Les freins et leviers à l embauche des personnes confiées par l autorité judiciaire à l administration pénitentiaire

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Les freins et leviers à l embauche des personnes confiées par l autorité judiciaire à l administration pénitentiaire"

Transcription

1 Les freins et leviers à l embauche des personnes confiées par l autorité judiciaire à l administration pénitentiaire SGMAP Rapport de résultats Janvier VN60

2 Rappel des objectifs de l étude Au printemps 2015, le Premier ministre a saisi l Inspecteur Général des Services Judiciaires (assisté de l Inspection des Services Pénitentiaires), l Inspection Générale des Finances et l Inspection Générale des Affaires Sociales aux fins de procéder, dans le cadre de la modernisation de l action publique, à une mission d évaluation des politiques interministérielles d insertion des personnes confiées à l administration pénitentiaire par l autorité judiciaire. Dans ce cadre, la mission interministérielle a demandé à TNS Sofres, avec le soutien du Secrétariat Général pour la Modernisation de l Action Publique (SGMAP), de réaliser une enquête quantitative auprès des dirigeants d entreprises et DRH afin de : Identifier les freins et les leviers à l embauche des personnes confiées par l autorité judiciaire à l administration pénitentiaire 2

3 Rappel de la méthodologie ÉCHANTILLON MODE DE RECUEIL 600 entreprises du secteur privé. Public cible : personne en charge des ressources humaines et de la gestion du personnel (Dirigeant ou DRH) Interviews réalisées par téléphone. Méthode des quotas (taille d'entreprise croisée par le secteur d'activité) et stratification par région. Lors de la phase d enquête, l échantillon a été raisonné afin de disposer de bases suffisantes dans les différentes strates. Dans le calcul des résultats, les différentes tailles d'entreprises et les secteurs d'activité ont été remis à leur poids réel. DATES DE TERRAIN Du 05 au 15 janvier minutes DURÉE DU QUESTIONNAIRE Janvier VN60 3

4 Synthèse

5 1. Des entreprises qui accordent de l importance à l insertion des personnes éloignées de l emploi et sont prêtes à jouer le jeu... mais beaucoup moins lorsqu il s agit de personnes confiées par l autorité judiciaire à l administration pénitentiaire Près de 9 entreprises sur 10 (88%) estiment avoir un rôle à jouer important, voire très important (43%) dans l insertion professionnelle des personnes éloignées de l emploi (seniors, jeunes, personnes handicapées, chômeurs de longue durée ). En termes de secteur, seul le BTP se démarque négativement, mais avec un score qui reste assez élevé (77%). Cette importance accordée à l insertion vaut de façon massive pour toutes les catégories de personnes éloignées de l emploi sauf pour celles condamnées, face auxquelles les entreprises sont clairement divisées (seulement 47% estiment qu il est important que les entreprises agissent en faveur de leur insertion professionnelle) A noter que les entreprises de plus de 50 salariés sont plus positives sur ce point. Mais dans un contexte où les perspectives d embauche pour 2016 semblent modestes pour les entreprises interrogées (à peine un tiers envisage de recruter), celles-ci sont peu disposées à embaucher des personnes confiées par l autorité judiciaire à l administration pénitentiaire (69% n envisageraient pas d en embaucher, dont 33% certainement pas). Les entreprises de plus de 10 salariés et du secteur de l industrie affichent toutefois des prédispositions plus favorables. Toutes se montrent en revanche plus ouvertes envers les autres catégories de personnes éloignées de l emploi. 5

6 2. Un niveau d information relativement faible sur les dispositifs pour favoriser l emploi des personnes condamnées Un peu moins d une entreprise sur deux sait que les entreprises ont la possibilité d embaucher des personnes condamnées en contrat d insertion (45%). Dans le même temps, elles se déclarent mal informées sur ce sujet (88% au total, dont 64% très mal informées). D après les entreprises interrogées, celles qui emploient des personnes condamnées le font principalement pour favoriser leur insertion. L intérêt en termes d image est beaucoup moins perçu (42% pour l ensemble des entreprises). 6

7 3. Des freins à l embauche de personnes condamnées assez forts Même après une explication sur les possibilités offertes par les contrats d insertion*, deux entreprises sur trois n envisagent toujours pas d embaucher des personnes condamnées (66% de réponses négatives). Le secteur de l industrie confirme en revanche sa plus grande ouverture (48% vs 34% pour l ensemble). Parmi les entreprises qui n envisagent pas d employer des personnes condamnées, une sur deux affirme que même si leur profil pourrait correspondre à leurs besoins elle ne souhaite pas en employer. Toutes les mesures proposées pour favoriser l emploi des personnes condamnées et suivies par les services de justice sont jugées utiles par les répondants, en particulier le fait d être informé précisément sur les précautions à prendre lorsqu on embauche ces personnes (89%). Les autres mesures recueillent des scores positifs supérieurs à 75% (accompagnement personnalisé pour faciliter le processus d embauche, allègement de charges fiscales ou encore accompagnement sur la procédure de recrutement). Mais globalement, les freins à l embauche restent bien plus forts que les leviers. Le profil psychologique des personnes condamnées apparait comme un frein majeur (84% «oui, dissuaderait»), suivi du danger que les condamnés représentent pour les salariés (71%) et des craintes quant à leur fiabilité (69%). En matière de leviers, la volonté d agir en faveur de la réinsertion sociale arrive en tête des critères qui pourraient inciter à employer des personnes condamnées et suivies par les services de la justice (71%), suivi par le souhait de donner une seconde chance (65%). Les autres leviers proposés apparaissent comme moins décisifs (bénéficier d informations sur les précautions à prendre, d un accompagnement personnalisé de la part de l administration pénitentiaire ou la promotion de l image de l entreprise). * Toutes les entreprises peuvent employer une ou plusieurs personnes condamnées, ayant ou non fait de la prison, et suivies par les services de la justice grâce à un «contrat d insertion unique», qui leur permet en tant qu entreprise de bénéficier d aides financières de la part de l Etat. 7

8 4. Les possibilités d emploi de personnes détenues purgeant actuellement leur peine au sein d un établissement pénitentiaire sont mieux connues même si les entreprises manquent beaucoup d informations On constate une bonne connaissance des entreprises sur la possibilité de faire travailler des personnes détenues purgeant actuellement leur peine en mettant en place des ateliers de production au sein même des établissements pénitentiaires (58%, dont 37% savent bien de quoi il s agit) quels que soient le secteur et la taille de l entreprise. Mais les répondants s estiment là aussi très mal informés sur les démarches à effectuer pour mettre en place cet atelier (89% sont mal informés, dont 67% très mal). D après les entreprises interrogées, celles qui ont recours à ce type de solution le font surtout pour bénéficier d une main d œuvre à bas coût (81%) mais aussi pour favoriser l insertion sociale des détenus (73%). 8

9 5. Des entreprises qui perçoivent un certain nombre d avantages à la mise en place d ateliers au sein des établissements pénitentiaires Près des deux tiers des entreprises interrogées n envisagent pas de faire travailler des détenus en mettant en place un atelier de production au sein d un établissement pénitentiaire (dont 42% «certainement pas»). Elles invoquent très majoritairement le fait que l atelier de production ne correspond pas à leur besoin (88% d entre elles). Pour les autres, l engagement social en faveur de l insertion (76% parmi les entreprises pourrait avoir besoin d un atelier) et la valorisation d une fabrication française (72%) sont les deux principaux leviers perçus. En revanche, les opinions sont plus partagées sur les freins. Les frais de fonctionnement apparaissent comme le principal. Au global, comparées aux autres populations fragilisées et éloignées de l emploi, les personnes condamnées suscitent de réelles réserves de la part des entreprises. Si plusieurs leviers surtout d ordre moral et social apparaissent, d une part les freins à l embauche restent dominants et lourds et d autre part les entreprises sont peu ou mal informées sur le sujet et les démarches à effectuer. Concernant les ateliers au sein des établissements pénitentiaires, les résistances, auprès des entreprises dont l activité serait compatible avec un tel modèle, s avèrent sont moins prégnantes. Une information plus soutenue en direction des entreprises serait vraisemblablement porteuse dans un contexte où elles se disent très mal informées. 9

10 1 Des entreprises qui accordent de l importance à l insertion et sont prêtes à jouer le jeu... Mais beaucoup moins lorsqu il s agit de personnes confiées par l autorité judiciaire à l administration pénitentiaire

11 En toile de fond, une politique d embauche limitée pour 2016 : à peine un tiers des entreprises envisage de recruter Total Non 69% Total Oui 30% BTP : 18% 10 à 49 salariés : 58% 50 à 99 salariés : 75% 100 à 199 salariés : 83% 200 et plus : 82% Base : Ensemble (N=600) Q1 Pour 2016, envisagez-vous de recruter du personnel au sein de votre entreprise? 11

12 Les entreprises estiment avoir un rôle à jouer important voire très important dans l insertion professionnelle des personnes éloignées de l emploi Total Non 12% Total Oui 88% BTP : 77% Base : Ensemble (N=600) Q2 De façon générale, pensez-vous que les entreprises ont un rôle à jouer dans l insertion professionnelle des personnes éloignées de l emploi (personnes handicapées, seniors en recherche d emploi, jeunes )? 12

13 Cette importance accordée à l insertion vaut de façon massive pour toutes les catégories de personnes éloignées de l emploi. sauf pour les condamnés face auxquels les entreprises sont clairement divisées 50 à 99 salariés : 97% BTP : 82% BTP : 75% 50 à 99 salariés : 94% 200 et plus : 98% Industrie : 73% 50 à 99 salariés : 66% 100 à 199 salariés : 59% 200 et plus : 63% Base : Ensemble (N=600) Q3 Plus précisément, pensez-vous qu il est important que les entreprises agissent en faveur de l insertion professionnelle 13

14 Les entreprises se montrent peu disposées à embaucher les condamnés, tandis qu elles se montrent plus ouvertes envers des personnes issues de la diversité, des chômeurs, ou encore des jeunes issues des quartiers Base : Ensemble (N=600) Q4 Si vous deviez embaucher dans les mois ou les années à venir, pourriez-vous envisager d embaucher dans votre entreprise 14

15 Détail par secteur / taille de l entreprise Total Oui des personnes issues de la diversité? 83 des chômeurs de longue durée? 77 des jeunes issus des quartiers défavorisés? 77 des seniors de plus de 55 ans? à 99 salariés : 92% 100 à 199 salariés : 93% 200 et plus : 100% 50 à 99 salariés : 86% 100 à 199 salariés : 93% 200 et plus : 98% 200 et plus : 94% 10 à 49 salariés : 85% 50 à 99 salariés : 90% 100 à 199 salariés : 94% 200 et plus : 95% des jeunes sans diplôme? 72 des personnes handicapées? à 99 salariés : 85% 200 et plus : 90% 10 à 49 salariés : 77% 50 à 99 salariés : 84% 100 à 199 salariés : 91% 200 et plus : 98% des personnes condamnées, ayant ou non fait de la prison, et suivies par les services de la justice? à 49 salariés : 39% 50 à 99 salariés : 46% 100 à 199 salariés : 49% 200 et plus : 50% Industrie : 49% Base : Ensemble (N=600) Q4 Si vous deviez embaucher dans les mois ou les années à venir, pourriez-vous envisager d embaucher dans votre entreprise 15

16 Le rôle des entreprises en faveur de l insertion vs une action concrète suivie de façon moindre Envisagerait d embaucher dans l entreprise Importance d agir en faveur de l insertion professionnelle Différentiel «Envisage d embaucher - Agir» des personnes issues de la diversité = des chômeurs de longue durée des seniors de plus de 55 ans des jeunes issus des quartiers défavorisés des jeunes sans diplôme des personnes condamnées, ayant ou non fait de la prison, et suivies par les services de la justice des personnes handicapées Base : Ensemble (N=600) Q3 Plus précisément, pensez-vous qu il est important que les entreprises agissent en faveur de l insertion professionnelle Q4 Si vous deviez embaucher dans les mois ou les années à venir, pourriez-vous envisager d embaucher dans votre entreprise 16

17 2 Un niveau d information relativement faible sur les dispositifs pour favoriser l emploi des personnes condamnées

18 Un peu moins d une entreprise sur deux connait la possibilité d embaucher des personnes condamnées en contrat d insertion mais une sur quatre déclare bien connaitre cette solution Total Oui 45% 100 à 199 salariés : 60% Base : Ensemble (N=600) Q5 Savez-vous que les entreprises ont la possibilité d employer des personnes condamnées, ayant ou non fait de la prison, et suivies par les services de la justice en mettant en place un contrat d insertion? 18

19 mais elles se déclarent très mal informées sur ce sujet Question posée après lecture de la consigne suivante : Toutes les entreprises peuvent employer une ou plusieurs personnes condamnées, ayant ou non fait de la prison, et suivies par les services de la justice grâce à un «contrat d insertion unique», qui leur permet en tant qu entreprise de bénéficier d aides financières de la part de l Etat. Total Mal informé 88% Total Bien informé 11% Base : Ensemble (N=600) Q6 Diriez-vous que vous êtes très bien, assez bien, assez mal ou très mal informé(e) sur les démarches à effectuer pour employer des personnes condamnées, ayant ou non fait de la prison, et suivies par les services de la justice? 19

20 D après les entreprises interrogées, celles qui emploient des personnes condamnées le font principalement pour favoriser leur insertion. L intérêt en termes d image est beaucoup moins perçu. 200 et plus : 66% Industrie : 70% BTP : 68% Industrie : 26% Base : Ensemble (N=600) Q7 D après ce que vous supposez, les entreprises qui emploient des personnes condamnées et suivies par les services de la justice le font surtout pour 20

21 3 Des freins à l embauche de personnes condamnées assez forts

22 Après explication sur les possibilités de contrats d insertion, les entreprises confirment une ouverture assez limitée en faveur de l emploi des personnes condamnées Total Non 66% Total Oui 34% 50 à 99 salariés : 47% 100 à 199 salariés : 50% 200 et plus : 49% Industrie : 48% Rappel 30% des entreprises sont disposées à embaucher des personnes condamnées avant explication sur les contrats d insertion Base : Ensemble (N=600) Q8 Si vous étiez en situation d embaucher, pourriez-vous envisager d employer dans votre entreprise des personnes condamnées, ayant ou non fait de la prison, et suivies par les services de la justice? 22

23 Parmi les entreprises qui n envisagent pas d employer des personnes condamnées, les raisons le plus souvent citées spontanément sont la peur, les problèmes qui peuvent survenir et le passé de la personne condamnée ST A CITE AU MOINS UN ELEMENT 100 Ca fait peur / manque de confiance / pas en sécurité C'est compliqué / ça rajoute des problèmes / ne veut pas prendre de risques Tout dépend de son passé / de sa peine / c'est au cas par cas Contact Clients Il faut avoir un casier judiciaire vierge / la loi ne nous le permet pas / besoin d'un agrément ministériel Ne correspond pas avec mon activité / secteur d'activité trop sensible / secteur d'activité trop dangereux / trop petite structure Trop de manipulations de marchandises de valeur / d'argent Besoin d'un diplôme / besoin de compétences / métier trop technique Impossibilité à réinsérer ces personnes / ils vont récidiver / a déjà fait cette expérience, et ça n'a pas fonctionné Ne correspond pas à notre image de marque / serait nuisible à notre image Préfère privilégier un autre profil de personnes (personnes au chômage / jeune qui rentre sur le marché de l'emploi...) Ca ne dépend pas de moi Problème d'intégration dans l'entreprise / les conflits avec le reste du personnel Autres Base : à ceux qui n envisagent pas d employer des personnes condamnées dans leur entreprise (N=341) Q9 Pour quelles raisons?

24 Parmi les entreprises qui n envisagent pas d employer des personnes condamnées, une sur deux affirme qu elle ne souhaite pas en employer même si leur profil pourrait correspondre à leurs besoins 10 à 49 salariés : 34% BTP : 30% BTP : 67% 100 à 199 salariés : 16% Rappel Après explication sur les possibilités de contrats d insertion, 34% des entreprises sont disposées à embaucher des personnes condamnées. Base : à ceux qui n envisagent pas d employer des personnes condamnées dans leur entreprise (N=341) Q10 Plus précisément diriez-vous que... 24

25 La réinsertion sociale apparait comme le principal levier pour inciter à employer des personnes condamnées et suivies par les services de la justice Base : Ensemble (N=600) Q11 Pour chacun des éléments que je vais vous citer, dites-moi s il pourrait vous inciter à employer au sein de votre entreprise une ou des personnes condamnées et suivies par les services de la justice. 25

26 Détail par secteur / taille de l entreprise Total Positif Favoriser la réinsertion sociale de personnes éloignées de l'emploi 71 Donner une seconde chance à ces personnes condamnées Bénéficier d'informations sur les précautions à prendre pour bien intégrer dans une équipe de travail une personne qui a été condamnée à 49 salariés : 75% 50 à 99 salariés : 78% 100 à 199 salariés : 84% 200 et plus : 84% Industrie : 84% 50 à 99 salariés : 65% 100 à 199 salariés : 80% 200 et plus : 77% Industrie : 68% Bénéficier de conditions d'emploi avantageuses, grâce à une aide financière de l'etat sous la forme des contrats d'insertion Bénéficier d'un accompagnement personnalisé de la part de l'adm. pénit. sur les procédures à suivre pour embaucher des pers. qui ont été condamnées à 49 salariés : 60% 100 à 199 salariés : 65% 200 et plus : 73% 10 à 49 salariés : 56% 50 à 99 salariés : 61% 100 à 199 salariés : 64% 200 et plus : 68% Industrie : 64% Promouvoir l'image de votre entreprise en valorisant l'image d'une entreprise socialement responsable à 99 salariés : 44% 100 à 199 salariés : 46% 200 et plus : 52% Base : Ensemble (N=600) Q11 Pour chacun des éléments que je vais vous citer, dites-moi s il pourrait vous inciter à employer au sein de votre entreprise une ou des personnes condamnées et suivies par les services de la justice. 26

27 Le profil psychologique est le principal frein à l embauche, suivi du danger que les condamnés représentent pour les salariés et des craintes quant à leur fiabilité. Dans l ensemble, les freins à l embauche plus affirmés que les leviers Industrie : 74% 50 à 99 salariés : 79% 50 à 99 salariés : 49% Industrie : 39% Base : Ensemble (N=600) Q12 Pour chacun des éléments que je vais vous citer, dites-moi s il pourrait constituer un frein ou vous dissuader d employer au sein de votre entreprise une ou des personnes condamnées et suivies par les services de la justice. 27

28 Toutes les mesures testées apparaissent très utiles, notamment le fait d être informé précisément sur les précautions à prendre à l embauche de ces personnes, et ensuite l accompagnement BTP : 81% Base : Ensemble (N=600) Q20 Pour chacune des mesures que je vais vous citer, dites-moi si elle vous paraît très, assez, peu ou pas du tout utile pour favoriser l emploi des personnes condamnées et suivies par les services de la justice : 28

29 4 Les possibilités d emploi de personnes détenues purgeant actuellement leur peine au sein d un établissement pénitentiaire sont mieux connues même si les entreprises manquent beaucoup d informations

30 6 entreprises sur 10 savent qu il est possible de faire travailler des personnes détenues purgeant actuellement leur peine en mettant en place des ateliers de production au sein même des établissements pénitentiaires Total Oui 58% Base : Ensemble (N=600) Q13 Savez-vous que les entreprises ont la possibilité de faire travailler des personnes détenues purgeant actuellement leur peine en mettant en place des ateliers de production au sein même des établissements pénitentiaires? 30

31 Mais elles s estiment très mal informées sur les démarches à effectuer pour mettre en place un atelier au sein d un établissement pénitentiaire Question posée après lecture de la consigne suivante : Toutes les entreprises peuvent faire travailler des personnes détenues purgeant actuellement leur peine en mettant en place des ateliers de fabrication au sein même des établissements pénitentiaires. L entreprise passe un contrat avec l établissement pénitentiaire et peut bénéficier d un salaire minimum inférieur au SMIC. Total Mal informé 89% Total Bien informé 11% BTP : 78% Base : Ensemble (N=600) Q14 Diriez-vous que vous êtes très bien, assez bien, assez mal ou très mal informé(e) sur les démarches à effectuer pour mettre en place un atelier au sein d un établissement pénitentiaire? 31

32 D après les entreprises interrogées, celles qui mettent en place des ateliers le font surtout dans une logique économique et dans une moindre mesure pour favoriser l insertion des détenus Base : Ensemble (N=600) Q15 D après ce que vous supposez, les entreprises qui emploient des personnes détenues et disposent d ateliers dans les établissements pénitentiaires le font surtout pour 32

33 5 Des entreprises qui perçoivent un certain nombre d avantages à la mise en place d ateliers au sein des établissements pénitentiaires

34 À peine un tiers des entreprises envisagerait de faire travailler des détenus en mettant en place un atelier de production au sein d un établissement pénitentiaire Total Non 69% 100 à 199 salariés : 14% Total Oui 31% Commerce : 58% 100 à 199 salariés : 29% 200 et plus : 28% Base : Ensemble (N=600) Q16 Si vous en aviez le besoin, pourriez-vous envisager de faire travailler des détenus en mettant en place un atelier de production au sein d un établissement pénitentiaire? 34

35 Pour les entreprises qui n envisagent pas de mettre en place des ateliers, le principal motif invoqué est le fait que l atelier de production ne correspond pas aux besoins de l entreprise Base : ceux qui n envisagent pas faire travailler des détenus en mettant en place un atelier de production (N=411) Q17 Pour quelles raisons? 35

36 Pour les entreprises qui pourraient envisager de mettre en place des ateliers, des leviers à la mise en place d un atelier assez bien perçus, en particulier l engagement social en faveur de l insertion et la valorisation d une fabrication française 50 à 99 salariés : 48% 10 à 49 salariés : 77% Base : à tous - sauf ceux qui ont répondu que disposer d un atelier ne correspond pas aux besoins de leur entreprise (N=257) Q18 Pour chacun des éléments que je vais vous citer, dites-moi s il pourrait vous inciter à mettre en place un atelier de production au sein d un établissement pénitentiaire en employant des détenus : 36

37 Pour les entreprises qui pourraient envisager de mettre en place des ateliers, des opinions assez partagées sur les freins. Les frais de fonctionnement apparaissent comme le principal 50 à 99 salariés : 27% Base : à tous - sauf ceux qui ont répondu que disposer d un atelier ne correspond pas aux besoins de leur entreprise (N=257) Q19 Pour chacun des éléments que je vais vous citer, dites-moi s il pourrait vous dissuader de mettre en place un atelier de production au sein d un établissement pénitentiaire en faisant travailler des détenus : 37

38 6 Signalétiques

39 Présence de contrats d insertion au sein de l entreprise 200 et plus : 6% 10 à 49 salariés : 11% 50 à 99 salariés : 15% 100 à 199 salariés : 11% 200 et plus : 24% Base : Ensemble (N=600) Q21 Au sein de votre entreprise y a-t-il actuellement... 39

40 Secteur et taille de l entreprise Avant redressement % Taille d'entreprise Secteur d'activité Base 1. 1 à à à à Base Industrie 22% 22% 23% 20% 23% 21% 2. BTP 21% 22% 22% 21% 15% 17% 3. Commerce 17% 15% 17% 14% 23% 23% 4. Transport 8% 7% 8% 10% 10% 6% 5. Services 32% 33% 30% 36% 29% 32% Total 100% 100% 100% 100% 100% 100% 40

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques

C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants

Plus en détail

Les Français et le handicap visuel

Les Français et le handicap visuel Janvier 015 Enquête TNS Sofres pour la Fédération des Aveugles de France Rapport de résultats 48UA53 Rappel méthodologique Echantillon Enquête réalisée par téléphone auprès d un échantillon de 1005 personnes

Plus en détail

ANALY ANAL S Y E S PR

ANALY ANAL S Y E S PR ANALYSE PROSPECTI IVE DES MÉTIERS DU BÂTIMENT ET DES TRAVAUX PUBLICS AUDA BATIMENT MÉTIERS DE LA PLOMBERIE NOVEMBRE 2014 1 1. L emploi 1 086 plombiers en 20122 soit 4% des salariéss de la production du

Plus en détail

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL

ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL ETUDE SUR LES STAGIAIRES AYANT SUIVI UNE FORMATION DIPLOMANTE DANS LA BRANCHE DES ACTEURS DU LIEN SOCIAL ET FAMILIAL LA SYNTHESE L Observatoire de la branche des acteurs du lien social et familial - centres

Plus en détail

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ

LES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ 3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit

Plus en détail

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise

FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise FM/BS N 110157 Contact Ifop: Frédéric Micheau / Bénédicte Simon Département Opinion et Stratégies d'entreprise 35 rue de la gare 75019 Paris Tél : 01 45 84 14 44 Fax : 01 45 85 59 39 pour Les Français

Plus en détail

Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle

Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle Avec la collaboration de vous présente Panorama 2004 du véhicule d entreprise et de la mobilité automobile professionnelle 25 mars 2004 1 Contexte 2ème vague du baromètre Observatoire du Véhicule d'entreprise/tns

Plus en détail

Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise

Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Sondage exclusif Les Français et l esprit d entreprise Un sondage exclusif mené par l Ins6tut Think pour 29/01/13 - Sondage «Les Français & l esprit d entreprise» mené par l Institut Think pour l APCE

Plus en détail

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges

Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012. OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges Observatoire de la performance des PME-ETI 16 ème édition avril 2012 OpinionWay Banque PALATINE Pour i>tele Challenges OpinionWay, 15 place de la République, 75003 Paris. Méthodologie Étude quantitative

Plus en détail

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014 L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS Juin 2014 Contacts BVA : Céline BRACQ Directrice BVA Opinion Lilas BRISAC Chargée d études 01 71 16 88 00

Plus en détail

«LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange. Février 2014

«LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange. Février 2014 «LES FRANÇAIS & LA PROTECTION DES DONNÉES PERSONNELLES» Etude de l Institut CSA pour Orange Février 2014 La fiche technique du sondage Echantillon de 1002 individus âgés de 18 ans et plus représentatif

Plus en détail

Baromètre : Le bien être psychologique au travail

Baromètre : Le bien être psychologique au travail Contacts Ifop : Rudy BOURLES/Isabelle MANDERON 6-8, rue Eugène Oudiné 75013 Paris tél 01 45 84 14 44 fax 01 45 85 59 39 Etude 23384 Baromètre : Le bien être psychologique au travail Septembre 2008 vague

Plus en détail

Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance

Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance Panorama sur les femmes entrepreneures et l assurance 2013 Objectifs et méthodologie L'objectif de ce panorama est de mettre en évidence les différences de postures, de comportements et d'image entre hommes

Plus en détail

Les dirigeants face à l innovation

Les dirigeants face à l innovation Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai

Plus en détail

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES

REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL A DES FINS STATISTIQUES UNITES ET VARIABLES A REPERTORIER SEMINAIRE DU CEFIL SUR L AVANCEMENT DES TRAVAUX CONCERNANT LA MISE EN PLACE D UN REPERTOIRE D ENTREPRISES NATIONAL

Plus en détail

Baromètre Union des Maisons Françaises

Baromètre Union des Maisons Françaises Baromètre Union des Maisons Françaises Juillet 2010 vague 8 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 40 00 Fax : (33) 01 44 94 40 01 www.csa.eu SA au capital de 1 571 600 Siren

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013

Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 Baromètre PME Wallonie Bruxelles : Quatrième trimestre 2013 L UCM a créé un indicateur de conjoncture pour les PME wallonnes et bruxelloises. Ce "baromètre" est réalisé chaque trimestre, sur base des réponses

Plus en détail

Les préoccupations des enseignants en 2014

Les préoccupations des enseignants en 2014 Les préoccupations des enseignants en 204 Une profession en quête de valorisation Date Rapport rédigé par : Jean-Daniel Lévy, Directeur du Département Politique Opinion Magalie Gérard, Directrice de clientèle

Plus en détail

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI)

EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) EVALUATION DU DISPOSITIF DEPARTEMENTAL EDUCATIF DE FORMATION ET D INSERTION (D 2 EFI) Note méthodologique relative à l outil de suivi en continu du projet de formation et du projet professionnel La direction

Plus en détail

ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES

ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES FÉVRIER 2 Observatoire de la formation ÉLÉMENTS DE CONNAISSANCES SOCIODÉMOGRAPHIQUES 4 ème promotion de surveillants pénitentiaires Graphique : Evolution de la part des hommes et des femmes 4 ème 4 ème

Plus en détail

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins

Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins études résultats et N 603 octobre 2007 Les allocataires des minima sociaux: CMU, état de santé et recours aux soins Une enquête a été effectuée par la DREES au deuxième trimestre 2006 auprès de personnes

Plus en détail

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise

Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Concilier vie privée et vie professionnelle, un enjeu pour tous les acteurs de l entreprise Stabilité de la confiance des dirigeants de PME-ETI Paris, 17 octobre 2013 La Banque Palatine, banque des moyennes

Plus en détail

Master Droit pénal, sciences criminelles et criminologie appliquée

Master Droit pénal, sciences criminelles et criminologie appliquée Master Droit pénal, sciences criminelles et criminologie appliquée Enquête menée auprès des diplômés 2009, 30 mois après l obtention du diplôme En 2009, 2 étudiants ont obtenu un master «Droit pénal, sciences

Plus en détail

AMUNDI Les Jeunes actifs et la retraite - Vague 3-2010

AMUNDI Les Jeunes actifs et la retraite - Vague 3-2010 AMUNDI Les Jeunes actifs et la retraite - Vague 3-2010 Résultats de l étude TNS Sofres / Présentation Frédéric Chassagne 7 juin 2010 FICHE TECHNIQUE Étude barométrique réalisée pour AMUNDI Échantillon

Plus en détail

La mobilité professionnelle revêt

La mobilité professionnelle revêt Mobilité professionnelle 17 Du changement de poste au changement d entreprise, en passant par la promotion : la mobilité des Franciliens Les salariés franciliens, notamment les cadres, ont une propension

Plus en détail

Q0Z-Employés de la banque et des assurances. Synthèse

Q0Z-Employés de la banque et des assurances. Synthèse Q0Z-Employés de la banque et des assurances Synthèse Après avoir baissé au cours de la première moitié des années 1990, les effectifs d employés de la banque et des assurances se sont ensuite stabilisés

Plus en détail

Les entreprises familiales vues par les actifs Français.

Les entreprises familiales vues par les actifs Français. Les entreprises familiales vues par les actifs Français. Janvier 2014 Chaire Entrepreneuriat Familial et Société entre pérennité et changement Contacts : Noémie Lagueste Chargée d études Chaire Entrepreneuriat

Plus en détail

GARANTIES ET SERVICES : LES ATTENTES DES SALARIES ET DES ENTREPRISES

GARANTIES ET SERVICES : LES ATTENTES DES SALARIES ET DES ENTREPRISES Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie GARANTIES ET SERVICES : LES ATTENTES DES SALARIES ET DES ENTREPRISES Anne FRONTEAU-LOONES Marie-Odile SIMON Septembre 2002 Département

Plus en détail

Plateforme d observation sociale et médico-sociale

Plateforme d observation sociale et médico-sociale Plateforme d observation sociale et médico-sociale Recherche-actions pour réduire le non-recours aux prestations sociales Nantes, le 19 novembre 2013 1 Le Secrétariat général pour la modernisation de l

Plus en détail

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris

Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Les salariés et les Jeux Olympiques de 2024 à Paris Sondage Ifop pour la FFSE Contacts Ifop : Frédéric Dabi / Anne-Sophie Vautrey Département Opinion et Stratégies d Entreprise 01 45 84 14 44 prenom.nom@ifop.com

Plus en détail

CONSEILS ORGANISATION GARDIENNAGE TELE SURVEILLANCE SURVEILLANCE

CONSEILS ORGANISATION GARDIENNAGE TELE SURVEILLANCE SURVEILLANCE CONSEILS ORGANISATION GARDIENNAGE TELE SURVEILLANCE SURVEILLANCE Web : http://www.brassesecurite.com LE PARTENAIRE DE VOTRE SECURITE PRESENTATION La société BRASSE PROTECTION ET SECURITE PRIVEE met à votre

Plus en détail

Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé

Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Département Évaluation des Politiques Sociales Ce qu attendent les salariés et les employeurs français de leur complémentaire santé Anne Loones Février 2009 2 Sommaire CONTEXTE ET MÉTHODOLOGIE DE L ÉTUDE...

Plus en détail

Baromètre de la Confiance - Vague 7

Baromètre de la Confiance - Vague 7 Rapport de résultats 1 er octobre 2014 1 Présentation de l étude Fiche technique Echantillon Mode de recueil Dates de terrain Echantillon national de 1020 personnes, représentatif de la population française

Plus en détail

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012

Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 NOTE DETAILLEE Les Français et leur perception de l école maternelle et élémentaire avant la rentrée 2012 Etude Harris Interactive pour le Syndicat National Unitaire des Instituteurs et Professeurs des

Plus en détail

Étude exploratoire sur la souscription de contrats d'assurance-vie au profit d'associations ou fondations

Étude exploratoire sur la souscription de contrats d'assurance-vie au profit d'associations ou fondations Etude réalisée avec le soutien du Étude exploratoire sur la souscription de contrats d'assurance-vie au profit d'associations ou fondations - Mars 2009 Sommaire 1. Présentation de l'étude 2. Résultats

Plus en détail

Baromètre du paiement électronique Vague 2

Baromètre du paiement électronique Vague 2 pour Baromètre du paiement électronique Vague 2 Frédéric Micheau Directeur adjoint Département Opinion et Stratégies d entreprise frederic.micheau@ifop.com Janvier 2012 Laurent Houitte Directeur Marketing

Plus en détail

UN PAS DEHORS. juillet 2012. www.credoc.fr N 283. Audrey Capron Anne Loonès

UN PAS DEHORS. juillet 2012. www.credoc.fr N 283. Audrey Capron Anne Loonès UN PAS DEHORS Dispositif expérimental d insertion des jeunes sous main de justice Mission locale de l agglomération mancelle Service pénitentiaire d insertion et de probation de la Sarthe Audrey Capron

Plus en détail

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE

NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE NOTORIETE DE L ECONOMIE SOCIALE SOLIDAIRE ET ATTENTES DE LA JEUNESSE - Note de synthèse de l'institut CSA - N 1100760 Juin 2011 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris cedex 02 Tél. (33) 01 44 94 59 11

Plus en détail

Les Français et le pouvoir d achat

Les Français et le pouvoir d achat Contacts CSA Pôle Opinion Corporate : Jérôme Sainte-Marie, Directeur général adjoint Yves-Marie Cann, Directeur d études Les Français et le pouvoir d achat Sondage CSA pour Cofidis Septembre 2012 Sommaire

Plus en détail

Nicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin. Août 2013

Nicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin. Août 2013 1 Nicolas DEPORTE Observatoire du GIS M@rsouin Août 2013 Sommaire Contexte... 2 Les équipements TIC des mairies... 3 Les compétences présentes en mairie... 4 Les usages TIC des mairies... 5 La communication

Plus en détail

Travail et mobilité. Résultats d étude. Janvier 2015. Travail et mobilité. TNS Janvier 2015 48UQ92

Travail et mobilité. Résultats d étude. Janvier 2015. Travail et mobilité. TNS Janvier 2015 48UQ92 Résultats d étude Janvier 2015 Sommaire 1 Rappel Méthodologique 4 2 Résultats de l étude 6 Emmanuel Rivière Emmanuel.Riviere@tns-sofres.com 01 40 92 46 30 Clément Nicola Clement.Nicola@tns-sofres.com 01

Plus en détail

M a s t e r Mention «Information et communication dans les organisations»

M a s t e r Mention «Information et communication dans les organisations» Diplôme Bac + 5 Autres spécialités Communication des entreprises : Recherche : Professionnel Contacts UFR des sciences de la communication tél. : 01 49 40 32 72 master.comrhfi@sic.univ-paris13.fr master.comrhap@sic.univ-paris13.fr

Plus en détail

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises

Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Préoccupations, attentes et prévoyance des travailleurs non salariés et des dirigeants de très petites entreprises Institut CSA pour Metlife Novembre 2014 Sommaire Fiche technique 3 Profil de l échantillon

Plus en détail

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse

TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE. Dossier de Presse TABAC : PREMIER BILAN SUR L APPLICATION DE LA LOI EVIN EN MILIEU SCOLAIRE Dossier de Presse Contacts presse OFDT : Julie-Emilie Adès/ 01 53 20 95 16 / juade@ofdt.fr MILDT: Patrick Chanson / 01 44 63 20

Plus en détail

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012

panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 panorama des mobilités professionnelles des cadres édition 2012 DOCUMENT SOUS EMBARGO PUBLIABLE LE 28 JUIN 2012 A 0H01 Les études de l emploi cadre juin 2012 Bilan de la mobilité des cadres en 2011 Perspectives

Plus en détail

Synthèse des résultats de l enquête menée auprès des entreprises de l arc lémanique Sabine Emad Magali Dubosson Torbay Nicolas Wydler

Synthèse des résultats de l enquête menée auprès des entreprises de l arc lémanique Sabine Emad Magali Dubosson Torbay Nicolas Wydler Symposium HEG-Genève - 18 novembre 2010 - Web et réseaux sociaux pour valoriser entreprises et services Synthèse des résultats de l enquête menée auprès des entreprises de l arc lémanique Sabine Emad Magali

Plus en détail

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE

RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE Les notes de l Juin 2007 OBSERVATOIRE PARTENARIAL LYONNAIS EN ECONOMIE RÉSULTATS DE L'ENQUÊTE AUPRÈS DES CRÉATEURS D'ENTREPRISE L entrepreneuriat est une priorité pour le développement économique de l

Plus en détail

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de

de la commune organisatrice ou bénéficiaire, ci-après dénommée «société de transports en commun bénéficiaire». Par dérogation aux dispositions de 15 MAI 2007. - Loi relative à la création de la fonction de gardien de la paix, à la création du service des gardiens de la paix et à la modification de l'article 119bis de la nouvelle loi communale (1)

Plus en détail

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012)

DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Février 2014 DOCUMENT DE TRAVAIL : ENQUÊTE ANNUELLE SUR LES MOUVEMENTS D EMPLOI D DANS LES PME DE SEINE-SAINT SAINT DENIS (Données 2012) Délégation au DéveloppementD Économique, à l Emploi, à la Formation

Plus en détail

APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE

APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE APS 4 : CREATION D'ENTREPRISE ETABLISSEMENT LIMAYRAC DESCRIPTION Création d'une entreprise de service LOGICIELS NECESSAES Bureautique Internet NIVEAU Début 1 ère année pour des classes mixtes Bac généraux

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Management et gestion commerciale de l Université de Cergy- Pontoise - UCP Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation

Plus en détail

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie

Les Français et les nuisances sonores. Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie Les Français et les nuisances sonores Ifop pour Ministère de l Ecologie, du Développement Durable et de l Energie RB/MCP N 112427 Contacts Ifop : Romain Bendavid / Marion Chasles-Parot Département Opinion

Plus en détail

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2

Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Baromètre: les Français et la confiance numérique Vague 2 Juin 2014 Contact - BVA Opinion Erwan LESTROHAN, directeur d études erwan.lestrohan@bva.fr - 01 71 16 90 9 Victor CHAPUIS, chargé d études Victor.chapuis@bva.fr

Plus en détail

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants

CECOP. Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE. Une enquête CECOP/CSA pour Le Cercle des épargnants Centre d études et de connaissances sur l opinion publique LES FRANCAIS ET LEUR RETRAITE Une enquête /CSA pour Le Cercle des épargnants Note d analyse Février 2009 S.A. au capital de 38.112,25 euros Siège

Plus en détail

l L immense majorité des condamnations concernent des délits

l L immense majorité des condamnations concernent des délits Prévention de la récidive et individualisation des peines Chiffres-clés Juin 2014 Les condamnations En 2012, environ 900 000 infractions ont donné lieu à environ 600 000 condamnations pénales prononcées

Plus en détail

LES RESPONSABLES ASSOCIATIFS

LES RESPONSABLES ASSOCIATIFS LES RESPONSABLES ASSOCIATIFS FACE AU SERVICE CIVIQUE Février 2015 Cécile BAZIN Roger SUE - Jacques MALET L essentiel Tout le monde parle aujourd hui du service civique et des jeunes concernés. Mais sait-on

Plus en détail

Les Français et l économie Les journées de l économie 2014. Patrick Haas 13 novembre 2014

Les Français et l économie Les journées de l économie 2014. Patrick Haas 13 novembre 2014 Les Français et l économie Les journées de l économie 2014 Patrick Haas 13 novembre 2014 Rappel de la méthodologie Échantillon Mode de recueil Dates de terrain 959 individus âgés de 18 ans et plus Interviews

Plus en détail

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales

Étude sur la compétitivité des administrations cantonales Étude sur la compétitivité des administrations cantonales réalisée pour les Chambres de commerce latines Avril 2015 2 1. Descriptif de la recherche Contexte et méthodologie 3 La 7 ème vague de l étude

Plus en détail

Les Français et le Tour de France 2015

Les Français et le Tour de France 2015 Les Français et le Tour de France 2015 Juillet 2015 Sondage réalisé par pour et LEVEE D EMBARGO : SAMEDI 4 JUILLET A 18H Diffusion et levée d embargo Ce sondage est réalisé pour et o Diffusé samedi à 18h00

Plus en détail

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris

CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris CONFÉRENCE DE PRESSE 4 septembre 2013 à Paris UNE PHOTOGRAPHIE DE L APPRENTISSAGE EN FRANCE EN 2013 À l occasion de la rentrée des jeunes en apprentissage Résultats et analyse du BAROMÈTRE DE LA VIE DE

Plus en détail

BAROMETRE DES FEMMES ENTREPRENEURES

BAROMETRE DES FEMMES ENTREPRENEURES BAROMETRE DES FEMMES ENTREPRENEURES Rapport d étude 1200783 version n 1 Septembre 2012 n 0901523 20 novembre 2009 2, rue de Choiseul CS 70215 75086 Paris Cedex 02 Tél. : (33) 01 44 94 40 00 Fax : (33)

Plus en détail

Département Évaluation des Politiques Sociales "Les jeunes salariés et la solidarité"

Département Évaluation des Politiques Sociales Les jeunes salariés et la solidarité Département Évaluation des Politiques Sociales "Les jeunes salariés et la solidarité" Sondage auprès des jeunes salariés de 18 à 25 ans Rapport d enquête Anne Loones Matthieu Angotti Avril 2009 Sommaire

Plus en détail

Le baromètre de la Confiance - Vague 4. Présentation des résultats 22 septembre 2011

Le baromètre de la Confiance - Vague 4. Présentation des résultats 22 septembre 2011 Le baromètre de la Confiance - Vague 4 Présentation des résultats 22 septembre 2011 Sommaire Présentation de l étude 1 La confiance 1.1 L'état de la confiance 1.2 Les leviers de la confiance 1.3 La perception

Plus en détail

20 SEPTEMBRE. juin 2010

20 SEPTEMBRE. juin 2010 05224 19 20 SEPTEMBRE juin 2010 2014 LEGISLATION Les principaux changements relatifs à l organisation et au fonctionnement des SST Décision de la Direction Générale du Travail 29 avril 2014 Annulation

Plus en détail

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires

Synthèse. Dynamique de l emploi. L0Z-Secrétaires L0Z-Secrétaires Synthèse En moyenne sur la période 2007-2009, 484 000 personnes exercent le métier de secrétaire, assurant des fonctions de support, de coordination, de gestion et de communication. Les

Plus en détail

L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE

L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE L ORGANISATION GENERALE DE LA FONCTION PUBLIQUE I - LES SOURCES DU DROIT DE LA FONCTION PUBLIQUE A - La Constitution et le bloc de constitutionnalité Certains grands principes du droit de la fonction publique

Plus en détail

"La santé des étudiants en 2015"

La santé des étudiants en 2015 Dossier de Presse "La santé des étudiants en 2015" 9 ème Enquête Nationale 1999 2015 Enquête Santé d emevia Depuis plus de 16 ans, à l écoute des étudiants 1 Sommaire EmeVia et les mutuelles étudiantes

Plus en détail

LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS

LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS LES PREMIÈRES ÉTAPES DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ EN SEINE-SAINT-DENIS Edition 2014 SOMMAIRE Editorial de Monsieur le préfet. 1 Le pacte est au service des entreprises et des ménages 2-3

Plus en détail

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA)

Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Note détaillée L image des ambulanciers Etude Harris Interactive pour la Chambre Nationale des Services d Ambulances (CNSA) Enquête réalisée en ligne du 17 au 19 septembre 2013. Echantillon de 985 personnes

Plus en détail

L emploi des jeunes. Les résultats de l étude Avril 2015. pour

L emploi des jeunes. Les résultats de l étude Avril 2015. pour L emploi des jeunes Les résultats de l étude Avril 2015 pour Contact : Laurent Bernelas Directeur de l activité Corporate & Management Tel : 01 78 94 89 87 Mob : 07 77 94 30 21 Email : lbernelas@opinion-way.com

Plus en détail

Elaborer des Tableaux de Bord Ressources Humaines

Elaborer des Tableaux de Bord Ressources Humaines Elaborer des Tableaux de Bord Ressources Humaines Pré-requis à la mise en place d un tableau de bord des ressources humaines Le recueil de données a été le point de départ du diagnostic quantitatif des

Plus en détail

La Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice

La Justice et vous. Les acteurs de la Justice. Les institutions. S informer. Justice pratique. Vous êtes victime. Ministère de la Justice La Justice et vous Les acteurs de la Justice Les institutions S informer Justice pratique Ministère de la Justice Vous êtes victime Vous pouvez, en tant que victime d une infraction, déposer une plainte

Plus en détail

IV- La formation sur le territoire de la MDEF

IV- La formation sur le territoire de la MDEF IV- La formation sur le territoire de la MDEF IV- La formation sur le territoire de la A- L offre de formations initiales BTP IV- La formation sur le territoire de la A- L offre de formations initiales

Plus en détail

inaptitude quelles sont les obligations?

inaptitude quelles sont les obligations? inaptitude quelles sont les obligations? L inaptitude d un salarié est lourde de conséquences, et impose à l employeur d être très vigilant, qu elle soit ou non d origine professionnelle. La procédure

Plus en détail

RÉPONDRE AUX QUESTIONS SUR

RÉPONDRE AUX QUESTIONS SUR GUIDE PRATIQUE RÉPONDRE AUX QUESTIONS SUR LES DISCRIMINATIONS www.halde.fr SOMMAIRE Qu est-ce que la discrimination? 2 Quels sont les recours en cas de discrimination? 4 Quels sont les pouvoirs de la HALDE?

Plus en détail

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*

*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-*-* Note détaillée Baromètre européen du rapport aux paiements Des pratiques uniformisées en Europe? Sondage Harris Interactive pour Crédit Agricole Cards & Payments Enquête réalisée en ligne du 19 au 29 septembre

Plus en détail

Internet modifie la relation des Français. ais à leurs banques. Présentation du 12 janvier 2010

Internet modifie la relation des Français. ais à leurs banques. Présentation du 12 janvier 2010 Internet modifie la relation des Français ais à leurs banques Présentation du 12 janvier 2010 1 Objectif et méthodologie Objectif Mesurer le type de services bancaires possédé par les Français Analyser

Plus en détail

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE

S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE S ONDAGE SUR LA SCOLARIS ATION E N MILIE U ORDINAIRE DES ENFANTS E N S ITUATION DE HANDICAP EN ELEMENTAIRE ET AU COLLEGE - Sondage de l'institut CSA - - Note des principaux enseignements - N 1001198 Février

Plus en détail

Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente

Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente 1 Édition du 4 mars 2011 Annule et remplace l édition précédente TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE 2 TOUT SAVOIR SUR LE CONTRAT D APPRENTISSAGE SOMMAIRE Qui peut embaucher un apprenti et quelles

Plus en détail

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A. MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES, DU TRAVAIL ET DE LA SOLIDARITÉ Délégation générale à l emploi et à la formation professionnelle Sous-direction des formations en alternance et de l insertion des jeunes

Plus en détail

Décembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte

Décembre 2009. Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Décembre 2009 Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Sommaire Introduction La loi handicap Enquête nationale Officiel du Handicap/Deloitte Résultats de l enquête nationale Recrutement, sous-traitance,

Plus en détail

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer

Plus en détail

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45

Octobre 2013. Contact Inergie. Luc Vidal Directeur général lvidal@inergie.com 01 41 09 05 45 Baromètre Afci ANDRH Inergie 2013 sur la Communication Managériale 4 ème édition «L implication des managers dans une communication de proximité avec leurs équipes» Octobre 2013 Contact Inergie Toute publication

Plus en détail

CONTEXTE... 3 PROFIL DES POSTES DE NOUNOUS... 5 AGE DU PLUS JEUNE ENFANT GARDE... 5 TYPE DE GARDE... 5 HORAIRES... 5

CONTEXTE... 3 PROFIL DES POSTES DE NOUNOUS... 5 AGE DU PLUS JEUNE ENFANT GARDE... 5 TYPE DE GARDE... 5 HORAIRES... 5 Résultats d enquête Nounous à domicile : profils, salaire, horaires 2014 1 TABLE DES MATIERES CONTEXTE... 3 PROFIL DES REPONDANTS... ERREUR! SIGNET NON DEFINI. PROFIL DES NOUNOUS... 4 PROFIL DES POSTES

Plus en détail

Enquête d'insertion. Master 2 - Gestion d'actifs Asset Management 222

Enquête d'insertion. Master 2 - Gestion d'actifs Asset Management 222 Enquête d'insertion Master 2 - Gestion d'actifs Asset Management 222 Enquête réalisée de décembre 21 à février 2 auprès des diplômés de la promotion 21/211 M2 Gestion d'actifs Asset Management - Promotion

Plus en détail

En direct. Comité interministériel des villes du 19 février 2013

En direct. Comité interministériel des villes du 19 février 2013 En direct duciv Comité interministériel des villes du 19 février 2013 Dicom Politique de solidarité nationale envers les quartiers défavorisés, la politique de la ville est déterminée et conduite par le

Plus en détail

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL

PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Développer, Optimiser, Maintenir la Performance de lhomme et de lentreprise PREVENTION EVALUATION ET MANAGEMENT DU RISQUE SOCIAL Le «Risque Social» doit être pris en charge comme nimporte quel autre type

Plus en détail

Contenu. Statistiques. Définition: l analphabétisme fonctionnel

Contenu. Statistiques. Définition: l analphabétisme fonctionnel Contenu!! L analphabétisme en Allemagne: qui est touché?! L analphabétisme en Allemagne: les cours! L alphabétisation des migrants! La formation élémentaire en Allemagne: développement! La qualification

Plus en détail

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation

La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires en formation (Synthèse) Enquête réalisée dans le cadre du projet Concert Action Septembre 2011 La mobilité des demandeurs d emploi et des stagiaires

Plus en détail

Ce qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise

Ce qu attendent les employeurs et les salariés de la complémentaire santé d entreprise Centre de Recherche pour l Étude et l Observation des Conditions de vie CENTRE TECHNIQUE DES INSTITUTIONS DE PRÉVOYANCE Jeudi 12 février 2009 Ce qu attendent les employeurs et les de la complémentaire

Plus en détail

BaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014

BaroJOB. Une priorité : Donner Envie aux Jeunes. Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / Mars-Avril 2014 BaroJOB Une priorité : Donner Envie aux Jeunes Le Baromètre des Compétences Informatique/TIC en Pays de Loire Edition #5 / MarsAvril 2014 Filière IT : Confirmations et paradoxes 2 Filière IT : Confirmations

Plus en détail

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT

OBJETS D ETUDE EN ECONOMIE-DROIT ACADEMIE DE CRETEIL OBJETS EN ECONOMIE-DROIT Liste de problématiques classées Enseignants en économie-gestion Tertiaire administratif 2012-2013 Ce document présente une liste de pistes de problématiques

Plus en détail

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE

LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Centre de Recherche pour l Etude et l Observation des Conditions de Vie LES FRANÇAIS ET LA COMPLEMENTAIRE SANTE Anne LOONES Marie-Odile SIMON Août 2004 Département «Evaluation des Politiques Sociales»

Plus en détail

Ministère de l'industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises Guichet Unique de Formalisation des Entreprises

Ministère de l'industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises Guichet Unique de Formalisation des Entreprises Ministère de l'industrie, du Commerce et des Petites et Moyennes Entreprises Guichet Unique de Formalisation des Entreprises DECLARATION DE CREATION D'ENTREPRISE 1- ENTREPRISE Dénomination : Forme juridique

Plus en détail

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée

I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée 1/13 Dans le cadre des dispositions issues du code du travail, il est établi une synthèse du plan d actions. I Des indicateurs figurant dans le rapport de situation comparée Salaires annuels moyens de

Plus en détail

VIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION

VIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION VIVRE OU SURVIVRE, TELLE EST LA QUESTION Quelque part, dans un quartier de Minarive, lorine est assise dans l un des fauteuils en simili cuir bleu du salon de cet appartement qu elle habite depuis plus

Plus en détail

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION

DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION DISPOSITIF FEMMES EN TRES GRAND DANGER BILAN D UNE ANNÉE D EXPÉRIMENTATION 30 téléphones portables disponibles 27 femmes ont été admises au dispositif. Le bénéfice du TGD pendant une durée de 6 mois a

Plus en détail

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015

Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Baromètre santé 360 La santé connectée Janvier 2015 Sondage réalisé par pour et publié en partenariat avec et avec le concours scientifique de la Publié le 19 janvier 2015 Levée d embargo le 19 janvier

Plus en détail

La perception de la complémentaire santé d entreprise par les dirigeants et les salariés. Résultats d étude. Mars 2012.

La perception de la complémentaire santé d entreprise par les dirigeants et les salariés. Résultats d étude. Mars 2012. La perception de la complémentaire santé d entreprise par les dirigeants et les Résultats d étude Mars 01 INSIGN / April Rappel méthodologique Echantillon Volets Echantillon de 00 dirigeants d entreprises

Plus en détail