C4 Plancher en bois avec support de sol végétal, roseaux, branchages

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "C4 Plancher en bois avec support de sol végétal, roseaux, branchages"

Transcription

1 Arts de bâtir: Pays: C4 Plancher en bois avec support de sol végétal, roseaux, branchages Liban PRÉSENTATION Emprise Géographique Définition Plancher en bois avec support de sol végétal, roseaux, branchages - Structure porteuse en poutres ou solives de bois d élancement et de portée variable, suivant les régions, les qualités et les caractéristiques des essences d arbres utilisées. - Ossature secondaire: utilisation de branchages, roseaux, nervures (stipes) de palmier, palmes - Mise en place d un complexe constitué de végétaux ou d algues séchées et de terre damée ou coulée. - Finition de la surface de la dalle laissée brute ou recouverte d un revêtement. Milieu Cantonné à neuf des treize pays de l espace étudié : Algérie, Chypre, Egypte, Espagne, France, Grèce, Israël, Jordanie, Maroc, Palestine et Tunisie. On constate une utilisation courante de ce type de plancher en Algérie, Grèce, Jordanie, Maroc, Palestine, Tunisie mais exceptionnelle en Espagne et en France. Ces planchers sont employés indifféremment en milieu urbain, rural, en plaine et en bord de mer. En Algérie, en Egypte et en Tunisie, on les retrouve aussi en zone montagneuse et semi désertique. Étages Associés : On les rencontre au Rez-de-chaussée (lorsque celui-ci se situe au-dessus d une cave ou d un vide) et aux différents étages que compte la construction. Au Liban, ce mode de construction est courant en milieu rural, rurbain et sur la cote, en plaine et en montagne. Étages Associés : Au Liban, ce mode de construction ne comporte généralement qu un seul niveau. Il est présent au RC et surtout à l étage (devant la mastaba). On le rencontre toutefois à 2 niveaux dans certains villages de la montagne. Vues générales : Vues de détail : 1/6

2 PRINCIPE CONSTRUCTIF Matériaux Nature et Disponibilité (sous quelle forme) Ce type de plancher forme un complexe multicouche tripartite: 1. Une couche structurelle, assuré par les poutraisons. 2. Une couche support assimilable à un coffrage perdu. 3. Une couche de remplissage formant à proprement parler la dalle. 1. Une couche structurelle, assuré par les poutraisons : La réalisation des différentes poutraisons tient compte de deux facteurs déterminants dans l espace MEDA, d une part la quantité des ressources forestières et d autre part la nature des essences de bois disponibles. 2. Une couche support jouant le rôle de coffrage perdu : La couche support est destinée à former une claie sur laquelle va venir se répartir le poids des matériaux constituant la dalle. Cette couche est réalisée en fonction des ressources naturelles et disponibles en quantité suffisante dans la zone. Elle reprend des éléments végétaux comme les roseaux liés en tapis notamment à Chypre, en Egypte, en Espagne, en France, en Grèce, en Israel, en Jordanie et au Maroc, des branchages de lauriers, de graminées vivaces (diss) en Algérie, au Maroc, en Palestine et à Chypre, enfin des palmes ou de stipes de palmier dans le M ZAB Algérien, en Tunisie et en Egypte. Principe constructif : vue générale 3. Une couche de remplissage formant la dalle. Indistinctement la couche formant la dalle est constituée de mortier de terre et/ou de terre battue. Destinée à des constructions modestes, la finition de la dalle est laissée brute ou recouverte d une simple chape. Au Liban, - La couche structurelle est assurée par des poutres en bois. Les essences locales de bois les plus utilisées sont le mûrier, le peuplier, le pin, le genévrier (Lezzab) et le chêne Sindiane, le sapin de cilicie Chouh, l eucalyptus, mis à sécher au soleil pendant six mois avant d être débités. - La couche de support et/ou de répartition sert également de coffrage perdu. Elle est constituée de branches, de genêts, de ronces (Bellane) et de cailloux pour colmater les interstices entre les planches. - La couche de remplissage est constituée de couches de terre battue damée et revêtue dune couche de finissage d argile blanche. La couche de terre a une épaisseur de 20 à 30cm environ. Modules, Dimensions, Dosages Communément les sections de poutres varient en fonction de la qualité des bois utilisés et les longueurs de portée en fonction de la hauteur des arbres abattus. Les épaisseurs de poutres varient de 5 à 20 cm, pour des portées de 2 à 10 m. On retrouve ainsi une corrélation entre la distance à porter et la taille des arbres, mais aussi entre la richesse des gisements de ressources en matériaux de constructions et le mode de construction. L épaisseur moyenne des dalles de mortiers de terre ou de terre battue est de 25 cm, mais varie de 15 à 40 cm. Au Liban, le franchissement se fait à l aide de troncs en bois (non écorcés parfois) ou de solives disposés à des intervalles de 60cm entre axes. Type de pose Type de pose, Utilisation d'un coffrage, d'étaiement Sur l ensemble de l espace MEDA la réalisation de ce type de plancher ne nécessite pas le recours à des étaiements et à la mise en place de coffrages toutefois le complexe de répartition constitué par les cannes, branches, graminées peut être considéré comme un coffrage perdu. Au Liban, aucun coffrage spécifique ni étaiements ne sont nécessaire à ce genre de construction. Outils Outre les outils traditionnels du maçon (scie, truelle, marteau ), aucun outil commun aux utilisateurs de cette technique n a été signalé à l exception de l Algérie où, en guise de dame, on a recours à une pierre calcaire taillée en fût lisse. Au Liban, aucun outil spécifique n est renseigné. Principe constructif : écorchés, détails 2/6

3 PRINCIPE CONSTRUCTIF (Suite) Métiers Métier, Nombre de personnes nécessaires Dans l espace MEDA, cette technique est communément mise en œuvre par les maçons. A Chypre, en Grèce, au Maroc et en Palestine, un charpentier assiste le maçon et collabore à la réalisation de l ouvrage. Les équipes sont de deux à cinq personnes suivant la difficulté et la quantité de travail à réaliser. Au Liban, les équipes sont composées d un maçon, d un charpentier et de trois ouvriers au minimum. Performances Physique (portée ) Les distances à franchir vont de 1,5 m à 7 m. La possibilité d augmenter les portées varie suivant les pays, l élancement et la forme des arbres utilisés mais aussi par l emploi de différents procédés constructifs. L accroissement de la portée peut être communément réalisé par l augmentation des sections de poutres, mais aussi par la multiplication des points porteurs intermédiaires (Poteaux, libres ou engagés dans les murs ), par le recours à des poutres maîtresses et à des arcs. Les portées maximales référencées oscillent entre 7 et 12 m. Au Liban, la distance à porter varie de 2 à 5 m. L épaisseur moyenne de la dalle est de 20cm. La technique traditionnelle du plancher sur arc permet d augmenter la portée à 10m. Celle de l emploi de poutres maîtresses et de poteaux en bois permet un moindre franchissement. Thermique Acoustique Au regard de la nature des matériaux constituant le plancher (terre, roseaux, végétaux, ), les performances acoustique et thermique de celui-ci sont variables, notamment en fonction de l épaisseur du complexe de dalle. Au Liban, les aptitudes thermiques et acoustiques de ce type de plancher sont bonnes. Etanchéité, Protection aux intempéries (dernier étage) On distingue deux façons d étancher ce type de plancher : Lorsqu ils sont employés comme toiture terrasse. Soit on recouvre l ensemble de la toiture terrasse par une couche d argile créant une barrière étanche, soit on dame le complexe jusqu à ce qu il finisse par constituer un ensemble solidaire et dense. Ces deux méthodes nécessitent un entretien soigné, au minimum une fois l an. Ils peuvent être aussi employés comme toiture à faibles pentes, servant de lit de pose aux tuiles canal, en Israël et à Chypre. Au Liban, l étanchéité est assurée par une couche de finition argileuse et compacte qui nécessite un entretien annuel (damage à l aide de la Mahdalé, cylindre de 60cm en pierre calcaire). Physique (portée...) : plancher sur poteaux Physique (portée...) : plancher sur arcs 3/6

4 ASPECT, PATHOLOGIE Aspect Finition, couverture associée Communément les poutraisons sont laissées brutes, toutefois sur l ensemble des pays MEDA, on a aussi recours à des badigeons de chaux ou à des projections de plâtre. Les surfaces de dalle peuvent être laissées brutes, elles peuvent êtres aussi protégées par une chape de chaux ou un badigeon de lait de chaux, notamment, en Israel, au Maroc et en Algérie. On peut aussi avoir recours à la pose d un sol en pierre (Grèce). Au Liban, l aspect brut est gardé dans la majorité des cas. Pathologie de vieillissement Liée au matériau et aux conditions climatiques : Sur l ensemble des pays de la zone MEDA, on constate que les principales causes de dégradations liées au vieillissement sont les insectes, les champignons et l humidité due au manque d entretien, opérant une désagrégation des sols et un pourrissement des poutraisons, notamment à l endroit de l encastrement dans le mur. Afin d éviter ces dégradations, on procède à un entretien annuel voir pluriannuel consistant suivant le cas, en l application répétée de badigeon de lait de chaux, en l entretien de mortier de chaux et de terre, au damage régulier des surfaces en terre battue, en l entretien de la couche d étanchéité argileuse. Au Liban, les principales causes de dégradation liées aux matériaux et aux conditions climatiques sont : - la dégradation des bois dûe aux parasites et les champignons - les cassures dues à des défauts du bois - Les infiltrations d eau Liée à la technique : Généralement, les pathologies de vieillissement liées à la technique, sont associées soit à un sous-dimensionnement de la structure primaire, soit à une surcharge de la dalle ou à la qualité des bois employés. Au Liban, les principales causes de dégradation liées à la technique sont : - le fléchissement causé par le sous-dimensionnement des bois, les surcharges, les entraxes trop importants - les cassures dues aux surcharges ou aux sous-dimensionnement des sections - l écartement des solives sous l action du poids propre de la dalle. OUVRAGES ASSOCIÉS Passées de toiture Percements Généralement les ouvrages associés sont des éléments de petites dimensions en terre cuite formant des souches de cheminées. Au Liban, les percements signalés sont les conduits destinés aux cheminées actuelles. Les cheminées traditionnelles ( Maouqadeh ) n ayant généralement pas de conduit extérieur. Liaison Ossature - Structure Verticale (mur) La liaison avec la structure verticale s effectue par encastrement et scellement. Au Liban, conforme au commentaire méditerranéen. Vues intérieures Pathologie, évolution et transformation : utilisation des poutres IPN métalliques 4/6

5 PRINCIPE CONSTRUCTIF (Suite) DESCRIPTION DE MISE EN OEUVRE Le maçon peut procéder de deux façons : 1- Monter les maçonneries et réaliser des réserves nécessaires pour recevoir les abouts de poutre puis procéder à la pose des poutres après les avoir levées au moyen de palans et poulies. Cette technique nécessite le bourrage ou le scellement au mortier des espaces entre mur et poutres. Ou Monter la maçonnerie et, au fur et à mesure de l avancement, poser les poutres, celles-ci servant ainsi d échafaudage. 2- Disposer les cannes de roseaux ou autres éléments végétaux, formant ainsi un tapis d appui et de répartition. 3- Etaler, couler, damer le sol en terre battue ou en mortier Au Liban : Monter les maçonneries et réaliser des réserves nécessaires pour accueillir les sections de poutre puis procéder à la pose des poutres après les avoirs levées. Monter la maçonnerie et au fur et à mesure de l avancement, poser les poutres, celles-ci servant ainsi d échafaudage. Bourrer ou sceller au mortier de blocage les espaces entre maçonnerie et poutres. Procéder à la pose de la couche de support. La couvrir avec des petits morceaux de pierres calcaires, des ronces (Bellanne) avant de commencer le remplissage de terre. Le remplissage de la couche de terre est réalisé tout en effectuant un compactage avec aspersion d eau. Terminer par la couche de finition en terre argileuse qui est aspergée d eau au cours du damage par la mahdalé. Pour réaliser 20 m2 de plancher, l opération se déroule en continu durant une semaine. 5/6

6 USAGE, EVOLUTION ET TRANSFORMATION Usage Types de bâtiments Ce procédé est couramment utilisé quels que soient le type de bâtiment et le milieu, en Algérie, Chypres, Egypte, Grèce, Jordanie, Israël, Maroc, Tunisie, Palestine et exceptionnellement en Espagne et en France. Au Liban, ce plancher sert à la réalisation de logements et d entrepôts agricoles principalement en zone rurale. Période d apparition de la technique / Période d emploi de la technique Usage contemporain ou disparu Généralement l emploi de ces techniques est considéré comme millénaire. Au Liban, cette technique a été signalée à l age du bronze (Tell Arqa). Raisons de la disparition ou de la modification de la technique Aujourd hui ces techniques ont quasiment disparues à l exception de l Egypte. En effet transmises et utilisées jusqu'à une période récente, elles ont peu à peu laissé place aux techniques de béton, dont le coût, l entretien et la pérennité font concurrence à ce type d ossature. Au Liban, l emploi de nouveaux matériaux et leurs facilités de mise en oeuvre a fait complètement disparaître cette technique. Evolution / Transformation Les matériaux Deux techniques contemporaines se font face, la dalle pleine coulée et la dalle de type poutrelle/hourdis. Au Liban, les matériaux d origine ont été progressivement remplacés par des poutres IPN métalliques,des mortiers ciment et le béton banché. Les aspects techniques Les aspects techniques sont avant tout la facilité d emploi du béton et sa résistance. Au Liban, les aspects techniques sont avant tout leur facilité d emploi, notamment due à la standardisation des matériaux. Evaluation des matériaux et des techniques de remplacement Le remplacement des techniques traditionnelles par le béton conduit d une part à la perte de savoirs faire ancestraux mais aussi à des caractéristiques techniques différentes. Si la résistance du béton n est plus à prouver, celui-ci n en demeure pas moins un mauvais isolant phonique et thermique. De plus, le mariage de sa rigidité et des structures d appui déformables (murs de maçonneries traditionnelles) ne font pas bon ménage. Au Liban, l emploi systématique du béton dans la réhabilitation de ce genre de construction a contribué a créer de nouveaux désordres dans la structure et un effet déplorable sur le plan esthétique et architectural. 6/6

Cours de Structures en béton

Cours de Structures en béton Cours de Structures en béton Chapitre 12 DETAILS DE CONSTRUCTION Section 12.3 Les murs 12.3.1 Le mur extérieur en béton armé 12.3.2 Le mur extérieur en maçonnerie traditionnelle 12.3.3 Le mur extérieur

Plus en détail

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE

CREATION D UN GROUPE SCOLAIRE S.I.C.A. HABITAT RURAL DE LA SAVOIE 40, rue du Terraillet 73190 SAINT BALDOPH Tél. 04 79 33 06 94 Fax 04 79 85 69 92 E-mail : info@sica-hr.com Dossier 1918-2011 SYNDICAT INTERCOMMUNAL DE ST OFFENGE CREATION

Plus en détail

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS?

COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? COMMENT CONSTRUIRE UN CRIB A MAÏS? Par Philippe et Marie-Noëlle LENOIR Un couple du Volontaires du Progrès qui travaille à GALIM Département des Bamboutos, Province de l Ouest, nous adresse cette fiche

Plus en détail

VII Escaliers et rampes

VII Escaliers et rampes VII Escaliers et rampes 1. Généralité et terminologie des escaliers Les escaliers permettent de franchir une dénivellation et de relier les différences de niveaux d une construction ou d un jardin. A son

Plus en détail

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné :

Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : Un pavillon se compose de murs et d'un toit qui peuvent être réalisés de différentes façons suivant le budget donné : l'assemblage de parpaings le moulage dans un coffrage donnant une forme circulaire

Plus en détail

Maçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation

Maçonneries. Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français. Les différents types de roches. La localisation Maçonneries Guide pratique du patrimoine bâti du Vexin français Territoire de calcaire, c est tout naturellement que le choix des matériaux pour ériger les constructions dans le Vexin français s est porté

Plus en détail

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE

LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE LE LAVOIR DE LA MONTAGNE - RAPPORT DE PRESENTATION - DOSSIER PHOTOGRAPHIQUE 1 La mairie de Ressons-le-Long souhaite restaurer le lavoir de la Montagne. L opération fait l objet d une souscription «Fondation

Plus en détail

C0nstruire une mais0n. Sommaire

C0nstruire une mais0n. Sommaire Sommaire Page 2 : Le terrain Page 3 : Les raccordements Page 4 : Les fondations Page 5 : La chape Page 6 : Les murs Page 8 : Les planchers Page 9 : Le toit Page 10 : La charpente Page 12 : Les tuiles C0nstruire

Plus en détail

Construction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables

Construction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Catalogue de détails Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Construction CONTENU Détails de raccords Maison très basse consommation Systèmes bois massif Support maçonné

Plus en détail

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose

Le bac à graisses PRETRAITEMENT. Schéma de principe. Volume du bac à graisses. Pose Le bac à graisses Schéma de principe Lorsqu on a une longueur de canalisation importante entre la sortie des eaux de cuisine et la fosse septique toutes eaux, il est fortement conseillé d intercaler un

Plus en détail

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97)

Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Préliminaires Les dimensions mentionnées sont pour la plupart reprises dans la réglementation (STS54, NBN EN 3509), RGPT, arrêté royal du 07/07/97) Ces obligations assurent la sécurité dans les escaliers

Plus en détail

Ywood Les Docks Libres à Marseille

Ywood Les Docks Libres à Marseille Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 1 Ywood Les Docks Libres à Marseille Stéphane Bouquet NEXITY / YWOOD FR-Paris, Marseille 2 Ywood Les Docks Libres à Marseille S. Bouquet 5 ème Forum International

Plus en détail

MACONNERIE/GROS OEUVRE

MACONNERIE/GROS OEUVRE GIDE AVANT METRE MACONNERIE/GROS OEVRE MET 2 ORDRE D EXECTION Infrastructure Maçonnerie soubassement : murs, poteaux, poutres, chaînages, enduit d étanchéité, escaliers Maçonnerie superstructure : Dallage

Plus en détail

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête

Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête Assistance à Maîtrise d Ouvrage Cinéma Jour de Fête 74 RUE DE VIENNE, 27140 GISORS RAPPORT DE DIAGNOSTIC DES SONDAGES REALISES DANS LA SALLE DE PROJECTION 0. TABLE DES MATIERES 0. Table des matières...

Plus en détail

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE

ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE 1 ENSA Paris-Val de Seine Yvon LESCOUARC H ETUDE D UN BATIMENT EN BETON : LES BUREAUX E.D.F. A TALENCE Architecte : Norman FOSTER 2 LES BUREAUX EDF A TALENCE Ce bâtiment de bureaux conçu par l'agence de

Plus en détail

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier

LES ESCALIERS. Les mots de l escalier Les mots de l escalier L escalier :ouvrage constitué d une suite régulière de plans horizontaux (marches et paliers) permettant, dans une construction, de passer à pied d un étage à un autre. L emmarchement

Plus en détail

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT

Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT COMPTE RENDU DE VISITE ECOLE CENTRALE PARIS Nouvel immeuble de bureaux pour la C.U.B - Groupe FAYAT Introduction Pour la dernière journée de notre voyage d intégration, nous avons été accueillis le vendredi

Plus en détail

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale.

26/02/2011. Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire. Charpente traditionnelle. Structure principale. Structure principale. Pièces constitutives d une charpente Charpente traditionnelle Structure principale Structure principale sur mur porteur et ferme intermédiaire 2 1 5 4 3 1 - Panne 2 - Panne faitière 3 - Sablière 4 - Chevron

Plus en détail

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti

Fiche Technique d Évaluation sismique : Construction basse en Maçonnerie Non-armée, Chaînée, ou de Remplissage en Haïti .0 RISQUES GEOLOGIQUES DU SITE NOTES. LIQUÉFACTION : On ne doit pas trouver de sols granulaires liquéfiables, lâches, saturés, ou qui pourraient compromettre la performance sismique du bâtiment, dans des

Plus en détail

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN

INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN I - Données Générales INTERVENIR SUR LE BATI ANCIEN Rivalités entre réhabilitation, restauration et rénovation Au cours des dernières années, d'importantes études ont été entreprises dans les quartiers

Plus en détail

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N

DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N DISPOSITIONS APPLICABLES A LA ZONE N CARACTERE DE LA ZONE Zone faisant l objet d une protection en raison soit de la qualité des sites, des milieux naturels, des paysages et de leur intérêt notamment du

Plus en détail

description du système

description du système description du système a. conception technique système constructif Le projet proposé est un système modulaire industrialisé d'assemblage d'éléments préfabriqués tridimensionnels. Il est basé sur un module

Plus en détail

Construction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables

Construction. Catalogue de détails. L habitat sain, naturellement. Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Catalogue de détails Produits pour la construction saine issus de matériaux naturels renouvelables Construction CONTENU Détails de raccords Maison très basse consommation Systèmes bois massif Support maçonné

Plus en détail

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs.

Drainage de maches anti-remontée à l humidité. Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Drainage de maches anti-remontée à l humidité Pour la pose de carreaux en céramique et de pierres naturelles/dalles sur des escaliers extérieurs. Goutte par goutte, le désastre prend forme. Comme ils ne

Plus en détail

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter

AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter AGORA 2014 Appel à idées Habiter les toits à Bordeaux Et pour compléter 1 SOMMAIRE Vues générales des toits 3 Type de charpentes, de la plus simple à la plus sophistiquée quelques coupes transversales

Plus en détail

LES MURS EN STRUCTURE BOIS

LES MURS EN STRUCTURE BOIS LES MURS FICHE TECHNIQUE / 03 LES TECHNIQUES CONSTRUCTIVES TRADITIONNELLES Le mur en structure bois est toujours posé sur une base en pierre ou maçonnerie afin de le protéger de l'humidité (voir fiche

Plus en détail

Bâtir un mur en briques de terre compressée. Livret stagiaire

Bâtir un mur en briques de terre compressée. Livret stagiaire Bâtir un mur en briques de terre compressée Livret stagiaire Sommaire Planning 3 La construction en terre 4 Historique 4 Les particularités du bâti en terre crue 4 La Brique de Terre Compressée (BTC) 5

Plus en détail

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE

= RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE PAVÉS EN BETON CONCEPTION APPROPRIÉE + MISE EN OEUVRE PROFESSIONNELLE = RÉALISATION DE QUALITÉ DURABLE 10 règles de base pour une mise en œuvre correcte de revêtements de pavés en béton 1 2 3 4 5 6 7 8

Plus en détail

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse

Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse Libre-Service de l agence ISOPAR Garges-lès-Gonesse 60 Tarif Public H.T. (réservé aux professionnels) Verre cellulaire FOAMGLAS T4+ FOAMGLAS S3 FOAMGLAS F FOAMGLAS TAPERED FOAMGLAS BOARD PANNEAU READY

Plus en détail

Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008

Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Page 1 / 5 Rapport technique / domaine du bâtiment Contenu : Pose d escalier préfabriqué monobloc en béton Rédaction : Hediger Damien / Etudiant ETC 3 ème année Date : 1 er octobre 2008 Introduction Dans

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

Linstallation d un escalier dans la. un escalier de béton à double quart tournant en kit. Construire soi-même LABEL. Label. Label D E I S O N L A

Linstallation d un escalier dans la. un escalier de béton à double quart tournant en kit. Construire soi-même LABEL. Label. Label D E I S O N L A maçonnerie Construire soi-même un escalier de béton à double quart tournant en kit Bricoler du Côté d e la M ais o n Label BRICOLER DU CÔTÉ DQUALITÉ E LA MAISON LABEL BRICOLER DU CÔTÉ DE LA MAISON Label

Plus en détail

La Chapelle de la Ferme d Ithe

La Chapelle de la Ferme d Ithe La Chapelle de la Ferme d Ithe Le Tremblay-sur-Mauldre / Jouars-Pontchartrain (78 Yvelines) Une dizaine de jeunes, âgés de 17 à 20 ans, ont inauguré, durant les deux dernières semaines de juillet, une

Plus en détail

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise

Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise Les étapes d un dossier MOB dans l entreprise 1 Les étapes d un dossier MOB au bureau d études: 1. La réalisation du devis 2. Passage en commande du dossier 3. La demande d éléments 4. Le plan d implantation

Plus en détail

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense

Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense 5 ème Forum International Bois Construction FBC 2015 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense P. Gontier 1 Bâtiment SHS - Université Paris Ouest Nanterre la Défense Pascal Gontier Architecte

Plus en détail

Combles et couvertures

Combles et couvertures FICHE TECHNIQUE Combles et couvertures 2 5 6 8 CONNAÎTRE > Protection et esthétique > Couverture > Charpente REGARDER > Couverture > Charpente ENTRETENIR AMÉLIORER > Changer le matériau de couverture >

Plus en détail

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois

La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois Forum Bois Construction Beaune 2011 La Règue verte - 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature bois B. Dayraut 1 La Règue Verte 54 logements THPE à structure béton et enveloppe à ossature

Plus en détail

FICHE TECHNIQUE SikaLatex

FICHE TECHNIQUE SikaLatex FICHE TECHNIQUE SikaLatex RÉSINE À MÉLANGER À L'EAU DE GÂCHAGE DES MORTIERS DESCRIPTION DU PRODUIT Le SikaLatex est une dispersion aqueuse de résine synthétique qui se présente sous la forme d un liquide

Plus en détail

Salles de bains PMR *

Salles de bains PMR * solutions accessibilité Salles de bains PMR * * Personne à Mobilité Réduite Bandes d éveil de vigilance Escaliers carrelés www.desvres.com solutions accessibilite EXIgENCES ET CONTRaINTES Projections d

Plus en détail

Le chantier compte 4 étapes :

Le chantier compte 4 étapes : 02 Bien mettre en place le 03 béton désactivé La technique du béton désactivé consiste à mettre en valeur les granulats en éliminant la couche superficielle du mortier en surface. Un chantier de béton

Plus en détail

Le maçon à son poste de travail

Le maçon à son poste de travail Fiche Prévention - E2 F 03 14 Le maçon à son poste de travail Partie 2 : la protection face au vide La réalisation de murs en maçonnerie est une opération courante sur les chantiers du bâtiment (maison

Plus en détail

La maison des familles de Franche-Comté

La maison des familles de Franche-Comté La maison des familles de Franche-Comté l F.-X. Cahn, P. Dornier 1 La maison des familles de Franche-Comté François-Xavier Cahn Architecte DPLG Atelier de la Rue Neuve FR-Besançon Pierre Dornier président

Plus en détail

www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances?

www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? www.hdgdev.com Eco matériaux Quelles performances, quelles assurances? 1 Contexte L effet de serre un phénomène naturel Contexte Le changement climatique en chiffres 2 Contexte Contexte Le climat en 2100

Plus en détail

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP

NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP Loi pour l Égalité des Droits et des Chances, la Participation et la Citoyenneté des Personnes Handicapées (EDCPCPH) NOUVEAU DISPOSITIF REGLEMENTAIRE Les ERP 1 1 Quel classement pour les ERP? Le classement

Plus en détail

Municipalité 16 avril 2014

Municipalité 16 avril 2014 Municipalité 16 avril 2014 RAPPORT AU CONSEIL COMMUNAL D'YVERDON-LES-BAINS concernant PR14.12PR une demande de crédit d'investissement de Fr. 680 000.- pour les travaux de remise en état du Temple Pestalozzi

Plus en détail

Techniques et matériaux

Techniques et matériaux Techniques et matériaux Bois Techniques et matériaux Le savais-tu? L Homme utilise le bois pour se construire un abri depuis la Préhistoire. est employé depuis longtemps en architecture car il peut se

Plus en détail

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE

CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE CASERNE NIEL Quai des Queyries à Bordeaux DIAGNOSTIC POUR LA CONSERVATION D UNE CHARPENTE METALLIQUE S O M M A I R E CHAPITRE 1 - PRÉSENTATION GÉNÉRALE... 2 CHAPITRE 2 - SÉCURITÉ DES PERSONNES VIS A VIS

Plus en détail

800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus. Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER. Finitions Scellements et calfeutrements Coulage plancher.

800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus. Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER. Finitions Scellements et calfeutrements Coulage plancher. 800_Pajol Cpt au 31-01-2011 inclus Complexe Sportif PAJOL SOLUTION RADIER BILAN MAIN D' ŒUVRE RECAP COD DESIGNATIONS Bud AVANCMT CREDIT DEPENSE ECART ACT 14 817,00 106,00 14 817,00 3,65% 541,45 570,00-28,55

Plus en détail

Montant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C.

Montant H.T. Montant T.V.A 20,00% Montant T.T.C. PARIS LE 15/07/2015 mario.marques356@gmail.com http://www.cifidf.fr/ REF. CHANTIER M. Mme LAGRAA 44 RUE DE MARINES 95750 CHARS M. Mme LAGRAA 42 AV. HENRI BARBUSSE 92700 COLOMBES DEVIS N 05873635 TRAVAUX

Plus en détail

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat

N 5 SUPERSTRUCTURE. Enveloppe Seconde œuvre. Arezou MONSHIZADE MOBat N 5 SUPERSTRUCTURE Enveloppe Seconde œuvre Arezou MONSHIZADE MOBat SUPERSTRUCTURE: Eléments constructifs SUPERSTRUCTURE Murs et baies Plancher Toiture Couverture +Seconde oeuvre INFRASTRUCTURE Sol Semelles

Plus en détail

Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 -

Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470 - Carport Evolution 1 Voiture Adossant - 710470-1 N O T I C E D E M O N T A G E du Carport Evolution 1 Voiture Adossant Après l ouverture du colis de votre Carport, n exposez pas les panneaux au rayonnement

Plus en détail

Plancher chauffant avec revêtement de sol

Plancher chauffant avec revêtement de sol Équipements E.2 1/6 Plancher chauffant avec revêtement de sol Domaine d application Cette fiche vise à établir les principales interfaces au niveau des planchers chauffants, à eau chaude ou électriques,

Plus en détail

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE

LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE II Le toit / Leçon 4 : La charpente 19. Voir Leçon 5. 20. Pour les solins, voir p. 38. LE BOIS, UN MATÉRIAU D UNE SOUPLESSE EXTRAORDINAIRE On s alarme souvent de la courbe d un arbalétrier ou d un entrait

Plus en détail

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42

Etanchéité à l air dans la construction bois. Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Etanchéité à l air dans la construction bois Marc DELORME Inter Forêt-Bois 42 Pourquoi des bâtiments étanches à l air? Ne pas confondre : étanchéité à l air et confinement Une bonne étanchéité à l air

Plus en détail

- 1 - Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux,

- 1 - Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les Conseillers généraux, - 1 - Commune de Bevaix Conseil général Rapport du Conseil communal au Conseil général à l appui d une demande de crédit de Fr. 600'000.- pour la rénovation de l immeuble rue du Temple 4. Monsieur le Président,

Plus en détail

REHABILITATION DES LOGEMENTS DE LA CITE BAD A ABIDJAN - COCODY

REHABILITATION DES LOGEMENTS DE LA CITE BAD A ABIDJAN - COCODY REPUBLIQUE DE COTE D'IVOIRE ----------- BANQUE AFRICAINE DE DEVELOPPEMENT ---------- REHABILITATION DES LOGEMENTS DE LA CITE BAD A ABIDJAN - COCODY DESCRIPTIF LOT 02 GROS-OEUVRE MODE D'EXECUTION DES TRAVAUX

Plus en détail

AUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS

AUDIT DES PLANCHERS EXISTANTS Nice la Plaine 1 - Bt A3 RN 202 - Iscles des Arboras 06200 NICE Téléphone : 04 92 29 60 60 Télécopie : 04 93 83 83 36 Réf. client : NCA : /07 FT/FT MAIRIE DE NICE Direction des Bâtiments Communaux Service

Plus en détail

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES GENERALES DE LA RESIDENCE ET EQUIPEMENT DES APPARTEMENTS

CARACTERISTIQUES TECHNIQUES GENERALES DE LA RESIDENCE ET EQUIPEMENT DES APPARTEMENTS 53 CHEMIN SALINIE 31100 TULOUSE CARACTERISTIQUES TECHNIQUES GENERALES DE LA RESIDENCE ET EQUIPEMENT DES APPARTEMENTS Le mode constructif a été défini sous le contrôle d un bureau de vérification technique

Plus en détail

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat

Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat. 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Détails 1. Mur double - appui plancher béton sur linteau Cellumat 1/Détail: mur double appui hourdis béton sur linteau Cellumat Crochet type mur sec Mortier Membrane d'étanchéite Chaînage béton Brique

Plus en détail

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques

Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques La construction face au risque sismique Nouvelle réglementation Auch 27 novembre 2012 Construire en zone sismique - Conception et bonnes pratiques Albane RAMBAUD Sandrine MARNAC CETE du Sud Ouest / DALET

Plus en détail

B1 Cahiers des charges

B1 Cahiers des charges B1 Cahiers des charges B1 cahiers des charges 35 B.1 Cahiers des charges Ce chapitre contient les cahiers des charges. Pour plus d informations, nous réfèrons au paragraphe B.3. Mise en oeuvre et B.4 Détails

Plus en détail

Lieu dit : Champs Colomb -05100 - BRIANCON. DESCRIPTIF SOMMAIRE DES PRESTATIONS ETABLI LE 07 OCTOBRE 2005 modifie le 31 07 2008

Lieu dit : Champs Colomb -05100 - BRIANCON. DESCRIPTIF SOMMAIRE DES PRESTATIONS ETABLI LE 07 OCTOBRE 2005 modifie le 31 07 2008 Lieu dit : Champs Colomb -05100 - BRIANCON DESCRIPTIF SOMMAIRE DES PRESTATIONS ETABLI LE 07 OCTOBRE 2005 modifie le 31 07 2008 Appartements traditionnels de bonne qualité, d'architecture «Montagne» avec

Plus en détail

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur

Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Mur Hybride, bien plus qu un simple mur Correction des ponts thermiques Maçonnerie de type a RT 2012 Mur Hybride R = 1,45 Pose rapide Porotherm GF R20 Th+ Mur Hybride énergie économie écologie émotion

Plus en détail

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES

GUIDE D INSTALLATION. La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES GUIDE D INSTALLATION La première enveloppe pare air et perméable à la vapeur d eau AVANTAGES Possède une résistance thermique élevée Réduit la circulation d air à travers les murs Évite la formation d

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES DES PRESCRIPTIONS MINIMALES ARCHITECTURALES ET TECHNIQUES RELATIVES AU LOGEMENT DESTINE A LA CLASSE MOYENNE

CAHIER DES CHARGES DES PRESCRIPTIONS MINIMALES ARCHITECTURALES ET TECHNIQUES RELATIVES AU LOGEMENT DESTINE A LA CLASSE MOYENNE Royaume du Maroc Ministère de l Habitat et de la Politique de la Ville CAHIER DES CHARGES DES PRESCRIPTIONS MINIMALES ARCHITECTURALES ET TECHNIQUES RELATIVES AU LOGEMENT DESTINE A LA CLASSE MOYENNE Ministère

Plus en détail

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs

Cahier des Prescriptions Techniques d exécution CPT Sols Grands formats - Travaux neufs Revêtements de sols intérieurs en carreaux céramiques de grand format et de format oblong collés au moyen de mortiers-colles dans les locaux P3 au plus en travaux neufs Cahier des Prescriptions Techniques

Plus en détail

François Dussault, T.P. Inspecteur en bâtiment. Repentigny, le 31 août 2010

François Dussault, T.P. Inspecteur en bâtiment. Repentigny, le 31 août 2010 Repentigny, le 31 août 2010 Monsieur François Dussault, propriétaire 76 rue Vinet Repentigny, Qc. J6A 1K9 Objet : Infiltration dans la salle de bains au 76 Vinet Monsieur Dussault, C est avec plaisir que

Plus en détail

30% SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et. Valoriser les combles perdus. Economies. Valoisation de votre habitation

30% SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et. Valoriser les combles perdus. Economies. Valoisation de votre habitation SolivBox 34 : une solution innovante, pour utiliser et Valoriser les combles perdus s Un bâtiment perd de la chaleur par le haut, car la chaleur monte. L isolation de la toiture est donc la priorité. 30

Plus en détail

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.

VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free. VDIAGNOSTICS IMMOBILIER 9 rue Henri Matisse 76120 GRAND QUEVILLY Télécopie : 09 55 32 26 60 Portable : 06 18 60 62 96 Email : vdiagimmo@free.fr RAPPORT DE MISSION DE REPERAGE DES MATERIAUX ET PRODUITS

Plus en détail

PAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE

PAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE PAROISSE NOTRE-DAME DE LOURDES 1427 avenue Roger Salengro 92370 CHAVILLE C. R. n 11 REPARATION STRUCTURE BETON DU CLOCHER COUVERTURE ZINC DU CLOCHER RAVALEMENT BRIQUE DE LA TOUR DU CLOCHER ETANCHEITE RESINE

Plus en détail

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif

Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Installez votre paroi remplie Zenturo et Zenturo Super pour un beau mur décoratif Lors de l installation de la clôture Zenturo ou Zenturo Super en tant que mur décoratif, vous devez tenir compte de quelques

Plus en détail

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT :

ASSURE 1- NATURE DE L ENTREPRISE : EURL SARL SA ETS ENTREPRISE MR AUTRE NOM DE L ENTREPRISE : NOM ET PRENOM DU GERANT : Proposition d Assurance Responsabilité Civile et décennale des Entreprises de Construction A retourner par Fax au 04 37 24 52 79 ou par mail à narjisse.boughanemi@entrepreneursdelacite.org Tél : 04 37

Plus en détail

GITE D'ETAPE "chez Mimile"

GITE D'ETAPE chez Mimile GITE D'ETAPE "chez Mimile" Notre gîte d'étape est en train de voir le jour, après des mois et des années d'études et de recherche de fonds pour sa réalisation. Merci au Conseil Général, à la Région, au

Plus en détail

Les dossiers...de VivArmor. La construction écologique

Les dossiers...de VivArmor. La construction écologique 2011 Les dossiers......de VivArmor La construction écologique Dossier Environnement La construction écologique par Jérémy ALLAIN Beaucoup d entre nous s emploient à tenter de réduire leur impact sur la

Plus en détail

LES MENUISERIES INTÉRIEURES

LES MENUISERIES INTÉRIEURES Les portes intérieures Seuls les ouvrages relatifs aux portes intérieures sont décrits ci-après. Pour la description des pièces de bois (montant, traverse ) et des accessoires de quincaillerie (paumelle,

Plus en détail

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE

POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.

Plus en détail

Commission d évaluation : REALISATION du 14 octobre 2014

Commission d évaluation : REALISATION du 14 octobre 2014 Commission d évaluation : REALISATION du 14 octobre 2014 65 St Barnabé, (13) Rédacteur : Jérôme Solari / Clara Foussat 1 - Bâtiment tertiaire bioclimatique à l entrée du village de Saint Barnabé à Marseille.

Plus en détail

Cloisons de distribution Caroplatre

Cloisons de distribution Caroplatre 04 Cloisons de distribution en carreaux de plâtre Cloisons de distribution Caroplatre Description Les carreaux de plâtre Caroplatre sont des éléments en plâtre 100% naturel fabriqués en usine. Leur coloration

Plus en détail

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers

Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER. Laure Delaporte ConstruirAcier. Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc Schaffner Ateliers SCHAFFNER Laure Delaporte ConstruirAcier Jérémy Trouart Union des Métalliers Jean-Marc SCHAFFNER des Ateliers SCHAFFNER chef de file du GT4 Jérémy TROUART de l Union des Métalliers

Plus en détail

De La Terre Au Soleil

De La Terre Au Soleil De La Terre Au Soleil Atelier d Architecture S. Anwoir Architecte Les motivations Respect environnemental et investissement à long terme: Participation au développement durable (protéger notre environnement,

Plus en détail

Dossier de presse Treppenmeister

Dossier de presse Treppenmeister Dossier de presse Treppenmeister Comment bien choisir son escalier? Un groupement de professionnels depuis plus de 20 ans à votre écoute. En France, 19 partenaires menuisiers ont rejoint le groupement

Plus en détail

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM

SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM SOL FORTE ÉPAISSEUR INDUSTRIAL FLORIM Nouvelle solution en grès cérame grande épaisseur pour l aménagement extérieur. Dalles en grès cérame fin coloré pleine masse de 2 cm d épaisseur, obtenues par atomisation

Plus en détail

Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre

Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre D01 Protection au feu des structures Protection des structures et constructions à ossature bois par plaques de plâtre Généralités et principes La stabilité au feu des structures évite, en cas d incendie,

Plus en détail

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE

La mise en œuvre BBC. Formation pour entreprises IBSE La mise en œuvre BBC Formation pour entreprises IBSE 2 Les labels Maison bioclimatique Maison conçue pour bénéficier de tous les avantages du climat et du terrain ainsi que de la végétation environnante.

Plus en détail

ESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7%

ESCALIERS. passer des dénivellations supérieures à 7% ESCALIERS passer des dénivellations supérieures à 7% 2 définitions essentielles : Contremarche et giron Le rapport H/G donne la pente d une volée de marches ex : 16 cm / 32 cm = 50% Emmarchement, emprise,

Plus en détail

2. Indique le type de chacune de ces contraintes. a) L objet doit avoir des couleurs neutres. Contrainte humaine.

2. Indique le type de chacune de ces contraintes. a) L objet doit avoir des couleurs neutres. Contrainte humaine. ACTIVITÉS 1. Avant d entreprendre un projet technologique, il est important de prendre connaissance de son cahier des charges. Quelle est l utilité d un cahier des charges? Un cahier des charges définit

Plus en détail

Contrôle thermographique Tarifs et prestations :

Contrôle thermographique Tarifs et prestations : 20 rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN technimursdeveloppement@gmail.com Tél : 02.54.98.50.15 Mr et Mme DUPONT 20 Rue Emile ZOLA 41200 ROMORANTIN Contrôle thermographique Tarifs et prestations : Habitations

Plus en détail

adapto solutions de bureau dynamiques technologie modulaire

adapto solutions de bureau dynamiques technologie modulaire adapto solutions de bureau dynamiques technologie modulaire 2 5 FLEXIBLE 1 3 6 2 3 «adapto» NOUS AVONS PENSE A TOUT Vous créez une nouvelle société ou votre entreprise 1 Bâtiment administratif Réalisation

Plus en détail

L HABITAT. Technologie 5ème

L HABITAT. Technologie 5ème L HABITAT LES FONCTIONS CLORE: air, eau RESISTER: poids propre, charges d exploitation, charges climatiques (neige, vent) ISOLER: thermique, acoustique CHAUFFER l hiver RAFFRAICHIR l été PROCURER: hygiène,

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux. Date d édition : 1 septembre 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications, certifications et parcours de formation par domaine de travaux Ce document présente : Date d édition : 1 septembre 2014 Les qualifications et certifications «RGE»

Plus en détail

LE GÉNIE PARASISMIQUE

LE GÉNIE PARASISMIQUE LE GÉNIE PARASISMIQUE Concevoir et construire un bâtiment pour qu il résiste aux séismes 1 Présentation de l intervenant Activité : Implantation : B.E.T. structures : Ingénierie générale du bâtiment. Siège

Plus en détail

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3

PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 ECOLE SPECIALE DES TRAVAUX PUBLICS PROJET DE CONSTRUCTION DOSSIER DE FAISABILITE B3 AUTEUR : GABILLAT Arnaud PACAUD Fabien BUSSUTIL Clothilde TAN Vincent B3 1 IMPLANTATION DU PROJET Programme : Réalisation

Plus en détail

Désignation. Localisation. Description de l édifice. Historique, datation édifice. Protection / Statut juridique. Architecte, auteur

Désignation. Localisation. Description de l édifice. Historique, datation édifice. Protection / Statut juridique. Architecte, auteur Nom : Pont sur La Barberolle Typologie architecturale secondaire : Dénomination : ouvrage d'art / pont Dénomination secondaire : Typologie régionale : Localisation Canton : Bourg de Péage / Pays : Drôme

Plus en détail

La Couverture en laves

La Couverture en laves La Couverture en laves Accorder une place aux matériaux et techniques d autrefois peut paraître un pur archaïsme ou simplement la volonté de sauver de l oubli des pratiques aujourd hui révolues. Pourtant,

Plus en détail

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment :

Ce guide se divise en six chapitres, dont quatre sont dédiés à une catégorie de bâtiment : INTRODUCTION Constructions de pointe et d usage courant, les escaliers métalliques doivent répondre à d autres exigences, que celle de pouvoir passer d un niveau à un autre. L un des principaux points

Plus en détail

Conseils pour la pose des revêtements de sols textiles (excepté dalles)

Conseils pour la pose des revêtements de sols textiles (excepté dalles) Indices d incendie minimums exigés par l association des établissements cantonaux d assurance incendie (AEAI): Bâtiments à un ou deux niveaux Bâtiments à trois niveaux ou davantage (sans les bâtiments

Plus en détail

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014

«RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux. Date d édition : Janvier 2014 «RGE» travaux Liste des qualifications et certifications par domaine de travaux Date d édition : Janvier 2014 Ce document présente la liste des qualifications et certifications«rge» classées par domaine

Plus en détail

Murs poutres & planchers

Murs poutres & planchers Murs poutres & planchers Henri RENAUD Deuxième édition Groupe Eyrolles, 2002, 2005, ISBN 2-212-11661-6 8. Structure porteuse : murs, planchers, charpente Eléments porteurs ou de liaisons qui contribuent

Plus en détail

communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager

communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager Schéma de restaurationvalorisation du petit patrimoine des communes du pays de brouilly. Four du hameau de Chardignon Saint-Lager SOMMAIRE 1) ÉDIFICE PRÉSENTE... 3 A) DÉNOMINATION ET POSITION GÉOGRAPHIQUE...

Plus en détail

Poseuse de systèmes intérieurs

Poseuse de systèmes intérieurs Poseuse de systèmes intérieurs Le plan de formation des apprentissages (poseuse de systèmes intérieurs) Les tâches du métier de poseuse de systèmes intérieurs Tâche 1 : Tâche 2 : Tâche 3 : Tâche 4 :

Plus en détail