CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Infection rénale
|
|
- Geoffroy Poitras
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Infection rénale Définition La pyélonéphrite aiguë correspond à une infection bactérienne du parenchyme rénal et de sa voie excrétrice. 1er point : Infection du parenchyme rénal et voie excrétrice. 2e point : Forme habituelle de diagnostic simple. 3e point : Savoir diagnostiquer une forme compliquée. La pyélonéphrite aiguë est une infection urinaire haute qui intéresse la voie excrétrice haute (uretère, bassinet, calices) et le parenchyme du rein. Elle fait souvent suite à une infection urinaire basse, mais peut se manifester d'emblée. Dans sa phase aiguë, le risque de la pyélonéphrite est lié au passage de germes dans le sang qui peut se limiter à un passage isolé (bactériémie) ou se traduire par un ensemencement continu (septicémie) ; cette dernière peut entraîner un état de choc dit toxi-infectieux. Le plus souvent dans sa forme habituelle la pyélonéphrite aiguë ne pose pas de problème diagnostique. La difficulté est de savoir déceler une forme compliquée, plus rare, mais dont l'évolution peut être grave et qui justifie un traitement bien différent. D où cela vient-il? La pyélonéphrite est une infection du parenchyme rénal d'origine bactérienne dont la voie d'inoculation est le plus souvent ascendante. 1er point : Le germe le plus souvent en cause est le colibacille. 2e point : Le mode de contamination est le plus souvent ascendant. 3e point : La femme est la plus souvent touchée du fait des conditions anatomiques. Les germes les plus souvent en cause dans les infections urinaires hautes sont les bactéries dites à Gram négatif au premier rang desquels le colibacille (encore appelé Eschérichia Coli) présent dans 75% des cas. Ceci est dû au fait que la majorité des germes à l'origine des infections urinaires provient de la flore digestive avec une contamination initiale du vagin et de l'urètre féminin. Il existe en effet une corrélation nette entre la colonisation de ces sites périnéaux et la fréquence des infections urinaires. Plus rarement des micro-organismes à Gram positifs peuvent être en cause : streptocoques du groupe D (entérocoques), staphylocoques dorés. La voie d'inoculation des germes dans les urines peut être double. Elle peut être hématogène c est-à-dire transmise au parenchyme rénal par le sang. Cette voie s'observe notamment en cas de bactériémie ou de septicémie. Les germes atteignent la corticale du rein via les vaisseaux sanguins.
2 Le plus souvent la contamination est ascendante, canalaire, par les voies urinaires après colonisation initiale de l'urètre et de la vessie (infection urinaire basse). Chez l'homme, la longueur de l'urètre et les propriétés antibactériennes des sécrétions prostatiques expliquent la rareté des infections urinaires et des pyélonéphrites. Au contraire, la brièveté de l'urètre et la proximité du vagin et de l'anus expliquent la fréquente colonisation par des germes intestinaux de l'urètre et de la vessie de la femme. Ceci explique également la fréquence des infections urinaires et potentiellement des pyélonéphrites après des rapports sexuels. Après multiplication dans la vessie, les germes peuvent passer dans l'uretère et remonter jusqu'aux reins. Ce passage est favorisé par un éventuel reflux vésico-rénal préexistant et parfois induit par l'infection. Comment la reconnaît-on? Le tableau habituel est celui de la pyélonéphrite aiguë primitive non compliquée survenant sur un appareil urinaire normal. Elle touche majoritairement les jeunes femmes (20 à 40 ans). 1er point : Infection du parenchyme rénal avec fièvre, douleurs lombaires et signe vésicaux. 2e point : Eliminer une pyélonéphrite sur obstacle. 3e point : Confirmation possible du diagnostic par Tomodensitométrie rénale. La pyélonéphrite aiguë survient dans 90% des cas chez la femme jeune et réalise un syndrome douloureux, aigu et fébrile du flanc. Le début est en général brutal et associe : Un syndrome infectieux sévère avec fièvre à 40 C, frissons, sueurs et altération de l'état général. Il s'y associe des signes urinaires : brûlures en urinant, mictions fréquentes qui précèdent souvent la fièvre de quelques jours. Ils témoignent de l'existence initiale d'une cystite compliquée secondairement d'une pyélonéphrite. Les douleurs lombaires sont spontanées, lancinantes, importantes et localisées électivement à la fosse lombaire. Elles sont, en général, unilatérales mais parfois bilatérales. À l'examen clinique, les urines sont peu abondantes, troubles, malodorantes. La fosse lombaire est très douloureuse à la palpation. Devant ce tableau clinique très évocateur du diagnostic de pyélonéphrite, il faut le plus souvent envisager une hospitalisation. Examens complémentaires La suspicion du diagnostic de pyélonéphrite doit faire pratiquer : Un Examen CytoBactériologique des Urines (ECBU) qui montre une pyurie massive, la présence des germes en cause (colibacille le plus fréquent) et la sensibilité de ceux-ci aux antibiotiques. Une radio d'abdomen Sans Préparation (ASP) à la recherche d'un calcul visible. Une échographie rénale pour rechercher une dilatation des cavités rénales qui témoignerait d'un obstacle, confirmant alors le diagnostic de pyélonéphrite sur obstacle qui est une Urgence urologique et impose un drainage en urgence. En l'absence d'obstacle sur la voie excrétrice, l'imagerie peut permettre de confirmer et d'apprécier l'étendue de l'atteinte du parenchyme rénal. La Tomodensitométrie (TDM) ou scanner est alors l'examen de choix, anormale dans 80% des cas. L'image typique est triangulaire, hypodense, visible après injection. La TDM permet d'éliminer une néphrite bactérienne focale (abcès en voie de collection) ou un abcès du rein. La réalisation en fin de TDM d'une Urographie IntraVeineuse réalisant une uro TDM (ou uro scanner) permet de visualiser la voie excrétrice.
3 La TDM n'est pas systématique en cas de pyélonéphrite simple évoluant favorablement sous traitement antibiotique. Elle devient indispensable en cas d'évolution anormale c est-à-dire de persistance de la fièvre malgré les antibiotiques ou en cas de pyélonéphrite sur obstacle. Quels sont les facteurs de risque? La pyélonéphrite aiguë est une infection du parenchyme rénal et de la voie excrétrice le plus souvent simple, bénigne et fréquente. Il est néanmoins des circonstances qui favorisent la survenue de cette infection. Certains facteurs favorisent la survenue d'une pyélonéphrite. Il s'agit de la stase urinaire en amont d'un obstacle, des calculs, du reflux vésico-urétéral, de la vidange vésicale médiocre, du diabète sucré et de l'âge. Stase urinaire en amont d'un obstacle C'est le facteur prédisposant le plus important de l'infection urinaire haute, quel que soit le niveau de l'obstacle sur la voie excrétrice. L'obstacle, en effet, entraîne une stase urinaire en amont au niveau de laquelle les germes peuvent se multiplier et coloniser le parenchyme rénal adjacent. La nature de l'obstacle est variable : calcul, sténose, compression extrinsèque. Calculs Ils favorisent la survenue d'une infection urinaire car ils détruisent en migrant, par frottement, les défenses naturelles du revêtement de la voie excrétrice. Il faut par ailleurs noter que certaines infections notamment à Proteus favorisent la formation de calculs de struvite (phospho-amoniaco-magnésiens). Reflux vésico-rénal Il se caractérise par une remontée d'urine de la vessie vers le rein via l'uretère. On comprend donc aisément qu'une infection urinaire basse (cystite) puisse dans ces conditions se transformer en pyélonéphrite par remontée d'urines infectées jusqu'au niveau du rein. La survenue d'une pyélonéphrite chez l'enfant et la jeune fille doit faire rechercher un reflux vésico-rénal. Vidange vésicale médiocre Certaines affections peuvent se traduire par une vidange incomplète de la vessie. Il s'agit de l'adénome de la prostate en cours d'évolution, de certaines sténoses de l'urètre, de prolapsus vésicaux sévères et de certaines affections neurologiques (vessie diabétique, paraplégie, poliomyélite, ). La vidange vésicale incomplète est responsable d'une stase urinaire et donc d'une pullulation microbienne ainsi favorisée. Diabète sucré Il est associé à une plus grande fréquence des infections urinaires et notamment des pyélonéphrites. L'excès de glucose favorise la pullulation microbienne. De plus le diabète est responsable d'une altération de la conduction nerveuse (neuropathie) qui peut avoir pour conséquence une plus grande fréquence des reflux vésico-rénaux et une mauvaise vidange vésicale. Âge La présence de bactéries est détectée dans les urines de 20% des femmes et 10% des hommes de plus de 65 ans. Ceci est dû à la plus grande fréquence des vessies hypo contractiles (vidange médiocre) dans cette population : adénome prostatique, prolapsus vésicaux, Par ailleurs, chez la femme, la ménopause entraîne une modification des sécrétions hormonales responsable d'une atrophie et d'une sécheresse des muqueuses favorisant la pullulation microbienne. Quels sont les facteurs aggravants?
4 La pyélonéphrite aiguë pose habituellement peu de problèmes diagnostiques. Il faut néanmoins systématiquement rechercher une forme compliquée, plus rare, mais dont l'évolution peut être grave et qui justifie une prise en charge thérapeutique différente. 1er point : Recherche systématique d'un obstacle sur la voie excrétrice (le plus souvent un calcul) 2e point : En cas d'évolution défavorable sous traitement, recherché systématiquement un abcès rénal par Tomodensitométrie. 3e point : Les autres complications (phlegmon péri néphrétique, pyonéphrose) sont exceptionnelles. Avant de formuler le diagnostic de pyélonéphrite aiguë simple qui est la forme la plus fréquente il faut éliminer une forme compliquée, plus rare, mais qui constitue une urgence urologique et qui doit conduire à un traitement dans les plus brefs délais. Pyélonéphrite sur obstacle C'est une Urgence urologique qui nécessite un traitement rapide. Elle se caractérise par une infection bactérienne en amont d'un obstacle qui est le plus souvent un calcul. Il existe, en effet, un risque de septicémie et de choc toxi-infectieux car la pullulation microbienne due à la stase urinaire en amont du calcul entretient et accentue la contamination du parenchyme rénal avec passage des germes dans la circulation sanguine. Le traitement antibiotique n'est pas suffisant pour venir à bout de l'infection. Il faut assurer en urgence un drainage de la voie excrétrice de manière à ce que les urines en amont de l'obstacle s'écoulent (cf. traitement). Abcès rénal Il représente, en général, une évolution défavorable de la pyélonéphrite aiguë. Il se manifeste cliniquement le plus souvent par la persistance ou la reprise de la fièvre et des symptômes associés (douleur, signes urinaires) malgré un traitement antibiotique bien conduit. Il faut alors réaliser une urotomodensitométrie rénale pour confirmer le diagnostic d'abcès rénal. Il se traduit par une zone hypodense bien limitée et collectée. Phlegmon péri néphrétique C'est une complication exceptionnelle. Il se traduit par une collection de pus autour de la capsule du rein. Cliniquement, il se manifeste par un empâtement très douloureux de la fosse lombaire. Pyonéphrose Complication également exceptionnelle. Elle correspond à une destruction purulente du parenchyme rénal en amont d'un obstacle (calcul le plus souvent). Ceci est confirmé par l'urotomodensitométrie. Quelle hygiène de vie adopter? La prévention des pyélonéphrites repose essentiellement sur la prévention des infections urinaires basses. 1er point : Diurèse satisfaisante par boissons abondantes ( 2 l/24 h). 2e point : Mesures d'hygiène locale. 3e point : Traitement hormonal local préventif après la ménopause.
5 Les pyélonéphrites aiguës font le plus souvent suites à une infection urinaire basse (cystite). Il convient donc de prévenir la survenue de celle-ci. La prévention des infections urinaires repose sur quelques principes : Assurer une diurèse satisfaisante par des apports hydriques conséquents ( 2 l/24 h). Une bonne diurèse permet, en effet, d'assurer une élimination complète des micro bactéries. Nombre d'infections urinaires surviennent après les rapports sexuels. Il faut donc rappeler la nécessité de vider la vessie après un rapport sexuel et de prévoir une toilette intime. Chez la femme ménopausée, la modification hormonale entraîne une hypotrophie tissulaire et une atrophie des muqueuses. La vessie lutte donc moins efficacement contre la présence de germes. Il est donc souhaitable de lutter contre ce phénomène par l'institution d'un traitement local œstrogénique préventif (par exemple Colpotrophine en ovules vaginaux). Toute infection urinaire basse déclarée doit faire l'objet d'un traitement antibiotique après un ECBU pour identifier le germe responsable. Ce traitement permet d'éradiquer l'infection basse et d'éviter sa propagation au haut appareil urinaire. Quel traitement proposer? On distingue le traitement de la pyélonéphrite aiguë simple de celui des formes compliquées qui doivent être prises en charge en Urgence. 1er point : Traitement antibiotique durant 3 semaines de la pyélonéphrite aiguë simple. 2e point : Drainage en URGENCE de la pyélonéphrite sur obstacle. Le plus souvent la personne qui se présente avec un tableau de pyélonéphrite aiguë fait l'objet d'une hospitalisation qui permet d'une part de pratiquer les examens à visée diagnostique dans un délai rapide, d'autre part de pouvoir prendre en charge EN URGENCE une pyélonéphrite compliquée et enfin de débuter le traitement approprié par perfusion. La pyélonéphrite aiguë simple Il repose sur une antibiothérapie dite à large spectre. Le plus souvent sont prescrits deux antibiotiques synergiques éventuellement adaptés aux données de l'antibiogramme (qui mesure la sensibilité des différents antibiotiques au germe en cause). En pratique on administre fréquemment une association ßlactamines - aminosides ou fluoroquinolones - aminosides. L'administration est faite par voie intraveineuse (dans la perfusion) pendant quelques jours et poursuivie encore pendant 48 heures après la disparition de la fièvre. Ensuite on arrête l'administration de l'aminoside et le relais est pris par l'autre antibiotique (ßlactamine ou fluoroquinolone) par voie orale pendant 3 semaines. Il est important de poursuivre l'antibiothérapie durant toute cette période pour parfaitement traiter le parenchyme rénal et éviter toute récidive précoce. Un ECBU de contrôle en fin de traitement permet de s'assurer de la stérilité des urines. La pyélonéphrite sur obstacle La présence d'un obstacle sur la voie excrétrice impose un traitement en URGENCE compte tenu du risque de septicémie et de choc toxi-infectieux que cela comporte. Le traitement antibiotique doit être associé à un drainage de la voie excrétrice pour évacuer les urines purulentes qui stagnent en amont de l'obstacle. Le drainage se fait soit par voie rétrograde ou antégrade au bloc opératoire. Il s'agit de la mise en place d'une sonde spéciale (sonde double J) dans l'uretère jusqu'au-dessus du calcul en passant par l'urètre et la vessie par voie endoscopique (voie rétrograde). Parfois une approche percutanée est choisie qui consiste à ponctionner le rein à travers la peau et à placer une sonde de drainage dans les cavités rénales. Dans tous les cas, la sonde est laissée en place pendant plusieurs jours pour assurer un bon drainage des urines et permettre au traitement antibiotique d'être efficace. L'abcès du rein Il se constitue souvent secondairement et se manifeste cliniquement par la persistance ou la reprise de la fièvre malgré un traitement antibiotique bien conduit. Il est confirmé par la
6 tomodensitométrie. Souvent de petite taille (< 4 cm), son évolution se fait vers la régression à condition de poursuivre le traitement antibiotique par voie intraveineuse pendant 2 à 3 semaines. Son évolution est surveillée par des tomodensitométries successives. Lorsque l'abcès est de taille plus importante, il peut faire l'objet d'un drainage par mise en place d'un drain par voie percutanée sous contrôle échographique ou tomodensitométrique. Dans tous les cas, l'antibiothérapie doit être prolongée ( 1 mois). Le phlegmon péri néphrétique Complication exceptionnelle, il doit faire l'objet d'un drainage chirurgical en urgence. La pyonéphrose Destruction purulente du parenchyme rénal, la pyonéphrose nécessite une néphrectomie sous couverture d'un traitement antibiotique par voie intraveineuse. Bibliographie réf. 1 : GUILLONNEAU B, VALLANCIEN G. Urologie. Collection Inter Med, Doin ed., Paris, réf. 2 : ROSTOKER G., BENMAADI A., LAGRUE G. infections urinaires hautes : pyélonéphrites. - Editions Techniques - Encyl. Med. Chir. (Paris, France), Néphrologie- Urologie, A10, réf. 3 : CUKIER J. L'urologie. Collection Que sais-je? Presses Universitaires de France, FOIRE AUX QUESTIONS Question : Je suis souvent sujette aux infections urinaires. Actuellement j'en fait une avec fièvre et douleurs lombaires droites. Est-ce grave? Réponse : Vous faites probablement une pyélonéphrite aiguë droite. Celle-ci est secondaire à une infection urinaire basse (cystite). Il faut pratiquer un ECBU pour déterminer le germe en cause (c'est un Eschérichia coli dans 80% des cas), un ASP et une échographie rénale pour éliminer un obstacle sur les voies excrétrices. Une urotomodensitométrie rénale peut confirmer le diagnostic en montrant des zones hypodenses. A la différence de la cystite qui fait l'objet d'un traitement antibiotique court, la pyélonéphrite doit être traitée par deux antibiotiques par voie intra-veineuse (ou intra-musculaire) pendant quelques jours puis par un seul antibiotique pendant 3 semaines. Question : J'ai des antécédents de calculs urinaires. J'ai actuellement des douleurs de colique néphrétique avec de la fièvre. Que dois-je faire? Réponse : Il peut s'agir d'une pyélonéphrite sur obstacle. Il faut dans un premier temps pratiquer un ASP et une échographie rénale pour rechercher un calcul et une dilatation des cavités rénales témoignant d'une obstruction. Si tel est le cas il faut envisager une hospitalisation en urgence pour : Pratiquer une urotomodensitométrie rénale pour confirmer le diagnostic et apprécier avec précision le retentissement sur la voie excrétrice. Prévoir un drainage en urgence de la voie excrétrice par sonde urétérale ou néphrostomie per-cutanée associée à une antibiothérapie par voie intra-veineuse. Question : Je suis une femme de 78 ans qui a des difficultés à uriner et une descente d'organes. Je fais souvent des infections urinaires et j'ai fait récemment une pyélonéphrite droite. Comment les éviter?
7 Réponse : Votre dysurie dans le cadre d'un prolapsus génital témoigne vraissemblablement d'une vidange vésicale incomplète avec résidu post-mictionnel important. Ceci est un facteur favorisant des infections urinaires basses qui sont plus fréquentes dans ce contexte. Cellesci sont également favorisées par l'atrophie tissulaire et la sécheresse des muqueuses engendrées par la carence œstrogénique de la période post-ménopausique. Pour éviter les infections urinaires il faut : Prévoir une exploration et un traitement du prolapsus génital de manière à assurer une meilleure vidange vésicale. Le traitement peut être chirugical ou réeducatif. Débuter une hormonothérapie œstrogénique locale pour lutter contre l'atrophie tissulaire.
Infections urinaires chez l enfant
Infections urinaires chez l enfant Questions et réponses pour diminuer vos inquiétudes Chers parents, Cette brochure a pour but de faciliter votre compréhension et de diminuer vos inquiétudes en vous
Plus en détailCENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN. Prolapsus génital
CENTRE D UROLOGIE PRADO-LOUVAIN Prolapsus génital Qu est-ce que c est? Le prolapsus génital est une affection féminine. Il se définit par une saillie des organes pelviens (vessie, utérus, rectum) à travers
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Généralités Perte involontaire d'urine par l'urètre. Symptôme fréquent (2,5 millions de personnes en France). Nombre sous estimé. Risque 2 fois plus élevé pour les femmes que pour
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire
Plus en détailTraitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)
Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil
Plus en détailL Incontinence Urinaire au FEMININ. Examen paraclinique. Résidu Post Mictionnel. Examen pelvien
L Incontinence Urinaire au FEMININ Dr Isabelle Kaelin-Gambirasio Erika Vögele Dr Johanna Sommer Examen pelvien Inspection : Atrophie vulvovaginale Inflammation vaginale Pertes d urines à la toux Prolapsus
Plus en détailDes soins après avortement : Amis des Jeunes. Cartes à conseils 1-6
Des soins après avortement : Amis des Jeunes Cartes à conseils 1-6 SAA: Avant l intervention Accueillir cordialement la cliente et la mettre à l aise Garantir la confidentialité et l intimité Prendre les
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détaille bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor
le bilan urodynamique Dr René Yiou, CHU Henri Mondor Bilan urodynamique Continence et miction = résultat d'un rapport de forces vessie/urètre: 1. Pression vésicale de remplissage (compliance): doit rester
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailBrochure d information destinée au patient. Comment pratiquer l auto-sondage intermittent?
Brochure d information destinée au patient Comment pratiquer l auto-sondage intermittent? Sommaire de la brochure Ce guide complète les informations qui vous ont été données par le médecin et l infirmière.
Plus en détailTextes de référence. Infection urinaire
Textes de référence Infection urinaire Description médicale L infection urinaire est causée par la prolifération anormale d agents infectieux dans le système urinaire qui comprend les reins, les uretères,
Plus en détailIncontinence urinaire : trop souvent taboue
Incontinence urinaire : trop souvent taboue Tous concernés! De quoi s agit-il? C est une perte accidentelle ou involontaire des urines, qu il s agisse de quelques gouttes à une fuite plus conséquente :
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailQU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE?
QU EST-CE QUE LA TUBERCULOSE? Information pour les patients TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION 1 LA TUBERCULOSE GÉNÉRALITÉS 1.1 Qu est-ce que la tuberculose? 1.2 La tuberculose est-elle toujours contagieuse?
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailINFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie
INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée
Plus en détailTRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE. Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne
TRAITEMENT DE L INCONTINENCE URINAIRE Dr B Pogu Urologue FMC Sud Marne DEFINITION! Incontinence urinaire (IU) : perte involontaire des urines par l urètre, survenant en dehors de la miction et pouvant
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détail1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :
1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche
Plus en détailProlapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002
Prolapsus génital et incontinence urinaire chez la femme Professeur Pierre BERNARD Septembre 2002 Pré-Requis : Connaissance de bases : Anatomie du pelvis Classification des troubles de la statique génitale
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailInsuffisance rénale. Définition. o Insuffisance rénale aiguë
Insuffisance rénale Définition o Insuffisance rénale aiguë Se traduit par un brusque arrêt de la filtration des déchets du sang et de la production d urine. Associée à un déséquilibre de l organisme en
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailva être opéré d un hypospadias
Votre enfant va être opéré d un hypospadias Introduction Le chirurgien urologue pédiatrique vous a confirmé le diagnostic d hypospadias et expliqué les avantages ainsi que les risques et complications
Plus en détailLe test de dépistage qui a été pratiqué à la
élever CommenT UN enfant ayant une drépanocytose Q Le test de dépistage qui a été pratiqué à la maternité vient de révéler que votre bébé est atteint de drépanocytose. Aujourd hui, votre enfant va bien,
Plus en détailMaladies transmises sexuellement (MTS)
Maladies transmises sexuellement (MTS) La sexualité est une dimension normale et saine de la vie De nos jours, de nombreuses infections se transmettent par les relations sexuelles. On les appelle infections
Plus en détailLe Livre des Infections Sexuellement Transmissibles
Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et
Plus en détailTraitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées
Bon usage Mise au point Traitement antibiotique probabiliste des urétrites et cervicites non compliquées Actualisation Octobre 2008 MESSAGES CLÉS L évolution de la résistance du gonocoque aux quinolones
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailIl importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au
Il importe de noter que ce guide émet des recommandations conformes aux informations scientifiques disponibles au moment de sa publication, soit au 15 août 2011. Toutefois, ces recommandations n ont aucunement
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailChapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale
Chapitre 1 : Introduction à la rééducation périnéale 1. Historique. Kegel (1949). Bourcier (1970). 1985 : reconnaissance officielle d acte de MK. Développement de la MK périnéale : facteur éco/p sociale
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailINFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE
Livret LAM page 1 INFORMATIONS AUX PATIENTS ATTEINTS DE LEUCEMIE AIGUE MYELOBLASTIQUE Dans certains cas les symptômes et le traitement peuvent différer de ce que y est présenté dans ce livret. A tout moment
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailLES CONTUSIONS DU REIN
LES CONTUSIONS DU REIN Table des matières Table des matières 3 I - Épidémiologie 9 II - Mécanismes lésionnels 11 A. 1. Choc direct...11 B. 2. Lésions indirectes...11 C. 3. Plaies pénétrantes...11 D. 4.
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLa maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée
Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer
Plus en détailInfection par le VIH/sida et travail
Documents publiés dans la collection VIH-sida du ministère de la Santé et de la Protection sociale : COLLECTION VIH/SIDA Sida-MST (maladies sexuellement transmissibles) Transmission - Diagnostic/dépistage
Plus en détailLes Infections Associées aux Soins
Les Infections Associées aux Soins Dr Catherine Sartor EOH Conception Assistance Publique Hôpitaux de Marseille Ecole IFSI, Marseille, 12 septembre 2014 Définitions 2007 Infection Nosocomiale (IN) 1999
Plus en détailFICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION
FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,
Plus en détailUROLOGIE DCEM III. Professeur Pierre PLANTE Professeur Michel SOULIE
UROLOGIE DCEM III Professeur Pierre PLANTE Professeur Michel SOULIE 2006 1 - MOD 17 : 156, 201 Hématurie p. 3 - MOD 7 : 89, 93 Les infections urinaires p. 9 - MOD 17 : 158 Les gros reins p. 16 - MOD 17
Plus en détailKEAT : premier électrostimulateur sans fil d auto-rééducation périnéale à domicile
L incontinence : une maladie très fréquente D après le Pr François Haab, chirurgien urologue, coordinateur du centre d explorations périnéales de l hôpital Tenon (Paris) Des solutions adaptées à chaque
Plus en détailLa prise en charge de votre cardiopathie valvulaire
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre cardiopathie valvulaire Vivre avec une cardiopathie valvulaire Décembre 2008 En cas de cardiopathie valvulaire opérée
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailLa prise en charge de votre artérite des membres inférieurs
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre artérite des membres inférieurs Vivre avec une artérite des membres inférieurs Novembre 2007 Pourquoi ce guide? Votre
Plus en détailASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité
Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est
Plus en détailDIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE. Responsables de l enseignement :
DIU de rééducation pelvi-périnéale DIU DE REEDUCATION PELVI-PERINEALE Responsables de l enseignement : Pr. Gérard AMARENCO (UPMC), Pr. Michel COSSON (CHU Lille), Pr. Gilberte ROBAIN (UPMC) 1. Cible La
Plus en détailLes maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST)
Les maladies ou infections sexuellement transmissibles (MST) MST est le terme utilisé pour décrire toute maladie, toute infection transmise par un rapport sexuel avec une personne déjà contaminée, et qui
Plus en détailIncontinence urinaire en gériatrie. DR Depireux urologue DR Noël l interniste
Incontinence urinaire en gériatrie DR Depireux urologue DR Noël l interniste Vieillissement Variabilité interindividuelle des effets du vieillissement. Aboutissement à un groupe hétérogh rogène du point
Plus en détailCHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME
CHAPITRE 6 APPAREIL URINAIRE ET APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME Table des matières ÉVALUATION DE LA FONCTION URINAIRE ET DE L APPAREIL REPRODUCTEUR DE L HOMME... 6 1 Anamnèse et examen physique... 6 1
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailAprès un an d enquête, 1176 femmes travaillant au C.H.U avaient répondu à notre questionnaire.
Prévalence de l incontinence urinaire d effort selon le traumatisme obstétrical et la catégorie socio-. G. Philippe (1), I. Clément (2), I. Thaon (3) (1) Service d urologie C.H.U St jacques, Besançon (2)
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailItem 127 : Transplantation d'organes
Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailInformation pour les patients dialysés qui prennent du chlorhydrate de sévélamer (RENAGEL)
Les autorités de santé de l Union Européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament RENAGEL de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimalisation des risques en Belgique, dont cette information
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailLa planification familiale
La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailArtéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques
Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université
Plus en détailItem 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte
Item 196 : Douleur abdominale aiguë chez la femme enceinte Collège National des Gynécologues et Obstétriciens Français (CNGOF) Date de création du document 2010-2011 Table des matières Pré-Requis... 3
Plus en détailINCONTINENCE URINAIRE
INCONTINENCE URINAIRE Dr. René Yiou Service d urologie et département d anatomie CHU Henri Mondor 51, avenue du Maréchal de-lattre-de-tassigny 94010 Créteil Tel: 0149812559 Fax: 01.49.81.25.52 Email: rene.yiou@hmn.ap-hop-paris.fr
Plus en détailI - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE
I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais
Plus en détailLivret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation
Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT
Plus en détailSOINS DE PRATIQUE COURANTE. Prélèvement aseptique cutané ou de sécrétions muqueuses, prélèvement de selles
NOMENCLATURE GENERALE DES ACTES PROFESSIONNELS INFIRMIERS (Arrêté du 25 mars 1993) (Arrêté du 21 avril 1994) (Arrêté du 1er mars 1999) (Arrêté du 8 Décembre 1999) (Arrêté du 12 Octobre 2000) (Arrêté du
Plus en détailL'OTITE CHEZ LE BÉBÉ ET L'ENFANT
L'OTITE CHEZ LE BÉBÉ ET L'ENFANT Certains bébés souffrent d otite à répétition, d autres n en auront jamais. Pour mieux comprendre ce problème d oreille, voici quelques renseignements de base et des conseils.
Plus en détailINTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE
INTERVENTIONS CHIRURGICALES EN GYNÉCOLOGIE Informations générales pour la convalescence Pour vous, pour la vie Ce feuillet est destiné à mieux vous renseigner sur les points à observer après une opération
Plus en détailAMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne. Les dons de cellules & de tissus.
AMAMI Anaïs 3 C LORDEL Maryne Les dons de cellules & de tissus. Introduction : Une greffe (don) de cellules consiste à administrer à un patient dont un organe vital ne fonctionne plus correctement, une
Plus en détailRÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES
CHAPITRE VI RÉFÉRENCES ET RECOMMANDATIONS MEDICALES I - Situation juridique La notion de références médicales opposables (RMO) est apparue dans la convention nationale des médecins de 1993. La réforme
Plus en détailSe préparer à une angiographie artérielle
Se préparer à une angiographie artérielle Table des matières Sujet Page Qu est-ce que l athérosclérose?... 1 Durcissement graduel des artères (athérosclérose)... 2 Pourquoi dois-je subir une angiographie
Plus en détailEn souvenir du P r Olivier Dizien, décédé le 1 er juillet 2007
En hommage au D r Marc Maury, ancien médecin chef du CRM de Fontainebleau et ancien vice-président de l APF, pour son œuvre sur la paraplégie et son action au service du rapprochement associations / médecine
Plus en détailChapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes. Contrat-élève 3 ème
Chapitre 4 : cohabiter avec les micro-organismes Mais, que dois-je savoir? Pour rattraper un cours manquant, retrouve-le sur le site du collège dans la rubrique «enseignements» : http://colleges.acrouen.fr/courbet/spipuser/
Plus en détailL ANGINE. A Epidémiologie :
L ANGINE L angine est une inflammation aiguë des amygdales d origine essentiellement virale, et secondairement bactérienne. C est les streptocoque ß hémolytique du groupe A, qui est l agent responsable
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailApport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 3 septembre 2008
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 3 septembre 2008 PRIVIGEN 100 mg/ml, solution pour perfusion Flacon en verre de 50 ml (CIP: 572 790-7 Flacon en verre de 100 ml (CIP: 572 791-3) Flacon en verre de 200
Plus en détail