus en détailSOLUTIONS TECHNOLOGIQUES D AVENIR
CPTF et CSC CYCLES COMBINES A GAZ (CCG) COGÉNÉRATION DÉVELOPPEMENT DES RENOUVELABLES SOLUTIONS DE STOCKAGE CPTF ET CSC Le parc thermique est un outil essentiel pour ajuster l offre et la demande, indispensable
Plus en détailSéquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage
Séquence 5 Réaction chimique par échange de protons et contrôle de la qualité par dosage Problématique La séquence 5, qui comporte deux parties distinctes, mais non indépendantes, traite de la réaction
Plus en détail2 C est quoi la chimie?
PARTIE 1 AVANT LA CHIMIE VERTE... 2 C est quoi la chimie? L inconnu étant source d angoisse, nous allons essayer de définir les grands domaines de la chimie pour mieux la connaître, l appréhender et donc
Plus en détailPerrothon Sandrine UV Visible. Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6
Spectrophotométrie d'absorption moléculaire Étude et dosage de la vitamine B 6 1 1.But et théorie: Le but de cette expérience est de comprendre l'intérêt de la spectrophotométrie d'absorption moléculaire
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailBREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES SUJET
SESSION 2010 France métropolitaine Option : élevage canin et félin BREVET D ÉTUDES PROFESSIONNELLES AGRICOLES ÉPREUVE E DU DEUXIÈME GROUPE Durée : 2 heures Matériel(s) et document(s) autorisé(s) : Calculatrice
Plus en détailChapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie
Chapitre III Le phénotype immunitaire au cours de la vie Le phénotype immunitaire d un individu caractérise sa capacité à répondre, grâce aux effecteurs de l immunité adaptative, aux différents agents
Plus en détailA. Énergie nucléaire 1. Fission nucléaire 2. Fusion nucléaire 3. La centrale nucléaire
Énergie Table des A. Énergie 1. 2. 3. La centrale Énergie Table des Pour ce chapitre du cours il vous faut à peu près 90 minutes. A la fin de ce chapitre, vous pouvez : -distinguer entre fission et fusion.
Plus en détailUNIVERSITÉ D ORLÉANS THÈSE. Etude d un procédé industriel continu de synthèse catalytique d un produit chimique
UNIVERSITÉ D RLÉANS ÉCLE DCTRALE SCIENCES ET TECHNLGIES Equipe Procédés de l Institut de Chimie rganique et Analytique d rléans THÈSE présentée par : Marion FURDINIER Soutenue le : 3 février 2010 Pour
Plus en détailChapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION
Chapitre 5 LE MODELE ENTITE - ASSOCIATION 1 Introduction Conception d une base de données Domaine d application complexe : description abstraite des concepts indépendamment de leur implémentation sous
Plus en détailComment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET?
Comment agir sur le bilan environnemental d une bouteille PET? Décembre 2010 En 2009, Eco-Emballages, ELIPSO et Valorplast se sont associés pour conduire une étude d évaluation des impacts environnementaux
Plus en détailPhysique Chimie. Utiliser les langages scientifiques à l écrit et à l oral pour interpréter les formules chimiques
C est Niveau la représentation 4 ème 2. Document du professeur 1/6 Physique Chimie LES ATOMES POUR COMPRENDRE LA TRANSFORMATION CHIMIQUE Programme Cette séance expérimentale illustre la partie de programme
Plus en détailDemande chimique en oxygène
Table des matières Introduction Réactifs DCO Azote et phosphore HI 83214 HI 83099 HI 839800 HI 3898 Page J3 J5 J6 J7 J8 J10 J11 J1 Tableau comparatif Paramètre Photomètre Photomètre Thermo-réacteur Trousse
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailTRAVAUX PRATIQUESDE BIOCHIMIE L1
TRAVAUX PRATIQUESDE BICHIMIE L1 PRINTEMPS 2011 Les acides aminés : chromatographie sur couche mince courbe de titrage Etude d une enzyme : la phosphatase alcaline QUELQUES RECMMANDATINS IMPRTANTES Le port
Plus en détailIntroduction aux techniques de nettoyage
BRUNO MERCIER Service Vide L.A.L mercier@lal.in2p3.fr Introduction aux techniques de nettoyage fabrication nettoyage Détection fuite Traitements désorptions Analyse surface installation Étuvage in situ
Plus en détailClassement Raid 2015
Classement Raid 2015 Table des matières Classement Général... 1 Classement Actif... 2 Classement Etudiant... 3 Classement J1... 4 Classement J2... 6 Classement J3... 8 Classement Général Rang Nom de l
Plus en détailPrincipales innovations techniques:
DÉTECTEURS DE GAZ Appareils de sécurité qui offrent la meilleure fonctionnalité grâce à la technique de conception, de fabrication et de test particulière garantie par la marque Perry. Produits équipés
Plus en détail4 ème PHYSIQUE-CHIMIE TRIMESTRE 1. Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique. PROGRAMME 2008 (v2.4)
PHYSIQUE-CHIMIE 4 ème TRIMESTRE 1 PROGRAMME 2008 (v2.4) Sylvie LAMY Agrégée de Mathématiques Diplômée de l École Polytechnique Les Cours Pi e-mail : lescourspi@cours-pi.com site : http://www.cours-pi.com
Plus en détailDossier «L énergie nucléaire»
Dossier «L énergie nucléaire» (ce dossier est en ligne sur le site de La main à la pâte : http://www.inrp.fr/lamap/?page_id=16&action=2&element_id=374&domainsciencetype_id=7) Rédacteur David WILGENBUS
Plus en détailELASTICITE DE LA DEMANDE Calcul de l'elasticite & Applications Plan du cours I. L'elasticite de la demande & ses determinants II. Calcul de l'elasticite & pente de la courbe de demande III. Applications
Plus en détailBouton Réserver. Logis Standard Logis Premium. Moteurs de réservation des hôtels Logis
Bouton Réserver Logis Standard Logis Premium Moteurs de réservation des hôtels Logis Pourquoi installer un moteur de réservation? 84% des internautes à la recherche d un hôtel se renseignent sur Internet
Plus en détailTarif et modifications tarifaires dans la loi sur l assurance-maladie (LAMal)
Tarif et modifications tarifaires dans la loi sur l assurance-maladie (LAMal) Extrait d un exposé du Dr Willy Oggier, Gesundheitsökonomische Beratungen AG, Küsnacht Structure Comment les négociations tarifaires
Plus en détailLa conservation préventive: une méthodologie d approche basée sur le monitoring
La conservation préventive: une méthodologie d approche basée sur le monitoring Koenraad VAN BALEN Directeur RLICC et titulaire de la chair Unesco PRECOMOS Contenu La conservation préventive à l interface
Plus en détailCRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile?
CRM dans le secteur tertiaire : agile ou fragile? Note publiée sur le site CRM SECTOR en novembre 2005 dans la catégorie : «Extraits» Comme toutes les entreprises, celles du secteur tertiaire n échappent
Plus en détailfiche m mo technique
fiche m mo technique les lois de la colorimétrie Les lois DE LA COLORIMétrie... Les lois de la colorimétrie s appliquent pour tous les supports du papier, à la toile aux cheveux en passant par l objet
Plus en détailREACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION
CHIMIE 2 e OS - 2008/2009 : Cours et exercices -19- CHAPITRE 5 : REACTIONS D OXYDATION ET DE REDUCTION Chacun d entre nous a déjà observé l apparition de rouille sur un objet en fer, ou de «vert-degris»
Plus en détailFrance Telecom SA. Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012
France Telecom SA Bilan d émissions de Gaz à effet de Serre (GES) Décembre 2012 1. Description de la personne morale concernée Raison sociale : France Telecom SA Code NAF : 6110Z / Télécommunications filaires
Plus en détailÉquivalence masse-énergie
CHPITRE 5 NOYUX, MSSE ET ÉNERGIE Équivalence masse-énergie. Équivalence masse-énergie Einstein a montré que la masse constitue une forme d énergie appelée énergie de masse. La relation entre la masse (en
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détail1.1.1. Unité fonctionnelle de référence, à laquelle sont rapportés les impacts environnementaux du Chapitre 2
EXTRAIT DE LA DECLARATION ENVIRONNEMENTALE et SANITAIRE CONFORME A LA NORME NF P 01-010 PROFILES PVC DE DECORATION ET D AMENAGEMENT INTERIEURS ET EXTERIEURS Edition DECEMBRE 2005 SNEP - Profilés PVC de
Plus en détailMonte charge de cuisine PRESENTATION DU MONTE CHARGE
Nom.. Prénom.. Monte charge de cuisine Réalisation /0 Mise en service /0 Dépannage /0 PRESENTATION DU MONTE CHARGE M ~ S0 (Atu) S (appel pour monter) S (descente) H (descendez les déchets S.V.P.!) Sh Salle
Plus en détailLes bases de données
Les bases de données Introduction aux fonctions de tableur et logiciels ou langages spécialisés (MS-Access, Base, SQL ) Yves Roggeman Boulevard du Triomphe CP 212 B-1050 Bruxelles (Belgium) Idée intuitive
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailCompléments - Chapitre 5 Spectroscopie
ompléments - hapitre 5 Spectroscopie Spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN 13 ) Tandis que la spectroscopie RMN 1 H fournit des données sur la disposition des atomes d'hydrogène dans une
Plus en détailMise en oeuvre d'une base de données mono-utilisateur avec SQLite
Mise en oeuvre d'une base de données mono-utilisateur avec SQLite Utilisation de SQLite dans le logiciel CASSIS Plan Le contexte scientifique avec le logiciel CASSIS La problématique avec Mysql La solution
Plus en détailwww.gbo.com/bioscience 1 Culture Cellulaire Microplaques 2 HTS- 3 Immunologie/ HLA 4 Microbiologie/ Bactériologie Containers 5 Tubes/ 6 Pipetage
2 HTS 3 Immunologie / Immunologie Informations Techniques 3 I 2 ELISA 96 Puits 3 I 4 ELISA 96 Puits en Barrettes 3 I 6 en Barrettes de 8 Puits 3 I 7 en Barrettes de 12 Puits 3 I 8 en Barrettes de 16 Puits
Plus en détailCapteur à CO2 en solution
Capteur à CO2 en solution Référence PS-2147CI Boîtier adaptateur Sonde ph Sonde température Sonde CO2 Page 1 sur 9 Introduction Cette sonde est conçue pour mesurer la concentration de CO 2 dans les solutions
Plus en détailExamen de fin d apprentissage Télématicien / Télématicienne
Série 2006 Examen de fin d apprentissage Télématicien / Télématicienne Connaissances professionnelles écrites Connaissance des schémas Nom, Prénom Numéro du candidat Date........ Temps Auxiliaires Notation
Plus en détailBREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES
~--------------~~-----~- ----~-- Session 2009 BREVET DE TECNICIEN SUPÉRIEUR QUALITÉ DANS LES INDUSTRIES ALIMENTAIRES ET LES BIO-INDUSTRIES U22 - SCIENCES PYSIQUES Durée: 2 heures Coefficient : 3 Les calculatrices
Plus en détailChapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire
Chapitre 6 : les groupements d'étoiles et l'espace interstellaire - Notre Galaxie - Amas stellaires - Milieu interstellaire - Où sommes-nous? - Types de galaxies - Interactions entre galaxies Notre Galaxie
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailDe nouvelles molécules pour la séparation des Actlnides les picolinamides. Pierre - Yves CORDIER et Nicole CONDAMINES
Ci/) /. KK De nouvelles molécules pour la séparation des Actlnides les picolinamides Pierre - Yves CORDIER et Nicole CONDAMINES Groupe de chimie de base. CEA. CEN - FAR DCC/DPR/SEMP/SEC. BP 6. 92265 Fontenay
Plus en détail