Avec papa, c est différent!
|
|
- Eliane Martin
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Avec papa, c est différent! Quand l intervention différenciée fait la différence Guadalupe Puentes Neuman, Ph.D. et Stéphanie Breton Université de Sherbrooke Daniel Pépin et Thiên Trinh Nguyên CSSS Pierre Boucher Cinquième Su Père conférence, Montréal, 17 février 2011
2 Parce qu Avec papa, c est différent! Un programme offrant une intervention différenciée pour les pères et leur jeune enfant : Basé sur la conception de la paternité, conception provenant des pères eux mêmes ; Comprenant des activités axés sur les besoins des pères et valorisant leur rôle et ses spécificités ; Assurant un équilibre entre l animation et l intervention
3 Risque? Sécurité? A) Conception de la paternité
4 Pourquoi étudier le rôle du père? On note l absence des pères aux activités proposées dans le cadre des services intégrés Pour les SIPPE : Une place revient de droit au père et il ne faut pas composer avec son absence, mais bien l amener à s engager dans l intervention familiale et le soutenir directement dans son rôle de père. Services orientés en fonction des besoins et des rôles maternels Paradigme prédominant: la relation d attachement et la sensibilité maternelle Particulièrement, lorsqu on vise la relation parent enfant et les compétences parentales
5 Comment étudier le rôle du père? Mieux comprendre le point de vue des pères besoins conception du rôle besoins perceptions Paternité Services intérêts activités opportunités réticences Comment adapter les services offerts?
6 Méthodologie de l étude Une recension des écrits 11 groupes de discussion et 3 tables rondes 3 régions visitées: Estrie, Montérégie, Lanaudière 38 intervenants et 46 pères rencontrés Des intervenants qui travaillent auprès d une clientèle masculine ou en petite enfance œuvrant dans différents milieux: CSSS Organismes communautaires Institutions (DSP, Villa Marie Claire) Des pères de tous les milieux socio économiques et de tous les types de familles Transcription intégrale des bandes audio Analyse de contenu (qualitative) de type émergente des groupes de discussion
7 L émergence des thèmes Trois thèmes principaux découlent directement de la discussion abordée lors des «focus groups» L arborescence subséquente révèle la complexité des conceptions des pères et des intervenants
8 L organisation schématique des thèmes
9 Conceptualisation du rôle du père INTERACTIONS PÈRE ENFANT PLAISIR JEU Physique Activ ités sportiv es Activ ités partagées GESTION DU RISQUE Initié par le père Év aluation du danger Établissement des limites RISQUE Initié par l'enfant Découle de l'exploration de son env ironnement DIFFÉRENTIATION / COMPLÉMENTARITÉ DES RÔLES PARENTAUX DÉVELOPPEMENT DE L'ENFANT TRANSMISSION DES VALEURS Expériences Apprentissages Dév eloppement de l'autonomie
10 Cadre conceptuel pour l intervention Découverte Stimulation précoce mère enfant Stimulation précoce père enfant Stimulation Connaissance du dév eloppement de l'enfant Connaissance des caractéristiques de l'enfant Contact affectif Échanges affectifs positifs Contact physique Contacts chaleureux et fréquents Disponible dans les moments de détresse Engagement Contexte de soins Reconnaissance des signaux de l'enant Sensibilité maternelle Augmenter la connaissance des étapes de développement de l'enfant Contexte de jeux Reconnaissance des signaux de l'enant Sensibilité paternelle Initie à la nouv eauté Fav orise l'autonomie Accepte de prendre des risques Offre une stimulation intense et un haut niv eau d'escitation Protection/ Contrôle S'assure de la sécurité de l'enfant Év alue les risque potentiels Établit des limites claires Maintient les limites Communication Sens des responsabilités Disponibilité Stimulation adéquate Réponse aux signaux de l'enfant Améliorer la connaissance des caractéristiques de l'enfant Réponse aux signaux de l'enfant Chaleur/ Réconfort Réponses cohérentes et contingentes à l'enfant Langage chaleureux et approprié Développer et intensifier le lien d'attachement mère enfant Développer et intensifier la relation d'activation père enfant Réconforte l'enfant lors de moment de détresse dû à l'activ ation Démontre de l'affection Contribue à des échanges affectifs positifs
11 B) Des activités au goût des pères
12 Des activités, mais un programme aussi Un programme d intervention précoce qui tient compte: De ce que nous ont dit les pères Des activités qui rejoignent leurs intérêts et leurs besoins Des activités pour actualiser leur rôle de père Des exigences de l intervention précoce avec les SIPPE Un cadre conceptuel pour soutenir l intervention Des objectifs et des buts explicites La présence de formation parentale
13 Quels pères participent? Familles rencontrant les critères SIPPE (OLO) Sous le seuil de la pauvreté (environ $/an pour une famille de 4 personnes) La mère n a pas obtenu un diplôme d études secondaires, sauf si la mère a moins de 20 ans. PSJP: la mère a de moins de 20 ans au moment de l accouchement OLO = Certains pères sont «de petits travailleurs». Ce sont les pères des enfants ou les conjoints de ces mères. L important, c est d être une figure paternelle significative.
14 Les objectifs de départ Pour les pères : Connaissance de son enfant, des étapes de son développement Intensification du lien d attachement Compétences éducatives parentales (et sentiment de compétence) Créer des liens avec d autres pères Pour les enfants: Stimulation précoce: langage, motricité, ÉLÉ, attention et concentration Lien d attachement Confiance en soi et en la capacité de protection de son père
15 Les objectifs qui ont émergés Apprivoisement des services d aide, en particulier ceux du réseau de la santé Dépistage précoce: Soutien à l enfant et aux pères Maintien du lien père enfant en contexte de séparation Les objectifs sont similaires à ceux des programmes qui rejoignent surtout les mères. Mais où est la différence? Compétences parentales basées sur la relation d activation Le contexte est différent (contexte de jeux) On ne met pas l accent sur les mêmes facettes de la parentalité
16 Des modalités pour les pères Durée, fréquence et intensité Les samedi matins de 10h à 11h30 Une fois aux deux semaines Une moyenne de12 ateliers But: Offrir un service flexible répondant au besoin d avoir un engagement réduit Intervenant et intervention Au moins un intervenant masculin Intervention «Ici et maintenant» : Intervenir sur la relation père enfant et sur les habiletés parentales lors des activités But: Modéliser le rôle du père et valider les compétences des pères Ludiques Nature des activités Comportant un certain risque Actives et dynamiques But: Se baser sur les spécificités de la relation père enfant Déroulement des ateliers La formation parentale intégrée aux activités Discussion informelle sur le développement de l enfant, le jeu, la sécurité, la communication, la concertation parentale.
17 12 ateliers accrocheurs
18 Les moments de formation parentale Lors de l accueil Autour d un café Avec le menu de l atelier: Tableau présentant les activités et qui expliquent pourquoi on fait ces activités Lors de la collation Lors des activités Lors du départ
19 On fait la course? Le tapis volant: L enfant est assis sur une serviette de plage et papa le promène dans la pièce La cueillette des balles: Encouragés par les papas, les enfants ramassent des balles et les mettent dans des paniers Le grand parcours: Des obstacles à franchir qui mettent les enfants au défi. Sensibiliser les pères à l importance du jeu physique et de la stimulation pour le développement du jeune enfant Permettre aux pères de mieux connaître les caractéristiques de leur enfant et de développer un sentiment de compétence parentale Développer, chez les pères, une confiance en leur capacité de protéger leur enfant Permettre à l enfant de développer sa confiance en ses capacités d exploration
20 La chasse aux animaux Qui fait ce son? Association entre le son et l image d un animal La chasse aux animaux : Des images d animaux sont affichées dans le local et les environs. Les enfants ont les mêmes et doivent faire des paires. Terre, mer et air : Classification des animaux selon l habitat Permettre aux pères de mieux connaître les caractéristiques de leur enfant Développer de nouvelles compétences éducatives parentales, notamment des habiletés d interaction appropriées à l âge de l enfant Développer, chez l enfant, son attention, sa concentration et sa persévérance à la tâche Développer des compétences de résolution de problème chez l enfant
21 La cabane à papa L enfant et son père construisent une cabane avec des draps, boîtes, chaises, etc. Ils créent une enseigne pour leur cabane Chaque cabane contient un jeu Les voisins se visitent entre eux On joue dans la cabane Et on détruit la cabane! Développer de nouvelles compétences éducatives parentales: la discipline et l aide à la régulation des émotions de l enfant Offrir des moyens variés de stimuler son enfant Créer des liens avec d autres pères du groupe Développer les habiletés d exploration motrice globale de l enfant Développer et intensifier la relation d activation entre le père et son enfant
22 Et bien d autres activités! Le hockey, la piscine, la glissade, etc.
23 C) Entre l animation et l intervention
24 C est sérieux, le jeu! Dans les ateliers, les papas et les enfants s amusent. Les activités sont ludiques et parfois inusitées. Mais, Avec papa!, c est plus que du jeu. L intervention porte sur différentes facettes de la paternité : Sur les pratiques éducatives Sur le rôle du père en complémentarité à celui de la mère Sur le rôle du père au regard de la relation d activation et de l ouverture sur le monde Sur des problématiques personnelles et familiales qui nous sont soumises: difficultés conjugales, perte d emploi, retards développementaux chez l enfant, etc.
25 Co animation et co intervention Intervention individuelle à l intérieur du groupe Reconnaître les caractéristiques individuelles de chaque père Prendre soin de chaque père dans la progression de sa dynamique avec son enfant, avec les intervenants et avec les autres pères Animation du groupe comme mode d intervention: importance de la stabilité des dyades d intervenants Savoir utiliser le groupe : le groupe comme régulateur du comportement, les intervenants comme leviers
26 Et la formation parentale? La formation parentale informelle est très importante Souvent autour d un café ou de la collation: saisir les opportunités pour faire de la formation Le moment où le père observe son enfant: lui montrer des opportunités d observation Saisir les occasions dans l action : Reconnaître les demandes d aide lorsqu elles se présentent c est souvent subtil! Remettre le matériel écrit lorsque le père pose des questions spécifique En continu: Reflet, modelage, rétroaction, renforcement
27 Du groupe vers l individuel Les ateliers ouvrent des portes pour les pères : Migration de la modalité de groupe vers la modalité individuelle Porte d entrée vers les services du réseau de la santé Source de références Continuité de services: CSSS DPJ Centre de réadaptation Appel avant les ateliers pour confirmer la présence: occasion pour une intervention individuelle au besoin, dépister les besoins et entretenir le lien avec le père Demandes de suivi individuel sont toujours issues des pères eux mêmes Ouverture des gestionnaires quant à la prise en charge individuelle
28 Pour passer de l animation à l intervention Beaucoup de préparation préalable est nécessaire pour être disponible pour intervenir Ainsi, le temps de préparation est nécessaire dans la planification des ressources humaines Bien connaître les activités et le matériel Bien connaître le co animateur/co intervenant Concertation entre les intervenants quant aux stratégies à mettre en place avec chacun des pères Concertation dans l attribution des rôles entre les intervenants lors des interventions individuelles Concertation préalable, mais aussi pendant l atelier Pendant : Un qui anime, un qui observe
29 La théorie des petits pas s appliquent aussi aux ateliers: Six ans d implantation: Progression de la moyenne de participation De 2 dyades par atelier à 8 dyades par atelier Cette année, la moyenne est de 10 dyades par atelier Des pères qui reviennent avec leur deuxième enfant Des pères qui référent leurs amis Rejoint les pères immigrants Les services deviennent connus du milieu
30 Ce que les ateliers leur apportent
31 Parce que Avec papa, c est différent!
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents
Comment les pratiques en milieu scolaire agissent-elles au regard des inégalités sociales de santé? Regard sur trois continents Rencontre francophone internationale sur les inégalités sociales de santé
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailÀ l école pour développer des compétences
_x áxüä vx wxá ÜxááÉâÜvxá wâvtà äxá tâå }xâçxá 2007-2008 2008 À l école pour développer des compétences -au préscolaire- - 1 - - 2 - Mot de présentation Votre enfant entre à la maternelle cette année.
Plus en détailPartenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement.
Partenariat patient-pair aidant-équipe soignante, un trio gagnant favorisant l espoir du rétablissement. Automne 2014 MOT DE BIENVENUE ET PRÉSENTATION DES FORMATRICES Réjeanne Bouchard Guylaine Cloutier
Plus en détailDECOUVRIR PARTAGER Et SE FAIRE PLAISIR
Organisation pédagogique du séjour de vacances de La Marmotane 2015 DECOUVRIR PARTAGER Et SE FAIRE PLAISIR I. Descriptif Le séjour de vacances de l association La Marmotane (6 rue de la Fontaine 67 870
Plus en détail10 REPÈRES «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF
10 REPÈRES POUR LA MISE EN ŒUVRE DU DISPOSITIF «PLUS DE MAÎTRES QUE DE CLASSES» JUIN 2013 MEN-DGESCO 2013 Sommaire 1. LES OBJECTIFS DU DISPOSITIF 2. LES ACQUISITIONS PRIORITAIREMENT VISÉES 3. LES LIEUX
Plus en détailPERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES. Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones
PERSONNEL PROFESSIONNEL DES COMMISSIONS SCOLAIRES FRANCOPHONES Comité patronal de négociation pour les commissions scolaires francophones Édition de février 2011 Réalisé par le Comité patronal de négociation
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailIntervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation et qualification
Reconnaissance de la professionnalité de stagiaires en enseignement au secondaire et rôles des superviseurs Intervention et pratique éducative reflet et/ou révélateur des tensions entre instructions, socialisation
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détailPlanification stratégique 2012-2015
DE CHAUDIÈRE-APPALACHES Planification stratégique 2012-2015 Reprendre du pouvoir sur sa vie. 23681_CRDCA_Planification 2012.indd 1 Description de la démarche La démarche de planification stratégique du
Plus en détailEnseignement des habiletés sociales au secondaire
1 Enseignement des habiletés sociales au secondaire Groupe 1 : Habiletés sociales de base Habileté 1 : Se présenter Par Sandra Beaulac Fiche de planification Habileté sociale : SE PRÉSENTER Type d atelier
Plus en détailLIVRE BLANC 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE
LIVRE BLANC LA PART DE REVE - 9 SEMAINES POUR PREPARER UN PROJET DE CRECHE EN FRANCHISE AVEC LA PART DE REVE INTRODUCTION «Parce que créer une franchise, au- delà du projet professionnel, c est aussi un
Plus en détailEvaluation de l organisation interne
Module 1 Module Evaluation de l organisation interne Table des matières SECTION 1 Mission et valeurs 34 SECTION 2 Gestion 1 40 SECTION 3 Gestion 2 46 T E A R F U N D 2 0 0 3 33 Module 1 Section 1 Mission
Plus en détail22 2011 (CC-20111-110)
Politiquee linguistique Adoptée : En vigueur : Amendement : 22 mars 2011 (CC-2011-110) 22 mars 2011 Table des matières 1. PRÉAMBULE... 1 2. CHAMP D APPLICATION... 1 3. CADRE LÉGAL ET RÉGLEMENTAIRE...
Plus en détailGuide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention
Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention Guide d utilisation en lien avec le canevas de base du plan d intervention À moins d indications contraires, toutes les définitions
Plus en détailBILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS DU VALAIS ROMAND (CPI)
Département de l'éducation, de la culture et du sport Service de l enseignement Inspectorat de la scolarité obligatoire BILAN DE L EDUCATION PHYSIQUE A L ECOLE PRIMAIRE RAPPORT DE LA COMMISSION DES INSPECTEURS
Plus en détailRENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003
RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA 17 novembre 2003 Pascal PICHON LES ASSUREURS RC ONT-ILS PEUR DES RISQUES EMERGEANTS? INTRODUCTION LA RC EN CRISE DEPUIS PLUSIEURS ANNEES HAUSSES TARIFAIRES NOUVELLES POLITIQUES
Plus en détailProjet d école 2014-2018. Guide méthodologique
Projet d école 2014-2018 Guide méthodologique 1 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 LES TEXTES DE REFERENCES... 4 LES ETAPES D ELABORATION DU PROJET D ECOLE... 4 ETAPE 1 : BILAN DU PROJET, DIAGNOSTIC... 5 1. LE
Plus en détailLa contribution des pères au développement de leur enfant
Activité 1 La contribution des pères au développement de leur enfant Le père: Un rôle en évolution Théorie de l évolution Question de survie! Homme Animaux Christine Gervais, Ph. D., Professeur au département
Plus en détailProfil d études détaillé. Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique
Section : Informatique et systèmes Finalité : Technologie de l informatique Page 1/6 1. Introduction L enseignement de la Haute Ecole Louvain en Hainaut donne la place centrale à l étudiant. Celui-ci trouvera
Plus en détailNOTE D INFORMATION L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES
L AGENT TERRITORIAL SPÉCIALISÉ DES ÉCOLES M AT E RNE L L E S Note d information réalisée par le rectorat de l académie de Montpellier, le centre national de la fonction publique territoriale, le centre
Plus en détailCampus Paris Saclay. Enquête sur les usages, transports, logements et services. L enquête en ligne. Les bonnes pratiques identifiées par le benchmark
Campus Paris Saclay L enquête en ligne Les déplacements : des spécificités par statut L équipement : un intérêt marqué pour les transports doux et les services pratiques Le logement : des attentes et des
Plus en détailAnalyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015
Réforme des rythmes scolaires Projet Educatif de territoire d Evecquemont Analyse des questionnaires d évaluation parents et enfants Juin 2015 A Du PEDT au comité de suivi et d évaluation de la réforme
Plus en détailFiche d information à l intention des parents. Volet 2 Les options résidentielles
Centre de réadaptation en déficience intellectuelle de Québec (CRDI de Québec) 7843, rue des Santolines Québec (Québec) G1G 0G3 Téléphone : 418 683-2511 Télécopieur : 418 683-9735 www.crdiq.qc.ca Fiche
Plus en détailLA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015
LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,
Plus en détailL école doit être redéfinie comme un lieu de vie et d apprentissage
Document de base de l'initiative des villes pour la formation quant à la politique de formation L école doit être redéfinie comme un lieu de vie et d apprentissage Impressum Éditeur Initiative des villes
Plus en détailNormes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes. En vigueur à compter du 1 er janvier 2014
Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er janvier 2014 Normes de mise en œuvre des programmes et applications concrètes En vigueur à compter du 1 er
Plus en détailTRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO
TRAVAUX DU GROUPE GUINEE/CONAKRY ET BISSAO PLAN DE PRESENTATION BREVE PRESENTATION DES DEUX PAYS - GUINEE/CONAKRY GUINEE BISSAO Population = 7 156 406hbts dont 51% de femmes et 46% de jeunes, - 1 200 000
Plus en détailSyllabus du cours de musique. Maternelle. enseigné par Joël Chiasson
Syllabus du cours de musique Maternelle enseigné par Joël Chiasson DESCRIPTION DU COURS Le programme de musique permet aux élèves d explorer leurs idées, leurs expériences et leurs émotions et de développer
Plus en détailLaurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche de la Commission Scolaire de la Région de Sherbrooke.
Engagement scolaire et persévérance rance au secondaire : Modèle théorique, types, évaluation et intervention Laurier Fortin, Ph. D., professeur, Université de Sherbrooke Titulaire de la Chaire de recherche
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailL expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics. Rapporteur général à la Cour des comptes
L expérience de la Cour des comptes en matière d évaluation des projets publics Par: Saïd MOURABIT Rapporteur général à la Cour des comptes Introduction Rappel des missions de la Cour des comptes: jugement
Plus en détailCentre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire
Centre Mohammed VI de Soutien à la Microfinance Solidaire Observatoire de la Microfinance Novembre 2011 Hay Chabab, Rue Baamrani Ain Sebaa Casablanca-Maroc Tel +212 522 739 089/ +212 522 739 124 Fax +212
Plus en détailCommentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO - Suivi de CONFITEA VI page 2
Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne de l UNESCO concernant le suivi de la mise en œuvre des engagements de CONFINTEA VI Le 19 janvier 2012 Commentaires de l ICÉA à la Commission canadienne
Plus en détailRÉGION DE LANAUDIÈRE (14) PLAN D'ACTION - JEU PATHOLOGIQUE 2002-2005
RÉGION DE LANAUDIÈRE (14) PLAN D'ACTION - JEU PATHOLOGIQUE 2002-2005 préparé par Lysane Ouimet Régie régionale de Lanaudière JANVIER 2003 Adopté par le Conseil d'administration de la Régie régionale de
Plus en détailMaster européen en traduction spécialisée. Syllabus - USAL
Master européen en traduction spécialisée Syllabus - USAL L Université de Salamanque propose une spécialisation en Traduction éditoriale et technique au cours du premier semestre TRADUCTION EDITORIALE
Plus en détailDEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT
DEVENIR TUTEUR DANS LE MEILLEUR INTÉRÊT DE L ENFANT Que devez-vous savoir sur la tutelle en vertu de la Loi sur la protection de la jeunesse? LOI SUR LA PROTECTION DE LA JEUNESSE CETTE BROCHURE A ÉTÉ RÉALISÉE
Plus en détailAnnée propédeutique santé Présentation générale du programme
Année propédeutique Sante 2014-2015 DCA/sbe révision Août 2014 Année propédeutique santé s Présentation générale du programme Introduction et finalités de l année propédeutique santés L objectif de cette
Plus en détailLa surveillance prudentielle du secteur financier
La surveillance prudentielle du secteur financier Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre II Chapitre I Chapitre VII Chapitre VI Chapitre V Chapitre IV Chapitre III Chapitre
Plus en détailLa question suivante était bien sur comment créer un groupe d étude avec des compagnons distants de plusieurs milliers de km? La réponse fût: Skype.
Je voudrais partager avec vous l expérience de notre groupe d étude avec la technologie Skype. Pour autant que je sache c est le premier groupe d étude à utiliser Skype hebdomadairement et d une manière
Plus en détailINSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC
Avis scientifique sur le choix d un outil de mesure du développement des enfants de 0 à 5 ans dans le cadre des Services intégrés en périnatalité et pour la petite enfance INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE
Plus en détailContenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers
Contenu de l action de formation BTS BANQUE - option A Marché des particuliers Le BTS Banque a été mis en place face à la demande insistante de l Association française des banques pour faire face aux très
Plus en détailLES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT?
LES ÉLÈVES INSCRITS EN FORMATION PROFESSIONNELLE ET LEURS BESOINS SPÉCIFIQUES DE SOUTIEN À LA PERSÉVÉRANCE ET À LA RÉUSSITE. QUI SONT-ILS VRAIMENT? Élisabeth Mazalon et Sylvain Bourdon Université de Sherbrooke
Plus en détailLA FAILLITE. revenuquebec.ca
LA FAILLITE revenuquebec.ca La faillite entraîne un processus à la suite duquel une personne est libérée du paiement de la plupart de ses dettes en vertu de la Loi sur la faillite et l insolvabilité. Cependant,
Plus en détailLa Stratégie visant la réussite des élèves et l apprentissage apprentissage j usqu jusqu à l âge g d e de 18 18 ans
La Stratégie visant la réussite des élèves et l apprentissage jusqu à l âgede18ans Ministère de l Éducation de l Ontario Direction des politiques et programmes d éducation en langue française Mai 2010
Plus en détailFICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS. Volet 2 - Les options résidentielles
FICHE D INFORMATION À L INTENTION DES PARENTS Volet 2 - Les options résidentielles LES OPTIONS RÉSIDENTIELLE La Fiche d information à l intention des parents porte sur différents sujets susceptibles d
Plus en détailOrientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action
Orientations gouvernementales en matière d agression sexuelle Plan d action Édition produite par : La Direction des communications du ministère de la Santé et des Services sociaux Pour obtenir d autres
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailSONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ
SONDAGES RELATIFS AUX SERVICES D INFORMATION ET DE RÉFÉRENCE OFFERTS PAR LA DIRECTION GÉNÉRALE DE LA DIFFUSION DE BANQ RÉSULTATS DE L ÉTÉ 2008 JUMELÉS À CEUX DE L HIVER 2008 RAPPORT VERSION FINALE Daniel
Plus en détailPLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015. Bilan régional des activités 2012 2013
PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 PLAN D ACTION DE SANTÉ DENTAIRE PUBLIQUE 2005 2015 Bilan régional des activités 2012 2013 est une production
Plus en détailLe retour au travail après une absence prolongée en
Le retour au travail après une absence prolongée en raison de trouble mental transitoire: des pistes d'encadrement de la démarche. Marie-José Durand, PhD, Professeure titulaire, Directrice du CAPRIT Les
Plus en détailGUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME
GUIDE DE LECTURE VAE BEES1 CYCLISME CONSIGNES DE LECTURE Ce tableau comporte de gauche à droite 4 colonnes: Colonne activités: Colonne tâches: il s'agit des activités professionnelles de référence que
Plus en détailSensibilisation aux accidents de la vie courante
1er décembre 2012, Saint Nazaire et Nantes Communiqué de presse Harmonie Soins & Services Enfance & Famille, et le service Prévention d Harmonie Atlantique, ont invité les familles de jeunes enfants le
Plus en détailObjectif de progression Actions Indicateurs chiffrés. Diligenter une enquête auprès des salariés pour connaitre précisément leurs besoins
Articulation entre la vie professionnelle et l exercice de la responsabilité parentale (ces exemples visent à accompagner les partenaires sociaux dans leur négociation, ils ne sont pas exhaustifs des bonnes
Plus en détailMobiliser les esprits :: Virtual CoWorking Space pour mobiliser l intelligence collective
Mobiliser les esprits :: Virtual CoWorking Space pour mobiliser l intelligence collective Intro à la plateforme WebIDEApro: Faire circuler les connaissances, faciliter les engagements, coconstruire les
Plus en détailPATISSERIE : NIVEAU DE MAITRISE
MINISTERE DE LA COMMUNAUTE FRANCAISE ADMINISTRATION GENERALE DE L ENSEIGNEMENT ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE ENSEIGNEMENT DE PROMOTION SOCIALE DE REGIME 1 DOSSIER PEDAGOGIQUE UNITE DE FORMATION PATISSERIE
Plus en détailMaster Audiovisuel, communication et arts du spectacle
Formations et diplômes Rapport d'évaluation Master Audiovisuel, communication et arts du spectacle Université Toulouse II - Jean Jaurès - UT2J Campagne d évaluation 2014-2015 (Vague A) Formations et diplômes
Plus en détailDOSSIER INSCRIPTION SENIOR NOM : PRENOM : Page 1 sur 7
DOSSIER INSCRIPTION SENIOR NOM : PRENOM : Page 1 sur 7 IDENTITE Nom : Prénom : Coller une photo d identité ici Sexe : M F Date de naissance / / Age : ans Votre conjoint (si / / Age : ans couple) Lieu de
Plus en détailDoit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée?
Doit-on craindre les impacts du rapport Trudeau sur la fonction de technicienne ou technicien en éducation spécialisée? Hélène Le Brun, conseillère septembre 2007 D-11815 Centrale des syndicats du Québec
Plus en détaildocument révisé le 2008-03-05
document révisé le 2008-03-05 Table des matières Présentation... 3 1.0 Objectifs... 4 2.0 Organisation... 5 3.0 Personnel d encadrement... 7 4.0 Modalités d accès au CRM... 8 5.0 Processus de réintégration
Plus en détailLa réinsertion sociale. Pour que la rue ait une issue...
La réinsertion sociale Pour que la rue ait une issue... La philosophie d intervention du service de réinsertion sociale de la Maison du Père repose sur une approche de réduction des méfaits. Elle prône,
Plus en détailLEA.C5. Développement de sites Web transactionnels
LEA.C5 Développement de sites Web transactionnels LEA.C5 Développement de sites Web transactionnels Toutes les entreprises et les organisations utilisent le réseau Internet comme outil de promotion, de
Plus en détailProjet audio. Analyse des Signaux ELE2700
ÉCOLE POLYTECHNIQUE DE MONTRÉAL Département de Génie Électrique Projet audio Analyse des Signaux ELE2700 Saad Chidami - 2014 Table des matières Objectif du laboratoire... 4 Caractérisation du bruit...
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détailCours Numération Mathématique de base 1 MAT-B111-3. Alphabétisation
Cours Numération Mathématique de base 1 MAT-B111-3 Alphabétisation Présentation du cours Numération «L esprit de l homme a trois clés qui ouvrent tout : le chiffre, la lettre et la note.» Victor Hugo
Plus en détailSANDRINE. La prévention des problèmes de santé liés à la pollution intérieure des habitations. Projet européen
SANDRINE La prévention des problèmes de santé liés à la pollution intérieure des habitations Projet européen SANDRINE Projet à l initiative de : Inter-Environnement Wallonie & Société Scientifique de Médecine
Plus en détailDossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans) 2014-2015
Maison de l Enfance et de la Jeunesse 2 route de Keroumen 29480 Le Relecq Kerhuon 02 98.28.38.38 02.98.28.41.11 E-Mail : mej@mairie-relecq-kerhuon.fr Dossier Pédagogique Mercredis du Pass Âge (11-14 ans)
Plus en détailPlanifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans
Planifier avec les expériences clés pour les enfants de 3 à 5 ans Ginette Hébert formatrice en petite enfance AFÉSÉO FORUM 2012 Cette formation s appuie sur mon expérience d accompagnement d éducatrices
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR Accueil de loisirs périscolaire de Servas 2014-2015
REGLEMENT INTERIEUR Accueil de loisirs périscolaire de Servas 2014-2015 Préambule L accueil périscolaire de Servas est géré par l association ALFA3A dont le siège se situe 14, rue Aguétant, 01 500 AMBERIEU
Plus en détailJOURNÉE TEAM BUILDING:
JOURNÉE TEAM BUILDING: PROPOSITION - 1/ TEAM BUILDING À CHEVAL PROPOSITION - 2/ TEAM BUILDING THEATRE 1 DEUXIEME PARTIE DE LA JOURNEE, APRES LE DEJEUNER PROPOSITION 1: TEAM BUILDING A CHEVAL Team Building
Plus en détailAgence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing.
Agence web marketing Pourquoi une agence de web marketing? Définition du web marketing. Internet est la plus grande vitrine imaginable pour présenter et vendre des produits et des services. En permanence
Plus en détailEXEMPLE DE QUESTIONNAIRE SONDAGE
BOÎTE À OUTILS DU PROJET VERSION JUIN 2012 EXEMPLE DE QUESTIONNAIRE SONDAGE Sondage en ligne du QVAS PlateauEst Juin 2010 Toute forme de reproduction et de diffusion des outils du projet QVAS est encouragée
Plus en détailPlan stratégique 2015-2017. Horizon 2017
Service des bibliothèques et archives Plan stratégique 2015-2017 Horizon 2017 Mise en contexte L environnement dans lequel évoluent les bibliothèques universitaires est en mutation depuis plusieurs années.
Plus en détailMAMI SENIORS Livret d accueil
MAMI SENIORS Livret d accueil Maison «Mami seniors» : Un espace d accueil de jour non médicalisé. C est un lieu de rencontres, d échanges et d animation au cœur de Toulon. Soucieux de cultiver le lien
Plus en détailLA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans
FAIREBOUGERLES9-13.org 1 LA CIBLE Ce que nous savons des 9-13 ans TABLE DES MATIÈRES 3 4 5 DONNÉES SOCIO- DÉMOGRAPHIQUES HABITUDES MÉDIATIQUES ET DE CONSOMMATION EN MATIÈRE DE MODE DE VIE PHYSIQUEMENT
Plus en détailPLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE
1. OBJECTIFS DU COURS PLAN DE COURS TYPE COMMUNICATION MARKETING UNE PERSPECTIVE INTÉGRÉE Objectif général Développer des habiletés dans le domaine de la gestion des communications intégrées en marketing,
Plus en détailCoup d oeil sur. Les services de garde de qualité : Un milieu stimulant et chaleureux pour l enfant
Coup d oeil sur Les services de garde de qualité : Un milieu stimulant et chaleureux pour l enfant Les services de garde de qualité : Que savons-nous? «Il doit aussi favoriser la coopération, le respect
Plus en détailACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007
ACCORD DU 9 DECEMBRE 2014 PORTANT MODIFICATION DE L ACCORD RELATIF A L EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUEL DU 21 MARS 2007 Préambule Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative
Plus en détailà moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq
e élevé Risque faible Risq à moyen Risque moyen Risq à élevé Risque élevé Risq e Risque faible à moyen Risq Risque moyen à élevé Risq L e s I n d i c e s F u n d a t a é Risque Les Indices de faible risque
Plus en détailMes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca
Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant
Plus en détailBES WEBDEVELOPER ACTIVITÉ RÔLE
BES WEBDEVELOPER ACTIVITÉ Le web developer participe aux activités concernant la conception, la réalisation, la mise à jour, la maintenance et l évolution d applications internet/intranet statiques et
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR. Article 1 : ENTREE EN VIGUEUR DU PRESENT REGLEMENT
Direction Enfance et Vie Scolaire REGLEMENT INTERIEUR GARDERIES PERISCOLAIRES et RESTAURATION SCOLAIRE Article 1 : ENTREE EN VIGUEUR DU PRESENT REGLEMENT Le présent règlement s applique à compter du premier
Plus en détailUnity Real Time 2.0 Service Pack 2 update
Unity Real Time 2.0 Service Pack 2 update Configuration des Objectifs Analytiques La nouvelle version permet, en un écran, de configurer un lot, un panel ou un instrument. Le menu est accessible au moyen
Plus en détailECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE
ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs
Plus en détailRÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT
Union des Villes et Communes de Wallonie asbl RÉNOVATION ET ENTRETIEN DU PARC DE LOGEMENT SOCIAL ET RÉGION WALLONNE: BESOINS EN FINANCEMENT Avis du Comité permanent des Sociétés de Logement de Service
Plus en détailN 1 2 1 L a R e v u e F r a n c o p h o n e d u M a n a g e m e n t d e P r o j e t 2 è m e t r i m e s t r e 2 0 1 3
Du côté de la Recherche > Managemen t de projet : p1 L intégration des systèmes de management Qualité -Sécurité- Environnement : résultats d une étude empirique au Maroc Le co ntex te d es p roj et s a
Plus en détailSynthèse des réponses reçues du sondage du 8 février 2013
Synthèse des réponses reçues du sondage du 8 février 2013 Ont répondu (8à 9 membres/14) : Carrefour de participation, ressourcement et formation (CPRF), Centre de formation régionale de Lanaudière (CFRL)
Plus en détailAnalyse des besoins sociaux
La commune de Le Verger réalise une analyse sur les besoins sociaux de sa population. Afin d améliorer la qualité de vie et de services sur notre commune, nous vous remercions par avance de remplir ce
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS
Avenue des Thermes - BP 71 01220 Divonne-les-Bains Tel/Fax : 04 50 20 29 15 Courriel : divonne.espacejeunes@alfa3a.org REGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS A compter du 1 er septembre 2014
Plus en détail«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner?
«Une bonne thèse répond à une question très précise!» : comment l enseigner? Congrès du CNGE Angers Novembre 2008 Sébastien Cadier*, Isabelle Aubin**, Pierre Barraine* *Département de médecine générale
Plus en détailL immobilier d entreprise artisanale
e s c a L immobilier d entreprise artisanale n l B e E n j e u x L i v r S t r a t é g i P r o p o s i t i o n s Ile-de-France Rhône-Alpes Le Livre Blanc de l immobilier d entreprise artisanale Pourquoi?
Plus en détailRÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines
RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Faculté des lettres et sciences humaines PRÉAMBULE Ce règlement facultaire sur la reconnaissance des acquis s inscrit dans le cadre de la Politique
Plus en détailObjectifs et actions 2013-2014 du Re seau REPTIC Re sultats d un sondage administre aux membres du Re seau en aou t 2013
Objectifs et actions 2013-2014 du Re seau REPTIC Re sultats d un sondage administre aux membres du Re seau en aou t 2013 Table des matières Introduction...2 1. Participation des cégeps et collèges au sondage...2
Plus en détailPrésentation 2007. pour. Observatoire Vieillissement et Société
Présentation 2007 pour Observatoire Vieillissement et Société Stéphane Tremblay Directeur de Territoire Région de l Est Qu est-ce que Lifeline? Argus? Philips? Lifeline est un service de télésurveillance
Plus en détailDÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER
CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera
Plus en détailACCUEIL EN CENTRE DE LOISIRS ENFANT PORTEUR DE HANDICAP
ASSOCIATION DES CENTRES DE LOISIRS 11 avenue Jean Perrot - 38100 GRENOBLE Tél. : 04 76 87 76 41 - Fax : 04 76 47 52 92 E-mail : secretariat@acl-grenoble.org Site Internet : http://www.acl-grenoble.org
Plus en détailACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE. Niveau A1. Qui est-ce?
ACTIVITÉ DE PRODUCTION ORALE Niveau A1 Qui est-ce? Le dossier comprend : - une fiche apprenant - une fiche enseignant - la transcription du document support Auteurs-concepteurs : Stéphanie Bara, Isabelle
Plus en détail