COURS DE LA PULPE DÉSHYDRATÉE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "COURS DE LA PULPE DÉSHYDRATÉE"

Transcription

1 N 265 mars 11 MARCHÉ DES PULPES Le marché des pulpes déshydratées disponibles en ancienne récolte n a quasiment pas été actif de la mi janvier jusqu'à fin février, donc sans cotation, sauf sur le 8 mm départ Loiret, à 212 /tonne. En 8 mm départ Marne, quelques tonnages se sont échangés en 8 à 217 /tonne, puis les cours sont descendus à 3 /tonne en 9, en raison du manque d'intérêt des acheteurs. Sur la prochaine campagne, quelques positions ont été prises, à un niveau de 172 / tonne, stable depuis la 1 ère de février. Campagne 1-11 (en /tonne, base 8 mm, disponible) : La Dépêche La France Agricole (2 mars) (1 er mars) Marne 3 5 Aisne Oise Loiret Campagne 11-12, 6 d'octobre (en /tonne, base 8 mm) : La Dépêche La France Agricole (2 mars) (1 er mars) Marne Aube Aisne COURS DE LA PULPE DÉSHYDRATÉE (8 mm, départ Marne) en / tonne disponible d'octobre source : La Dépêche

2 2 PRODUITS CONCURRENTS (d'après La Dépêche) 9 5 cours du 2 mars cours du 2 fév. pulpe de betteraves (dispo, 8 mm, départ Marne) (12 janv.) blé (départ Marne) sons de blé en pellets (départ Ile de France) citrus (disponible, départ Belgique) 229 (23 fév.) 221 corn gluten feed (départ région de Lille) ,5 luzerne (départ Marne) 5 (26 janv.) orge de mouture (départ Marne) drêches de blé (départ Rouen) indice IPAA 178,95 19,22 cours du dollar,7233 (1 er mars),727 (1 er fév.) Cours des produits concurrents (en / tonne) 2 Pulpe dép. Marne Blé dép. Marne Sons en pellets Citrus dép. Belgique source : La Dépêche

3 3 La demande a contribué à soutenir les prix du blé tendre au début février, les exportations européennes étant, de plus, favorisées par la hausse du dollar par rapport à l'euro. En milieu de mois, la situation dans les pays du Moyen Orient a poussé certains opérateurs à vendre pour prendre leurs bénéfices, d'où une forte volatilité des cours et une chute des prix d'environ /tonne en l'espace d'une. En fin de mois, un regain d'intérêt de la part des pays importateurs a stabilisé les cours, sur un marché néanmoins peu animé. Sur l'intérieur, les fabricants d'aliments du bétail ont globalement préféré l'orge et le maïs. Le marché du maïs a évolué dans le sillage de celui du blé, d'abord en hausse, puis en net retrait et enfin un redressement des cours fin février-début mars. Les fabricants d'aliments, bien présents sur l'origine intérieure dans la 1 ère de février, se sont ensuite intéressés à des importations sudaméricaines, puis se sont reportés sur l'orge. Une estimation en recul des stocks de fin de campagne a aussi contribué à la remontée des cours fin février. La libération de volumes d'intervention sur le marché français a déconnecté les cours de l'orge de mouture de ceux du blé. Ils sont restés orientés à la baisse tout au long du mois de février, ce qui a maintenu l'attractivité de l'orge dans les formulations des industriels de la nutrition animale. Le marché des issues de meunerie a vu peu d'activité en février, avec peu d'offre en pellets, et peu de demande. L'évolution des cours a suivi celle du blé. Sur le marché de la luzerne déshydratée, les échanges ont été limités et les cours ont peu évolué sur le disponible. Le marché des PSC a progressé à la suite des céréales en début de mois, puis l'instabilité des marchés céréaliers et l'absence de disponibilités ont amené à l'absence de cotation officielle fin février. Les drêches de blé départ Lillebonne cotaient 235 /t en 5, et sont descendues à 215 / t en 9. Marché à terme du blé tendre Cours Euronext, lots de 5 t métriques, toutes origines, en /tonne (La France Agricole) 9 5 échéances 1er mars 11 1er fév. 11 août ,25 234,5 janvier ,5 231,5 mars , 231,25

4 4 ALIMENTATION ANIMALE (d'après la note de conjoncture Coop de France Nutrition Animale/SNIA, n février 11) En décembre 1, la production française d aliments composés a progressé globalement de 2,2 %, grâce en partie à un jour ouvré de plus que décembre 9. La progression des aliments pour ruminants s est encore atténuée (+ 2,6 %), avec + 3,1 % en vache laitière. Les aliments porcs reculent de 1,8 %, avec à nouveau des baisses plus marquées en porcelets et truies. La reprise en volaille se confirme (+ 3,4 %), grâce en particulier aux poulets de chair (+ 6,7 %) et aux palmipèdes (+ 5,6 %). Les aliments lapins diminuent de 1,6 %. Sur le deuxième semestre 1, l activité globale est en progression de 2,5 % par rapport au second semestre 9, principalement grâce aux aliments ruminants (mash : + 19,2 %, bovins : + 8,1 %, ovins et caprins : + 7,1 %). Les aliments volailles progressent globalement de 2,2 % et les aliments porcs reculent de 1,9 %. Sur les douze mois de l année 1, le total des fabrications progresse de,9 % grâce aux aliments ruminants (vaches laitières : + 4,1 % ; ovins-caprins : + 4,6 % ; mash : + 18,3 %) et aux aliments volailles (+ 1,8 %). A noter chez ces derniers le retour à l équilibre en dindes et les reprises d activité en poulets (+ 2,4 %), palmipèdes (+ 3,3 %) et pondeuses (+ 2, %). Les aliments porcs sont en recul de 2,5 %, les aliments lapins de 2,6 % et les aliments d allaitement de 2 %. En extrapolant ces évolutions aux entreprises de moins de 3 t/an recensées annuellement, la production globale d aliments composés toutes entreprises, après une chute de 6,2 % en 9, pourrait ainsi remonter en 1 à 21,46 Mt, dont 8,62 Mt en volaille, 5,77 Mt en porc et 4,49 Mt en bovin. INDICE IPAA (matières premières entrant dans l'alimentation animale) base 1 au 1/1/ source : La Dépêche L'indice IPAA suit globalement l'évolution des marchés céréaliers. Il se retrouve en baisse sur un mois et passe de 19 points en 5 à 179 points en 9.

5 5 EXPORTATIONS - IMPORTATIONS cumul oct. à janvier exportations importations octobre novembre décembre janvier février mars avril mai juin juillet août septembre total de la campagne (source : DGDDI. Données susceptibles d'être réactualisées) Les exportations de pulpes déshydratées des quatre premiers mois de la campagne 1-11 représentent 193 tonnes, soit une quantité inférieure de 5 5 tonnes à celle exportée d'octobre 9 à janvier 1. Environ 91 % de ces exportations ont été réalisées à l'intérieur de l'union Européenne. Le solde correspond à 17 tonnes exportées vers la Suisse, la Norvège et l'arabie saoudite. Les importations durant ces quatre mois correspondent à 3 4 tonnes, en nette hausse par rapport aux 1 tonnes importées dans la même période en 9-1. A partir des données DGDDI, le prix moyen des tonnages exportés ressort à 96,28 /tonne. Pour les quantités exportées d'octobre 9 à janvier 1, il était de 82,4 /tonne. 7 tonnes Exportations mensuelles de pulpes déshydratées oct. nov. déc. janv. fév. mars avr. mai juin juil. août sept mois

6 6 ÉNERGIE Évolution du prix du pétrole brut en US$ par baril de 159 litres cotation du Brent à Londres (InterContinental Exchange, clôture) : /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /2/ /3/ /3/ /3/ /3/ Évolution du prix du fioul lourd en /tonne (DGEMP-DIREM) date fioul lourd TBTS HTT HTVA 5 4/2/ /2/ /2/ /2/ Prix rendus à l'industrie (hors TVA) en région parisienne (Énergie Plus) 15 janv déc. 1 Fioul lourd TBTS /t ( /1 kwh PCI) 457,84 (4,9) 428,73 (3,83) Gaz naturel /kwh PCS ( /1 kwh PCI),3 (3,36),31 (3,42) Électricité option base /kwh ( /1 kwh PCI),66 (6,65),63 (6,35) Charbon : coût CIF-ARA (Tendances Carbone) 15 janv déc. 1 charbon CIF-ARA /t ( /1 kwh PCI) 93,68 (1,3) 91,41 (1,26) Charbon : index RBI (Richards Bay, Afrique du Sud, prix spot FOB) et Des ARA (Delivered ex ship, Amsterdam-Rotterdam-Anvers, prix spot) en US $ par tonne charbon date RB Index des ARA 6 11/2/ /2/ /2/ /3/

7 7 Évolution des cours du pétrole et du fioul TBTS pétrole brut (Brent) en US $ par baril fioul TBTS, hors TVA, en / tonne Coût des énergies (en / 1 kwh PCI) fioul TBTS gaz naturel charbon CIF-ARA mois sources : Énergie Plus, Tendances-carbone

8 8 CHARBON : index RBI et Des ARA (en US $ par tonne) 1 17 RBI Des ARA source : GlobalCOAL 1 FRET MARITIME : Baltic Capesize Index (BCI) source : La Dépêche

9 9 ENVIRONNEMENT ET TECHNIQUE Marché du CO 2 Le graphique ci-dessous reprend la moyenne hebdomadaire des cours spot de l'indice EUA 8-12 de la bourse de quotas BlueNext. 3 CO 2 : indice BlueNext spot EUA 8-12 (moyenne hebdomadaire) en par tonne Actualités En janvier, plusieurs attaques se sont produites sur les registres de quotas d'émissions de 5 pays de l'ue, conduisant au vol de plus de 3 millions de quotas (,15 % des quotas alloués annuellement). Ces quotas ont été revendus à d'autres participants, avec des conséquences variables selon les pays, en raison de l'absence de cadre juridique harmonisé. Ce nouvel incident, après notamment une fraude à la TVA l'an dernier, pose la question de la gouvernance du Système Européen d'échanges de Quotas (EU ETS). En effet, la Commission européenne ne définit que des exigences minimales de sécurité, chaque État étant responsable de la sécurité de son registre national, et d'autre part, elle ne dispose d'aucun mandat juridique lui permettent d'établir la liste complète des quotas volés. La prochaine tâche de la Commission est donc d'assurer la totale sécurité des 27 registres pour leur réouverture progressive. (Tendances Carbone, n 55, février 11)

10 1 LU DANS LA PRESSE Avec la pulpe de betterave, on apprécie un maïs à 35 % de MS L'EARL de la Lys, dans le Bas-Rhin, possède 45 laitières. Leur ration de base comporte 26 kg de maïs, 12 kg de pulpe de betterave à -22 % de MS, et 3,5 kg de drêches de brasserie. Le stock sur l'exploitation est de 3 tonnes de pulpes. Le maïs est produit sur 1 à 12 ha, avec des variétés riches en amidon et une teneur en MS de l'ordre de 35 %, qui s'équilibre bien avec la pulpe. Le maïs est récolté début septembre et mis en silo bâché. A l'arrivée de la pulpe en octobre, le silo est débâché, la pulpe est étalée sur le maïs et le silo est à nouveau bâché. (Production Laitière Moderne, n 4, février 11) Les 17 es Rencontres de la Recherche sur les Ruminants (3R) Les 17 es "3R" ont eu lieu les 8 et 9 décembre 1. De nombreux résultats d'essais ont été présentés, sous forme de communications orales ou d'affiches. A noter, entre autres : - un essai de comparaison de rations de finition de jeunes bovins, l'une riche en parois (à base de son, luzerne et pulpes de betterave déshydratées), l'autre riche en amidon (céréales et graine de lin extrudée). Lorsque cette dernière est distribuée à volonté, les animaux ingèrent plus d'énergie, mais cela ne se traduit pas par une croissance plus importante qu'avec la ration riche en parois. - une étude sur la qualité du lait chez la chèvre, selon que le régime est riche ou pauvre en concentrés, la ration de base étant composée notamment de foin, de luzerne déshydratée, de concentré commercial, de pulpe de betterave surpressées et de tourteaux de soja. (L'ensemble des textes 1 sont consultables sur le site Deux lots de vaches laitières pour affiner la ration Les 135 prim'holsteins du GAEC Cras, dans le Nord, sont séparées en deux groupes, selon leur niveau de production et leur stade de lactation, l'objectif étant de réduire le coût alimentaire en ajustant la ration aux besoins. Les vaches changent de groupe au fur et à mesure de l'évolution de la lactation. Le groupe "début de lactation" reçoit la ration la plus énergétique, constituée de 33 kg d'ensilage de maïs, 7 kg de pulpe surpressée, 8 kg d'enrubannage, 4,8 kg de divers tourteaux et un complément minéral vitaminé. Pour le groupe "fin de lactation", la ration comprend 35 kg d'ensilage, 6 kg de pulpe, 7 kg d'enrubannage, 2,8 kg de tourteaux et du complément minéral vitaminé. Au printemps, toutes les vaches sont réunies en un seul lot au pâturage. (La France Agricole, n 3373, 18 février 11)

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011

Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Indicateurs des marchés de gros de l électricité Mars 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux

Plus en détail

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège

L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire. Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège L ensilage de maïs en Ardenne? D un point de vue alimentaire Isabelle Dufrasne Ferme expérimentale Service de Nutrition FMV Université de Liège Plan L ensilage de maïs en général Caractéristiques anatomiques

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16

Revue des Marchés. Charles Gagné 2015-04-16 9. Revue des Marchés Charles Gagné 2015-04-16 Les faits saillants 1. Inventaires de porcs aux É.-U. ( Hogs & Pigs) Croissance de 2 % du troupeau reproducteur 2. Baisse des exportations américaines Valeur

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique

Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conventions de calcul pour la réalisation des cas types en agriculture biologique Conjoncture retenue pour la construction des cas-types Prix de la viande bovine Conjoncture 1 er trimestre 2012 Prix des

Plus en détail

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières

Revenu agricole 2013 : une année délicate pour les productions céréalières Agreste Champagne-Ardenne n 4 - Juillet 2015 Réseau d information comptable agricole En 2013, le Résultat Courant Avant Impôt (RCAI) moyen des exploitations agricoles champardennaises couvertes par le

Plus en détail

15% 10% -5% % de ch. par rapp. à l année préc. -10% Conserves Meat de fruits et légumes et aliments de spécialité

15% 10% -5% % de ch. par rapp. à l année préc. -10% Conserves Meat de fruits et légumes et aliments de spécialité Export. (milliers de dollars CAD) % de ch. par rapp. à l année préc. 4Q13 Survol des tendances de l industrie canadienne des aliments, des boissons et du secteur agroalimentaire Nouvelles importantes Le

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe

En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Cas type HL 1 En zones herbagères, un système spécialisé lait, tout herbe Rouen Évreux Amiens Beauvais Arras Lille Laon Culture à faible densité d'élevage Herbagère à forte densité d'élevage Mixte à moyenne

Plus en détail

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie

ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie ACTION N 1 Réseau d élevages bovins laitiers en Agrobiologie Capacité d adaptation des systèmes en Agriculture Biologique aux épisodes de sécheresse AUTONOMIE ALIMENTAIRE Maître d œuvre : Chambres d Agriculture

Plus en détail

OBSERVATION ET STATISTIQUES

OBSERVATION ET STATISTIQUES COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 411 Avril 13 Conjoncture énergétique Février 13 OBSERVATION ET STATISTIQUES TRANSPORT La production d énergie primaire du mois de février recule de 3,2 %

Plus en détail

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999

Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Impact des pratiques alimentaires de fin de gestation sur la lactation publié dans L'égide n 15, 1999 Au cours d'un cycle de production, les semaines qui entourent la mise-bas sont capitales : elles conditionnent

Plus en détail

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles? Pourquoi est-il important pour une banque de sécuriser le chiffre d affaires des entreprises agricoles?

Plus en détail

CHAPITRE III - LES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES

CHAPITRE III - LES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES CHAPITRE III - LES CONSOMMATIONS INTERMÉDIAIRES 1. Présentation générale... 91 2. Les consommations intermédiaires hors TVA... 91 3. Les consommations intermédiaires hors TVA déductible... 102 4. Sources

Plus en détail

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO

AVANT-PROPOS. Directeur de la Division de la statistique de la FAO AVANT-PROPOS L Annuaire statistique de la FAO fournit une sélection d indicateurs par pays sur l alimentation et l agriculture. Les données proviennent de FAOSTAT, la base de données statistique de l Organisation

Plus en détail

Indicateurs des marchés de gros de l électricité septembre 2011

Indicateurs des marchés de gros de l électricité septembre 2011 Indicateurs des marchés de gros de l électricité septembre 2011 Cahier des indicateurs électricité Evolution des prix de l électricité Développement du négoce en France Indicateurs relatifs aux fondamentaux

Plus en détail

& Que choisir. favoriser le bien-être

& Que choisir. favoriser le bien-être Label Rouge & Agriculture Biologique Que choisir pour favoriser le bien-être des animaux? Un guide des tiné au consommateur Protection mondiale des animaux de ferme Ce petit guide a pour objectif d aider

Plus en détail

PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI

PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI PRODUITS DÉRIVÉS LES CONTRATS À TERME : MODE D EMPLOI About NYSE Euronext NYSE Euronext (NYX) est l un des principaux opérateurs de marchés financiers et fournisseurs de technologies de négociation innovantes.

Plus en détail

12 mois pour un budget

12 mois pour un budget 12 mois pour un budget Mode d'emploi L'échéancier prévisionnel annuel Le budget mensuel avec sa feuille de route (janvier à décembre) Le bilan annuel La maîtrise du budget est indispensable pour réaliser

Plus en détail

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1

L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada 1 Affaires étrangè et Commerce International Canada Le Bureau de l économiste en chef Série de papiers analytiques L incidence des hausses de prix des produits de base sur la balance commerciale du Canada

Plus en détail

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013

L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 L agriculture luxembourgeoise en chiffres 2013 (données disponibles au 1 ier avril 2013) MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE LA VITICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL SERVICE D ECONOMIE RURALE L agriculture

Plus en détail

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts

Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Environnement, économie, société : le maïs sur tous les fronts Millions t 3 000 2 500 2 000 1 500 1 000 La demande en grains va augmenter avec la population 500 MAÏS : +76% 0 2000 2010 2015 2020 2030 RIZ

Plus en détail

Association nationale de la meunerie française

Association nationale de la meunerie française Association nationale de la meunerie française LA MEUNERIE FRANCAISE : ses entreprises, ses marchés t tla t structure des entreprises de la meunerie française La meunerie française est composée de 373

Plus en détail

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR!

ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! ÉCONOMIQUES OU PAS LES FOURRAGES, FAUDRAIT SAVOIR! CONFÉRENCIER Doris Pellerin COLLABORATEURS Guy Allard Charles Bachand Raymond Levallois Diane Gilbert Philippe Savoie La rumeur veut que les fourrages

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière

Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière L'impact des biocarburants sur l'effet de serre Oléagineux, Corps Gras, Lipides. Volume 9, Numéro 5, 296-8, Septembre - Octobre 2002, La filière Auteur(s) : Etienne POITRAT, ADEME (Agence de l'environnement

Plus en détail

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012

PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES ANNEE 2012 MINISTÈRE DE L'AGRICULTURE, DE L'AGRO-ALIMENTAIRE ET DE LA FORET (articles L361 1 à 21 et D361 1 à R361 37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES DE RECOLTE SUR LES POMMES A COUTEAU ET LES POMMES

Plus en détail

Bilan électrique français ÉDITION 2014

Bilan électrique français ÉDITION 2014 Bilan électrique français ÉDITION 2014 Dossier de presse Sommaire 1. La baisse de la consommation 6 2. Le développement des ENR 8 3. Le recul de la production thermique fossile 9 4. La baisse des émissions

Plus en détail

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural)

MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) MINISTERE DE L'AGRICULTURE DE L AGROALIMENTAIRE ET DE LA FORÊT (articles L3611à 21 et D3611 à R36137 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION DES PERTES PROCEDURE DES CALAMITES AGRICOLES PERTES DE RECOLTE

Plus en détail

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes

Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes R E F E R E N C E S Systèmes bovins laitiers en Poitou-Charentes Avril 2008 Les cas-types... mode d emploi R E F E R E N C E S Vous avez dit cas-type? Un cas-type est une exploitation représentative d'un

Plus en détail

Biogaz et méthanisation

Biogaz et méthanisation Note pour les comités opérationnels 10 (Energies renouvelables) et 15 (agriculture) COMITE DE LIAISON ENERGIES RENOUVELABLES (CLER) Contact: Christian Couturier, christian.couturier@solagro.asso.fr 05

Plus en détail

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49

Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Impact de la variabilité des prix des produits agricoles et des intrants sur les exploitations en France Marc VARCHAVSKY Conseil National CER FRANCE Olivier BOUCHONNEAU Président de CER FRANCE 49 Colloque

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE

UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Le réseau Société Générale UNE OFFRE MODERNE DE BANQUE À DOMICILE Alain Brunet Journée Société Générale - 20 juin 2000 1 Sommaire Une utilisation massive et un impact important sur notre exploitation Une

Plus en détail

L INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015

L INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015 L INDUSTRIE PÉTROLIÈRE FRANÇAISE EN 2014 ET PERSPECTIVES 2015 CONFÉRENCE DE PRESSE DU 10 MARS 2015 1 L ÉVÉNEMENT 2014 : FORTE BAISSE DU PRIX DU BARIL Source : UFIP avec des données Reuters 2 1 Marchés

Plus en détail

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28

Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 194/2014-15 décembre 2014 Premières estimations pour 2014 Le revenu agricole réel par actif en baisse de 1,7% dans l UE28 Par rapport à 2013, le revenu agricole réel par actif 1 a diminué de 1,7% dans

Plus en détail

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie

Base de données PEGASE www.industrie.gouv.fr/energie Liberté Égalité Fraternité RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L'ÉCONOMIE DES FINANCES ET DE L'INDUSTRIE 600 550 500 450 400 350 300 En euros constants indice base 100 en 1973 PRIX DES ÉNERGIES Prix du pétrole

Plus en détail

La présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées.

La présence de conditions intégrales (CI) et/ou de conditions sectorielles (CS) est mentionnée en regard des rubriques concernées. Dans une exploitation agricole, peuvent se rencontrer : Chapitre 1 : des activités d élevage Chapitre 2 : des activités agricoles autres que l élevage Chapitre 3 : des activités autres qu agricoles Chaque

Plus en détail

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015

Le centre sera fermé du 20 au 31 juillet 2015 Calendrier officiel des 2015-2016 Date des 2 premières Cours de jour : Mercredi 26 août 2015 Mardi 8 septembre 2015 du 1 e juin au 8 juillet ET du 3 au 5 août 2015 Cours de soir : Inscriptions les lundis

Plus en détail

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui

L intérêt technico-économique. avec simulations à l'appui L intérêt technico-économique Titre de du l'engraissement diaporama des mâles avec simulations à l'appui Christèle PINEAU Institut de l'elevage Christele.Pineau@idele.fr Matthieu COUFFIGNAL ARVALIS, Institut

Plus en détail

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»

«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.

Plus en détail

La volatilité des marchés mondiaux des matières premières agricoles et l évolution des prix à la consommation de l alimentation en France

La volatilité des marchés mondiaux des matières premières agricoles et l évolution des prix à la consommation de l alimentation en France N 12 mars 2013 Service du soutien au réseau Sous-direction de la communication, programmation et veille économique Bureau de la veille économique et des prix La volatilité des marchés mondiaux des matières

Plus en détail

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à :

DIVERSITÉ CULTURELLE JOURS FÉRIÉS Pour en savoir Plus, veuillez vous adresser à : Le Manitoba en bref Le Manitoba : Province du Canada depuis 1870. Manitoba signifie «lieu où vit l Esprit» dans les langues des peuples autochtones de la province. Chef politique : Premier ministre (Greg

Plus en détail

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél.

ANAIS LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE. Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. LE LOGICIEL DE GESTION PRÉVISIONNELLE DE L ENTREPRISE AGRICOLE ET RURALE Laboratoire Informatique de l ENITA de Bordeaux Tél. 05 57 35 07 95 PHILOSOPHIE DU LOGICIEL - CONCEPTS DE BASE ET MECANISMES 1.

Plus en détail

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012

Agri-stabilité GUIDE DE DÉCLARATION DES UNITÉS PRODUCTIVES 2012 Ce guide contient toutes les informations nécessaires pour déclarer vos unités productives pour l année de participation 2012. Guide de déclaration des unités productives...p. 3 Liste des unités productives...p.

Plus en détail

Les perspectives économiques

Les perspectives économiques Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois

Plus en détail

L ouverture des marchés àterme basés sur les matières premières agricoles en Europe

L ouverture des marchés àterme basés sur les matières premières agricoles en Europe L ouverture des marchés àterme basés sur les matières premières agricoles en Europe Les réformes successives de la PAC depuis 1992 ont induit une plus forte variabilitédes prix Baisse des prix institutionnels,

Plus en détail

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles

Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que

Plus en détail

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes

DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes DECiDE, un outil pour évaluer les émissions de gaz à effet de serre (GES) et les consommations énergétiques des exploitations agricoles wallonnes 14 ème journée d étude des productions porcines et avicoles,

Plus en détail

La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012

La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée

Plus en détail

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1

IDENTIFICATION DU DEMANDEUR Rq : pour les agriculteurs : laisser la possibilité de coller l étiquette d identification pré-remplie basée sur le S1 n 13 681*02 MINISTÈRE DE L'ALIMENTATION, DE L'AGRICULTURE, DE LA PÊCHE, DE LA RURALITÉ ET DE L'AMENAGEMENT DU TERRITOIRE (articles L361-1à 21 et D361-1 à R361-37 du Code rural) DEMANDE D INDEMNISATION

Plus en détail

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil

Comité Coproduits. Situation des marchés (V e quartier) 30 juin 2015. Montreuil Comité Coproduits Situation des marchés (V e quartier) juin 21 Montreuil LE MARCHE DES PRODUITS TRIPIERS Production de produits tripiers tonnes Evolution sur mois 21/21 Abats de bovins : + 2,2 % Abats

Plus en détail

COFFRES-FORTS 158,15 240 EUR 237,23 320 EUR. Coût additionnel pour coffre à code 15 EUR

COFFRES-FORTS 158,15 240 EUR 237,23 320 EUR. Coût additionnel pour coffre à code 15 EUR Tenue de compte, coffres, attestations et recherches FORFAIT ANNUEL TENUE DE COMPTE 1 COFFRES-FORTS Avec accès e-banking sécurisé 2 25 EUR Volume (dm 3 ) loyer annuel HT + TVA 17% Avec envoi hebdomadaire

Plus en détail

Marché des céréales CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES. www.igc.int FAITS SAILLANTS ESTIMATIONS MONDIALES. GMR 458 27 août 2015

Marché des céréales CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES. www.igc.int FAITS SAILLANTS ESTIMATIONS MONDIALES. GMR 458 27 août 2015 Rapport GMR 458 27 août 2015 CONSEIL INTERNATIONAL DES CEREALES www.igc.int Marché des céréales FAITS SAILLANTS A 1.988 millions de tonnes, les prévisions de production mondiale toutes céréales confondues

Plus en détail

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ

1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT ARRÊTÉ 1 RÉPUBLIQUE FRANÇAISE MINISTÈRE DE L EMPLOI, DE LA COHÉSION SOCIALE ET DU LOGEMENT NOR : SOCU 00611881A ARRÊTÉ relatif au diagnostic de performance énergétique pour les bâtiments existants proposés à

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

Pour une meilleure santé

Pour une meilleure santé Pour une meilleure santé LA CONSOMMATION QUOTIDIENNE DE VIANDE APPORTE DES GRAISSES SATURÉES. => AUGMENTATION TAUX DE CHOLESTÉROL ET MALADIES CARDIO-VASCULAIRES. => RISQUE DE SURPOIDS ET D'OBÉSITÉ. LES

Plus en détail

Définition des variables présentées dans le RICA

Définition des variables présentées dans le RICA Les termes en gras italique sont définis par ailleurs dans le lexique. Les termes en italique désignent des variables explicitement recueillies dans le Rica. A B C D E F G H I J K L M N O P Q R S T U V

Plus en détail

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures»

La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» Donner à la nature les moyens d exprimer son potentiel! La vie du sol : «Les racines de la fertilité de vos cultures» BIO3G : 3 rue Basse Madeleine - BP 22-22230 MERDRIGNAC Tél : 02 96 67 41 41 - Fax :

Plus en détail

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015

Point d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015 Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la

Plus en détail

QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC?

QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? QUOI DE NEUF DANS LE NOUVEAU NRC? Daniel LEFEBVRE, Ph.D., agronome PATLQ inc. Sainte-Anne-de-Bellevue Conférence préparée en collaboration avec : Doris PELLERIN, Ph.D., agronome Professeur en sciences

Plus en détail

Etendue de l assujettissement aux droits. de lois ou par des ordonnances du Conseil fédéral édictées en vertu de la présente loi.

Etendue de l assujettissement aux droits. de lois ou par des ordonnances du Conseil fédéral édictées en vertu de la présente loi. Loi sur le tarif des douanes (LTaD) 632.10 du 9 octobre 1986 (Etat le 1 er janvier 2013) L Assemblée fédérale de la Confédération suisse, vu les art. 28 et 29 de la constitution 1, vu le message du Conseil

Plus en détail

EURONEXT-NYSE MARCHES A TERME : MODE D EMPLOI. Arnaud Diemer, Université Blaise Pascal, Clermont Ferrand Janvier 2013 - VETAGRO

EURONEXT-NYSE MARCHES A TERME : MODE D EMPLOI. Arnaud Diemer, Université Blaise Pascal, Clermont Ferrand Janvier 2013 - VETAGRO EURONEXT-NYSE MARCHES A TERME : MODE D EMPLOI Arnaud Diemer, Université Blaise Pascal, Clermont Ferrand Janvier 2013 - VETAGRO 1 NYSE Liffe en quelques chiffres Au cours de l année 2011, l activité des

Plus en détail

SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE

SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE LE CONSEIL AGRICOLE : UNE NOUVELLE STRATÉGIE DE SERVICE POUR LES AGRICULTEURS DOSSIER ROYAUME DU MAROC SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE N 9 Novembre 2011 SITUATION DE L AGRICULTURE MAROCAINE N 9 Novembre

Plus en détail

Mareva Edel Directrice Commerciale & Marketing E.ON

Mareva Edel Directrice Commerciale & Marketing E.ON Édito Infos marchés Actus E.ON Prix du marché Chers lecteurs, chères lectrices, Nous avons lancé en début d'année une campagne média, web et radio, à destination des PME. L'intérêt étant de positionner

Plus en détail

Calcul de la marge brute en production laitière

Calcul de la marge brute en production laitière Mode d emploi : Calcul de la marge brute en production laitière Calculez la marge brute en production laitière sur votre exploitation et comparez-la avec celle d autres exploitations du même type. Utilisation

Plus en détail

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord

Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Perspectives économiques régionales du Moyen-Orient et de l Afrique du Nord Mise à jour - Janvier 2015 Giorgia Albertin Représentante Résidente pour la Tunisie Fonds Monétaire International Plan de l exposé

Plus en détail

Modèle de budget mensuel

Modèle de budget mensuel Modèle de budget mensuel Ce modèle de budget a été créé pour vous aider à vous fixer un budget adapté à votre situation. Que vous épargniez en vue de votre mariage ou de l arrivée d un enfant, établir

Plus en détail

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY

«Cette action contribue au PNNS». À CHÂTEAU THIERRY «Cette action contribue au PNNS». «IL FAIT BIO À CHÂTEAU THIERRY A Chateau Thierry, la Municipalité souhaite développer les produits BIO et issus de filières de proximité dans les menus de la restauration

Plus en détail

Contexte : Objectif : Expérimentation :

Contexte : Objectif : Expérimentation : Estimation de la valeur fertilisante de digestats issus de la biométhanisation. Résultat de 3 années d expérimentation en culture de maïs (2009 à 2011). (JFr. Oost 1, Marc De Toffoli 2 ) 1 Centre pilote

Plus en détail

48,5 Bcf RAPPORT T1 2015 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR 2015 PÉTROLE ET GAZ NATUREL. Infrastructure de transport du gaz naturel

48,5 Bcf RAPPORT T1 2015 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR 2015 PÉTROLE ET GAZ NATUREL. Infrastructure de transport du gaz naturel RAPPORT T1 SUR L'ÉNERGIE DE L ONTARIO JAN MAR PÉTROLE ET GAZ NATUREL Prix au détail moyens de l essence ordinaire et du diesel à l'échelle provinciale ($/L) Prix du gaz naturel en vigueur pour le commerce

Plus en détail

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières

CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE. Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières CONSOMMATION ET PRODUCTION D ELECTRICITE EN ALLEMAGNE Bernard Laponche 2 juin 2014 * Table des matières 1. CONSOMMATION FINALE D ELECTRICITE...2 1.1 EVOLUTION SUR LA PERIODE 2000-2013... 2 1.2 ENTRE 2010

Plus en détail

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA

UNEP /UNESCO /UNCH / ECA UNEP /UNESCO /UNCH / ECA URBAN POLLUTION OF SURFICIAL AND GROUNDWATER AQUIFERS VULNERABILITY IN AFRICA Bénin, Guinée, Niger, Mali, Côte d Ivoire, Sénégal, Burkina Faso AQUIFERE SUPERFICIEL ET POLLUTION

Plus en détail

Dérivés Financiers Contrats à terme

Dérivés Financiers Contrats à terme Dérivés Financiers Contrats à terme Mécanique des marchés à terme 1) Supposons que vous prenez une position courte sur un contrat à terme, pour vendre de l argent en juillet à 10,20 par once, sur le New

Plus en détail

DESS INGENIERIE FINANCIERE

DESS INGENIERIE FINANCIERE DESS INGENIERIE FINANCIERE Mercredi 27 mars 2005 Philippe TESTIER - CFCM Brest 1 SOMMAIRE Le Change au comptant (spot) ; Le Change à Terme (termes secs, swaps de change) ; Les Options de Change ; Les Options

Plus en détail

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de reprise d activité et d initiative locale) a été initié fin mars 2009 par Yves Jégo, secrétaire d Etat chargé de l Outre-mer

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

Bilan électrique 2014

Bilan électrique 2014 Bilan électrique 214 Edition du 29/1/215 215 RTE Réseau de transport d électricité RTE Réseau de transport d électricité se réserve le droit de revendiquer les droits attachés à sa qualité d auteur et

Plus en détail

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA

Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA Bilan des émissions de gaz à effet de serre de la société Fromageries BEL SA 1. Description de la société Fromageries Bel SA : Code NAF : 1051C Code SIREN : 542.088.067, les numéros SIRET associés sont

Plus en détail

Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France

Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France Image de la carte bancaire auprès des porteurs - France Rapport d étude 7 novembre 2005 Contacts TNS SOFRES : Florence de MARIEN 01.40.92.45.59 Benjamine DUROUCHOUX 01.40.92.45.14 BDX R_42GV07_01 Département

Plus en détail

II. LE PRINCIPE DE LA BASE

II. LE PRINCIPE DE LA BASE II. LE PRINCIPE DE LA BASE Le comportement des opérateurs (position longue ou courte) prend généralement en compte l évolution du cours au comptant et celle du cours à terme. Bien qu ils n évoluent pas

Plus en détail

Macroéconomie et Change Vers un durcissement de la politique de la Fed

Macroéconomie et Change Vers un durcissement de la politique de la Fed Semaine du 06/12 au 13/12/2013 Macroéconomie et Change Vers un durcissement de la politique de la Fed Electricité Pas de tendance marquée pour les prix de l électricité sur la courbe Pétrole Prix en baisse

Plus en détail

De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques

De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs. La nouvelle génération de centrales thermiques De l intérêt du combustible bois pour le séchage de maïs La nouvelle génération de centrales thermiques I. Quelques principes pour faire des économies La température de l air L épaisseur du grain Le refroidissement

Plus en détail

méthodologiquem Quelques précautions

méthodologiquem Quelques précautions Atelier régional r méthodologiquem «Les prix de parité à l importation du riz et du maïs s en Afrique de l Ouestl» Quelques précautions Calculer des prix de parité en se basant sur les prix et les coûts

Plus en détail

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012

CALAMITES AGRICOLES GEL PRINTEMPS 2012 PRÉFET DE LA SEINE-MARITIME Direction départementale des Territoires et de la Mer Service d'economie Agricole Rouen, le 8 janvier 2013 Affaire suivie par Laurence MOUTIER Tél. : 02 32 18 94 71 Fax : 02

Plus en détail

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE

DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE DISPOSITIF CO.RAIL PRET A TAUX ZERO-DOSSIER TYPE Le plan CO.RAIL (Contrat de Reprise d Activité et d Initiative Locale) a été initié fin mars 2009 par le Secrétariat d Etat chargé de l Outre-mer (SEOM),

Plus en détail

Etat des lieux du crédit à la consommation en France

Etat des lieux du crédit à la consommation en France Etat des lieux du crédit à la consommation en France Un marché en cours de mutation? Référence du document : Athling_Crédit à la consommation en France_121018_App.ppt 21 octobre 2012 Page 1 Qui a dit?

Plus en détail

4 Formulaires de virement standard disponibles auprès de nos guichets ou en appelant votre conseiller.

4 Formulaires de virement standard disponibles auprès de nos guichets ou en appelant votre conseiller. I. Compte à vue FRAIS DE TENUE DE COMPTE TAUX CREDITEURS (taux annuels) / (CHF: taux négatifs) Ouverture/fermeture de compte Forfait annuel incluant l'ouverture de comptes additionnels dans toutes les

Plus en détail

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser MICHEL MORIN, AGR. AGROÉCONOMISTE (CDPQ) COLLABORATEURS: STÉPHANE D AMATO, AGR., AXIS AGRICULTURE JEAN-DENIS LABRECQUE, CTA 2003 RÉJEAN LEBLANC,

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011

LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE. Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 LE MARCHE FRANCAIS ET EUROPEEN DE L ELECTRICITE Conférence Centrale Energie, 19 Janvier 2011 SOMMAIRE 01. Les enjeux du marché de électricité 02. L ouverture du marché de l électricité en Europe 03. Le

Plus en détail

Canada-Inde Profil et perspective

Canada-Inde Profil et perspective Canada-Inde Profil et perspective Mars 2009 0 L Inde et le Canada : un bref profil Vancouver Calgary Montréal Toronto INDE 3 287 263 km² 1,12 milliard 1 181 milliards $US 1 051 $US Source : Fiche d information

Plus en détail

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR

STATISTIQUE DU COMMERCE E X T E R I E U R STATISTIQUES DU COMM- MERCE EXTERIEUR STATISTIQUE DU COMM- DU COMMERCE MERCE EXTERIEUR E X T E R I E U R Statistique du Commerce Extérieur S E R I E Statistiques du commerce extérieur I - Introduction Les statistiques des échanges commerciaux

Plus en détail

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française

Les 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement

Plus en détail

Macroéconomie et Change La BCE frappe fort. L euro s effondre

Macroéconomie et Change La BCE frappe fort. L euro s effondre Semaine du 19/01/2015 au 26/01/2015 Macroéconomie et Change La BCE frappe fort. L euro s effondre Electricité Une semaine plus tendue sur les marchés de l électricité Pétrole Le brut stable autour de $49/b

Plus en détail

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1

LES CONTRATS EN AVICULTURE. Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 LES CONTRATS EN AVICULTURE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 1 CONTEXTE, OBJECTIFS ET MÉTHODE Comité Volailles FranceAgriMer, 31 janvier 2013 2 CONTEXTE Déficit de compétitivité français

Plus en détail