Commune de Berneval-le- Grand (Seine-Maritime) Galeries souterraines au Petit Berneval

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1 Ministère de l'industrie, de la Poste et des Télécommunications a&+*v ooc Commune de Berneval-le- Grand (Seine-Maritime) Galeries souterraines au Petit Berneval Avis du BRGM Décembre 1996 R 39216

2 Ministère de l'industrie, ' de la Poste et des Télécommunications Commune de Berneval-le-Grand (Seine-Maritime) Galeries souterraines au Petit Berneval Avis du BRGM Étude réalisée dans le cadre des actions de Sewice public du BRGM 96-H-306 Décembre 1996 R 39216

3 Mots clés : Galeries souterraines, Berneval-le-Grand, Seine-Maritime, France En bibliographie, ce rapport sera cité de la façon suivante (1996) - Commune de Berneval-le-Grand (Seine-Maritime) - Galeries souterraines au Petit Berneval. Rap. BRGM R O BRGM, 1996 : ce document ne peut être reproduit en totalim ou en partie sans I'autorisation expresse du BRGM

4 Synthèse Le Service Géologique Régional de Haute-Normandie (BRGM) a été chargé par M. Fréville, Maire de BERNEVAL-LE-GRAND, à la demande de la Sous-Préfecture de DIEPPE, de venir examiner des galeries souterraines découvertes en novembre 1996 afin de déterminer leur état de conservation et de circonscrire les risques associés. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de la mission d'assistance du BRGM aux administrations en période de crise. Les souterrains visités constituent un réseau de quelque 150 m de galeries tracées dans la craie blanche à silex. Il existe trois accès à ce réseau dont deux sont actuellement obstrués ou bouchés. Certains secteurs du souterrain sont particulièrement fracturés et présentent des zones riches en blocs éboulés. Par contre, les galeries renferment peu de déchets ou détritus de diverses natures. Aucun objet exogène a priori dangereux n'y a été découvert. Une topographie globale du réseau de galeries a été établie et recalée par rapport au cadastre communal. Aucun puits n'a été relevé ni en galerie ni lors d'une reconnaissance de surface. Il convient de prendre toute disposition pour interdire l'accès du public à ces galeries. Pour cela il conviendra de boucher de manière pérenne l'accès actuel et de renforcer l'obstruction des deux autres accès. Rapport BRGM R

5 Sommaire Introduction Situation géographique Contexte géologique Examen des lieux Description de l'environnement Les galeries Description des galeries Stabilite generale des galeries Diagnostic Conclusion. Recommandations Figure 1. Situation géographique à 1/ Annexe : Levées du 2 décembre 1996 des galeries souterraines du Petit Berneval Rapport BRGM R

6 le Cr&vecœur Plaine de la Justice Fig. 1. Localisation de Berneval-le-Grand et des galeries étudiées (d'après la carte IGN 1/25 000) Rapport BRGM R

7 Introduction Le Service Géologique Régional de Haute-Normandie (BRGM) a été chargé par M. Fréville, Maire de Berneval-le-Grand, et à la demande de Monsieur le Sous-Préfet de la Seine-Maritime pour l'arrondissement de Dieppe, de venir examiner des galeries souterraines situées dans le hameau du Petit Berneval et d'en déterminer l'état, ainsi que les risques associés à leur éventuelle dégradation. L'existence de ce réseau a été porté à la connaissance de M. le Maire le 28 novembre Le BRGM a été contacté le 29 novembre. Cette démarche s'inscrit dans le cadre de la mission d'assistance du BRGM aux administrations en période de crise.. L'examen des lieux a été réalisé le 2 décembre 1996 en présence de M. le Maire de Berneval-le-Grand, du locataire de la parcelle, de M. Marc Verron subdivisionnaire de la DDE d'envermeu et de la brigade des Sapeurs Pompiers de Dieppe. Il fait l'objet du présent rapport, de même que nos conclusions et recommandations quant à la stabilité d'ensemble du réseau de galeries et aux mesures conservatoires permettant d'en assurer l'inviolabilité. Rapport BRGM R

8 1. Situation géographique - Contexte géologique Le hameau du Petit Berneval, au nord de la commune de Berneval-le-Grand, se situe sur la côte à 10 km au nord-est de Dieppe, dans une valleuse qui débouche sur l'estran au sud-ouest de Penly (figure 1). Le terrain sur lequel se situe l'entrée des galeries (AC 142) appartient à M. Jean-Pierre Chemin demeurant à Villemomble (Seine-Saint-Denis). L'accès à la parcelle se fait par la rue Marie Alexis. D'un point de vue géologique, d'après la carte à 1/ de Dieppe-Est (n043, 1978, Edition BRGM), la carte géologique à 1/ d'abbeville (no1l, 1970, Edition BRGM), les données voisines extraites de la Banque de Données du Sous-Sol et les observations de terrain, le réseau de galeries est situé dans la craie sénonienne (craie blanche à silex) dont les couches plongent légèrement dans la direction de la Manche (vers le nord-ouest). La craie marneuse (Turonien) affleure en contrebas sur le versant ouest de la valleuse où elle a été jadis exploitée en carrière à ciel ouvert. La série crayeuse est recouverte d'une formation d'argiles résiduelles (argiles à silex) dont I'épaisseur peut atteindre 30 m sur le plateau, épaisseur à laquelle il faut souvent rajouter quelques mètres de limons. Au-dessus des souterrains, sur la pente, l'épaisseur d'argiles résiduelles est très inférieure (quelques mètres au maximum). Dans la ville voisine de Saint-Martin-en-Campagne, l'épaisseur cumulée des argiles résiduelles et des limons est de 9 m. Rapport BRGM R

9 2. Examen des lieux 2.1. DESCRIPTION DE L'ENVIRONNEMENT DU RESEAU SOUTERRAIN Les souterrains ont été creusés à partir du versant oriental d'une valleuse dont la tête est située à seulement 300 m au sud (plateau voisin du Crèvecœur). Trois accès ont été reconnus ; ils sont alignés et situés à environ 10 m au-dessus du fond de la valleuse. Aucun puits n'a été reconnu en surface ; il n'en existe pas non plus de traces en galerie. Les versants de la valleuse sont abondamment boisés. Il n'existe pas d'habitat à proximité immédiate. Le site correspond très vraisemblablement à une ancienne carrière souterraine de craie (marne) utilisée pour l'amendement des terres agricoles voire pour d'éventuels matériaux de construction. Les mesures préalables réalisées par les sapeurs-pompiers ont montré qu'il n'existait aucune accumulation de gaz toxique dans les galeries, y compris aux points les plus bas ETAT DE FRACTURATION DES GALERIES De manière générale, le secteur est relativement fracturé, sans doute en raison de sa position sur le passage d'un axe anticlinal de direction NW-SE (direction du pays de Bray). En galeries, les terrains apparaissent fracturés suivant deux familles directionnelles principales : - N O0, failles verticales ou fortement pentées ; -N. 20-4O0, failles assez faiblement pentées : pendage de 40 à 60, plongeant généralement vers le nord-ouest. Les deux directions de fractures reconnues sont aussi celles qui apparaissent sur l'estran rocheux, d'après la carte IGN à 1/ La fracturation est présente dans tous les secteurs du réseau. Cependant, elle semble plus dense au nord-ouest. Le premier virage au bout du segment de galerie partant de l'entrée, en direction du nord-ouest, est très fracturé (nombreuses et grandes failles). Rapport BRGM R

10 2.3. DESCRIPTION DES GALERIES Les galeries sont tracées dans la craie blanche généralement à silex noirs du Sénonien. Le pendage moyen des couches est assez fort (quelques degrés) ce qui induit un approfondissement des galeries vers le nord et l'ouest. Cet approndissement atteint 5 m -par rapport à l'entrée - dans le réseau le plus septentrional. Les bancs de craie sont généralement d'épaisseur comprise entre 25 et 40 cm. Parfois, le ciel de la galerie correspond à une base durcie à silex. Le tracé des segments de galeries est généralement linéaire. Au total, l'ensemble développe 154 m de galeries. Les trois accès aux souterrains sont localisés topographiquement plus haut que les galeries. L'accès principal est situé 3 m au-dessus du réseau. Les galeries ont une largeur très régulière de 1,4 m. Elles se terminent parfois en niche (par exemple dans le secteur où les deux galeries tendent à se rejoindre). La hauteur des galeries est assez constante : environ 1,85-1,9 m. Parfois-dans les virages notamment - le toit est légèrement plus haut (2-2,l m). Hormis les blocs éboulés, les galeries renferment de rares éléments exogènes : quelques planches notamment STABlLlTE GENERALE DES GALERIES Les galeries sont tracées dans une craie très litée et fracturée, renfermant d'abondants silex. Le réseau ne comprend que des galeries de section rectangulaire. Il n'existe donc pas de piliers. Le plan d'ensemble montre que les anciens carriers ont dû essayer de rejoindre les segments nord et nord-est, sans y parvenir. Les parois et les toits ne montrent pas d'indices d'écrasement ou de flexion. Localement, cependant, on observe quelques "montées de voûtes". La plus développée concerne une dizaine de mètres de la grande galerie parallèle au coteau, côté sud-est, mais s'est limitée aux deux premiers bancs de toit, soit une épaisseur d'environ cinquante centimètres. La faible largeur de ces galeries, ainsi que l'absence apparente de racines d'altération du toit de la craie à leur aplomb, ne laissent pas présager d'effondrements de grande ampleur à court ou moyen terme. Dans tous les cas leurs répercussions en surface seraient limitées, car en I'absence d'un recouvrement meuble de forte épaisseur, l'autocolmatage des galeries par foisonnement de la craie sera prépondérant. Le réseau de galeries est apparemment à l'abri des écoulements d'eau. Aucune accumulation d'eau de ruissellement ou de suintement n'a été observée. Les parois sont saines (absence d'altération en surface de la craie), sans doute en raison du maintien d'une température et d'une humidité régulière. Rapport BRGM R

11 3. Diagnostic Le réseau de galeries cartographié et étudié au hameau du Petit Berneval (commune de Berneval-le-Grand) constitue un ensemble de 154 m linéaires de section rectangulaire, de hauteur environ 1,9 m et de largeur 1,4 m. Le volume total du vide souterrain est donc d'environ 400 n13. Les mesures réalisées par la brigade des sapeurs-pompiers de Dieppe ont montré qu'il n'existait pas de gaz toxique. Les teneurs normales en oxygène (voisines de 21%) semblent indiquer qu'il n'y a priori aucun risque d'asphyxie (à condition qu'il ne soit procédé à aucun feu ni autre transformation chimique) quel que soit le segment dans lequel on puisse se trouver : le réseau est naturellement aéré par l'accès principal et par l'accès obstrué situé à environ 42 m. Les galeries renferment peu d'éléments inflammables, les quelques planches et morceaux de bois étant apparemment très humides. Aucune substance ou objet dangereux n'a été découvert. Si les galeries ont été utilisées par les Allemands durant la seconde guerre mondiale1, il n'en reste aucune preuve détectable à la simple expertise visuelle. 'Comme la tradition orale le rapporte Rapport BRGM R

12 4. Conclusion - Recommandations Les galeries observées sur le territoire de la commune de Berneval-le-Grand ne présentent pas de risque majeur de déstabilisation : le réseau n'est formé que de galeries de sections réduites ; le vide est de volume limité et réparti sur une vaste étendue ; il n'y a pas d'habitats ni de voie de communication à grand passage au-dessus des vides. Compte tenu du danger que représente cependant l'accès à ces galeries - en raison principalement des chutes de pierre -, il convient de prendre les mesures conservatoires permettant de rendre leur pénétration impossible. Nous conseillons la fermeture de chacune des trois courtes galeries d'accès, au niveau de leur débouché dans la galerie principale parallèle au coteau, par des murs en moellons ancrés dans le plancher et les côtés des galeries, ainsi que leur remblayage. Ce dernier pourra se faire avec des matériaux meubles, inertes, mais de manière aussi complète que possible afin de limiter les mouvements de surface en cas de rupture du toit de ces galeries, principalement près des issues. Rapport BRGM R

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14 BRGM SERVICE GEOLOGIQUE NATIONAL Service Géologique Régional Haute-Normandie 10. rue Sakharov MONT-SAINT-AIGNAN -Tél. : (33)

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