INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
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- Liliane Mongeau
- il y a 6 ans
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1 INFECTIONS SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLES
2 Cas clinique 1
3 Mr X, 46 ans Adressé pour bilan de cholestase et cytolyse hépatique inexpliquée + Sd inflammatoire Antécédents = o Traitements = o Alcool = o
4 SF: - lombalgies, douleurs de fesse gauche, polyarthralgies depuis 2 à 3 semaines - bon état général Examen: pas d ictère, pas d hépatosplénomégalie rachis raide, douleurs de SI gauche, articulations périphériques sèches, indolores
5 Biologie GGT = 360, PA= 220, Bilirubine N, TP N, TGO = 48, TGP = 72 NFS N VS = 36, CRP = 18, hyper alpha 2 Sérologies VHA, VHB, VHC, CMV, EBV négatives TSH N, ferritine N FAN, ANCA, Ac anti mito, muscle lisse, gliadine endomysium neg
6 Echographie hépatique: N Bilan de spondylarthropathie: neg ( HLA B27 neg, rachis N, Scanner de SI N)
7 Nouvel examen clinique Macules palmo-plantaires discrètes -->..
8 Sérologie syphilitique: VDRL +++ TPHA +++ FTA +++
9 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
10
11 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image. QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
12 Bilan d IST Relations sexuelles non protégées qq mois plus tôt (statut de la partenaire non connu) Sérologies VIH, VHB, VHC, et PCR Chlamydia trachomatis négatives Ne pouvait pas contacter sa partenaire
13 Evolution Traitement = Extencilline 2,4 MU Bilan hépatique N en 6 semaines progressive des manifestations articulaires VDRL, TPHA et FTA
14 Recrudescence de la syphilis en France depuis 2000 Nombre de cas déclarés à l InVS Nord Tourcoing Nord
15 3 Stades Syphilis primaire = chancre + adénopathie Syphilis secondaire = manifestations générales + lésions cutanéo-muqueuses Syphilis tertiaire = lésions viscérales ET Syphilis latente = sérologique précoce < 1 an tardive > 1 an
16 Syphilis primaire Incubation = 3 semaines Chancre = ulcération unique, indolore, indurée localisations: OGE, vulve, cervicale, vaginale, anale, amygdalienne Adénopathies satellites : unilatérales, multiples, indolores, dures Evolution = 6 à 8 semaines
17 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image. QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
18 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
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20 Syphilis secondaire Début : 2 mois de la maladie Clinique: Sd pseudogrippal Polyadénopathies Eruptions 1 floraison = roséole, plaque muqueuse, alopécie 2 floraison = syphilides papulo-squameuses Evolution : 1 à 2 ans
21 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image. QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
22
23 Syphilis tertiaire Début : 2 à 10 ans après le début de la maladie Lésions localisées destructrices : gommes Lésions viscérales : CV: aortite neurosyphilis
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25 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
26 Diagnostic Mise en évidence du tréponème pâle: Microscope à fond noir IF directe sur lame PCR
27 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image. QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
28 Sérologie : VDRL, TPHA, FTA, FTA Abs IgM
29 Augmentation progressive: Maximum entre 6 et 12 mois Puis diminution spontanée (VDRL) FTA TPHA VDRL contamination chancre 7j 10j Dr Philippe LECOQ APP du DENAISIS 15j 12 sept 2006
30 VDRL TPHA FTA FTA IgM Diagnostic S. débutante S. récente Faux positif +/ Cicatrice sérologique
31 A qui proposer une sérologie de la syphilis? En cas de suspicion clinique Ulcération génitale Éruption cutanée, poly-adénopathies, sd fébrile, uvéite, rétinite, hépatite, polyarthrite Manifestations neurologiques ou psychiatriques inexpliquées: AVC du sujet jeune, méningite aiguë avec atteinte des VII et VIII, tabès
32 Devant toute IST En cas de contact avec un partenaire infecté Régulièrement en cas de sexualité à risque: Homosexualité masculine Hétérosexualité avec partenaires multiples
33 Traitement Syphilis précoce: EXTENCILLINE 2,4 MU 1 injection IM Syphilis tardive, ID 1 inj. IM / sem X 3 Neurosyphilis: PENICILLINE G 18 à 24 MU /J 10 à 15j
34 En cas d allergie à la pénicilline S. précoce Ceftriaxone 1g/j pdt 8 à 10j Doxycycline 100 mg X 2/j pdt 14 j S. Tardive Ceftriaxone id Doxycycline id pdt 28j Neurosyphilis Ceftriaxone 2g/j pdt 10 à 14j désensibilisation
35 Surveillance après traitement Syphilis précoce Clinique Sérologie: VDRL à 3, 6 et 12 mois puis 1 / an négatif à 1 an si S. primaire négatif à 2 ans si S. secondaire Neurosyphilis Clinique Sérologie: VDRL sérique (rarement négatif ) et dans LCR / 6 mois (négatif à 2 ans )
36 Partenaire Contact > 6 semaines: TPHA - VDRL Si + : traiter Si - : refaire à 3mois Contact < 6 semaines: traitement systématique (1 inj. Extencilline)
37 Depuis 2000 Investigations réalisées autour d un cas de syphilis = enquête de l INVS Questionnaire à remplir
38 Cas clinique 2
39 Homme de 28 ans qui consulte pour la première fois Célibataire, sans ATCD Depuis 24h, brûlures mictionnelles, écoulement uréthral, sans fièvre Séjour en ASE, pendant 10j, retour il y a 48h, relations sexuelles non protégées
40 Quelles informations l interrogatoire apporte t-il? Tableau d urétrite = Écoulement urétral, prédominant le matin SF urinaires: brûlures, dysurie Notion de tourisme sexuel, sans préservatif Délai court Séjour en ASE: résistances ++
41 Examen clinique Écoulement purulent Attention! Compléter par l examen de la marge anale et de la bouche ++ si HMS ou femme Recherche d une autre IST ( herpès, condylomes, syphilis): RAS
42 Quel germe peut-on suspecter? Le gonocoque Car: Écoulement purulent Délai court fréquence MAIS: Il faut confirmer Il faut prendre en compte systématiquement Chlamydia Trachomatis (association dans 20% à 40%)
43 Quels examens pratiquer pour le confirmer? Prélèvement de l écoulement : examen direct + Gram: diplocoques Gram-, en grain de café Culture pour antibiogramme ( R en ASE ++) + prélèvement pharyngé et anorectal si homosexuel Sérologie: NON PCR: NON
44 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
45 Urétrite gonococcique 60% = «chaude pisse» 30% = écoulement clair 10% = PAS d écoulement Complications: épididymites, prostatites, mais aussi septicémies, endocardites, arthrites
46 Chez la femme: Le plus souvent asymptomatique Cervicite avec leucorrhées Dysurie Dyspareunie Les localisations pharyngées et anorectales sont habituellement asymptomatiques
47 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image. QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
48 Autres urétrites Neisseria gonorrhoeae: 10-15% Urétrites non gonococciques C. trachomatis: 30-50% M. genitalium: 20% U. urealyticum: 10% T. vaginalis: 1% +/- H. parainfluenzae, strepto.d, S. aureus, Candida
49 Urétrite à C. trachomatis Principale cause des UGN Incubation? 48h à > 2 mois Clinique: Uretrite subaigue = 2/ 3: écoulement séreux, peu abondant 15-20% = aigue 10 à 25% = asymptomatique pas de leucocyturie Evolution: guérison spontanée possible, récidives, stérilité
50 = 30 à 40% des épididymites < 35 ans Rôle dans prostatite, balanite, rétrécissement urétral Femmes: cervicite --> leucorrhées Le + souvent asymptomatique Complications = salpingite, stérilité, GEU, douleurs pelviennes aigues ou chroniques et périhépatite
51 Diagnostic: Prélèvement + culture: cher, très difficile Prélèvement urétral + IF PCR sur urines ( 1 jet) +++ Sérologie: sans intérêt (souvent négatif, réactions croisées, peu sensible, peu spécifique)
52 Mycoplasma genitalium Culture: très difficile, long (> 3 sem.), exceptionnellement + Sérologie: pas de test commercialisé, réaction croisée avec M. pneumoniae PCR: en cours d étude
53 Ureaplasma urealyticum Cultures difficiles 1 jet d urines ou pvt urétral Milieu de transport Trichomonas vaginalis Examen direct ++ (S = 60%) Culture PCR urines: pas en routine
54 QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image. Trichomonas QuickTime et un décompresseur Photo - JPEG sont requis pour visualiser cette image.
55 En pratique: Si écoulement Pvt écoulement: Gono.: gram + culture Trichomonas: état frais +/- culture +/- Ureaplama ( milieu de transport) Urines 1 jet: Chlamydia : PCR
56 En Pratique: en l absence d écoulement Prélèvement urétral Gono.: gram, culture Trichomonas: état frais +/- C. trachomatis: IF Urines 1 jet: C. trachomatis: PCR +/- culture Ureaplasma et Trichomonas
57 + prélèvement pharynx et rectum si HMS, femme
58 Recherche d une autre IST +++ Sérologie VIH ( avec accord du patient) Sérologie VHB, VHC VDRL, TPHA
59 Traitement? Sans attendre les résultats (le patient ne reviendra peut-être pas en consultation) Traitement minute ( favoriser l observance) Tenir compte des résistances actuelles du gonocoque: Pénicillines: > 10% Ciprofloxacine: > 20% et > 50% en Asie (80% au Japon) Traitement du gonocoque ET du chlamydia
60 Ceftriaxone 500 mg IM ou IV, DU + Azithromycine 1g DU
61 Traitements de 2 intention Gonocoque: Céfixime: 400 mg DU Spectinomycine: 2g IM DU (pas de diffusion oropharyngée) Sur antibiogramme: ciprofloxacine 500 mg DU Chlamydia: Doxycycline 200 mg /j pdt 7j
62 Traitement du ou des partenaires ( au cours des 2 mois précédents) Prévention (préservatifs) +++ Suivi à J8 et J15
63 Lymphogranulomatose vénérienne ou maladie de Nicolas-Favre
64 IST due à C. trachomatis sérotypes L1, L2, L2a et L3 Endémique dans les régions tropicales et subtropicales d Amérique et d Afrique de l Ouest et ASE Cas sporadiques en France Résurgence depuis > juin 2006: 244 cas Ile de France, hommes HMS, 3/4 VIH+ Transmission anale non protégée
65 GENRE CHLAMYDIA 4 espèces: C. trachomatis C. pneumoniae C.psittaci C. pecorum
66 C. trachomatis 3 biovars Pneumonie de la souris Biovar trachoma --> 14 sérovars: A, B, Ba et C : trachome D, Da, E, F, G, H, I, Ia, J et K: infections oculaires et génitales Lymphogranulomatose vénérienne LGV) = 4 sérovars: L1, L2, L2a et L3
67 Incubation = 2 à 60j Manifestations polymorphes / 3 phases 1 phase = micro-ulcération génitale, indolore, passe inaperçue, fugace 2 phase: après 2 à 6 semaines Adénite inguino-crurale --> fistulisation Volontiers asymptomatique chez la femme (ggl pelviens, rétropéritonéaux )sauf atteinte des lèvres ou du clitoris (ggl inguinaux) Anorectite: ténesme, écoulement, ulcérations + AEG, fièvre 3 phase: chronicité: fistules, sténoses
68 Recherche de C. trachomatis Prélèvement sur lésions: Écouvillon sur ulcération ou ponction ggl Milieu de transport PCR Si + génotypage par CNR (Bordeaux) Sérologie +/-: Dc + si taux élevés
69 traitement Doxycycline: 100 mg X 2 /j pdt 21j Femme enceinte: érythromycine 500: 1g X 2 /j pdt 21 j +/- ponction évacuatrice des bubons
70 Vaccination anti-hpv
71 Papillomavirus humains (HPV) > 120 génotypes Tropisme épithélial cutané ou muqueux Lésions bénignes le plus souvent (verrues, papillomes, condylomes) Certains génotypes --> cancers cutanés ou muqueux HPV trouvés dans 99,7 % des cancers du col
72 Condylomes
73 Cancer du col France: 8 cancer féminin 3387 nouveaux cas en décès / an Dépistage = frottis = / an Incidence après 40 ans HPV + dans + de 99% des cas Cofacteurs = OP, multiparité, tabac +/- IST 2 génotypes principaux: HPV 16 = 50 à 60 % HPV 18 = 10 à 12 % + HPV 45, 31,
74 Infection génitale à HPV = IST + très rapidement après les 1 relations sexuelles Facteurs favorisants = âge (pic entre 25 et 29 ans), tabac, précocité des rapports sexuels et multiplicité des partenaires Guérison spontanée en 1 à 3 ans MAIS persistance dans 3 à 10% --> lésions intraépithéliales de bas grade --> haut grade --> cancer ( intervalle de 7 à ans)
75 Vaccination anti - HPV = vaccination prophylactique But = production d Ac neutralisants, au niveau de la muqueuse et des secrétions du col, avant la 1 exposition au virus
76 Difficultés Ac neutralisants = spécifiques de type HPV = 60 à 70% Autres types variables selon régions Cultures de HPV très difficile et génome viral contient des oncogènes --> utilisation de pseudo-particules virales (VLP), immunogènes, par introduction de de gène L1, non oncogène dans des cellules eucaryotes
77 Essais vaccinaux Vaccin VLP L1 HPV jeunes femmes séronégatives PCB / 3 doses vaccins à O, M1, M6 Suivi = 17, 4 mois Persistance HPV = PCB: 3, 8% / an (+ 9 cas de cancer) Vaccin: 0
78 Vaccin VLP HPV 16 ( MERCK) et HPV 16/18 (GSK) Suivi de 42 / 54 mois Protection contre l infection = 94 / 91,6% Prévention des lésions dysplasiques de haut grade = 100%
79 Stratégies vaccinales? Pas d immunité croisée --> inclusion des principaux génotypes en cause: 16, 18, +?? Vaccination des filles avant l âge des premiers rapports sexuels : ans Homme = porteur asymptomatique --> vaccination Vaccins curatifs: stade expérimental
80 Efficacité jugée sur la présence d Ac neutralisants circulants Mais décroissance lente des taux Et rôle de l immunité cellulaire (cf VHB) Doute sur réactivation après contact avec HPV ---> nécessité de rappel(s) vaccinal(aux)? ---> suivi +++ des cohortes
81 Merci
Item 95 Maladies sexuellement transmissibles : infections urogénitales à gonocoque et Chlamydia trachomatis (en dehors de la maladie de Nicolas-Favre)
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