Manifestations hémorragiques & Physiopathogénèse de la dengue
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- Geneviève Leclerc
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1 Manifestations hémorragiques & Physiopathogénèse de la dengue Médecin en chef X. Deparis Professeur agrégé du Val-de-Grâce Centre d Epidémiologie et de Santé Publique des Armées (CESPA antenne Marseille) et O. Cassar, S. Matheus, B. Murgue. CEMI 17 Institut Pasteur : Actualités sur les arboviroses 15 et 16 mars
2 Rappel (1) 4 virus : DENV 1, 2, 3, 4 Vecteurs : Aedes Pas d immunité croisée Dengue primaire Dengue secondaire Dengue tertiaire Dengue quaternaire Infection ou dengue secondaire ou multiple 2
3 Rappel (2) Prévention Lutte anti-vectorielle : seul moyen Pas de vaccin Vaccins tétravalents en phase d expérimentation Pas de traitement spécifique 3
4 Importance épidémiologique Population exposée : 2,5 milliards Incidence annuelle : 50 à 100 millions Incidence cas sévères : Fréquence ~ 0,5 p.100 Mortalité spécifique : Létalité : 2,5 à 5 p.100 des cas sévères Impact économique Évalué en centaines de millions 4
5 Importance épidémiologique 5
6 Maladie émergente cas dans 5 pays cas dans 60 pays Cas de dengue sévère déclarés 6
7 Formes cliniques des infections Asymptomatiques 30 à 80 p.100 des cas Symptomatiques Dengue classique (DF : Dengue Fever) 99,5 p.100 des cas Dengue sévère 0,5 p.100 des cas Létalité : 2,5 à 5 p.100 7
8 Physiopathogénèse : le débat Jusque dans les années 1950 Dengue = grippe tropicale 1944 : découverte des DENV 1, 2 Début des années 1950 Épidémies de fièvres hémorragiques Malaisie Thaïlande Découverte des DENV 3, 4 8
9 taux d'hospitalisation Observations : 1962 à 1964 en population générale Taux d hospitalisation spécifique par âge des cas de dengue hémorragique Taux d'hospitalisation suivant l'âge 0,6% 0,5% 0,4% 0,3% 0,2% 0,1% 0,0% 1 ans 2 ans 3 ans 4 ans 5 ans 6 ans 7 ans 8 ans 9 ans 10 ans 11 ans 12 ans 13 ans 14 ans âge année 62 année 63 année 64 9
10 EN THAILANDE (1950/60) Épidémies de dengue hémorragique (DHF/DSS) Taux d incidence des hospitalisations primaires secondaires ou multiples 1 an 4 ans 7 ans âge âge Hypothèse de l infection séquentielle 10
11 Hypothèse de Scott Halstead Ne concerne que le choc de dengue DHF/DSS plus fréquents parmi les infections multiples Donc l infection multiple est un facteur de risque de sévérité Expliqué par le mécanisme des anticorps facilitants (ADE) 11
12 Anticorps facilitants T 1 : Infection primaire Sécrétion d anticorps protecteurs Sécrétion d anticorps facilitants T 2 : Infection secondaire Complexe (virus hétérologue - anticorps facilitants) Pénétration intracellulaire du virus facilitée Augmentation virémie Lyse des monocytes infectés Concentration accrue de médiateurs vaso-actifs pro-coagulants Choc de dengue DHF/ DSS 12
13 Pourtant 13
14 Proportion de dengue primaire et de dengue multiple suivant l âge des populations exposées Modélisation de la situation en Thaïlande 100,0% 90,0% 80,0% 70,0% 60,0% 50,0% 40,0% 30,0% 20,0% 10,0% 0,0% 27 mois Âge en mois proportion de dengue primaire proportion de dengue multiple 14
15 ratio infections II / I Évolution du ratio dengue multiple sur dengue primaire Suivant l âge de la population exposée Modélisation de la situation en Thaïlande L hypothèse de l infection séquentielle âge en mois 15
16 incidence Modélisation de la situation en Thaïlande Taux d'incidence des cas sèvères suivant l'état immunitaire 0,060% 0,050% 0,040% Pic de cas primaires sévères 0,030% 0,020% Pic de cas secondaires sévères 0,010% 0,000% âge en mois primaire secondaire tertiaire quaternaire 16
17 EN THAILANDE (1950/60) Épidémies de dengue hémorragique (DHF/DSS) Taux d incidence des hospitalisations primaires secondaires ou multiples 1 an 4 ans 7 ans âge âge 17
18 2 hypothèses & 1 situation n 1 : immunologique Infection séquentielle expliquée par ADE Les AC des infections précédentes faciliteraient l infection des cellules par un nouveau virus dengue n 2 : classique 4 virus Virulences variables Inoculum viral Variabilité individuelle 18
19 Arguments en faveur de l hypothèse d Halstead L infection séquentielle Asie du Sud-Est Épidémie de Cuba en 1981 ADE : les expérimentations In vitro In vivo 19
20 Fin des années 1980 Infection séquentielle = facteur de risque Nombreuses publications Asie et Cuba (institut Kouri) ADE = l explication physiopathologique Nombreuses publications ADE in vitro Classification OMS : sévérité de la dengue Dengue hémorragique Et quelques formes inhabituelles 20
21 Les avis contraires Hammon Découvreur des DENV 3 et 4 Rosen Entomologiste américain A travaillé avec S. Halstead à Hawaï Cassar & Deparis & Murgue Institut Malardé, Tahiti, Polynésie française 21
22 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, alors cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 22
23 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, ALORS cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 23
24 Classification de l OMS Mesure de la morbidité imparfaite Étude en Polynésie de 1989 à classés DF : 6 décès 28 classés DHF : 4 décès Décès : 4 primaires, 3 secondaires, 3 inconnus Classification de l OMS : imparfaite Ne tient pas compte de la létalité N est pas pronostique Distinction infection primaire / secondaire Sous-estimation des infections primaires 24
25 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, alors cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 25
26 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, alors cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 26
27 Infections primaires : observations Cas primaires sévères ou mortelles Épidémie d Athènes - Grèce (1927/28) Épidémie de Ubon Thaïlande (1958) Épidémie de Niue - Pacifique (1972) Épidémie de Cuba (1981) Épidémies en Polynésie française Épidémies en Amérique du Sud (Brésil) 27
28 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, alors cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 28
29 Infections secondaires : observations Cas secondaires fréquents sans dengue sévère Asie du Sud-Est : avant 1960 Thaïlande, Malaisie, Inde et Cambodge Amérique du Sud et Caraïbes 1950 à 1980 : circulation intense de la dengue Après 1980 : plusieurs épidémies de faible morbidité Pacifique 29
30 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, alors cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 30
31 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, ALORS cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 31
32 L hypothèse de l ADE Expérimentations in vitro ADE démontrée entre plusieurs arbovirus DENV 1, 2, 3, 4 Fièvre jaune West Nile Encéphalite japonaise Encéphalite à tiques Sans conséquence physiopathologique Amérique du Sud, Afrique : vaccination anti-amarile Asie du Sud-Est : encéphalite japonaise 32
33 Évaluation du lien causal Hp d Halstead - Sévérité Sévérité correctement évaluée L infection séquentielle Infections primaires sévères : rares Si infections secondaires, ALORS cas sévères Le mécanisme de l ADE Les expérimentations in vitro doivent avoir une expression in vivo Démonstration in vivo effectuée 33
34 L hypothèse de l ADE Démonstration in vivo? OUI : expérimentation d Halstead chez le singe Aucun singe n a développé de forme sévère Virémie augmentée Uniquement avec une souche DENV-2, pas avec DENV 1, 3, 4 Sur quelques singes parmi plusieurs dizaines Problèmes méthodologiques : jamais reproduit +++ NON : infection séquentielle = protection Expérimentation humaine Dans les années 1930 Essais vaccinaux années 1970/80 2 expérimentations indépendantes sur les singes 34
35 Lien causal ADE et dengue sévère Sévérité : mal évaluée Infection séquentielle = F. de Risque Non démontré ADE Pas de conséquence in vivo de l in vitro Aucune démonstration probante in vivo Ni chez l homme, ni chez le singe Résultats en défaveur de l ADE 35
36 Évaluation objective «Infection séquentielle = facteur de risque»? Outil de mesure fiable de la sévérité des infections Classification OMS 2009 : notion de dengue sévère Fuite plasmatique, hémorragie, défaillance viscérale Technique fiable distinction primaire / secondaire : travaux sur l avidité Ajuster sur le temps d exposition au risque «ADE explique l infection séquentielle»? Lecture experte des expérimentations in vitro et in vivo Méta analyse 36
37 Et sinon? Hypothèse classique : les écrits anciens BRUTALE émergence de souches virales selvatiques en milieu urbain Commerce intensif de singes pour produire du vaccin anti-polio aux USA Arrivée des virus dans les grandes villes d Asie L infection séquentielle et l ADE ne peuvent pas expliquer l émergence des grandes épidémies des années 1960 en Asie
38 En 2012 Constat sur le choc de dengue Les modèles disponibles Pas de modèle animal Les modèles par analogie» Choc dans d autres arboviroses (fièvre jaune)» Choc hémorragique : Ebola» Choc septique bactérien Fuite plasmatique intense Un endothélium vasculaire intact Atteinte fonctionnelle : oui Effet cytotoxique : non 38
39 En 2012 Constat sur le choc de dengue Une étiologie multifactorielle Rôle du virus» Virulence Rôle du vecteur» Sélection des souches virales circulantes» Amplification : inoculum (soupe virale) Rôle de l hôte humain» Facteurs génétiques» Tares 39
40 En 2012 Constat sur le choc de dengue Une étiologie multifactorielle Rôle du virus» Virulence Rôle du vecteur Interaction» Sélection des souches virales circulantes» Amplification : inoculum (soupe virale) Rôle de l hôte humain» Facteurs génétiques» Tares 40
41 En 2012 Constat sur le choc de dengue Défaillance multiviscérale La résultante d une tempête cytokinique Activation de l endothélium vasculaire Sécrétion de facteurs solubles VEGF Sécrétion de formes solubles de sicam, svcam Une part d auto-immunité Ac anti-ns1 41
42 En 2012 La clé : le dysfonctionnement endothélial Action propre du virus Persistance de particules virales après J7 Effecteurs cellulaires Médiateurs immunitaires Interactions complexes Conséquence Perte de la régulation de la perméabilité endothéliale 42
43 En 2012 Quels traitements spécifiques? Aucun Quels vaccins? En attente Une approche de recherche sans a priori De nouveaux outils (protéomiques) Des espoirs 43
44 Une recherche collaborative : une démarche de santé publique Expérimentale Équipes de recherche multidisciplinaires Appliquée, clinique Cliniciens : hospitaliers et de terrain Identification des stratégies et de leurs objectifs Gestion et management participatifs Évaluation objective 44
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