COURS DE LA PULPE DÉSHYDRATÉE
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- Amandine Ledoux
- il y a 6 ans
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1 N 265 mars 11 MARCHÉ DES PULPES Le marché des pulpes déshydratées disponibles en ancienne récolte n a quasiment pas été actif de la mi janvier jusqu'à fin février, donc sans cotation, sauf sur le 8 mm départ Loiret, à 212 /tonne. En 8 mm départ Marne, quelques tonnages se sont échangés en 8 à 217 /tonne, puis les cours sont descendus à 3 /tonne en 9, en raison du manque d'intérêt des acheteurs. Sur la prochaine campagne, quelques positions ont été prises, à un niveau de 172 / tonne, stable depuis la 1 ère de février. Campagne 1-11 (en /tonne, base 8 mm, disponible) : La Dépêche La France Agricole (2 mars) (1 er mars) Marne 3 5 Aisne Oise Loiret Campagne 11-12, 6 d'octobre (en /tonne, base 8 mm) : La Dépêche La France Agricole (2 mars) (1 er mars) Marne Aube Aisne COURS DE LA PULPE DÉSHYDRATÉE (8 mm, départ Marne) en / tonne disponible d'octobre source : La Dépêche
2 2 PRODUITS CONCURRENTS (d'après La Dépêche) 9 5 cours du 2 mars cours du 2 fév. pulpe de betteraves (dispo, 8 mm, départ Marne) (12 janv.) blé (départ Marne) sons de blé en pellets (départ Ile de France) citrus (disponible, départ Belgique) 229 (23 fév.) 221 corn gluten feed (départ région de Lille) ,5 luzerne (départ Marne) 5 (26 janv.) orge de mouture (départ Marne) drêches de blé (départ Rouen) indice IPAA 178,95 19,22 cours du dollar,7233 (1 er mars),727 (1 er fév.) Cours des produits concurrents (en / tonne) 2 Pulpe dép. Marne Blé dép. Marne Sons en pellets Citrus dép. Belgique source : La Dépêche
3 3 La demande a contribué à soutenir les prix du blé tendre au début février, les exportations européennes étant, de plus, favorisées par la hausse du dollar par rapport à l'euro. En milieu de mois, la situation dans les pays du Moyen Orient a poussé certains opérateurs à vendre pour prendre leurs bénéfices, d'où une forte volatilité des cours et une chute des prix d'environ /tonne en l'espace d'une. En fin de mois, un regain d'intérêt de la part des pays importateurs a stabilisé les cours, sur un marché néanmoins peu animé. Sur l'intérieur, les fabricants d'aliments du bétail ont globalement préféré l'orge et le maïs. Le marché du maïs a évolué dans le sillage de celui du blé, d'abord en hausse, puis en net retrait et enfin un redressement des cours fin février-début mars. Les fabricants d'aliments, bien présents sur l'origine intérieure dans la 1 ère de février, se sont ensuite intéressés à des importations sudaméricaines, puis se sont reportés sur l'orge. Une estimation en recul des stocks de fin de campagne a aussi contribué à la remontée des cours fin février. La libération de volumes d'intervention sur le marché français a déconnecté les cours de l'orge de mouture de ceux du blé. Ils sont restés orientés à la baisse tout au long du mois de février, ce qui a maintenu l'attractivité de l'orge dans les formulations des industriels de la nutrition animale. Le marché des issues de meunerie a vu peu d'activité en février, avec peu d'offre en pellets, et peu de demande. L'évolution des cours a suivi celle du blé. Sur le marché de la luzerne déshydratée, les échanges ont été limités et les cours ont peu évolué sur le disponible. Le marché des PSC a progressé à la suite des céréales en début de mois, puis l'instabilité des marchés céréaliers et l'absence de disponibilités ont amené à l'absence de cotation officielle fin février. Les drêches de blé départ Lillebonne cotaient 235 /t en 5, et sont descendues à 215 / t en 9. Marché à terme du blé tendre Cours Euronext, lots de 5 t métriques, toutes origines, en /tonne (La France Agricole) 9 5 échéances 1er mars 11 1er fév. 11 août ,25 234,5 janvier ,5 231,5 mars , 231,25
4 4 ALIMENTATION ANIMALE (d'après la note de conjoncture Coop de France Nutrition Animale/SNIA, n février 11) En décembre 1, la production française d aliments composés a progressé globalement de 2,2 %, grâce en partie à un jour ouvré de plus que décembre 9. La progression des aliments pour ruminants s est encore atténuée (+ 2,6 %), avec + 3,1 % en vache laitière. Les aliments porcs reculent de 1,8 %, avec à nouveau des baisses plus marquées en porcelets et truies. La reprise en volaille se confirme (+ 3,4 %), grâce en particulier aux poulets de chair (+ 6,7 %) et aux palmipèdes (+ 5,6 %). Les aliments lapins diminuent de 1,6 %. Sur le deuxième semestre 1, l activité globale est en progression de 2,5 % par rapport au second semestre 9, principalement grâce aux aliments ruminants (mash : + 19,2 %, bovins : + 8,1 %, ovins et caprins : + 7,1 %). Les aliments volailles progressent globalement de 2,2 % et les aliments porcs reculent de 1,9 %. Sur les douze mois de l année 1, le total des fabrications progresse de,9 % grâce aux aliments ruminants (vaches laitières : + 4,1 % ; ovins-caprins : + 4,6 % ; mash : + 18,3 %) et aux aliments volailles (+ 1,8 %). A noter chez ces derniers le retour à l équilibre en dindes et les reprises d activité en poulets (+ 2,4 %), palmipèdes (+ 3,3 %) et pondeuses (+ 2, %). Les aliments porcs sont en recul de 2,5 %, les aliments lapins de 2,6 % et les aliments d allaitement de 2 %. En extrapolant ces évolutions aux entreprises de moins de 3 t/an recensées annuellement, la production globale d aliments composés toutes entreprises, après une chute de 6,2 % en 9, pourrait ainsi remonter en 1 à 21,46 Mt, dont 8,62 Mt en volaille, 5,77 Mt en porc et 4,49 Mt en bovin. INDICE IPAA (matières premières entrant dans l'alimentation animale) base 1 au 1/1/ source : La Dépêche L'indice IPAA suit globalement l'évolution des marchés céréaliers. Il se retrouve en baisse sur un mois et passe de 19 points en 5 à 179 points en 9.
5 5 EXPORTATIONS - IMPORTATIONS cumul oct. à janvier exportations importations octobre novembre décembre janvier février mars avril mai juin juillet août septembre total de la campagne (source : DGDDI. Données susceptibles d'être réactualisées) Les exportations de pulpes déshydratées des quatre premiers mois de la campagne 1-11 représentent 193 tonnes, soit une quantité inférieure de 5 5 tonnes à celle exportée d'octobre 9 à janvier 1. Environ 91 % de ces exportations ont été réalisées à l'intérieur de l'union Européenne. Le solde correspond à 17 tonnes exportées vers la Suisse, la Norvège et l'arabie saoudite. Les importations durant ces quatre mois correspondent à 3 4 tonnes, en nette hausse par rapport aux 1 tonnes importées dans la même période en 9-1. A partir des données DGDDI, le prix moyen des tonnages exportés ressort à 96,28 /tonne. Pour les quantités exportées d'octobre 9 à janvier 1, il était de 82,4 /tonne. 7 tonnes Exportations mensuelles de pulpes déshydratées oct. nov. déc. janv. fév. mars avr. mai juin juil. août sept mois
6 6 ÉNERGIE Évolution du prix du pétrole brut en US$ par baril de 159 litres cotation du Brent à Londres (InterContinental Exchange, clôture) : /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /3/ /3/ /3/ /3/ Évolution du prix du fioul lourd en /tonne (DGEMP-DIREM) date fioul lourd TBTS HTT HTVA 5 4/2/ /2/ /2/ /2/ Prix rendus à l'industrie (hors TVA) en région parisienne (Énergie Plus) 15 janv déc. 1 Fioul lourd TBTS /t ( /1 kwh PCI) 457,84 (4,9) 428,73 (3,83) Gaz naturel /kwh PCS ( /1 kwh PCI),3 (3,36),31 (3,42) Électricité option base /kwh ( /1 kwh PCI),66 (6,65),63 (6,35) Charbon : coût CIF-ARA (Tendances Carbone) 15 janv déc. 1 charbon CIF-ARA /t ( /1 kwh PCI) 93,68 (1,3) 91,41 (1,26) Charbon : index RBI (Richards Bay, Afrique du Sud, prix spot FOB) et Des ARA (Delivered ex ship, Amsterdam-Rotterdam-Anvers, prix spot) en US $ par tonne charbon date RB Index des ARA 6 11/2/ /2/ /2/ /3/
7 7 Évolution des cours du pétrole et du fioul TBTS pétrole brut (Brent) en US $ par baril fioul TBTS, hors TVA, en / tonne Coût des énergies (en / 1 kwh PCI) fioul TBTS gaz naturel charbon CIF-ARA mois sources : Énergie Plus, Tendances-carbone
8 8 CHARBON : index RBI et Des ARA (en US $ par tonne) 1 17 RBI Des ARA source : GlobalCOAL 1 FRET MARITIME : Baltic Capesize Index (BCI) source : La Dépêche
9 9 ENVIRONNEMENT ET TECHNIQUE Marché du CO 2 Le graphique ci-dessous reprend la moyenne hebdomadaire des cours spot de l'indice EUA 8-12 de la bourse de quotas BlueNext. 3 CO 2 : indice BlueNext spot EUA 8-12 (moyenne hebdomadaire) en par tonne Actualités En janvier, plusieurs attaques se sont produites sur les registres de quotas d'émissions de 5 pays de l'ue, conduisant au vol de plus de 3 millions de quotas (,15 % des quotas alloués annuellement). Ces quotas ont été revendus à d'autres participants, avec des conséquences variables selon les pays, en raison de l'absence de cadre juridique harmonisé. Ce nouvel incident, après notamment une fraude à la TVA l'an dernier, pose la question de la gouvernance du Système Européen d'échanges de Quotas (EU ETS). En effet, la Commission européenne ne définit que des exigences minimales de sécurité, chaque État étant responsable de la sécurité de son registre national, et d'autre part, elle ne dispose d'aucun mandat juridique lui permettent d'établir la liste complète des quotas volés. La prochaine tâche de la Commission est donc d'assurer la totale sécurité des 27 registres pour leur réouverture progressive. (Tendances Carbone, n 55, février 11)
10 1 LU DANS LA PRESSE Avec la pulpe de betterave, on apprécie un maïs à 35 % de MS L'EARL de la Lys, dans le Bas-Rhin, possède 45 laitières. Leur ration de base comporte 26 kg de maïs, 12 kg de pulpe de betterave à -22 % de MS, et 3,5 kg de drêches de brasserie. Le stock sur l'exploitation est de 3 tonnes de pulpes. Le maïs est produit sur 1 à 12 ha, avec des variétés riches en amidon et une teneur en MS de l'ordre de 35 %, qui s'équilibre bien avec la pulpe. Le maïs est récolté début septembre et mis en silo bâché. A l'arrivée de la pulpe en octobre, le silo est débâché, la pulpe est étalée sur le maïs et le silo est à nouveau bâché. (Production Laitière Moderne, n 4, février 11) Les 17 es Rencontres de la Recherche sur les Ruminants (3R) Les 17 es "3R" ont eu lieu les 8 et 9 décembre 1. De nombreux résultats d'essais ont été présentés, sous forme de communications orales ou d'affiches. A noter, entre autres : - un essai de comparaison de rations de finition de jeunes bovins, l'une riche en parois (à base de son, luzerne et pulpes de betterave déshydratées), l'autre riche en amidon (céréales et graine de lin extrudée). Lorsque cette dernière est distribuée à volonté, les animaux ingèrent plus d'énergie, mais cela ne se traduit pas par une croissance plus importante qu'avec la ration riche en parois. - une étude sur la qualité du lait chez la chèvre, selon que le régime est riche ou pauvre en concentrés, la ration de base étant composée notamment de foin, de luzerne déshydratée, de concentré commercial, de pulpe de betterave surpressées et de tourteaux de soja. (L'ensemble des textes 1 sont consultables sur le site Deux lots de vaches laitières pour affiner la ration Les 135 prim'holsteins du GAEC Cras, dans le Nord, sont séparées en deux groupes, selon leur niveau de production et leur stade de lactation, l'objectif étant de réduire le coût alimentaire en ajustant la ration aux besoins. Les vaches changent de groupe au fur et à mesure de l'évolution de la lactation. Le groupe "début de lactation" reçoit la ration la plus énergétique, constituée de 33 kg d'ensilage de maïs, 7 kg de pulpe surpressée, 8 kg d'enrubannage, 4,8 kg de divers tourteaux et un complément minéral vitaminé. Pour le groupe "fin de lactation", la ration comprend 35 kg d'ensilage, 6 kg de pulpe, 7 kg d'enrubannage, 2,8 kg de tourteaux et du complément minéral vitaminé. Au printemps, toutes les vaches sont réunies en un seul lot au pâturage. (La France Agricole, n 3373, 18 février 11)
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