Table des matières. CHAPITRE 1 Architecture fonctionnelle des systèmes nociceptifs
|
|
- Lucienne Doucet
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CHAPITRE 1 Architecture fonctionnelle des systèmes nociceptifs I Nocicepteurs et fibres afférentes primaires A Description générale... 1 B Récepteurs membranaires des nocicepteurs impliqués dans la sensibilité thermique et mécanique 2 C Récepteurs membranaires des nocicepteurs impliqués dans la sensibilité chimique et la sensibilisation D Innervation et nociception viscérales E Nocicepteur: une partie du neurone ganglionnaire... 6 F Projection des fibres afférentes primaires sur la corne dorsale Il Neurones de la corne dorsale de la moelle épinière et du noyau spinal du trijumeau... 7 A Couches superficielles: premier relais central des messages nociceptifs B Couches profondes de la corne dorsale: un lieu de convergence nociceptive très riche... 8 C Complexe sensitif du trijumeau : un lieu d'intégration nociceptive orofaciale et méningée D Quadrant ventrolatéral (QVL) et faisceau extralemniscal (FEL): faisceaux des axones des neurones nociceptifs de la moelle et du complexe trigéminal E Cordons postérieurs: rôle possible dans les douleurs viscérales III Projections des neurones nociceptifs sur le tronc cérébral et le cerveau A Projection des neurones de la couche I B Projections des neurones nociceptifs de la couche V C En résumé: systèmes et structures du cerveau directement impliqués dans la nociception IV Conclusion CHAPITRE 2 Systèmes de modulation de la douleur I Modulation périphérique Il Modulation segmentaire III Modulation bulbospinale...32 A Région caudale du tronc cérébral : subnucleus reticularis dorsalis (SRD) IX
2 Douleurs : physiologie, physiopathologie et pharmacologie B Région rostrale du tronc cérébral : bulbe rostroventromédian (RVM) C Implications fonctionnelles...34 IV Cortex cérébral : source universelle de modulation nociceptive A Cortex limbique et modulation nociceptive B Modulation corticofuge des neurones de la corne dorsale C Modulation corticofuge du système trigéminal D Modulation corticofuge des contrôles bulbospinaux E Modulation corticothalamique...40 V Conclusion...40 CHAPITRE 3 Génétique et génomique fonctionnelle de la douleur I Génétique de la douleur chez l'homme...46 A Canal sodique Nav1.7 au coeur de la perception douloureuse chez l'homme B Neuropathies héréditaires sensitives (HSN) ou neuropathies héréditaires sensitives et autonomes (HSAN) Il Polymorphisme génétique et modulation de la nociception chez l'homme A Récepteurs opioïdes B Catéchol-O-méthyl transférase C Récepteurs-canaux TRP D Conclusion III Apport de la génomique fonctionnelle dans la compréhension et le traitement des douleurs chroniques 55 IV Transcriptome et douleur Stratégies d'étude globale de l'expression des gènes A Une signature moléculaire globale de la douleur? B Immunité et douleur...58 C Mémoire de la douleur V Conclusion et perspectives CHAPITRE 4 Stéroïdes endogènes et douleur I Hormones stéroïdes et neurostéroïdes Il Biosynthèse des stéroïdes endogènes A Voie de la DHEA B Voie de la progestérone...69 III Modes d'action et cibles des stéroïdes/neurostéroïdes IV Effets des stéroïdes sur la nociception et la douleur A Hormones stéroïdes B Neurostéroïdes et stéroïdes neuroactifs...72 V Conclusion X
3 CHAPITRE 5 Méthodes d'exploration de la douleur chez l'animal I Méthodes d'évaluation de la douleur aiguë A Tests mettant en jeu une stimulation thermique B Tests mettant en jeu une stimulation mécanique C Tests mettant en jeu une stimulation électrique D Tests mettant en jeu une stimulation chimique Il Méthodes d'évaluation de la douleur prolongée A Injection intradermique de formol B Injection sous-cutanée de venin d'abeille...90 C Injection intradermique de capsaïcine D Injection intraplantaire de carragénine III Conclusion...91 CHAPITRE 6 Modèles de douleurs chroniques chez l'animal I Modèles de douleurs chroniques inflammatoires Il Modèles de douleurs chroniques neuropathiques A Modèles étiopathogéniques B Modèles symptomatiques III Conclusion CHAPITRE 7 Peut-on modéliser les aspects affectifs de la douleur? I Introduction Il Effets nocebo et placebo III Comorbidité entre anxiété et/ou dépression et douleurs : étude chez l'homme IV Comorbidité entre anxiété et/ou dépression et douleurs: étude chez l'animal A Modèles animaux de dépression et d'anxiété B Étude des relations entre pathologies anxiodépressives et douleurs V Conclusion CHAPITRE 8 Exploration de la douleur chez l'homme I Approche psychophysique A Méthodes de détermination des seuils de douleur B Application de la théorie de la détection du signal à l'étude la douleur XI
4 Douleurs : physiologie, physiopathologie et pharmacologie C Mesure des sensations D Utilisation de la mesure des seuils de douleur ou des réponses à des stimulations supraliminaires en clinique Il Approche psychophysiologique A Analyse des mécanismes périphériques : la microneurographie B Analyse des mécanismes médullaires: le réflexe nociceptif de flexion RIII C Analyse des mécanismes cérébraux: potentiels évoqués corticaux et imagerie fonctionnelle cérébrale III Conclusion CHAPITRE 9 Physiopathologie des douleurs inflammatoires I Douleur inflammatoire aiguë Il Douleur inflammatoire chronique III Exemple d'une douleur inflammatoire chronique: le développement de métastases osseuses IV Conclusion CHAPITRE 10 Mécanismes physiopathologiques des douleurs neuropathiques I Douleurs neuropathiques liées à une lésion nerveuse périphérique A Mécanismes périphériques B Mécanismes centraux Il Douleurs centrales III Conclusion CHAPITRE 11 Physiopathologie des douleurs postopératoires I Preuves de l'existence d'une hyperalgésie après chirurgie Il Mécanismes de l'hyperalgésie postopératoire A Inflammation, nociception, hyperalgésie B Sensibilisation périphérique: responsable de l'hyperalgésie primaire C Sensibilisation des nocicepteurs D Sensibilisation centrale III Prévention de l'hyperalgésie postopératoire A Anesthésie locorégionale B Kétamine C Gabapentine IV Conclusion XII
5 CHAPITRE 12 Physiopathologie des douleurs orofaciales idiopathiques I Notion de douleurs et de maladies fonctionnelles Il Taxonomie des algies orofaciales idiopathiques III Aspects cliniques A Algie faciale atypique B Odontalgie atypique C Stomatodynie D Différentes formes d'arthromyalgies faciales IV Hypothèse physiopathologique : le cas de la stomatodynie A La stomatodynie est une neuropathie B Etiologie : dérégulation de la balance stéroïdienne C Effet d'un dysfonctionnement de la synthèse des stéroïdes sur les tissus nerveux D Conclusion V Cas des autres AOFI et des douleurs fonctionnelles non exclusivement trigéminales CHAPITRE 13 Neurophysiologie de la nociception trigéminale et physiopathologie de la migraine I Neurophysiologie de la nociception trigéminale A Afférences et territoires d'innervation B Mécanismes segmentaires de la nociception trigéminale C Mécanismes suprasegmentaires de la nociception trigéminale D Mécanismes de contrôle de la douleur Il Physiopathologie de la migraine A Génétique de la migraine B Hyperexcitabilité corticale C Dépression corticale envahissante D Dysfonctionnement du tronc cérébral et/ou de l'hypothalamus E Activation du système trigéminovasculaire F Sensibilisation centrale CHAPITRE 14 Pharmacologie des anti-inflammatoires non stéroïdiens I Mécanisme d'action Il Principales caractéristiques pharmacocinétiques A Voies d'administration B Distribution et métabolisme III Propriétés pharmacodynamiques A Action antipyrétique XIII
6 Douleurs : physiologie, physiopathologie et pharmacologie B Action antalgique C Action anti-inflammatoire D Action sur l'hémostase IV Efficacité thérapeutique V Effets indésirables A Effets indésirables digestifs B Complications cutanéomuqueuses C Complications rénovasculaires D Autres complications VI Indications VII Contre-indications et précautions d'emploi A Contre-indications B Précautions d'emploi CHAPITRE 15 Pharmacologie des antalgiques non opioïdes I Paracétamol A Propriétés pharmacologiques B Efficacité thérapeutique C Effets indésirables Toxicité D Contre-indications Précautions d'emploi E Interactions médicamenteuses F Surdosage Il Anti-inflammatoires non stérodiens A Propriétés pharmacologiques B Effets thérapeutiques C Effets indésirables D Contre-indications E Interactions médicamenteuses III Néfopam A Propriétés pharmacologiques B Efficacité thérapeutique C Effets indésirables D Contre-indications Précautions d'emploi E Interactions médicamenteuses F Surdosage IV Dipyrone A Propriétés pharmacologiques B Efficacité thérapeutique C Effets indésirables Toxicité D Contre-indications Précautions d'emploi E Surdosage XIV
7 CHAPITRE 16 Morphiniques et douleur aiguë I Propriétés pharmacodynamiques A Actions sur le système nerveux central B Actions cardiovasculaires C Actions sur le tube digestif D Actions sur l'appareil urinaire E Actions sur l'oeil F Tolérance, dépendance physique et assuétude Il Morphine A Propriétés physicochimiques B Métabolisme et élimination C Pharmacocinétique plasmatique D Actions pharmacologiques propres à la morphine E Présentation, utilisation clinique III Codéine IV Fentanyl A Propriétés physicochimiques B Métabolisme C Pharmacocinétique plasmatique D Facteurs de variation de la cinétique E Pharmacodynamique F Présentation, utilisation clinique V Sufentanil A Propriétés physicochimiques B Métabolisme C Pharmacocinétique D Pharmacodynamique VI Nouveaux opiacés VII Agonistes-antagonistes morphiniques A Pentazocine (Fortal ) B Nalbuphine (Nubain ) C Buprénorphine (Temgésic ) VIII Antagoniste morphinique: la naloxone (Narcan) 256 A Propriétés physicochimiques B Métabolisme C Pharmacocinétique D Pharmacodynamique E Présentation, utilisation clinique IX Utilisation de la morphine dans la douleur aiguë A Titration de la morphine par voie IV en service d'urgence B Morphine par voie sous-cutanée C Analgésie autocontrôlée par voie IV X Utilisation de la nalbuphine XI Utilisation de la buprénorphine XV
8 Douleurs : physiologie, physiopathologie et pharmacologie CHAPITRE 17 Pharmacologie des antidépresseurs I Classification Il Propriétés pharmacologiques A Pharmacocinétique B Pharmacodynamie III Efficacité thérapeutique A Douleurs neuropathiques B Douleurs rhumatologiques C Migraine IV Effets indésirables V Contre-indications VI Précautions d'emploi VII Grossesse et allaitement A Grossesse B Allaitement CHAPITRE 18 Mécanismes d'action des antiépileptiques dans la douleur I Efficacité clinique des antiépileptiques en analgésie : douleur neuropathique, migraine A Antiépileptiques et traitement des douleurs neuropathiques B Antiépileptiques et migraine Il Principales cibles d'action des antiépileptiques A Effet prédominant sur la transmission GABAergique B Effet prédominant sur la transmission glutamatergique C Effet sur les contrôles inhibiteurs descendants III Principaux mécanismes rendant compte de l'efficacité des antiépileptiques dans les douleurs neuropathiques et la migraine A Douleurs neuropathiques B Migraine C Existe-t-il des similitudes entre les mécanismes d'action des antiépileptiques dans la douleur neuropathique, la migraine et l'épilepsie? IV Conclusion CHAPITRE 19 Pharmacogénétique des analgésiques I Transporteurs membranaires: glycoprotéine P A Influence de la P-gp sur les AINS et le paracétamol B Influence de la P-gp sur les opioïdes C Influence de la P-gp sur les antagonistes du récepteur NMDA XVI
9 Il Métabolisme : les enzymes de phase I A Cytochrome P450 (CYP) 1A B Cytochrome P450 (CYP) 2B C Cytochrome P450 (CYP) 2C9/2C D Cytochrome P450 (CYP) 2C E Cytochrome P450 (CYP) 2D F Cytochrome P450 (CYP) 2E G Cytochrome P450 (CYP) 3A4 et 3A III Métabolisme: les enzymes de phase II A Uridine diphosphate glucuronosyl transférases B Catéchol-0-méthyl transférase (COMT) IV Récepteurs A Récepteur opioïde 306 B Récepteur de la mélanocortine de type V Conclusion CHAPITRE 20 Neuroanatomie fonctionnelle de l'effet placebo I Effet placebo: faiblesse de l'esprit ou conséquence inévitable?... Il Pharmacologie de l'analgésie placebo et de son antithèse, l'hyperalgésie nocebo A Analgésie placebo et système opioïde B Hyperalgésie nocebo et cholécystokinine (CCK) III Pharmacologie des attentes: où chercher dans le cerveau? IV Neuroanatomie fonctionnelle de l'analgésie placebo A Phase anticipatoire B Modulation du signal douloureux (réponse placebo) V Implications cliniques Index XVI I
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775
SOCIETE MEDICALE DES HOPITAUX DE PARIS Association reconnue d utilité publique - FMC n 11752573775 Hôpital Cochin - Service Médecine Interne du Pr Le Jeunne 27, rue du Faubourg Saint Jacques - 75014 PARIS
Plus en détailE04a - Héparines de bas poids moléculaire
E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique
Plus en détailCéphalées de tension. Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris
Céphalées de tension Hélène Massiou Hôpital Lariboisière, Paris Céphalée de tension : une maladie hétérogène La plus fréquente des céphalées primaires Diagnostic basé sur l interrogatoire Manque de spécificité
Plus en détailLES DOULEURS ORO- FACIALES
LES DOULEURS ORO- FACIALES Diagnostic différentiel CNO SA 16-17 Septembre 2011 Mathieu PITZ Douleurs Bruits articulaires Limitation des mouvements mandibulaires Abrasions dentaires MOTIFS DE CONSULTATION
Plus en détail7- Les Antiépileptiques
7- Les Antiépileptiques 1 Définition L épilepsie est un trouble neurologique chronique caractérisé par la survenue périodique et imprévisible de crises convulsives dues à l émission de décharges électriques
Plus en détailDOULEURS NEUROPATHIQUES. André Muller
DOULEURS NEUROPATHIQUES André Muller La douleur, ce n est pas ce que sent l individu, c est ce qu il fait de la sensation. Il fait avec ce qu il est. Il est ce que les autres et lui-même ont fait de lui.
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailDOULEUR AIGUË. La prise en charge de la douleur aigue commence par une écoute attentive, une évaluation détaillée
Département de médecine communautaire, de premier recours et des urgences Service de médecine de premier recours DOULEUR AIGUË S. Pautex¹, V. Piguet² Service de médecine de premier recours¹, HUG Service
Plus en détailSemaine de la sécurité des patients: novembre 2012
Semaine de la sécurité des patients: novembre 2012 Qu'est-ce-que la douleur? La douleur est une sensation désagréable et complexe (sensorielle et émotionnelle). Cette sensation provient de l'excitation
Plus en détailCEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)
CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère
Plus en détailEXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE
EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation
Plus en détailla lettre Individualisation thérapeutique et analgésiques vers une médecine personnalisée DOSSIER www.institut-upsa-douleur.org
SEPTEMBRE 2012 37 n la lettre de l Institut UPSA de la douleur DOSSIER Individualisation thérapeutique et analgésiques vers une médecine personnalisée Jules DESMEULES Service de Pharmacologie et Toxicologie
Plus en détailLa migraine : une maladie qui se traite
La migraine : une maladie qui se traite L évolution natuelle de la migraine Maladie fluctuante+++ Modification des symptômes avec l âge ++ : Moins de crises sévères Caractère pulsatile moins fréquent Plus
Plus en détailFonction de conduction de la moelle épinière. Dr F. TOUMI
Fonction de conduction de la moelle épinière Dr F. TOUMI I. GENERALITES : Communication Moelle avec les centres supra spinaux Communication Intra segmentaire (ipsilatérale / controlatérale) Communication
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailDoit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur?
Doit on et peut on utiliser un placebo dans la prise en charge de la douleur? Dr Philippe Poulain Unité Territoriale de Soins Palliatifs Polyclinique de l Ormeau Tarbes phpoulain@wanadoo.fr Placebo: de
Plus en détailSPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE
SPÉCIFICITÉS ET PRISE EN CHARGE DE LA DOULEUR CANCÉREUSE CHEZ L ADULTE Dr Cécile BESSET Equipe Mobile de Soins Palliatifs CHRU Besançon 23/01/2015 DÉFINITION, GÉNÉRALITÉS «Expérience sensorielle et émotionnelle
Plus en détailMigraine et Abus de Médicaments
Migraine et Abus de Médicaments Approches diagnostiques et thérapeutiques des Céphalées Chroniques Quotidiennes Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailSociété d étude et de traitement de la douleur. Ministère de la Santé et de la Protection sociale
Société d étude et de traitement de la douleur Ministère de la Santé et de la Protection sociale Avant-propos........................ 3 Introduction........................ 5 Pourquoi La Douleur en questions?................
Plus en détailUtilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique
mise au point Utilisation des patchs d opioïdes dans les douleurs chroniques chez les patients en rémission oncologique Rev Med Suisse 2015 ; 11 : 1385-9 L. Oberlé C. Luthy A. Pugliesi S. Pautex V. Piguet
Plus en détailLa migraine. Foramen ovale perméable. Infarctus cérébral (surtout chez la femme)
La migraine 1/Introduction : Céphalée primaire (sans lésion sous-jacente). Deux variétés principales: Migraine sans aura (migraine commune). Migraine avec aura (migraine accompagnée). Diagnostic: interrogatoire
Plus en détailRecommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT RECOMMANDATIONS
Recommandations de bonne pratique PRISE EN CHARGE MEDICAMENTEUSE DE LA DOULEUR AIGUË ET CHRONIQUE CHEZ L ENFANT Partie 1 : Prise en charge de la douleur en milieu hospitalier et situations particulières
Plus en détailLes nouveaux triptans dans la migraine
Les nouveaux triptans dans la migraine J.M. Senard*, N. Fabre** P O I N T S F O R T S P O I N T S F O R T S Comme le sumatriptan, ce sont des agonistes sérotoninergiques 5HT1B/D ayant une action périphérique
Plus en détailAcupuncture, une approche non médicamenteuse?
Acupuncture, une approche non médicamenteuse? Docteur Marc Martin Attaché CHU de Rouen, service de neurophysiologie, unité sommeil Coordinateur des DIU acupuncture obstétricale et DIU initiation capacité
Plus en détailTRAITEMENT DE LA MIGRAINE. programme aux résidents de neurologie
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE programme aux résidents de neurologie LA MIGRAINE Classification I.H.S. 1.1 Migraine sans aura 1.2 Migraine avec aura 1.2.1 Migraine avec aura typique 1.2.2 Migraine avec aura
Plus en détailDouleur. et maladies neuromusculaires REPÈRES JANVIER 2012 SAVOIR ET COMPRENDRE
ktsdesign-fotolia.com AFM / L. Audinet AFM / L. Audinet Douleur et maladies neuromusculaires JANVIER 2012 La douleur est une sensation complexe qui est propre à chacun. Sa perception dépend d un système
Plus en détailMigraine : une maladie qui se soigne
Migraine : une maladie qui se soigne SOMMAIRE La prise en charge de la migraine : manque d information ou de formation?. p. 2 À chaque migraineux son traitement. p. 3 Vivre avec la migraine.. p. 5 À propos
Plus en détailDIPLOME D'ETAT DE DOCTEUR EN PHARMACIE
DIPLOME D'ETAT DE DOCTEUR EN PHARMACIE RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : DE docteur en pharmacie Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation Le diplôme de Docteur en Pharmacie
Plus en détailD-52589-2012. Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW
D-52589-2012 Gardez votre objectif en vue DRÄGER SMARTPILOT VIEW 02 DRÄGER SMARTPILOT VIEW Passer des données aux décisions Comme une image peut en dire bien plus que mille mots, une nouvelle technologie
Plus en détailNEUROPATHIES PERIPHERIQUES MIGRAINE ET ALGIES NEUROPATHIES PERIPHERIQUES
NEUROPATHIES PERIPHERIQUES MIGRAINE ET ALGIES NEUROPATHIES PERIPHERIQUES Docteur KABORE Raphaël Service de Neurologie CHU Limoges I. Définition : Ensemble des troubles neurologiques liés à l atteinte du
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailI. Palier 1 : douleurs légères à moyennes Les médicaments de différentes classes palier 1 peuvent être prescrits en association.
Chap ii ttrree 9 TRAITEMENT de la DOULEUR Les injections ne sont pas nécessaires lorsque la voie orale est possible. Le recours à la morphine est recommandé d emblée en cas de douleur très intense y compris
Plus en détailL abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois
L abus médicamenteux Critères IHS : 1. La prise médicamenteuse est régulière et dure depuis plus de 3 mois 2. Elle est présente : 15 jours/mois pour les antalgiques non opioïdes (paracétamol, aspirine,
Plus en détailCAPACITE DE GERIATRIE
TRAITEMENT DE LA DOULEUR CHEZ LE SUJET AGE CAPACITE DE GERIATRIE 11.03.2009 Dr Françoise ESCOUROLLE-PELTIER Unité de Soins Palliatifs - Équipe Mobile Hôpital BRETONNEAU CONSEQUENCES DE LA PRISE EN CHARGE
Plus en détailRecommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol et dextropropoxyphène/paracétamol/caféine
Groupe Référent Médecins Généralistes de l Afssaps Mise au point Prise en charge des douleurs de l adulte modérées à intenses Recommandations après le retrait des associations dextropropoxyphène/paracétamol
Plus en détailDU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE
DU BON USAGE DES TRIPTANS DANS LA MIGRAINE SEPTEMBRE 2009 A. AUTRET, TOURS au moins 5 crises : de MIGRAINE SANS AURA 4 72 heures, 2 des caractères : 1 signe d accompagnement : modérée ou sévère, pulsatile,
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détaild a n s l e t r a i t e m e n t d e
La buprénorphine d a n s l e t r a i t e m e n t d e la dépendance aux opioïdes Lignes directrices du Collège des médecins du Québec et de l Ordre des pharmaciens du Québec juin 2009 table des matières
Plus en détailLa Neurostimulation Transcutanée
La Neurostimulation Transcutanée Guide pratique à l'usage des infirmier(e)s ressources douleur et des soignants Réseau Régional Douleur en Basse Normandie www.douleur-rrbdn.org Tel : 02 31 10 29 10 AUTEURS
Plus en détailA healthy decision LA DOULEUR
A healthy decision Mieux vivre avec LA DOULEUR Tout à propos de la douleur, de ses causes et de ses possibilités de traitement. Parlez-en avec votre médecin ou pharmacien. Contenu Qu est-ce que la douleur
Plus en détailPharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux
Pharmacologie des «nouveaux» anticoagulants oraux Apixaban, Dabigatran, Rivaroxaban Pr D. DEPLANQUE Département de Pharmacologie médicale EA 1046 et CIC 9301 INSERM-CHRU, Institut de Médecine Prédictive
Plus en détailMaster transrégional en Sciences Pharmaceutiques
Préparation du consortium d appui aux formations francophones Université de Médecine de Hanoi 3 octobre 2012 Master transrégional en Sciences Pharmaceutiques Présentation du projet: Sébastien Clavel Fondation
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailÉVALUATION ET PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE DE LA DOULEUR CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES AYANT DES TROUBLES DE LA COMMUNICATION VERBALE
ÉVALUATION ET PRISE EN CHARGE THÉRAPEUTIQUE DE LA DOULEUR CHEZ LES PERSONNES ÂGÉES AYANT DES TROUBLES DE LA COMMUNICATION VERBALE OCTOBRE Tous droits de traduction, d'adaptation et de reproduction par
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailHÉPARINES DE BAS POIDS MOLÉCULAIRE
AGENCE FRANÇAISE de SÉCURITÉ SANITAIRE des PRODUITS de SANTÉ SCHÉMA COMMUN HÉPARINES DE BAS POIDS MOLÉCULAIRE Information destinée aux professionnels de santé Texte de référence utilisé pour la rédaction
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES. Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière.
PRISE EN CHARGE DES PRE ECLAMPSIES Jérôme KOUTSOULIS. IADE DAR CHU Kremlin-Bicêtre. 94 Gérard CORSIA. PH DAR CHU Pitié-Salpétrière. 75 Pas de conflits d intérêts. Définitions Pré éclampsie Définitions
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailPlacebo Effet Placebo. Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes
Placebo Effet Placebo Pr Claire Le Jeunne Hôtel Dieu- Médecine Interne et Thérapeutique Faculté de Médecine Paris Descartes Plan Définitions Placebo dans les essais thérapeutiques Effet placebo Médicaments
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailObservation. Merci à l équipe de pharmaciens FormUtip iatro pour ce cas
Cas clinique M. ZAC Observation Mr ZAC ans, 76 ans, 52 kg, est admis aux urgences pour des algies fessières invalidantes, résistantes au AINS. Ses principaux antécédents sont les suivants : une thrombopénie
Plus en détail1 2 A mes Maîtres, Je ne saurais exprimer ici tout ce que je vous dois, ni vous rendre un jour ce que vous m avez enseigné. Veuillez trouver en ce travail la reconnaissance et le respect que je vous adresse,
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailSoins Inrmiers aux brûlés
Soins Inrmiers aux brûlés Le 29/04/2009 1 Intro La gravité d'une brûlure dépend essentiellement de sa profondeur, de sa supercie de sa localisation et du ASA. Sa prise en charge doit être rapide pour limiter
Plus en détailI.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES -ANTINFLAMMATOIRES BIPROFENID -TRIPTANS
TRAITEMENT DE LA MIGRAINE I.TRAITEMENT DE CRISE -ANTALGIQUES SIMPLES PARACETAMOL PEU OU PAS EFFICACE ASSOCIATIONS ASPIRINE-METOCLOPRAMIDE (CEPHALGAN MIGPRIV ) -ANTINFLAMMATOIRES -TRIPTANS BIPROFENID 1
Plus en détailLA MIGRAINE PRESENTATION. Qu est-ce que c est? Différents types : La migraine se rencontre avec ou sans aura : Fiche 13
Fiche 13 LA MIGRAINE PRESENTATION Qu est-ce que c est? La migraine est une maladie caractérisée par de fréquents accès de maux de tête, souvent violents et parfois accompagnés d'autres symptômes : nausées,
Plus en détailPoint d Information. Le PRAC a recommandé que le RCP soit modifié afin d inclure les informations suivantes:
Point d Information Médicaments à base d ivabradine, de codéine, médicaments contenant du diméthyl fumarate, du mycophénolate mofétil/acide mycophénolique, de l octocog alpha, spécialité Eligard (contenant
Plus en détail1ST2S Biophysiopathologie : Motricité et système nerveux. 2012-2013. La physiologie neuro-musculaire :
La physiologie neuro-musculaire : Introduction : Le neurone possède 3 propriétés indispensables pour assurer sa fonction au sein de l organisme : -l excitabilité : capacité à répondre à un stimulus -la
Plus en détailTRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ
TRAITEMENT DES MAUX DE TÊTE PAR EMDR INTÉGRÉ «Un atelier de deux jours en spécialité EMDR» Présenté par Dr Steven MARCUS,, Ph.D 30 AVRIL & 1er MAI 2011 A PARIS SAMEDI 30 AVRIL : 9H - 16H30 - DIMANCHE 1ER
Plus en détailEt de 10! Numéro 10, Juin 2002. Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes
Bulletin des CEIPs de Caen et Nantes Numéro 10, Juin 2002 Et de 10! epuis novembre 1997, ce n est pas moins de 10 bulletins du Nord-Ouest dépendance que nous avons eu le plaisir de vous présenter. C'est
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses?
Les nouveaux anticoagulants oraux : quelles interactions médicamenteuses? Dr Stéphanie Chhun, Pharmacologue (Hôpital Universitaire Necker Enfants-Malades) Pr Stéphane Mouly, Interniste (Hôpital Lariboisière)
Plus en détailLes soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques
Les soins des douleurs chroniques dans les TMS Les échecs thérapeutiques France MARCHAND Nagi MIMASSI Psychologue clinicienne stagiaire doctorante Praticien hospitalier Consultation des douleurs chroniques
Plus en détailIntoxication par les barbituriques
Intoxication par les barbituriques GH. Jalal, S. Achour, N. Rhalem, R. Soulaymani 1. Cas clinique : L unité d information toxicologique du Centre Anti Poison du Maroc a été contactée par une clinique privée
Plus en détailRecommandation Pour La Pratique Clinique
Recommandation Pour La Pratique Clinique Prise en charge diagnostique et thérapeutique de la migraine chez l adulte ( et chez l enfant) : aspects cliniques (et économiques) Octobre 2002 1 La migraine de
Plus en détailGONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral intramusculaire
ésumé des Caractéristiques du Produit 1 sur 5 21/09/2010 14:31 Mis à jour : 16/02/2010 1. DENOMINATION DU MEDICAMENT GONADOTROPHINE CHORIONIQUE ENDO 5000 U.I./1 ml, lyophilisat et solution pour usage parentéral
Plus en détailLa buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique
La buprénorphine transdermique L état actuel dans les domaines clinique et pharmacologique M.E. Faymonville (1), D. Libbrecht (2) RÉSUMÉ : Nos connaissances sur les mécanismes physiopathologiques des douleurs
Plus en détailReprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives
Reprise de la marche chez le blessé médullaire Etat actuel, nouvelles perspectives Professeur Bernard BUSSEL Service de Rééducation Neurologique, Hôpital Raymond Poincaré 92380 GARCHES Tel. 01 47 10 70
Plus en détailLa douleur induite par les soins
Chapitre 33 La douleur induite par les soins A. RICARD-HIBON Points essentiels La douleur induite par les soins est fréquente et insuffisamment évaluée et prise en compte. C est une problématique qui concerne
Plus en détailBien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte
Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,
Plus en détailMigraine: Quoi de Neuf? Mouna Ben Djebara, Riadh Gouider Service de Neurologie CHU Razi
Migraine: Quoi de Neuf? 2014 Mouna Ben Djebara, Riadh Gouider Service de Neurologie CHU Razi Migraine Prevalence (%) Prévalence 10 à 15% de la population mondiale USA 26 million adultes migraineux Pic
Plus en détailRôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique
Rôle des acides biliaires dans la régulation de l homéostasie du glucose : implication de FXR dans la cellule bêta-pancréatique Tuteur : Anne Muhr-Tailleux cardiovasculaires et diabète (Equipe 1) Institut
Plus en détailPLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE
PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total
Plus en détailLES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS
LES EFFETS INDESIRABLES DES MEDICAMENTS Cours Francophone Inter pays de Pharmacovigilance Centre Antipoison et de pharmacovigilance du Maroc Dr R. Benkirane TERMINOLOGIE Plusieurs termes sont préconisés
Plus en détailBulletin. Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone?
Bulletin Numéro 34 I Novembre 2013 Vaincre la Sclérose en Plaques par la recherche Le mot du président Quel avenir pour les interférons et le Copaxone? Depuis 1992, les interférons (IFNs) et le Copaxone
Plus en détailNeurologiques gq Centrales EMPR LE NORMANDY GRANVILLE
La Marche dans les Affections Neurologiques gq Centrales S Injeyan JL Isambert Y Bebin S Le Doze M Cano P Fages W Loisel La Marche Fonction complexe Organisée hiérarchiquement au niveau spinal Contrôlée
Plus en détailLa colonne vertébrale (organisation générale et bases biomécaniques)
FICHE 1 La colonne vertébrale (organisation générale et bases biomécaniques) La colonne vertébrale est un axe souple, composé de vertèbres étagées les unes au dessus des autres, articulées entre elles
Plus en détailPrise en charge de la douleur et des malades en fin de vie
Prise en charge de la douleur et des malades en fin de vie Date de création du document 8-9 Table des matières * Introduction... La douleur.... Définition.... Mécanismes physiopathologiques... Spécificités
Plus en détailANNÉE UNIVERSIT AIRE 2015-2016
Médecine Pharmacie Dentaire Sage-femme Kinésithérapie ANNÉE UNIVERSIT AIRE 2015-2016 Médical Reims - Établissement d Enseignement Supérieur Privé 8, allée du Vignoble 51100 REIMS Tél. : 03 26 97 74 58
Plus en détailDémystifier l évaluation de la fonction neurologique dans la pratique infirmière
Démystifier l évaluation de la fonction neurologique dans la pratique infirmière Par Mélanie Bérubé Conseillère en soins spécialisés Orthopédie - trauma Objectifs: Approfondir ses connaissances en lien
Plus en détailÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE
ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailPossibilités offertes après la L2?
Possibilités offertes après la L2? Licence Pro Licence Générale Formation professionnel Diplôme Bac +3 Diplôme Bac +3 Master Vie Active : Technicien Assistant Ingénieur Laboratoire Public et Privé Master
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailMédecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse. Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010
Médecine Physique Prévention de la maladie thrombo-embolique veineuse Pr Philippe NGUYEN Vendredi 17 Décembre 2010 Situation clinique : «prévention de la MTEV» Femme, 72 ans, poids = 87 kg, taille = 1,56
Plus en détailSédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement!
L E S S O I N S I N T E N S I F S Sédation et analgésie aux soins intensifs ou comment calmer intensivement! par Jocelyn Brunet 3 Vous êtes de garde aux soins intensifs d un hôpital régional. M me Agitée,
Plus en détailLes triptans. quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre. Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit!
Fédération des médecins omnipraticiens du Québec Les triptans quel casse-tête! Kim Messier et Michel Lapierre Vous voulez prescrire des triptans? Lisez ce qui suit! Les triptans, des agonistes sélectifs
Plus en détailPhysiopathologie : de la Molécule à l'homme
Mention Sciences du Vivant Spécialité de Master : Physiopathologie : de la Molécule à l'homme Pourquoi, comment, combien, contourner, greffer, restaurer, inhiber, suppléer Responsables : Dr Gilles Prévost
Plus en détailE03 - Héparines non fractionnées (HNF)
E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 10 mai 2006
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 10 mai 2006 METOJECT 10 mg/ml, solution injectable en seringue pré-remplie 1 seringue pré-remplie en verre de 0,75 ml avec aiguille : 371 754-3 1 seringue pré- remplie
Plus en détail1.2) AVF et différences homme/femme (Broner SW 2007)
Panorama de l AVF au travers de l analyse de quelques articles récents 1 : Introduction : Définition clinique et informations épidémiologiques 1.1) Définition de l algie vasculaire de la face L algie vasculaire
Plus en détailLa fibromyalgie. La maladie. l Qu est-ce que la fibromyalgie? l Combien de personnes sont atteintes de la maladie? l Qui peut en être atteint?
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la fibromyalgie.
Plus en détailMONOGRAPHIE DE PRODUIT
MONOGRAPHIE DE PRODUIT Pr ELIQUIS MD Comprimés d apixaban 2,5 mg et 5 mg Anticoagulant Pfizer Canada inc. 17300, autoroute Transcanadienne Kirkland (Québec) H9J 2M5 Date de rédaction : 20 février 2015
Plus en détailles DOULEURS INEXPLIQUÉES
MIEUX VIVRE avec une DOULEUR les DOULEURS INEXPLIQUÉES Dr F. LAROCHE Dr E. SOYEUX Centre d évaluation et de traitement de la douleur Hôpital Saint-Antoine, Paris, Réseau Ville-Hôpital Lutter Contre la
Plus en détailCHAPITRE 8 LES CEPHALEES SEMIOLOGIE ET STRATEGIE D EVALUATION. Gilles Géraud et Nelly Fabre
CHAPITRE 8 LES CEPHALEES SEMIOLOGIE ET STRATEGIE D EVALUATION Gilles Géraud et Nelly Fabre Plan du Chapitre 1. Conduite du diagnostic clinique devant une céphalée 1.1. L interrogatoire 1.2. L examen clinique
Plus en détail