UN PARCOURS DE 36 ANS DE CARRIÈRE DANS LA FILIÈRE FRUITS ET LÉGUMES A LA RÉUNION
|
|
- Christelle Jacques
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UN PARCOURS DE 36 ANS DE CARRIÈRE DANS LA FILIÈRE FRUITS ET LÉGUMES A LA RÉUNION
2 QUEL RETOUR D EXPÉRIENCE A ESSAYER DE DONNER EN HÉRITAGE
3 LES POINTS CLÉS A CONNAÎTRE DYNAMISME DE LA FILIÈRE : Un constat de réussite non de défaitisme DYNAMISME DE LA FILIÈRE : Un constat de réussite ÉTAT DES LIEUX ENTRE FILIÈRE MÉTROPOLITAINE ET RÉUNIONNAISE QUEL CONSTAT? ÉTAT DES LIEUX ENTRE FILIÈRE MÉTROPOLITAINE NOTRE ORGANISATION LOCALE DU MARCHE. BONNE OU MAUVAISE? NOTRE ORGANISATION LOCALE DU MARCHE. NOS PRIX MOYENS A LA CONSOMMATION. QUEL BILAN EN TIRER? NOS PRIX MOYENS A LA CONSOMMATION. QUEL
4 LES POINTS CLÉS A CONNAÎTRE COMMENT AMÉLIORER LA PENETRATION DE NOS PRODUITS DANS LA RESTAURATION COLLECTIVE? QUELLES PISTES DE RÉFLEXION? COMMENT AMÉLIORER LA PENETRATION DE NOS POINT SUR LA RELATION ENTRE LA VOLONTÉ POLITIQUE DE PLANTER D AVANTAGE ET LA RÉALITÉ DE NOTRE CONSOMMATION POINT SUR LA RELATION ENTRE LA VOLONTÉ ÉTAT DES LIEUX SUR L ENCADREMENT TECHNIQUE DES PRODUCTEURS. TRÈS FAIBLE POUR 80 % DE LA FILIÈRE ÉTAT DES LIEUX SUR L ENCADREMENT TECHNIQUE DES
5 LES POINTS CLÉS A CONNAÎTRE UNE MEILLEURE RÉPARTITION DES AIDES PUBLIQUES AUX PRODUCTEURS
6 LES POINTS CLÉS A CONNAÎTRE QUELS CONSTATS ALARMANTS? COMMENT CHANGER NOS MÉTHODES? (DÉCIDEURS POLITIQUES / ADMINISTRATIONS) QUELLE CONCLUSION EN TIRER?
7 LES POINTS CLÉS A CONNAÎTRE DYNAMISME DE LA FILIÈRE : Un constat de réussite non de défaitisme DYNAMISME DE LA FILIÈRE :
8 DYNAMISME DE LA FILIÈRE UNE PRODUCTION TRÈS DIVERSIFIÉE CLIMATS ALTITUDES MULTIPLICITÉ DES EXPLOITATIONS
9 DYNAMISME DE LA FILIÈRE UNE DEMANDE DES CONSOMMATEURS TRÈS VARIÉE POPULATION MULTIPLE ÉVOLUTION DE CONSOMMATION Plus de population mais moins de consommation Pourquoi?
10 DYNAMISME DE LA FILIÈRE UNE COUVERTURE DE NOS BESOINS TRÈS POSITIVE 90 à 95 % DES LÉGUMES PRODUITS A LA RÉUNION 90 à 95 % DES LÉGUMES PRODUITS A LA 5 à 10 % DE NOS BESOINS NE SONT SATISFAITS QUE PARTIELLEMENT 5 à 10 % DE NOS BESOINS NE SONT CAS DIFFÉRENTS SELON PRODUCTIONS (Ail, Oignon, Pomme De Terre, Carotte) CAS DIFFÉRENTS SELON PRODUCTIONS
11 DYNAMISME DE LA FILIÈRE UN CHIFFRE D AFFAIRES TRÈS IMPORTANT ENVIRON 100 MILLIONS D EUROS (POUR 320 MILLIONS SUR L ENSEMBLE DES FILIÈRES)
12 DYNAMISME DE LA FILIÈRE UN SYSTÈME SOCIO- ÉCONOMIQUE A PRÉSERVER NOMBREUX EMPLOIS DIRECTS ET INDIRECTS NOMBREUX EMPLOIS DIRECTS ET SURVIE DE TRÈS NOMBREUSES EXPLOITATIONS (Surfaces moyennes en fruits et légumes situé entre 1 et 1.5 ha) SURVIE DE TRÈS NOMBREUSES
13 ÉTAT DES LIEUX ENTRE LA FILIÈRE RÉUNIONNAISE ET MÉTROPOLITAINE CHIFFRES CLÉS ESSENTIELS
14 ÉTAT DES LIEUX ENTRE LA FILIÈRE RÉUNIONNAISE ET MÉTROPOLITAINE EN MÉTROPOLE 70 à 75 % DES FRUITS ET LÉGUMES VENDUS EN GMS
15 ÉTAT DES LIEUX ENTRE LA FILIÈRE RÉUNIONNAISE ET MÉTROPOLITAINE A LA RÉUNION 30 % SEULEMENT EN GMS, POUR ENVIRON 50 % SUR LES DIVERS MARCHES ET LE RESTE EN CIRCUIT COURT A LA RÉUNION 30 %
16 ÉTAT DES LIEUX ENTRE LA FILIÈRE RÉUNIONNAISE ET MÉTROPOLITAINE QUEL CONSTAT EN RETIRER EN 20 / 30 ANS DESTRUCTION EN MÉTROPOLE DE 75 à 80 % DES PETITES ET MOYENNES EXPLOITATIONS
17 NOTRE ORGANISATION LOCALE DU MARCHE BONNE OU MAUVAISE?
18 NOTRE ORGANISATION LOCALE DU MARCHE BONNE OU MAUVAISE? B0NNE POUR CERTAINS ACTEURS,MAUVAISE POUR D AUTRES!!! B0NNE POUR CERTAINS QUI A RAISON? QUI A RAISON? QUI A TORT? QUI A TORT?
19 NOTRE ORGANISATION LOCALE DU MARCHE BONNE OU MAUVAISE? QU EST-CE QUI FAIT LA RICHESSE DE NOTRE FILIÈRE? QU EST-CE QUI FAIT LA
20 NOTRE ORGANISATION LOCALE DU MARCHE BONNE OU MAUVAISE? QUELS CHIFFRES PUBLIER? Montant versé par le POSEI? Pour combien de producteurs? Pour quel résultat? Combien de producteurs d OP ont démissionné? Combien de producteurs d OP ont Quel bilan (aides/impôts/défiscalisation)
21 NOS PRIX MOYENS A LA CONSOMMATION CHIFFRES CLÉS
22 NOS PRIX MOYENS A LA CONSOMMATION NIVEAU 1 : PRIX MARCHE DE GROS = 1 NIVEAU 2 : PRIX CIRCUITS COURTS = 1.5 à 1.6 NIVEAU 3 : PRIX GMS = 2 à 2.30 PRISE DE CONSCIENCE LORS DES MANIFESTATIONS SUR LA VIE CHÈRE EN 2009
23 NOS PRIX MOYENS A LA CONSOMMATION RELATIONS PRIMORDIALES LIÉES A NOTRE SCHÉMA D ORGANISATION RELATIONS PRIMORDIALES LIÉES A NOTRE les prix les plus élevés en GMS concernent principalement les OP (20 % de la filière aidés) les prix les plus élevés en GMS concernent Les prix les moins élevés (80 % de la filière sur circuits courts, ne recevant quasiment aucune aide)
24 COMMENT AMÉLIORER LA PENETRATION DE NOS PRODUITS LOCAUX DANS LA RESTAURATION COLLECTIVE? QUELLES PISTES DE RÉFLEXION?
25 COMMENT AMÉLIORER LA PENETRATION DE NOS PRODUITS LOCAUX DANS LA RESTAURATION COLLECTIVE? LE CONSTAT EST ALARMANT : GRANDE DIFFICULTÉ A FAIRE RENTRER NOS PRODUITS LOCAUX LE CONSTAT EST ALARMANT : GRANDE ORGANISATION NON OU TRÈS PEU PRÉSENTE ENTRE COLLECTIVITÉ ET PRODUCTEURS ORGANISATION NON OU TRÈS PEU PRÉSENTE NÉCESSITE DE CRÉER NOTRE PROPRE MODÈLE
26 COMMENT AMÉLIORER LA PENETRATION DE NOS PRODUITS LOCAUX DANS LA RESTAURATION COLLECTIVE? UNE PISTE DE RÉFLEXION PARTENARIAT COLLECTIVITÉ OPÉRATEUR/TRANSFORMATEUR (si possible non privé) PARTENARIAT COLLECTIVITÉ ET AGRICULTEURS OU GROUPEMENT D AGRICULTEURS ( Formel ou non) ET AGRICULTEURS OU GROUPEMENT
27 POINT SUR LA RELATION ENTRE LA VOLONTÉ POLITIQUE DE PLANTER DAVANTAGE ET LA RÉALITÉ DE NOTRE CONSOMMATION DISCOURS FRÉQUENTS SUR LA FILIÈRE «plus de produits locaux dans nos assiettes» «plus de produits locaux dans nos Restauration collective = plus de surfaces plantées? Restauration collective = plus de surfaces EST-CE PERTINENT?
28 POINT SUR LA RELATION ENTRE LA VOLONTÉ POLITIQUE DE PLANTER DAVANTAGE ET LA RÉALITÉ DE NOTRE CONSOMMATION DISCOURS FRÉQUENTS SUR LA FILIÈRE.à mon avis non
29 POINT SUR LA RELATION ENTRE LA VOLONTÉ POLITIQUE DE PLANTER DAVANTAGE ET LA RÉALITÉ DE NOTRE CONSOMMATION POURQUOI NON? Baisse de la consommation moyenne, nouvelles habitudes de consommation Baisse de la consommation moyenne, nouvelles RÉSULTAT OBSERVE : PERTE DE 25 à 30 % de CA pour LES DIFFÉRENTS ACTEURS DE LA FILIÈRE RÉSULTAT OBSERVE : PERTE DE 25 à 30 % de CA MEILLEURE ORIENTATION DES AIDES PUBLIQUES MEILLEURE ORIENTATION DES AIDES
30 POINT SUR LA RELATION ENTRE LA VOLONTÉ POLITIQUE DE PLANTER DAVANTAGE ET LA RÉALITÉ DE NOTRE CONSOMMATION CONSÉQUENCES : DIFFICULTÉS A ÉCOULER LA PRODUCTION CONSÉQUENCES : DIFFICULTÉS A ÉCOULER LA TENDANCE A DIMINUER LES SURFACES DE MARAÎCHAGE. TENDANCE A DIMINUER LES SURFACES DE SOLUTIONS : RÉORIENTER LES PRODUCTEURS VERS LA RESTAURATION COLLECTIVE SOLUTIONS : RÉORIENTER LES PRODUCTEURS VERS
31 ÉTAT DES LIEUX DE L ENCADREMENT TECHNIQUE DES PRODUCTEURS TRÈS FAIBLE POUR 80 % DE LA FILIÈRE POURQUOI? TRÈS FAIBLE POUR 80 % DE LA FILIÈRE Depuis 10 ans on a déshabillé la CHAMBRE D AGRICULTURE POUR LES OP Depuis 10 ans on a déshabillé la CHAMBRE
32 ÉTAT DES LIEUX DE L ENCADREMENT TECHNIQUE DES PRODUCTEURS L ARMEFLHOR désormais presque à 100 % dans les mains des OP L ARMEFLHOR désormais presque à 100 % dans EST-CE NORMAL? CELA RENFORCE ENCORE LE DIFFÉRENTIEL ENTRE 20 % DE LA FILIÈRE CELA RENFORCE ENCORE LE DIFFÉRENTIEL «soi-disant organisée» et les 80 % restants.
33 UNE MEILLEURE RÉPARTITION DES AIDES PUBLIQUES AUX PRODUCTEURS 2 RAISONS PRINCIPALES : PLUS D ÉQUITÉ PLUS D EFFICACITÉ
34 UNE MEILLEURE RÉPARTITION DES AIDES PUBLIQUES AUX PRODUCTEURS QUELS CONSTATS ALARMANTS 100 % POUR 20 % RÉSULTATS NON CONFORMES AUX VOLONTÉS INITIALES RÉSULTATS NON CONFORMES AUX RISQUE DE DÉRAPAGE COMME EN MÉTROPOLE RISQUE DE DÉRAPAGE COMME EN PRIX PLUS ÉLEVÉS DANS LA FILIÈRE «soi- disant organisée» PRIX PLUS ÉLEVÉS DANS LA FILIÈRE «soi-
35 UNE MEILLEURE RÉPARTITION DES AIDES PUBLIQUES AUX PRODUCTEURS CHANGEMENTS A ENVISAGER PRISE DE CONSCIENCE POLITIQUE (en cours) PRISE DE CONSCIENCE POLITIQUE (en FAIRE ADMETTRE A NOTRE ADMINISTRATION QU ELLE DOIT MODIFIER SES ORIENTATIONS FAIRE ADMETTRE A NOTRE FAIRE MIEUX AVEC MOINS DE MOYENS
36 QUELLE CONCLUSION EN TIRER CHANGER NOTRE VISION SUR LA FILIÈRE Plus d honnêteté Plus de réalisme Plus de performance
37 QUELLE CONCLUSION EN TIRER SAVOIR ADAPTER NOTRE MODÈLE A NOS SPÉCIFICITÉS LOCALES SAVOIR ADAPTER NOTRE MODÈLE A NOS Contexte géographique et agricole Contexte socio-culturel et économique Savoir regarder ce qui n a pas marché ailleurs (surtout Métropole) afin d éviter les erreurs chez nous. Savoir regarder ce qui n a pas marché ailleurs Avoir la capacité de reconnaître nos erreurs afin de mieux orienter nos aides Avoir la capacité de reconnaître nos erreurs afin
38 QUELLE CONCLUSION EN TIRER NOUS AVONS UNE FILIÈRE DYNAMIQUE, PERFORMANTE, DE QUALITÉ AVEC UN MODÈLE SPÉCIFIQUE TRÈS ÉQUILIBRE NOUS AVONS UNE FILIÈRE DYNAMIQUE, ARRIVER A RENFORCER ENCORE NOS ATOUTS TOUT EN GARDANT NOS SPÉCIFICITÉS ET NOTRE ÂME ARRIVER A RENFORCER ENCORE NOS Copy right : Sabine Alain / octobre 2016
PROTECTION DE PRODUITS EN IG
PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr
Plus en détailGeoffroy Ménard, agr.
Geoffroy Ménard, agr. Photo: IGA Projet réalisé dans le cadre du Programme d appui à la mise en marché des produits biologiques (volet 1) du Ministère de l'agriculture, des Pêcheries et de l'alimentation
Plus en détailDevenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)
GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés
Plus en détail«L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas»
Énergie «L énergie la moins chère et la moins polluante est celle qu on ne consomme pas» La première fonction de l agriculture est la valorisation de l énergie solaire en énergie alimentaire par la photosynthèse.
Plus en détailLe contrat de prévention : plus de sécurité, plus de compétitivité
vous guider Le contrat de prévention : plus de sécurité, plus de compétitivité n Aide financière - Santé-Sécurité au Travail www.msa.fr Le contrat de prévention : une réponse à vos attentes Vous avez conscience
Plus en détailLes leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité
Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité Lycée agricole Edgar Pisani, Montreuil-Bellay (49) 11 octobre 2012 1. La PRI Jules Rieffel 1.1 Les
Plus en détailCompte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre. Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre)
Compte Rendu Journée de lancement PCT Cœur de Flandre 103 participants au matin Introduction de la journée de lancement Michel GILLOEN (Président Pays Cœur de Flandre) Le Plan Climat Territorial s intègre
Plus en détailRapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts
Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude
Plus en détailLES OUTILS DÉVELOPPÉS EN WALLONIE POUR PROMOUVOIR DES MARCHÉS PUBLICS DURABLES
LES OUTILS DÉVELOPPÉS EN WALLONIE POUR PROMOUVOIR DES MARCHÉS PUBLICS DURABLES Colloque sur les achats publics durables 18 novembre 2014 LES OUTILS DÉVELOPPÉS EN WALLONIE POUR PROMOUVOIR DES MARCHÉS PUBLICS
Plus en détailDirection régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012
Direction régionale de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt Les actions du PNA concernant l'alimentation des plus démunis 20 novembre 2012 Le PNA Loi de Modernisation de l'agriculture et de
Plus en détailJournée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau
Journée technique ARRA Gestion quantitative de la ressource en eau Etude Volumes Prélevables sur les Usses 2010-2012 5 avril 2013 SMECRU Syndicat Mixte d Etude du Contrat de Rivières des Usses Le bassin
Plus en détailATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012
ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 Intervenants : Charlène MARLIAC, conseil commerce TIC - CCI de Lyon Yann
Plus en détailLivret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s
Livret d accueil pour les futurs parents, les parents et les assistant(e)s maternel(le)s Un livret, pour qui? Ce livret est destiné aux parents et futurs parents qui souhaitent trouver un mode de garde
Plus en détailMicro-irrigation à Madagascar
P R AVSF - J. Mas A X IS LES EXPÉRIENCES I N N O VA N T E S D AV S F PAYS Madagascar TITRE DU PROJET SCAMPIS Développement des Systèmes de Micro-irrigation BÉNÉFICIAIRES DIRECTS Plus de 10 000 familles
Plus en détailSOMMAIRE PARTIE 1 : POURQUOI «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES»?... 3 PARTIE 2 : EPARGNE/CREDIT DU SYSTEME FINANCIER INFORMEL...
Fédération Internationale des Producteurs Agricoles 1 «DONNER DU CREDIT AUX FEMMES RURALES» Ce document fut élaboré dans l objectif d apporter une information la plus complète possible sur le thème du
Plus en détailDATE : Levallois, le 4 septembre 2006. REFERENCES : Circulaire n 18/2006 DESTINATAIRES. - Associations, congrégations et collectivités religieuses
DATE : Levallois, le 4 septembre 2006 REFERENCES : Circulaire n 18/2006 DESTINATAIRES - Associations, congrégations et collectivités religieuses - Les Maisons agréées par la Mutuelle Saint-Martin OBJET
Plus en détailAnalyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique
Analyse des évolutions de l agriculture biologique par le biais de la veille documentaire et technologique Auteurs : Sophie Valleix, responsable d ABioDoc et Esméralda Ribeiro, documentaliste à ABioDoc
Plus en détailRésultats et impacts
Résultats et impacts «Creusement d un puits pour une utilisation maraîchère à Fandène, Sénégal» Village de Diayane Localisation: Village de Diayane dans la commune de Fandene, département de Thiès, à 77
Plus en détailLes 5 à 7 du SYRPA. Photographie et évolution de la population agricole professionnelle française
Les 5 à 7 du SYRPA Photographie et évolution de la population Quels enseignements en tirer pour vos actions de communication? Christophe SEMONT 1. Hyltel en quelques mots 2. Les concepts du recensement
Plus en détailPIERRE PLUS CILOGER. Société Civile de Placement Immobilier classique diversifiée à capital variable. Immobilier d entreprise
PIERRE PLUS Société Civile de Placement Immobilier classique diversifiée à capital variable Immobilier d entreprise CILOGER ! Avertissement L investissement en parts de la SCPI PIERRE PLUS présente les
Plus en détailLa lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012
La lettre électronique du service économie agricole de l'essonne n 3 juillet 2012 Cette lettre du service d'économie agricole (SEA) de la DDT de l'essonne est gratuite. Elle peut librement être recopiée
Plus en détailUniterres. Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Le réseau des épiceries solidaires A.N.D.E.S. Uniterres Assurer la sécurité alimentaire des plus démunis et soutenir une agriculture durable et locale Rapprocher l aide alimentaire et les producteurs locaux
Plus en détailQui sont-ils? Pedro. Tamacha. 9 En quantité, Tamacha mange suffisamment, mais son alimentation n est pas satisfaisante en qualité.
Pedro Tamacha 9 Normalement, Pedro devrait consommer 3 100 kcal/jour pour être en bonne santé et avoir une activité normale, il lui manque 800 calories. 9 Son régime alimentaire est composé de riz, pommes
Plus en détailSERVICE PANIERS FRAICHEUR EN RHONE-ALPES DEMARCHE ET RETOUR D EXPÉRIENCE
SERVICE PANIERS FRAICHEUR EN RHONE-ALPES DEMARCHE ET RETOUR D EXPÉRIENCE ATELIER CEREMA 21 MAI 2015 LYON DÉPARTEMENT MARKETING ET SERVICE / TER RA DIFFUSION LIMITÉE JEUDI 21 MAI 2015 SOMMAIRE 01. DÉFINITION
Plus en détailL eau c est la vie! À l origine était l eau... La planète bleue. Les propriétés de l eau. L homme et l eau. ... et l eau invita la vie.
1 L eau c est la vie! À l origine était l eau... Lors du refroidissement de la terre, qui était une boule de feu à sa création, les nuages qui l entouraient ont déversé leur eau, formant les mers et les
Plus en détailAutodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements
PREFET DE LA REGION LIMOUSIN Autodiagnostic d'exploitation préalable aux demandes d'aides aux investissements A remplir par tous les demandeurs sauf les JA et les CUMA/ASA DEMANDEUR Numéro OSIRIS :...
Plus en détailUN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ
RÉVISIONS DES ÉPREUVES DU BACCALAURÉAT Géographie UN PRODUIT MONDIALISÉ : LE CAFÉ Le café est l un des biens les plus échangés dans le monde. Certains affirment qu il arrive juste après le pétrole, mais
Plus en détail10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010
10 ème Forum IES 2010 Enjeux et Perspectives de l Intelligence Economique Au carrefour des Pratiques REIMS 6-8 octobre 2010 Mission Chanvre pour le Cluster Beaujolais Numéro de la communication : IES-2010-28
Plus en détailLa location de son entreprise
La location de son entreprise La location-gérance permet à un dirigeant d une entreprise de mettre en location son entreprise. La location-gérance se fait pour un temps défini et permet au bailleur de
Plus en détailTel mobiles partie. www.jeuxpouradultes.com
Tel mobiles partie Ce jeu comporte : Une présentation et règle du jeu avec variantes Une liste indicative des actions Une liste vierge à compléter Une fiche de jeu Matériel nécessaire : 2 téléphones portables
Plus en détailRépublique de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION
République de Côte d Ivoire NOTE D INFORMATION UN INSTRUMENT PROFESSIONNEL AU CŒUR DU DEVELOPPEMENT AGRICOLE ET DES FILIERES DE PRODUCTION Investir pour le futur Anticiper - Innover 01 BP 3726 ABIDJAN
Plus en détailMODELES DE QUESTIONNAIRE D ENQUETE SUR LA MOBILITE DES ÉCOLIERS
MODELES DE QUESTIONNAIRE D ENQUETE SUR LA MOBILITE DES ÉCOLIERS OUTIL PRATIQUE L Arene propose aux porteurs de projet de plan de déplacements d école deux modèles de questionnaire modifiables et reproductibles
Plus en détailLa couverture des risques agricoles
PACIFICA - ASSURANCES DOMMAGES La couverture des risques agricoles Patrick Degiovanni Directeur Général Adjoint Page 1 Marrakech, Jeudi 28 octobre 2010 Sommaire Le contexte Les risques du métier en Agriculture
Plus en détailNe laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail!
Ne laissez pas le mauvais temps détruire le fruit de votre travail! Nous vous soutenons dans votre gestion de risques à l aide d une couverture d assurance globale contre les aléas climatiques. AU SERVICE
Plus en détailPROJET DE PÔLE COMMERCIAL SAINT-LOUIS A BREST
PROJET DE PÔLE COMMERCIAL SAINT-LOUIS A BREST ENQUÊTE PUBLIQUE DE DÉCLASSEMENT DE LA PORTION DE LA RUE DES HALLES SAINT-LOUIS SITUÉE AU DROIT DE LA RUE DUQUESNE NOTICE EXPLICATIVE 1 LE DECLIN DES HALLES
Plus en détailASSURANCE PRÊT MARGE ATOUT ON VOUS ASSURE TOUT NOTRE SOUTIEN
ASSURANCE PRÊT MARGE ATOUT ON VOUS ASSURE TOUT NOTRE SOUTIEN LA MARGE ATOUT VOUS OFFRE LA LIBERTÉ, L ASSURANCE PRÊT MARGE ATOUT LA PRÉSERVE! Vous avez choisi la marge Atout pour toute la liberté qu elle
Plus en détailDISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX
DISPOSITIONS LEGISLATIVES ET REGLEMENTAIRES DANS LE SECTEUR DE LA DISTRIBUTION ET DE LA GESTION DES CENTRES COMMERCIAUX Monsieur AIT ABDERRAHMANE Abdelaziz Directeur Général de la Régulation et de l Organisation
Plus en détailFinancer ses études dans la région Languedoc Roussillon (Focus Post Bac)
Financer ses études dans la région Languedoc Roussillon (Focus Post Bac) Financer ses études dans la région Languedoc Roussillon (Focus Post Bac) 1) Aides sur critères sociaux Bourses sanitaires et sociales
Plus en détailVersez votre I.S.F à la Fondation d Hautecombe, c est partager
Versez votre I.S.F à la, c est partager L impôt sur la fortune Une manière efficace de partager avec la Histoire de l Abbaye Bâtie au XII e siècle par les moines cisterciens, l Abbaye d Hautecombe a subi
Plus en détailExemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil
Retour au sommaire Exemple d utilisation des outils MicroSave-Africa au Brésil BIM n 05-12 février 2002 Karin BARLET ; Bonnie BRUSKY Nous vous présentions en novembre dernier les outils d étude de marché
Plus en détailTHEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE
RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse
Plus en détailL Assurance agricole au Sénégal
COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système
Plus en détailLes artisans et leur banque
Chambre de métiers et de l artisanat de Région Nord - Pas de Calais Les artisans et leur banque Analyse des relations entre les artisans et leur banquier Enquête réalisée en août et septembre 2013 Octobre
Plus en détailConseil Spécialisé fruits et légumes
Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de
Plus en détailLES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020
LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie
Plus en détailMETTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE :
METTRE EN PLACE UNE DÉMARCHE RSE : UNE RÉELLE OPPORTUNITÉ POUR VOTRE ENTREPRISE! Salon des Entrepreneurs Mercredi 4 février 2015 Intervenants Frédéric CURIER o Président de Bio Crèche Emilie DAMLOUP o
Plus en détailRapport de fin de séjour Mobilité en formation :
Rapport de fin de séjour Mobilité en formation : A. Vie pratique : J ai effectué mon Master 1 de droit public en Erasmus à Copenhague d août 2009 à fin mai 2010. Logement : Accès au logement : J ai pu
Plus en détailEVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE MINISTERE DE L AGRICULTURE ET DU DEVELOPPEMENT RURAL EVALUATION DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONSOLIDATION DU PROGRAMME DE DÉVELOPPEMENT AGRICOLE Evaluation
Plus en détailLatitude 49.37 N Longitude 06.13 E Altitude 376 m RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014
RÉSUMÉ MENSUEL DU TEMPS DE JANVIER 2014 Valeurs moyennes: Valeur Jour Valeur (en C) (en C) (en C) gazon (en C) 11,4 7 13,9 1975 3,6 0,8 4,9 2007-6,3 1963-3,0 29-17,8 1979-2,8 12-24,6 1985 37,1 50,3 95,5
Plus en détailMonnaie. Options de paiement Il y a différentes façons de paiement pour les produits et services en Estonie:
Monnaie L Euro ( ) est la monnaie officielle de l Estonie depuis le 1er janvier 2011. 1 euro = 100 centimes. Les pièces suivantes sont utilisées: 1, 2, 5, 10, 20 & 50 centimes et 1 & 2 euros. Les dénominations
Plus en détailNote de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan
Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Terres Romanes en Pays Catalan est porteur, en partenariat avec le Pnr
Plus en détailCONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE
CONGRES REGIONAL CTA/ ATPS DE LA JEUNESSE EN AFRIQUE Exploiter le Potentiel de la Science, de la Technologie et de l Innovation dans les chaînes Agro-alimentaires en Afrique : Créer emplois et richesse
Plus en détailConnaissez-vous GROUPAMA BANQUE?
Groupama Banque - Direction de la communication externe - Groupama participe à la protection de l'environnement en utilisant un site imprim vert et des papiers issus des forêts gérées durablement et en
Plus en détailOlivia Ruiz : Les crêpes aux champignons
Olivia Ruiz : Les crêpes aux champignons Paroles et musique : Olivia Ruiz / Mathias Malzieu Polydor / Universal Music Thème La disparition d un être cher. Objectifs Objectifs communicatifs : Émettre des
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailBonus Bon Client 10 % Pack Modulis Agriculture Des garanties exclusives pour vous, vos activités et votre famille!
Bonus Bon Client 10 % Pack Modulis Agriculture Des garanties exclusives pour vous, vos activités et votre famille! Modulis, pour une vision globale et une gestion simplifiée de vos assurances! L agriculture
Plus en détailPLAN DEVELOPPEMENT EXPLOITATION - DESCRIPTION DE L EXPLOITATION REPRISE - 1 Caractéristiques globales LES FACTEURS DE PRODUCTION Productions SAU FONCIER Mécanisé (en %) Irrigué (O/N) Autres Observations
Plus en détailThématiques Questions possibles berufsfeld/fach
LEARNING FOR THE PLANET Liste des sujets Vous cherchez une inspiration pour votre sujet Vous pouvez lire la liste ci-dessous et voir quel thème éveille votre intérêt. Examinez les questions correspondantes.
Plus en détailLa Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives
La Bio pour quoi faire? Une vision du monde de la Bio et quelques perspectives Juin 2012 Lionel FRANCOIS Sommaire La Bio, pourquoi? La Bio c est quoi? La situation de la Bio Les acteurs du Bio Le paysan
Plus en détailN Y OU OÙ 1 Homophones grammaticaux de catégories différentes. ni n y ou où
GRAMMATICAUX DE CATÉGORIES DIFFÉRENTES NI HOMOPHONES N Y OU OÙ 1 Homophones grammaticaux de catégories différentes ni n y ou où NI N Y ni : conjonction de coordination. ni est le pendant négatif de ou
Plus en détailMODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS
UGAMA/Centre de Services aux Coopératives Tél : (00250)562096/562097 Fax : (00250)562251 E-mail :ugamacsc@rwanda1.com MODULE DE FORMATION SUR LA GESTION FINANCIERE & GESTION DES CREDITS Projet commun CSC/UGAMA-WBI-UNDP
Plus en détailValoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique.
Valoriser durablement votre patrimoine immobilier en optimisant sa performance énergétique. L audit de performance énergé Gérer son patrimoine, c est anticiper, analyser et agir! L immobilier représente
Plus en détailFiche Technique. Filière Maraichage. Mais doux. Septembre 2008
Fiche Technique Production Peu Développée en Languedoc-Roussillon Filière Maraichage Mais doux Septembre 2008 Rédigée par : Julien GARCIA Chambre Régionale d Agriculture du Languedoc-Roussillon Potentiel
Plus en détailLa RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur
La RSE au service de la stratégie de l entreprise et de la création de valeur La RSE est aujourd hui un enjeu de première importance pour les entreprises : il reflète la prise de conscience grandissante
Plus en détailAnnexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020
Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe
Plus en détailPrésentation des animations Aux Goûts du Jour
Présentation des animations Aux Goûts du Jour AUX GOÛTS DU JOUR est une association nationale d éducation alimentaire. Objectifs * Aider les enfants et les adultes à retrouver le plaisir de Bien manger.
Plus en détailOpération d Intérêt National Éco-Vallée EcoCité plaine du Var. www.ecovallee-plaineduvar.fr
Opération d Intérêt National Éco-Vallée EcoCité plaine du Var www.ecovallee-plaineduvar.fr 1 2 3 3 Eco-Vallée Un nouveau positionnement économique Faire d Eco-Vallée l accélérateur de la mutation économique
Plus en détailPROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES
29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU
Plus en détailUn espace végétalien dédié à l'expérimentation sociale et écologique
Un espace végétalien dédié à l'expérimentation sociale et écologique Nous sommes un groupe d'individus originaires de différents horizons partageant un rêve commun : vivre en harmonie avec la nature et
Plus en détailÉDUCATION Côtes d Armor. Collèges publics. Charte de la restauration collective DIRECTION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER
ÉDUCATION Côtes d Armor Collèges publics DIRECTION ÉDUCATION JEUNESSE PATRIMOINE IMMOBILIER Charte de la restauration collective Préambule Dans le cadre de l article 82 de la loi du 13 août 2004, le Département
Plus en détailLe contrôle et la certification en agriculture biologique
Version Tunisie 1 ère édition 2006 AGRICULTURE BIOLOGIQUE REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère de l agriculture et des ressources hydrauliques Direction Générale de la Production Agricole TCP/TUN/2903 Le contrôle
Plus en détailLES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT
LES CLES D UNE BONNE STRATEGIE A L EXPORT CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009 Une bonne stratégie à l export ne s improvise pas CCI TOURAINE, pour le Colloque Techniloire, le 09/07/2009
Plus en détailLIVRET DE PRESENTATION
LA GENÈSE DES JARDINS DE CONTRAT 1992, Château-Renault Trois passionnés ouvrent un chantier d'espaces verts et un atelier de menuiserie. Leur but : faire partager leur savoir-faire, l association Contrat
Plus en détailLA CAPACITE DU MINEUR Ai-je le droit d agir seul en tant que mineur?
Droit civil LA CAPACITE DU MINEUR Ai-je le droit d agir seul en tant que mineur? Peux-tu effectuer des achats dans un magasin ou ailleurs? Peux-tu ouvrir un compte bancaire et en retirer de l argent? Pourras-tu
Plus en détailMegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant
MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité
Plus en détailGLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER
GLOSSAIRE THEME CREST WP1 BARRIERE PSYCHOLOGIQUE ET COMPORTEMENTALE BATIMENT INTELLIGENT CAPTEURS CHANGEMENT CLIMATIQUE CHEMINEMENT EDUCATIF COMPORTEMENT CONSEIL ECHANGES PROFESSIONNELS ECO UTILISATION
Plus en détailIndice de Confiance agricole Crelan 2015
Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en
Plus en détailSynthèse territoriale Emploi Formation. Zone d emploi Montpellier. Dynamiques socio-démographiques
Edition juillet 2014 Synthèse territoriale Emploi Formation Méthodologie : ce portrait met en avant les traits saillants de la zone au regard de l ensemble régional et hiérarchise ainsi les zones les unes
Plus en détailLa certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux
C.E.R.A. Cellule Économique Rhône-Alpes Observatoire Régional du BTP La certification des entreprises de Bâtiment et de Travaux Publics en Rhône-Alpes : les enjeux Edition décembre 2006 INTRODUCTION Les
Plus en détailDescriptif du projet
Novembre 2014 Titre du projet Projet nouveau Descriptif du projet Apprentissage en Agriculture en Aquitaine Projet récurrent Année et session concernées Janvier 2015 Organisme demandeur AREFA Association
Plus en détailSynthèse de l enquête insertion 2012. Situation professionnelle des ingénieurs IAARC diplômés en 2010 et 2011
Document interne : ne pas diffuser Synthèse de l enquête insertion 2012 Situation professionnelle des ingénieurs IAARC diplômés en 2010 et 2011 Marie-Camille BUSSENAULT marie-camille.bussenault@supagro.inra.fr
Plus en détailL INUTILITÉ GÉNÉRALISÉE DU TIERS PAYANT
L INUTILITÉ GÉNÉRALISÉE DU TIERS PAYANT Les rendez-vous de l expertise Café Santé Paris 6 novembre 2015 Proposé par Crysal en collaboration avec Merypta avec la participation de Progexia Café Santé - L'inutilité
Plus en détailLes principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012
Les principales difficultés rencontrées par les P.M.E. sont : «La prospection et le recouvrement des créances» Petit déjeuner du 26 juin 2012 Tour de table d une dizaine d indépendants et gérants de P.M.E.
Plus en détailDIRECT ASSURANCE. Les femmes et la cyberconsommation. Etude Direct Assurance Juin 2012 - Focus sur les cyberconsommatrices.
Etude Direct Assurance Juin 2012 - Focus sur les cyberconsommatrices Juin 2012 DIRECT ASSURANCE Les femmes et la cyberconsommation Paris Toronto Shanghaï Buenos Aires Connection creates value Méthodologie
Plus en détailLa méthode de l amortissement direct
Cours 8 (STS, J.-M. Schwab) L amortissement Méthodes et calculs d'amortissements Les biens d une entreprise se déprécient par l usure, par l extinction d un droit (brevet, licence, exclusivité) ou plus
Plus en détailComment utiliser les graines de soja à la cuisine
Comment utiliser les graines de soja à la cuisine Auteur : Renate Schemp Box 90612 Luanshya Zambie Traduction : SECAAR Service Chrétien d Appui à l Animation Rurale 06 BP 2037 Abidjan 06 Côte d Ivoire
Plus en détailATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC
Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
MINISTERE DE L INTERIEUR, DE L OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L'IMMIGRATION MINISTERE CHARGE DE L OUTRE-MER Représenté par son Délégué en exercice CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES
Plus en détail29 mars 2012. Support de correction : Grille d évaluation. Observations générales relatives à l évaluation des copies
51 ème Concours National de la Commercialisation 29 mars 2012 Support de correction : Grille d évaluation Observations générales relatives à l évaluation des copies Le sujet du concours 2012 porte sur
Plus en détailCOMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC
COMPTES-RENDUS DES ATELIERS THÉMATIQUES JUIN 2010 - PHASE DE DIAGNOSTIC AGENDA 21 COMMUNAUTÉ DE COMMUNES PAYS AUBENAS VALS ATELIER N 1 «STRATÉGIE TERRITORIALE ET AMÉNAGEMENT» Animateur des ateliers thématiques
Plus en détailFiche 23 D où viennent les produits de mon petit déjeuner?
Fiche 23 D où viennent les produits de mon petit déjeuner? Au fur et à mesure de l histoire de l alimentation, la provenance des produits que nous mangeons s est diversifiée. Aujourd hui, nous mangeons
Plus en détailCapacité de mémoire Tablettes
Capacité de mémoire Tablettes Les fabricants de tablettes et de smartphones donnent plusieurs indications sur les differentes capacites de stockage de leurs appareils : La mémoire RAM : La mémoire RAM
Plus en détailL EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les
L EAU POTABLE : COMMENT LA PRÉSERVER Bien que l eau soit une ressource renouvelable, il ne faut pas pour autant la gaspiller. Les Québécois sont les deuxièmes plus grands consommateurs d eau potable, juste
Plus en détailL INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE
L INDUSTRIE AGROALIMENTAIRE I- Champ de l étude L industrie agroalimentaire (IAA) regroupe l ensemble des industries de transformation de matières premières, d origine végétale ou animale, destinées à
Plus en détailPoint d actualité. Conseil Economique, Social & Environnemental Régional. Séance plénière 2 février 2015
Conseil Economique, Social & Environnemental Régional Point d actualité Séance plénière 2 février 2015 Rapporteur général : Jean-Jacques FRANCOIS, au nom du Comité de Conjoncture CONTEXTE GÉNÉRAL A la
Plus en détail«Les Potagers de Marcoussis»
«Les Potagers de Marcoussis» Chantier d insertion par le maraîchage biologique Le «Projet conserverie» : Création d une unité de transformation de fruits et légumes locaux, sous forme de structure d insertion
Plus en détailNous sommes avec vous, au moment où vous en avez le plus besoin. Au décès d un proche.
Nous sommes avec vous, au moment où vous en avez le plus besoin. Au décès d un proche. BMO Groupe financier peut vous aider Nous savons que vous traversez une épreuve difficile. Le décès d un proche peut
Plus en détailCENTRALES HYDRAULIQUES
CENTRALES HYDRAULIQUES FONCTIONNEMENT Les différentes centrales hydrauliques Les centrales hydrauliques utilisent la force de l eau en mouvement, autrement dit l énergie hydraulique des courants ou des
Plus en détailETUDE DE LA RENTABILITE FINANCIERE DES EXPLOITATIONS MARAICHERES DE GRAND-POPO
République du Bénin &&&& Ministère de l Agriculture, de l Elevage et de la Pêche (MAEP) &&&&&&&& Institut National des Recherches Agricoles du Bénin (INRAB) &&&&&& Programme Analyse de la Politique Agricole
Plus en détailExercices sur les équations du premier degré
1 Exercices sur les équations du premier degré Application des règles 1 et Résoudre dans R les équations suivantes en essayant d appliquer une méthode systématique : 1 x + = x + 9 x + = x x 1 = x + x +
Plus en détail