PROTECTION BIOLOGIQUE INTEGREE (PBI) EN ESPACES VERTS AU SEIN D UNE ROSERAIE

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1 Essai AI/10/PY/03 Protection des plantes PROTECTION BIOLOGIQUE INTEGREE (PBI) EN ESPACES VERTS AU SEIN D UNE ROSERAIE FILIERE : OBJECTIFS : INTERETS : ACTION : SOUS ACTION : MOTS-CLE : Paysage Développer une stratégie de protection biologique efficace contre pucerons en espaces verts Identifier et quantifier la faune auxiliaire naturellement présente afin d évaluer son impact sur les ravageurs. Etudier les zones écologiques réservoirs au sein de la roseraie en vue d améliorer leurs impacts sur l évolution des populations de pucerons. Etudier l efficacité des boîtes d hivernage au niveau de la conservation des auxiliaires. Limiter l utilisation des produits phytosanitaires. Rechercher des solutions alternatives. Protection des plantes Protection Biologique Intégrée Auxiliaire, prédateur, puceron, ravageur, chrysope PARTENAIRES : Commune : Sasseville en Caux (76). Sociétés : If-Tech, Flor Insectes RESPONSABLE ESSAI : Agnès Langlois ANNEE : 2010 RESUME : Par rapport à l année dernière, la situation sanitaire de la roseraie s est encore améliorée. Les foyers de pucerons se sont développés plus tardivement (à partir de la semaine 19). Le niveau des populations a bien été contrôlé durant la période de l essai avec un pourcentage de plantes atteintes inférieur à 30%. Deux lâchers inondatifs d œufs de chrysopes ont été réalisés en semaine 23 et 25 (4 semaines plus tard qu en 2009). Au sein des deux boîtes d hivernage à chrysopes, installées en septembre 2009, des relevés ont été effectués en début d année. Suite à ces derniers, 16 chrysopes adultes ont pu être identifiés avec comme espèce principale, Chrysoperla affinis AREXHOR Seine-Manche 22 rue de Normandie Fauville en Caux Tél : L'application des méthodes de cet essai, aux conditions de chaque exploitation horticole, se fait sous l'entière responsabilité de l'entreprise. 1

2 1 INTRODUCTION Contexte Les espaces verts en ville subissent de forte pression de parasites et de maladies. Jusqu'à présent, la solution la plus simple à ces problèmes se résume à une lutte chimique. Les collectivités, de part le contexte environnemental actuel, se doivent d utiliser des méthodes de lutte plus soucieuses de l environnement. Une action dans ce sens a été initiée, ces trois dernières années, en 2008, 2009 et en 2010, au sein d une roseraie sur la commune de Sasseville en Caux. Résultats antérieurs Les suivis effectués en 2008 nous ont permis de noter la présence de pucerons tout au long de l essai avec un minimum de 40 à 50% de rosiers atteints. Par ailleurs, nous avons pu constater la présence d auxiliaires naturels qui ont permis de limiter les niveaux d attaques. Toutefois, la population de pucerons n a jamais été totalement éradiquée. En 2009, la situation sanitaire de la roseraie était meilleure qu en La population de puceron a été contrôlée tout le long de l été par les auxiliaires en maintenant un pourcentage de plante atteinte inférieur à 20%, par contre les niveaux en début de saison atteignaient encore près de 80%. Cette même année, les lâchers d œufs de chrysopes effectués en semaine 19 et 21 se sont révélés trop tardifs. Enfin, des boîtes d hivernage pour les chrysopes ont été mises en place en fin d année MATERIEL ET METHODES 2.1. Matériel végétal La roseraie de Sasseville en Caux fait 720m 2 et compte 44 variétés de rosiers différents, couplées à plusieurs espèces de plantes vivaces (Nepeta, Lythrum, Géranium ) ainsi que des végétaux ligneux (pommiers, Choisya, Buddleia ). Seules 22 variétés seront suivies : Rosier Leda Rosier Lucia Rosier Félicia Rosier Prospérity Rosier Pénélope Rosier Thermidor Rosier Fée des neige Rosier Pink surprise Rosier Westerland Rosier Jacques Amiot Rosier Reims Rosier Rose à parfum de l Haye Rosier Mme de Sévigné Rosier Charles de Mils Rosier Reine des violettes Rosier Agnès Rosier Ghislaine de Féligonde Rosier Buff Beauty Rosier Souvenir d André Raffy Rosier Hansa Rosier Dame patronnesse d Orlean Rosier Caroline de Testut 2.2. Matériel technique Le but recherché cette année était de renforcer les populations d auxiliaires dès le début du printemps, lorsque les températures commencent à augmenter. En effet, il a été constaté, ces deux dernières années, que les auxiliaires indigènes arrivaient trop tardivement (semaine 25) par rapport aux premiers foyers de pucerons. Néanmoins, cette année les pucerons sont arrivés plus tardivement (à partir de la semaine 19 et de manière plus conséquente à partir de la semaine 21). Cette année, nous avons par conséquent effectué à nouveau 2 lâchers «inondatifs», le premier en semaine 23 et un second en semaine 25. Des œufs de chrysopes (Chrysor pro ) de la société If-Tech ont été disposés sur les premiers foyers de puceron : 1 bandelette de 30 œufs par m 2 foliaire. Soit 64 bandelettes réparties sur les 22 parcelles centrales de la roseraie. 2

3 Le 8 septembre 2009, quatre boîtes d hivernage à chrysope ont été mises en place. Ces dernières ont pour objectif de protéger les auxiliaires du froid et ainsi de garantir la réapparition, d une partie des chrysopes, l année suivante. Deux modèles ont été mis en comparaison : un modèle artisanal fabriqué selon les recommandations de Johanna Villenave-Chasset (Sté Flor Insectes) et le modèle commercialisé par If-Tech de la gamme Chrysor Pro. Le modèle artisanal est entièrement en bois avec une forme plutôt rectangulaire d une dimension de 50x30x30 cm soit un volume de 45 L et recouvert d un toit. Deux boîtes de ce modèle ont été utilisées et portent les numéros 1 et 2. Le modèle commercialisé par If-Tech est en bois avec des ardoises naturelles pour former un toit. Ce dernier est en forme de triangle, d une dimension de 43x21x25 soit un volume de 11L. Ici aussi, deux boîtes de ce modèle ont été utilisées et portent les numéros 3 et 4. Les boîtes ont été remplies de paille pour accueillir les chrysopes. Cette paille était préalablement installée pour les modèles If- Tech (modèle commercialisé) et ajoutée par nous-mêmes pour les boîtes artisanales. La façade des deux modèles est perforée de plusieurs trous d environ 15 mm de diamètre. Ces boites ont été installées à 1,50 m du sol. Boîte d hivernage artisanale Boîte d hivernage commercialisée par If-Tech 2.3. Dispositif expérimental La roseraie est formée de 8 parcelles carrées entourées d une bordure fleurie composée de divers végétaux. Les parcelles centrales ont été découpées en 4 petites parcelles de rosiers d environ 8 à 15 pieds chacune. Ce sont ces parcelles que nous avons étudiées. Sur chacune d entre elles, 3 rosiers ont été suivis. Chaque parcelle représente une variété. Boîte n 4 (If-Tech) Boîte n 1 (artisanale) Zone non étudiée Boîte n 2 (artisanale) Boîte n 3 (If-Tech) Deux boites d hivernage par modèle ont été disposés de part et d autre de la roseraie, à chaque extrémité. 3

4 2.4. Variables mesurées Un comptage des foyers de pucerons a été effectué tous les 15 jours de la semaine 15 (1 semaine plus tôt qu en 2009) à la semaine 33. Le nombre de rosier atteint a été comptabilisé, afin de déterminer un pourcentage de rosier atteint. Ce pourcentage a été défini en fonction du nombre de rosier observé. A l aide de classe déjà définie et en fonction du nombre de pucerons observé, un degré d intensité d attaque a été déterminé. Classe 0 Classe 1 Classe 2 Classe 3 Classe 4 Classe 5 0 individu 10 individus 25 individus 50 individus 75 individus > 75 individus Cette estimation s effectue sur les 3 rosiers suivis dans chaque parcelle élémentaire. Les auxiliaires naturels ainsi que ceux apportés ont également été comptabilisés. Toujours à l aide de classe, une estimation du parasitisme a été réalisée. Classe 0 0 % Classe 1 1 à 25% Classe 2 26 à 50% Classe 3 51 à 75% Classe 4 76 à 100% Les prédateurs ont également été comptabilisés par leur présence et les traces observées. Un contrôle des abords des parcelles de rosiers a été effectué de façon à mettre en évidence les espèces attirant les auxiliaires. Les périodes et étendues de floraison ont été notées. On recherchera et identifiera les auxiliaires naturels présents dans les abords à chaque visite des parcelles. 3 RESULTATS 3.1. Dynamique des populations de pucerons Dès la première notation (semaine 15), nous relevons une présence de pucerons, toutefois cette dernière est très faible (1 foyer). Jusqu en semaine 21, le nombre de foyer augmente légèrement et stagne. Durant la période de l essai, le pourcentage de rosier atteint est resté inférieur à 30%, le nombre de foyers de pucerons n a pas été au-delà de 20 et l intensité d attaque n a pas excédé le niveau 3. Par ailleurs, par rapport à l année dernière, le pourcentage de rosier atteint est nettement inférieur (plus de 80% de rosier atteint pour 2009 contre 27% pour cette année). Ceci peut s expliquer par des températures plus faible et une augmentation tardive de ces dernières ce qui a limiter le développement des foyers de pucerons. En effet, lorsque les températures augmentent (semaine 21), le nombre de foyers triple. On observe par la suite une stagnation puis une diminution constante. Cette diminution s explique par les apports d œufs de chrysopes. En effet, les larves de chrysope ont consommé les pucerons ce qui a limité le développement de ces derniers et provoqué ainsi une diminution de leur nombre. 4

5 % de rosiers atteints 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% 0% S15 S17 S19 S21 S23 S25 S27 S29 S31 S33 Les flèches indiquent les deux apports de Chrysor pro (œufs de chrysopes) effectués. Evolution des foyers de pucerons par classes 60 Nombre de rosiers infestés S15 S17 S19 S21 S23 S25 S27 S29 S31 S33 Classe 3 Classe 2 Classe 1 Semaines 3.2. Dynamique des populations d auxiliaires Evolution du nombre de rosiers atteints et avec auxiliaires Nbr de rosier touchés Nbr de rosiers touchés avec auxiliaires 0 S15 S17 S19 S21 S23 S25 S27 S29 S31 S33 Semaines 5

6 Evolution du nombre de rosiers atteints avec présence de prédateurs et de parasitoïdes Nombre de rosiers S15 S17 S19 S21 S23 S25 S27 S29 S31 S33 Syrphes Chrysopes Coccinelle Momie/parasitoïdes Semaines Contrairement à l année dernière, très peu d auxiliaires ont été observés. Les syrphes sont les auxiliaires les plus souvent rencontrés suivi des parasitoïdes. Mais leur présence reste en nombre très faible. Cette année aucune chrysope, adulte, larve ou œuf n a été observée, malgré les apports effectués Observations des boites d hivernage Les boites d hivernage mises en place le 8 septembre 2009, ont été retirées le 9 février 2010, en vue d analyser leur contenu. Pour cela, la paille a été enlevée des boîtes et mise dans des sacs. Nous constatons qu une des deux boites artisanales (boite n 2) a été en partie vidée (vandalisme). Dans les boites If-Tech (N 3 et 4), nous constatons que la paille était extrêmement tassée. Les sacs ont ensuite été vidés dans des cages en filet insect proof. Ces dernières étaient situées dans une serre chauffée à C. Sous l action de la lumière et d une température plus élevée que celle de l extérieur, les chrysopes sont devenues très rapidement actives. Les chrysopes ont été capturées par les ailes et par le biais d une pince pour être ensuite mises dans de l alcool à 70 C. A la fin de l observation des quatre boîtes, 16 chrysopes ont été capturées et envoyées pour détermination à J. Villenave-Chasset (Sté Flor Insectes) Tableau 1. Specimens collectés dans les boîtes d'hivernage à Mont-Saint-Aignan, le 9 février N échantillon Espèce Nombre Sexe Boîte 1 Chrysoperla affinis 5 Mâle Boîte 1 Chrysoperla affinis 9 Femelle Boîte 2 Chrysoperla affinis 1 Mâle Boîte 4 Chrysoperla lucasina 1 Femelle Chrysoperla affinis Chrysoperla lucasina 6

7 D après Johanna Villenave-Chasset : «Ce sont principalement des Chrysoperla affinis qui hivernent dans les boîtes d'hivernage, ce qui explique le très grand nombre dans ce relevé. Elles sont identifiables par leur couleur rouge orangé. Ch. lucasina hiverne dans les feuilles de la strate arbustive (houx ou lierre).» Nous pouvons donc conclure que les individus retrouvés dans les boites ne proviennent pas des lâchers effectués au printemps, sachant que l espèce commercialisée par If-Tech est Chrysoperla lucasina. De plus, nous constatons une différence d effectifs entre les deux modèles qui peut avoir plusieurs raisons : - la forme des boîtes : Johanna Villenave-Chasset évoque que les meilleures boîtes sont celles qui sont de forme rectangulaire ou carré, d assez grande dimension, et que la forme triangulaire est à bannir. En effet, nous ne retrouvons des C. affinis que dans les boites artisanales et aucune dans les boites d If-Tech. - la quantité et la nature de la paille : nous ne relevons qu un seul individu récolté dans la boite n 2 où la paille a été en partie retirée. Par ailleurs un seul individu a été retrouvé dans une des boites If-Tech où la paille était beaucoup trop tassée. L aspect de la paille était également très jaune et paraissait neuve. Nous constatons également une présence importante de mouches et d araignées notamment dans les boites artisanales (1 et 2). Ainsi, nous pouvons dire que les boîtes d hivernage ont joué leur rôle de protection et d hivernage des chrysopes. Il faut faire attention toutefois à ne pas trop compresser la paille et il est préférable d installer des boîtes d assez grande taille et de forme rectangulaire ou carré. Le modèle actuellement commercialisé par If-Tech s est révélé peu probant. A la fin de l essai, semaine 36, de la paille a été mise, une nouvelle fois, en place dans les boîtes. Au début de l année 2011, un relevé des boîtes sera de nouveau effectué. Une analyse des pollens consommés a été effectuée également par Johanna Villenave-Chasset. Seulement quelques grains de pollen ont été observés, principalement de Stellaria media (mouron des oiseaux). Il y a donc eu peu de déplacements depuis que les individus sont entrés dans les boîtes. Tableau 2. Pollen consommés par quelques chrysopes collectées dans la boîte d'hivernage 1 à Mont-Saint- Aignan le 9 février 2010 Pollen consumed N échantillon Espèce Nombre Sexe N Family plant Species plant Nb de grains de pollen Boîte 1 Chrysoperla affinis 1 Femelle 1 Oleaceae Fraxinus excelsior 1 Boîte 1 Chrysoperla affinis 1 Femelle 2 0 Boîte 1 Chrysoperla affinis 1 Femelle 3 Caryophyllaceae Stellaria media 9 Boîte 1 Chrysoperla affinis 1 Femelle 4 Caryophyllaceae Stellaria media 6 Boîte 1 Chrysoperla affinis 1 Femelle 5 Caryophyllaceae Stellaria media Les abords des parcelles Parmi les espèces présentes au sein de la roseraie et s avérant utiles pour attirer la faune auxiliaire, nous relevons : 7

8 Espèces végétales Espèces d auxiliaires Photos Ceanothus x delilianus «Comtesse de Paris» Bourdons et Syrphes Syringa vulgaris Syrphes Nepeta x faassenii «Six Hill Giant» Papillons et Bourdons 4 CONCLUSION ET PERSPECTIVES La situation sanitaire de la roseraie s est avérée plus saine cette année par rapport à l année dernière. La population des pucerons a été contrôlée et le pourcentage des plantes atteintes est resté inférieur à 30%. L introduction des œufs de chrysopes s est avéré efficace puisque ces derniers ont limité le développement des pucerons et ont permis de faire chuter le nombre de foyers de pucerons au sein des différents rosiers. Le relevé des boîtes d hivernage à chrysopes, installées en septembre 2009, montre une certaine efficacité, en particulier le modèle artisanal. En effet, les boîtes ont permis à une dizaine de chrysopes adultes de se protéger de l hiver. L espèce indigène présente est Chrysoperla affinis. Par la suite, nous envisageons de poursuivre l essai l année prochaine pour : Observer l efficacité des chrysopes et des boîtes d hivernage pour pouvoir confirmer les résultats de cette année. Tester des solutions alternatives dans la lutte contre les maladies du rosier Approfondir l intérêt de l environnement floristique utile à la faune auxiliaire indigène. 8

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