TÉLÉAVC : SIMPLE OU COMPLIQUÉ? *

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "TÉLÉAVC : SIMPLE OU COMPLIQUÉ? *"

Transcription

1 Journées de la Société Française NeuroVasculaire TÉLÉAVC : SIMPLE OU COMPLIQUÉ? * Communication des Drs Isabelle GIRARD BUTTAZ ** et François MOUNIER-VEHIER *** au nom du Groupe TéléAVC Artois Hainaut **** SITUATION DES UNV AU DÉBUT DU PROJET : ANNÉE 2009 En 2009, au début projet, pour une population de près de 2 millions d habitants, on comptait trois UNV ouvertes 24 h/24 dont deux pouvant réaliser 1 thrombolyse sur scanner (Béthune et Lens) et 1 sur IRM (Valenciennes). À l époque le centre hospitalier d Arras constituait une équipe de neurologues mais ne faisait pas de thrombolyse. Le centre hospitalier de Cambrai n avait pas de neurologue et était dans l impossibilité de réaliser une thrombolyse au SAU. Le centre hospitalier de Maubeuge n avait pas d UNV mais disposait de 3 neurologues, sans astreinte, et la thrombolyse pouvait être réalisée les heures et jours ouvrables (figures 1 et 2). PARTICULARITÉS DE LA RÉGION ARTOIS-HAINAUT Dans la région Artois-Hainaut, les trois hôpitaux d Arras, Douai et Cambrai reçoivent chacun 300 à 400 AVC par an et sont identifiés dans le SROS AVC comme devant être des sites UNV. Les hôpitaux de Lens, Valenciennes et Maubeuge ne peuvent en effet prendre en charge la totalité du parcours patient des AVC de ces secteurs. On constate donc une double perte de chance : - en raison de l absence d UNV - et en ce qui concerne la thrombolyse en raison du délai majeur de transport en garde des patients de l Arrageois vers Lens, des patients du Cambrésis et du Maubeugeois vers Valenciennes, de ceux du Douaisis vers Lens ou Valenciennes. Sur le Hainaut, aucun patient hors Valenciennois n a pu avoir une thrombolyse en moins de 3 h. Cette situation a rendu la gestion des ressources humaines médicales difficile, les équipes de Lens et Valenciennes s épuisant sur l astreinte opérationnelle car les déclenchements sont opérés directement par le 15 sur les neurologues qui se déplacent immédiatement avant l arrivée du patient sur site, en astreinte. Le taux de thrombolyse est de 1 pour 5 déclenchements. Par ailleurs, l accès du 1 2 patient à l IRM 24 h/24 n est pas effectif sur tous les centres du fait d un problème de ressources médicales en radiologue mais également en manipulateurs IRM. * 16 es Journées de la Société Française NeuroVasculaire - Paris, les 24 et 25 novembre 2011 ** Centre hospitalier de Valenciennes, avenue Désandrouin, BP F-59322Valenciennes cedex. *** Centre hospitalier de Lens, 99 route de la Bassée - F Lens. **** Dr R. Coche et coll. (Urgences,Valenciennes), Dr P. Pignon et coll. (Urgences, Lens), Dr P. Alarcon et coll. (Urgences, Maubeuge), Dr P. Dobbelaere et coll. (Radiologie, Valenciennes), Dr F. Durant et coll. (Radiologie, Lens), Dr E. Koral et coll. (Radiologie, Maubeuge), Dr F. Mounier-Véhier et coll. (Neurologie, Lens), Dr T. Rosolacci et coll. (Neurologie, Maubeuge), Dr I. Girard Buttaz et coll. (Neurologie, Valenciennes). La Revue des SAMU - Médecine d Urgence à 89

2 UN PROJET EN 3 PHASES Afin de remédier à cette situation un projet en 3 phases a été mis en place. La première phase a consisté en la mise en place et l évaluation de la procédure TéléAVC entre trois sites avec USINV. La seconde phase est celle de la mise en place d une filière AVC au sein des établissements sans neurologie. La troisième phase sera celle visant à l admission des AVC 24 h/24 dans les hôpitaux de proximité et à la gestion par TéléAVC de la prise en charge de la thrombolyse. Phase 1 : Union de 3 centres neurologiques (Lens, Maubeuge, Valenciennes) La phase 1 a été caractérisée par l union de 3 centres neurologiques Lens, Maubeuge, Valenciennes. Les gardes sur place sont alternées au prorata numérique des équipes : une garde de neurologues de 14 praticiens et une garde de radiologues comptant 12 praticiens. Les praticiens neurologues et radiologues de garde gèrent : - leur centre en direct et les deux autres centres par Téléexpertise. Les médecins urgentistes sont intégrés au dispositif en tant que référents du patient ; - le maintien d une astreinte de sécurité neurologique dans les centres qui ne sont pas en garde (gestion des pannes, avis hors thrombolyse, tour USINV) ; - la liaison entre les 3 centres sur le plan informatique par une connexion sécurisée et indépendante d autres solutions de Télé-expertise ; - la création d un dossier spécifique dit TéléAVC HA ; - La mise en place d une thrombolyse 24 h/24 sur IRM dans les 3 centres. Une garde de neurologie et une garde de radiologie gèrent 3 centres avec la collaboration des urgentistes dans chaque centre. Cette phase 1 comporte également les installations techniques : - un équipement de Télé-envoi dans chaque SAU (figures 3 et 4), - une console de Télé-expertise dans chaque service de neurologie (figure 5), - un dossier TéléAVC partagé (figure 6), - des caméras mobiles dans chaque USINV (figure 7), - et un réseau passant par Intermed 59/62 (SIIH) couvrant 24 sites dont 21 en fibre optique en novembre 2011 (figures 8 et 9). Cette première phase a également concerné "les bonnes pratiques" en favorisant l harmonisation des pratiques et des protocoles entre UNV. Les formations ont concerné d une part les personnels paramédicaux, car dans chaque centre une équipe mobile IDE-AS a été créée de façon à assurer la fluidité du parcours du patient. Cette équipe mobile quitte l UNV dés l alerte La Revue des SAMU - Médecine d Urgence

3 7 8 pour prendre en charge directement le patient aux urgences. La formation a également concerné les médecins urgentistes pour le score NIHSS, les urgentistes, neurologues et radiologues pour la manipulation du dossier TéléAVC. L harmonisation des bonnes pratiques a également porté sur l organisation de l accès à l IRM 24 h/24, l écriture et la 9 La Revue des SAMU - Médecine d Urgence

4 formalisation de toutes les procédures organisationnelles et de tous les protocoles y compris radiologiques et la mise en place d une évaluation du processus. Cette évaluation est engagée après 6 mois d activité et est effectuée par le Pr D. Leys. Son objectif est de montrer sa non infériorité par rapport aux procédures classiques. Phase 2 : mise en place d une filière AVC dans les hôpitaux sans UNV La seconde phase concerne la mise en place d une filière AVC dans les hôpitaux sans UNV et en premier lieu dans ceux disposant d un SAU, d une imagerie de coupe (Scanner ou IRM) mais sans service de neurologie. Par ailleurs, cette phase inclut l installation et l organisation de lits dédiés à la prise en charge des AVC par des personnels spécialisés et formés. L installation se réalise en général à partir de lits de médecine polyvalente accueillant déjà des patients AVC. Elle s effectue en liaison avec l UNV de référence dont l établissement dépend et qui assure la formation et la sensibilisation des urgentistes aux bonnes pratiques AVC, et coordonne l organisation de l accès à l imagerie et la mise en place de la filière d aval (SSR). Phase 3 : création d antennes de thrombolyse par Télé-expertise dans les SAU correspondants. La troisième concerne la création d antennes de thrombolyse par Télé-expertise dans les SAU correspondants. Le patient régulé par le centre 15 est adressé au SAU le plus proche. La Télé-expertise est assurée par le socle initial (Union UNV Lens, Maubeuge, Valenciennes). Si une thrombolyse est décidée, elle est réalisée en environnement sécurisé, variable selon les ressources du centre, après formation des personnels correspondants à la thrombolyse neurovasculaire. Le patient est transféré après thrombolyse dans l USINV la plus proche par transport médicalisé. À la sortie de l USINV le patient retourne dans les lits dédiés de l établissement initial et entre ensuite dans la filière d aval. Les neurologues des UNV impliquées assurent l encadrement de la filière. LA SITUATION AUJOURD HUI ET DEMAIN En 2011, l UNV de Lens est passée à la thrombolyse sur IRM 24 h/24. À Cambrai, l ouverture d une unité dédiée est prévue pour le début Pour la thrombolyse, La Revue des SAMU - Médecine d Urgence

5 une garde TéléAVC est prévue à partir du 2 avril À Maubeuge, la labellisation d une UNV-USINV à 6 lits avec garde TéléAVC thrombolyse 24 h/24 sur IRM est réalisée (figure 10). Au centre hospitalier d Arras on dispose de 2,5 ETP neurologues, l ouverture d une UNV d une dizaine de lits (dont 3 lits d USINV) est prévue pour mi-2012 avec intégration à la garde téléavc. Les modalités image restent à définir. Concernant les transactions Télé-expertises, en 5 mois 154 gardes, 155 expertises et 26 thrombolyses ont été réalisées, soit une thrombolyse pour 6 déclenchements et un déclenchement par garde. Une des thrombolyses est exclue des statistiques de délai. "Les données relatives au Rankin à 3 mois ne sont évidemment pas exploitables à ce stade" (figures 11 et 12). L activité des trois centres après 5 mois de mise en route du projet TéléAVC se traduit par 420 alertes et 85 thrombolyses (figures 13 et 14). Cependant deux éléments incitent à modifier le protocole de prise en charge : - la nécessité de gagner en efficience sur le temps "urgentiste", - un délai certes cohérent mais des extrêmes de délai d injection qui nous semblent trop longs. Deux propositions sont à l étude : - utilisation du score NIHSS simplifié dans les fiches de demande des urgentistes, - Télé-expertise du patient après imagerie avec les IDE d USINV plutôt qu avec les urgentistes. Ce qui a rendu les choses faciles La réalisation des trois phases du projet a été grandement facilitée par un accompagnement "fort" de l ARS Nord/ Pas-de-Calais qui est son promoteur et qui, pour cette raison, a donné une impulsion dynamique notamment visà-vis des directions d établissement. Elle a écrit et signé toutes les conventions inter-établissements, après inscription du projet dans les contrats d objectifs et de moyens. Par ailleurs, autre point déterminant, le financement acquis grâce à l association ARS Nord-Pas-de-Calais/SIIH qui a permis l obtention de fonds de FEDER et d une subvention du Conseil régional Nord/Pas-de-Calais pour le déploiement du réseau inter-établissement et pour le financement des équipements. Une ingénierie informatique de qualité a été fournie, après appel d offres, par la société ACCELIS VEPRO, notamment pour la création du dossier TéléAVC et pour sa capacité confirmée d assurer la maintenance 24 h/24. La mise en place du projet a également été facilitée par l organisation de l accès à l IRM 24 h/24 qui est un élément essentiel du dispositif en apportant une aide majeure à la prise de décision thérapeutique. Un autre élément facilitant le projet est le choix qui a été fait d élargir les indications aux AVC du réveil ou d heure de début inconnue et d inclure les AVC régressifs et les AIT dans la procédure de déclenchement. Le troisième facteur de facilité est l implication des équipes paramédicales des UNV dès l admission au SAU. 15 Ce qui a été difficile Il a été difficile de faire admettre aux neurologues l examen à distance, de faire admettre aux urgentistes de travailler avec un neurologue à distance et inconnu et de prendre en charge les alertes "thrombolyse". Une autre difficulté a été de former et de faire admettre aux équipes paramédicales de travailler sans neurologues et sans radiologues présents. D autre part, il a fallu aller au-delà de nos craintes qui concernaient : - les délais de prise en charge par Télé-expertise par rapport à une activité "standard". "Cela nous a poussés à vouloir tout border, jusqu à ce que l écriture de dizaines de protocoles organisationnels finissent par freiner le démarrage". - La peur des pannes techniques a été un autre frein. En fait l expérience prouve que les pannes sont rares et faciles à gérer avec une Hotline 24 h/24 en mesure de prendre la main à distance sur les consoles. TéléAVC Artois Hainaut Aujourd hui, TéléAVC Artois-Hainaut compte 85 praticiens hospitaliers répartis en trois équipes d urgentistes, trois équipes de radiologues et trois équipes de neurologues sur chacun des trois sites Valenciennes, Lens, Maubeuge (figure 15). La structure regroupe également les paramédicaux des urgences, des UNV, et de radiologie des trois centres soit a peu prés 200 agents. La réalisation de ce programme n a été possible que grâce au soutien indispensable des SAMU 59 et 62 (Dr Goldstein, Dr Valette), de l ARS (Dr Dalinval, Dr Lamy, M. Marque), du SIIH (M. G. Tiers), de la société ACCELIS VEPRO (M. JL. Baudet) et du laboratoire Boehringer Ingelheim France qui a soutenu l organisation des réunions entre les professionnels des différents sites. Un projet régional s appuyant sur ce projet Artois-Hainaut a été retenu par l ASIP et sera mis en œuvre dans le cadre du plan national AVC. L objectif à terme consiste à mailler les UNV et SAU de la région afin de permettre à tout patient présentant un AVC d avoir une expertise neurovasculaire dès son entrée dans la filière des soins afin d être orienté vers le site offrant la prise en charge adaptée à son cas. Le CHU de Lille se positionne en recours pour les activités de pointe dont en particulier les techniques endovasculaires. La Revue des SAMU - Médecine d Urgence

BERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude

BERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO

Plus en détail

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique

La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique + La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM

INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS. Marc FOURNIER SAMU13- APHM INTERET ET LIMITES DU TIIH DANS LES TRANSPORTS INTER HOSPITALIERS Marc FOURNIER SAMU13- APHM LES MOYENS DE TRANSPORT INTER HOSPITALIER Ambulance simple : 2 ADE, véhicule catégorie C type A ambulance conçue

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!

1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure

Plus en détail

Programme régional de télémédecine

Programme régional de télémédecine e-santé Programme régional de télémédecine 2012 > Consultation réglementaire www.sante.midi-pyrenees.fr PRT > Programme régional Télémédecine Contexte p. 4 Les actions du premier Programme régional de

Plus en détail

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)

MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

URGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels.

URGENCES. Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels. Chapitre 113 Conférence sur la nouvelle téléphonie et l informatique au sein du Centre de réception et de régulation des appels I. MONSEUR, N. LUBINSKI, V. DUPONT, Dr SICOT, C. MINNE, Dr GOLDSTEIN 1 re

Plus en détail

prise en charge médicale dans une unité de soins

prise en charge médicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

livret d accueil Frais de santé

livret d accueil Frais de santé www.verspieren.com livret d accueil Frais de santé Santé Prévoyance Ce document n a pas de valeur contractuelle. Télétransmission, tiers-payant, décompte frais de santé un langage parfois compliqué pour

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC

MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC MIEUX COMPRENDRE CE QU EST UN ACCIDENT VASCULAIRE CÉRÉBRAL AVC SOMMAIRE UN QUIZ POUR FAIRE UN POINT SUR MES CONNAISSANCES Un quiz pour faire un point sur mes connaissances 3 Vrai Faux Qu est-ce que l on

Plus en détail

Lutter contre les déserts médicaux et les inégalités d accès aux soins : bilan 2013 et perspectives 2014. Dossier de presse 10 Février 2014

Lutter contre les déserts médicaux et les inégalités d accès aux soins : bilan 2013 et perspectives 2014. Dossier de presse 10 Février 2014 Lutter contre les déserts médicaux et les inégalités d accès aux soins : bilan 2013 et perspectives 2014 Dossier de presse 10 Février 2014 MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ 1 J ai lancé, il

Plus en détail

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims

Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44

Plus en détail

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND

GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas

Plus en détail

Architecture Formalisée d une Application Collaborative Cas d une Situation d Urgence en Neurologie *

Architecture Formalisée d une Application Collaborative Cas d une Situation d Urgence en Neurologie * Architecture Formalisée d une Application Collaborative Cas d une Situation d Urgence en Neurologie * R. Edaoudi 1, M. Hamdani 2, K. Bouragba 3, M. Ouzzif 3, H. Mountassir 4, M. Erradi 1 1 Laboratoire

Plus en détail

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines

L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines L hôpital de jour ( HDJ ) en Hôpital général Intérêt d une structure polyvalente? Dr O.Ille Centre hospitalier Mantes la Jolie, Yvelines Hôpital de jour (HDJ) Permet des soins ou examens nécessitant plateau

Plus en détail

Journées de formation DMP

Journées de formation DMP Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé

Plus en détail

La mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit

La mise en place du PACS 1 Midi-Pyrénées s inscrit Pr Louis Lareng ADMINISTRATEUR Dr Monique Savoldelli DIRECTEUR SIH Karine Seymour CHEF DE PROJET 35 GROUPEMENT DE COOPÉRATION SANITAIRE TÉLÉSANTÉ MIDI-PYRÉNÉES, TOULOUSE Mise en place d un PACS mutualisé

Plus en détail

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :

Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé

Plus en détail

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe

La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien

Plus en détail

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir

Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir Extrait Communiqué de presse Saint-Denis, le 12 avril 2012 Nouveau plan greffe : Axes stratégiques pour l avenir La dynamique du plan greffe 2000-2003 a généré un essor sans précédent de près de 50 % de

Plus en détail

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT!

LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! LA DOULEUR INDUITE C EST PAS SOIGNANT! Douleur induite Douleur induite Douleur de courte durée, causée par le soignant ou une thérapeutique dans des circonstances de survenue prévisibles et susceptibles

Plus en détail

La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL)

La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain. Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) La télémédecine, complément nécessaire de l exercice médical de demain Dr Pierre SIMON Président de l Association Nationale de Télémédecine (ANTEL) Angers FHF 13 septembre 2012 Ce qui a changé dans l exercice

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat

LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat JFR 2007 LA RESPONSABILITÉ DU RADIOLOGUE Point de vue de l avocat Xavier Heymans Avocat à la Cour de Bordeaux www.heymans-avocat.com INTRODUCTION Rejet de la fatalité Socialisation du risque Responsabilisation

Plus en détail

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence

INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des Soins d Urgence Centre Hospitalier Universitaire Groupe Hospitalo-Universitaire Carémeau Place du Professeur R. Debré - 30009 Nîmes cedex 9-04 66 68 68 68 www.chu-nimes.fr INAUGURATION DU CESU Centre d Enseignement des

Plus en détail

Energie - réseaux électriques intelligents transfrontaliers Cross-border Healthcare Networks

Energie - réseaux électriques intelligents transfrontaliers Cross-border Healthcare Networks CONFERENCE-DEBAT CONFERENCE-DEBATE I. Présentations - Mutualiser les services en transfrontalier : l exemple de l énergie et de la santé I. Presentations - Mutualising public services: The example of Energy

Plus en détail

Le montant forfaitaire envisagé "est le même que celui en vigueur pour l'indemnisation des ayants droit des agents décédés", ajoute la DGOS.

Le montant forfaitaire envisagé est le même que celui en vigueur pour l'indemnisation des ayants droit des agents décédés, ajoute la DGOS. APM International Jeudi 26 mai 2011-18:43 Gestion des CET: la DGOS annonce des modifications PARIS, 26 mai 2011 (APM) - Des dispositions modifiant la gestion des comptes épargne temps (CET) dans la fonction

Plus en détail

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone

LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES. Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone LA FIN DE VIE AUX URGENCES: LES LIMITATIONS ET ARRÊTS DES THÉRAPEUTIQUES ACTIVES Dr Marion DOUPLAT SAMU- Urgences Timone SOMMAIRE 1. La mort aux urgences 2. Les Limitations et Arrêts des Thérapeutiques

Plus en détail

Un programme de télémédecine au service des objectifs prioritaires de santé de la région Languedoc-Roussillon

Un programme de télémédecine au service des objectifs prioritaires de santé de la région Languedoc-Roussillon Un programme de télémédecine au service des objectifs prioritaires de santé de la région Languedoc-Roussillon PROGRAMME RELATIF AU DÉVELOPPEMENT DE LA TÉLÉMÉDECINE 2 INTRODUCTION Selon la définition adoptée

Plus en détail

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu

Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires. Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Pandémie grippale et réorganisation des soins primaires Le travail de la Maison Médicale de Garde d Ambérieu Introduction Réorganisation profonde nécessaire de l offre de soins Organisation hospitalière

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.

DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes. Service Communication Tel. 04 93 69 75 70 Fax 04 93 69 70 09 Email : a.helbert@ch-cannes.fr DOSSIER DE PRESSE OUVERTURE DU NOUVEL HOPITAL DE CANNES Crédit Photo : Nicolas MASSON Cannes, le 6 avril 2011

Plus en détail

La prise en charge. de votre affection de longue durée

La prise en charge. de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin

Plus en détail

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national

La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance

Plus en détail

Livret d accueil des stagiaires

Livret d accueil des stagiaires Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service

Plus en détail

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012

ET DE LA STRATEGIE. Note de Synthèse. Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 DIRECTION DES AFFAIRES INSTITUTIONNELLES ET DE LA STRATEGIE Note de Synthèse CAMPAGNE TARIFAIRE 2012 : ENVELOPPE MIGAC Domaine : Financement Version : 1 Mise à jour : 04/03/2012 Diffusion: Vos contacts

Plus en détail

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE)

RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) RAPPORT D'OBSERVATIONS DÉFINITIVES SUR LA GESTION DU CENTRE HOSPITALIER RÉGIONAL DE ROUEN (LES SERVICES D URGENCE) SOMMAIRE pages A L étude du contexte local en matière d urgences 2 I Le CHR dans l équipement

Plus en détail

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)

Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon)

Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Dr Agnès Caillette-Beaudoin, Medecin-directeur, Calydial (Lyon) Intervention personnalisée à tous les stades de la Maladie Rénale Chronique Prévention de la progression de la maladie rénale Consultation

Plus en détail

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD)

SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) SADIR assistance, Prestataire de Santé à Domicile (PSAD) 1 PSAD: qui sommes nous - 1 200 000 patients toutes prestations confondues, pris en charge tous les jours à domicile en : oxygénothérapie ventilation

Plus en détail

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.

ARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre

Plus en détail

MSSanté, la garantie d échanger en toute confiance. Mieux comprendre. MSSanté FAQ. Juin 2013 / V1

MSSanté, la garantie d échanger en toute confiance. Mieux comprendre. MSSanté FAQ. Juin 2013 / V1 MSSanté, la garantie d échanger en toute confiance Mieux comprendre MSSanté FAQ Juin 2013 / V1 FAQ MSSanté MSSanté, la garantie d échanger en toute confiance sommaire 1. Le Système MSSanté 2 MSSanté :

Plus en détail

De nouvelles organisations et pratiques de soins par télémédecine

De nouvelles organisations et pratiques de soins par télémédecine Dossier thématique P. Simon Président de l Association nationale de télémédecine (ANTEL), Paris. De nouvelles organisations et pratiques de soins par télémédecine New organizations and healthcare management

Plus en détail

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF

NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE

Plus en détail

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS

OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée

La prise en charge de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES

CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement

Plus en détail

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014

{ Introduction. Proposition GIHP 05/12/2014 Etude descriptive des accidents hémorragiques sous Nouveaux Anticoagulants Oraux au Service d Accueil des Urgences du CHU de Besançon entre janvier 2012 et janvier 2014 { Dr Claire KANY SAMU Besançon KEPKA

Plus en détail

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics)

Procédure adaptée (Article 28 du Code des marchés publics) Cahier des Clauses Techniques Particulières (CCTP) Relatif au projet de : Déploiement du logiciel DMU Net au sein du service des urgences et mise en place d un EAI (Enterprise Application Integration)

Plus en détail

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme

Coordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances

Plus en détail

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux

Plus en détail

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie»

«Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» DOSSIER PAERPA «Améliorer les parcours de santé des personnes âgées en risque de perte d autonomie» 1 _ SOMMAIRE Quelques données chiffrées 3 Les initiatives déjà engagées pour améliorer les parcours de

Plus en détail

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE

ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE ECOLE SUPERIEURE DE L EDUCATION NATIONALE Formation des Chefs d Etablissement d Affectation Management adaptatif et délégations Support participants SOMMAIRE La formation dans son contexte p.3 Les facteurs

Plus en détail

Secteur Protégé d Hématologie

Secteur Protégé d Hématologie INFORMATIONS PATIENTS Secteur Protégé d Hématologie Centre accrédité de greffe de moelle osseuse et de cellules souches d hématopoïétiques Le Secteur d Hématologie est destiné à des patients atteints de

Plus en détail

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015

Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places

Plus en détail

RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables

RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS. De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 1 RECENSEMENT DES USAGES EXPRIMÉS De nombreux usages potentiels exprimés par les adhérents avec des degrés de maturité et de faisabilité variables 2 LE PSIT A DÉFINI UN CADRE POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA

Plus en détail

Cahier des Clauses Particulières Procédure adaptée établie en application de l article 28 et 30 du code des marchés Publics

Cahier des Clauses Particulières Procédure adaptée établie en application de l article 28 et 30 du code des marchés Publics Direction des Ressources Matérielles PRESTATION DE MISE A DISPOSITION DE PERSONNEL MEDICAL INTERIMAIRE POUR LE GROUPEMENT DE COMMANDES DES ETABLISSEMENTS PUBLICS DE SANTE DE GUINGAMP, PAIMPOL ET LANNION-TRESTEL

Plus en détail

Admission (Formalités d ) : Formalités médicales ou non-médicales (questionnaire médical, examens

Admission (Formalités d ) : Formalités médicales ou non-médicales (questionnaire médical, examens Par un langage simple et clair pour faciliter la lecture de nos courriers Les Services aux Clients Santé font de la satisfaction de leurs clients une priorité. Pour vous offrir un service de qualité, nous

Plus en détail

LA CMU COMPLÉMENTAIRE

LA CMU COMPLÉMENTAIRE Vous êtes artisan ou commerçant, le RSI est votre interlocuteur social unique pour toute votre protection sociale personnelle obligatoire. Vous exercez une profession libérale, le RSI gère votre assurance

Plus en détail

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES

Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Plans de secours NOMBREUSES VICTIMES Dispositions générales ORSEC Dr M.NAHON SAMU75 02/2013 Crises sanitaires, Accidents catastrophiques à effets limités (ACEL), Catastrophes Majeures 2 Crises sanitaires,

Plus en détail

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson

Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson. Comprendre la maladie de Parkinson Les troubles non moteurs de la maladie de Parkinson Comprendre la maladie de Parkinson La maladie de Parkinson se définit classiquement par des troubles moteurs. Néanmoins, de nombreux autres symptômes,

Plus en détail

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :

Le GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit : Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour

Plus en détail

ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ"

ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ ICI VOUS ÊTES QUELQU'UN CENTRE HOSPITALIER DE CORNOUAILLE "VOTRE IDENTITÉ C EST VOTRE SÉCURITÉ" ICI VOUS ÊTES ICI VOUS ÊTES VOUS ÊTES UNIQUE UNIQUE < L espérance de vie augmente régulièrement. Cela est

Plus en détail

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél: 03 88 37 37 37 Les CAP français en 2009 Réponse téléphonique Toxicovigilance Flesch Françoise QU EST CE QU UN CENTRE ANTIPOISON Art D.711-9-1 1 (Décret

Plus en détail

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE Direction générale de l offre de soins Sous-direction de la régulation Bureau R4 Dossier suivi par Denise Bauer Tél. : 01 40 56 52 78 Mel. : denise.bauer@sante.gouv.fr

Plus en détail

Prévoyance Santé. Mon mémo. Des solutions efficaces pour vous, vos proches et votre entreprise. Professionnels. l UN TÉLÉCONSEILLER EN LIGNE AU :

Prévoyance Santé. Mon mémo. Des solutions efficaces pour vous, vos proches et votre entreprise. Professionnels. l UN TÉLÉCONSEILLER EN LIGNE AU : Mon mémo Votre conseiller se tient à votre disposition pour vous apporter les précisions et réponses aux questions que vous vous posez et reste votre interlocuteur privilégié. En complément, vous avez

Plus en détail

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier

CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier P. PUECH, JF. LAHAYE, JC. FANTONI [2], L. LEMAITRE CHRU de Lille [1] Plateau commun d Imagerie médicale - Hôpital Claude Huriez

Plus en détail

CONTRAT ANI RESPONSABLE. santé TPE. Grand Ouest et DOM-TOM. Une offre simple et innovante spécialement conçue pour les TPE et leur dirigeant salarié

CONTRAT ANI RESPONSABLE. santé TPE. Grand Ouest et DOM-TOM. Une offre simple et innovante spécialement conçue pour les TPE et leur dirigeant salarié CONTRAT ANI RESPONSABLE santé TPE Grand Ouest et DOM-TOM Une offre simple et innovante spécialement conçue pour les TPE et leur dirigeant salarié NOUVEAUTÉ 2015 Santé TPE, un contrat facile à mettre en

Plus en détail

Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel

Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Télésurveillance à domicile de patients chroniques et pratiques collaboratives : arrêt sur image vu d un Industriel Colloque Tic Santé,11 février 2010 Dr France Laffisse, Orange Healthcare Plan Télésurveillance

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale

DOSSIER DE PRESSE. Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale DOSSIER DE PRESSE Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale Service de presse et de communication : MHC Communication Marie-Hélène Coste / Véronique Simon 38 avenue Jean Jaurès - 94110 Arcueil Tél.

Plus en détail

OUVERTURE ET MISE EN PLACE

OUVERTURE ET MISE EN PLACE OUVERTURE ET MISE EN PLACE Estelle Marcault 20/01/2012 URC PARIS NORD 1 Ouverture et mise en place Trois types de visites/ réunions peuvent avoir lieu : Visite de sélection Réunion investigateur Visite

Plus en détail

SDRSIS Systèmes d information en santé

SDRSIS Systèmes d information en santé SDRSIS Systèmes d information en santé SCHÉMA DIRECTEUR RÉGIONAL DES SYSTÈMES D INFORMATION EN SANTÉ SDRSIS Systèmes d information en santé Introduction...4 La démarche...5 Le contexte des Systèmes d

Plus en détail

Journal de la migraine

Journal de la migraine Sandoz Pharmaceuticals SA Hinterbergstrasse 24 6330 Cham 2 Tél. 041 748 85 85 Fax 041 748 85 86 www.generiques.ch a Novartis company 50001252/mars 2008 Journal de la migraine avec le questionnaire sur

Plus en détail

Ateliers Santé Ville de Marseille

Ateliers Santé Ville de Marseille Ateliers Santé Ville de Marseille QUESTIONS-REPONSES SUR LES DROITS A LA COUVERTURE MALADIE Dernière mise à jour : 07 mars 2011 Préambule Ce document est destiné aux professionnels concernés par les questions

Plus en détail

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE. Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie Hospices cantonaux Centre Hospitalier Universitaire Vaudois DOSSIER DE PRESSE Création du Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie 1. Le Centre romand hospitalo-universitaire de neurochirurgie

Plus en détail

Chaîne de production des médicaments

Chaîne de production des médicaments Chaîne de production des médicaments GPAO : Aspects légaux et pharmaceutiques 2 Principe de base Une préparation n est entreprise que si la pharmacie possède les moyens appropriés pour la réaliser et la

Plus en détail

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085

Liège, le 29 juillet 2013. APPEL INTERNE et EXTERNE AUX CANDIDATURES N 2013-085 Centre Hospitalier Universitaire de Liège Domaine Universitaire du Sart Tilman B35 4000 LIEGE 1 www.chuliege.be Département de Gestion des Ressources Humaines Service Recrutement Liège, le 29 juillet 2013

Plus en détail

QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.

QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design

Plus en détail

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ

MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ _ Direction de la recherche, des études, de l évaluation et des statistiques _ Sous-direction observation de la santé et de l assurance maladie _ Bureau établissements

Plus en détail

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :

PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service

Plus en détail

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté :

Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Les Dossiers Médicaux Partagés en Franche-Comté : Retour d'expérience du GCS EMOSIT-FC GCS EMOSIST-fc 10, avenue Clemenceau 25000 Besançon PLAN DE LA PRESENTATION 1 La Franche-Comté & EMOSIST-FC 2 Organiser

Plus en détail

À tout moment. une mutuelle sur qui compter

À tout moment. une mutuelle sur qui compter À tout moment une mutuelle sur qui compter Harmonie Mutualité, votre partenaire santé Votre entreprise vous permet de bénéficier d une complémentaire santé collective Harmonie Mutualité. En nous rejoignant,

Plus en détail

squadra Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQG PRÉS 100610

squadra Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQG PRÉS 100610 squadra G E S T I O N Présentation de Squadra Gestion Ensemble établissons de nouvelles règles... SQUADRA ASSURANCES a développé sa plate forme de gestion: SQUADRA GESTION. Ses équipes dédiées partagent

Plus en détail

PLURIELLE. Une solution sur-mesure, pour protéger la santé de vos salariés et les performances de votre entreprise

PLURIELLE. Une solution sur-mesure, pour protéger la santé de vos salariés et les performances de votre entreprise PLURIELLE Une solution sur-mesure, pour protéger la santé de vos salariés et les performances de votre entreprise COMPLÉMENTAIRE SANTÉ D ENTREPRISE Une formule de complémentaire santé collective souple,

Plus en détail

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012

CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 CONGRES HOPITECH AMIENS OCTOBRE 2012 NOUMBISSIE Emmanuel, ingénieur en organisation et méthodes à la direction générale de l hôpital marne la vallée ( Lagny) Transfert d activités sur un nouveau site :

Plus en détail

Aide kinésithérapeute : une réalité?

Aide kinésithérapeute : une réalité? Aide kinésithérapeute : une réalité? Fabien Launay Cadre supérieur du pôle rééducation CHU de Dijon Dijon (21) Préambule : La fonction d aide-kinésithérapeute n est pas nouvelle. Elle peut être occupée

Plus en détail

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant

MegaStore Manager ... Simulation de gestion d un hypermarché. Manuel du Participant MegaStore Manager Simulation de gestion d un hypermarché.......... Manuel du Participant 1. Introduction 1.1. La simulation de gestion Vous allez participer à une simulation de gestion. Cette activité

Plus en détail

TÉLÉMÉDECINE EN FRANCHE-COMTÉ

TÉLÉMÉDECINE EN FRANCHE-COMTÉ TÉLÉMÉDECINE EN FRANCHE-COMTÉ PROGRAMME 2012-2016 Préface Dans une région à forte composante rurale et dont la démographie médicale pourrait rapidement devenir préoccupante, nous devons anticiper et permettre

Plus en détail

Isabelle GONZALEZ Orthophoniste - Mérignac

Isabelle GONZALEZ Orthophoniste - Mérignac CURRICULUM VITAE RENSEIGNEMENTS PERSONNELS Isabelle GONZALEZ Orthophoniste - Mérignac http://www.leccom.fr FORMATION Universitaire : - CERTIFICAT DE CAPACITE D ORTHOPHONISTE en 1980, après soutenance d

Plus en détail

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux

Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et

Plus en détail

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012

Le DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012 Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche

Plus en détail

Table des Matières. Pages 3-4. A propos d emblue. Page 5. L environnement emblue. Création d une campagne d e-mail marketing. Pages 6-15.

Table des Matières. Pages 3-4. A propos d emblue. Page 5. L environnement emblue. Création d une campagne d e-mail marketing. Pages 6-15. MODE D EMPLOI Table des Matières Pages 3-4 A propos d emblue Page 5 L environnement emblue Pages 6-15 Création d une campagne d e-mail marketing Pages 16-17 Liste de contacts Pages 18-20 Résultats des

Plus en détail

lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16

lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 P.3! " P.7! # $!%& # $!# $ ' (") P.9 *$ (") +,(") a) )! " #$ %$ lv. Fiches de présentation des Maisons de Santé Pluridisciplinaires P.16 & ' (()# " )2 #% * +,,,- - -$. / 0 ()./ *. 1 - -() * 2+,3+ 1 (.

Plus en détail

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique

Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Identification et analyse des ruptures de flux en pratique Benjamin GAREL Directeur Qualité CHU GRENOBLE Catherine GUIMIER Pharmacien praticien hospitalier CHU GRENOBLE Contexte Ouverture NSC en 2007 Activité

Plus en détail

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP

Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP Séquence 1 : La place du MSP et de l ISP 1- Sécurité civile et police administrative L activité opérationnelle des sapeurs pompiers s exercent dans le cadre de la police administrative. La police administrative

Plus en détail