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1 CROPSAV du 02 MAI AJACCIO Présentation des Visites Sanitaires Petits ruminants Déclinaison du programme OSCAR en Corse Sandrine FERRANDI, présidente du GTV Corse N 1

2 Lancement de la VSPRU Contexte Thème : les avortements Sous-déclaration importante dans cette filière Changements récents de réglementation (2014) : définition et seuil de déclaration obligatoire Lancement du protocole national harmonisé de diagnostic différentiel des avortements dans les départements volontaires Remarque : contexte insulaire Objectifs Améliorer le taux de déclaration des avortements Rappeler les modalités pratiques à respecter (délais et conditions de prélèvements, animaux à isoler) Faire connaître et appliquer les mesures de prévention des risques zoonotiques en cas d avortements N 2

3 Lancement de la VSPRU Concerne les élevages avec reproducteurs de plus de 6 mois : Ovins 50 ou Caprins 25 Sont exclus : centres de rassemblement, lieux d estive et d hivernage, marchés aux bestiaux, engraissement. Durée approximative d une visite : 1h (8 AMV) Réalisation des visites N EDE impairs Réalisation des visites N EDE pairs N 3

4 Lancement de la VSPRU Votre activité vous possédez Question recueil de données. Permettra d affiner l analyse des questions suivantes selon les typologies d élevages 2. Pour vous, qu est-ce qu un avortement? Rappeler la définition d un avortement : -Notion d avortements précoces (femelles vides à l échographie) -Notion d avortements tardifs (mortalité sur agneaux/chevreaux à terme) 3. Dans votre élevage, combien de mises-bas avant terme observez-vous au maximum sur une saison? Sensibiliser à l impact économique des avortements (ex : 100 par femelle avortée). Parler des coûts directs et indirects. N 4

5 Lancement de la VSPRU Observez-vous une différence entre les lots en lutte naturelle et les lots synchronisés? Question recueil de données. Permettra de voir si l incidence des avortement est plus élevée dans le cas de lots synchronisés. 5. Au bout de combien d avortements et sur quelle période réagissez-vous? l objectif est de voir si l éleveur est réactif ou non. -Rappeler le seuil de déclaration obligatoire (3 en 7jours) - depuis La visite du vétérinaire (+ analyses brucellose) est prise en charge par l Etat dès le premier avortement -L enregistrement de chaque avortement, même isolé, reste obligatoire sur le registre d élevage 6. Avez-vous appelé un vétérinaire ou un technicien pour faire un prélèvement sur au moins une femelle ayant avorté, au cours des 2 années précédentes? La surveillance des avortements est mise en place par l Etat pour la surveillance de la brucellose, maladie de catégorie 1. C est donc au vétérinaire sanitaire d intervenir N 5

6 Lancement de la VSPRU Si rarement ou si non à la question 6, quelles causes peuvent freiner votre demande de diagnostic? Identifier les freins à la déclaration et si possible les lever. Rassurer l éleveur sur le très faible risque que l élevage soit bloqué. Au-delà de la surveillance brucellose, appeler son vétérinaire permet au besoin de mettre en place un diagnostic utile à l ensemble des femelles encore gestantes, et d identifier d éventuelles zoonoses. l importance du diagnostic différentiel 6.2 Si oui à la question 6, pour quelle(s) raison(s) l avez-vous appelé? Identifier les motivations de l éleveur. Aborder l importance du diagnostic différentiel 7. Habituellement, qui réalise les prélèvements suite à des avortements? Préciser les rôles complémentaires du vétérinaire (visite + prélèvements), du GDS (aide au financement des analyses autres que brucellose selon les départements) et du LDA (rendu des résultats d analyses). Nécessité d avoir des prélèvements de bonne qualité afin d optimiser les chances d identifier la cause des avortements. N 6

7 Lancement de la VSPRU N 7 8. Quels prélèvements vous paraissent utiles pour investiguer en première intention une cause d avortements? Expliquer pour chaque prélèvement cité (fœtus, placenta, prises de sang ) : -son intérêt/utilité (variable selon les maladies recherchées) -l état de fraîcheur dans lequel il doit être Faire en sorte que l éleveur réagisse rapidement pour pouvoir faire des prélèvements dans de bonnes conditions (ou que lui les mette au frais : placenta) 9. Connaissez-vous des maladies susceptibles de causer des avortements? Lesquelles? -Corriger l éleveur au besoin et lui citer les principales maladies abortives rencontrées localement, et ce qui peut être introduit (par contact/transhumance ) -Aborder la question du flux de béliers / boucs 10. Connaissez-vous des causes (autres que des maladies) pouvant faire avorter vos femelles? Rappeler que les avortements ne sont pas toujours d origine infectieuse (stress, alimentation, parasitisme )

8 Lancement de la VSPRU Pensez-vous que certaines maladies qui peuvent faire avorter vos brebis/chèvres peuvent également être transmises aux humains? Définir le terme de zoonose. 12. Parmi les maladies suivantes, certaines sont transmissibles à l homme, lesquelles selon vous? -Fortement zoonotiques : fièvre Q, brucellose -Dans certaines conditions : toxoplasmose, salmonellose, chlamydiose Conditions de transmission à l homme : mises-bas, consommation de lait ou viande. Rappeler que brucellose et FQ sont des maladies professionnelles. 13. En cas d avortement, parmi les précautions utiles, lesquelles mettez-vous déjà en place? la fiche «mesures conseillées pour prévenir les avortements» Nouveauté : il s agit d évaluer l intérêt de l éleveur à cette visite (demande forte des organisations professionnelles agricoles) N 8

9 N 9

10 N 10

11 OSCAR: déclinaison Corse Le constat: diagnostic malaisé des causes d avortt, protocoles et interprétation très variés: des marges d amélioration technique. Les enjeux: surveillance brucellose toujours d actualité; risques zoonotiques, impact économique, gestion raisonnée des AB. N 11

12 Élaboration de protocoles nationaux et d un dispositif (plateforme ESA) baptisé OSCAR. Coupler la surveillance de la brucellose avec un meilleur Diagnostic Différentiel. On définit : Des critères d alerte Des maladies de 1 ère intention et une démarche précise (animaux, matériel) avec une grille d interprétation. Des maladies de 2 nde intention si besoin. N 12

13 Imputabilité Peu probable ( 0) Possible (++) Forte (+++) Grille d interprétation pour la fièvre Q Résultats 2 résultats d'analyse PCR sur écouvillon < LD ou/et 2 PCR sans résultat Détecté sur organe ou liquide stomacal des avorton(s) 7, ou 1 résultat d analyse PCR < LD et moins de 5 femelles séropositives 8 1 résultat d'analyse PCR > 10 4 bactéries par écouvillon en analyse individuelle (> 10 3 en analyse de mélange) ou 1 PCR avec détection d ADN cible sur organe ou liquide stomacal d avorton 9 et moins de 5 femelles du lot touché par les avortements séropositives 10 2 résultats d'analyses PCR > 10 4 bactéries par écouvillon en analyse individuelle (> 10 3 en analyse de mélange) ou/et 2 PCR avec détection d ADN cible sur organe des avorton(s) 11, ou 1 résultat PCR > 10 4 bactéries par écouvillon en analyse individuelle (>10 3 en analyse de mélange) ou/et PCR avec détection d ADN cible sur organe d un avorton et 5 femelles ou plus séropositives 12 Non conclusif Toutes les autres situations Investigations complémentaires 7 PCR -c est-à-dire ayant une àvaleur < àla LD en PCR quantitative ou relative ou un résultat «Non détecté»en PCR qualitative ; 8 Sur un nombre de femelles mener prélevées cas compris échéant entre 5 (minimum) et 10 ; 9 PCR + c est-à-dire ayant un résultat > à la LD en PCR quantitative ou relative, ou un résultat «Détecté» en PCR qualitative ; 10 Sur un nombre de femelles prélevées compris entre 5 (minimum) et 10. Dans le cas où plus de 10 femelles ont été prélevées, la proportion de femelles séropositives doit être inférieure à 50% ; 11 PCR + c est-à-dire ayant un résultat > à la LD en PCR quantitative ou relative, ou un résultat «Détecté» en PCR qualitative ; 12 Sur un nombre de femelles prélevées compris entre 5 (minimum) et 10. Dans le cas où plus de 10 femelles ont N été 13prélevées, la proportion de femelles séropositives doit être supérieure ou égale à 50%.

14 Buts: répondre à l attente de l éleveur; avoir des données comparables (actions collectives?); améliorer le taux de déclaration des avortt. En Corse: proposé aux cheptels de petits ruminants, lors d avortt en série (!) ou espacés (diagnostic de troupeau!); analyses de 1 ère intention BRU FQ CHLAM TOXO Envoi aux labos DDPP/ LASAT de Niort Financement Etat et FRGDS N 14

15 N 15

16 N 16

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