Lutte contre la grande exclusion : revue synthétique des données chiffrées disponibles
|
|
- Marie-Claire Corbeil
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Lutte contre la grande exclusion : revue synthétique des données chiffrées disponibles «Grande cause municipale » : pour un Pacte parisien contre la grande exclusion 18 septembre 2014
2 Un état des connaissances : pourquoi et comment? Opérer une revue synthétique des connaissances disponibles sur la grande exclusion Proposer un état des connaissances partagé entre les acteurs : c est un préalable à une action efficace, d autant qu il existe de nombreuses études mais peu de vues d ensemble Piloté par l APUR et la Ville de Paris, il a été élaboré en lien avec de nombreux partenaires et a mobilisé les données ou contributions de la DRIHL, de l observatoire du SamuSocial de Paris,duSiao75, de labapsa,de l AP-HP,del INSEEIle-deFrance,delaMIPES,del OPILE, de la FNARS et de plusieurs associations, notamment les coordinateurs de maraude Ce travail présente des limites : ainsi, il ne prétend pas à l exhaustivité et il est nécessaire de rappeler que les sources mobilisées présentent des différences parfois importantes (public enquêté, méthode et temporalité d enquête, etc.)
3 Quelle définition de la grande exclusion? Les enquêtes existantes mobilisent des définitions parfois différentes de la grande exclusion Pour l INSEE, une personne sans domicile est une personne qui, un soir donné, dort dans un lieu non prévu pour l habitation ou est prise en charge dans une structure fournissant un hébergement gratuit ou à faible participation. Une personne sans abri est une personne ayant passé la nuit précédant l enquête, soit dans un lieu extérieur, soit dans un lieu non prévu pour l habitation La grille «ETHOS», élaborée par la FEANTSA, peut constituer une ébauche de «référence partagée». Son adoption est préconisée par la conférence européenne sur le sans-abrisme: La grille ETHOS comporte 4 catégories structurantes pour l action publique : «sans abri», «sans logement», «en logement précaire», «en logement inadéquat» Elle met en lumière une variété de situations et permet une vision dynamique des trajectoires individuelles Grande Cause municipale : Pour un pacte parisien contre la grande exclusion -18 septembre 2014
4 Quels sont les publics-cibles du Pacte parisien contre la grande exclusion? Sans-abri E1 et E2 Ex : personnes vivant dans la rue ou en hébergement d urgence Sans logement E3 à E7 Ex : personnes vivant en centres d hébergement de plus longue durée, personnes sortant d institution En logement précaire ou inadéquat E8 à E11 Ex : personnes vivant chez un tiers ou occupant un logement sans droit ni titre, directement menacées d expulsion ou victimes de violences domestiques
5 Combien de personnes concernées, à Paris et dans l agglomération parisienne? Les données disponibles sont issues de méthodologies différentes Pas de chiffre précis ou qui fasse l objet d une approche partagée entre les acteurs Combien de personnes concernées à Paris? Environ personnes seraient sans abri à Paris intramuros (catégories E1 et E2) dont environ la moitié n aurait fréquenté aucun centre d hébergement au cours des 12 mois précédent l enquête (étude HYTPEAC Observatoire du Samu social de Paris 2014) Combien de personnes concernées dans l agglomération parisienne? sans-domicile adultes francophones fréquentent les services d hébergement et de distribution de repas dans l agglomération parisienne (catégories E1 à E7). Ils sontaccompagnésde6250enfants.14%sontsansabri(catégoriee1) Des publics en augmentation ces dernières années (84 % entre 2001 et 2012 contre 11% en province), notamment parmi les étrangers Enquête INSEE Sans domicile -APUR 2012 (NB : L agglomération parisienne recoupent les départements de la petite couronne et les aires urbaines attenantes de plus de habitants).
6 Où sont rencontrées les personnes sans domicile à Paris? Les différentes sources convergent globalement quant à la localisation des personnes dans l espace public Précaution méthodologique : les données représentent des signalements effectués par les maraudes de la Bapsa et de la DPP et non un nombre de personnes, celles-ci pouvant être comptabilisées plusieurs fois selon la période de la journée ou de l année
7 Où sont rencontrées les personnes sans domicile à Paris? Focus sur le bois de Vincennes Le recensement dans le bois de Vincennes : une approche plus fine
8 Qui sont les personnes sans domicile? (1/3) Par personne sans domicile, on entend ici principalement les personnes des catégories E1 et E2 La méthodologie des enquêtes peut conduire à une sur ou une sousreprésentation des familles, ce qui conduit à distinguer deux types de sources : Les sources INSEE-APUR, enquêtes en structures hivernales («nuit donnée») Drihl, en ESI ou dans le cadre du plan hivernal Les données SAMU Social (hôtel) Les situations des personnes sans-abri sont moins bien connues que les situations des personnes hébergées
9 Qui sont les personnes sans domicile? (2/3) Selon les sources, les sans domicile sont : Plutôtisolés:entre2/3et3/4d entreeuxviventseuls Plutôtdeshommes:entre60%et75% Âgés d environ une quarantaine d années, avec un quart d entre eux ayant moinsde30ansetunquartd entreeuxplusde50ans Majoritairement des personnes d origine étrangère Disposant de très faibles ressources(aucune ressource pour 50 à 70%) Plutôt persistants dans une situation d exclusion (environ 50% d entre eux sont sans logement depuis au moins 1 an),même si les trajectoires ne sont pas linéaires Domiciliés administrativement en majorité à Paris Phénomène récent de la présence des familles dans l espace public parisien Sources: études INSEE/APUR, enquêtes en centres d hébergement «Un jour donné», en ESI ou dans le cadre du plan hivernal, APHP sur données des PASS.
10 Qui sont les personnes sans domicile? (3/3) Évolution des profils, l exemple des usagers du 115 de Paris* Fin des années hommes 70 femmes Aujourd'hui hommes 70 femmes en famille isolés De 1999 à 2013 : % d augmentation (de en 1999 à personnes hébergées en 2013) -27 % d usagers isolés ; % d usagers en familles Évolution du profil des isolés (de 1999 à 2012) : Part des femmes : de 14 % à 22 % Part des personnes-âgées de 50 ans et + : de 13 % à 22 % Part des personnes nées à l étranger ( ) : de 53 % à 69 % Sources: SamuSocial de Paris * Francophones et non francophones. Ne concerne que les personnes hébergées au moins une nuit
11 La localisation des places d hébergement et de logement temporaire dans l agglomération parisienne Les places d hébergement Les places de logement temporaire/ adapté A Paris hébergement logement temporaire total Paris Petite couronne Île de France places dédiées à l'accueil de femmes isolées, places dédiées à l'accueil des familles (dont des femmes seules avec enfants), places dédiées à l'accueil d'hommes isolés ou sont mixtes, places en hôtel dédiées pour la quasi totalité d'entre elles à l'accueil de familles Sources Finess, 1 er juin 2012 Sources : DRIHL et APUR à partir du fichier Finess
12 La localisation des places d hébergement hôtelier Les familles hébergées à l hôtel au 04/09/14 A Paris, familles hébergées à l hôtel via le PHRH, soit adultes et enfants ; 38% d entre elles sont hébergées au titre du Hébergement (CHU-CHRS) nuitées hôtelières Paris Île de France Sources: Drihl, 30 juin 2014 En Ilede France, familles hébergées via le PHRH, soit adultes et enfants, dont : 22,6% à Paris 42,1% en première couronne 35,2% en deuxième couronne 33,8 % d entre elles sont hébergées au titre du Sources: DRIHL, enquête Flash octobre 2013, Observatoire du Samusocial de Paris au 04/09/2014
13 Focus : quel est l état de santé des personnes sans abri et sans domicile? Ile-de-France, francophones 1/3 des personnes sans logement en Ile-de-France souffrent de troubles psychiatriques sévères + de troubles délirants et de schizophrénie chez les isolés + de dépression et de syndrome de stress posttraumatique chez les familles Source: enquête SAMENTA, Observatoire du Samusocial de Paris 2009 Chez les isolés, les problèmes dermatologiques constituent le principal motif de consultation Les 2/3 des personnes isolées rencontrées dans l espace public, déclarent une consommationd alcoolàrisque(vsmoinsd unepersonnesur6enchu,chrsouchs) 13% des personnes isolées rencontrées dans l espace public déclarent une consommationrégulièrededrogues(horscannabis, vsmoinsde1%chu,chrsouchs) Source: enquête HYTPEAC, Observatoire du Samusocial de Paris 2013 Ile-de-France, francophones Couverture médicale et recours aux soins ¼ des personnes isolées rencontrées dans la rue n ont bénéficié d aucune consultationmédicaledepuisaumoinsdeuxans(vs8%enchu,chrsouchs) 1/3 des personnes isolées rencontrées dans la rue n ont aucune couverture médicale (vs7%enchu,chrsouchs) Source: enquête HYTPEAC, Observatoire du Samusocial de Paris 2013 Grande Cause municipale : Pour un pacte parisien contre la grande exclusion -18 septembre 2014
14 Les ruptures sont généralement multifactorielles Processus économiques, de marché du logement, de protection sociale, de migration (perte d emploi, expulsion d un logement, changement de statut administratif, etc.) Facteurs d exclusion relationnels Statut familial, situation relationnelle (divorce, violence domestique, isolement, etc.) Facteurs d exclusion structurels (Ethos 3 à 7) Facteurs d exclusion personnels Manque de services de base, mauvaise coordination des interventions sociales, ruptures en sortie d institutions, etc. Facteurs d exclusion institutionnels État de santé, addictions, etc. D après B. EDGAR, 2010, Conférence européenne de consensus sur le sans-abrisme, «Que signifie l absence de chez soi?» Grande Cause municipale : Pour un pacte parisien contre la grande exclusion -18 septembre 2014
15 L enjeu de l action publique : s adapter aux situations des personnes et à leurs évolutions Source : Étude AVISO «État des Lieux & Analyse de repères collectifs du dispositif ESI» - janvier 2012
16 Éléments conclusifs et pistes de travail Malgré un état des connaissances imparfait, des lignes de force se dégagent : Des publics différenciés Des facteurs d exclusion multiples Des pistes de travail pour l avenir : Progresser dans la connaissance des publics Développer des outils communs Évaluer les politiques publiques pour permettre leur adaptation
17 Document réalisé avec la participation active de :
DOSSIER DE PRESSE. Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières
DOSSIER DE PRESSE Améliorer l hébergement des plus défavorisés : Un plan triennal pour réduire le recours aux nuitées hôtelières Paris, le mardi 3 février 2015 Contact presse Ministère du Logement, de
Plus en détailL hébergement d urgence en Loire-Atlantique
18/02/2015 Dossier de presse L hébergement d urgence en Loire-Atlantique M. Henri-Michel COMET, préfet de la région Pays de la Loire, préfet de Loire-Atlantique a rencontré le mercredi 18 février 2015
Plus en détailENQUETE MARS 2014 L HEBERGEMENT D URGENCE EN 2014 ETAT DES LIEUX ET PARCOURS DES PERSONNES SANS DOMICILE FIXE DANS 5 VILLES DE FRANCE
ENQUETE MARS 2014 L HEBERGEMENT D URGENCE EN 2014 ETAT DES LIEUX ET PARCOURS DES PERSONNES SANS DOMICILE FIXE DANS 5 VILLES DE FRANCE MEDECINS DU MONDE MARS 2014 2 SOMMAIRE INTRODUCTION... 3 CONTEXTE ET
Plus en détailRAPPORT D ACTIVITE 2013. Service Intégré de l Accueil et de l Orientation (SIAO)
RAPPORT D ACTIVITE 2013 Service Intégré de l Accueil et de l Orientation (SIAO) des Alpes de Haute Provence Rapport d activité du SIAO/115 Année 2013 Page 1 Sommaire Introduction A- Le SIAO «urgence» :
Plus en détailLE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES
LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Le SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Un dispositif de lutte contre l exclusion : 24h/24, 365j/an : 1) Une permanence téléphonique le N vert : 080099/340 2) Des équipes mobiles d aide
Plus en détailBase de données sociales sur Paris
Base de données sociales sur Paris Fiches d identité sociale des 20 arrondissements - 2012 Apur - David Boureau Étude réalisée en collaboration avec le Centre d Action Sociale de la Ville de Paris (CASVP)
Plus en détailLIVRET 3 (LDSS-4148C-FR)
LDSS-4148C-FR (Rév.10/09) État de New York CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR EN CAS D URGENCE Questions et Réponses LIVRET 3 (LDSS-4148C-FR) Voir également LIVRET 1 (LDSS-4148A- FR) «CE QUE VOUS DEVEZ SAVOIR SUR
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailDemande de logement social
Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 14069*02 Avez-vous déjà déposé une
Plus en détailL hébergement d urgence en hôtel :
Etats généraux 2010 L hébergement d urgence en hôtel : état des lieux et propositions Mairie du 18 e arrondissement - 1, place Jules Joffrin. 75877 PARIS Cedex 18-01 53 41 18 18 - www.mairie18.paris.fr
Plus en détailLutter contre les exclusions
D 2 COHESION SOCIALE ENTRE LES POPULATIONS, LES TERRITOIRES, LES GENERATIONS Si, globalement, la population vélizienne semble peu exposée au risque d exclusion (taux d emploi élevé, revenu médian moyen,
Plus en détailNote de recommandation Médecins du Monde. Concertation sur la Réforme de l Asile. Octobre 2013
Note de recommandation Médecins du Monde Concertation sur la Réforme de l Asile Octobre 2013 Introduction Cette note de contribution est rédigée dans le cadre de la concertation sur la Réforme de l Asile,
Plus en détailDemande de logement social Article R. 441-2-2 du code de la construction et de l habitation
Ministère chargé du logement Cadre réservé au service Demande de logement social rticle R. 44-2-2 du code de la construction et de l habitation Numéro de dossier : N 4069*0 demande de logement locatif
Plus en détailVie et santé des jeunes sans domicile ou en situation précaire Enquête INED, Paris et petite couronne, février-mars 1998
CENTRE DE RECHERCHE D ÉTUDE ET DE DOCUMENTATION EN ÉCONOMIE DE LA SANTÉ Vie et santé des jeunes sans domicile ou en situation précaire Enquête INED, Paris et petite couronne, février-mars 1998 Principales
Plus en détailBienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels
Bienvenue à la conférence en ligne Violence au travail : présentation des résultats du sondage mené auprès de trois secteurs professionnels Conférencier : Richard Boyer, Ph. D., chercheur au Centre de
Plus en détailPhotographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012
Photographie statistique des accidents de travail, des accidents de trajet et des maladies professionnelles en France selon le sexe entre 2001 et 2012 Des tendances d évolution différenciées pour les femmes
Plus en détailSynthèse du rapport d activité 2007 du CCAS
Synthèse du rapport d activité 2007 du CCAS I- Moyens financiers Budget 2007 : Recettes totales = 3.604.581 dont : Budget CCAS : 1.487.913 Budget annexe SSIAD : 438.284 Budget annexe MAD : 1.678.384 Dépenses
Plus en détailEnquête globale transport
Enquête globale transport N 15 Janvier 2013 La mobilité en Île-de-France Modes La voiture L EGT 2010 marque une rupture de tendance importante par rapport aux enquêtes précédentes, en ce qui concerne les
Plus en détailEt si on utilisait le vélo?
Et si on utilisait le vélo? Marc Eloy Ivan Derré Juillet 2014 Paris peut elle devenir comme Copenhague une capitale symbole du déplacement en vélo? Le développement du Vélib, la mise en place de voies
Plus en détail2004 2014 : un risque a chassé l autre
2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de
Plus en détailContribution de Médecins du Monde
Contribution de Médecins du Monde Conférence nationale de lutte contre la pauvreté et les exclusions des 10 et 11/12/12 Thématique Hébergement / logement Cette contribution fait suite à la participation
Plus en détailBase de données sociales sur Paris
Base de données sociales sur Paris Tableaux de synthèse - 2009 / 2010 Apur SEPTEMBRE 2011 L Observatoire parisien de l insertion et de la lutte contre l exclusion Cet observatoire a été créé en 2009. Sa
Plus en détailFédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck
Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de
Plus en détailGUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger
GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger SOMMAIRE GUIDE PRATIQUE déplacements professionnels temporaires en France et à l étranger o o o o o o o o o o o o
Plus en détailACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES
OBSERVATOIRE REGIONAL DE LA SANTE Poitou-Charentes ACCUEIL DE JOUR ET HEBERGEMENT TEMPORAIRE POUR PERSONNES AGEES EN POITOU-CHARENTES Enquête auprès des établissements de Poitou-Charentes Etude commanditée
Plus en détail- Attention : les renseignements et les pièces justifi catives citées sont obligatoires sauf quand il est indiqué qu ils sont facultatifs.
Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue de l accueil dans une structure d hébergement, un logement de transition, un logement-foyer ou une résidence hôtelière à vocation
Plus en détailrépondre aux besoins des personnes sans domicile ou mal logées Guide des dispositifs d hébergement et de logement adapté
répondre aux besoins des personnes sans domicile ou mal logées Guide des dispositifs d hébergement et de logement adapté Ce document est une co-production DGAS - DGALN / septembre 2008 Editorial - par
Plus en détailRecours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement
Ministère chargé du logement Recours amiable devant la commission départementale de médiation en vue d une offre de logement N 15036*01 (article L. 441-2-3, II, du code de la construction et de l habitation)
Plus en détaildémographie des masseurs-kinésithérapeutes
démographie des masseurs-kinésithérapeutes Île de France - Réunion 95 78 974 93 92 75 94 91 77 75 77 78 91 92 - Paris Seine-et-Marne Yvelines Essonne Hauts-de-Seine conseil national de l ordre des masseurs-kinésithérapeutes
Plus en détailMajeurs et mineurs mis en cause par les services de Police en 2013
La criminalité en France Rapport annuel 2014 de l ONDRP Premier ministre Majeurs et mineurs par les services de Police en 2013 Antoine le graët, Chargé d études statistiques à l ONDRP 2 Principaux enseignements
Plus en détailATELIER PARISIEN D URBANISME. Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation
ATELIER PARISIEN D URBANISME Le parc de bureaux parisien et son potentiel de transformation AVRIL 2015 Directrice de la publication : Dominique Alba Étude réalisée par : François Mohrt Sous la direction
Plus en détailSociologie des joueurs en ligne
Mars 2013 Sociologie des joueurs en ligne Enquête ARJEL 2012 Autorité de régulation des jeux en ligne 2 Propos introductifs à l enquête sur la sociologie des joueurs Au-delà de la publication trimestrielle
Plus en détailAQUITAINE. Suivi de la Demande touristique 2010 1 ~
SUIVI DE LA DEMANDE TOURISTIQUE AQUITAINE ANNEE 2010 Note dee conjoncture TNS SOFRES-CRTA Suivi de la Demande touristique 2010 CRTAA DIRECCTE Aquitaine TNS T SOFRES 1 ~ SOMMAIRE AVERTISSEMENT METHODOLOGIQUE...
Plus en détailService Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire
Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100
Plus en détailLes diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale
Les diagnostics territoriaux à 360 du sans abrisme au mal logement : démarche, objectifs et synthèse régionale Journée d étude «Les personnes sans chez soi» 29 mai 2015 2 Sommaire I. La démarche de diagnostic
Plus en détailStratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services
1 Stratégie locale en faveur du commerce, de l artisanat & des services Pays Cœur de Flandre I Phase II La formulation de la stratégie Région Nord Pas de Calais Avril 2013 Région Communauté Nord Pas de
Plus en détailPOUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs
POUVOIR D ACHAT : la condition de vie des travailleurs Séminaire CGTM Mercredi 19 mars 2008 Danielle LAPORT Sociologue Ingénieur Social Equipe de Recherche REV Université Paris XII Val-de-Marne Il me revient
Plus en détailComment effectuer une réservation d hébergement en tant que chargé(e) de voyages et chargé(e) de voyages + valideurs?
Comment effectuer une réservation d hébergement en tant que chargé(e) de voyages et chargé(e) de voyages + valideurs? 1/ Page d accueil page 2 2/ Sélection du voyageur page 2 3/ Cas d un invité (agent
Plus en détailLa présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.
Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,
Plus en détailL évolution des parts modales des déplacements domicile-travail
Thème : Transport durable Orientation : Faire évoluer les pratiques de mobilité L évolution des parts modales des déplacements domicile-travail par aire urbaine et département hors aires urbaines La part
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailAvec près des deux tiers des
Les Dossiers de l Observatoire Régional du Tourisme n 42 - mars 2012 Le poids économique de l hôtellerie de plein air en Pays de la Loire Plus de 600 campings Un chiffre d affaires annuel de 230 millions
Plus en détailLes TPE et PME face aux technologies de l information. Zone 3 villes de plus de 2 500 habitants. Zone 4 zone rurale
Les entreprises Les TPE et PME face aux technologies de l information L équipement des entreprises traditionnelles de 5 à 250 salariés Le niveau d équipement Le taux d'équipement en PC portable (Base =
Plus en détailau service de chacun!
Les associations sanitaires et sociales : au service de chacun! Petite enfance Handicap Jeunes en danger Santé Personnes âgées Pauvreté, Exclusion * «L association est la convention par laquelle deux ou
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Evolution des commerces à Paris. Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014
DOSSIER DE PRESSE Evolution des commerces à Paris Inventaire des commerces 2014 et évolutions 2011-2014 Contacts presse : Ville de Paris : Marie Francolin : presse@paris.fr / 01.42.76.49.61 CCI Paris :
Plus en détailL état de la pauvreté en France
Notes de l Observatoire N 1, octobre 2013 L état de la pauvreté en France Combien compte-t-on de pauvres en France? Comment évolue leur nombre? Qui est le plus concerné par la crise? A l heure où une partie
Plus en détailBAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE
BAROMÈTRE DE L ÉCONOMIE NUMERIQUE Chaire Économie numérique de Paris-Dauphine Réalisé par Médiamétrie Première édition - 4 e trimestre 2011 Un nouvel outil : Initié par la chaire Économie numérique de
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailDEMANDE D AUTORISATION DE DEPART EN SORTIE SCOLAIRE AVEC NUITEE(S) *
ACADEMIE D AIX - MARSEILLE INSPECTION ACADEMIQUE DE VAUCLUSE DEMANDE D AUTORISATION DE DEPART EN SORTIE SCOLAIRE AVEC NUITEE(S) * Nom et adresse ou cachet de l établissement scolaire : Téléphone : Télécopie
Plus en détailCONTRAT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION
Direction de la ville et de la cohésion urbaine CONTRATT DE VILLE DE NOUVELLE GENERATION Proposition d architecture Novembre 2014 Les contrats de ville de nouvelle génération qui succèderont, à compter
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE Mars 2009
DOSSIER DE PRESSE Mars 2009 LE PLAN NATIONAL D ACTIONS COORDONNEES DE PREVENTION de la branche Risques professionnels de l Assurance Maladie 2009 -> 2012 Fiche 1 : Une politique de prévention renforcée
Plus en détailLa traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains
La traduction des sites internet touristiques en langues étrangères comme outil de valorisation et de promotion des territoires aquitains Alexandre Bertin NOTE STRATEGIQUE Note stratégique réalisée par
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détailRapport préparé par M. Pierre-François MARCO AU NOM DE LA COMMISSION DE LA SANTE, DE LA SOLIDARITE ET DES AFFAIRES SOCIALES
Rapport préparé par M. Pierre-François MARCO AU NOM DE LA COMMISSION DE LA SANTE, DE LA SOLIDARITE ET DES AFFAIRES SOCIALES - 17 septembre 2013 - Les actifs en situation de précarité, en Ile-de-France,
Plus en détailServices Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques
Observatoire 2010 de l opinion sur l image des banques - Juillet 2010 Méthodologie Méthodologie : Cette étude a été menée dans le cadre de l'omcapi, l'enquête périodique multi-clients de l'ifop, réalisée
Plus en détailLES HÔTELS MEUBLÉS À PARIS Diagnostic et premier bilan du plan d action engagé
OBSERVATOIRE du LOGEMENT et de l'habitat de PARIS ATELIER PARISIEN D URBANISME 17, BD MORLAND 75004 PARIS TÉL : 01 42 71 28 14 FAX : 01 42 76 24 05 http://www.apur.org LES HÔTELS MEUBLÉS À PARIS Diagnostic
Plus en détailSéance du Conseil Municipal du 27/06/2013
Direction Générale Développement / Direction du Développement urbain Question n 182 Direction de l'urbanisme REF : DU2013027 Signataire : SM/NL Séance du Conseil Municipal du 27/06/2013 RAPPORTEUR : Jean-Yves
Plus en détailLes Médiévales de Provins Edition 2012
Étude sur les retombées économiques d un évènement culturel Les Médiévales de Provins Edition 2012 Provins xx/xx/2013 1 1 - Introduction : objectifs de l étude Une méthodologie nationale pour le calcul
Plus en détailACOUPHEN ENVIRONNEMENT GROUPEMENT COORDONNE PAR LA COMMUNE DE MONTESSON ETUDE REALISEE POUR LE COMPTE DU : RAPPORT D ETUDE RA-080001-07-A
MANAGEMENT DE L SONORE WWW.ACOUPHEN-.COM CONTACT@ACOUPHEN-.COM SIEGE SOCIAL LYON CAMPUS DE LA DOUA 66, BD NIELS BOHR B.P. 52132 69603 VILLEURBANNE CEDEX TEL / 33 (0)4 72 69 01 22 FAX / 33 (0)4 72 44 04
Plus en détailL'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance. Application à la liaison Grenoble Sisteron
L'amélioration des performances économiques des territoires : méthodologie des cartes de performance Application à la liaison Grenoble Sisteron **** 1 Sommaire Introduction : les facteurs de développement
Plus en détailJournée nationale d échange du PNLHI Communauté d agglomération Les Portes de l Essonne
Journée nationale d échange du PNLHI Communauté d agglomération Les Portes de l Essonne Le 20 septembre 2012 Direction du Logement et de l Habitat Sous-direction de l Habitat - Service Technique de l Habitat
Plus en détailLES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES
Enquête complémentaire mentaire de mars 2009 LES FACTEURS DE FRAGILITE DES MENAGES présentée par Michel MOUILLART Professeur d Economie à l Université de Paris X - Nanterre - Mercredi 22 juillet 2009 -
Plus en détailSeptembre 2010 - N 87 L édition 2010 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique. Enquête réalisée du 18 au 20 juin 2010
Septembre 10 - N 87 L édition 10 du Game Fair en Loir-et-Cher Profil des visiteurs et impact économique Enquête réalisée du 18 au juin 10 Depuis 1987, le Game Fair a élu domicile dans le cadre prestigieux
Plus en détailFamille multirésidence : recensement et sources alternatives
Famille multirésidence : recensement et sources alternatives Groupe de travail sur la rénovation du questionnaire de recensement Pascale BREUIL Chef de l Unité des Etudes Démographiques et sociales 28/09/2011
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détail1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs?
Ménages et consommation 1er thème: comment les revenus et les prix influencent-ils les choix des consommateurs? question 1: comment le revenu des ménages est-il réparti? question 2: quelle est l influence
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détail«Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA
ID: «Evaluation de l activité physique chez les enfants et adolescents à l aide d une méthode objective» SOPHYA Swiss children s objectively measured physical activity Questionnaire pour les parents sur
Plus en détailLe recensement, c est quoi? campagne 2011
Le recensement, c est quoi? campagne 2011 Pourquoi un recensement? Le recensement est important pour : les communes les pouvoirs publics les entreprises, les associations Le recensement a pour objectif
Plus en détailLes Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail
ILE-DE-FRANCE à la page à la page N 353 - Avril 11 Population Les Franciliens utilisent autant les transports en commun que la voiture pour se rendre au travail Les Franciliens utilisent autant la voiture
Plus en détailL a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s
Guide méthodologique pour la construction d un bilan quantitatif et qualitatif des contrats de territoire. L a d é m a r c h e e t l e s o u t i l s p r o p o s é s Il est proposé de bâtir le bilan avec
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,
DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,
Plus en détailQ&A Novembre 2012. A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif?
Q&A Novembre 2012 A. Le marché de la location meublée. B. Le marché de la location touristique. C. La location meublée, un marché lucratif? D. La location meublée est elle légale? A. Le marché de la location
Plus en détailMÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION
MÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROJET PLAN D AMÉNAGEMENT ET DÉVELOPPEMENT MÉTROPOLITAIN PMAD 13 OCTOBRE 2011 1 INTRODUCTION La communauté
Plus en détailL aide aux aidants. Psychologue clinicienne. Capacité de gériatrie mars 2009
L aide aux aidants Aude Comberieu Psychologue clinicienne Hôpital Émile Roux Capacité de gériatrie mars 2009 Définition L aidant naturel L aidant non professionnel L aidant familial «L aidant familial
Plus en détailnotre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition?
2 Saviez-vous que notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition? L avenir de la consigne au Québec est présentement incertain. Au printemps 2015, le Ministère du Développement
Plus en détailPROJET SENIOR COMPETENCE. Présentation synthétique 1. L OBJECTIF DU PROJET...2 2. LE PARTENARIAT LOCAL ET TRANSNATIONAL...3
PROJET SENIOR COMPETENCE Présentation synthétique 1. L OBJECTIF DU PROJET...2 2. LE PARTENARIAT LOCAL ET TRANSNATIONAL...3 3. ACTIONS ET CALENDRIER DU PROJET...5 3.1. ETAT DES LIEUX ET DIAGNOSTIC (1 ER
Plus en détailIntroduction. Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas :
Introduction Le CRM se porte-t-il si mal? Les articles de la presse spécialisée tendent à nous laisser penser que c est en effet le cas : «75 % de projets non aboutis» «La déception du CRM» «Le CRM : des
Plus en détailService Municipal d Accueil Postscolaire
Service Municipal d Accueil Postscolaire Règlement intérieur 2013-2014 Direction de la Vie Scolaire et de la Petite Enfance 15 mail d Allagnat 63000 Clermont-Ferrand mail : dvspe-secretariat@ville-clermont-ferrand.fr
Plus en détailComment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie?
Comment s exerce l autorisation parentale de sortie de l enfant du territoire national ou l opposition à cette sortie? En cas d autorité parentale exclusive, c est la liberté ; le parent la détenant pouvant
Plus en détailCompas études. compas. Les enjeux du vieillissement. n 7 - juin 2013
n 7 - juin 2013 Compas études compas Au service du sens Les enjeux du vieillissement La population française vieillit. Ce phénomène n est pas nouveau mais le processus va s accélérer dans les années à
Plus en détailCONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI
CONNAISSANCE DE SOI APPRENDRE A AVOIR CONFIANCE EN SOI Comprendre ses propres stratégies d échec et de réussite Mettre à jour ses freins, ses propres croyances Développer son potentiel et repousser ses
Plus en détailAccès aux soins des migrants à statut précaire: quelques enjeux et défis pour les intervenants
Accès aux soins des migrants à statut précaire: quelques enjeux et défis pour les intervenants Zoé Brabant Centre de recherche Léa-Roback sur les inégalités sociales de santé de Montréal Université de
Plus en détailLe référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation. Septembre 2008
Le référentiel RIFVEH www.rifveh.org La sécurité des personnes ayant des incapacités : un enjeu de concertation Septembre 2008 Louis Plamondon Centre de recherche de l institut universitaire de gériatrie
Plus en détailCahier de l OPEQ n 136 Avril 2007. OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537
LA PROFESSION D AMBULANCIER EN CHAMPAGNE-ARDENNE Cahier de l OPEQ n 136 Avril 2007 OPEQ Chambre Régionale de Commerce et d'industrie Champagne-Ardenne 10 rue de Chastillon BP 537 51011 Châlons en Champagne
Plus en détailwww.key-partners.biz DU CHANGEMENT MA
MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMEN MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEME MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT DU CHANGEMENT MANAGEMENT
Plus en détailPROPOSITION DE LOI SUR LA LOCATION DE LOGEMENT CHEZ L HABITANT EXPOSE DES MOTIFS
PROPOSITION DE LOI SUR LA LOCATION DE LOGEMENT CHEZ L HABITANT EXPOSE DES MOTIFS L hébergement chez l habitant existe depuis de nombreuses années sous différentes formes et son développement s est accentué
Plus en détailL année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier.
L année touristique 2014 démarre de façon positive pour Paris avec un taux d occupation des hôtels de 72,5 % en progression de 0,6 point en janvier. Sommaire Synthèse 1 Arrivées hôtelières par pays 2 Nuitées
Plus en détailDirecteur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef : Christophe Soullez, chef du département de l ONDRP
repères Premier ministre 20 institut national des hautes études de la sécurité et de la justice Janvier 2013 n Directeur de la publication : André-Michel ventre, Directeur de l INHESJ Rédacteur en chef
Plus en détailC R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S. Des attitudes des Européens face aux risques
C R É D I T A G R I C O L E A S S U R A N C E S Observatoire Ipsos-LogicaBusiness Consulting/Crédit Agricole Assurances Des attitudes des Européens face aux risques Fiche technique Ensemble : 7245 répondants
Plus en détailLES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION DU HANDICAP : Les personnes handicapées motrices à domicile (enquête HID 1999)
Délégation ANCREAI Ile-de-France CEDIAS - 5 rue Las-Cases 75007 PARIS Tél : 01 45 51 66 10 Fax : 01 44 18 01 81 E-mail : creai.idf@9online.fr Contact : Carole PEINTRE LES MODES D ADAPTATION ET DE COMPENSATION
Plus en détailla pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment
Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier
Plus en détailINSCRIPTION au RESTAURANT SCOLAIRE Année 2014 / 2015
NOM DE L ENFANT :. PRENOM DE L ENFANT : Date de Naissance :.. Sexe de l enfant: Masculin Féminin 1 Dossier à compléter par enfant. Maternelle : Elémentaire : - petite section - moyenne section.. Classe
Plus en détailVaccinations - Rédaction Dr BOUTON
20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)
Plus en détailQUESTIONNAIRE DE RECENSEMENT DES BESOINS EN MODES DE GARDE POUR LA PETITE ENFANCE COMMUNE DE L ILE-ROUSSE
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DÉPARTEMENT DE LA HAUTE-CORSE MAIRIE DE L ILE-ROUSSE QUESTIONNAIRE DE RECENSEMENT DES BESOINS EN MODES DE GARDE POUR LA PETITE ENFANCE COMMUNE DE L ILE-ROUSSE Dans le cadre de sa politique
Plus en détailL emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire
L emploi des jeunes dans les entreprises de l économie sociale et solidaire Contexte régional Créé en 2010 par l Atelier Centre de ressources régional de l économie sociale et solidaire et la Chambre régionale
Plus en détailMutualité Française Ile-de-France
Mutualité Française Ile-de-France Représentation régionale de la Fédération Nationale de la Mutualité Française Acteur de l économie sociale et solidaire 280 mutuelles adhérentes 5.5 millions de personnes
Plus en détailRAPPORT DEFINITIF AUDIT DES DISPOSITIFS EN FAVEUR DU LOGEMENT DES AGENTS DE LA VILLE DE PARIS
INSPECTION GENERALE Exemplaire n RAPPORT DEFINITIF AUDIT DES DISPOSITIFS EN FAVEUR DU LOGEMENT DES AGENTS DE LA VILLE DE PARIS - Mars 2011 - N 10-01 Rapporteurs : [...], Administrateur [...], Chef de service
Plus en détailBRANCHE PROFESSIONNELLE DES PRESTATAIRES DE SERVICES DANS LE DOMAINE TERTIAIRE
Rapport BRANCHE PROFESSIONNELLE DES Etude PRESTATAIRES DE SERVICES DANS LE DOMAINE TERTIAIRE Soustitre de la présentation Proposition d assistance pour la maitrise d œuvre d un rapport économique et social
Plus en détail