Surveillance du vignoble Alsacien vis-à-vis de la maladie de la flavescence dorée de la vigne
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- Fabrice Boutin
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1 Surveillance du vignoble Alsacien vis-à-vis de la maladie de la flavescence dorée de la vigne Introduction La cicadelle Scaphoïdeus titanus vectrice de la maladie de la flavescence dorée de la vigne est originaire du continent Nord Américain. La maladie et le vecteur font leur apparition en France, en Armagnac dans les années 50. Dès lors, ils ne cessent de gagner du terrain sur tout le territoire. Le caractère épidémiologique de la maladie dépend de la présence simultanée de la cicadelle avec le phytoplasme de la flavescence dorée qui se trouve sur la liste des organismes de quarantaine. Les régions Champagne-Ardenne, Lorraine et Alsace bénéficient depuis 2007 du statut de «zones protégées» en ce qui concerne le phytoplasme de la flavescence dorée, ce pathogène n étant pas présent dans ces régions. Depuis plus de 10 ans, la DRAF-SRPV Alsace et la FREDON Alsace prospectent les jeunes vignes, à la recherche de pieds éventuels atteints de la jaunisse de la flavescence dorée. C est par ce biais qu en 2001 puis en 2004, des cas isolés de la maladie ont été mis en évidence. Depuis 2001, la DRAF-SRPV Alsace et la FREDON Alsace mènent, parallèlement à la prospection sur symptômes, un suivi par piégeage de la cicadelle vectrice. Différentes techniques ont été employées. Le CIVA permet un élargissement considérable du dispositif depuis La flavescence dorée et son vecteur La cicadelle Scaphoïdeus titanus se développe préférentiellement dans des conditions climatiques où les hivers sont plutôt courts et les étés très longs. Néanmoins, elle s adapte progressivement à des climats plus continentaux avec des hivers plus longs et plus rigoureux. Scaphoïdeus titanus est actuellement présente dans tous les vignobles du Sud de la France jusqu à la Bourgogne et le Jura. Elle est absente de la Champagne-Ardenne, la Lorraine et l Alsace. Scaphoïdeus titanus est inféodée à la vigne. C est un insecte piqueur suceur qui se nourrit de la sève. Le phytoplasme est ingéré lors d une prise alimentaire. La cicadelle est infectieuse au bout d un mois. Elle pourra dès lors contaminer chaque cep sur lequel elle effectuera un prélèvement de sève. Elle reste infectieuse jusqu à sa fin de vie. De même, un pied malade le restera jusqu à sa mort. Toutefois, Scaphoïdeus titanus ne peut pas transmettre le phytoplasme à sa descendance. Les pieds contaminés constituent un réservoir pour la saison suivante, car le phytoplasme migre à l automne jusqu aux racines puis vers les feuilles au printemps. C est sous forme d œuf dans les interstices de l écorce des bois de 2 ans qu elle passe l hiver. Figure 1 : Larve L3 (photo INRA) 1
2 Après hibernation des oeufs, les éclosions débutent en mai et s échelonnent jusqu à mijuillet. Les 5 stades larvaires (Figure 1) sont observables de fin-mai jusqu à début-août sur une durée de 50 à 55 jours en moyenne. Les premiers adultes apparaissent début-juillet (Figure 2). Les adultes ont atteint leur maturité sexuelle en 10 jours et peuvent vivre jusqu à 40 jours. Les derniers adultes meurent vers mi-septembre. Figure 2 : Adulte (photo DRAF-SRPV) Il n y a qu une seule génération par an. La flavescence dorée est une maladie à phytoplasme (bactérie dépourvue de paroi cellulaire et vivant dans la sève) faisant partie du groupe des jaunisses de la vigne. Elle peut se propager grâce à la vection de Scaphoïdeus titanus mais peut aussi être véhiculée par le matériel de plantation. Symptômes et dégâts Les dégâts directs dus à Scaphoïdeus titanus sont des piqûres de nutrition qui ne sont pas dommageables pour la vigne. La nuisibilité de Scaphoïdeus titanus réside dans son aptitude à transmettre le phytoplasme de la flavescence dorée. La cicadelle Scaphoïdeus titanus véhicule le pathogène selon le mode persistant multipliant. Elle a la capacité d acquérir le phytoplasme, de le transmettre durant toute sa vie et de le multiplier dans ses glandes salivaires. Ce n est que lors de la véraison et même de l aoûtement qu on peut significativement observer et identifier des symptômes de flavescence dorée. Ils s expriment sur les différents organes herbacés de la vigne (Figure 3) : Sur feuille, les symptômes se caractérisent par un rougissement en secteurs pour les cépages rouges ou un jaunissement des nervures pour les cépages blancs. Selon l intensité de l expression du symptôme, les feuilles s enroulent vers l intérieur et craquent lorsqu elles sont froissées. Sur rameaux ou sur sarments, la flavescence dorée s exprime par un aoûtement partiel ou nul. Les rameaux restent verts, ils sont retombants et confèrent à l ensemble du pied un port en saule pleureur. On peut voir apparaître sur ces rameaux verts des ponctuations noires en ligne. Les grappes quant à elle flétrissent et se dessèchent. Elles ne sont pas vendangeables. 2
3 Photo : symptômes de FD sur cépage rouge Jaunissement internervaire Rougissement en secteurs Craquement des lorsqu on les froisse feuilles Enroulement des feuilles vers l intérieur Photo : symptômes de FD sur cépage Blanc Non aoûtement des rameaux Ponctuations noires en ligne Port retombant du pied Photo : symptômes de FD : non aoûtement des bois Photo : symptômes de FD : flétrissement des grappes Flétrissement et dessèchement des grappes Baisse de rendement et de qualité des raisins Photo : pied atteint de FD Figure 3 : Symptômes sur cépages rouges et blancs (source DRAF-SRPV) Le bois noir et la flavescence dorée sont deux jaunisses avec des symptômes similaires. Seul un test PCR en laboratoire permet de différencier ces maladies. Les pertes occasionnées par la flavescence dorée sont de gravité variable. En effet, la maladie ne s exprime pas tous les ans. En conséquence, le pied est apparemment sain mais il est porteur du phytoplasme et peut donc le transmettre. Généralement, on observe une perte de récolte, une diminution de sa qualité et à terme des réserves qui s épuisent. La mort ne survient qu après plusieurs années. Les ceps malades font l objet d une obligation d arrachage. La nuisibilité de la flavescence dorée dépend de la présence simultanée d inoculum dans les bois et du vecteur. Le vecteur sain peut se nourrir sur des ceps sains sans incidence pour le vignoble. De même, des ceps malades issus d un lot contaminé peuvent être introduit sans conséquence vitale pour le vignoble, si ce même vignoble a la garantie de l absence de la cicadelle vectrice. 3
4 Lutte contre la maladie Aucune méthode de lutte en culture visant le phytoplasme de la flavescence dorée n existe à ce jour. Seule la lutte insecticide contre le vecteur est envisageable au vignoble. L emploi du Traitement à l Eau Chaude avant plantation permet l implantation de matériel sain. La première source de contamination de la maladie au vignoble est l implantation de pieds malades. Le premier moyen de lutte contre la flavescence dorée consiste à implanter du matériel sain au vignoble. La lutte est obligatoires en pépinières viticoles et vignes mères de porte greffes et de greffons (arrêté du 9 juillet 2003). Les nouvelles parcelles et les pieds remplacés sont certifiés indemnes de virus et phytoplasmes dont celui de la flavescence dorée. Toutefois, les phytoplasmes sont très difficilement détectables dans les porte-greffes ce qui ne permet pas de garantir l absence totale de pieds malades. Aussi, il existe une technique qui permet de guérir, le cas échéant, les plants de vigne malades avant leur implantation au vignoble. La technique employée est le Traitement à l Eau Chaude des plants. Elle a pour principe de plonger les porte-greffes, les greffons ou les plants entier dans de l eau chaude à 50 C pendant 4 5 minutes. Les manipulations doivent être très précises et sont effectuées dans un très strict respect du protocole. Cette technique ne constitue pas un vaccin contre la flavescence dorée. Un plant de vigne implanté sain après traitement à l eau chaude aura les mêmes risques d être contaminé au vignoble et de devenir malade qu un plant non traité à l eau chaude. Le traitement à l eau chaude des plants de vigne permet uniquement de s assurer de l introduction de plants sains au vignoble, ce qui est un atout majeur dans un vignoble où le vecteur est à ce jour absent. Une fois planté, il n existe plus de méthode de lutte curative. Pour que la maladie se propage au vignoble, il faut un inoculum et son vecteur. Les seules luttes «curatives» possibles, sont de limiter l épidémie en éliminant le vecteur. L arrêté du 9 juillet 2003 relatif à la lutte contre la flavescence dorée de la vigne et contre son agent vecteur prévoit l arrachage des pieds contaminés suite à l obtention d un résultat officiel positif. La commune dont dépend la parcelle de production est déclarée contaminée à partir d un arrêté préfectoral. Un périmètre de lutte obligatoire est défini. Dans cette zone, la lutte insecticide contre Scaphoïdeus titanus est obligatoire. Sous certaines conditions des assouplissements sont possibles pour aménager la lutte insecticide (passage de trois traitements à deux par exemple). Le piégeage des cicadelles permet de fournir des arguments à la réduction du nombre de passages insecticides. L arrachage des pieds contaminés est obligatoire. Tout cas doit être signalé auprès du Service Régionale de la Protection des Végétaux. Le plan de surveillance et de contrôle en Alsace Depuis 2001, différentes techniques de piégeage ont été testées dans notre vignoble. La plupart reposent sur l attractivité des cicadelles par des plaques jaunes. En parallèle, l aspiration a été testée. L aspiration Il s agit d une méthode lourde dans sa mise en place. Un appareil souffleur-aspirateur de feuilles utilisé en espaces verts est employé avec un manchon en tissu (Figure 4). Le balayage régulier du feuillage permet de recueillir les insectes. Ils sont ensuite exposés à un insecticide puis observés en laboratoire. Cette méthode a été testée en 2002 et Figure 4 : Aspiration du feuillage 4
5 Le suivi par pièges delta jaune Les cicadelles sont attirées pour la couleur jaune. De ce constat découlent différentes techniques de piégeage. En 2001 et 2002, la FREDON a testé l utilisation de plaques jaunes engluées directement en parcelles (Figure 5). Figure 5 : Plaque chromo-attractive (source FREDON) Suite à la découverte d un pied contaminé en 2004, des pièges delta jaune ont été disposés dans les différents périmètres définis par l arrêté préfectoral. Cette méthode vise à collecter des adultes (Figure 6). Figure 6 : Piège delta jaune (source FREDON) En 2010, le CIVA a souhaité contrôler l absence de Scaphoïdeus titanus en vignes mères de greffons de catégorie «certifié», soit 90 unités culturales réparties sur 38 communes. Les plaques engluées sont contrôlées tous les 15 jours et après un premier examen sous loupe binoculaire, les insectes suspects sont envoyés au laboratoire pour être analysés. Onze insectes ont ainsi été analysés et l un d eux s est révélé être Orientus ishidae (figure 7), une cicadelle qui peut être porteuse du phytoplasme mais dont la capacité à le transmettre n a pas encore été démontrée. Figure 7 : Orientus ishidae (source : Ces deux techniques n ont pas permis de mettre en évidence la présence des cicadelles Scaphoïdeus titanus. Elles ont en commun de nécessiter un grand nombre de déplacements et d être étroitement liées avec les conditions météorologiques. En effet en cas de pluie, les observations ne sont pas possibles. 5
6 Le suivi en cage d élevage Suite à ces différentes expériences d observations et piégeages de Scaphoïdeus titanus les années précédentes, la technique des cages d élevage semble être la plus adaptée (Figure 8 et 9). Figure 8 : Dispositif de piégeage en cage d élevage (cep + bois + 2 plaques jaunes) (photo FREDON) Figure 9 : Dispositif de piégeage en cage d élevage (photo FREDON) Ici, l objectif est de pouvoir suivre un très grand nombre de parcelles géographiquement réparties sur toute l Alsace. Le fait de pouvoir centraliser les suivis est essentiel (réduire le temps de trajet et augmenter le nombre de parcelles). De plus, la centralisation du dispositif permet d être plus indépendant des conditions météorologiques lors des observations. Du bois de taille de 2 ans est placé sous des cages cubiques. Ces dernières sont des armatures en bois d environ 50 cm sur 50 cm recouvertes de moustiquaires de mailles de 1 mm sur les 5 faces. Sous la cage, un petit pied de vigne est également planté afin que les éventuelles cicadelles présentes puissent se nourrir. Puis, afin de piéger la cicadelle, on dispose de part et autre du dispositif deux plaques jaunes engluées et fixées à l aide de piquets métalliques. Les relevés des plaques s effectuent toutes les semaines, de mi-mai à mi-juillet. C est en effet durant cette période qu ont lieu les éclosions des larves. Il s agit de rechercher la présence de larves de Scaphoïdeus titanus. Cette technique permet d envisager en complément, un suivi avec des pièges delta, sur adultes, en parcelle, en cas de découverte de larves sur les plaques. Le bois de taille est récolté sur des parcelles taillées, au cours de l hiver, à raison de 1 parcelle par commune et 100 communes viticoles. Les bois sont groupés par 2 au printemps dans une cage. Le dispositif comporte au total 50 cages. En cas de présence de larves, il est proposé de mettre en place au vignoble des pièges delta jaune dans les 2 communes dont sont issus les bois de taille. Les pièges delta permettent de collecter des adultes. Les suivis sont financés par la DRAF-SRPV depuis 2001 sur une dizaine de parcelle par an. Le CIVA finance le suivi depuis Depuis 2008, le CIVA a financé le suivi de 90 parcelles, soit au total 100 parcelles. La prospection de symptômes sur jeunes vignes En parallèle, depuis 1997, la DRAF-SRPV Alsace avec la collaboration de la FREDON Alsace, recherchent des symptômes de jaunisses de la vigne dans les jeunes parcelles de moins de cinq ans. En 2010, 20 communes soit 489 parcelles ont été prospectées, et 32 échantillons ont été prélevés pour être analysés en laboratoire. Il n y a pas de nouveau cas de flavescence dorée depuis Cependant une attention particulière sera portée sur un cep, qui présentait des symptômes de jaunisses mais dont l analyse au laboratoire s est révélée peu significative. 6
7 Conclusion A ce jour, aucune cicadelle vectrice de la Flavescence dorée n a jamais été trouvée en Alsace par les piéges delta jaune. En 2011, le réseau de piégeage s étend : non seulement le dispositif sera reconduit sur les vignes mères de greffons de catégorie «certifié», mais également sur celles de catégorie «standard» et sur les vignes mères de porte-greffes. Le respect de ce dispositif de piégeage et l absence de cicadelles lors des relevés va permettre de ramener à zéro le nombre de traitements insecticides obligatoires en vignes mères de greffons toutes catégories. Cependant un traitement sera maintenu sur les vignes mères de porte-greffes en première feuille, par précaution (importation éventuelle d œufs de cicadelle). Le suivi de 2010 par la technique de cage d élevage, n a pas mis en évidence la présence sous forme de larve de Scaphoïdeus titanus. Ces résultats sont identiques à ceux des années précédentes. En 2010, les 50 cages d élevage regroupaient 100 parcelles issues de 100 communes. Depuis 2001, ce sont 118 communes sur un total de 119, qui ont été prospectées soit plus de 99% des communes viticoles. Le suivi en cage d élevage des éclosions de Scaphoïdeus titanus doit se poursuivre au cours des années à venir. Il est essentiel de surveiller l éventuelle introduction dans le vignoble alsacien du vecteur de la flavescence dorée par le suivi des éclosions de Scaphoïdeus titanus dans les bois de deux ans d une part, et d autre part de prospecter les ceps présentant des symptômes de jaunisses de la vigne en fin de saison. Les enjeux sont considérables pour la pérennité de notre vignoble qui rappelons le n emploie que très peu d insecticides et aucun acaride depuis plus de 15 ans. Le financement par le CIVA d un large suivi depuis 3 ans, permet de garantir à ce jour l absence de cicadelle en Alsace et permet une grande réactivité par piégeage d adultes en parcelle en cas de détection de larves. 7
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