Équations différentielles linéaires à coefficients constants

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Équations différentielles linéaires à coefficients constants"

Transcription

1 IFIPS - Cycle préparatoire S2 - Équatios différetielles liéaires à coefficiets costats Équatios différetielles liéaires à coefficiets costats des coquilles, questios, commetaires, isultes? adressez-vous à: atoie.gouray@math.u-psud.fr 27 février 2008 Éocé du problème O cherche les foctios y(x) (qui déped doc de x) qui sot solutio d u type d équatios différetielles (très particulières). Pour fi de otatios, o écrira la ème dérivée de y par Par covetio, y (0) (x) sera y(x). y () (x) = d dx y(x). Ue équatio différetielle est ue équatio qui relie y et au mois ue de ses dérivées. Elle est dite d ordre si cette équatio fait iterveir y () mais pas de dérivées supplémetaires (i.e. pas de y (k) pour k > ). Elle est dite liéaire si elle s écrit sous la forme a i (x)y (i) (x) = b(x), où les a i (x) et b(x) sot des foctios. O appellera a i (x) les coefficiets de l équatio et b(x) le terme ohomogèe : si b(x) = 0 l équatio est homogèe e y (c àd. chager y par ky, pour k R 0, doe la même équatio). Icidemmet, o dit que l équatio est homogèe lorsque b(x) = 0. (Cette termiologie est malheureuse car cela a rie à voir avec u autre type d équatio dite homogèe du premier ordre ; heureusemet das ce texte o e regardera jamais d équatios différetielles du premier ordre, il y a pas de cofusio possible sur ce poit.) Efi, lorsque les a i (x) sot des costates, o dira que l équatio est à coefficiet costat. Ce qui ous itéresse ici est de résoudre e premier lieu, les équatios différetielles liéaires homogèes à coefficiets costats (LHCC, pour les itimes), soit les équatios de la forme a i y (i) (x) = 0; puis certaies équatios liéaires (o-homogèes) à coefficiets costats (LNCC, toujours pour les itimes), soit des équatios du type a i y (i) (x) = b(x). A priori, rie e dit que les solutios sot défiies sur tout R. O verra que les solutios d ue LHCC sot défiies pour tout x R, quat aux solutios d ue LNCC, cela déped du terme o-homogèe b(x). Avat de se lacer das ce programme, itroduisos quelque otios essetielles. Pour ue foctio y, o aura fréquemmet besoi de lui associer la foctio E(y) défiie par : E(y) = a i (x)y (i) (x).

2 2 (E terme savats, E est dit u opérateur différetiel ; e termes vulgaires c est ue recette dot la doée est ue foctio et le résultat est ue autre foctio, obteue e mélageat les dérivées de la foctio d origie.) Cette associatio a quelques propriétés fort utiles soit E(y + y 2 ) = E(y ) + E(y 2 ), E(ky) = ke(y) si k R; où y,y 2 et y sot des foctios dérivables au mois fois. La première propriété tiet, d ue part, au fait que la dérivée d ue somme est la somme des dérivées, et de l autre, au fait que les y (i) apparaisset jamais multipliés par u y ( j) (c àd. à la liéarité e y). La secode est aussi due à cette absece de produit etre des y (i) et des y ( j). O utilisera aussi la propriété (pas évidete du tout) que les équatios différetielles liéaires d ordre admettet solutios liéairemet idépedates. () 2 Rappel sur les polyômes Les polyômes sot très importats pour compredre les équatios différetielles liéaires à coefficiets costats. Comme ceci est qu u rappel, hésitez pas à demader des explicatios cocerat toute affirmatio de cette sectio. U polyôme s écrit comme Q(λ) = Si o se place das le corps des ombres complexes tous les polyômes se factoriset comme u produit de termes liéaires, e particulier : Q(λ) = k i= c i λ i (λ λ i ) m i, (2) où λ i C sot les racies ou zéros du polyôme, et m i est appelée la multiplicité de λ i. Notez que k m i = q pour des raisos de degré. De plus, λ i est ue racie de multiplicité supérieure à (i.e. m i > ) si et seulemet si Q (i) (λ i ) = d Q dλ (λ i) = 0 pour i = 0,,...,. (3) Effectivemet e dérivat (2), o trouve Q (λ) = m i (λ λ i ) m i (λ λ j ) m j + (λ λ i ) m i (dérivée du reste). i j E argumetat coveablemet, o e déduit que Q (λ i ) = 0 seulemet si m i >. O peut cotiuer de dériver cette équatio pour coclure. Il est peut-être ecore plus simple de voir le problème e termes de développemet limité. Le développemet limité de Q(λ) e λ i, s écrit facilemet si o regarde (2) : Q(λ) = (λ λ i ) m i P(λ λ i ), où P est u polyôme tel que P(λ i ) 0. Ce développemet limité reviet à dire que les dérivées de Q sot ulles jusqu à l ordre m i (mais pas la m i ème dérivée). Fialemet, pour u ombre imagiaire, o peut défiir so cojugué. Peut-être avez-vous déjà été troublé par le fait que ı et ı sot tous deux des racies carrées de ; le choix est assez arbitraire. De fait, le cojugué d u ombre complexe est le ombre obteu e ayat fait l autre choix, plus précisémet si z = x + ıy (où x,y R) alors so cojugué, oté z est doé par z = x ıy. Ceci est importat pour ous car si Q est u polyôme à coefficiets réels (i.e. c i R) et λ i est ue racie imagiaire (c àd. λ i C\R) alors λ i est aussi ue racie de même multiplicité, i.e. λ i C \ R et Q (k) (λ i ) = 0 pour k = 0,,..., Q (k) (λ i ) = 0 pour k = 0,,..., (4) i=

3 IFIPS - Cycle préparatoire S2 - Équatios différetielles liéaires à coefficiets costats 3 3 Équatios différetielles liéaires homogèes à coefficiets costats Tetos maiteat de résoudre l équatio : a i y (i) (x) = 0 Pour ce gere d équatios, l étape de base est de se rameer à u polyôme e posat y = e λx. E effet o a alors y () (x) = λ e λx d où p a i y (i) (x) = p a i λ i e λx = e λx p a i λ i Comme e λx > 0, ceci reviet à trouver les zéros du polyôme P(λ) = p a i λ i. Iversemet, état doé u polyôme Q(λ) = q c i λ i de degré q, o lui associera u opérateur E Q défii par : E Q (y) = q c i y (i) (x) pour y ue foctio dérivable au mois q fois. De la sorte, si y = e λx, E Q (y) = Q(λ)y. Tout ça pour dire, résoudre E P (y) = 0 reviet à trouver les racies de P(λ). Aisi comme e (2), o écrit : P(λ) = k i= (λ λ i ) m i. O a trouvé k solutios y i = e λ ix. Si m i = pour tout i = 0,,..., p, o a trouvé les p solutios requises. Le problème viet doc des solutios multiples. Pour le résoudre il faut d abord remarquer que, pour f, g deux fotios dérivables au mois fois, ( f g) () = ( ) f (i) g ( i), i où ( ) i =! i!( i)!. Ceci se démotre aisémet par iductio (comme la formule du biôme). De là o peut exprimer ce que doe u opérateur E Q (Q de ouveau u polyôme de degré q) appliqué à u produit de foctios : ( q ) ( E Q ( f g) = f E Q (g) + f () ( l ) q ) cl g (q ) + f (2) ( l ) 2 cl g (q 2) f (q) c q g (0) l= l=2 = f E Q (g) + f () E Q ()(g) + 2 f (2) E Q (2)(g) q! f (q) E Q (q)(g) (5) = q i! f (i) E Q (i)(g). D itérêt particulier, est le cas où g est otre tetative de solutio, c àd. g(x) = y(x) = e λx, o trouve E Q ( f y) = q i! f (i) E Q (i)(y) = q i! f (i) Q (i) (λ)y = y q i! f (i) Q (i) (λ) Aisi, pourvu que λ j est ue racie de multiplicité m j, Q (i) (λ j ) = 0 quad i < m j. E preat f ue foctio telle que f (i) (x) = 0 si i m j (le cadidat tout désigé état u polyôme de degré m j ) o e coclut que Si λ j est ue racie de multiplicité m j du polyôme P alors y = f (x)e λx où f (x) est u polyôme de degré m j est ue solutio de l équatio, c àd. E P ( f (x)e λ j x ) = 0.

4 4 De la sorte, o a obteu les solutios (élémetaires) suivates de l équatio E P (y) = 0 : y = x l e λ ix où λ i est ue racie de multiplicité m i et l = 0,,...,m i. O a exhibé k m i = p solutios. Par (), si y,y 2,...,y p sot ces p solutios et k,k 2,...,k p R des costates o obtiet que i= E(k y + k 2 y k p y p ) = k E(y ) + k 2 E(y 2 ) k p E(y p ) = 0, c àd. que k y + k 2 y k p y p est ue solutio. Comme il s agit d ue équatio liéaire d ordre p u théorème (qui écessite etre autres le théorème de Picard, u résultat o-trivial) ous assure qu il y e a pas d autres, ou plus précisémet que toute solutio s écrit comme ue combiaiso liéaire des y i. Avat de clore cette sectio, remarquez que si les coefficiets de P sot réels, les racies qui e sot pas réelles vieet e paires (elles-mêmes et leur cojugué). Soit λ i C \ R ue telle racie, écrivos λ i = µ + ıν. Soit λ i = µ ıν so cojugué. Ue des solutios élémetaires associée à λ i s écrit y (x) = x l e λ ix = x l e µx( cos(νx) + ısi(νx) ), où 0 l < m i. D autre part comme λ i est aussi ue racie de même multiplicité, il existe ue solutio élémetaire de la forme y 2 (x) = x l e λ ix = x l e µx( cos(νx) ısi(νx) ). Ue habile réécriture ous permet de ous débarasser des termes imagiaires. E effet, l expressio k y + k 2 y 2 se réécrit comme k y (x) + k 2 y 2 (x) = (k + k 2 )x l e µx cos(νx) + ı(k k 2 )x l e µx si(νx) = k xl e µx cos(νx) + k 2 xl e µx si(νx), où k = k + k 2 et k 2 = ı(k k 2 ). Notez que la doée de k et k 2 permet de retrouver k et k 2 ; les deux écritures sot doc équivaletes. La ouvelle écriture est cepedat préférable pour éviter de faire appel à des ombres complexes. Aisi plutôt que d écrire les solutios associées à ue racie et so cojugué comme des expoetielles imagiaires (x l e λ ix et x l e λ ix ) il vaut mieux les écrire comme l expoetielle de la partie réelle multipliée par ue foctio trigoométrique dot fréquece est la partie imagiaire (x l e µx cos(νx) et x l e µx si(νx)). Ceci termie la résolutio des LHCC. Exemple 3.: Trouver les solutios de y (4) + 4y (2) + 4y = 0. Le polyôme associé est P(λ) = λ 4 + 4λ = (λ 2 + 2) 2. Ses racies sot ı et ı toutes deux de multiplicité 2. Aisi les solutios sot (k + k 2 x)si( 2x) + (k + k 2 x)cos( 2x) Exemple 3.2: Trouver les solutios de y (4) + y (3) 3y (2) 7y () 30y = 0. Le polyôme associé est P(λ) = λ 4 + λ 3 + 3λ 2 7λ 30. Pour le factoriser, le critère habituel ous dit que s il a ue racie ratioelle c est ±,±2,±3,±5,±6,±0,±5 ou ±30. Après quelques tetatives o se red compte que 2 et 3 sot des racies d où P(λ) = λ 4 + λ 3 3λ 2 7λ 30 = (λ + 2)(λ 3)(λ 2 + 2λ + 5). Ses racies sot 2,3, + 2ı, et 2ı toutes de multiplicité. Aisi les solutios sot k e 2x + k 2 e 3x + k 3 e x si(2x) + k 4 e x cos(2x)

5 IFIPS - Cycle préparatoire S2 - Équatios différetielles liéaires à coefficiets costats 5 4 Équatio différetielles liéaires o-homogèes à coefficiet costats Pour résoudre l équatio a i y (i) (x) = b(x), (6) il faut d abord résoudre sa versio homogèe (c àd. celle où b(x) =). E effet, supposos qu o coait ue solutio de (6), disos y 0. Notos comme avat E P pour E P (y) = a i y (i) (x). Alors si y g est tel que E P (y g ) = 0 o remarque que (voir ()) E P (y 0 +y g ) = E P (y 0 )+E P (y g ) = b(x)+0 = b(x). Aisi o obtiet les p solutios liéairemet idépedates à partir d ue seule solutio. La questio est doc de trouver ce y 0 tel que E P (y 0 ) = b(x). Côté termiologie, y 0 est appelée la solutio particulière et y g la solutio géérale. Il y a malheureusemet pas de méthode bie établie pour trouver la solutio particulière. Seuls das les quelques cas otoires qui suivet sot traités mécaiquemet. Premier cas, b(x) est de la forme ke λx où k R et λ R est pas ue solutio du polyôme P associé à l équatio homogèe E P (y) = 0. Alors E P (e λx ) = P(λ)e λx. Comme P(λ) 0, o a que E P ( k P(λ) eλx ) = ke λx est la solutio particulière recherchée. U autre cas simple est celui où b(x) = Q(x)e λx, où Q(x) est u polyôme (disos de degré q) et λ est pas ue racie de P. Das ce cas, il faut remarquer que si R(x) est u polyôme de degré q aussi alors, grâce à (5), E P (R(x)e λx ) = p i! R(i) E P (i)(e λx ) = p i! R(i) P (i) (λ)e λx est aussi u polyôme de degré q qui multiplie e λx. Il e reste alors qu à trouver les coefficiets de R. (Le cas où b est u polyôme est u cas particulier de celui-ci e posat λ = 0.) Évidemmet, si b(x) = Q(x)e λx si(ωx) ou b(x) = Q(x)e λx cos(ωx) où Q(x) est u polyôme (disos de degré q) et λ ± ıω est pas ue racie de P, la situatio est similaire au cas d avat : e décomposat le sius ou le cosius comme ue somme d expoetielles imagiaires, o e coclut que la solutio particulière aura la forme y 0 (x) = R (x)e λx si(ωx) + R 2 (x)e λx cos(ωx) où R et R 2 sot deux polyômes de degré q. Faites bie attetio à toujours mettre les deux foctios trigoométriques das la solutio particulière, même si le terme o-homogèe e cotiet que l ue d etre elles. Cas particulier itéressat, si Q est ue costate (u polyôme de degré 0) les R i sot aussi des costates. Ces trois cas e sot que différets avatars d ue même situatio. U vrai problème apparaît lorsqu o fait face à u terme o-homogèe de la forme b(x) = Q(x)e λx où λ est ue solutio de P (i.e. où e λx est ue solutio de E P (e λx ) = 0). Il faut alors de ouveau faire appel à la formule du produit (5), soit R(x) u polyôme de degré r, et soit m la multuplicité de la racie λ alors E P (R(x)e λx ) = p i! R(i) E P (i)(e λx ) = p i! R(i) P (i) (λ)e λx = p i! R(i) P (i) (λ)e λx. i=m (7)

6 6 Les m premiers termes de la somme s aulet car Q (i) (λ) = 0 pour i = 0,,...,m (λ est ue racie de multiplicité m, cf. (3)). Aisi il e reste qu ue expressio de la forme polyôme de degré r m qui multiplie e λx. Comme o veut u polyôme de degré q, il faut que r m = q, i.e. r = q+m. D autre part, o remarque que les termes de degré < m itervieet pas das (7) car R est toujours dérivé au mois m fois. Aisi, pour avoir le résultat désiré (u polyôme d ordre q) il faut predre R(x) = x m S(x) où S(x) est u polyôme d ordre q. E bref, il faut poser y 0 (x) = x m S(x)e λx, où S est u polyôme d ordre q, et m est la multiplicité de λ e tat que racie de P. Fialemet, si b(x) = Q(x)e λx si(ωx) ou b(x) = Q(x)e λx cos(ωx) où Q(x) est u polyôme (disos de degré q) et λ ± ıω sot des racies de P, la situatio se ramèe au cas d avat e décomposat le sius ou le cosius comme ue somme d expoetielles imagiaires. La solutio particulière aura la forme y 0 (x) = x m R (x)e λx si(ωx) + x m R 2 (x)e λx cos(ωx) où R et R 2 sot deux polyômes de degré q et m est la multiplicité des racies λ ± ıω. (Si le polyôme P est à coefficiets réel o rappelle que ces deux racies ot la même multiplicité.) Exemple 4.: Disos que l o veut résoudre y y = x. Ici P(λ) = λ 3 λ = 0 les racies sot doc,0 et. Ce qui doe la solutio géérale y g (x) = k e x + k 2 + k 3 e x. Le terme o-homogèe aodi b(x) = x cache ue légère aomalie puisque x = xe 0x et 0 est ue racie du polyôme P (de multiplicité ). Aisi o cherche ue solutio particulière de la forme y 0 (x) = x(a x + a 2 ). O calcule E P (y 0 ) = 2a x + a 2 pour que ce soit égal à b(x) il faut doc que a = /2 et a 2 = 0. Doc la solutio de y y = x est y(x) = k e x + k 2 + k 3 e x + x 2 /2 Exemple 4.2: Si l o veut résoudre y (4) + 4y (3) + 6y + 4y + y = (x + )e x, il faut de ouveau écrire le polyôme associé. Ici il s agit de P(λ) = λ 4 + 4λ 3 + 6λ 2 + 4λ + = (λ + ) 4. La solutio géérale sera doc y g = (k + k 2 x + k 3 x 2 + k 4 x 3 )e x. La solutio particulière a la mauvaise heure de coteir e x et est ue racie de multiplicité 4 de otre polyôme P. Il faut doc chercher des solutio particulières de la forme E utilisat (5) ou directemet (7), y 0 = x 4 (a x + a 2 )e x E P (y 0 ) = 4! (a x 5 + a 2 x 4 ) (4) P (4) ( )e x = 4!(5a x + a 2 )e x. Il faut doc choisir a = /5! = /20 et a 2 = /4! = /24 pour avoir E P (y 0 ) = (x + )e x. La solutio est doc ( x y(x) = (k + k 2 x + k 3 x 2 + k 4 x 3 )e x + x ) e x 24 Si vous avez des questios (sur les TD, le cours ou la vie), hésitez pas à passer me voir à mo bureau (Salle 227, bâtimet 440), à m accrocher après u TD, ou à m evoyer u courriel (atoie.gouray@math.u-psud.fr).

Solutions particulières d une équation différentielle...

Solutions particulières d une équation différentielle... Solutios particulières d ue équatio différetielle......du premier ordre à coefficiets costats O cherche ue solutio particulière de y + ay = f, où a est ue costate réelle et f ue foctio, appelée le secod

Plus en détail

Chapitre 3 : Fonctions d une variable réelle (1)

Chapitre 3 : Fonctions d une variable réelle (1) Uiversités Paris 6 et Paris 7 M1 MEEF Aalyse (UE 3) 2013-2014 Chapitre 3 : Foctios d ue variable réelle (1) 1 Lagage topologique das R Défiitio 1 Soit a u poit de R. U esemble V R est u voisiage de a s

Plus en détail

Exo7. Déterminants. = 4(b + c)(c + a)(a + b). c + a c + b 2c Correction. b + a 2b b + c. Exercice 2 ** X a b c a X c b b c X a c b a X

Exo7. Déterminants. = 4(b + c)(c + a)(a + b). c + a c + b 2c Correction. b + a 2b b + c. Exercice 2 ** X a b c a X c b b c X a c b a X Exo7 Détermiats Exercices de Jea-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-fracefr * très facile ** facile *** difficulté moyee **** difficile ***** très difficile I : Icotourable T : pour

Plus en détail

[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 juillet 2014 Enoncés 1. Exercice 6 [ 02475 ] [correction] Si n est un entier 2, le rationnel H n =

[http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 10 juillet 2014 Enoncés 1. Exercice 6 [ 02475 ] [correction] Si n est un entier 2, le rationnel H n = [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 1 juillet 14 Eocés 1 Nombres réels Ratioels et irratioels Exercice 1 [ 9 ] [correctio] Motrer que la somme d u ombre ratioel et d u ombre irratioel est u ombre irratioel.

Plus en détail

CHAPITRE 2 SÉRIES ENTIÈRES

CHAPITRE 2 SÉRIES ENTIÈRES CHAPITRE 2 SÉRIES ENTIÈRES 2. Séries etières Défiitio 2.. O appelle série etière toute série de foctios ( ) f dot le terme gééral est de la forme f ()=a, où (a ) désige ue suite réelle ou complee et R.

Plus en détail

Intégration et probabilités ENS Paris, 2012-2013. TD (20)13 Lois des grands nombres, théorème central limite. Corrigé :

Intégration et probabilités ENS Paris, 2012-2013. TD (20)13 Lois des grands nombres, théorème central limite. Corrigé : Itégratio et probabilités EN Paris, 202-203 TD 203 Lois des grads ombres, théorème cetral limite. Corrigé Lois des grads ombres Exercice. Calculer e cet leços Détermier les limites suivates : x +... +

Plus en détail

Groupe orthogonal d'un espace vectoriel euclidien de dimension 2, de dimension 3

Groupe orthogonal d'un espace vectoriel euclidien de dimension 2, de dimension 3 1 Groupe orthogoal d'u espace vectoriel euclidie de dimesio, de dimesio Voir le chapitre 19 pour l'étude des espaces euclidies et des isométries. État doé u espace euclidie E de dimesio 1, o rappelle que

Plus en détail

x +1 + ln. Donner la valeur exacte affichée par cet algorithme lorsque l utilisateur entre la valeur n =3.

x +1 + ln. Donner la valeur exacte affichée par cet algorithme lorsque l utilisateur entre la valeur n =3. EXERCICE 3 (6 poits ) (Commu à tous les cadidats) Il est possible de traiter la partie C sas avoir traité la partie B Partie A O désige par f la foctio défiie sur l itervalle [, + [ par Détermier la limite

Plus en détail

1 Mesure et intégrale

1 Mesure et intégrale 1 Mesure et itégrale 1.1 Tribu boréliee et foctios mesurables Soit =[a, b] u itervalle (le cas où b = ou a = est pas exclu) et F ue famille de sous-esembles de. OditqueF est ue tribu sur si les coditios

Plus en détail

II LES PROPRIETES DES ESTIMATEURS MCO 1. Rappel : M1 LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 2009

II LES PROPRIETES DES ESTIMATEURS MCO 1. Rappel : M1 LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 2009 M LA REGRESSION : HYPOTHESES ET TESTS Avril 009 I LES HYPOTHESES DE LA MCO. Hypothèses sur la variable explicative a. est o stochastique. b. a des valeurs xes das les différets échatillos. c. Quad ted

Plus en détail

Processus et martingales en temps continu

Processus et martingales en temps continu Chapitre 3 Processus et martigales e temps cotiu 1 Quelques rappels sur les martigales e temps discret (voir [4]) O cosidère u espace filtré (Ω, F, (F ) 0, IP). O ote F = 0 F. Défiitio 1.1 Ue suite de

Plus en détail

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES

Deuxième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES DEUXIEME PARTIE Deuième partie : LES CONTRATS D ASSURANCE VIE CLASSIQUES Chapitre. L assurace de capital différé Chapitre 2. Les opératios de retes Chapitre 3. Les assuraces décès Chapitre 4. Les assuraces

Plus en détail

Séquence 5. La fonction logarithme népérien. Sommaire

Séquence 5. La fonction logarithme népérien. Sommaire Séquece 5 La foctio logarithme épérie Objectifs de la séquece Itroduire ue ouvelle foctio : la foctio logarithme épérie. Coaître les propriétés de cette foctio : sa dérivée, ses variatios, sa courbe, sa

Plus en détail

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1

. (b) Si (u n ) est une suite géométrique de raison q, q 1, on obtient : N N, S N = 1 qn+1. n+1 1 S N = 1 1 Premières propriétés des ombres réels 2 Suites umériques 3 Suites mootoes : à faire 4 Séries umériques 4. Notio de série. Défiitio 4.. Soit (u ) ue suite de ombres réels ou complexes. Pour N N, o ote S

Plus en détail

Les Nombres Parfaits.

Les Nombres Parfaits. Les Nombres Parfaits. Agathe CAGE, Matthieu CABAUSSEL, David LABROUSSE (2 de Lycée MONTAIGNE BORDEAUX) et Alexadre DEVERT, Pierre Damie DESSARPS (TS Lycée SUD MEDOC LETAILLAN MEDOC) La première partie

Plus en détail

14 Chapitre 14. Théorème du point fixe

14 Chapitre 14. Théorème du point fixe Chapitre 14 Chapitre 14. Théorème du poit fixe Si l o examie de plus près les méthodes de Lagrage et de Newto, étudiées au chapitre précédet, elles revieet das leur pricipe à remplacer la résolutio de

Plus en détail

Comportement d'une suite

Comportement d'une suite Comportemet d'ue suite I) Approche de "ses de variatio et de ite d'ue suite" : 7 Soit la suite ( ) telle que = 5 ( + ) 2 Représetos graphiquemet la suite das u pla mui d' u repère. Il suffit de placer

Plus en détail

Séries réelles ou complexes

Séries réelles ou complexes 6 Séries réelles ou complexes Comme pour le chapitre 3, les suites cosidérées sot a priori complexes et les résultats classiques sur les foctios cotiues ou dérivables d ue variable réelle sot supposés

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable Exo7 Topologie Exercices de Jea-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-fracefr * très facile ** facile *** difficulté moyee **** difficile ***** très difficile I : Icotourable Exercice **

Plus en détail

Etude de la fonction ζ de Riemann

Etude de la fonction ζ de Riemann Etude de la foctio ζ de Riema ) Défiitio Pour x réel doé, la série de terme gééral,, coverge si et seulemet si x >. x La foctio zeta de Riema est la foctio défiie sur ], [ par : ( x > ), = x. Remarque.

Plus en détail

capital en fin d'année 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1 + T) = C 0 r en posant r = 1 + T 2 C 0 r + C 0 r T = C 0 r (1 + T) = C 0 r 2 3 C 0 r 3...

capital en fin d'année 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1 + T) = C 0 r en posant r = 1 + T 2 C 0 r + C 0 r T = C 0 r (1 + T) = C 0 r 2 3 C 0 r 3... Applicatios des maths Algèbre fiacière 1. Itérêts composés O place u capital C 0 à u taux auel T a pedat aées. Quelle est la valeur fiale C de ce capital? aée capital e fi d'aée 1 C 0 + T C 0 = C 0 (1

Plus en détail

Polynésie Septembre 2002 - Exercice On peut traiter la question 4 sans avoir traité les questions précédentes.

Polynésie Septembre 2002 - Exercice On peut traiter la question 4 sans avoir traité les questions précédentes. Polyésie Septembre 2 - Exercice O peut traiter la questio 4 sas avoir traité les questios précédetes Pour u achat immobilier, lorsqu ue persoe emprute ue somme de 50 000 euros, remboursable par mesualités

Plus en détail

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES

STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES STATISTIQUE : TESTS D HYPOTHESES Préparatio à l Agrégatio Bordeaux Aée 203-204 Jea-Jacques Ruch Table des Matières Chapitre I. Gééralités sur les tests 5. Itroductio 5 2. Pricipe des tests 6 2.a. Méthodologie

Plus en détail

Limites des Suites numériques

Limites des Suites numériques Chapitre 2 Limites des Suites umériques Termiale S Ce que dit le programme : CONTENUS CAPACITÉS ATTENDUES COMMENTAIRES Limite fiie ou ifiie d ue suite. Limites et comparaiso. Opératios sur les ites. Comportemet

Plus en détail

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI

FEUILLE D EXERCICES 17 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI FEUILLE D EXERCICES 7 - PROBABILITÉS SUR UN UNIVERS FINI Exercice - Lacer de dés O lace deux dés à 6 faces équilibrés. Calculer la probabilité d obteir : u double ; ue somme des deux dés égale à 8 ; ue

Plus en détail

SÉRIES STATISTIQUES À DEUX VARIABLES

SÉRIES STATISTIQUES À DEUX VARIABLES 1 ) POSITION DU PROBLÈME - VOCABULAIRE A ) DÉFINITION SÉRIES STATISTIQUES À DEUX VARIABLES O cosidère deux variables statistiques umériques x et y observées sur ue même populatio de idividus. O ote x 1

Plus en détail

Exercice I ( non spé ) 1/ u 1 = 3 4. 2 3 u 2 4 + 3 9. 19 4 2/ Soit P la propriété : u n + 4. > 0 pour n 1. P est vraie au rang 1 car u 1

Exercice I ( non spé ) 1/ u 1 = 3 4. 2 3 u 2 4 + 3 9. 19 4 2/ Soit P la propriété : u n + 4. > 0 pour n 1. P est vraie au rang 1 car u 1 Bac blac TS Correctio Exercice I ( Spé ) / émotros par récurrece que 5x y = pour tout etier aturel 5x y = 5 8 = La propriété est doc vraie au rag = Supposos que la propriété est vraie jusqu au rag, o a

Plus en détail

Statistique descriptive bidimensionnelle

Statistique descriptive bidimensionnelle 1 Statistique descriptive bidimesioelle Statistique descriptive bidimesioelle Résumé Liaisos etre variables quatitatives (corrélatio et uages de poits), qualitatives (cotigece, mosaïque) et de types différets

Plus en détail

Convergences 2/2 - le théorème du point fixe - Page 1 sur 9

Convergences 2/2 - le théorème du point fixe - Page 1 sur 9 Au sommaire : Suites extraites Le théorème de Bolzao-Weierstrass La preuve du théorème de Bolzao-Weierstrass3 Foctio K-cotractate4 Le théorème du poit fixe5 La preuve du théorème du poit fixe6 Utilisatios

Plus en détail

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices

Dénombrement. Chapitre 1. 1.1 Enoncés des exercices Chapitre 1 Déombremet 1.1 Eocés des exercices Exercice 1 L acie système d immatriculatio fraçais était le suivat : chaque plaque avait 4 chiffres, suivis de 2 lettres, puis des 2 uméros du départemet.

Plus en détail

20. Algorithmique & Mathématiques

20. Algorithmique & Mathématiques L'éditeur L'éditeur permet à l'utilisateur de saisir les liges de codes d'u programme ou de défiir des foctios. Remarque : O peut saisir directemet des istructios das la cosole Scilab, mais il est plus

Plus en détail

STATISTIQUE AVANCÉE : MÉTHODES

STATISTIQUE AVANCÉE : MÉTHODES STATISTIQUE AVANCÉE : MÉTHODES NON-PAAMÉTIQUES Ecole Cetrale de Paris Arak S. DALALYAN Table des matières 1 Itroductio 5 2 Modèle de desité 7 2.1 Estimatio par istogrammes............................

Plus en détail

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable

* très facile ** facile *** difficulté moyenne **** difficile ***** très difficile I : Incontournable Eo7 Séries etières Eercices de Jea-Louis Rouget Retrouver aussi cette fiche sur wwwmaths-fracefr * très facile ** facile *** difficulté moyee **** difficile ***** très difficile I : Icotourable Eercice

Plus en détail

Suites et séries de fonctions

Suites et séries de fonctions [http://mp.cpgedupuydelome.fr] édité le 3 avril 5 Eocés Suites et séries de foctios Propriétés de la limite d ue suite de foctios Eercice [ 868 ] [correctio] Etablir que la limite simple d ue suite de

Plus en détail

4 Approximation des fonctions

4 Approximation des fonctions 4 Approximatio des foctios Ue foctio f arbitraire défiie sur u itervalle I et à valeur das IR peut être représetée par so graphe, ou de maière équivalete par la doée de l esemble de ses valeurs f(t) pour

Plus en détail

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers)

Chap. 5 : Les intérêts (Les calculs financiers) Chap. 5 : Les itérêts (Les calculs fiaciers) Das u cotrat de prêt, le prêteur met à la dispositio de l empruteur, à u taux d itérêt doé, ue somme d arget (le capital) qu il devra rembourser à ue certaie

Plus en détail

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil.

LES ÉCLIPSES. Éclipser signifie «cacher». Vus depuis la Terre, deux corps célestes peuvent être éclipsés : la Lune et le Soleil. Qu appelle-t-o éclipse? Éclipser sigifie «cacher». Vus depuis la Terre, deu corps célestes peuvet être éclipsés : la Lue et le Soleil. LES ÉCLIPSES Pour qu il ait éclipse, les cetres de la Terre, de la

Plus en détail

Module 3 : Inversion de matrices

Module 3 : Inversion de matrices Math Stat Module : Iversio de matrices M Module : Iversio de matrices Uité. Défiitio O e défiira l iverse d ue matrice que si est carrée. O appelle iverse de la matrice carrée toute matrice B telle que

Plus en détail

Dénombrement. Introduction. 1 Cardinaux d'ensembles nis. ECE3 Lycée Carnot. 12 novembre 2010. 1.1 Quelques dénitions

Dénombrement. Introduction. 1 Cardinaux d'ensembles nis. ECE3 Lycée Carnot. 12 novembre 2010. 1.1 Quelques dénitions Déombremet ECE3 Lycée Carot 12 ovembre 2010 Itroductio La combiatoire, sciece du déombremet, sert comme so om l'idique à compter. Il e s'agit bie etedu pas de reveir au stade du CP et d'appredre à compter

Plus en détail

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé

Baccalauréat S Asie 19 juin 2014 Corrigé Bcclurét S Asie 9 jui 24 Corrigé A. P. M. E. P. Exercice Commu à tous les cdidts 4 poits Questio - c. O peut élimier rpidemet les réposes. et d. cr les vecteurs directeurs des droites proposées e sot ps

Plus en détail

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe

La France, à l écoute des entreprises innovantes, propose le meilleur crédit d impôt recherche d Europe 1/5 Trois objectifs poursuivis par le gouveremet : > améliorer la compétitivité fiscale de la Frace > péreiser les activités de R&D > faire de la Frace u territoire attractif pour l iovatio Les icitatios

Plus en détail

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES

2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 2 ième partie : MATHÉMATIQUES FINANCIÈRES 1. Défiitios L'itérêt est l'idemité que doe au propriétaire d'ue somme d'arget celui qui e a joui pedat u certai temps. Divers élémets itervieet das le calcul

Plus en détail

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4

UNIVERSITE MONTESQUIEU BORDEAUX IV. Année universitaire 2006-2007. Semestre 2. Prévisions Financières. Travaux Dirigés - Séances n 4 UNVERSTE MONTESQUEU BORDEAUX V Licece 3 ère aée Ecoomie - Gestio Aée uiversitaire 2006-2007 Semestre 2 Prévisios Fiacières Travaux Dirigés - Séaces 4 «Les Critères Complémetaires des Choix d vestissemet»

Plus en détail

Des résultats d irrationalité pour deux fonctions particulières

Des résultats d irrationalité pour deux fonctions particulières Collect. Math. 5, 00, 0 c 00 Uiversitat de Barceloa Des résultats d irratioalité pour deux foctios particulières Richard Choulet 7, Rue du 4 Août, 40 Aveay, Frace E-mail: richardchoulet@waadoo.fr Received

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Les etreprises ot souvet besoi de moyes de fiacemet à court terme : elles ot alors recours aux crédits bacaires (découverts bacaires

Plus en détail

Université de Bordeaux - Master MIMSE - 2ème année. Scoring. Marie Chavent http://www.math.u-bordeaux.fr/ machaven/ 2014-2015

Université de Bordeaux - Master MIMSE - 2ème année. Scoring. Marie Chavent http://www.math.u-bordeaux.fr/ machaven/ 2014-2015 Uiversité de Bordeaux - Master MIMSE - 2ème aée Scorig Marie Chavet http://www.math.u-bordeaux.fr/ machave/ 2014-2015 1 Itroductio L idée géérale est d affecter ue ote (u score) global à u idividu à partir

Plus en détail

DETERMINANTS. a b et a'

DETERMINANTS. a b et a' 2003 - Gérard Lavau - http://perso.waadoo.fr/lavau/idex.htm Vous avez toute liberté pour télécharger, imprimer, photocopier ce cours et le diffuser gratuitemet. Toute diffusio à titre oéreux ou utilisatio

Plus en détail

Séries numériques. Chap. 02 : cours complet.

Séries numériques. Chap. 02 : cours complet. Séris méris Cha : cors comlt Séris d réls t d comlxs Défiitio : séri d réls o d comlxs Défiitio : séri corgt o dirgt Rmar : iflc ds rmirs trms d séri sr la corgc Théorèm : coditio écssair d corgc Théorèm

Plus en détail

Cours de Statistiques inférentielles

Cours de Statistiques inférentielles Licece 2-S4 SI-MASS Aée 2015 Cours de Statistiques iféretielles Pierre DUSART 2 Chapitre 1 Lois statistiques 1.1 Itroductio Nous allos voir que si ue variable aléatoire suit ue certaie loi, alors ses réalisatios

Plus en détail

Introduction : Mesures et espaces de probabilités

Introduction : Mesures et espaces de probabilités Itroductio : Mesures et espaces de probabilités Référeces : Poly cédric Berardi et Jea Michel Morel. J.-F. Le Gall, Itégratio, Probabilités et Processus Aléatoire J.-Y. Ouvrard, Probabilités 2, maîtrise-agrégatio,

Plus en détail

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation

Chap. 6 : Les principaux crédits de trésorerie et leur comptabilisation 1 / 9 Chap. 6 : Les pricipaux crédits de trésorerie et leur comptabilisatio Le cycle d exploitatio des etreprises (achats stockage productio stockage vetes) peut etraîer des décalages de trésorerie plus

Plus en détail

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe

Consolidation. C r é e r un nouveau classeur. Créer un groupe de travail. Saisir des données dans un groupe Cosolidatio La société THEOS, qui commercialise des vis, exerce so activité das trois villes : Paris, Nacy et Nice. Le directeur de la société souhaite cosolider les résultats de ses vetes par ville das

Plus en détail

Chapitre 3 : Transistor bipolaire à jonction

Chapitre 3 : Transistor bipolaire à jonction Chapitre 3 : Trasistor bipolaire à joctio ELEN075 : Electroique Aalogique ELEN075 : Electroique Aalogique / Trasistor bipolaire U aperçu du chapitre 1. Itroductio 2. Trasistor p e mode actif ormal 3. Courats

Plus en détail

Exercices de mathématiques

Exercices de mathématiques MP MP* Thierry DugarDi Marc rezzouk Exercices de mathématiques Cetrale-Supélec, Mies-Pots, École Polytechique et ENS Coceptio et créatio de couverture : Atelier 3+ Duod, 205 5 rue Laromiguière, 75005 Paris

Plus en détail

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée

RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée RECHERCHE DE CLIENTS simplifiée Nous ous occupos d accroître votre clietèle avec le compte Avatage d etreprise Pour trouver des cliets potetiels grâce à u simple compte bacaire Vous cherchez des idées

Plus en détail

55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR.

55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR. 55 - EXEMPLES D UTILISATION DU TABLEUR. CHANTAL MENINI 1. U pla possible Les exemples qui vot suivre sot des pistes possibles et e aucu cas ue présetatio exhaustive. De même je ai pas fait ue étude systématique

Plus en détail

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 )

TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) RAIRO Operatios Research RAIRO Oper. Res. 34 (2000) 99-129 TRANSFERT DE CHARGE DANS UN RÉSEAU DE PROCESSEURS TOTALEMENT CONNECTÉS (*) par Maryse BÉGUIN ( 1 ) Commuiqué par Berard LEMAIRE Résumé. L étude

Plus en détail

Formation d un ester à partir d un acide et d un alcool

Formation d un ester à partir d un acide et d un alcool CHAPITRE 10 RÉACTINS D ESTÉRIFICATIN ET D HYDRLYSE 1 Formatio d u ester à partir d u acide et d u alcool 1. Nomeclature Acide : R C H Alcool : R H Groupe caractéristique ester : C Formule géérale d u ester

Plus en détail

Régulation analogique industrielle ESTF- G.Thermique

Régulation analogique industrielle ESTF- G.Thermique Chapitre 5 Stabilité, Rapidité, Précisio et Réglage Stabilité. Défiitio Coditio de stabilité. Critères de stabilité.. Critères algébriques.. Critère graphique ou de revers das le pla de Nyquist Rapidité

Plus en détail

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant

Compte Sélect Banque Manuvie Guide du débutant GUIDE DU DÉBUTANT Compte Sélect Baque Mauvie Guide du débutat Besoi d aide? Preez quelques miutes pour lire attetivemet votre Guide du cliet. Le préset Guide du débutat vous facilitera l utilisatio de

Plus en détail

Gérer les applications

Gérer les applications Gérer les applicatios E parcourat les rayos du Widows Phoe Store, vous serez e mesure de compléter les services de base de votre smartphoe à travers plus de 10 000 applicatios. Gratuites ou payates, ces

Plus en détail

Probabilités et statistique pour le CAPES

Probabilités et statistique pour le CAPES Probabilités et statistique pour le CAPES Béatrice de Tilière Frédérique Petit 2 3 jui 205. Uiversité Pierre et Marie Curie 2. Uiversité Pierre et Marie Curie 2 Table des matières Modélisatio de phéomèes

Plus en détail

Un nouvel opérateur de fusion adaptatif. A new adaptive operator of fusion. 1. introduction

Un nouvel opérateur de fusion adaptatif. A new adaptive operator of fusion. 1. introduction A ew adaptive operator of fusio par Fraçois DELMOTTE LAMIH, Uiversité de Valeciees et du Haiaut-Cambrésis, Le Mot Houy, BP 3, 5933 Valeciees CEDEX 9 fdelmott@flore.uiv-valeciees.fr résumé et mots clés

Plus en détail

Principes et Méthodes Statistiques

Principes et Méthodes Statistiques Esimag - 2ème aée 0 1 2 3 4 5 6 7 0 5 10 15 x y Pricipes et Méthodes Statistiques Notes de cours Olivier Gaudoi 2 Table des matières 1 Itroductio 7 1.1 Défiitio et domaies d applicatio de la statistique............

Plus en détail

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions.

3.1 Différences entre ESX 3.5 et ESXi 3.5 au niveau du réseau. Solution Cette section récapitule les différences entre les deux versions. 3 Réseau Le réseau costitue u aspect essetiel d u eviroemet virtuel ESX. Il est doc importat de compredre la techologie, y compris ses différets composats et leur coopératio. Das ce chapitre, ous étudios

Plus en détail

Initiation à l analyse factorielle des correspondances

Initiation à l analyse factorielle des correspondances Fiche TD avec le logiciel : tdr620b Iitiatio à l aalyse factorielle des correspodaces A.B. Dufour & M. Royer & J.R. Lobry Das cette fiche, o étudie l Aalyse Factorielle des Correspodaces. Cette techique

Plus en détail

EXERCICES : DÉNOMBREMENT

EXERCICES : DÉNOMBREMENT Chapitre 7 ECE 1 - Grad Nouméa - 015 EXERCICES : DÉNOMBREMENT LISTES / ARRANGEMENTS Exercice 1 : Le code ativol Pour so vélo, Toto possède u ativol a code. Le code est ue successio de trois chiffres compris

Plus en détail

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT?

Etude Spéciale SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? Etude Spéciale o. 7 Javier 2003 SCORING : UN GRAND PAS EN AVANT POUR LE MICROCRÉDIT? MARK SCHNEIDER Le CGAP vous ivite à lui faire part de vos commetaires, de vos rapports et de toute demade d evoid autres

Plus en détail

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9

Sommaire Chapitre 1 - L interface de Windows 7 9 Sommaire Chapitre 1 - L iterface de Widows 7 9 1.1. Utiliser le meu Démarrer et la barre des tâches de Widows 7...11 Démarrer et arrêter des programmes...15 Épigler u programme das la barre des tâches...18

Plus en détail

16.1 Convergence simple et convergence uniforme. une suite de fonctions de I dans R ou C.

16.1 Convergence simple et convergence uniforme. une suite de fonctions de I dans R ou C. 16 Suites de foctios Suf précisio cotrire, I est u itervlle réel o réduit à u poit et les foctios cosidérées sot défiies sur I à vleurs réelles ou complexes. 16.1 Covergece simple et covergece uiforme

Plus en détail

PROBLEMES DIOPTIMISATION EN NOMBRES ENTIERS J. L. NICOLAS

PROBLEMES DIOPTIMISATION EN NOMBRES ENTIERS J. L. NICOLAS PROBLEMES DIOPTIMISATION EN NOMBRES ENTIERS ET APPROXIMATIONS DIOPHANTIENNES J. L. NICOLAS Cet article expose sup 3 e quelques iter'f~reces etre les pr'obl~res dloptimisatio e hombres etiers et la th~or-ie

Plus en détail

PROMENADE ALÉATOIRE : Chaînes de Markov et martingales

PROMENADE ALÉATOIRE : Chaînes de Markov et martingales PROMENADE ALÉATOIRE : Chaîes de Markov et martigales Thierry Bodieau École Polytechique Paris Départemet de Mathématiques Appliquées thierry.bodieau@polytechique.edu Novembre 2013 2 Table des matières

Plus en détail

c. Calcul pour une évolution d une proportion entre deux années non consécutives

c. Calcul pour une évolution d une proportion entre deux années non consécutives Calcul des itervalles de cofiace our les EPCV 996-004 - Cas d u ourcetage ou d ue évolutio e oit das la oulatio totale des méages - Cas d u ourcetage ou d ue évolutio das ue sous oulatio das les méages

Plus en détail

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce

UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce UNIVERSITÉ DE SFAX École Supérieure de Commerce Aée Uiversitaire 2003 / 2004 Auditoire : Troisième Aée Études Supérieures Commerciales & Scieces Comptables DÉCISIONS FINANCIÈRES Note de cours N 3 Première

Plus en détail

Examen final pour Conseiller financier / conseillère financière avec brevet fédéral. Recueil de formules. Auteur: Iwan Brot

Examen final pour Conseiller financier / conseillère financière avec brevet fédéral. Recueil de formules. Auteur: Iwan Brot Exame fial pour Coseiller fiacier / coseillère fiacière avec brevet fédéral Recueil de formules Auteur: Iwa Brot Ce recueil de formules sera mis à dispositio des cadidats, si écessaire. Etat au 1er mars

Plus en détail

n tr tr tr tr tr tr tr tr tr tr n tr tr tr Nom:... Prénom :...

n tr tr tr tr tr tr tr tr tr tr n tr tr tr Nom:... Prénom :... Nom:... Préom :... Chaque répose peut valoir : c) 2 poits si le choix est totalemet exact + poit si le choix est partiellemet exact + 0 poit si le choix est erroé + -i poit si le choix est u coeses Ue

Plus en détail

Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes

Exercices - Polynômes : corrigé. Opérations sur les polynômes Opérations sur les polynômes Exercice 1 - Carré - L1/Math Sup - Si P = Q est le carré d un polynôme, alors Q est nécessairement de degré, et son coefficient dominant est égal à 1. On peut donc écrire Q(X)

Plus en détail

MESURE DE L'INFORMATION

MESURE DE L'INFORMATION MESURE DE L'INFORMATION Marc URO TABLE DES MATIÈRES INTRODUCTION... 3 INCERTITUDE D'UN ÉVÉNEMENT (OU SELF-INFORMATION)... 7 INFORMATION MUTUELLE DE DEUX ÉVÉNEMENTS... 9 ENTROPIE D'UNE VARIABLE ALÉATOIRE

Plus en détail

Lorsque la sécurisation des paiements par carte bancaire sur Internet conduit à une concurrence entre les banques et les opérateurs de réseau

Lorsque la sécurisation des paiements par carte bancaire sur Internet conduit à une concurrence entre les banques et les opérateurs de réseau Lorsque la sécurisatio des paiemets par carte bacaire sur Iteret coduit à ue cocurrece etre les baques et les opérateurs de réseau David Bouie Das cet article, ous ous iterrogeos sur l issue de la cocurrece

Plus en détail

Chaînes de Markov. Arthur Charpentier

Chaînes de Markov. Arthur Charpentier Chaîes de Markov Arthur Charpetier École Natioale de la Statistique et d Aalyse de l Iformatio - otes de cours à usage exclusif des étudiats de l ENSAI - - e pas diffuser, e pas citer - Quelques motivatios.

Plus en détail

Statistique Numérique et Analyse des Données

Statistique Numérique et Analyse des Données Statistique Numérique et Aalyse des Doées Arak DALALYAN Septembre 2011 Table des matières 1 Élémets de statistique descriptive 9 1.1 Répartitio d ue série umérique uidimesioelle.............. 9 1.2 Statistiques

Plus en détail

Processus géométrique généralisé et applications en fiabilité

Processus géométrique généralisé et applications en fiabilité Processus géométrique gééralisé et applicatios e fiabilité Lauret Bordes 1 & Sophie Mercier 2 1,2 Uiversité de Pau et des Pays de l Adour Laboratoire de Mathématiques et de leurs Applicatios - Pau UMR

Plus en détail

Terminale S. Terminale S 1 F. Laroche

Terminale S. Terminale S 1 F. Laroche Termiale S Exercices. Rappels et exercices de base 3.. QCM (P. Egel) 3.. QCM, Atilles 005 4. 3. QCM, Liba 009, 3 poits 4. 4. QCM, C. étragers 007. 5. QCM, Frace 007 5 6. 6. QCM, N. Calédoie 007 7. 7. QCM

Plus en détail

Mécanismes de protection contre les vers

Mécanismes de protection contre les vers Mécaismes de protectio cotre les vers Itroductio Au cours de so évolutio, l Iteret a grademet progressé. Il est passé du réseau reliat quelques cetres de recherche aux États-Uis au réseau actuel reliat

Plus en détail

Tempêtes : Etude des dépendances entre les branches Automobile et Incendie à l aide de la théorie des copulas Topic 1 Risk evaluation

Tempêtes : Etude des dépendances entre les branches Automobile et Incendie à l aide de la théorie des copulas Topic 1 Risk evaluation Tempêtes : Etude des dépedaces etre les braches Automobile et Icedie à l aide de la théorie des copulas Topic Risk evaluatio Belguise Olivier Charles Levi ACM Guy Carpeter 34 rue du Wacke 47/53 rue Raspail

Plus en détail

UV SQ 20. Automne 2006. Responsable d Rémy Garandel ( m.-el. remy.garandel@utbm.fr ) page 1

UV SQ 20. Automne 2006. Responsable d Rémy Garandel ( m.-el. remy.garandel@utbm.fr ) page 1 UV SQ 0 Probabilités Statistiques UV SQ 0 Autome 006 Resposable d Rémy Garadel ( m.-el. remy.garadel@utbm.fr ) page SQ-0 Probabilités - Statistiques Bibliographie: Titre Auteur(s) Editios Localisatio Niveau

Plus en détail

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble.

Le marché du café peut être segmenté en fonction de deux modes de production principaux : la torréfaction et la fabrication de café soluble. II LE MARCHE DU CAFE 1 L attractivité La segmetatio selo le mode de productio Le marché du café peut être segmeté e foctio de deux modes de productio pricipaux : la torréfactio et la fabricatio de café

Plus en détail

Cours 5 : ESTIMATION PONCTUELLE

Cours 5 : ESTIMATION PONCTUELLE Cours 5 : ESTIMATION PONCTUELLE A- Gééralités B- Précisio d u estimateur C- Exhaustivité D- iformatio E-estimateur sas biais de variace miimale, estimateur efficace F- Quelques méthode s d estimatio A-

Plus en détail

POLITIQUE ECONOMIQUE ET DEVELOPPEMENT

POLITIQUE ECONOMIQUE ET DEVELOPPEMENT POLTQU ONOMQU T DVLOPPMNT TRUTUR DU MAR NATONAL DU AF-AAO T PR AU PRODUTUR MALAN Beïla Beoit osultat PD N 06/008 ellule d Aalyse de Politiques coomiques du R Aée de pulicatio : Avril 009 Résumé e papier

Plus en détail

RESOLUTION PAR LA METHODE DE NORTON, MILLMAN ET KENNELY

RESOLUTION PAR LA METHODE DE NORTON, MILLMAN ET KENNELY LO 4 : SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY SOLUTO P L MTHO OTO, MLLM T KLY MTHO OTO. toductio Le théoème de oto va ous pemette de éduie u cicuit complexe e gééateu de couat éel. e gééateu possède ue souce

Plus en détail

Les nouveaux relevés de compte

Les nouveaux relevés de compte Ifo CR Les ouveaux relevés de compte Les relevés de compte actuels du Crédit Agricole de Champage-Bourgoge sot issus de la migratio iformatique sur le GIE AMT e 2001 : petit format (mais A4 pour les Professioels),

Plus en détail

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui.

S-PENSION. Constituez-vous un capital retraite complémentaire pour demain tout en bénéficiant d avantages fiscaux dès aujourd hui. S-PENSION Costituez-vous u capital retraite complémetaire pour demai tout e bééficiat d avatages fiscaux dès aujourd hui. Sommaire 1. Il est temps de predre l iitiative 4 2. Profitez dès aujourd hui des

Plus en détail

Corrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010

Corrigé du baccalauréat S Asie 21 juin 2010 Corrigé du baccalauréat S Asie juin 00 EXERCICE Commun à tous les candidats 4 points. Question : Le triangle GBI est : Réponse a : isocèle. Réponse b : équilatéral. Réponse c : rectangle. On a GB = + =

Plus en détail

Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.

Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites. Les pages qui suivent comportent, à titre d exemples, les questions d algèbre depuis juillet 003 jusqu à juillet 015, avec leurs solutions. Pour l épreuve d algèbre, les calculatrices sont interdites.

Plus en détail

Augmentation de la demande du produit «P» Prévision d accroître la capacité de production (nécessité d investir) Investissement

Augmentation de la demande du produit «P» Prévision d accroître la capacité de production (nécessité d investir) Investissement Augmetatio de la demade du produit «P» Prévisio d accroître la capacité de productio (écessité d ivestir) Ivestissemet Etude de retabilité du produit «P» Jugemet de l opportuité et de la retabilité du

Plus en détail

Options Services policiers à Moncton Rapport de discussion

Options Services policiers à Moncton Rapport de discussion Optios Services policiers à Mocto Rapport de discussio Le 22 ovembre 2010 Also available i Eglish TABLE DES MATIÈRES Chapitre 1.0 Sommaire 3 Chapitre 2.0 Problématique 4 Chapitre 3.0 Cotexte 5 Chapitre

Plus en détail

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais.

Télé OPTIK. Plus spectaculaire que jamais. Télé OPTIK Plus spectaculaire que jamais. Vivez toute la puissace de la télévisio sur IP grâce au réseau OPTIK 1 de TELUS et découvrez-e l extraordiaire potetiel. Télé OPTIK MC vous doe la parfaite maîtrise

Plus en détail

Guide des logiciels de l ordinateur HP Media Center

Guide des logiciels de l ordinateur HP Media Center Guide des logiciels de l ordiateur HP Media Ceter Les garaties des produits et services HP sot exclusivemet présetées das les déclaratios expresses de garatie accompagat ces produits et services. Aucu

Plus en détail

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME

Université Victor Segalen Bordeaux 2 Institut de Santé Publique, d Épidémiologie et de Développement (ISPED) Campus Numérique SEME Uiversité Victor Segale Bordeaux Istitut de Saté Publique, d Épidémiologie et de Développemet (ISPED) Campus Numérique SEME MODULE Pricipaux outils e statistique Versio du 8 août 008 Écrit par : Relu par

Plus en détail

Contribution à la théorie des entiers friables

Contribution à la théorie des entiers friables UFR STMIA École Doctorale IAE + M Uiversité Heri Poicaré - Nacy I DFD Mathématiques THÈSE présetée pour l obtetio du titre de Docteur de l Uiversité Heri Poicaré, Nacy-I e Mathématiques par Bruo MARTIN

Plus en détail