DOSSIER DE PRESSE. 24 octobre 2017

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1 DOSSIER DE PRESSE 24 octobre 2017 Contact Presse : Cybèle FOOLCHAND - Tél : Port : Courriel : cybele.foolchand@ars.sante.fr

2 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Ne laissons pas les moustiques s installer! Les moustiques peuvent transmettre des maladies comme la dengue, le chikungunya, ou le paludisme. Le contexte de l été austral, avec les pluies associées aux fortes chaleurs, est favorable au développement des moustiques. C est pourquoi les acteurs se mobilisent aux côtés de l ARS Océan Indien (ARS OI) pour sensibiliser les habitants sur le terrain. Contexte épidémiologique Mayotte a connu une épidémie de dengue importante en Depuis cette période, des cas autochtones sporadiques sont identifiés sur l île, ce qui signifie que le virus de la dengue circule à bas bruit. Par ailleurs, Mayotte est confrontée en permanence à la menace des maladies vectorielles : en plus du paludisme, de la dengue et du chikungunya, maintenant bien connus, la propagation internationale du virus ZIKA présente un risque supplémentaire, qui conforte l importance du maintien d un très haut niveau de vigilance sur ces maladies. L approche de conditions climatiques plus favorables au développement des moustiques et la situation épidémiologique internationale laissent donc toujours craindre l installation de nouveaux épisodes de circulation de ces maladies à court ou moyen terme. Sensibiliser le plus grand nombre Une majorité des lieux de pontes des moustiques sont créés et entretenus par l homme autour de son habitation. Aussi, l ARS OI souhaite : Convaincre la population de l importance de supprimer les eaux stagnantes dans leur jardin et les environs. Réduire efficacement les risques de transmission de maladies et les nuisances occasionnées par les moustiques à Mayotte >> Ne laissons pas les moustiques s installer! Parce que les moustiques sont l affaire de tous, l ARS OI invite les Mahorais à être acteurs de leur protection contre les nuisances et les maladies transmises par les moustiques. Le message : Ne laissons pas les moustiques s installer! Il suffit d éviter les eaux stagnantes autour de chez soi par des gestes simples et efficaces : - ranger ou abriter tout objet pouvant contenir de l eau, - abriter les pneus et jeter les déchets dans la poubelle, - couvrir les réserves d eau >> Des actions conjointes menées avec les écoles et les communes L ARS OI mène également des actions en partenariat : avec les écoles : stand d information pour délivrer les messages de prévention avec les communes de l île (recherche des gîtes larvaires avec le référent communal, porte-àporte chez les habitants pour éliminer avec eux les gîtes larvaires présents à leur domicile, tout en les sensibilisant sur les bons gestes à mettre en œuvre). 2

3 Sommaire La lutte anti-vectorielle à Mayotte... P. 4 Contexte épidémiologique Les chiffres-clé de la lutte anti-vectorielle en 2016 Des modes d action innovants Sensibiliser le plus grand nombre. P. 5 Objectifs de l opération Ne laissons pas les moustiques s installer! Les actions sur le terrain.. P. 6 Sensibilisation des enfants dans les écoles primaires Sensibilisation en porte-à-porte chez l habitant Deux grandes opérations de nettoyage Annexe.. P. 7 En savoir plus : la dengue et le chikungunya / l Aedes albopictus Affiche/ Programme 3

4 La lutte anti-vectorielle à Mayotte Contexte épidémiologique Mayotte a connu une épidémie de dengue importante en Depuis cette période, des cas autochtones sont identifiés régulièrement sur l île, ce qui signifie que le virus de la dengue circule à bas bruit.». De nombreuses épidémies de dengue et de chikungunya sont en cours dans différents pays de la zone océan Indien (Sud-Est asiatique notamment). A noter également que des épidémies de chikungunya et de Zika (un virus également transmis par Aedes albopictus et Aedes aegypti) se poursuivent notamment en Amérique du Sud avec le risque de diffusion vers la Guyane et les Antilles. Le risque d importation de ces deux virus sur notre territoire est donc constant. Cependant, l arrivée de l été austral et de ses conditions climatiques plus favorables au développement des moustiques laisse craindre une recrudescence des maladies vectorielles. La mobilisation de tous reste donc indispensable pour limiter les sources de prolifération des moustiques grâce au repérage et à l élimination régulière des eaux stagnantes. Chiffres-clé de la lutte anti-vectorielle en 2016 Au sein de l ARS OI, 66 personnes assurent au quotidien à Mayotte des missions de LAV sur le terrain maisons et jardins visités pour l élimination des gîtes larvaires et le passage de message de prévention (86000 personnes) foyers ont reçu des messages de prévention spécifiques contre le paludisme 104 interventions suite à des signalements de nuisances 30 enquêtes épidémiologiques réalisées suite à des signalements de cas de dengue ou de paludisme Des modes d action innovants Géolocalisation (GPS) : développer Lors des prospections sur le terrain et des enquêtes épidémiologiques, les localisations précises des gîtes à risques sont reportées sur une carte, ce qui permet une meilleure surveillance tout au long de l année et les années suivantes. La cartographie permet également aux collectivités d avoir un repère sur les carcasses des voitures ou autres dépôts sauvages présents sur leurs territoires qui sont autant de lieux de pontes des moustiques qui transmettent les maladies. Développer les initiatives des collectivités (formation agents communaux) En partenariat avec les communes, l ARS OI mène un programme de sensibilisation et de formation d agents communaux à la prospection et à l élimination des lieux de ponte des moustiques, en particulier vecteurs de maladies. Cette action a pour objectif de créer un réseau de partenaires pour faire passer le message à la population et prévenir l apparition ou la propagation des maladies en évitant ou en limitant la présence d eaux stagnantes. 4

5 Sensibiliser le plus grand nombre A l approche de l été austral, les acteurs se mobilisent pour sensibiliser la population à la lutte contre les moustiques. Objectifs de l opération Convaincre les Mahorais de l importance de repérer et d éliminer, chaque jour, les eaux stagnantes dans leur jardin, qui sont des lieux de ponte pour les moustiques. Faire comprendre l efficacité des gestes individuels de lutte contre les gîtes larvaires s ils sont portés par le plus grand nombre. Réduire efficacement les risques de transmissions de maladies transmises par les moustiques (dengue, chikungunya ) Ne laissons pas les moustiques s installer! Parce que les moustiques sont l affaire de tous, l ARS Océan Indien invite la population à être acteurs de la protection contre les maladies transmises par les moustiques : Eliminer les eaux stagnantes autour de la maison (coupelles sous les pots, déchets ) Nettoyer régulièrement les gouttières, Supprimer les soucoupes et récipients, Abriter les pneus Jeter les déchets dans la poubelle Couvrir les réserves d eau Pour réduire efficacement les risques de transmissions de virus par les moustiques, l ensemble de la population doit être mobilisée. 5

6 Les actions sur le terrain Sensibilisation des enfants dans les écoles L ARS Océan Indien et ses partenaires ont organisé un programme d interventions autour de la prévention des maladies vectorielles au sein des écoles. >> Contenu des animations : Des recherches et des éliminations des gîtes larvaires (lieux de ponte des moustiques) seront effectuées avec les élèves. Le stand leur permettra de découvrir les thématiques suivantes de façon ludique : L existence de plusieurs espèces de moustiques Le cycle de vie des moustiques : œufs, larves, nymphes (stades aquatiques) et adultes Les principaux symptômes des maladies transmises : fièvre, maux de tête, douleurs articulaires Les différents lieux de ponte (gîtes larvaires) des principales espèces de moustiques Les gestes de prévention : jeter les eaux stagnantes (tout récipient contenant de l eau, pneus, vases, soucoupes, gouttières mal nettoyées, déchets ) Observations des moustiques sous loupe et microscope. Cette action va permettre de toucher 168 classes de primaire au sein des écoles participantes : 24 classes le mardi 24 octobre : École primaire de Bandrelé 24 classes le mercredi 25 octobre : École primaire de Nyambadao 24 classes le jeudi 26 octobre : École primaire de Bouyouni 48 classes le vendredi 27 octobre : École primaire de Dzoumogné 1 et 2 48 classes les lundi 30 et mardi 31 octobre : École primaire de Dembeni Sensibilisation en porte-à-porte chez l habitant En parallèle à ces animations, des actions de sensibilisation et d élimination ou de traitement des lieux de ponte des moustiques seront également réalisées en porte-à-porte chez l habitant par des agents de lutte anti-vectorielle et des agents communaux. Deux grandes opérations de nettoyage Les gîtes larvaires les plus fréquemment rencontrés sont des réserves d eau (volontaires ou de négligence) et les déchets (divers objets pouvant contenir de l eau). Ils sont étroitement liés au comportement individuel et leur résorption nécessite des actions d éducation sanitaire couplées à la lutte mécanique. Afin d améliorer l efficacité et la portée des actions, une collaboration étroite avec les communes est nécessaire. C est pourquoi l ARS a mobilisé de nombreux partenaires pour deux grands moments de nettoyage : Le samedi 21 octobre, à Bandrélé Le samedi 25 novembre, à Bandraboua >> Les partenaires : agents communaux formés par l ARS établissements scolaires. 6

7 Annexe EN SAVOIR PLUS Les moustiques transmettent des maladies : dengue, chikungunya Rappel sur la dengue Rappel sur le chikungunya La dengue est une arbovirose transmise par l intermédiaire de moustiques du genre Aedes. Dans sa forme classique, la dengue se caractérise par une fièvre d apparition brutale accompagnée d un ou plusieurs des symptômes suivants : - frissons, - maux de tête, - douleurs articulaires et/ou musculaires, - nausées, - vomissements. Dans 2 à 4% des cas, il peut y avoir évolution vers une forme grave. Il existe une proportion élevée (jusqu à 80%) de formes asymptomatiques, donc sans aucune manifestation perçue. Il n'existe pas à ce jour de traitement spécifique pour la dengue. Le chikungunya est une infection due à un autre virus également transmis par les moustiques du genre Aedes et dont le nom signifie en Swahili «marcher courbé», décrivant l attitude des personnes atteintes par le virus. Elle peut passer inaperçue (asymptomatique) ou se manifester en moyenne 4 à 7 jours après la piqûre infectante, par l apparition soudaine d une fièvre élevée associée à des douleurs articulaires qui peuvent persister plusieurs semaines (poignets, chevilles, mains en particulier). La maladie, d évolution spontanée le plus souvent favorable, peut dans certains cas entraîner une fatigue prolongée et des douleurs articulaires récidivantes parfois invalidantes. Aedes albopictus et Aedes aegypti : des vecteurs présents dans notre environnement domestique Les moustiques Aedes albopictus et Aedes aegypti, vecteurs du chikungunya et de la dengue, pondent et se multiplient principalement autour des habitations, dans tous les points d eau stagnante. Près de 80 % des gîtes de ponte sont de petits contenants créés par l homme et présents un peu partout dans les cours et jardins : vases, pots, soucoupes, déchets divers Le rayon d action du moustique est relativement faible, moins de 100 m. Lors de ses missions de sensibilisation à domicile, le service de lutte anti-vectorielle de l ARS OI constate la présence de gîtes dans plusieurs maisons visitées. Il s agit essentiellement de lieux de pontes potentiels liés à des négligences humaines. Cette situation laisse craindre une très forte augmentation de la densité de moustiques dès le retour des premières pluies estivales. Les gestes d élimination des gîtes larvaires sont pourtant à présent bien connus par la population, mais un effort reste à accomplir sur leur mise en pratique. 7

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