LE HANDICAP COMPLEXE
|
|
- Tiphaine Leblanc
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LE HANDICAP COMPLEXE «Articuler les actions de soins, d éducation, d apprentissage, de loisirs pour favoriser un meilleur état de Santé» 30 e Journées Nationales de formation des Personnels MAS/ FAM Organisées par le CREAI Pays-de-Loire Mai 2013
2 La santé : définition Nous ajoutons que cet état de complet bien être est à prendre en compte dans un environnement donné, tout comme le handicap (loi 2005) : "toute limitation d'activité ou restriction de participation à la vie en société subie dans son environnement par une personne en raison d'une altération substantielle, durable ou définitive d'une ou plusieurs fonctions physiques, sensorielles, mentales, cognitives ou psychiques, d'un polyhandicap ou d'un trouble de santé invalidant".
3 Recherche-action nationale
4 Personnes et populations concernées
5 DEMARCHE METHODOLOGIQUE
6 Des situations de handicap complexe Complexité qui se situe dans un SYSTEME d INTERACTIONS où les liens sont en interdépendance réciproque : q entre la complexité des BESOINS et des ATTENTES spécifiques de ces personnes de leur famille et des interlocuteurs présents dans leurs contextes de vie ; q et la complexité des REPONSES (apportées et adaptées, ou non).
7
8 Des situations de handicap complexe Comportements Des besoins complexes et évolutifs à identifier des réponses ajustées et évolutives dans un plan de compensation complexe à définir Complexité des besoins et attentes tout au long de la vie Vie quotidienne Communication Apprentissage Vie affective et sexuelle Famille et différents contexte humains de vie L organisation de réponses ajustées et évolutives sur le territoire Complexité des réponses tout au long de la vie
9 1er constat Une complexité qui fait écran Ä Cette complexité appelle non seulement : Ø d autres savoir-faire et savoir-être chez les «proxy»; Ø mais nécessite aussi de faire bouger les représentations et les modèles d analyse; Ø et de faire évoluer les cadres d intervention.
10 1ers Constats / santé Ä Or, une stratégie en termes de soins inadéquate ou insuffisante obère considérablement le développement des compétences en termes de relation, communication, apprentissages et impacte l état de santé.
11 Eléments participant au processus de production de la situation de handicap complexe / santé
12 Eléments participant au processus de production de la situation de handicap complexe/ santé q Souffrance psychique ayant des répercussions importantes Survenue phénomènes de régression liés à ruptures affectives, négligence, inattention aux besoins physiques et physiologiques élémentaires, inadéquation accompagnement (Saulus, 2009). Répercussions atteintes neurologiques, somatiques et sensorielles (ESSMS/3). Impact majeur de la situation de grande dépendance : frustration de ne pas pouvoir agir sur environnement et dépendre constamment de l aide d un tiers, altération image de soi, sentiment isolement et de solitude, difficulté à mettre sens sur évènements et à s exprimer, sentiment de se sentir différent, culpabilité face à souffrance familiale, renoncements successifs imposés par aggravation des limitations fonctionnelles (maladies dégénératives), expression difficulté à endurer expériences répétées inconfort et douleur physique, sentiment d abandon face à l épuisement des aidants, nombreuses ruptures affectives liées au turn-over du personnel (hypothèses / ESSMS, phase 3). Impact de l environnement : inadaptation des locaux, poids du collectif, encadrement insuffisant, instable ou fluctuant, modes de stimulation ou de communication inadaptés comportements problème (ESSMS/phase 3).
13 Eléments participant au processus de production de la situation de handicap complexe / santé
14 Mise en œuvre insuffisante des soins ou rupture dans le parcours de soin q Accès aux soins insuffisant malgré fort investissement des familles et des professionnels du secteur médico-social Soins généraux de suivi préventif : refus de certains généralistes ou spécialistes (locaux inadaptés, peu de disponibilité, commodité pour leur patientèle, manque d implication), nécessité pour les parents d accepter des conditions de consultation ne répondant pas aux règles d hygiène et d intimité, nécessité pour les établissements d engager des coûts en personnel et en transport pour rejoindre des services hospitaliers spécialisés faute de médecins de proximité. Soins spécifiques : soit des projets à la hauteur des besoins des enfants/adolescents mais peu de présence médicale active à leur côté (risque vital), soit des projets de soins et rééducation inexistants ou insuffisants (Phase 2). Soins de santé mentale : recours ponctuel au cas par cas pour les situations les plus préoccupantes, prise en charge sur des modes très partiels ou des durées très limitées, terme de prise en charge signifié du jour au lendemain sans prévenir la MDPH avec un retour au domicile «sans solution».
15 Mise en œuvre insuffisante des soins ou rupture dans le parcours de soin
16 Mise en œuvre insuffisante des soins ou rupture dans le parcours de soin
17 Constats sur les autres domaines de vie
18 Nécessité de modalités de réponses spécifiques q Mise en place des procédures d évaluation des besoins à partir des MDPH en concertation avec les professionnels de terrain, en recourant à l expertise d une équipe mobile d évaluation, en mobilisant des outils spécifiques (notamment, douleur) ; q Elaboration de plans de soins et d autonomie individualisés dans le cadre d une stratégie globale, notamment en santé mentale, articulant soins et pratiques éducatives dans le cadre de pratiques partenariales entre l hôpital et les structures médico-sociales ; q Mise en place des formations initiales et continues (notamment pour personnel soignant / nécessité réactivité face à fluctuation état de santé). q Maintien et développement de modalités d accueil et d accompagnement spécifiques
19 Nécessité de modalités de réponses spécifiques q A partir des établissements et services du secteur médicosocial Mise en place de protocoles préventifs et curatifs, formation du personnel par le médecin, convention, rédaction en équipe et mise à jour d un dossier de liaison établissement/secteur sanitaire, transmission informations générales (communication, alimentation, goûts personnels, personnalité, autonomie, motricité, toilette, appareillages, signes douleur ), préparation du séjour, accompagnement durant le séjour, préparation retour. La mise en place de réseau conventionné préalable à situation de crise : SOS Médecins, sapeurs-pompiers, SAMU, service des Urgences et services spécialisés des hôpitaux de proximité. Fiche descriptive de la pathologie de la personne (traitement, médecins, n de téléphones utiles) à portée de mains des aidants familiaux en cas d urgence.
20 Nécessité de modalités de réponses spécifiques q A partir des établissements et services du secteur médicosocial Accompagnement en fin de vie et soins palliatifs, présence plus importante au côté de la famille durant la période précédent le décès, proposition d accompagnement par un psychologue, rituels organisés avec les autres résidents pour rendre hommage à la personne et parler du décès, possibilité d un accompagnement religieux... Intervention équipe mobile ou réseau soins palliatifs, Formation avec pour certains élaboration d un document institutionnel sur l accompagnement du deuil (quelles attitudes adopter, quelles démarches à faire, comment réagir de façon adaptée et s organiser en cas de décès d une personne accompagnée, d un professionnel, d un proche de ces deux catégories d acteurs), Réflexion autour de questions éthiques (refus de soin ou manifestations significatives du souhait de ne plus vivre, refus des soins palliatifs de certains parents, voire de certains médecins généralistes), Recherche de décision consensuelle après un long travail relationnel entre l équipe dans une unité dédiée aux personnes en EVC-EPR et l environnement familial.
21 Nécessité de modalités de réponses spécifiques q A partir du secteur sanitaire Des réponses sanitaires adaptées (volume, spécialisation, ajustement, réactivité, etc.) avec le maintien des services de soins de suite et de réadaptation (SSR) comme ceux spécialisés dans l accueil d enfants, d adolescents et de jeunes adultes poly ou multi handicapés (ex. SSR de l hôpital AP-HP de la Roche Guyon). L utilisation d outils comme le Kit de communication (AP-HP en collaboration avec des urgentistes, le secteur sanitaire et médico-social, des associations, des personnes handicapées), les fiches de liaison pour l accueil de l enfant et l adulte handicapés dépendants (Mission Handicap DPM de l AP-HP avec l inter association multi handicap Ile-de- France), un livret de vie pour accompagner les personnes aux urgences (AFSR), la fiche Sparadrap "Un poster qui parle pour tous ceux qui ont des difficultés à communiquer«(association Sparadrap). La création d Unité Mobile d Evaluation et de Suivi des Handicaps (ex. UMESH 76) ou de dispositif global de prise en charge médicale pour des personnes en situation de handicap (ex. Handisoins 86).
22
23
24 Un système de santé coordonné en équilibre instable
25
Le décret du 2 mars 2006 a institué le Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique de niveau V.
Siège social : 9 bis, rue Armand Chabrier 47400 TONNEINS Tél. : 05.53.64.61.57 Fax : 05.53.64.63.12 e-mail : adestonneins@yahoo.fr Site : www.adesformations.fr Antenne de Bazas 7 chemin Larriou 33430 BAZAS
Plus en détailClassifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales.
Classifier le handicap épileptique avec ou sans autres déficiences associées. Réponses médico-sociales. 1 Les outils de mesure existants et description du handicap épileptique Il ne s agit pas ici de mesurer
Plus en détailLe référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique
A R D E Q A F Le référentiel professionnel du Diplôme d Etat d Aide Médico-Psychologique 1.1 Définition de la profession et du contexte de l intervention p. 2 1.2 Le référentiel d activités du Diplôme
Plus en détailCENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE
CENTRE D EDUCATION ET DE SOINS SPECIALISES POUR ENFANTS POLYHANDICAPES «LE RIVAGE» LIVRET D ACCUEIL DU STAGIAIRE 12 rue aux raisins - 62600 BERCK SUR MER 03.21.89.44.01 - Fax : 03.21.89.44.82 Le mot d
Plus en détailCAHIER DES CHARGES INFIRMIER-ÈRE DIPLÔMÉ-E
Madame/Monsieur 1. DÉFINITION DE LA FONCTION Au service du projet institutionnel, la titulaire du poste : Exerce dans un cadre législatif et un contexte sanitaire connus (loi sur l exercice professionnel,
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailAccompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux
Accompagnement de fin de vie des enfants et adolescents polyhandicapés en établissements et services médico-sociaux Cette enquête est réalisée en partenariat avec le Groupe Polyhandicap France (GPF) et
Plus en détailEquipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris)
Equipe mobile SMES CH Sainte-Anne (Paris) 1. Contexte local Géographie La psychiatrie adulte de l hôpital Sainte-Anne est orientée vers 7 secteurs psychiatriques adultes, que ce soit pour les hospitalisations,
Plus en détailNOTE D INFORMATION sur la formation sociale préparatoire au Diplôme d Etat d AIDE MEDICO-PSYCHOLOGIQUE
Ce.F Centre de Formation au Travail Sanitaire et Social Place du Marché Couvert - BP 414-24104 BERGERAC CEDEX Tél : 05 53 22 23 00 Fax : 05 53 23 93 05 Email : cef@johnbost.fr Site : www.johnbost.org/cef
Plus en détail1. Procédure d admission
Direction générale de l action sociale SD2/SD3 Document de travail MESURE 18 : HEBERGEMENT DES MALADES JEUNES ADMISSION D UNE PERSONNE AGEE DE MOINS DE 60 ANS DANS UN ETABLISSEMENT POUR PERSONNES HANDICAPEES
Plus en détailComment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS
Comment remplir une demande d AVS Remplir les dossiers administratifs quand on a un enfant autiste et TED (3) : demander une AVS Intégration était le maître mot de la loi de 75, scolarisation est ce lui
Plus en détailLivret. Maison. handicapées. Maison. de prestations. des personnes. départementale
Livret de prestations Maison départementale des personnes handicapées Vous informer, vous orienter, évaluer vos besoins, suivre vos prestations Maison départementale des personnes handicapées PYRÉNÉES-ATLANTIQUES
Plus en détailquel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves :
Répondre aux besoins éducatifs PARticuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé
Plus en détailquel plan pour qui? Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves :
Répondre aux besoins éducatifs particuliers des élèves : quel plan pour qui? _ Le projet d accueil individualisé (PAI) _ Le projet personnalisé de scolarisation (PPS) _ Le plan d accompagnement personnalisé
Plus en détailAction sociale. Nos actions dans le domaine du handicap. L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie
Action sociale Nos actions dans le domaine du handicap L Action sociale vous accompagne dans les moments importants de votre vie Assumer au quotidien une situation de handicap est difficile pour une famille
Plus en détailMINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE MINISTÈRE DE LA SANTÉ ET DES SPORTS SOLIDARITÉS
MINISTÈRE DU TRAVAIL, DES RELATIONS SOCIALES, DE LA FAMILLE, DE LA SOLIDARITÉ ET DE LA VILLE SOLIDARITÉS PROFESSIONS SOCIALES Arrêté du 18 mai 2009 relatif au diplôme d Etat d éducateur technique spécialisé
Plus en détailA.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex. Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.
A.G.E.F. Z. I. 7, rue Philippe Lebon B.P. 110 21703 Nuits-Saint-Georges Cedex Tél. 03 80 62 45 00 Fax. 03 80 61 37 52 agef@wanadoo.fr www.agef21.com Le mot de bienvenue du Président Vous avez choisi d
Plus en détailPROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON
PROJET VIVRE, HABITER ET TRAVAILLER DANS LYON ET LE GRAND LYON Pourquoi une structure innovante pour jeunes adultes autistes dits «évolués»? L association Sésame-Autisme Rhône-Alpes souhaite offrir aux
Plus en détailAutisme Questions/Réponses
Autisme Questions/Réponses 1. Quelle est la définition de l autisme et des autres troubles envahissants du développement établie dans l état des connaissances élaboré et publié par la HAS? Les définitions
Plus en détailLES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS
LES RÉFÉRENTIELS RELATIFS AUX ÉDUCATEURS SPÉCIALISÉS 1. RÉFÉRENTIEL PROFESSIONNEL D ÉDUCATEUR SPÉCIALISÉ 2. RÉFÉRENTIEL ACTIVITÉS 3. RÉFÉRENTIEL DE 4. RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION 5. RÉFÉRENTIEL DE FORMATION
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLe restaurant scolaire est ouvert le lundi, mardi, jeudi et vendredi de 12H05 à 13 H30 : Article 2 : ACCES AU RESTAURANT
COMMUNE DE NIVILLAC REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE ANNEE 2014-2015 ECOLE PRIMAIRE PUBLIQUE «LES PETITS MURINS» La cantine scolaire a pour objectif d assurer, dans les meilleures conditions
Plus en détailProyecto Telemedicina
Seminario Internacional Desarrollo de Servicios Sociales para Personas Mayores 3-4 octubre 2013 Proyecto Telemedicina Dr Jean-Philippe Flouzat Médico geriatra, Consejero Médico Social de la Agencia Regional
Plus en détailLe niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule.
ANNEXE FICHE 10 : NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE Le niveau 3 - alerte canicule correspond à une vigilance météorologique orange pour le paramètre canicule. I. MESURES PRISES AU NIVEAU 3 - ALERTE CANICULE 1.
Plus en détailStratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés
Stratégie d intervention auprès des élèves présentant des comportements et attitudes scolaires inappropriés IEN/CTR ASH 2011-2012 Comportements inappropriés / Troubles de la conduite et du comportement
Plus en détailCommune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR
Commune de RESTAURATION SCOLAIRE REGLEMENT INTERIEUR REGLEMENT INTERIEUR Vu la délibération du Conseil Communautaire en date du 26 mai 2015 et portant instauration du système des forfaits ; Vu la délibération
Plus en détaileduscol Santé et social Enseignement d'exploration
eduscol Consultation nationale sur les programmes Projets de programmes de la classe de seconde générale et technologique Santé et social Enseignement d'exploration L'organisation de la consultation des
Plus en détailPour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.
Chaque famille demandant l inscription de son ou de ses enfants en restauration scolaire s engage à respecter tous les points du présent règlement, notamment les modalités d inscription, de facturation
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailREFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL
1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat
Plus en détailARRÊTÉ du. Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de seconde générale et technologique
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l Éducation nationale NOR : MENE1007267A ARRÊTÉ du Projet d arrêté fixant le programme d'enseignement de santé et social en classe de générale et technologique Le Ministre
Plus en détailAutisme : ce que nous attendons des Agences Régionales de Santé
Autisme : ce que nous attendons des Agences Régionales de Santé La mise en place du plan autisme 3 met au premier plan les ARS qui vont devoir le mettre en œuvre en région. Elle a vite fait apparaître
Plus en détailLiaison Bac Pro ASSP - BTS
Brigitte Rougier IEN SBSSA Sandrine Martinez PLP STMS Sarah Zemmouri PLP STMS L élaboration du plan de formation en Baccalauréat professionnel Liaison Bac Pro ASSP - BTS Baccalauréat professionnel «Accompagnement,
Plus en détaill hébergement temporaire
Dossier technique État des lieux et préconisations sur l hébergement temporaire des personnes âgées et des personnes handicapées Octobre 2011 II Ce dossier technique rend compte de l atelier pratique organisé
Plus en détailNEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF
NEPALE NORD ESSONNE PALLIATIF ASSOCIATION LOI 1901 CONVENTION CONSTITUTIVE SOMMAIRE ARTICLE 1 OBJET DU RESEAU ET OBJECTIFS POURSUIVIS ARTICLE 2 AIRE GEOGRAPHIQUE DU RESEAU ET POPULATION CONCERNEE ARTICLE
Plus en détailLES PROFESSIONNELS DE LA SANTE
AD'PROSANTE : DES FORMATIONS POUR LES PROFESSIONNELS DE LA SANTE AD'PROSANTE - GROUPE SOFT FORMATION 84, Boulevard de la Corderie 13007 Marseille Tél : 04.91.15.71.03 Fax : 04.91.81.52.62 1 NOTRE OFFRE
Plus en détailLa présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA.
Projet ITEP La présente note vise à expliciter de façon synthétique le contexte de lancement et le contenu du Projet ITEP coordonné et piloté par la CNSA. I. LE CADRE JURIDIQUE Les Instituts Thérapeutiques,
Plus en détailCONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP. Relevé des conclusions
PRÉSIDENCE DE LA RÉPUBLIQUE Service de presse Paris, le 11 décembre 2014 CONFERENCE NATIONALE DU HANDICAP Relevé des conclusions A l occasion de la Conférence nationale du handicap du 11 décembre 2014,
Plus en détailConstruire une société ouverte aux différences Édition 2009
Schéma d orientation médico-social en faveur des personnes en situation de handicap Construire une société ouverte aux différences Édition 2009 Sommaire Construire une société ouverte aux différences Schéma
Plus en détailLa preuve par. Principaux enseignements du bilan des PRT et. du recensement des projets télémédecine 2013
La preuve par Principaux enseignements du bilan des PRT et du recensement des projets télémédecine 2013 Le recensement Télémédecine 2013 01 Synthèse du recensement Télémédecine 2013 02 Répartition et maturité
Plus en détailGuide pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés
Guide pour la scolarisation des enfants et adolescents handicapés Avant-propos Une nouvelle loi, de nouveaux principes La loi du 11 février 2005 relative à l égalité des droits et des chances, la participation
Plus en détailRÈGLEMENT INTÉRIEUR. RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015
RÈGLEMENT INTÉRIEUR RESTAURATION SCOLAIRE Année scolaire 2014/2015 Article 1 : SERVICE MUNICIPAL DE RESTAURATION SCOLAIRE La ville d Andernos les Bains met à la disposition pour le déjeuner de tous les
Plus en détailBaccalauréat Professionnel «Accompagnement, soins et services à la personne» Lycée Guillaume Budé Limeil- Brevannes
Baccalauréat Professionnel «Accompagnement, soins et services à la personne» Lycée Guillaume Budé Limeil- Brevannes E Méchineau : enseignante BTSE S Grisolle : enseignante STMS Le bac Pro ASSP Option D
Plus en détailVOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE
Version octobre 2012 VOTRE COMPLEMENTAIRE SANTE ASSISTANTES MATERNELLES & SALARIES DE PARTICULIERS EMPLOYEURS Une équipe de conseillers est à votre service du lundi au vendredi de 9h00 à 12h30 et de 13h30
Plus en détailARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS
ARS et Conseils généraux de Bretagne Prestations d études et d analyses de l organisation de la prise en charge des personnes avec TED dans les ESSMS Synthèse des questionnaires destinés aux établissements
Plus en détailEdito NUMERO 31 G R O U P E P O L Y H A N D I C A P F R A N C E JUILLET 2014
G R O U P E P O L Y H A N D I C A P F R A N C E 11 bis, rue Théodore de Banville - 75017 PARIS Tél: 09 53 66 97 39 Fax 09 58 66 97 39 gpf.secretariat@free.fr - @GPFpolyhandicap NUMERO 31 JUILLET 2014 Edito.
Plus en détailLE FINANCEMENT. MSPD Eric Fretillere Conseil Régional de l Ordre des Médecins d Aquitaine CDOM 47Page 1
LE FINANCEMENT Il ne faut pas se le cacher, le financement est une difficulté et de nombreuses maisons médicales dans les 10 dernières années, qui fonctionnaient de manière satisfaisante, sont «décédées»
Plus en détailEpilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire?
Epilepsies : Parents, enseignants, comment accompagner l enfant pour éviter l échec scolaire? L épilepsie concerne plus de 500 000 personnes en France, dont la moitié sont des enfants ou des adolescents.
Plus en détailL hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon
L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute
Plus en détailLe service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie. Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux
Le service public hospitalier et la vulnérabilité : Les équipes mobiles de gériatrie Pr Nathalie Salles Pôle de Gérontologie CHU Bordeaux Plan Vulnérabilité et fragilité de la personne âgée Filière de
Plus en détailVENIR SE SOIGNER EN FRANCE
Quel qu en soit le motif, l entrée sur le territoire français est soumise à une obligation de «visa» (sauf nationalités dispensées). Le visa «pour raison médicale» ou «sanitaire» est un visa spécialement
Plus en détailquestions/réponses sur les DYS
D Y S L E X I E, D Y S P H A S I E, D Y S P R A X I E, Les DYS, un handicap émergeant? La Dysphasie trouble du langage oral? La Dyspraxie, trouble de la coordination du geste? La Dyslexie, trouble du langage
Plus en détailPRESENTATION DE LA MDPH
PRESENTATION DE LA MDPH 1) LA LOI HANDICAP DU 11/02/2005 La loi handicap de 2005 (la précédente remonte à 1975) a révolutionné tant les institutions dans leur fonctionnement, que l accueil des élèves dans
Plus en détailDiplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences
Annexe II Diplôme d Etat d infirmier Référentiel de compétences Les référentiels d activités et de compétences du métier d infirmier diplômé d Etat ne se substituent pas au cadre réglementaire. En effet,
Plus en détailA - Nomenclature des préjudices de la victime directe
ANNEXE NOMENCLATURE DES PREJUDICES RESULTANT D UNE ATTEINTE A LA PERSONNE A - Nomenclature des préjudices de la victime directe 1 ) Préjudices patrimoniaux a) Préjudices patrimoniaux temporaires (avant
Plus en détailCéline Nicolas Cantagrel CPC EPS Grande Section /CP Gérer et faciliter la continuité des apprentissages
Céline Nicolas Cantagrel C EPS Grande Section / Gérer et faciliter la continuité des apprentissages GS Quelques pistes par rapport à l équipe pédagogique : renforcer les liens, clarifier les paramètres
Plus en détailLes différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire
Les différentes structures d accueil des secteurs médicaux sociaux, sanitaires, et résidences services / Glossaire E.H.P.A.D E.H.P.A.D (Etablissement d hébergement pour personnes agées dépendantes) Un
Plus en détailEtablissement S.A.S. / ARPADE. Services d Accueil et de Soins. - Livret d accueil -
Etablissement S.A.S. / ARPADE Services d Accueil et de Soins - Livret d accueil - Association Régionale de Prévention et d Aide face aux Dépendances et aux Exclusions Valeurs fondamentales de l Association
Plus en détailPlan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012
Plan «Alzheimer et maladies apparentées» 2008-2012 1 er février 2008 Sommaire 10 MESURES PHARES 6 RESUME DES FINANCEMENTS 7 SYNTHESE DES FINANCEMENTS PAR MESURE 8 AXE I. AMELIORER LA QUALITE DE VIE DES
Plus en détaildans la Loire... I ACCUEILS DE JOUR
DES PROFESSIONNELS DU CONSEIL GÉNÉRAL DE LA LOIRE proches de chez vous Roanne 31-33 rue Alexandre Raffin 42300 Roanne Autonomie 53 rue de la République 42600 Montbrison 23 rue d'arcole 42000 Montbrison
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord,
DOSSIER DE PRESSE Lille, le 13 février 2008 A l occasion de la remise du rapport de Cécile Gallez, députée du Nord, sur l accueil des personnes âgées et des personnes handicapées françaises en Belgique,
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailQUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H.
QUESTIONNAIRE COMPLEMENTAIRE A.E.E.H. Document nécessaire à l étude de la demande d Allocation d Education d Enfants handicapés DOSSIER N (GED) :. Cadre réservé à la MDPH NOM Prénom de l enfant : Date
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents
REGLEMENT INTERIEUR Pour les enfants et leurs parents de la RESTAURATION SCOLAIRE MATERNELLE/ELEMENTAIRE Direction de l Education, de l Enfance et de la Réussite Educative Approuvé au Conseil Municipal
Plus en détailb) 20 ans, il change de statut : AAH et couverture santé
VIE QUOTIDIENNE ET DROITS SOCIAUX DES ADULTES EN SITUATION DE HANDICAP Plan : 1/L ACCES A LA MAJORITE, LE CHANGEMENT DE STATUT a)18 ans la MAJORITE b) 20 ans, il change de statut : AAH et couverture santé
Plus en détail+ 34,7 % 1. Le budget. L Budget exécuté 2006 à 2009 de la CNSA et budget prévisionnel 2010. entre 2006 et 2009.
Chiffres clés 21 Créée en 24, la CNSA contribue au financement des politiques d aide à l autonomie des personnes âgées et des personnes handicapées. Elle consacre en particulier une grande part de son
Plus en détailSOINS ET ACCOMPAGNEMENTS. Professionnels de la psychiatrie. www.psycom.org
SOINS ET ACCOMPAGNEMENTS Professionnels de la psychiatrie www.psycom.org Professionnels de la psychiatrie SOMMAIRE Organisation des soins psychiatriques Professionnels de la psychiatrie Psychiatre et pédopsychiatre
Plus en détailQuestionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap
Questionnaire à l attention des parents d enfant(s) en situation de handicap Ce questionnaire s inscrit dans le cadre d une démarche de travail collectif des services de la ville en charge de l accueil
Plus en détailM.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex
M.A.S. Franche Terre/ A.S.F.A. Tél. : 0262 90 87 60 Fax : 0262 92 23 39 E-mail : direction.samsah.mas@asfa.re B.P. 840 97476 Saint-Denis Cedex ÉDITO «La loi rappelle que le pouvoir de décision en matière
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION
ANNEXE I REFERENTIEL PROFESSIONNEL AUXILIAIRE DE VIE SOCIALE CONTEXTE DE L INTERVENTION L auxiliaire de vie sociale réalise une intervention sociale visant à compenser un état de fragilité, de dépendance
Plus en détailFédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008. 24/10/2008 ROR-IF Dr F. Dolveck
Fédération des collèges de médecine d urgence Marseille Novembre 2008 Dr F. Dolveck 1 Premiers éléments de réflexion Des expériences localisés non concertés (92-91) : Mauvaise connaissance de l offre de
Plus en détailHospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires et Affections respiratoires Livret de séjour
CENTRE HOSPITALIER de BOURG-EN-BRESSE CS 90401 900 route de Paris 01012 BOURG-EN-BRESSE CEDEX 04 74 45 44 08 Hospitalisation à Temps Partiel Soins de Suite et Réadaptation Affections cardio-vasculaires
Plus en détailDocument de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011
Document de travail «Conduite de l évaluation interne dans les établissements hébergeant des personnes âgées dépendantes» Mars 2011 DOCUMENT DE TRAVAIL Anesm-MARS 2011 1 Sommaire 1. Introduction... 3 Qu
Plus en détail- Evaluation de la situation sur dossier ou à domicile (vous pouvez être amené à rencontrer différents professionnels)
Maison Départementale des Personnes Handicapées du Haut-Rhin CG 68 - Direction de la Communication - Dessins réalisés par des usagers des établissements pour personnes handicapées du Haut-Rhin Qu est-ce
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58
REGLEMENT INTERIEUR du RESTAURANT SCOLAIRE de la COMMUNE de LINXE 05.58.73.89.58 Préambule La Commune de Linxe, organise un service de restauration pour son groupe scolaire. Ce service est ouvert à tous
Plus en détailL école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences
L école maternelle et le socle commun de connaissances et de compétences Animation pédagogique Mise en œuvre du LPC 87 Un principe majeur! L école maternelle n est pas un palier du socle commun de connaissances
Plus en détailI. Qu est ce qu un SSIAD?
1 Plan Introduction I. Qu est ce qu un SSIAD? II. L accompagnement du SSIAD III. Présentation du SSIAD de Meyssac et de Beynat IV. Les personnes prises en soin dans le SSIAD V. Présentation d une situation
Plus en détailParent d un enfant particulier : Où être accueilli, écouté, informé?
Parent d un enfant particulier : Où être accueilli, écouté, informé? Guide pratique pour l accueil d un enfant en situation de handicap DIRECTION GéNéRALE ADJOINTE de l ACTION SOCIALE ET DE LA SOLIDARITé
Plus en détailSecteur social et médico-social : zoom sur quatre métiers qui recrutent
Métiers... Secteur social et médico-social : zoom sur quatre métiers qui recrutent Le secteur social et médico-social est constitué d une large gamme d organismes et de services qui offrent des services
Plus en détailEtablissements de prise en charge des seniors
Etablissements de prise en charge des seniors Claudine Fabre I. Introduction Qui est vieux? Dans le langage courant, le terme de personnes âgées sousentend un individu retraité ou > 65 ans Sous cette étiquette
Plus en détailDes questions..des réponses
1 Des questions..des réponses C est quoi le Foyer 150?... 3 Qui travaille au Foyer 150?... 4 Pourquoi est-on placé au Foyer 150?... 4 Comment arrive-t-on au Foyer 150?...... 5 Première étape : contact
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE Impasse Manificat ECOLE MATERNELLE ET ELEMENTAIRE ALICE SALANON ECOLE PRIMAIRE SAINTE ANNE
REGLEMENT INTERIEUR DU RESTAURANT SCOLAIRE Impasse Manificat ECOLE MATERNELLE ET ELEMENTAIRE ALICE SALANON ECOLE PRIMAIRE SAINTE ANNE Approuvé par délibération du Conseil Municipal du 29 juin 2015 Chaque
Plus en détailPREAMBULE INSCRIPTION AUX SERVICES RESPONSABILITÉ - ASSURANCE HYGIENE ET SANTE
LES REGLEMENTS INTERIEURS RESTAURANT SCOLAIRE ACCUEIL PERISCOLAIRE ACTIVITES PERI-EDUCATIVES Délibéré en Conseil Municipal du 05 Juin 2014 PREAMBULE Les services périscolaires sont des prestations volontairement
Plus en détail2O14 LIVRET D ACCUEIL DES RESIDENTS. EHPAD Les Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMALIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.
2O14 IVRET D ACCUEI DES RESIDENTS EHPAD es Savarounes, 1 rue du Roc Blanc 63400 CHAMAIERES Tel : 04.73.31.76.00 Fax : 04.73.31.76.01 lessavarounes@wanadoo.fr Bienvenue e plus grand bien qu on puisse faire
Plus en détailVotre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires. Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française
Les services de soins et d accompagnement de la Mutualité Française Prévenir - Soigner - Accompagner Votre partenaire pour construire une offre de santé adaptée aux territoires Qui est la Mutualité Française?
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Une nouvelle activité vient de voir le jour. «Le BTP Gériatrique»
DOSSIER DE PRESSE Une nouvelle activité vient de voir le jour «Le BTP Gériatrique» Adapt 06 est une société de travaux tout corps d état, spécialisée dans l adaptation des logements pour les personnes
Plus en détailFOURNISSEURS ET PRESTATAIRES DE SERVICES Matériels, aides techniques : venez choisir vos interlocuteurs!
FOURNISSEURS ET PRESTATAIRES DE SERVICES Matériels, aides techniques : venez choisir vos interlocuteurs! Vous trouverez dans cette rubrique une large sélection d entreprises spécialisées dans les secteurs
Plus en détailARRÊTÉ du. relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère du travail, de l emploi NOR : ARRÊTÉ du relatif au cahier des charges de santé de la maison de santé mentionné à l article L. 6323-3 du code de la santé publique. Le ministre
Plus en détailAPPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES
APPEL A PROJET ARS DE CORSE GROUPE D ENTRAIDE MUTUELLE POUR PERSONNES CEREBRO LESEES CAHIER DES CHARGES Les Groupes d Entraide Mutuelle (GEM) ont pour objet d offrir aux personnes adultes handicapées un
Plus en détailtroubles comportementaux aigus et/ou cognitifs tous les intervenants de l entreprise Prise en charge immédiate sur le lieu de travail.
Introduction Les troubles comportementaux aigus et/ou cognitifs concernent tous les intervenants de l entreprise : dangerosité du salarié pour lui-même et pour autrui, risque de désorganisation de l activité
Plus en détailLES AIDES DU FONDS POUR L INSERTION DES PERSONNES HANDICAPEES DANS LA FONCTION PUBLIQUE (FIPHFP)
LES AIDES DU FONDS POUR L INSERTION DES PERSONNES HANDICAPEES DANS LA FONCTION PUBLIQUE (FIPHFP) Colloque sur la prévention des risques professionnels Mardi 9 décembre 2014 LE CADRE REGLEMENTAIRE LE STATUT
Plus en détailIME et SESSAD ROBERT DESNOS. Livret d accueil des stagiaires
IME et SESSAD ROBERT DESNOS Site qualifiant Livret d accueil des stagiaires 1, rue Buffon 94310 ORLY E-mail : ime.desnos@apajh94.fr - Sites internet : www.imeorly.fr - www.apajh94.fr 01. 48. 52. 90. 19.
Plus en détail«Politique des ARS pour les seniors»
«Politique des ARS pour les seniors» Claude EVIN, Directeur Général de l Agence Régionale de Santé d Ile-de-France XX/XX/XX L ARS, acteur majeur de la politique de santé et d accompagnement au service
Plus en détailPRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE
PRESENTATION DU RAPPORT DU GROUPE DE TRAVAIL DU CONSEIL NATIONAL DE L AIDE AUX VICTIMES SUR LA PRISE EN CHARGE DES VICTIMES EN URGENCE SYNTHESE Le 15 septembre 2003, Madame Anne D HAUTEVILLE, professeur
Plus en détail1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale!
Plan «Urgences» 1 ère partie Amont de l'hôpital : organiser la permanence des soins une obligation médicale! Fiche 1.1 La permanence des médecins généralistes Mesure 1 Assurer la permanence de soins Mesure
Plus en détail