TRAITEMENT DE L'INFORMATION

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TRAITEMENT DE L'INFORMATION"

Transcription

1 1 ère année S2 ELECTRONIQUE POUR LE H. Benisty / J. Villeméjane TRAITEMENT DE L'INFORMATION 2016/2017 TD 11 : Numérique, binaire et information Les nombres binaires : bits, hexadécimal, octets Les choix de codes : ASCII, La technologie TTL ou CMOS Traitements Logiques élémentaires 1) Familiarisation avec le binaire a) Ecriture en base 2. a1- Ecrire 9 et 10 en base 2. a2- Effectuer 9+9 comme addition. a3- Vérifier qu une règle simple s applique pour la multiplication par 2 sur le cas 10+10=10 2. a4- «Rendre la monnaie» de b bitcoins sur un «billet» de b bitcoins: vous venez de trouver la piste du «complément à un» (et de votre ruine spéculative aussi?). b) Binaire, octets, hexadécimal b1- Combien de chiffres code-t-on sur 8 bits entre 0 et ? (un octet = un «byte» en anglais) b2- Même question sur 16 bits (niveau manipulé par les microcontrôleurs) [non signé] b3- Quel est en décimal le chiffre codé en hexadécimal par FF h? par FFFF h? par 0FFF h? par 2A h? b4- Combien de caractères alphanumériques de l énumération {0 F} de l hexadécimal faut-il pour représenter une «clé 128 bits» (type les clés WEP, etc.)? b5- Un flux de téléchargement de "5 Mo/s" peut-il passer par une liaison ADSL 10 Mbit/s? 2) Codages, technologie a) Code ASCII sur 7 bits(extrait ci-contre) a1- Les codes ASCII des lettres latines majuscules commencent à A 41 h et se suivent. Quelle est la lettre dont le code est b? a2- Suite à une transmission d un code ASCII sur une nappe de 7 fils, un envoi de la lettre U est reçu comme la lettre T. Un court-circuit entre deux des 7 fils peut-il expliquer cela? (fils adjacents de préférence!) Si oui, est-ce la technologie CMOS ou TTL pour laquelle, dans un conflit, «le zéro l emporte»? b) Codage «thermomètre» b1- Quelle est la table de vérité d un circuit de codage permettant d allumer, en «logique négative», de la première à la n-ième LED parmi 8, si le nombre n [0,7] lui est présentée sur 3 bits? (les LEDs ont leur anode au +Vcc). b2- Quelle fonction logique correspond à la «sortie n=7» de ce circuit? idem pour n=3? c) XOR «8 vers 1» On câble 8 bits d entrée sur 4 portes XOR, puis leurs 4 sorties sur 2 XOR, et enfin les 2 sorties correspondantes sur un dernier XOR. Quel peut être l intérêt du type de signal ainsi obtenu? Si le signal numérique d entrée est une rampe cyclique {0,1, 254,255,0,1 } de période totale T, quelle est la fréquence de sortie de notre circuit? "3" Année TD Opt Phys ETI 2S

2 3) Logique élémentaire a) Code ADN-ASCII Un simple brin d ADN est une séquence dont les 4 membres («bases») sont «A C G T», dont les codes ASCII sont 41 h, 43 h, 47 h et 54 h. a1- Symboliser les 4 circuits qui «détectent» ces lettres sur la base des 5 bits «LSB» (bits 0 à 4) sur le code ASCII (les bits b6 et b5 valant 01 toujours). a2- On regarde deux brins en parallèle, proposer schématiquement la logique positive qui reconnait (i) des bases identiques (un comparateur), et ensuite (ii) des bases complémentaires (A-C et G-T) (comme le fait la chimie de ces molécules!). b) Etudier au choix : la logique d un décodeur BCD {c est-à-dire binaire codant du décimal : de 0000 à 1001} 7 segment, (ci-contre, cf. le cours Transp59), a minima le segment «g». Ou bien celle d un additionneur 1 bit sans retenue entrante. (Transp 65-66) Année TD ETI 2S

3 TD 12 : Logique combinatoire, technologies Logique combinatoire de circuits réels : Multiplexeur/Démultiplexeur Gestion de délai : exemple élémentaire Adaptation des niveaux de signaux Gestion de conflit : Sorties type collecteur-ouvert, sorties «high-z». 1) Multiplexeur/démultiplexeur. a) Multiplexage/démultiplexage pour la transmission d informations (un peu de temporel ). a1- On a 16 flux d informations synchrones à X Mbit/s, ce qui prend 16+1(masse)=17 fils On dispose aussi d une horloge à Y MHz (18ème entrée), Y étant multiple de X. On veut réaliser une transmission avec moins de 8 fils. On passe par un multiplexeur Il a comme entrée binaire <a b c d>, un mot de 4 bits. Que doivent faire les entrées <a b c d> pour accomplir cette tache? Que doit valoir Y? Quelle est la fréquence de transmission sur le fil principal? Quelles sont les autres informations transmises? a2- Quel schéma doit avoir le circuit de réception? a3- Quelles sont les questions de timing des données d entrée que cela pose? a4- Quel peut être l intérêt de faire évoluer <a b c d> en Code Gray et non de 0 à 15 cycliquement? b) Passage 64 bits 8 bits. Dans un processeur moderne, les «bus» et les «mots» ont 64 bits. Décrire (sans détail toutefois : par bloc) un circuit qui choisit le Nième octet (byte) dans un mot de 64 bit (N =0 7). Combien a-t-il d entrées de chaque sorte? De sorties? 2) Gestion de délai On reprend le circuit fait de portes XOR «8 vers 1» en cascades du TD1, et on l insère dans un circuit de test de délai. On suppose que le délai d un XOR est τ 1=18 ns et celui des portes plus élémentaires (NAND, NOR, NOT) τ 2=10 ns. Quel est le délai de la sortie par rapport à un front sur une entrée? Le circuit de test qui fait les fronts d une ou plusieurs entrées envoie aussi un signal «SYNC» qui a un front montant en même temps. Comment s arranger avec des portes élémentaires pour prévenir l utilisateur en aval (sortie du XOR final) que «le/les fronts a/ont eu lieu c est-à-dire faire un signal qui a un front montant uniquement après que le signal de sortie ait pu se manifester? Quelles sont les marges sur τ 2 pour que cela marche? 3) Gestion de conflit par sorties collecteur ouvert. Mode secours pour un relais de serrure : Un relais est un interrupteur de puissance (5..10 A) commandé par une bobine (électro-aimant) parcourue par environ 20 ma de courant. Un circuit TTL alimenté en 5V sur le secteur commande ce relais. En cas de panne d alimentation du circuit TTL ou d alarme, on doit absolument actionner ce relais : il doit laisser ouverte une issue d incendie. Cela se fait alors à l aide d une batterie 5V disponible dans le boitier de commande (la serrure elle-même pompera aussi sur cette batterie). Année TD ETI 2S

4 Faire un schéma du circuit de secours à l aide d un circuit quad-nand collecteurs ouverts 74F38. L état «alarme» est un «1», l état «non-alarme» un 0, disponible sur un signal «ALM» indépendant. L alimentation du circuit TTL de commande normale est elle-même considérée comme un autre signal. Proposer le câblage du 74F38 qui fait fonctionner ce système de secours. 4) Adaptation CMOS/TTL, AOP/TTL a) On élabore un circuit logique TTL 5V, dont la sortie doit contrôler un circuit d interphone dans un immeuble, dont les entrées de contrôle sont commandées en CMOS 12V. Proposer le câblage de l étage d adaptation à l aide de collecteur ouvert. b) Comment faire l adaptation inverse? c) On a maintenant la sortie d un comparateur à ampli-op (AOP) qui commute entre +10V et -10V. On voudrait qu elle commande de la logique TTL. Proposer les circuits à diodes qui protègent l entrée TTL (qui n aime pas V<-2V, ni V>7V). 5) Système «trois-états». On revient sur notre système de sélection du Nième des 8 octets d un mot de 64 bits. Comparer l architecture à multiplexeur ci-dessus à une architecture que vous proposerez à base de «buffers 8 bits à sortie 3 états». Faut-il les commander par un multiplexeur ou par un démultiplexeur (N étant codé sur 3 bits)? Année TD ETI 2S

5 TD 13 : Logique séquentielle Bascule D : chronogramme de base Diviseur de fréquence, compteurs Bascules D d autres types Registre à décalage Générateur aléatoire (les séquences pseudo-random «PRBS») Circuits Mixtes : Monostables 1) Bascule D chronogramme de base. On donne la «table de vérité» d une bascule D ci-dessous. Pour un chronogramme de D comme le suivant (avec ici une horloge périodique), tracer superposé au diagramme de D le chronogramme de la sortie, Q(t), d une autre couleur de crayon. Y a-t-il besoin de tracer l autre sortie? T 2T 3T nt cf. ce timing pour CLK : 2) Ligne à retard, Diviseur de fréquence, compteur binaire et BCD les sont à t=nt a) On cascade deux bascules D comme suit, D ayant un front montant 0 1 à t=1,7t. Pour CLK A quel instant t 2 a lieu le basculement de la 2ème bascule? Généraliser : quelle est l architecture d une "ligne à retard"? On préfère l appeler "registre à décalage". b) On boucle une bascule D sur elle-même ainsi : Quelle est la fréquence observée sur Q si CLK est périodique? Dépend-elle du rapport cyclique («duty cycle») de CLK? c) Généraliser : Combien de bascules à arranger pour diviser une fréquence par 256? d) Quelle est l architecture d un compteur binaire? Comment implémenter la fonction RAZ? Année TD ETI 2S

6 e) Pour un compteur «BCD», on doit (i) repartir à zéro après 9 ; et (ii) lancer l incrément du chiffre supérieur (dizaines, etc.) quand on fait cela. Suggérer les modifications à faire sur la base d une série de compteurs binaires à 4 bits (4 bascules). f) Optionnel : Proposer une stratégie d écriture en VHDL du compteur BCD ci-dessus dans un process : lister les composants à faire et les «liste de dépendances» du process pour du BCD sur 8 bits (2 chiffres), (suite possible : pour du BCD sur 16 bits (4 chiffres) ). 3) Bascules D asynchrones et synchrones, verrous a) On reprend le circuit ci-dessus, mais on a ajouté une remise à zéro (RAZ). Celle-ci peut agir sous condition que l horloge ait transité ou agir inconditionnellement. On parle de RAZ asynchrone ou synchrone. Décrire l état de la sortie à partir des chronogrammes d entrées proposés, (i) pour le cas de RAZ synchrone, (ii) pour le cas de RAZ asynchrone. 4) Générateurs aléatoires Soit un registre à décalage de N bits : s 0 s N, et dont l entrée est e 0. On reboucle les sorties M et N sur l entrée à l aide d une porte XOR (M entre 0 et N-1) - Que vaut la séquence des premiers états pour M=1? pour M=2? Quelles sont intuitivement des valeurs de M qui ont une bonne chance de résulter en la génération séquentielle de tous les 2 N états des N bits? Que peut-on penser de la «densité locale» des 0 et des 1 dans un tel système : peut-elle perdurer à un extrême 0 ou 1? On parle de générateur de «pseudo-aléa» pour ce type de système. Le jargon est «PRBS» : Pseudo-Random-Bit-Sequence, pour le pseudo-aléa ainsi engendré. [pour ceux qui veulent pousser loin : Le fait qu on génère ou non les 2 N états est lié à la primalité d un polynôme défini comme un élément de (Z/2Z) N, qui représente par ses termes non nuls les choix faits dans la rétroaction.. ] 5) Circuits mixtes : Monostables - Quels sont les ingrédients que vous repérez dans les éléments de fonctionnement (Block diagram) du circuit 4538 CMOS, ci-dessous? - La bascule utilisée est-elle une bascule D? - Comment est illustré sur le diagramme temporel le mot «retriggerable»? - A quoi voit-on sur le diagramme que l unité «control» peut bien contrôler la bascule de sortie malgré' les informations en provenance du timer? Année TD ETI 2S

7 Année TD ETI 2S

8 Année TD ETI 2S

9 TD : Conversions entre numérique et analogique Conversion numérique analogique (CNA=DAC) Réseau de résistances Filtrage et bruit Conversion analogique numérique (CAN=ADC) Sample & hold Architectures Flash & SAR A- Conversion Numérique- Analogique (CNA=DAC) 1) Généralités a) Un CAN est-il idéalement «plutôt séquentiel» ou «plutôt combinatoire»? b) La plupart des multimètres bas-coûts n affichent «que» 4 chiffres. Combien de bits faut-il pour les affichages allant de 0000 à : (-b1-) 1999 (-b2-) 3999 (-b3-) 9999 c) Le multimètre ramène analogiquement toutes les tensions d entrées à la gamme 0 3V au niveau de son entrée interne, par des simples ponts diviseurs. Quel sont les pas d échantillonnage à cette entrée interne pour les cas (-b2-) et (-b3-)? 2) Réseau de résistances en puissance de 2/ Glitch d imprécision a) Que réalise le circuit cicontre? (les interrupteurs analogiques sont actionnés par les bits à convertir) b) Généraliser la formulation à N bits c) Sachant qu il existe des capacités parasites (voir C p sur le schéma ), quel est le désavantage que peut subir le LSB? d) Dans le cas à N=5 bits, on suppose que les résistances utilisées sont équi-probablement réparties dans un intervalle de -1% à +1% autour de leur valeur nominale. Evaluer les extrema de la variation de la sortie lors de la commutation de 0F h=01111 à 10 h= A quoi faut-il comparer cette variation? 3) Réseau R-2R On rappelle le principe d un circuit R-2R «en échelle» associé à un AOP. a) En remontant dans le sens de la flèche indiqué et en utilisant l équivalent Thévenin, montrer que les courants dans les «barreaux» verticaux de l échelle suivent une loi remarquable I n=f n(io). Année TD ETI 2S

10 b) Pourquoi l implémentation physique dans un circuit intégré est-elle favorable? c) Quel sera l intérêt d avoir V ref <0? R est-il le bon choix pour la résistance de rétro-action? d) Si les résistances sont faites au sein de circuits intégrés par des surfaces conductrices proportionnelles à une surface élémentaire S o (le «pixel» technologique) suivant une loi de type R=KS, quel est la surface prise par ce convertisseur pour N bits? Comparer à la surface prise pour l option de l exercice 2 (K doit s éliminer dans le rapport des surfaces des deux architectures). 4) Bruit Un signal numérique a été codé sur 7 bits et est envoyé à un CNA parfait. On appelle «bruit» par abus de langage l écart du signal converti à son équivalent lissé. a) Pour un signal de référence de 2,5 V (pleine échelle), que vaut le pas de quantification q? b) Que vaut la variance σ b du bruit de quantification? [ en (mv)² ] c) Combien de bit faudrait-il pour que (σ b) 1/2 descende à moins d 1 mv? et à moins de 0,4 mv? B- Conversion Analogique- Numérique (CAN = ADC) 1) Rythme des signaux courants On s intéresse au rythme de digitalisation nécessaire à des signaux «connus». Les déduire pour les limites posées : a) Signal audio : le gros de l audition est entre 40 Hz et 4000 Hz ; Que vaut le rythme réellement choisi pour les CD? b) Signal vidéo VGA basique : à 50 Hz (sans entrelacement ) (option : signal HD...) c) Radio digitale : =100 MHz environ en bande FM =combien en bande AM? (la BBC =?) d) Echo radar dans l air permettant une précision de localisation de 15 m? e) Signal Doppler d un véhicule Ferrari à 237 km/h? (radar de surveillance bande Ku à 15 GHz). f) Des franges d un spectromètre à TF balayé à 10 mm/s? (domaine spectral de l IR moyen à 0,5 µm). 2) Convertisseur Flash et semi-flash a) Combien de comparateurs faut-il pour un convertisseur flash N=10 bits? b) Si l échelle de résistance du convertisseur (le pont diviseur) est faite de résistances ayant un écart-type de ΔR=1%, quel est l écart-type ΔR midscale des (2 N )/2 résistances de chaque moitié de l échelle? c) Si on suppose qu on a de la malchance ordinaire et que les moitiés supérieures et inférieures du point sont l une de ((2 N )/2) R+ ΔR midscale et l autre de ((2 N )/2)R - ΔR midscale, quel est l écart du point milieu par rapport à sa valeur idéale? d) Quel usage peut-on avoir du «priority encoder» pour la lecture des sorties du CAN «flash»? A quel type de séquences de sortie des comparateurs non triviales pouvez-vous accorder encore une certaine confiance? e) Un convertisseur flash 5 bits plus simple est implémenté, et sa sortie reconvertie par un CNA. Comment se sert-on de cette sortie pour obtenir les 5 bits suivants (de poids plus???) sur un autre convertisseur flash? Où seront les LSBs et les MSBs? f) Quel est l avantage du «double 5 bits» par rapport au «10 bits» de départ? L inconvénient principal? Année TD ETI 2S

11 3) Convertisseur SAR On fait un comparateur 12 bits dont le cœur de type SAR est contrôlé par une fréquence d horloge f clk de 700 khz. a) Combien de périodes d horloge au minimum faut-il pour la conversion? b) Avec une marge raisonnable, quelle est la fréquence d échantillonnage maximale? c) Quelle est la fréquence de Shannon correspondante? Cela permet-il la conversion d un signal audio? d) On a une cosinusoïde à 22 khz et 3 mv (pic-pic) superposée à un signal lent à 120 Hz et 5V (pic pic). En adaptant au mieux l offset et le gain entre ce signal et le CNA, sur combien de pas de quantification sera numérisé le signal à 3mV? e) En déduire par un rapport en pas de quantification un RSB approximatif pour ce faible signal. 4) Convertisseur à Rampe. On utilise une rampe de tension périodique se chargeant jusqu à une tension V ref avec une pente précise, pendant une durée T o, pour convertir un signal analogique V a par comparaison, en mesurant la durée T 1/T où la rampe est plus petite que le signal par un compteur binaire sur N bits, ayant des entrées CLK et RAZ. On laisse à déterminer en particulier la fréquence F ~(>)1/T o de renouvellement de la mesure. Un circuit timer permet de produire la rampe, qui part de valeurs légèrement négatives. On dispose aussi de trois comparateurs à sortie logique, comparant la tension de rampe V ramp à (i) la tension minimum V min qu on souhaite pouvoir encore mesurer (disons «0V»), (ii) la tension V a, (iii) et la tension maximum qu on souhaite pouvoir mesurer (disons «4.5V»), la rampe se continuant un peu audelà par souci de linéarité. Enfin, une horloge permanente rapide QCLK est destinée à faire tourner le compteur. a) Faire un schéma des chronogrammes en sortie de ces 3 comparateurs (min, «a», max ). b) Choisir deux comparateurs et la logique adéquate pour commander (i) le signal RAZ en logique positive (RAZ par un 1) et (ii) la transmission ou non de l horloge de comptage QCLK à CLK. c) A quelle(s) fonction(s) pourra bien servir le signal «max»? d) Un rythme raisonnable pour l horloge en entrée du compteur est 5 MHz. Quel est alors l ordre de grandeur de F de renouvellement, littéralement? Faire l application numérique pour N=12 bits et pour N=20 bits. e) Ce type d implémentation sera-t-il plutôt rapide ou plutôt lent en termes de vitesse de conversion? Année TD ETI 2S

12 Compléments : 1) Echantillonage (S/H : Sample and Hold) L étage d entrée un CNA est le plus souvent un circuit d échantillonage dit «sample and hold». a) Ecrire la loi de charge d une capacité par une impédance fixe «R». Préciser au bout de combien de temps de charge la valeur asymptotique est atteinte à 1/2 N près, en fonction de N, τ=rc et de facteurs numériques. b) Ordre de grandeur : la capacité C du «S/H» doit garder 99% de sa charge pour un courant de lecture de l étage suivant de 1 µa pendant 10 µs (conversion à 100 khz) : dimensionner C. c) Que doit alors valoir R pour N=7? pour N=14? Sont-ce des valeurs réalistes? 2) Filtrage On considère un signal digital ayant une fréquence f sig qui vaut un quart de la fréquence d horloge f clk. Ses 2 MSBs décrivent successivement les et cycliquement les 4 valeurs / / (les autres bits sont supposés nuls). Ceci est illustré schématiquement ainsi : a) Quelles sont les fréquences des harmoniques d un signal de cette période en général? Lesquelles sont non nulles pour ce signal particulier? b) Que vaut f sig/f Shannon? c) A quelle fréquence prévoir la coupure d un filtre pour éviter ces harmoniques? d) Qu arrive-t-il si f sig se met à avancer légèrement sur f clk/4? A quelles échelles de temps se situe les phénomènes en question? Quelle est la gamme de fréquence correspondante? Année TD ETI 2S

13 TD 16 : Combinaisons / architectures élémentaires d électronique logique. Comparaison de seuillages analogiques et logiques (Combinatoire) Défauts sur CNA (CAN/CNA) Compteurs en cascade (séquentiel) Traceur vectoriel pour video (digital avancé) Exercice I : «majorité des 3/4», implémentations de l analogique au FPGA On se propose de comparer trois implémentations d un seuillage de type «majorité des 3/4» sur N=4 bits : a) Implémentation analogique : Chacune des 4 entrées est à V o (bit à 1) ou 0 volt (bit à 0). Les 4 résistances valent R. Montrer que dans le circuit proposé, la tension V 1 est proportionnelle au nombre de bits à 1. Combien de bits doivent être à 1 pour passer le seuil si V 2=0,7 V o? (la réponse doit coller avec le titre de l exercice!) b) Implémentation logique : On se propose une stratégie pour élaborer avec des portes AND et OR une sortie binaire qui passe à 1 lorsque au moins 3 bits sur 4 (b4 b3 b2 b1) sont à 1 : on procède par une dichotomie, c est-à-dire en divisant en deux groupes de deux bits, sur lesquels sont mis en place des choix de premier niveau. On les réunit ensuite pour avoir la logique combinatoire globale. c) Dans l optique d un FPGA, la fonction «3 bits sur 4 à 1» sera implémentée dans le FPGA par une «LUT» (Look-Up Table). Quelle taille aura cette LUT? Sur quelle taille de matrice (M N) se définit sa consultation? Que devient cette taille si l on cherche à avoir toutes les fonctions «k bits sur 4 sont à 1» pour toutes les valeurs de k pertinentes? Exercice II: CNA, repérage de défauts importants. a) On considère un CNA de 8 bits, et on trace sa caractéristique de transfert V out en fonction de l entrée x b = (b7 b0). On obtient la caractéristique suivante : a1- Quel est le type de défaut? a2- Sur quel bit porte-t-il? a3- Quelle est le signe de l erreur sur le courant I k correspondant? a4- Cela correspond-t-il dans le circuit à une piste résistive trop large ou trop étroite? Année TD ETI 2S

14 b) Même question sur la séquence ci-contre : quel bit? quel défaut? c) Comment se traduirait le bit b6 forcé à 0? (circuit coupé). On tracera d abord l apport de courant attendu de ce bit. d) Complément : Quel peut être l intérêt pour le test rapide et «visuel» d un circuit CNA d imposer en entrer l équivalent de la fonction cos( t)exp(-t/ )? Mettre sous la forme cos( t)2 -Kt et discuter du choix de K par rapport à T=2 /. Exercice III: Compteurs et diviseurs. a) Que fait le dispositif «PSC» cicontre au signal CLK en fonction des deux entrées du MUX, A et B? (huit bascules D avec sorties Q et complémentaire, deux entrées A, B sur un MUX 4 1) b) Que produit sur sa sortie S le dispositif CNTN ci-contre en fonction de CLK et de N? c) On implémente la chaine ci-dessous : f o=clk PSC(AB) CNTN(b15 b0) signal S La fréquence de l horloge d entrée est f o= 14 MHz. Quelles sont les fréquences accessibles sur S via le choix de N, pour AB b= 00? Même question pour les trois autres choix de AB b? d) Combien de façon y a-t-il de réaliser les fréquences de signal S suivantes : f S=200 Hz, 20 Hz, 2 Hz? e) Quel est l avantage (en termes de marge de modification) de viser la plus grande division de PSC? de viser la plus petite? Exercice IV: Traceur vectoriel de trait graphique. On fait un compteur qui décrit successivement les adresses «X» d une mémoire video (dont l adresse est bidimensionnelle : X,Y) sur N=10 bits. a) Quelles sont les fonctions des bascules sous-jacentes au compteur permettant de commencer le comptage en une valeur X o arbitraire? Année TD ETI 2S

15 b) On cherche maintenant à augmenter Y et écrire des points (un 1 si blanc, ou un 0 si noir) de façon à décrire un segment de droite ayant n importe quelle pente p fractionnaire, en se limitant toutefois aux pentes p inférieure ou égale à 1. (La raison est qu on accède aux pentes > 1 en inversant les axes) Préciser d abord avec 10 bits la taille de l écran en pixel (autant de pixels en X qu en Y, pour simplifier). On se base sur le schéma suivant : c) En se basant sur des écarts d un pixel en Y et aucun en X, autour de la grande diagonale à 45 sur l écran, quelle est le plus petit écart de pente p repérable autour de p=1? Sur combien de bits N o convient-il de coder p pour pouvoir varier la pente de p? d) Si l on est plus exigeant, on veut que le décrochement de la grande diagonale puisse se produire avec une grande finesse. On prendra comme exemple la situation de la grande diagonale en partant de (0,0) et en s arrêtant près du pixel central d adresses X =Y= b : si un décrochement (cf. schéma grossi d une droite) se produit à ce pixel ou au pixel voisin (+1 en X ET +1 en Y par exemple), quel est l écart p à coder? Combien de bits N faut-il alors? e) On code donc un additionneur sur N >N bits. On se sert de cette additionneur pour qu il produise par ses N bits de poids fort l adresse Y lorsque X augmente de 1, en ajoutant à chacun de ces incréments de X un nombre de N bits. En vous basant sur un scénario juste en-dessous de la grande diagonale, proposer la valeur de N en décrivant le fonctionnement de ce système aux stades les plus pertinents. f) Qu y a-t-il de particulier concernant les ventilateurs sur les cartes graphiques haut de gamme? Année TD ETI 2S

Architecture des ordinateurs TD1 - Portes logiques et premiers circuits

Architecture des ordinateurs TD1 - Portes logiques et premiers circuits Architecture des ordinateurs TD1 - Portes logiques et premiers circuits 1 Rappel : un peu de logique Exercice 1.1 Remplir la table de vérité suivante : a b a + b ab a + b ab a b 0 0 0 1 1 0 1 1 Exercice

Plus en détail

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd

UE 503 L3 MIAGE. Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique. A. Belaïd UE 503 L3 MIAGE Initiation Réseau et Programmation Web La couche physique A. Belaïd abelaid@loria.fr http://www.loria.fr/~abelaid/ Année Universitaire 2011/2012 2 Le Modèle OSI La couche physique ou le

Plus en détail

I- Définitions des signaux.

I- Définitions des signaux. 101011011100 010110101010 101110101101 100101010101 Du compact-disc, au DVD, en passant par l appareil photo numérique, le scanner, et télévision numérique, le numérique a fait une entrée progressive mais

Plus en détail

TP Modulation Démodulation BPSK

TP Modulation Démodulation BPSK I- INTRODUCTION : TP Modulation Démodulation BPSK La modulation BPSK est une modulation de phase (Phase Shift Keying = saut discret de phase) par signal numérique binaire (Binary). La phase d une porteuse

Plus en détail

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S

TS 35 Numériser. Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S FICHE Fiche à destination des enseignants TS 35 Numériser Type d'activité Activité introductive - Exercice et démarche expérimentale en fin d activité Notions et contenus du programme de Terminale S Compétences

Plus en détail

FONCTION COMPTAGE BINAIRE ET DIVISION DE FRÉQUENCE

FONCTION COMPTAGE BINAIRE ET DIVISION DE FRÉQUENCE I/ GÉNÉRALITÉS I.1/ Fonction Un compteur binaire est utilisé : -pour compter un certain nombre d'évènements binaires -pour diviser la fréquence d'un signal logique par 2 m Page 1 FONCTION COMPTAGE BINAIRE

Plus en détail

IFT1215 Introduction aux systèmes informatiques

IFT1215 Introduction aux systèmes informatiques Introduction aux circuits logiques de base IFT25 Architecture en couches Niveau 5 Niveau 4 Niveau 3 Niveau 2 Niveau Niveau Couche des langages d application Traduction (compilateur) Couche du langage d

Plus en détail

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE

INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE INTRODUCTION A L ELECTRONIQUE NUMERIQUE ECHANTILLONNAGE ET QUANTIFICATION I. ARCHITECTURE DE L ELECRONIQUE NUMERIQUE Le schéma synoptique ci-dessous décrit les différentes étapes du traitement numérique

Plus en détail

Système binaire. Algèbre booléenne

Système binaire. Algèbre booléenne Algèbre booléenne Système binaire Système digital qui emploie des signaux à deux valeurs uniques En général, les digits employés sont 0 et 1, qu'on appelle bits (binary digits) Avantages: on peut utiliser

Plus en détail

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté

Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique adapté Compétences travaillées : Mettre en œuvre un protocole expérimental Etudier l influence de différents paramètres sur un phénomène physique Communiquer et argumenter en utilisant un vocabulaire scientifique

Plus en détail

1. PRESENTATION DU PROJET

1. PRESENTATION DU PROJET Bac STI2D Formation des enseignants Jean-François LIEBAUT Denis PENARD SIN 63 : Prototypage d un traitement de l information analogique et numérique (PSoC) 1. PRESENTATION DU PROJET Les systèmes d éclairage

Plus en détail

Codage d information. Codage d information : -Définition-

Codage d information. Codage d information : -Définition- Introduction Plan Systèmes de numération et Représentation des nombres Systèmes de numération Système de numération décimale Représentation dans une base b Représentation binaire, Octale et Hexadécimale

Plus en détail

ELP 304 : Électronique Numérique. Cours 1 Introduction

ELP 304 : Électronique Numérique. Cours 1 Introduction ELP 304 : Électronique Numérique Cours 1 Introduction Catherine Douillard Dépt Électronique Les systèmes numériques : généralités (I) En électronique numérique, le codage des informations utilise deux

Plus en détail

VIII- Circuits séquentiels. Mémoires

VIII- Circuits séquentiels. Mémoires 1 VIII- Circuits séquentiels. Mémoires Maintenant le temps va intervenir. Nous avions déjà indiqué que la traversée d une porte ne se faisait pas instantanément et qu il fallait en tenir compte, notamment

Plus en détail

J AUVRAY Systèmes Electroniques TRANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE

J AUVRAY Systèmes Electroniques TRANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE RANSMISSION DES SIGNAUX NUMERIQUES : SIGNAUX EN BANDE DE BASE Un message numérique est une suite de nombres que l on considérera dans un premier temps comme indépendants.ils sont codés le plus souvent

Plus en détail

Equipement. électronique

Equipement. électronique MASTER ISIC Les générateurs de fonctions 1 1. Avant-propos C est avec l oscilloscope, le multimètre et l alimentation stabilisée, l appareil le plus répandu en laboratoire. BUT: Fournir des signau électriques

Plus en détail

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier :

SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION. Contenu du dossier : SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO ETUDE DU RECEPTEUR (MI16) DOSSIER DE PRESENTATION Contenu du dossier : 1. PRESENTATION DU SYSTEME DE PALPAGE A TRANSMISSION RADIO....1 1.1. DESCRIPTION DU FABRICANT....1

Plus en détail

ET 24 : Modèle de comportement d un système Boucles de programmation avec Labview.

ET 24 : Modèle de comportement d un système Boucles de programmation avec Labview. ET 24 : Modèle de comportement d un système Boucles de programmation avec Labview. Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable Formation des enseignants parcours : ET24 Modèle de

Plus en détail

Le multiplexage. Sommaire

Le multiplexage. Sommaire Sommaire Table des matières 1- GENERALITES... 2 1-1 Introduction... 2 1-2 Multiplexage... 4 1-3 Transmission numérique... 5 2- LA NUMERATION HEXADECIMALE Base 16... 8 3- ARCHITECTURE ET PROTOCOLE DES RESEAUX...

Plus en détail

La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA)

La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA) La conversion de données : Convertisseur Analogique Numérique (CAN) Convertisseur Numérique Analogique (CNA) I. L'intérêt de la conversion de données, problèmes et définitions associés. I.1. Définitions:

Plus en détail

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES

Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES Chap17 - CORRECTİON DES EXERCİCES n 3 p528 Le signal a est numérique : il n y a que deux valeurs possibles pour la tension. Le signal b n est pas numérique : il y a alternance entre des signaux divers

Plus en détail

Chaine de transmission

Chaine de transmission Chaine de transmission Chaine de transmission 1. analogiques à l origine 2. convertis en signaux binaires Échantillonnage + quantification + codage 3. brassage des signaux binaires Multiplexage 4. séparation

Plus en détail

Université de La Rochelle. Réseaux TD n 6

Université de La Rochelle. Réseaux TD n 6 Réseaux TD n 6 Rappels : Théorème de Nyquist (ligne non bruitée) : Dmax = 2H log 2 V Théorème de Shannon (ligne bruitée) : C = H log 2 (1+ S/B) Relation entre débit binaire et rapidité de modulation :

Plus en détail

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission

Transmission de données. A) Principaux éléments intervenant dans la transmission Page 1 / 7 A) Principaux éléments intervenant dans la transmission A.1 Equipement voisins Ordinateur ou terminal Ordinateur ou terminal Canal de transmission ETTD ETTD ETTD : Equipement Terminal de Traitement

Plus en détail

- Instrumentation numérique -

- Instrumentation numérique - - Instrumentation numérique - I.Présentation du signal numérique. I.1. Définition des différents types de signaux. Signal analogique: Un signal analogique a son amplitude qui varie de façon continue au

Plus en détail

Systèmes de transmission

Systèmes de transmission Systèmes de transmission Conception d une transmission série FABRE Maxime 2012 Introduction La transmission de données désigne le transport de quelque sorte d'information que ce soit, d'un endroit à un

Plus en détail

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est:

Comme chaque ligne de cache a 1024 bits. Le nombre de lignes de cache contenu dans chaque ensemble est: Travaux Pratiques 3. IFT 1002/IFT 1005. Structure Interne des Ordinateurs. Département d'informatique et de génie logiciel. Université Laval. Hiver 2012. Prof : Bui Minh Duc. Tous les exercices sont indépendants.

Plus en détail

Conversion d un entier. Méthode par soustraction

Conversion d un entier. Méthode par soustraction Conversion entre bases Pour passer d un nombre en base b à un nombre en base 10, on utilise l écriture polynomiale décrite précédemment. Pour passer d un nombre en base 10 à un nombre en base b, on peut

Plus en détail

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs

Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs Acquisition et conditionnement de l information Les capteurs COURS 1. Exemple d une chaîne d acquisition d une information L'acquisition de la grandeur physique est réalisée par un capteur qui traduit

Plus en détail

Modules d automatismes simples

Modules d automatismes simples Modules d automatismes simples Solutions pour automatiser Modules d'automatismes Enfin, vraiment simple! Un concentré de solution Pour vos petites applications d'automatismes millenium gère : Temporisations

Plus en détail

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques.

Logique binaire. Aujourd'hui, l'algèbre de Boole trouve de nombreuses applications en informatique et dans la conception des circuits électroniques. Logique binaire I. L'algèbre de Boole L'algèbre de Boole est la partie des mathématiques, de la logique et de l'électronique qui s'intéresse aux opérations et aux fonctions sur les variables logiques.

Plus en détail

ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits

ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits {Â Ö Ñ º ØÖ Ý,È ØÖ ºÄÓ Ù,Æ ÓÐ ºÎ ÝÖ Ø¹ ÖÚ ÐÐÓÒ} Ò ¹ÐÝÓÒº Ö ØØÔ»»Ô Ö Óº Ò ¹ÐÝÓÒº Ö» Ö Ñ º ØÖ Ý»¼ Ö½» ASR1 TD7 : Un microprocesseur RISC 16 bits 13, 20 et 27 novembre 2006 Présentation générale On choisit

Plus en détail

Caractéristiques des ondes

Caractéristiques des ondes Caractéristiques des ondes Chapitre Activités 1 Ondes progressives à une dimension (p 38) A Analyse qualitative d une onde b Fin de la Début de la 1 L onde est progressive puisque la perturbation se déplace

Plus en détail

CONVERTISSEURS NA ET AN

CONVERTISSEURS NA ET AN Convertisseurs numériques analogiques (xo Convertisseurs.doc) 1 CONVTIU NA T AN NOT PLIMINAI: Tous les résultats seront exprimés sous formes littérales et encadrées avant les applications numériques. Les

Plus en détail

Manipulations du laboratoire

Manipulations du laboratoire Manipulations du laboratoire 1 Matériel Les manipulations de ce laboratoire sont réalisées sur une carte électronique comprenant un compteur 4-bit asynchrone (74LS93) avec possibilité de déclenchement

Plus en détail

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information

Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information Chapitre 22 : (Cours) Numérisation, transmission, et stockage de l information I. Nature du signal I.1. Définition Un signal est la représentation physique d une information (température, pression, absorbance,

Plus en détail

T500 DUAlTACH. JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence TACHYMETRE 2 CANAUX

T500 DUAlTACH. JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence TACHYMETRE 2 CANAUX 02-09 T500 DUAlTACH JAQUET T500 DualTach Instrument de mesure et de surveillance équipé de 2 entrées fréquence JAQUET T500 DualTach Instrument multi canal de mesure et de surveillance pour applications

Plus en détail

Expérience 3 Formats de signalisation binaire

Expérience 3 Formats de signalisation binaire Expérience 3 Formats de signalisation binaire Introduction Procédures Effectuez les commandes suivantes: >> xhost nat >> rlogin nat >> setenv DISPLAY machine:0 >> setenv MATLABPATH /gel/usr/telecom/comm_tbx

Plus en détail

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires

TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires TD1 Signaux, énergie et puissance, signaux aléatoires I ) Ecrire l'expression analytique des signaux représentés sur les figures suivantes à l'aide de signaux particuliers. Dans le cas du signal y(t) trouver

Plus en détail

Hiérarchie matériel dans le monde informatique. Architecture d ordinateur : introduction. Hiérarchie matériel dans le monde informatique

Hiérarchie matériel dans le monde informatique. Architecture d ordinateur : introduction. Hiérarchie matériel dans le monde informatique Architecture d ordinateur : introduction Dimitri Galayko Introduction à l informatique, cours 1 partie 2 Septembre 2014 Association d interrupteurs: fonctions arithmétiques élémentaires Elément «NON» Elément

Plus en détail

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov

MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES. Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov 1 MOTORISATION DIRECTDRIVE POUR NOS TELESCOPES Par C.CAVADORE ALCOR-SYSTEM WETAL 2013 10 Nov Pourquoi motoriser un télescope? 2 Pour compenser le mouvement de la terre (15 /h) Observation visuelle Les

Plus en détail

Fiche technique CPU 314SC/DPM (314-6CG13)

Fiche technique CPU 314SC/DPM (314-6CG13) Fiche technique CPU 314SC/DPM (3146CG13) Données techniques N de commande 3146CG13 Type CPU 314SC/DPM Information générale Note Caractéristiques SPEEDBus Technologie SPEED7 24 x DI, 16 x DO, 8 x DIO, 4

Plus en détail

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012

ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 ELEC2753 Electrotechnique examen du 11/06/2012 Pour faciliter la correction et la surveillance, merci de répondre aux 3 questions sur des feuilles différentes et d'écrire immédiatement votre nom sur toutes

Plus en détail

COACH-II Manuel d utilisation

COACH-II Manuel d utilisation COACH-II Manuel d utilisation MA-COACH-II_FR Page 1 on 25 Rev: 29/03/2011 1. INTRODUCTION...3 2. VUE GENERALE...4 3. DIMENSIONS MECANIQUES...5 4. CARACTERISTIQUES TECHNIQUES...6 4.1. Générales...6 4.1.1.

Plus en détail

Les techniques de multiplexage

Les techniques de multiplexage Les techniques de multiplexage 1 Le multiplexage et démultiplexage En effet, à partir du moment où plusieurs utilisateurs se partagent un seul support de transmission, il est nécessaire de définir le principe

Plus en détail

Les parcours S4 traditionnels : Robotique, Radio Communication Numérique, Traitement de l information. Informatique Industrielle

Les parcours S4 traditionnels : Robotique, Radio Communication Numérique, Traitement de l information. Informatique Industrielle Projet S 4 Présentation des Projets du S 4 Plan de la présentation 1 Thématique des projets S 4 2 Organisation, encadrement, évaluations Les sujets de projets proposés 4 Questions, constitutions des équipes

Plus en détail

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux.

UEO11 COURS/TD 1. nombres entiers et réels codés en mémoire centrale. Caractères alphabétiques et caractères spéciaux. UEO11 COURS/TD 1 Contenu du semestre Cours et TDs sont intégrés L objectif de ce cours équivalent a 6h de cours, 10h de TD et 8h de TP est le suivant : - initiation à l algorithmique - notions de bases

Plus en détail

P1PY7204 Acquisition de données Cours

P1PY7204 Acquisition de données Cours ANNEE 2012-2013 Semestre d Automne 2012 Master de Sciences, Technologies, Santé Mention Physique- Spécialité Instrumentation P1PY7204 Acquisition de données Cours Denis Dumora denis.dumora@u-bordeaux1.fr

Plus en détail

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot

Arithmétique binaire. Chapitre. 5.1 Notions. 5.1.1 Bit. 5.1.2 Mot Chapitre 5 Arithmétique binaire L es codes sont manipulés au quotidien sans qu on s en rende compte, et leur compréhension est quasi instinctive. Le seul fait de lire fait appel au codage alphabétique,

Plus en détail

1 Introduction au codage

1 Introduction au codage CélestineOscarDésiréAnatoleGastonEugène 1 Introduction au codage 1.1 Les ensembles L ensemble de tout les ensembles est Dieu lui-même. Kantor Ensemble des parties d un ensemble désigne l ensemble des sous-ensembles

Plus en détail

QUESTION 1 {2 points}

QUESTION 1 {2 points} ELE4301 Systèmes logiques II Page 1 de 8 QUESTION 1 {2 points} En se servant de paramètres électriques donnés dans le Tableau 1 ci-dessous, on désire déterminer la fréquence d opération du compteur présenté

Plus en détail

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig

M1107 : Initiation à la mesure du signal. T_MesSig 1/81 M1107 : Initiation à la mesure du signal T_MesSig Frédéric PAYAN IUT Nice Côte d Azur - Département R&T Université de Nice Sophia Antipolis frederic.payan@unice.fr 15 octobre 2014 2/81 Curriculum

Plus en détail

Systèmes de communications numériques 2

Systèmes de communications numériques 2 Systèmes de Communications Numériques Philippe Ciuciu, Christophe Vignat Laboratoire des Signaux et Systèmes CNRS SUPÉLEC UPS SUPÉLEC, Plateau de Moulon, 91192 Gif-sur-Yvette ciuciu@lss.supelec.fr Université

Plus en détail

Chapitre 13 Numérisation de l information

Chapitre 13 Numérisation de l information DERNIÈRE IMPRESSION LE 2 septembre 2013 à 17:33 Chapitre 13 Numérisation de l information Table des matières 1 Transmission des informations 2 2 La numérisation 2 2.1 L échantillonage..............................

Plus en détail

DETECTOR BICANAL FG2 1. DIMENSIONS ET CONNEXIONS ELECTRIQUES 2. GENERALITES. 24 VDC Alimentat. 24 Vcc. Contact Boucle 2 4 5. Contact Boucle 1 6 7

DETECTOR BICANAL FG2 1. DIMENSIONS ET CONNEXIONS ELECTRIQUES 2. GENERALITES. 24 VDC Alimentat. 24 Vcc. Contact Boucle 2 4 5. Contact Boucle 1 6 7 DETECTOR BICANAL FG. DIMENSIS ET CNEXIS ELECTRIQUES FRANÇAIS 4 VDC Alimentat. 4 Vcc 3 Contact Boucle 4 5 Contact Boucle 6 7 Boucle 8 9 0 Boucle Dimensions en mm. GENERALITES Applications: contrôle de barrières,

Plus en détail

Fonctions de la couche physique

Fonctions de la couche physique La Couche physique 01010110 01010110 Couche physique Signal Médium Alain AUBERT alain.aubert@telecom-st-etienne.r 0 Fonctions de la couche physique 1 1 Services assurés par la couche physique Transmettre

Plus en détail

Les portes logiques. Voici les symboles des trois fonctions de base. Portes AND. Portes OR. Porte NOT

Les portes logiques. Voici les symboles des trois fonctions de base. Portes AND. Portes OR. Porte NOT Les portes logiques Nous avons jusqu ici utilisé des boutons poussoirs et une lampe pour illustrer le fonctionnement des opérateurs logiques. En électronique digitale, les opérations logiques sont effectuées

Plus en détail

Filtres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure.

Filtres passe-bas. On utilise les filtres passe-bas pour réduire l amplitude des composantes de fréquences supérieures à la celle de la coupure. Filtres passe-bas Ce court document expose les principes des filtres passe-bas, leurs caractéristiques en fréquence et leurs principales topologies. Les éléments de contenu sont : Définition du filtre

Plus en détail

Connaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe

Connaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe Connaissances VDI 1 : Chapitres 1 2 3 4 5 6 7 + annexe Page 1 sur 8 COMMENT FONCTIONNE UN RESEAU DOMESTIQUE COMMUNIQUANT? BEP : Identifier les composants et S informer sur l évolution des matériels. BAC

Plus en détail

Numérisation du signal

Numérisation du signal Chapitre 12 Sciences Physiques - BTS Numérisation du signal 1 Analogique - Numérique. 1.1 Définitions. Signal analogique : un signal analogique s a (t)est un signal continu dont la valeur varie en fonction

Plus en détail

Cours Informatique 1. Monsieur SADOUNI Salheddine

Cours Informatique 1. Monsieur SADOUNI Salheddine Cours Informatique 1 Chapitre 2 les Systèmes Informatique Monsieur SADOUNI Salheddine Un Système Informatique lesystème Informatique est composé de deux parties : -le Matériel : constitué de l unité centrale

Plus en détail

Logique séquentielle

Logique séquentielle Bascules et logique séquentielle aniel Etiemble de@lri.fr Logique séquentielle Logique séquentielle Le système a des «états» ans un système séquentiel Éléments de mémorisation Les sorties dépendent des

Plus en détail

SUR MODULE CAMÉRA C38A (OV7620)

SUR MODULE CAMÉRA C38A (OV7620) Applications maquette d'étude EP10K20 DÉMULTIPLEXEUR BT.656 SUR MODULE CAMÉRA C38A OV7620 SCHÉMAS ET DESCRIPTIONS AHDL 1. Schéma principal Le démultiplexeur proprement dit est la fonction "Decod_BT656_1".

Plus en détail

Tuto pour connecter une source RVB RGB à un moniteur Commodore / Amiga

Tuto pour connecter une source RVB RGB à un moniteur Commodore / Amiga Tuto pour connecter une source RVB RGB à un moniteur Commodore / Amiga Il faut 1 moniteur Commodore 1084S / 1083S-D1 Ecran 1084S (au dos, il est indiqué 1083S-D1), je l ai eut avec un Amiga 600 et on va

Plus en détail

Logiciel de Base. I. Représentation des nombres

Logiciel de Base. I. Représentation des nombres Logiciel de Base (A1-06/07) Léon Mugwaneza ESIL/Dépt. Informatique (bureau A118) mugwaneza@univmed.fr I. Représentation des nombres Codage et représentation de l'information Information externe formats

Plus en détail

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006

EMETTEUR ULB. Architectures & circuits. Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006. David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 EMETTEUR ULB Architectures & circuits David MARCHALAND STMicroelectronics 26/10/2006 Ecole ULB GDRO ESISAR - Valence 23-27/10/2006 Introduction Emergence des applications de type LR-WPAN : Dispositif communicant

Plus en détail

Extrait des Exploitations Pédagogiques

Extrait des Exploitations Pédagogiques Pédagogiques Module : Compétitivité et créativité CI Première : Compétitivité et créativité CI institutionnel : Développement durable et compétitivité des produits Support : Robot - O : Caractériser les

Plus en détail

CHAPITRE V. Théorie de l échantillonnage et de la quantification

CHAPITRE V. Théorie de l échantillonnage et de la quantification CHAPITRE V Théorie de l échantillonnage et de la quantification Olivier FRANÇAIS, SOMMAIRE I INTRODUCTION... 3 II THÉORIE DE L ÉCHANTILLONNAGE... 3 II. ACQUISITION DES SIGNAUX... 3 II. MODÉLISATION DE

Plus en détail

Transmission d informations sur le réseau électrique

Transmission d informations sur le réseau électrique Transmission d informations sur le réseau électrique Introduction Remarques Toutes les questions en italique devront être préparées par écrit avant la séance du TP. Les préparations seront ramassées en

Plus en détail

ADSL. Étude d une LiveBox. 1. Environnement de la LiveBox TMRIM 2 EME TRIMESTRE LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING NIVEAU :

ADSL. Étude d une LiveBox. 1. Environnement de la LiveBox TMRIM 2 EME TRIMESTRE LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING NIVEAU : LP CHATEAU BLANC 45120 CHALETTE/LOING THEME : ADSL BAC PROFESSIONNEL MICRO- INFORMATIQUE ET RESEAUX : INSTALLATION ET MAINTENANCE ACADÉMIE D ORLÉANS-TOURS 2 EME TRIMESTRE NIVEAU : TMRIM Étude d une LiveBox

Plus en détail

Chapitre 2 : communications numériques.

Chapitre 2 : communications numériques. Chapitre 2 : communications numériques. 1) généralités sur les communications numériques. A) production d'un signal numérique : transformation d'un signal analogique en une suite d'éléments binaires notés

Plus en détail

TP: Représentation des signaux binaires. 1 Simulation d un message binaire - Codage en ligne

TP: Représentation des signaux binaires. 1 Simulation d un message binaire - Codage en ligne Objectifs : Ce TP est relatif aux différentes méthodes de codage d une information binaire, et à la transmission en bande de base de cette information. Les grandes lignes de ce TP sont l étude des méthodes

Plus en détail

Représentation d un entier en base b

Représentation d un entier en base b Représentation d un entier en base b 13 octobre 2012 1 Prérequis Les bases de la programmation en langage sont supposées avoir été travaillées L écriture en base b d un entier est ainsi défini à partir

Plus en détail

Concevoir son microprocesseur

Concevoir son microprocesseur Concevoir son microprocesseur structure des systèmes logiques Jean-Christophe Buisson Collection Technosup Ellipses Avant-propos Ce livre s adresse aux étudiants en informatique de licence et maîtrise,

Plus en détail

Régler les paramètres de mesure en choisissant un intervalle de mesure 10µs et 200 mesures.

Régler les paramètres de mesure en choisissant un intervalle de mesure 10µs et 200 mesures. TP Conversion analogique numérique Les machines numériques qui nous entourent ne peuvent, du fait de leur structure, que gérer des objets s composés de 0 et de. Une des étapes fondamentale de l'interaction

Plus en détail

SCL LOGICIEL DE CONTROL

SCL LOGICIEL DE CONTROL SCL LOGICIEL DE CONTROL Version 1.3 MRC AUDIO LD- 500 www.mrcaudio.com 1 Contenu 1 - Bienvenu a MRC AUDIO SCL v1.3 2 - Installation du logiciel 3 - Configuration du programme SCL 4 - Contrôle des installations

Plus en détail

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs

Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Conception de circuits numériques et architecture des ordinateurs Frédéric Pétrot et Sébastien Viardot Année universitaire 2011-2012 Structure du cours C1 C2 C3 C4 C5 C6 C7 C8 C9 C10 C11 C12 Codage des

Plus en détail

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information

Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Chapitre 18 : Transmettre et stocker de l information Connaissances et compétences : - Identifier les éléments d une chaîne de transmission d informations. - Recueillir et exploiter des informations concernant

Plus en détail

Projet Matlab : un logiciel de cryptage

Projet Matlab : un logiciel de cryptage Projet Matlab : un logiciel de cryptage La stéganographie (du grec steganos : couvert et graphein : écriture) consiste à dissimuler une information au sein d'une autre à caractère anodin, de sorte que

Plus en détail

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE

- MANIP 2 - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE - MANIP 2 - - COÏNCIDENCES ET MESURES DE TEMPS - APPLICATION À LA MESURE DE LA VITESSE DE LA LUMIÈRE L objectif de cette manipulation est d effectuer une mesure de la vitesse de la lumière sur une «base

Plus en détail

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne)

On distingue deux grandes catégories de mémoires : mémoire centrale (appelée également mémoire interne) Mémoire - espace destiné a recevoir, conserver et restituer des informations à traiter - tout composant électronique capable de stocker temporairement des données On distingue deux grandes catégories de

Plus en détail

Informatique Générale

Informatique Générale Informatique Générale Guillaume Hutzler Laboratoire IBISC (Informatique Biologie Intégrative et Systèmes Complexes) guillaume.hutzler@ibisc.univ-evry.fr Cours Dokeos 625 http://www.ens.univ-evry.fr/modx/dokeos.html

Plus en détail

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP)

2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2. Couche physique (Couche 1 OSI et TCP/IP) 2.1 Introduction 2.2 Signal 2.3 Support de transmission 2.4 Adaptation du signal aux supports de transmission 2.5 Accès WAN 2.1 Introduction Introduction Rôle

Plus en détail

CLIP. (Calling Line Identification Presentation) Appareil autonome affichant le numéro appelant

CLIP. (Calling Line Identification Presentation) Appareil autonome affichant le numéro appelant 1. Besoin CLIP (Calling Line Identification Presentation) Appareil autonome affichant le numéro appelant ETUDE FONCTIONNELLE De très nombreux abonnés du réseau téléphonique commuté ont exprimé le besoin

Plus en détail

Oscilloscope actif de précision CONCEPT 4000M

Oscilloscope actif de précision CONCEPT 4000M Oscilloscope actif de précision CONCEPT 4000M ZI Toul Europe, Secteur B 54200 TOUL Tél.: 03.83.43.85.75 Email : deltest@deltest.com www.deltest.com Introduction L oscilloscope actif de précision Concept

Plus en détail

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité?

Q6 : Comment calcule t-on l intensité sonore à partir du niveau d intensité? EXERCICE 1 : QUESTION DE COURS Q1 : Qu est ce qu une onde progressive? Q2 : Qu est ce qu une onde mécanique? Q3 : Qu elle est la condition pour qu une onde soit diffractée? Q4 : Quelles sont les différentes

Plus en détail

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1

TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1 TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun

Plus en détail

Algorithme. Table des matières

Algorithme. Table des matières 1 Algorithme Table des matières 1 Codage 2 1.1 Système binaire.............................. 2 1.2 La numérotation de position en base décimale............ 2 1.3 La numérotation de position en base binaire..............

Plus en détail

Leçon 1 : Les principaux composants d un ordinateur

Leçon 1 : Les principaux composants d un ordinateur Chapitre 2 Architecture d un ordinateur Leçon 1 : Les principaux composants d un ordinateur Les objectifs : o Identifier les principaux composants d un micro-ordinateur. o Connaître les caractéristiques

Plus en détail

xdsl Digital Suscriber Line «Utiliser la totalité de la bande passante du cuivre»

xdsl Digital Suscriber Line «Utiliser la totalité de la bande passante du cuivre» xdsl Digital Suscriber Line «Utiliser la totalité de la bande passante du cuivre» Le marché en France ~ 9 millions d abonnés fin 2005 ~ 6 millions fin 2004 dont la moitié chez l opérateur historique et

Plus en détail

Organisation des Ordinateurs

Organisation des Ordinateurs Organisation des Ordinateurs Bernard Boigelot E-mail : boigelot@montefiore.ulg.ac.be URL : http://www.montefiore.ulg.ac.be/~boigelot/ http://www.montefiore.ulg.ac.be/~boigelot/cours/org/ 1 Chapitre 1 Les

Plus en détail

IV- Comment fonctionne un ordinateur?

IV- Comment fonctionne un ordinateur? 1 IV- Comment fonctionne un ordinateur? L ordinateur est une alliance du hardware (le matériel) et du software (les logiciels). Jusqu à présent, nous avons surtout vu l aspect «matériel», avec les interactions

Plus en détail

Liste des Paramètres 2FC4...-1ST 2FC4...-1PB 2FC4...-1PN 2FC4...-1SC 2FC4...-1CB

Liste des Paramètres 2FC4...-1ST 2FC4...-1PB 2FC4...-1PN 2FC4...-1SC 2FC4...-1CB Édi 07.2014 610.00260.50.650 Instrucs service d'origine Français Liste s Paramètres 2FC4...-1ST 2FC4...-1PB 2FC4...-1PN 2FC4...-1SC 2FC4...-1CB 1Liste s 1 Liste s Descrip s s 1.020 Fréquence minimale 1.021

Plus en détail

La couche physique de l ADSL (voie descendante)

La couche physique de l ADSL (voie descendante) La couche physique de l ADSL (voie descendante) Philippe Ciblat École Nationale Supérieure des Télécommunications, Paris, France Problématique qq kilomètres CENTRAL câble de 0,4mm Objectifs initiaux :

Plus en détail

BK 2515, BK 2516 DAS 50 DAS 30

BK 2515, BK 2516 DAS 50 DAS 30 Oscilloscopes numériques portables, 2 voies entièrement isolées 2 BK 2515, BK 2516 2 voies isolées (1000V CAT II et 600V CAT III) Bande passante: 60MHz (BK2515) et 100MHz (BK2516) Résolution verticale

Plus en détail

Le signal GPS. Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz

Le signal GPS. Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz Le signal GPS Les horloges atomiques à bord des satellites GPS produisent une fréquence fondamentale f o = 10.23 Mhz Deux signaux en sont dérivés: L1 (fo x 154) = 1.57542 GHz, longueur d onde = 19.0 cm

Plus en détail

Mini_guide_Isis.pdf le 23/09/2001 Page 1/14

Mini_guide_Isis.pdf le 23/09/2001 Page 1/14 1 Démarrer...2 1.1 L écran Isis...2 1.2 La boite à outils...2 1.2.1 Mode principal...3 1.2.2 Mode gadgets...3 1.2.3 Mode graphique...3 2 Quelques actions...4 2.1 Ouvrir un document existant...4 2.2 Sélectionner

Plus en détail