Intervention à domicile des équipes de psychiatrie Retour d expériences

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1 METTRE EN ŒUVRE ET PARTAGER Intervention à domicile des éqipes de psychiatrie Retor d expériences kj JANVIER 2015

2 Les pblications de l ANAP s inscrivent dans 3 collections, por transmettre ax professionnels de santé les clés por : ANTICIPER ET COMPRENDRE ne thématiqe avant de s engager dans ne démarche de transformation et d amélioration de ler performance, xxxxxxxxxxxx DIAGNOSTIQUER et comparer lers performances, afin de bénéficier d n éclairage indispensable à l initiation de ler projet, METTRE EN ŒUVRE ET PARTAGER lers expériences avec lers pairs en s inspirant de conseils méthodologiqes et de pratiqes organisationnelles. 2 Paline Sassard, ANAP paline.sassard@anap.fr Céline Castro, ANAP celine.castro@anap.fr

3 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Résmé L ANAP a sohaité approfondir la connaissance des éqipes de psychiatrie intervenant à domicile a travers de ce retor d expériences. En effet, le domicile est ajord hi le principal lie de vie des personnes soffrant de trobles psychiqes et l offre de psychiatrie a s s adapter à cette évoltion en proposant des interventions à domicile. Trois grands enseignements pevent être mis en avant : Ces éqipes se sont développées a gré des secters, territoires, psychiatres et se caractérisent par ler très grande hétérogénéité. D atres acters ont également investi le domicile des patients en proposant des prestations très similaires. En l absence de référentiels, les modalités d intervention des éqipes sont variées et pe exploitées. Por atant, elles partagent n certain nombre de caractéristiqes commnes : profil des professionnels, encadrement, etc. Enfin, le maintien à domicile d n patient reqiert l intervention de nombrex acters relevant de différents champs : sanitaire, psychiatriqe, médico-social, social, etc., dont le cloisonnement reste très prégnant. 3 Abstract ANAP wanted to se this feedback to expand the knowledge of commnity psychiatric teams. People sffering from psychiatric problems now live mainly in their own homes and psychiatric treatment has had to adapt to this change by offering home treatment. Three major lessons emerged : These teams are very diverse, having been developed to meet the needs of different sectors, regions and psychiatrists. Other providers also offer very similar services to patients in their own homes. With no benchmarks available, teams work to varied and individal procedres. Despite this, they share a nmber of common characteristics, sch as professional profiles and monitoring. In the end, keeping patients at home involves many people from different fields : health, psychiatric, social care, etc., which often still work very mch in isolation.

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5 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Sommaire Introdction p. 6 Enseignements isss d retor d expériences p. 10 Une adaptation d secter de psychiatrie à l évoltion des besoins des pblics p. 11 Une diversification des modalités d intervention p. 11 Un partage par de nombrex acters p. 13 Une évoltion d profil des intervenants p. 15 Un fonctionnement empiriqe p. 17 Un objectif global de maintien à domicile d patient p. 17 Un cadre d intervention commn p. 18 Une méconnaissance de l activité IAD par les strctres p. 19 Une inscription dans n résea d acters p. 21 De nombrex partenaires à coordonner p. 21 Des acters médico-sociax à investir p. 24 Retor d expériences p. 26 Les interventions à domicile de sivi p. 28 Fiche 1 : Centre hospitalier Sambre Avesnois : CMP d Hatmont et de Mabege p. 28 Fiche 2 : Centre hospitalier Sainte-Marie de Clermont-Ferrand : 5 secters p. 31 Fiche 3 : Centre hospitalier spécialisé Montperrin : CMP d Aix-en-Provence et de Pertis p. 34 Fiche 4 : Établissement pblic de santé mentale de Lille métropole : SMPP p Les interventions à domicile de «crise» p. 41 Fiche 5 : Établissement pblic de santé mentale de Lille métropole : DIAD p. 41 Fiche 6 : Établissement pblic de santé mentale de l Agglomération lilloise : USSAD p. 44 Les interventions à domicile «d accompagnement» p. 47 Fiche 7 : Centre hospitalier Montéran Saint-Clade : ELLE Z p. 47 Fiche 8 : Établissement pblic de santé mentale de Caen : UAAD p. 50 Fiche 9 : Centre hospitalier Saint-Jean-de-Die : Unité Yves Tangy p. 53 Fiche 10 : Établissement pblic de santé mentale de Lille métropole : EMR7 p. 56 Les interventions à domicile «d évalation et d orientation» p. 59 Fiche 11 : Centre hospitalier Gillame Régnier : CREFAP p. 59 Fiche 12 : Centre hospitalier Léon-Jean Grégory de Thir : EMAP p. 62 Les interventions à domicile organisées par le SAMSAH et l HAD p. 66 Fiche 13 : Association Rote Novelle : SAMSAH p. 66 Fiche 14 : Association santé mentale et commnaté : HAD p. 70 Glossaire p. 74 Remerciements p. 76 Bibliographie p. 78

6 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Introdction 6 1. Contexte d retor d expériences Près de 70 % 1 des personnes soffrant de trobles psychiqes bénéficient ajord hi de soins dispensés en amblatoire. La dimintion de 56 % 2 des lits de psychiatrie générale a cors des 25 dernières années et ne politiqe de santé orientée vers la prise en charge en amblatoire ont contribé à développer les Interventions à domicile (IAD). Ces IAD des éqipes de psychiatrie répondent ax missions d secter de psychiatrie d accessibilité et de continité des soins. Celles-ci sont organisées par la circlaire d 15 mars 1960 relative a programme d organisation et d éqipement des départements en matière de ltte contre les maladies mentales. Elles sont, en otre, expressément visées dans n arrêté d 14 mars qi précise les missions des Centres médicopsychologiqes (CMP) : «des nités de coordination et d acceil en milie overt, organisant des actions de prévention, de diagnostic, de soins amblatoires et d interventions à domicile, mises à la disposition d ne poplation». Définition des interventions à domicile (IAD) : dans le cadre de ce docment, on entend par «IAD» l intervention d éqipes de psychiatrie de secter a domicile des personnes soffrant de trobles psychiqes, qelles qe soient lers modalités d intervention. 3. Programme santé mentale et psychiatrie mené par l ANAP Ce retor d expériences sr les IAD des éqipes de psychiatrie s inscrit dans le programme de travail santé mentale et psychiatrie mené par l ANAP. Il s article ainsi avec dex atres projets menés en parallèle : Un retor d expériences sr les reconversions de strctres sanitaires en établissements médico-sociax ; Le retor d expériences pet être conslté et téléchargé sr le site de l ANAP Objectifs d retor d expériences Si les IAD sont n des otils reconns d secter de psychiatrie por permettre le maintien dans le lie de vie des personnes soffrant de trobles psychiqes, lers conditions d intervention sont pe docmentées. C est porqoi l ANAP a initié n retor d expériences sr l intervention à domicile des éqipes de psychiatrie qi s inscrit dans le cadre d ne démarche exploratoire, avec n éclairage donné à n moment T. Ce travail vise à décrire les différents types de prises en charge mis en œvre, déterminer les facters de sccès et d échec de ces démarches et enfin analyser les relations entre les acters des champs sanitaire, social et médico-social. Un diagnostic territorial des parcors en santé mentale et psychiatrie sr 3 ARS pilotes (Nord-Pas-de-Calais, Bretagne, Avergne). Les différents acters d champ sanitaire, social et médico-social d territoire, ainsi qe des représentants des patients/sagers, familles et aidants, ont été rénis por élaborer n diagnostic partagé à la fin d dexième trimestre Une feille de rote sera ensite proposée dans le bt de faciliter la coopération des acters et flidifier le parcors des sagers en psychiatrie et santé mentale. Figre 1 : Le programme ANAP santé mentale et psychiatrie Intervention à domicile des éqipes de psychiatrie - Retor d expériences Reconversions de strctres sanitaires en établissements médico-sociax - Retor d expériences 1 DREES, les rapports d activité en psychiatrie (RAPSY), 22 novembre IGAS-IGF, établissements et services por personnes handicapées - Offre et besoins, modalités de financement, octobre Arrêté d 14 mars 1986 relatif ax éqipements et services de ltte contre les maladies mentales, comportant o non des possibilités d hébergement Diagnostic territorial des parcors en psychiatrie et santé mentale

7 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Introdction 4. Sélection des retors d expériences 4.1 Le sivi d projet Un comité des personnalités qalifiées a sélectionné 14 contribtions. Instance de sivi d projet, il a permis de porter n regard critiqe sr les retors d expériences en ve de définir la stratégie permettant de valoriser les pratiqes les pls intéressantes, exemplaires voire innovantes. 4.2 Le périmètre d retor d expériences Des strctres pbliqes o privées atorisées en psychiatrie Qi réalisent des interventions à domicile (visites, hospitalisation, éqipes mobiles, etc.) ; Qi interviennent a domicile ordinaire, à l exclsion de logements accompagnés o à caractère collectif qi inclent la dimension d soin dans ler projet même (ex : EHPAD, MAS, FAM, etc.) ; Qi interviennent après de personnes adltes atteintes de trobles chroniqes avec o sans handicap reconn. Figre 2 : Composition d comité des personnalités qalifiées (voir figre 3 en page 8) Organisme Personne désignée CSO ANAP Jean-François Badret CSO ANAP Dr Yvan Halimi LES SAMSAH ET HAD UNAFAM AGAPSY FNAPSY Jean Canneva Marie-Clade Barroche Clade Finckelstein Bien qe le service d accompagnement médico-social por adltes handicapés (SAMSAH) et l hospitalisation à domicile (HAD) psychiatriqe ne répondent pas ax critères de sélection (l n est ne strctre médico-sociale et l atre n dispositif expérimental), il a été décidé de rencontrer chacn des dispositifs. 7 ANPCME ADESM EPSM ADESM ESPIC ARSIF Dr Christian Müller Pascal Mariotti Jacqes Marescax Dr Catherine Isserlis En effet, a v de ler nombre de réponses à l appel à candidatres (6 por l HAD et 3 por le SAMSAH), l ANAP a sohaité comprendre les raisons de ler développement et ler place dans le parcors de la personne soffrant de trobles psychiqes. Un zoom particlier a ainsi été réalisé afin de comparer le SAMSAH et l HAD ax interventions des éqipes de psychiatrie de secter à domicile. CNS Annie Cadenel ESPI Marianne Affret ORSPERE Dr Jean Frtos CEDIAS Jean-Yves Barreyre

8 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Introdction 5. Les strctres retenes EPSM Lille métropole (x3) CH Gillame Régnier LILLE ARRAS LILLE ARRAS CHARLEVILLE- MÉZIÈRES AMIENS LAON CHARLEVILLE- ROUEN MÉZIÈRES AMIENS BEAUVAIS LAON CAEN ROUEN CHÂLONS- ÉVREUX METZ SAINT-LO PONTOISE SUR-MARNE BEAUVAIS PARIS CAEN CHÂLONS- BAR-LE-DUC ÉVREUX VERSAILLES METZ STRASBOURG SAINT-LO ÉVRY PONTOISE SUR-MARNE NANCY SAINT-BRIEUC ALENÇON PARIS BAR-LE-DUC VERSAILLES MELUN TROYES STRASBOURG RENNES CHARTRES ÉVRY NANCY QUIMPER SAINT-BRIEUC ALENÇON ÉPINAL RENNES LAVAL MELUN TROYES CHAUMONT COLMAR LE MANS CHARTRES QUIMPER VANNES ORLÉANS ÉPINAL BELFORT AUXERRE LAVAL CHAUMONT COLMAR LE MANS VESOUL VANNES BLOIS ANGERS ORLÉANS BELFORT TOURS AUXERRE NANTES VESOUL BLOIS BOURGES DIJON BESANÇON ANGERS NEVERS TOURS LA ROCHE-SUR-YON NANTES BOURGES DIJON BESANÇON CHATEAUROUX NEVERS LONS-LE-SAUNIER LA ROCHE-SUR-YON NIORT POITIERS MOULINS MACON CHATEAUROUX LONS-LE-SAUNIER LA ROCHELLE NIORT POITIERS MOULINS BOURG-EN-BRESSE GUÉRET MACON LYON ANNECY LA ROCHELLE LIMOGES BOURG-EN-BRESSE GUÉRET CLERMONT- CHAMBERY ANGOULÈME FERRAND LYON SAINT-ÉTIENNEANNECY LIMOGES TULLE CLERMONT- CHAMBERY ANGOULÈME FERRAND LE PUY-EN-VELAY PÉRIGUEUX SAINT-ÉTIENNE GRENOBLE AURILLAC TULLE BORDEAUX LE PUY-EN-VELAY PÉRIGUEUX PRIVAS VALENCE GRENOBLE AURILLAC GAP CAHORS MENDE BORDEAUX PRIVAS VALENCE AGEN RODEZ GAP CAHORS MENDE MONT-DE-MARSAN MONTAUBAN DIGNE-LES-BAINS AGEN NIMES AVIGNON RODEZ NICE ALBI MONT-DE-MARSAN MONTAUBAN MONTPELLIER DIGNE-LES-BAINS NIMES AVIGNON AUCH NICE TOULOUSE ALBI MARSEILLE MONTPELLIER PAU TOULON BASTIA TARBES AUCH TOULOUSE CARCASSONNE MARSEILLE PAU TOULON BASTIA TARBES FOIX CARCASSONNE PERPIGNAN AJACCIO FOIX EPSM Agglomération lilloise EPSM Caen SAMSAH Rote Novelle CH Sambre Avesnois CH Saint-Jean-de-Die HAD Santé mentale et commnaté CH Sainte-Marie de Clermont-Ferrand CHS Montperrin PERPIGNAN AJACCIO 8 CH Montéran Saint-Clade Figre 3 : 14 strctres retenes GUADELOUPE GUADELOUPE BASSE-TERRE BASSE-TERRE CH Léon-Jean Grégory Nom d dispositif Établissement de rattachement Ville Statt jridiqe Centre ressorce familles & trobles psychotiqes (CREFAP) Centre hospitalier Gillame Régnier Rennes Pblic CMP d Aix-en-Provence et de Pertis Secter 13G18 Centre hospitalier spécialisé Montperrin Aix-en- Provence Pblic CMP de Mabege et d Hatmont Secter 59G39 Centre hospitalier de Sambre Avesnois Mabege Pblic Dispositif d intervention à domicile (DIAD) Secter 59G18 EPSM Lille métropole Linselles Pblic Éqipe mobile d Argelès en psychiatrie (EMAP) Secter 66G04 Éqipe mobile de réhabilitation sociale et psychosociale (EMR7) Secter 59G07 Éqipe référente de maintien et de sotien por les logements protégés (ELLE Z) Secter 96G02 Secters 63G03, 63G04, 63G05, 63G06, 63G07 Centre hospitalier Léon-Jean Grégory de Thir Argelès Pblic EPSM Lille métropole Armentières Pblic Centre hospitalier Montéran Saint Clade Centre hospitalier Sainte Marie de Clermont-Ferrand Capesterre - Gadelope Clermont- Ferrand Soins médico-psychologiqes de proximité (SMPP) Secter 59G21 EPSM Lille métropole Ronchin Pblic Unité d aide et d accompagnement à domicile (UAAD) Secter 14G07 EPSM de Caen Lisiex Pblic Unité de soins sotens à domicile (USSAD) Secter 59G23 EPSM Agglomération lilloise Lille Pblic Unité Yves Tangy Pôle intersectoriel de soins et de réhabilitation Centre hospitalier Saint-Jean-de-Die Lyon PNL HAD en psychiatrie Association Santé mentale et commnaté Villerbanne PNL SAMSAH por adltes handicapés psychiqes Association Rote Novelle Tolose PNL Pblic PNL

9 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Introdction 6. Méthodologie d retor d expériences Une visite de chacn des 14 dispositifs a été réalisée et a donné lie à la rédaction d ne monographie, validée par les professionnels rencontrés et ler direction. Un séminaire de restittion et d échanges a été organisé avec les professionnels des strctres visitées afin de partager les premiers enseignements tirés des monographies. Dex ateliers de travail ont permis de porter pls particlièrement la réflexion sr : La qestion de la place des IAD dans le parcors de la personne soffrant de trobles psychiqes ; La qestion d pilotage de l activité des IAD. Les retors d expériences ont constité la matière première por formaliser les enseignements repris dans ce docment. L ANAP remercie donc très sincèrement celles et cex qi ont bien vol mettre ler expérience a profit de tos. Por tenter de restiter la richesse des informations collectées, tot en identifiant les principax axes convergents, le docment est strctré en dex parties : Des enseignements isss des retors d expériences qi reprennent les constats partagés sr le fonctionnement des 14 éqipes, par définition hétérogènes car organisées por répondre à des besoins propres à ler territoire. Ces constats sont le frit des échanges avec les professionnels de terrain ; Des synthèses des 14 monographies. Les monographies des retors d expériences, telles qe validées par les strctres, sont consltables et téléchargeables dans ler version intégrale sr le site de l ANAP Destinataires de la pblication Cette pblication s adresse pls particlièrement ax : Directers d établissements et services sanitaires, sociax et médico-sociax ; Cadres de santé ; Psychiatres ; Professionnels soignants ; Fédérations d secter ; PRÉCAUTIONS DE LECTURE La diversité des modalités d intervention des secters de psychiatrie Le nombre et la diversité des secters de psychiatrie ont permis le développement de dispositifs d intervention à domicile très différents. Cette variété des IAD constite ne richesse, à l image de la diversité des besoins des patients ; elle représente également ne complexité qi empêche de tirer des enseignements homogènes sr l organisation des IAD. Des constats et ne sémantiqe isss des visites des dispositifs L état des liex proposé sr les IAD est iss des visites réalisées après de 14 strctres et des échanges avec les professionnels. Il a niqement vocation à rendre compte des dispositifs tels qe décrits par les professionnels rencontrés. Assi : Il ne prétend pas être exhastif ; Il n est pas représentatif de l ensemble des dispositifs existant en France ; Il ne vise pas à décrire ne organisation générale des IAD. Le retor d expériences s appie sr l implication volontaire des établissements qi ont répond à l appel à candidatres et qi ont sohaité partager ler expérience. Les entretiens avec les différents professionnels mettent en avant la difficlté, parfois, de restiter les actions et de les valoriser, et expliqent en partie l absence d ne description fine de lers activités dans ce docment. CE DOCUMENT REPREND LA TERMINOLOGIE UTILISÉE PAR LES ACTEURS RENCONTRÉS. 9 Usagers, familles et aidants.

10 1 Enseignements isss d retor d expériences

11 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences Une adaptation d secter de psychiatrie à l évoltion des besoins des pblics Historiqement, les Centres médico-psychologiqes (CMP) intervenaient en sortie d hospitalisation avec des Visites à domicile (VAD) réalisées par des infirmiers por permettre ax patients soffrant de trobles psychiqes de vivre à domicile. Le movement de désinstittionalisation massif des patients a nécessité ne évoltion des modalités d intervention de l extrahospitalier por répondre ax différents besoins des patients. Ainsi, des nités de réhabilitation psychosociale ont été mises en place por aider les personnes à réinvestir la cité. La loi d 11 février 2005 por l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées 4 a reten explicitement la notion de handicap psychiqe. Elle s appie sr le principe d recors ax dispositifs de droit commn, li-même étayé par n droit à compensation por favoriser l accès à l atonomie des personnes handicapées. Ce movement a été accompagné par ne diversification dans tos les modes d intervention, et particlièrement à domicile, impactant les acters mobilisés et le profil des professionnels. 1. Une diversification des modalités d intervention Les interventions à domicile (IAD) impliqées dans le retor d expériences pevent être schématiqement classées en 4 catégories. Figre 4 : Typologie des interventions à domicile Évalation & orientation Sivi Interventions à domicile Crise Figre 5 : Répartition des strctres visitées par typologie d intervention Catégorie d IAD Sivi Crise Accompagnement Évalation et orientation Nom d dispositif CMP de Mabege et d Hatmont Secter 59G39 CH Sainte Marie de Clermont-Ferrand Secters 63G03, 63G04, 63G05, 63G06, 63G07 CMP d Aix-en-Provence et CMP de Pertis Secter 13G18 Soins médico-psychologiqes de proximité (SMPP) - Secter 59G21 Dispositif d intervention à domicile (DIAD) Secter 59G18 Unité de soins sotens à domicile (USSAD) Secter 59G23 Unité d aide et d accompagnement à domicile (UAAD) Secter 14G07 Unité Yves Tangy Pôle intersectoriel d CH Saint-Jean de Die Éqipe mobile de réhabilitation sociale et psychosociale (EMR7) Secter 59G07 Éqipe référente de maintien et de sotien por les logements protégés (ELLE Z) Secter 96G02 Centre ressorce familles & trobles psychotiqes (CREFAP) Pôle hospitalo-niversitaire d CH Gillame Régnier Éqipe mobile d Argelès en psychiatrie (EMAP) Secter 66G04 11 Accompagnement 4 Loi n d 11 février 2005 por l égalité des droits et des chances, la participation et la citoyenneté des personnes handicapées, pbliée a JORF n 36 d 12 février 2005 page 2353

12 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences 1.1 Des interventions à domicile «de sivi» 12 Les interventions à domicile «de sivi», pls commnément appelées «Visites à domicile» (VAD), sont majoritairement prescrites a moment de la sortie de l hôpital d patient o à l isse d ne consltation en CMP, en direction de patients chroniqes. Le sivi assré est pls o moins long en fonction des besoins de la personne. Ces VAD sont organisées dans le cadre des missions traditionnelles des CMP de proximité et de continité de soins organisées par la circlaire d 15 mars Elles sont réalisées par n infirmier sr prescription médicale et avec le consentement d patient. Par exemple, le CMP d Hatmont, rattaché a centre hospitalier de Sambre Avesnois, organise des VAD «de sivi» depis sa création en Des interventions à domicile «de crise» Des interventions à domicile se spécialisent dans la réponse à des sitations de patients en crise aigë. Elles reqièrent n mode d organisation adapté avec des moyens renforcés et ne réactivité des éqipes, et se rapprochent d modèle de l Hospitalisation à domicile (HAD). Elles sont prescrites sr de très cortes drées. Les éqipes se composent majoritairement de professionnels soignants (psychiatre et infirmier). Cf. présentation de l HAD pages 13 et 14. Par exemple, le Dispositif d intervention à domicile (DIAD), rattaché à l EPSM Lille métropole, permet de mobiliser des moyens importants avec l organisation d IAD infirmières (qotidiennes voire plriqotidiennes) et d IAD médicales (hebdomadaires) sr ne période de 10 jors. 1.3 Des interventions à domicile «d accompagnement» Certains patients reqièrent la mise en place d interventions à domicile spécialisées sr le volet accompagnement et/o recherche de logement, à la site de ler sortie d hospitalisation. La prise en charge proposée est pls sotene qe dans le cadre des IAD «de sivi» avec ne fréqence des interventions beacop pls conséqente, qi expliqe la qalification de «VAD renforcées» tilisée par plsiers éqipes rencontrées. Certaines IAD «d accompagnement» pevent se centrer sr la prise en charge globale de l sager. Par exemple, l Unité d aide et d accompagnement à domicile (UAAD), rattachée à l EPSM de Caen, est ne strctre expérimentale sitée entre l HAD et le Service de soins infirmiers à domicile (SSIAD) qi propose ne prise en charge globale et ne présence très sotene de l éqipe après d patient. UNE ORGANISATION SOUTENUE PAR UNE LARGE PALETTE DE SERVICES A-delà de la sele diversification des IAD, certains secters ont mis en place ne palette de services très large por répondre à l ensemble des besoins des personnes soffrant de trobles psychiqes. C est le cas d secter 59G21 rattaché à l EPSM de Lille métropole qi, por favoriser le maintien à domicile, a développé n large éventail de prestations. Celles-ci vont d soin à l accompagnement à l intégration dans la cité, conformément à la politiqe sectorielle. Ce modèle, très intégré dans la cité, est sos-tend par ne forte mobilisation des moyens d secter 59G21 qi développe li-même les différents modes de prises en charge o d accompagnement. Sa reprodctibilité pet apparaitre difficile à envisager sr des territoires où les services médico-sociax o sociax, par exemple, sont déjà très présents après des personnes soffrant de trobles psychiqes. Il est également très dépendant des moyens dont disposent les secters de psychiatrie qi sont variés mais également des cltres professionnelles, l organisation d n secter étant «psychiatre-dépendant». Figre 6 : Activités d secter 59G21 SOINS Amblatoire : Service médico-psychologiqe de proximité (SMPP) et Soins intensifs intégrés dans la cité (SIIC) ; Temps complet : Acceil familial thérapetiqe alternatif à l hospitalisation & Cliniqe J. Bosch. PRÉVENTION / INTÉGRATION COMMUNAUTAIRE CISSMC : Conseil intercommnal de santé, santé mentale et citoyenneté ; Actions de prévention et destigmatisation. ACCOMPAGNEMENT HabiCité : Appartements associatifs, centre transitoire S. Beckett, résidence A. Breton ; Loisirs/cltre/travail : Saisic-Frontières, Sagacité, Fond d art contemporain, Insertion par le travail - Atelier F. Léger.

13 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences D atres IAD «d accompagnement» pevent être axées sr le logement. Ces IAD sont des émanations d nités de réhabilitation et font appel ax compétences de professionnels édcatifs. Par exemple, l nité Yves Tangy, rattachée a pôle intersectoriel d centre hospitalier Saint-Jean-de-Die, a organisé des IAD qalifiées de «VAD de réhabilitation» por accompagner le patient à entrer en appartement associatif. 1.4 Des interventions à domicile «d évalation et d orientation» Certaines éqipes se mettent en place por répondre à la «non demande» des personnes o à la demande de familles et de tiers. Cette intervention ponctelle permet de réaliser ne évalation de la personne et de li proposer ne orientation. Par exemple, l Éqipe mobile d Argelès en psychiatrie (EMAP), rattachée a centre hospitalier Léon-Jean Grégory, intervient à la demande de tote personne por anticiper et évaler les sitations de crise de natre psychiatriqe. Par exemple, le Centre ressorces familles et trobles psy chotiqes (CREFAP), rattaché a pôle hospitalo-niversitaire d centre hospitalier Gillame Régnier, intervient à la demande des familles por accompagner n proche à domicile. 2. Un partage par de nombrex acters Si historiqement les VAD étaient organisées par les CMP, les IAD pevent ajord hi l être par ne plralité d acters : 8 types d acters sont recensés dans le cadre de ce retor d expériences. Figre 7 : Acters rencontrés organisant des IAD après de personnes soffrant de trobles psychiqes Cette diversification pet trover ne explication dans l agmentation de la file active de certains CMP et ler impossibilité de répondre ax novelles demandes de patients, avec des délais d attente très longs por obtenir ne consltation. En effet, la croissance de la demande n a généré parallèlement acne agmentation des éqipes des CMP. Por pallier ces difficltés, les Agences régionales de santé (ARS) financent des éqipes mobiles et incitent des acters non nécessairement isss d secter de psychiatrie à intervenir à domicile. LES OFFRES D ACCOMPAGNEMENT ET PRISES EN CHARGES PROPOSÉES PAR LE SAMSAH ET L HAD Des HAD et SAMSAH interviennent à domicile por accompagner des personnes soffrant de trobles psychiqes en délivrant des prestations proches de celles d secter de psychiatrie. L HAD Santé mentale et commnaté et le SAMSAH Rote Novelle ont été créés à l initiative des ARS o des anciennes DDASS por répondre à des besoins des patients/sagers non coverts par le secter de psychiatrie dans le cadre des IAD. 2.1 HAD expérimentale en psychiatrie Définition de l HAD L arrêté d 14 mars 1986 permet d organiser l Hospitalisation à domicile (HAD) en psychiatrie, et ne circlaire d 4 février 2004 relative à l hospitalisation à domicile 5 précise le cahier des charges de la prise en charge en HAD en psychiatrie. 13 SAMSAH HAD Unité de réhabilitation CMP Interventions à domicile Hôpital de jor Résidence thérapetiqe Éqipe mobile L HAD est ne strctre sanitaire qi intervient à titre expérimental en psychiatrie. Elle est n temps d hospitalisation hors les mrs qi met en place n soin intensif en cas de crise aigë sr ne corte drée et qi vise à : La délivrance, à domicile, de soins individalisés, coordonnés et d ne particlière intensité ; Le maintien o le développement de l atonomie d patient ; Son insertion o sa réinsertion sociale en prenant en compte son environnement social o familial. Centre ressorces 5 Circlaire DHOS/O n d 4 février 2004 relative à l hospitalisation à domicile

14 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences 14 L HAD doit répondre à n certain nombre d exigences réglementaires, et notamment ne obligation de fréqence des interventions (a moins qotidienne voire plriqotidienne) et de permanence et continité des soins (7j/7, 24h/24) Tentatives de développement de strctres d HAD par le secter de psychiatrie Certains dispositifs «de crise» mis en place par le secter de psychiatrie répondent partiellement ax objectifs de l HAD et ont le projet de créer ne HAD. L absence de moyens sffisants por assrer ne intervention 24h/24 et 7j/7, d nité fonctionnelle o de ressorces spplémentaires en empêchent la création. Par exemple, a Pôle de Lisiex de l EPSM de Caen, le choix de créer ne strctre expérimentale à mi-chemin entre le SSIAD et l HAD s expliqe par l impossibilité de créer ne HAD en raison de l absence de fonctionnement des rgences 24h/24 et la difficlté à assrer la covertre d weekend par le personnel affecté à la strctre. D atres dispositifs ont sspend ler projet de création d ne HAD en attendant ne adaptation d cahier des charges de l HAD à la psychiatrie mais assi devant l impossibilité de répondre ax objectifs d activité imposées à l HAD. 2.2 SAMSAH por personnes handicapées psychiqes Définition d SAMSAH Le Service d accompagnement médico-social por adltes handicapés (SAMSAH) a été créé par n décret d 11 mars 2005 relatif ax conditions d organisation et de fonctionnement des services d accompagnement à la vie sociale et des services d accompagnement médico-social por adltes handicapés 6. Il s agit d ne strctre médico-sociale qi fait l objet d ne doble atorisation et d n doble financement par le Conseil Général et l Agence régionale de santé (ARS). Le SAMSAH prend en charge des personnes adltes handicapées dont les déficiences et incapacités nécessitent, dans des proportions adaptées ax besoins de chaqe sager, ne assistance o n accompagnement por tot o partie des actes essentiels de l existence, n accompagnement social en milie overt et n apprentissage à l atonomie, des soins régliers et coordonnés ainsi q n accompagnement médical et paramédical en milie overt. L HAD EN PSYCHIATRIE L HAD en psychiatrie est ajord hi très pe développée sr le territoire. La Cor de comptes 7 dénombrait en 2013 treize établissements titlaires d ne atorisation d HAD en psychiatrie. Freins Un certain nombre de freins a développement de telles strctres pet exister : Les ARS ne pevent pls atoriser des HAD en psychiatrie, saf dans le cadre d expérimentations. En otre, ces HAD pevent être confrontées à ne absence de renovellement de ler atorisation ; La réglementation de l HAD en termes de cadrage, certification, etc. est très lorde / contraignante por les strctres et a por conséqence la création de dispositifs proches de l HAD par le secter de psychiatrie. Enjex L HAD vise à proposer ne hospitalisation hors les mrs dans n objectif de maintien à domicile d patient et répond ax besoins de certains d entre ex. Perspective d avenir Les strctres d HAD ont ajord hi besoin d ne lisibilité politiqe et réglementaire concernant ler avenir. être réalisé dans le cadre des IAD de sivi, des VAD d accompagnement et d SAMSAH. Cette similarité des prestations interroge la place des différents intervenants et la mltiplicité des prises en charge a domicile d patient. Cf. «Des acters médico-sociax à investir», page Un frein : le temps de mobilisation d n SAMSAH Le SAMSAH intervient sr notification de la Maison départementale des personnes handicapées (MDPH) por ne drée déterminée de 3 ans renovelable. La notification de la MDPH por entrer en SAMSAH prend d temps, avec n délai moyen de traitement des demandes de 4,4 mois en et va nécessiter la mise en place d n dispositif sectoriel à la sortie d patient. En conséqence, ce délai d intervention d SAMSAH vient en contradiction avec le besoin de réactivité nécessaire à l accompagnement des patients soffrant de trobles psychiqes Qelle place por le SAMSAH dans le cadre des IAD? Les prestations réalisées par le SAMSAH sont proches de celles réalisées par certaines éqipes d secter de psychiatrie dans le cadre des IAD, notamment sr le versant accompagnement. Par exemple, l accompagnement por faire les corses pet 6 Décret n d 11 mars 2005 relatif ax conditions d organisation et de fonctionnement des services d accompagnement à la vie sociale et des services d accompagnement médico-social por adltes handicapés, pblié a JORF d 13 mars Cor des Comptes, La sécrité sociale - Rapport sr l application des lois de financement de la sécrité sociale, 17 septembre CNSA, MDPH : Une adaptation contine, Synthèse des rapports d activité 2012 des maisons départementales des personnes handicapées, décembre 2013

15 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences 3. Une évoltion d profil des intervenants La diversification des modalités d intervention a également modifié le profil des professionnels des éqipes d IAD. La composition des éqipes a ainsi évolé afin d améliorer l accompagnement des patients, avec l arrivée notamment d édcaters spécialisés. D atres professionnels non soignants interviennent assi : psychologes, conseillères en économie sociale et familiale, psychomotriciens, ergothérapetes, moniters d atelier, etc. Figre 8 : Professionnels rencontrés composant les éqipes d intervention à domicile Catégorie d IAD IAD de sivi IAD d accompagnement IAD d évalation et d orientation IAD de crise Strctres Professionnels CMP de Mabege et d Hatmont Secter 59G39 - Centre hospitalier de Sambre Avesnois Secters 63G03, 63G04, 63G05, 63G06, 63G07 - Centre hospitalier Sainte-Marie de Clermont-Ferrand Soins médico-psychologiqes de proximité (SMPP) Secter 59G21 - EPSM Lille métropole CMP d Aix-en-Provence et de Pertis Secter 13G18 - Centre hospitalier spécialisé Montperrin Unité d aide et d accompagnement à domicile (UAAD) Secter 14G07 - EPSM de Caen Éqipe mobile de réhabilitation sociale et psychosociale (EMR7) Secter 59G07 - EPSM Lille métropole Unité Yves Tangy Pôle intersectoriel de soins et de réhabilitation - Centre hospitalier Saint-Jean-de-Die Éqipe référente de maintien et de sotien por les logements protégés (ELLE Z) Secter 96G02 - Centre hospitalier Montéran Saint-Clade Éqipe mobile d Argelès en psychiatrie (EMAP) Secter 66G04 - Centre hospitalier Léon-Jean Grégory de Thir Centre ressorce familles & trobles psychotiqes (CREFAP) - Centre hospitalier Gillame Régnier - Pôle hospitalo-niversitaire de psychiatrie de l adlte Dispositif d intervention à domicile (DIAD) Secter 59G18 - EPSM Lille métropole Unité de soins sotens à domicile (USSAD) Secter 59G23 - EPSM Agglomération lilloise Aidesoignant Cadre de santé CESF Édcater spécialisé Infirmier Psychiatre Psychologe Psychomotricien Secrétaire non oi non non non non ponct. oi ponct. ponct. non non oi oi oi non non non oi ponct. non non non oi non oi non non oi oi ponct. non oi oi ponct. non oi oi non oi oi oi non oi oi non non oi non non oi oi ponct. non non non 15 IAD hors secter de psychiatrie* HAD en psychiatrie - Santé mentale et commnaté oi ponct. non non SAMSAH por adltes handicapés psychiqes - Association Rote Novelle oi oi non non non oi ponct. non Professionnel intervenant à domicile Professionnel intervenant ponctellement à domicile Professionnel n intervenant pas à domicile *Le SAMSAH et l HAD ne répondent pas strictement ax critères de sélection de cette étde, cependant ler développement et ler place dans le parcors de la personne soffrant de trobles psychiqes est tel q il a été décidé de les rencontrer. Précisions de lectre d tablea Les assistantes sociales réalisent ponctellement des interventions à domicile. Elles sont le pls sovent rattachées a CMP et ne disposent pas d n temps dédié exclsivement ax éqipes d IAD. Les psychiatres, psychologes et psychomotriciens composant les éqipes d IAD interviennent ponctellement à domicile. Ils proposent des consltations ax patients sivis en IAD en dehors de ler domicile. La présentation des professionnels n est pas représentative de l ensemble des éqipes existantes. Ainsi, par exemple, les éqipes rencontrées ne disposent pas d aides médico-psychologiqes.

16 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences Les principax intervenants à domicile rencontrés Aide-soignant L aide-soignant est présenté comme bénéficiant d ne qalité de contact dans les actes de la vie qotidienne et d ne grande disponibilité. Ce professionnel est moins pris par les actes techniqes et dispose de davantage de temps por s occper de l aspect relationnel. Il pet également réaliser n accompagnement dans les soins d hygiène Assistante sociale L intervention d ne assistante sociale à domicile est présentée comme ne réelle pls-vale par sa connaissance fine d résea et son expertise d logement. Otre son rôle important dans la préparation de la sortie avec la recherche d logement et l accompagnement de la personne, elle intervient également sr demande des éqipes, ponctellement et en fonction des besoins d patient, por, par exemple, contacter n service d aide à domicile o encore réaliser des demandes administratives. Malgré son rôle fondamental a domicile, pe d éqipes disposent d n temps dédié d assistante sociale dans lers effectifs et elles ne pevent faire appel à cette dernière qe très ponctellement Édcater spécialisé Certaines éqipes ont choisi de remplacer n poste infirmier par n poste d édcater spécialisé. Ce professionnel est présenté comme disposant d ne approche/regard différent avec ne vision moins sanitaire des interventions et ne pls grande overtre sr l extérier. Il tilise des otils pls adaptés à l accompagnement des sagers tels des grilles d évalation o le projet de vie de la personne Infirmier Historiqement, les interventions à domicile ont été réalisées par des infirmiers. Les VAD «de sivi» se composent majoritairement d infirmiers qi présentent ne grande polyvalence dans lers actes, allant d soin à la coordination à l accompagnement, à l atonomisation d patient, notamment en l absence des acters idoines. On les retrove également dans des dispositifs de crise, où ler présence se jstifie par la nécessité d être non pas dans l aide à la réalisation des actes de la vie qotidienne mais dans la coordination des soins et l analyse cliniqe Psychiatre En pls de la prescription et d sivi des IAD, l intervention d n psychiatre à domicile est de pls en pls fréqente dans les noveax dispositifs. Elle permet à ce dernier de disposer d ne indication sr le plan cliniqe de ce qi se passe à domicile et de bénéficier d n regard croisé avec l infirmier sr la personne soffrant de trobles psychiqes. 3.2 Description des missions des professionnels des éqipes d IAD La description des missions des professionnels des éqipes d IAD est isse des échanges avec les éqipes, qi n ont pas permis de disposer d ne présentation générale des missions des différents intervenants. Celles-ci mériteraient d être précisées dans n soci de clarification d rôle de chacn. Cette description amène n certain nombre de qestion - nements : Une indisponibilité des ressorces sr le secter de psychiatrie ; La présence de certains professionnels dans le cadre des interventions à domicile interroge le fonctionnement d secter de psychiatrie. D ne part, l assistante sociale, dont le rôle est reconn comme fondamental a domicile, est insffisamment présente dans le cadre des IAD. D atre part, l intervention de psychiatres à domicile qestionne compte ten des besoins d secter en psychiatres ; Un risqe de glissement de tâches des professionnels ; L indisponibilité d assistantes sociales pet condire les intervenants, et notamment les infirmiers, à n glissement de tâches, en étant contraint d assmer ler rôle. L absence d acters idoines sr le territoire (SAAD, SAMSAH, etc.) pet également engendrer les mêmes conséqences. De même, le recors à des professionnels édcatifs dans les éqipes d IAD interroge lers missions et pet risqer d entraîner des glissements de tâches (voire ne transformation de poste) vers le métier d infirmier.

17 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences Un fonctionnement empiriqe Bien q acn texte ne fixe précisément les missions et l organisation des IAD (contrairement a SAMSAH o à l HAD, dont le cadre d intervention est rigoresement fixé), les strctres rencontrées se sont chacne dotées d objectifs et d n cadre d intervention, dont les caractéristiqes sont sovent commnes. Les éqipes rencontrées s accordent sr la nécessité d améliorer la connaissance de ler activité a domicile d patient. 1. Un objectif global de maintien à domicile d patient Les IAD visent totes n objectif global de maintien à domicile des personnes soffrant de trobles psychiqes qi pet se décliner de diverses manières. Les éqipes rencontrées déclarent réaliser tot o partie des objectifs sivants : Figre 9 : Objectifs des IAD Des objectifs sanitaires Éviter, limiter, compléter, remplacer le recors à l hospitalisation Préparer ne hospitalisation Assrer ne prévention des rechtes Rédire la drée de l hospitalisation Éviter les rptres après l hospitalisation Stabiliser la personne Assrer ne continité des soins/ne observance d traitement/ ne alliance thérapetiqe Conserver n contact avec le système de soins avec n sivi attentif Initier ne prise en charge Répondre à ne rgence diagnostic o pronostic Fornir ne accessibilité ax soins por des personnes éloignées géographiqement o rencontrant des difficltés à se déplacer Orienter la personne Évaler l état cliniqe, milie de vie, environnement, capacités d atonomie, ressorces et difficltés, étayage familial Des objectifs d accompagnement Écoter, rassrer, sotenir l entorage de la personne Travailler à la réinsertion sociale et à l atonomie de la personne Permettre ne atonomisation de la personne Coordonner les différents intervenants ator d patient et de la vie extériere Maintenir la personne dans son milie Instarer ne relation d aide et de confiance avec le patient, voire la famille Travailler à la déstigmatisation de la maladie mentale Assrer ne qalité de vie d patient à domicile Organiser le relais Accompagner la personne dans les différentes démarches et orientations (accompagnement vers des soins médicax) Proposer n accompagnement soten 17 Ces objectifs ne décrivent pas l activité qotidienne des professionnels dans le cadre de lers interventions à domicile. L «édcation thérapetiqe» est, par exemple, absente des objectifs présentés par les éqipes rencontrées.

18 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences Un cadre d intervention commn Malgré ler diversité, les strctres rencontrées s inscrivent dans des règles de fonctionnement majoritairement partagées. 2.1 Le choix d intervenants expérimentés Les professionnels doivent détenir ne expérience en psychiatrie. La connaissance de la maladie mentale et d secter sanitaire est n préreqis por intervenir après des personnes atteintes de trobles psychiqes, et a fortiori à domicile. Por atant, cette vision très sanitaire de la VAD tend à être remise en qestion par certains dispositifs. Le psychiatre doit également détenir ne expérience afin de disposer d ne connaissance des enjex a-delà d qotidien et d ne réflexion globale sr les réponses apportées par le dispositif de soins. 2.2 L organisation des éqipes La majorité des éqipes fait intervenir n sel professionnel à domicile, notamment por des raisons de moyens, mais assi por ne pas caser chez le patient de sentiment d intrsion. D atres interviennent à dex voire à trois professionnels, afin notamment de bénéficier d n regard croisé sr le patient. Un référent pet être mis en place après d patient, afin de créer n point de repère por ce dernier. Mais bien sovent, n binôme o trinôme intervient en alternance afin de ne pas instarer de relation fsionnelle entre patient et professionnel, d éviter la rptre dans la relation lors des absences et de permettre ne observation cliniqe pls affinée. Certains professionnels sont dédiés ax IAD et d atres sont partagés avec le centre médico-psychologiqe, l hôpital de jor, le centre d acceil thérapetiqe à temps partiel, voire la résidence thérapetiqe. Ce panachage des activités amblatoires permet ax professionnels de diversifier lers missions et de réaliser ne observation cliniqe des patients dans divers domaines. Des fiches de postes des professionnels intervenant en IAD pevent permettre de préciser les missions attendes. 2.3 L échange d informations De nombreses rénions sont organisées par les éqipes afin de procéder à des échanges d informations sr la sitation d patient, en intra-hospitalier et en extra-hospitalier. Un dossier patient permet de sivre finement l état de santé d patient ; les professionnels y renseignent qotidiennement ler activité. Il pet être partagé entre différents professionnels, entre soignants niqement o entre soignants et non soignants de l établissement, et tend à être informatisé. Le partage d informations avec des intervenants à domicile extériers, a fortiori non soignants, renvoie les éqipes à des qestionnements éthiqes. 2.4 L évalation d patient Les éqipes procèdent à ne évalation globale de la personne a cors de la première visite à domicile. Pe d otils existent por organiser ces évalations, par choix de certaines éqipes de ne pas «faire entrer le patient dans des cases». A contrario, de noveax dispositifs, isss d nités de réhabilitation psychosociale et pls tornés sr l accompagnement, disposent d otils permettant d évaler l atonomie d patient : grilles d évalation des habiletés sociales, livret d ato-évalation des habiletés sociales d patient, etc. Le livret d ato-évalation des habiletés sociales permet, par exemple, a patient, de recenser ses habiletés sociales ainsi qe les difficltés rencontrées. Il est rempli par le patient à son entrée dans le dispositif et est rev réglièrement afin q il pisse sivre son évoltion tot a long de la prise en charge. 2.5 La prévention des risqes professionnels Les IAD impliqent des conditions de travail qi pevent être éprovantes por les professionnels, notamment en termes de réactivité et de soplesse. En otre, le domicile confronte les intervenants à ne solitde et à certains risqes liés ax pblics accompagnés (agressivité par exemple). Por limiter les risqes professionnels, n certain nombre d otils ont été développés por accompagner les professionnels a qotidien. Un fort encadrement des éqipes est mis en place avec de nombreses rénions, et n professionnel encadrant en sotien des éqipes. Il est important qe les professionnels pissent s appyer sr l encadrement, notamment por pallier ler solitde liée à l exercice de lers missions à domicile ; Des limites ax IAD sont posées, compte ten notamment de la dangerosité d patient. En cas de sitation à risqe, les interventions se font à dex. Elles pevent assi se faire à dex por les novelles prises en charge, tant qe la personne n est pas «conne/stabilisée». Des consltations infirmières dans n local pevent également permettre ax éqipes d éviter de se rendre a domicile de la personne ; Des protocoles indiqent ax professionnels la condite à tenir en cas d absence de la personne, de risqe vital à cort terme (risqe sicidaire), etc ;

19 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences Des gropes d analyse de pratiqes, animés par n psychologe o n psychanalyste extérier se rénissent à la demande des professionnels. Ce travail permet ax intervenants de prendre d recl sr des sitations difficiles. Ils pevent ainsi présenter lers difficltés professionnelles liées à la perception individelle de la prise en charge. Le psychologe apporte alors le regard d n tiers sr des sitations et ler donne l occasion de se réinterroger sr ler place par rapport a patient ; Un Dispositif d alarme por travailler isolé (DAPI) permet ax professionnels d alerter les secors en cas de problème ; Enfin, l organisation des tornées des professionnels, notamment a travers d n éqilibrage des tornées entre les patients nécessitant des prises en charge lordes et cex nécessitant des prises en charge pls légères pet permettre de solager le travail des professionnels. 3. Une méconnaissance de l activité IAD par les strctres Les professionnels rencontrés renseignent finement et qotidiennement ler activité dans le cadre d Receil d information médicalisée en psychiatrie (RIM-P). Por atant, ces informations sont pe exploitées en interne et n offrent pas la faclté ax éqipes de connaître et sivre ler activité. Cette difficlté expliqe l impossibilité dans le cadre de ce docment de réaliser ne étde d impact sr chacn des dispositifs. POURQUOI SUIVRE DES INDICATEURS? «Un indicater est ne information, nécessairement chiffrée, normalisée (a moyen d ne fiche indicater) prodite à intervalle réglier qi permet à ne entité de sivre/piloter sa performance en répondant à ne «qestion clé» (ex. : atteinte d n objectif, réalisation d ne mission, etc.) 9.» Sivre des indicaters permet d évaler annellement l efficacité d dispositif et de se réinterroger sr ses objectifs afin de l adapter ax besoins des patients. En otre, ce sivi donne ax éqipes ne connaissance d service rend, tant a nivea des patients qe des activités et des objectifs et permet de rendre compte de l activité ax différents acters : patients, financers, professionnels. 3.1 Des freins por connaître son activité L absence de connaissance de l activité pet, d ne part, trover ne explication dans le RIM-P qi ne permet pas d exploiter les données d activité des IAD. Ainsi, ne hospitalisation de jor va, par exemple, gommer ne IAD et entrainer ne absence de valorisation de l acte. D atres dispositifs sont dans l impossibilité de connaître le nombre d actes réalisés, même si ces actes sont renseignés par les professionnels, ils seront valorisés en tant q actes d CMP. Le système d information est, en otre, inadapté ax IAD, avec ne trop grande synthétisation des informations demandées. D atre part, n certain nombre de freins sont liés à des professionnels qi pevent être réticents à sivre ler activité par manqe d intérêt, à l absence d accltration d secter de psychiatrie, a manqe d implication des chefs de pôle, à la crainte d ne interprétation des chiffres, à l absence de formation des professionnels, à la srcharge de travail administratif et enfin a manqe de moyens hmains (secrétaire par exemple). 3.2 Des otils à développer por sivre son activité Plsiers otils o adaptation d otils permettraient d aider les éqipes à améliorer le sivi d activité : Une adaptation d système d information ax IAD, afin de comptabiliser les actes et d harmoniser les définitions des activités, des actes et des pratiqes de codification ; Une aide des éqipes dans le cadre de formations impliqant l ensemble des professionnels d n pôle (DIM compris), et d n apprentissage à la valorisation des missions de soins et des activités qi en décolent ; Des moyens matériels et logiciels, avec l acqisition de postes informatiqes et de compétences informatiqes ; La création d otils tels des otils de fonctionnement (protocoles, échelles, grilles, etc.), des otils cliniqes o encore des otils de coordination entre acters mais également ne capitalisation des otils existants ; La création d indicaters spécifiqes ax IAD et simples tels la réévalation de la sitation, le nombre de jors d hospitalisation à temps plein annels por n patient sivi en amblatoire, ne évalation de la qalité de vie des personnes à domicile, n ratio de coûts, ne évalation de la pertinence d dispositif. Ces indicaters doivent permettre de réaliser des comparaisons, et notamment n benchmark entre strctres, n croisement entre nités afin de connaitre l impact des IAD, des tris croisés entre indicaters ANAP, Piloter la performance dans le secter médico-social - Expérimentation d n tablea de bord de pilotage, mai 2012

20 INTERVENTION À DOMICILE DES ÉQUIPES DE PSYCHIATRIE Retor d expériences Chapitre 1 Enseignements isss d retor d expériences LES DISPOSITIFS EXPÉRIMENTAUX Les dispositifs expérimentax sont tens de renseigner n certain nombre d informations afin d alimenter n rapport d activité annel. Ils doivent, en effet, jstifier de ler activité après de l ARS en ve de ler pérennisation, et disposent ainsi d ne connaissance fine de ler activité. Le caractère expérimental ler permet, en otre, de tester et réajster les modalités d intervention ax besoins réels des patients. Figre 10 : Synthèse des indicaters sivis par les éqipes rencontrées dans le cadre des dispositifs expérimentax 20 Demanders de l intervention Diagnostic Drée des IAD Drée d sivi File Active Fin de prise en charge Fréqence des IAD IAD à plsiers Motif de la demande Nombre des IAD Novelles prises en charge Orientation Provenance des patients Satisfaction des partenaires & sagers Tax de refs des prises en charge Tax de réhospitalisation Tax des Hospitalisations sos contraintes (HSC) Tax d occpation des lits Tax des Soins psychiatriqes sr décision d représentant de l État (SPDRE) Tax des Soins psychiatriqes à la demande d n tiers (SPDT) Tax d Hospitalisation d office (HO) Tax de recors à l astreinte Temps infirmier consacré à l IAD Temps de réactivité

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