Surveillance de Staphylococcus aureus résistant à la Méticilline (MRSA) dans les hôpitaux chroniques belges :
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- Nicolas Prudhomme
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1 Surveillance de Staphylococcus aureus résistant à la Méticilline (MRSA) dans les hôpitaux chroniques belges : année 2008 B. Jans, Prof. M. Struelens & BICS IPH/EPI REPORTS Nr Numéro de dépôt : D/2009/2505/
2 Institut Scientifique de Santé Publique Service d Epidémiologie 14, rue Juliette Wytsman 1050 Bruxelles Belgique Tel : 02/ Fax : 02/ Bjans@iph.fgov.be Jans Béatrice, Prof. M. Struelens & BICS. Epidémiologie, novembre 2009; Bruxelles (Belgique) IPH/EPI REPORTS N Numéro de dépôt: D/2009/2505/
3 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année TABLE DES MATIERES TABLE DES MATIERES 1 LISTE DES TABLEAUX ET DES FIGURES 2 1. PARTICIPATION 3 2. TAUX DE RESISTANCE 4 3. PROPORTION ET INCIDENCE DE MRSA PRESENT A L ADMISSION 5 4. MRSA ACQUIS A L'HOPITAL Incidence de MRSA acquis à l hôpital Proportion de MRSA nosocomial à l hôpital Proportion de MRSA nosocomial par type de service Proportion de MRSA nosocomial par type d échantillon clinique 7 5. DEPISTAGE DE MRSA Nombre de cas de n- MRSA détectés par prélèvement de dépistage Indications pour la pratique du dépistage de MRSA 8 6. CONCLUSIONS 9
4 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année LISTE DES TABLEAUX ET DES FIGURES Figure 1 : Répartition de l ensemble des souches de MRSA : proportions de MRSA nosocomial et de MRSA présent à l admission selon les contacts antérieurs avec des institutions de soins 5 Tableau 1 : Proportion de MRSA (Type D uniquement) par région et par taille de l hôpital, année Tableau 2 : Taux d'incidence et densité d incidence de MRSA nosocomial (échantillons cliniques uniquement) par région et par taille de l hôpital, année
5 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année PARTICIPATION Pour l année 2008, 14 institutions de soins de type chronique ont envoyé des données de surveillance de MRSA. Ces institutions ont été classées parmi les hôpitaux avec un profil chronique : - soit parce qu officiellement ils sont reconnus comme hôpitaux chroniques (comptent exclusivement des lits du type Sp, avec ou sans lits G), - soit parce qu officiellement classés parmi les hôpitaux aigus (ou faisant partie d une fusion classée parmi les aigus), mais dans la réalité ayant une durée de séjour de plus de 16 jours en moyenne. Ce sont souvent des sites faisant partie d une fusion, dans lesquels les lits chroniques de l ensemble ont été regroupés. Pendant cette période, la durée moyenne de séjour atteignait 29.7 jours dans ces institutions (médiane des durées de séjour dans les 14 institutions : 47.2 jours). Sept de ces institutions chroniques se situaient en Flandre, six en Wallonie et une à Bruxelles. Dix hôpitaux chroniques comptaient moins de 200 lits et quatre appartenaient aux hôpitaux de taille moyenne (entre 200 et 399 lits). Ils totalisaient 2201 lits, c.a.d. 157 lits en moyenne par institution (min. 54, max. 233 lits). Toutes ces institutions ont envoyé des données du type D 1 (chaque patient n est compté qu une seule fois par période d hospitalisation). 1 Type A: Chaque prélèvement positif est compté (dépistages et doublons inclus) Type B: Chaque prélèvement clinique positif est compté (dépistages exclus, doublons inclus) Type C: Chaque site d infection n est compté qu une fois par période d hospitalisation Type D: Chaque patient n est compté qu une seule fois par période d hospitalisation.
6 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année TAUX DE RESISTANCE Rubriques et calcul : Conditions : (1A* 100)/ 1B Type D uniquement Réponse pour les indicateurs 1A et 1B En 2008, au total 385 souches de MRSA ont été isolées (moyenne : 27.5 souches de MRSA par hôpital; ce nombre variait de 2 à 62 souches). La proportion de MRSA parmi l ensemble des souches de S. aureus (taux de résistance moyen 2 ) atteignait 37.9%. La moyenne des taux de résistance 3 des hôpitaux participants s'élevait à 42.4% (médiane : 48.4%). Elle était similaire dans les institutions en Flandre (44.5%) et de Wallonie (39.5%) (n.s.). Tableau 1 : Proportion de MRSA (Type D uniquement) par région et par taille de l hôpital, année 2008 MRSA/ S. aureus (%) N hôpitaux Valeurs absolues Taux de résistance moyen 2 (%) Moyenne des t. de résist 3. Distribution des proportions 25% 50% médiane 75% Min/Max Taux de résistance, par région Belgique / Flandre 7 221/ Wallonie 6 133/ Bruxelles 1 31/ Taux de résistance, par taille de l institution < 200 lits / lits 4 102/ Le taux de résistance moyen = Σ 1A x 100/ Σ 1B La moyenne des taux de résistance = Σ des taux de résistance/ nombre d'hôpitaux
7 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année PROPORTION ET INCIDENCE DE MRSA PRESENT A L ADMISSION Sept hôpitaux avaient correctement rempli toutes les rubriques nécessaires (la rubrique 2 : de A à L) à calculer la proportion et l incidence de MRSA en fonction de l origine du patient. Ces 7 institutions totalisaient 282 souches de MRSA dont 93 (33%) provenaient de porteurs connus. Les 189 souches (67%) restantes étaient isolées à l admission de patients pour lesquels le portage n était pas connu dans les antécédents (61 souches à partir d échantillons cliniques et 128 à partir de prélèvements de dépistage). - Parmi les 282 souches détectées à l admission (figure 1), 61 (22%) étaient importées par des patients transférés d un hôpital aigu, 24 (9%) par des patients transférés d une MR/MRS 57 (20%) par des patients ayant eu des contacts avec les deux types d institutions de soins durant l année écoulée. La source la plus importante était constituée par des porteurs connus (93 souches, 33%). Les souches dites communautaires (sans contacts antérieurs avec des institutions de soins) représentaient 16% (46 souches) de l ensemble des MRSA trouvés à l admission. Pour une seule souche les contacts avec les établissements de soins n étaient pas connus. Figure 1 : Répartition des souches de MRSA : proportion de MRSA présent à l admission selon les contacts antérieurs avec des institutions de soins Proportions de MRSA selon l'origine Communautaire 16% Portage connu 33% Contact/transfert Hôpital + MR/MRS 20% Contact/transfert d'une MR/MRS 9% Contact/transfert d'un hôpital 22% L incidence de MRSA à l admission atteint 40.4 cas par 1000 admissions.
8 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année MRSA ACQUIS A L'HOPITAL Rubriques et calcul: Dénominateur : Conditions : 3A * 1000/ dénominateur 7A et/ou 7B Réponse pour 3A et 7A, 7B 4.1. Incidence de MRSA acquis à l hôpital L incidence des nouveaux cas de MRSA a été calculée en prenant le nombre de nouveaux cas d acquisition nosocomiale en provenance d'échantillons cliniques (rubrique 3A) et les dénominateurs correspondants (7A, 7B): 14 répondants ont fourni toutes les données permettant ce calcul. Ces hôpitaux totalisaient 148 souches nosocomiales à partir d échantillons cliniques (rubrique 3A). L incidence moyenne globale 4 était de 0.26 nouveaux cas pour 1000 journées d hospitalisation ou 7.7 nouveaux cas par 1000 patients admis (médiane : 12 pour 1000 admissions). La moyenne des incidences n était pas significativement différente, ni par région, ni par taille d hôpital. Tableau 2 : Taux d'incidence et densité d incidence de MRSA nosocomial (échantillons cliniques uniquement) par région et par taille de l hôpital, année 2008 Incidence de MRSA nosocomial (échantillons cliniques) N hôpitaux Valeurs absolues Incidence moyenne Moyenne des incid. Distribution des incidences 25% 50% médiane 75% Min/Max Par 1000 jrs. d'hospitalisat. Par 1000 admissions / / Incidence de n-mrsa /1000 journées d hospitalisation, par REGION Flandre 7 69/ Wallonie 6 55/ Bruxelles 1 24/ Incidence de n-mrsa/1000 journées d hospitalisation, par TAILLE DE L HOPITAL < 200 lits / lits 4 26/ L'incidence moyenne globale = Σ 3A x 1000/ Σ 7A ou Σ 7B
9 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année Proportion de MRSA nosocomial à l hôpital Rubriques et calcul: Dénominateur : Conditions : 3A*100/ dénominateur 1A Données de type D uniquement Réponse pour 3A et 1A Au total, 148 souches de MRSA (3A, nosocomial uniquement) ont été isolées chez des nouveaux patients hospitalisés (3A) pour un total de 385 MRSA, nosocomial et autre, décrits dans les échantillons cliniques (1A) parmi 14 hôpitaux chroniques ayant correctement rempli ces deux volets. La proportion de cas de MRSA, acquis à l hôpital était donc de 38.4% en moyenne Proportion de MRSA nosocomial par type de service Rubriques et calcul: Dénominateur : Conditions : 4B *100/ dénominateur 4C *100/ dénominateur Σ 4B + 4C Réponse pour 4B et 4C Σ 4B + 4C = Σ 3A + 3B Pour le calcul de cet indicateur, la proportion de MRSA acquis à l hôpital (échantillons cliniques et de dépistage) est calculée en tenant compte du service ou le prélèvement a été réalisé. Il faut cependant interpréter cet indicateur avec prudence car le lieu de prélèvement n est pas nécessairement le lieu d acquisition du MRSA. Onze hôpitaux ont fourni les données nécessaires et valides pour le calcul de la proportion de MRSA nosocomial, reparti par type de service, parmi l ensemble des souches de MRSA pour l hôpital. Ces 11 hôpitaux totalisaient 133 souches de MRSA nosocomial en provenance de prélèvements cliniques et de dépistage. 10.5% des souches de n-mrsa étaient prélevées dans des services hospitaliers aigus (C, D) et 89.5% dans des services sub-aigus ou chroniques (G, Sp) Proportion de MRSA nosocomial par type d échantillon clinique Rubriques et calcul: Dénominateur : Conditions : 5A *100/ dénominateur 5B *100/ dénominateur Σ 5A + 5B Réponse pour 5A et 5B et 3A Σ 5A + 5B = Σ 3A Pour le calcul de la proportion du nombre de souches de n-mrsa par type d échantillon clinique sur l ensemble des souches (cliniques) de MRSA, 10 hôpitaux ont fourni les données nécessaires et valides. Ces hôpitaux totalisaient 72 souches de MRSA nosocomial en provenance de prélèvements cliniques dont 2 (2.8%) à partir d une hémoculture.
10 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année DEPISTAGE DE MRSA 5.1. Nombre de cas de n- MRSA détectés par prélèvement de dépistage Tous les 14 hôpitaux chroniques ont déclaré faire un dépistage de MRSA parmi les patients. Neuf hôpitaux isolaient également 49 souches nosocomiales à partir de prélèvements de dépistage (rubrique 3B) : min. 1 max. 22 souches. Cinq hôpitaux rapportaient zéro souches à partir d un dépistage. En tenant compte du dépistage, l incidence moyenne de nouveaux cas de MRSA acquis à l hôpital passe de 0.26 cas/1000 à 0.35 cas de n- MRSA pour 1000 journées d hospitalisation Indications pour la pratique du dépistage de MRSA Au cours de l année 2008, les 14 hôpitaux chroniques qui ont fourni des données pour le calcul de l incidence de n-mrsa, déclaraient qu'ils pratiquaient un dépistage à l admission du patient. Dans 4 hôpitaux un dépistage systématique de tous les patients à l admission était effectué. Cinq institutions réalisaient un dépistage auprès de patients venant d un hôpital en situation épidémique. Le dépistage était le plus souvent ciblé : 5/14 (36%) hôpitaux faisaient un dépistage à l admission dans certains services, 9/14 (64%) en fonction de l origine du patient (autre hôpital, MR/MRS) et 8/14 (57%) le réalisait en fonction du risque pour le patient. Les 14 hôpitaux chroniques déclaraient réaliser des dépistages en cours d hospitalisation : 12/14 (86%) hôpitaux le faisaient en situation épidémique, 5/14 (36%) dans certains services (Gériatrie) et 8/14 (57%) en fonction du risque du patient.
11 Surveillance de MRSA dans les hôpitaux chroniques belges : année CONCLUSIONS Vu la taille réduite des effectifs inclus dans la surveillance des hôpitaux chroniques, nous avons analysé les données sur l ensemble de l année 2008 afin de permettre une estimation plus précise des taux et incidences. Le taux de résistance des S.aureus de patients dans les hôpitaux chroniques est nettement plus élevé que celui des hopitaux aigus pour la même période (37.9% versus 25.1%) et identique au taux observé en maisons de repos et de soins (étude nationale de 2005 : 37.8%). Cela reflète clairement l incidence très élevée de MRSA présent à l admission : 40 cas pour admissions, soit plus de quatre fois la fréquence observée pour les admissions en hopitaux aigus. Cela s explique par la concentration de patients à risque admis en long séjour : patients âgés, transférés d hopitaux aigus et atteints de poly-pathologies prédisposant au portage de MRSA. Dans les pratiques de dépistage, de grandes similitudes apparaissent entre les deux secteurs, qui reflètent les recommandations nationales. Comme en aigu, le dépistage à l admission en chronique est guidé par l origine et par le risque du patient. Parmi l ensemble des patients positifs à l admission, 33% (en chronique) et 41.1% (en aigu) était des porteurs connus. Dans les centres de soins chroniques, 22% des patients positifs à l admission venait d un autre hôpital, tandis qu en aigu cette proportion n était que de 9%. La proportion de positifs à l admission ayant séjourné en MRS et en hôpital était exactement la même dans les deux types d établissements de soins (29%). La part communautaire était également comparable : 16% en chronique et 13.2% en aigu. Il est à souligner que l incidence de MRSA acquis à l hôpital était identique entre les deux types d établissement sur base du dénominateur adéquat, soit le nombre de journées d hospitalisation : 0.26 nouveaux cas de n-mrsa/1000 journées d hospitalisation. La proportion de MRSA nosocomial parmi l ensemble des patients avec MRSA était identique : 38% en chronique et 39% en aigu. Par contre, la proportion de souches de n-mrsa en provenance d hémocultures était plus faible en chronique (2.8%) qu en aigu (7.1%) ce qui peut s expliquer par la moindre utilisation en hospitalisation chronique de cathéters vasculaires et d autre procédures invasives de type chirurgie. Bien qu il soit prématuré de tirer des conclusions définitives, il est remarquable que malgré la plus lourde pression de colonisation à l admission et l accueil d une population à haut risque, l incidence d acquisition de MRSA en long séjour soit en moyenne similaire à celle en soins aigus. Ceci suggère une très forte mobilisation des équipes soignantes et d hygiène pour prévenir efficacement la transmission de MRSA dans ces institutions de soins chroniques.
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