ETUDE DU PEUPLEMENT PISCICOLE DU PLAN D EAU DE GOUZOLLES BAYET (03) AAPPMA DE ST POURCAIN SUR SIOULE

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1 ETUDE DU PEUPLEMENT PISCICOLE DU PLAN D EAU DE GOUZOLLES BAYET (03) AAPPMA DE ST POURCAIN SUR SIOULE Mise en œuvre du protocole NF EN Etude réalisée du 14 au 15 octobre 2015 Lelievre M., Mars 2016 Fédération de l Allier de Pêche et de Protection du Milieu Aquatique 8 rue de la Ronde SAINT POURCAIN/SIOULE Tél. : Fax : federation-peche-allier@wanadoo.fr -

2 REALISATION : INTERLOCUTEUR PRINCIPAL : Fédération de l'allier pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique 8 rue de la ronde St Pourçain sur Sioule federation-peche-allier@wanadoo.fr Mickael LELIEVRE - Directeur TITRE : MOTS CLES : Etude du peuplement piscicole du plan d eau de Gouzolles Bayet (03) 14 et 15 octobre 2015 Pêche scientifique aux filets multimailles, norme NF EN 14757, Gouzoles, peuplement piscicole. DATE D EDITION : 04 mars 2016 STATUT : Rapport final NOMBRE DE PAGES : 22 AUTEURS : TRAVAIL DE TERRAIN : Mickael Lelièvre Mickael Lelièvre, Marc Bourdeaux, Jérôme Girard, Jean-Paul Mathiaux, Simon Hentry. La Fédération de Pêche de l Allier tient à remercier l ensemble des bénévoles de l AAPPMA de Saint Pourçain-sur-Sioule pour leur aide précieuse.

3 Sommaire 1 Introduction Localisation du site Mate riel et me thodes Moyens matériels Filets maillants (Norme NF EN 14757) Moyens de navigation De maillage et biome trie Protocole d échantillonnage De termination du nombre de filets Emplacement et disposition des engins de pe che Biome trie Re sultats et discussion Physico-chimie Richesse taxonomique Rendement de pêche Composition du peuplement piscicole Composition relative Relation pre dateurs/proies Distribution des classes de taille par espèce Les cyprinide s Les carnassiers Spatialisation des captures Conclusion Bibliographie... 19

4 Liste des figures Figure 1 : Localisation de l e tang de Gouzolles... 1 Figure 2 : Etang de Gouzolles... 2 Figure 3 : Mise en place d un filet benthique lors de l e chantillonnage... 3 Figure 4 : De maillage des poissons e chantillonne s... 4 Figure 5 : Carte bathyme trique de l e tang de Gouzolles... 6 Figure 6 : Disposition des filets lors de l inventaire du 15 octobre Figure 7 : Re partition des effectifs bruts (graphique de gauche) et biomasses brutes (graphique de droite) Figure 8 : Distribution des classes de taille pour les ablettes Figure 9 : Distribution des classes de taille et d a ge pour les bre mes Figure 10 : Distribution des classes de taille et d a ge pour les gardons Figure 11 : Distribution des classes de taille pour les poissons chats Figure 12 : Distribution des classes de taille et d a ge pour les perches communes Figure 13 : Distribution des classes de taille et d a ge pour les sandres Figure 14 : Re partition relative (%) des diffe rentes espe ces piscicoles par filets Liste des tableaux Tableau 1 : Nombre d efforts requis, avec des filets maillants benthiques en fonction de la superficie et de la profondeur maximale du lac... 5 Tableau 2 : Re sultats des mesures physico-chimiques... 8 Tableau 3 : liste des espe ces capture es sur l e tang de Gouzolles... 8 Tableau 4 : Re sultats des rendements sur diffe rents plans d eau... 9 Tableau 5 : Re sultats des captures obtenus sur l e tang de Gouzolles Tableau 6 : Rendements de diffe rents plans d eau pour les espe ces Brochet et Sandre... 11

5 1 Introduction L étang de Gouzolles est un plan d eau d une superficie de 7 ha situé sur la commune de Bayet. Propriété de l AAPPMA de Saint Pourçain sur Sioule, il est utilisé pour la pratique de la pêche et la gestion piscicole est assurée par cette association. Ce plan d eau est alimenté par la nappe d accompagnement de la Sioule et est en communication avec la rivière que très rarement à la faveur de crues exceptionnelles. Le plan d eau est donc non vidangeable, la connaissance de la composition du peuplement piscicole et de la biomasse présente de l étang n est donc pas possible lors de vidanges totales réalisées traditionnellement dans les plans d eau disposant d un dispositif spécifique. Ainsi, afin d optimiser la gestion piscicole et halieutique du plans d eau et orienter les futurs déversements de poissons, l AAPPMA a souhaité la réalisation d un inventaire piscicole. Cet inventaire a été donc réalisé dans le cadre du Réseau Départemental de Suivi des Peuplements Piscicoles par la Fédération Départementale pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique de l Allier du 14 au 15 octobre 2015 selon la méthode de pêche aux filets maillants normalisée NF EN Localisation du site Figure 1 : Localisation de l étang de Gouzolles 1

6 Figure 2 : Etang de Gouzolles 3 Matériel et méthodes Le protocole de prélèvements déployé a été élaboré sur la base de la norme européenne NF EN (01/11/2005), et de son guide de lecture (GISPE, 2006), utilisée dans le cadre de la DCE, et décrivant «le protocole d'échantillonnage des poissons à l'aide de filets maillants en plan d eau». 3.1 Moyens matériels Filets maillants (Norme NF EN 14757) Les prélèvements ont été effectués au moyen de filets maillants de type Scandinave. Afin d'échantillonner toutes les classes de taille des espèces présentes, ces filets sont constitués d'un assemblage de plusieurs panneaux présentant des tailles de mailles différentes. Deux types de filets sont utilisés : - Filets benthiques : Engins multimailles de 30 m de long et de 1,5 m de haut constitués par une succession de 12 panneaux de mailles de différentes dimensions (5,6.25, 8, 10, 12.5, 15.5, 19.5, 24, 29, 35, 43 et 55 mm). Chaque panneau de maille mesure 2,5 m de long et est monté sur une ligne de flotteurs (30 m de long) et une ralingue plombée (33 m de long) en plastique de couleur gris clair. Le diamètre du fil varie de 0,10 mm pour les mailles d une dimension de 5 mm à 0,23 mm pour les mailles de 55 mm - Filets pélagiques : Engins de type araignées multimailles de 27.5 mètres de long sur 6 mètres de haut, constitués par une succession de 11 panneaux de mailles de différents dimensions (6.25, 8, 10, 12.5, 15.5, 19.5, 24, 29, 35, 43 et 55 mm) mesurant chacun 2.5 m de large sur 6 m de haut. Deux filets sont couplés afin de présenter une longueur totale de 55 m puis reliés via des cordelettes à des flotteurs permettant de les 2

7 maintenir en surface ou à une profondeur définie en déroulant la profondeur de cordelette correspondante. Ce système est mis en œuvre uniquement dans les plans d eau présentant une profondeur maximale supérieure à 10 mètres. Les filets ont systématiquement fait l objet d une signalisation par deux bouées blanches de mouillage à chaque extrémité (Figure 3). Figure 3 : Mise en place d un filet benthique lors de l échantillonnage Moyens de navigation Les filets et les nasses ont été posés et relevés à partir d une embarcation rigide motorisée dotée de l armement classique pour la navigation en eaux intérieures, et pilotée par des opérateurs détenteurs du permis de navigation option «eaux intérieures». Les points de pose des filets ont été identifiés par relevés GPS ponctuels à l aide d un échosondeur/gps de marque Garmin Démaillage et biométrie Un poste de démaillage a été installé à l écart sur la rive du plan d eau. Il est constitué de: Une bâche de chantier posée au sol et destinée au démaillage des poissons Un tréteau destiné à élever le filet lors du démaillage afin de faciliter l opération (Figure 4) Une table biométrique (balance de précision ±1g, ichtyomètre ± 1mm) Plusieurs bacs de tri, des bourriches pour remettre à l eau les individus en vie, 3

8 3.2 Protocole d échantillonnage Figure 4 : Démaillage des poissons échantillonnés Le positionnement des poissons dans un plan d eau varie notamment en fonction des espèces, de leurs stades de développement, des époques et des conditions physicochimiques. Le protocole NF EN est basé sur un échantillonnage aléatoire stratifié en fonction des différents gradients de profondeur du plan d eau. L effort global de pêche est défini en fonction de la surface et de la profondeur maximale du plan d eau. En croisant ces deux paramètres, des abaques spécifiques permettent de définir d une part le nombre de filets benthiques (de 8 à 68) à déployer et d autre part la répartition de ces filets en fonction des différentes strates de profondeur. L'emplacement de chaque filet est déterminé de façon aléatoire par tirage au sort au sein de chaque strate de profondeur. L effort de pêche quotidien est au minimum de 8 filets. La norme recommande que toutes les strates soient échantillonnées quotidiennement. De manière à encadrer les pics d activité du poisson, les filets sont tendus avant le coucher du soleil et relevés après son lever. L échantillonnage doit être programmé pendant la seconde moitié de la phase de stratification estivale, soit généralement avant le 15 octobre quand la température de l'épilimnion (couche de surface) est encore suffisamment élevée pour ne pas limiter l activité des poissons Détermination du nombre de filets 4

9 Le nombre de filets est dépendant de la superficie de la zone à pêcher et de la profondeur maximale de la colonne d eau. L annexe A de la norme NF EN fixe le nombre d efforts de pêche à mettre en œuvre au regard de ces paramètres morphométriques (Tableau 1). Profondeur (m) Superficie du lac (ha) <20 21 à à à à à à 5, à 11, à 19, à 34, à 49, à 74, Tableau 1 : Nombre d efforts requis, avec des filets maillants benthiques en fonction de la superficie et de la profondeur maximale du lac En l absence de données de profondeur, une campagne de bathymétrie a été menée sur l étang de Gouzolles par la Fédération de l'allier pour la Pêche et la Protection du Milieu Aquatique le 25 septembre 2015 à l aide d un échosondeur/gps points de mesure ont été répartis de manière à assurer la meilleure couverture possible de l'ensemble du plan d eau. Cette campagne a permis de réaliser une carte bathymétrique (figure 5) présentant les différentes strates de profondeur. Au regard de la surface (7 ha) et de la profondeur maximale (3 m) du plan d eau, le plan d'échantillonnage préconisé prévoit ainsi la pose de 8 filets benthiques. La profondeur maximale étant inférieure à 10m aucun filet pélagique n a été mis en place. 5

10 Figure 5 : Carte bathymétrique de l étang de Gouzolles 6

11 3.2.2 Emplacement et disposition des engins de pêche La répartition des filets est réalisée à partir d un échantillonnage stratifié aléatoire pour tenir compte de la distribution spatiale irrégulière des poissons. La localisation de chaque filet et l'angle de pose par rapport à la berge sont aléatoires. Cette distribution aléatoire est réalisée préalablement à la pêche en utilisant la carte bathymétrique (figure 5). Dans le cas du plan d eau de la Vauvre, compte tenu que la profondeur maximale est inférieure à 3m, tous les échantillonnages ont été réalisés dans la même strate. (<3m) Les filets et les nasses ont été posés le 14 octobre au soir, entre 17h30 et 19h30, et relevés le 15 octobre au matin de 8h à 10h. Les horaires de poses et relèves des filets ont été adaptés en fonction des horaires de lever et coucher du soleil. Le point GPS des extrémités de chaque filet a été référencé. Chaque engin s est vu attribuer un numéro (incrémentation par ordre de pose). Figure 6 : Disposition des filets lors de l inventaire du 15 octobre 2015 La figure 6 permet de visualiser le plan d échantillonnage déterminant l emplacement des 8 filets Biométrie Les poissons capturés ont été traités immédiatement après la capture. Tous les individus capturés ont été déterminés jusqu'à l'espèce, mesurés (longueur totale) et pesés. Les poissons encore vivants au moment de la relève des filets ont été immédiatement remis à l eau après avoir été mesurés et pesés à l exception des espèces susceptibles de créer des déséquilibres biologiques. 7

12 4 Résultats et discussion 4.1 Physico-chimie La température globale sur l ensemble de la strate d eau le 14 octobre 2015 est de 12,8 C. La concentration d oxygène dissous est égale à 9,31mg/l et 91,4% de saturation. La température et la concentration en oxygène restent homogènes sur l ensemble de la colonne d eau ce qui semble logique eu égard à la faible profondeur du plan d eau. La valeur de ph a pu être également relevée et est indiquée dans le tableau 2. Température ( C) 4.2 Richesse taxonomique ph Concentration O 2 (mg/l) 12,8 8,00 9,31 91,4 Tableau 2 : Résultats des mesures physico-chimiques sur l étang de Gouzolles le 14 octobre 2015 Saturation O 2 (%) Le tableau 3 présente la liste des espèces capturées sur l étang de Gouzolles Tableau 3 : liste des espèces capturées sur l étang de Gouzolles Nom vernaculaire Nom latin Code CYPRINIDES : Brème commune (1) Abramis brama BRE Gardon Rutilus rutilus GAR Ablette Alburnus alburnus ABL ESOCIDES : Brochet Esox lucius BRO PERCIDES : Perche commune Perca fluviatilis PER Sandre Stizostedion lucioperca SAN CENTRARCHIDES : Perche soleil Lepomis gibbosus PES ICTALURIDES : Poisson chat Ictalurus melas PCH Ainsi, 8 espèces piscicoles ont pu être capturées lors de cet échantillonnage. La carpe commune n a pas été capturée lors de l inventaire alors que l espèce est présente sur l étang de Gouzolles puisqu elle fait régulièrement l objet de captures par les pêcheurs et que des individus de grande taille sont annuellement déversés. Concernant la carpe, la capture de gros sujets (>3kg) avec cette méthode d inventaire est impossible, puisqu ils peuvent aisément déchirer les mailles en nylon des filets et se libérer. Cependant, aucun petit sujet (<3kg) ou juvénile n a été capturés ce qui laisse à penser que la reproduction de cette espèce n est pas efficiente sur ce plan d eau et que les individus présents dans l étang sont proviennent uniquement des déversements à partir de pisciculture. Il n y a donc pas de population spécifique et fonctionnelle de carpes communes à l étang de Gouzolles. Aucune espèce de milieu lotique (rhéophile) n a été capturée comme le chevaine ou le hotu ce qui confirme l absence d une communication récente entre l étang et la rivière Sioule pourtant toute proche. 8

13 La tanche, espèce typique d étang, n a pas non plus été capturée dans cet inventaire ce qui semble indiquer soit son absence, soit que ses effectifs sont faibles dans ce plan d eau malgré que des déversements de tanche aient régulièrement été réalisés dans l étang par l AAPPMA locale. Si on rajoute la carpe commune à la liste des espèces capturées lors de l échantillonnage, on peut estimer que la diversité piscicole spécifique de l étang de Gouzolles est d environ 9 espèces de poissons. Une espèce d écrevisse nuisible a été capturée durant cette opération, il s agit de l écrevisse américaine (Orconectes limosus) avec 5 individus. 4.3 Rendement de pêche Les 8 filets benthiques déployés, soit une surface de 360 m², ont permis de capturer 8 espèces différentes représentant un effectif de 907 individus et une biomasse de 23,3 kg. Le rendement de pêche des filets benthiques, aussi appelé capture par unité d'effort ou CPUE, s élève à individus et 64,7 kg pour 1000 m² de filets tendus. Depuis 2008, d autres plans d eau et retenues ont été échantillonnés selon le protocole NF EN dans le département de l Allier, notamment dans le cadre de la Directive Cadre sur l Eau. Le tableau 4 permet de comparer les rendements avec d autres plans d eau ce qui indique, notamment que la richesse spécifique est relativement moyenne sur l étang de Gouzolles mais que les rendements sont assez élevés. Plans d eau Nbre d esp. pisc. capturées Rendement en effectif (ind/1000m² de filet) Rendement en biomasse (kg /1000 m² de filet) Etang de Goule (03) ,8 Retenue de Rochebut (03) ,1 Etang de Pirot (03) Plan d eau des Colettes (03) ,5 Retenue de Villerest (42) ,31 Plan d eau de la Vauvre (03) ,3 Etang de Gouzolles (03) ,7 Tableau 4 : Résultats des rendements sur différents plans d eau 4.4 Composition du peuplement piscicole Composition relative Un total de 907 poissons a pu être capturé, représentant une biomasse de 23,3 kg. L espèce numéraire principale est la brème, avec 352 individus capturés (39% des individus). Les gardons (301 individus- 33%) et la perche commune (143 individus 16%) font également partie des espèces majoritairement présentes (Tableau 5 et Figure 7). Le gardon représente la plus forte biomasse capturée (6,796 kg). Le sandre est la 2 ème espèce en termes de biomasse (6,031 kg) avec seulement 10 individus pour un poids moyen d environ 600g. La 3 ème espèce représentée en biomasse est la brème (3,633 kg) en lien avec les effectifs importants de cette espèce. Le poisson-chat est la 4 ème espèce en effectifs et 6 ème espèce en biomasse (8% des captures 8,4% de la biomasse ) alors que les pêcheurs fréquentant le plan d eau avaient l impression que cette espèce dominait le peuplement piscicole. Il faut noter que cet inventaire a été réalisé tardivement dans la saison, à une période où l activité des poissons-chats a pu diminuer même si la capture d un nombre significatif d individus et notamment de juvéniles laisse à penser que 9

14 cette espèce était encore bien active à la date de l échantillonnage. Les opérations de destruction menées annuellement par les bénévoles de l AAPPMA peuvent avoir un impact sur les effectifs de poissons-chats sur ce plan d eau de superficie assez limitée. Le brochet, espèce qui bénéficie de mesures de protection à l échelle nationale, est relativement bien représenté avec quatre individus capturés (0,4% des captures 12% de la biomasse). En effet, compte tenu de la faible probabilité de capture avec le protocole utilisé (espèce présentant un comportement territorial avec des déplacements limités), on peut considérer que l espèce est significativement présente dans le plan d eau avec une population fonctionnelle et bien implantée en lien avec la réussite de la reproduction naturelle et la fonctionnalité des annexes hydrauliques utilisées comme zones de frayères par les brochets. EFFECTIF BIOMASSE ESPECES Nombre % Poids en g Brème , Gardon , Perche commune , Poisson chat 76 8, Ablette 20 2,2 403 Sandre 10 1, Brochet 4 0, Perche soleil 1 0,1 10 TOTAL Tableau 5 : Résultats des captures obtenus sur l étang de Gouzolles Relation prédateurs/proies Les prédateurs sont représentés par les sujets principalement ichtyophages : perches, sandres, brochets et poissons-chats adultes (> 20 cm). Dans les plans d eau où ce protocole a été mis en œuvre, la biomasse des captures des individus ichtyophages oscille autour de 30%. Ce chiffre est généralement supérieur à la part réelle des carnassiers dans un peuplement considéré comme équilibré (20%) car la méthode a tendance à surévaluer les espèces de fond, notamment les percidés. En effet, compte tenu du type de filets utilisés (filets n échantillonnant que les 1,5m au dessus du fond et pêchant la nuit), le protocole a tendance à surestimer les espèces à activité nocturne (sandre), fréquentant volontiers le fond et/ou dont l activité de déplacement est importante (perche, sandre). A l inverse, les espèces sédentaires (brochet), de pleine eau (ablette, rotengle, chevaine) et dans une moindre mesure celles inféodées aux berges (perche-soleil, tanche), sont sous-estimées. En totalisant les sandres de taille supérieure à 15 cm, les perches de taille supérieure à 10 cm, les poissons-chats de taille supérieure à 20 cm (les tailles inférieures ayant un régime plus omnivore) et les brochets, la biomasse des carnassiers représente 42% de la biomasse totale, ce qui est dans la fourchette haute des chiffres habituellement constatés. Ce résultat supérieur à la moyenne en terme de proportion de biomasse de poissons carnassiers peut s expliquer par : - Une forte proportion de la biomasse de sandre dans l échantillonnage (26% de la biomasse) liée à la capture de 2 gros individus alors que la CPUE (rendement pour 1000m² de filets) sur cette espèce est relativement faible par rapport à d autres plans d eau. 10

15 - Une bonne représentativité de l espèce brochet dans l étang en lien avec la réussite de la reproduction naturelle et la bonne fonctionnalité des zones de frayères annexes. CPUE (/1000 m² de filets) Effectif (ind/1000m²) BRO Biomasse (g /1000 m²) SAN Effectif (ind/1000m²) Etang de Goule (03) Retenue de Rochebut (03) Etang de Pirot (03) 0, Retenue de Villerest (42) Plan d eau de la Vauvre (03) Etang de Gouzolles (03) Tableau 6 : Rendements de différents plans d eau pour les espèces Brochet et Sandre 11

16 Effectifs Masse (g) Etude du peuplement piscicole de l étang de Gouzolles ABL BRE BRO GAR PCH PER PES SAN Espèces ABL BRE BRO GAR PCH PER PES SAN Espèces Figure 7 : Répartition des effectifs bruts (graphique de gauche) et biomasses brutes (graphique de droite) capturés par espèces en 2015 sur l étang de Gouzolles. 12

17 Effectif Effectif Etude du peuplement piscicole de l étang de Gouzolles 4.5 Distribution des classes de taille par espèce Les cyprinidés Ablette Ablette : Distribution des classes de taille Figure 8 : Distribution des classes de taille pour les ablettes Les ablettes représentent 2% des captures et 1,7% de la biomasse échantillonnée. Ces faibles effectifs capturés montrent que l espèce semble avoir du mal à s implanter. Seuls des individus de grande taille ont été échantillonnés. Les alevins de l année peuvent être sous-estimés car de taille trop petite pour être capturés dans les filets. Par contre, les individus de 1an devraient apparaitre dans l inventaire. L ablette peut notamment subir une forte prédation de la part des oiseaux piscivores (cormoran, héron ) Brèmes Taille (mm) Brème : Distribution des classes de taille Taille (mm) Figure 9 : Distribution des classes de taille et d âge pour les brèmes 13

18 Effectif Etude du peuplement piscicole de l étang de Gouzolles Avec 38,8 % des captures et 15,6% de la biomasse échantillonnée, les brèmes sont considérées comme une des espèces dominantes de l étang de Gouzolles. La distribution de taille indique que seule une classe d âge est vraiment représentée avec notamment une dominance des individus de un an (Figure 9) et non pas des alevins de l année. Plusieurs hypothèses peuvent expliquer ce déséquilibre : - un problème de recrutement certaines années, ce qui est peu probable compte tenu des faibles exigences écologiques de l espèce. - la méthode d échantillonnage n est pas adaptée à certaines classes de taille et notamment les petits individus. En effet, il semblerait que les individus mesurant moins de 70 mm ont du mal à se prendre dans les mailles des filets. On note également une absence d individus adulte >2+ ce qui peut indiquer soit une forte mortalité sur les juvéniles de 1 an par prédation piscicole ou avicole, soit une concurrence habitationnelle avec d autres espèces piscicoles benthiques (poisson-chat, carpe) Gardon Gardon : Distribution des classes de taille Taille (mm) Figure 10 : Distribution des classes de taille et d âge pour les gardons Avec 33,2 % des captures et 29,2% de la biomasse échantillonnée, le gardon est considéré comme une des espèces dominantes de l étang de Gouzolles Toutes les classes d âge ont été capturées. L échantillonnage est dominé par les poissons de 9 à 11 cm, âgés d un an (Figure 10) et la cohorte des alevins de l année est quasi inexistante. Il est probable que les alevins de l année ont été mal échantillonnés en raison de leur taille. La prédominance des poissons de taille 9 à 11cm est à mettre en relation avec les déversements réalisés par les AAPPMA. En effet, ce stade 1+ est le stade généralement utilisés pour les alevinages de gardons en plan d eau. La faible proportion de gardons d âge supérieur à un an peut être liée comme pour la brème à une prédation de la part des oiseaux piscivores (cormoran, héron ) présents sur le site puisqu il est généralement majoritaire dans leurs régimes alimentaires. 14

19 Effectif Effectif Etude du peuplement piscicole de l étang de Gouzolles Les carnassiers Poisson-chat Poisson chat : Distribution des classes de taille Figure 11 : Distribution des classes de taille pour les poissons chats Avec 8% des captures et 8% de la biomasse échantillonnée, le poisson chat n est pas l espèce dominante de l étang de Gouzolles contrairement à beaucoup de plans d eau similaires non vidangeables où cette espèce opportuniste s implante très bien. On remarque, dans les captures, une majorité d individus de taille 100mm à 160mm mais peu de juvéniles de l année et de gros géniteurs. Les opérations de destruction menées depuis plusieurs années par les bénévoles de l AAPPMA sur les juvéniles à l aide d épuisettes et sur les adultes à l aide de nasses peuvent avoir un impact sur les effectifs de poissons-chats sur ce plan d eau de superficie assez limitée. Perche commune Taille (mm) Perche commune : Distribution des classes de taille Taille (mm) Figure 12 : Distribution des classes de taille et d âge pour les perches communes 15

20 Effectif Etude du peuplement piscicole de l étang de Gouzolles Avec 15,8% des captures et 10,1% de la biomasse échantillonnée, la perche commune est considérée comme une des espèces dominantes de l étang de Gouzolles. Le peuplement de perche est dominé par les juvéniles de l année 0+ et, même si toutes les classes d âges semblent représentée, on note toutefois une faible proportion de gros géniteurs. Sandre et Brochet Sandre/brochet : Distribution des classes de taille 3 2 SAN BRO 1 0 Taille (mm) Figure 13 : Distribution des classes de taille et d âge pour les sandres Pour les sandres, des individus de toutes les classes d âge ont été capturés ce qui semble confirmer la présence d une population de sandre sur l étang de Gouzolles. Cependant, seul un juvénile de l année a été échantillonné ce qui peut indiquer que la mortalité estivale des alevins de sandres, très sensible à ce stade, a été importante en lien avec des épisodes caniculaires durant l été 2015 et une température de l eau de l étang qui a dépassé les 25 C. En effet, le stade juvénile de sandre se capture très bien avec cette méthode d échantillonnage et lorsque les effectifs sont importants ceux-ci se traduisent généralement dans les captures aux filets. Pour les brochets, seuls des individus de taille supérieure à 40cm ont été capturés. Aucun juvénile de l année n est présent dans l échantillonnage ce qui peut s expliquer par la difficulté de capturer les juvéniles de brochets avec cette méthode d inventaire aux filets car les juvéniles de l année ont tendance à rester dans la végétation de bordure la première année. 4.6 Spatialisation des captures Le pourcentage relatif de chaque espèce par filet a été représenté sur la figure 14. Cela indique la représentativité des espèces piscicoles en fonction des différents secteurs échantillonnés sur le plan d eau. Les résultats montrent que pour chaque zone échantillonnée, les 4 espèces retrouvées en majorité sont la brème, le gardon, la perche commune et le poisson-chat. Les autres espèces ne sont présentes qu en très faible quantité. Il n y a pas de différence significative concernant le peuplement piscicole en fonction des différentes zones du plan d eau ce qui est cohérent compte tenu de l homogénéité des profondeurs et des habitats. 16

21 Figure 14 : Répartition relative (%) des différentes espèces piscicoles par filets 17

22 5 Conclusion La faune piscicole de l étang de Gouzolles présente une diversité moyenne avec un total de 8 espèces capturées et au moins 1 autre espèce signalée mais non capturée, la carpe commune. Les rendements de captures sont assez élevés et rendent compte des capacités trophiques élevées de ce type de plan d'eau peu profonds. Le peuplement piscicole est dominé par la brème, le gardon et la perche commune qui constituent près de 90% des captures et plus de 50% de la biomasse échantillonnée. Le poisson-chat est considéré comme une espèce nuisible, «susceptible de créer des déséquilibres biologiques» selon le code de l environnement. Il n est pas l espèce dominante de l étang de Gouzolles contrairement à beaucoup de plans d eau similaires non vidangeables où cette espèce opportuniste s implante très bien. Les opérations de destruction menées depuis plusieurs années par les bénévoles de l AAPPMA peuvent avoir un impact sur les effectifs de poissons-chats sur ce plan d eau de superficie assez limitée. L absence d espèces d eaux courantes (chevaine, hotu et barbeau) confirme l absence d une connexion récente entre la rivière et le plan d eau. Aucune tanche n a été capturée alors que cette espèce a été déversée par l AAPPMA en 2013 et Les effectifs de cette espèce doivent donc rester faibles et subir l impact de la pression de pêche à la ligne ou de la prédation avicole. La carpe n a pas été recensée bien qu elle soit présente sur l étang. Cependant, l absence de captures de juvéniles dans l inventaire tend à montrer qu il n y a pas de reproduction naturelle et donc qu il n existe pas de population spécifique et fonctionnelle de carpes communes à l étang de Gouzolles. Cette espèce est uniquement alimentée par les lâchers. Malgré une faible probabilité de capture avec ce type de méthode d échantillonnage, le brochet est bien représenté dans l inventaire ce qui tend à montrer que cette espèce est significativement présente sur le site et confirme l intérêt et la fonctionnalité des zones de frayères créées et gérées par l AAPPMA. La part du sandre dans les captures apparaît relativement faible pour ce type de milieu si on compare à d autres plans d eau similaires. De plus, la faible proportion de juvéniles de l année dans les captures peut indiquer une forte mortalité estivale sur les juvéniles en Le peuplement piscicole de l étang de Gouzolles est donc typique de celui d un plan d eau eutrophe. Il est peu profond avec une tendance à s échauffer en période estivale et est donc propice au développement des cyanobactéries et d algues unicellulaires dont l activité ou la décomposition peut entraîner des périodes d anoxie. Ainsi, les espèces peu sensibles aux conditions d oxygénation et de températures (brèmes, perches, gardons, poissons-chats ) se développent correctement sur le plan d eau. 18

23 6 Bibliographie ALLEAUME S., LANOISELEE C., AGILLIER C., Bathymétrie des Plans d eau, CEMAGREF, ONEMA, Juin 2010, 24p. ASCONIT CONSULTANT, Etude du peuplement de poissons de Villerest. Direction Départementale de l Agriculture et de la Forêt de la Loire, Février ASCONIT Consultants, Compte-rendu des campagnes d inventaires piscicoles réalisées sur les plans d eau Loire-Bretagne en septembre 2010, 2010, 7 pages. ATHOS ENVIRONNEMENT, Pêche scientifique dans la partie aval de la retenue de Villerest (Loire) a proximité du barrage - 24 au 27 août Décembre 2011, 24 p. C.E.N Water quality Sampling of fish with multi-mesh gillnets: final draft. Comité Européen de Normalisation, GISPE Résumé et guide de lecture de la Norme CEN pr EN : Echantillonnage piscicole à l aide de filets multimailles. Groupement d Intérêt Scientifique Plan d Eau (GISPE), Groupe de Travail Echantillonnage. Juin HYDROSPHERE, Inventaire piscicole de la Réserve Naturelle Régionale de l'etang du Follet, diagnostic et propositions, novembre 2007, 22p. LELIEVRE M &al, Etude du peuplement piscicole du plan d eau de l Espace Naturel Sensible de la Vauvre Nassigny (03), FDPPMA03, Décembre 2014, 22p. ONEMA, Fiche synthétique, Etat du peuplement piscicole, Protocole NF EN 14757, Etang de Goule, 2015, 2p. ONEMA, Rapport d étude du peuplement piscicole de la retenue de Rochebut (03) étude réalisée du 13 au 17 septembre 2010, 19 p. 19

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