Evaluation des mécanismes publics de financement de la R&D-Innovation et de leur processus de fonctionnement pour le développement économique

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Evaluation des mécanismes publics de financement de la R&D-Innovation et de leur processus de fonctionnement pour le développement économique"

Transcription

1 Evaluation des mécanismes publics de financement de la R&D-Innovation et de leur processus de fonctionnement pour le développement économique («autres» ministères) Bruno OMER, expert CT Tunis, 19/12/2013

2 Diagnostic Système National Innovation: TdR1 Expert 1 les aspects financiers et institutionnels des programmes d appui à l innovation sous tutelle de MESRS Diagnostic du SNI Expert 4 les aspects financiers et institutionnels des programmes d appui à l innovation au niveau régional Expert 2 les aspects financiers et institutionnels des programmes d appui à l innovation sous tutelle de MIT Expert 3 les aspects financiers et institutionnels des programmes d appui à l innovation dans les autres ministères Page 2

3 Diagnostic Système National Innovation: TdR2 Méthodologie: Chaque expert procède à: Des entretiens avec des acteurs clefs, L identification des rapports ou documents clefs ainsi que des textes de loi pertinents, La recherche et vérification des données officielles liées aux activités en question, La validation des cas d écoles pour illustrer et approfondir les résultats du diagnostic Page 3 afin de: Identifier des sources d information statistique ou textuelle Acquérir les information en format électronique Rédiger de courts textes pour accompagner ces informations et pour les rendre plus compréhensible et plus accessible à un large public en utilisant: la comptabilité de l état les textes des lois qui gouvernent les activités et les dépenses de R&D-I les règles administratives imposées aux acteurs. ou autres informations jugées nécessaires.

4 Diagnostic Système National Innovation: TdR3 Objectifs: Approfondir afin de généraliser des pré-diagnostics précédents en creusant des exemples de défaillances systémiques, en s appuyant sur des textes précis (en fonction de la facilité, étendue et profondeur d accès atteignable dans différentes institutions) Expliciter les raisons des écarts entre prévisions et réalisations Constituer une première bibliothèque de dysfonctionnements avec possibilités (ou non) de résolution ou améliorations Page 4

5 Page 5 Quelques définitions et principes (1): «Le développement économique est porté par les entrepreneurs et leurs innovations au sein d un système qui est évolutif et en perpétuelle transformation et re-création» On distingue ainsi plusieurs formes d innovation (Schumpeter): la fabrication de biens nouveaux nouveaux produits, équipements, systèmes, composants les nouvelles méthodes de production nouvelles sources de travail, moyens logistiques ou fabrication l'ouverture de nouveaux débouchés nouvelles méthodes de marketing, communication (exemple TIC) l'utilisation de nouvelles matières premières matières révolutionnaires issues de découvertes scientifiques une nouvelle organisation du travail nouvelles formes d organisation, management, coopération

6 Quelques définitions et principes (2): Les principes précédemment énoncés nous ont servi de guides pour nos discussions: Très large acceptation de ces principes :. donc pas de difficultés ou de manque de compréhension sur les définitions et concepts néanmoins, cela restera à valider auprès des principaux acteurs intéressés:. les entreprises, surtout les PMEs!!, ainsi que les entrepreneurs (dispersion des impressions des différents acteurs du système) L aspect Développement Economique Territorial a aussi abordé, mais: Page 6. l instabilité organisationnelle de l Etat se répercute directement sur le potentiel de planification et un quelconque travail de prospective.

7 Analyses SNI Tunisie

8 Analyse Générale (1) Page 8 Vision peu développée pour une politique d innovation, tout du moins peu formalisée en termes d organisation ou expression stratégique Manque d une pratique managériale du MANAGEMENT ET DEPLOIEMENT STRATEGIQUE: Tableaux de bord et indicateurs Approche OBJECTIFS et IMPACTS Cascadage stratégique et mobilisation ressources H Absence systémique de schémas de gouvernance, habituellement remplacés par des schémas de procédures bureaucratique sans responsabilités claires Manque chronique d initiatives de génération et d appels à proposition compétitifs pour des projets collaboratifs stratégiques mettant ensembles différents métiers complémentaires mais aussi des concurrents (taille critique, standardisation)

9 Analyse Générale (2) Page 9 Dépasser les habitudes d appartenance à une institution même dans le cadre de projets initiés ensemble (culture d entreprise trop ou pas assez développée?) Difficulté à initier (méfiance réciproque) des échanges avec les entreprises ou entrepreneurs individuellement Manque d une approche POSITIVE/CONSTRUCTIVE des critiques. Des critiques récurrentes ont déjà été formulées, exemple l approche par trop bureaucratique des instruments de financement pour les entrepreneurs: Peu d appropriation des problèmes déjà identifiés Quelques malentendus systémiques: exemple «Pôles de Compétitivité» approche management de l innovation et fourniture se services d appui à l innovation en lieu et place de «immobilier» et moyens matériels.

10 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I il y a eu beaucoup d'interventions, d ajustements, modifications successives, nouvelles institutions créées pour "améliorer", compléter ou «défendre ses prérogatives». de nouvelles règles sont souvent venues se superposer à d'autres couches précédentes,... résultat: la chaine de valeur n'est pas lisible et n'est pas conçue avec des indicateurs ni systèmes d'évaluation et d'indices de performances, parce qu elle n est pas la résultante d une approche stratégique structurée. ---> on se pose même la question de savoir si c'est un système, car un système a une logique, une structure et des objectifs s orientant vers des directions définies stratégiquement. c'est plus un "ensemble de strates successifs de règles" et d institutions dont on n arrive pas à bien lire les rôles, les objectifs, ni les performances,.. Page 10

11 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme de financement d innovation TIC (pourtant un secteur qui se porte bien et déjà reconnu comme novateur). L initiation est on ne peut plus simple, logique et justifiée: On reprend une idée fiscale déjà implémentée : Page 11

12 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme de financement d innovation TIC constitution d un fonds de développement des communications Page 12

13 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme de financement d innovation TIC valorisation du fonds de développement des communications Page 13

14 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme de financement d innovation TIC modification du taux du fonds des communications Page 14

15 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme, sur des montants importants: Page 15

16 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme de financement d innovation TIC modification du taux du fonds des communications: À défaut de transparence, quelques obligations d affectation Page 16

17 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme de financement d innovation TIC Page 17 modification du taux du fonds des communications: Logique de l intervention: À défaut de transparence, quelques obligations d affectation Limiter à 50% du montant levé les dépenses réaffectée «en interne», au sein du même fonds destiné au «développement et innovation des TIC», à des institutions liées au Min TIC: Montant levé : 100 millions par exemple: Frais de gestion Min Finances: 15% : 15 millions Institutions dépendantes du Min TIC: 50% : 50 millions Fonds à faire gérer aux SICAR via le Min Finances: 35%, 35 millions Frais de gestion SICARs: 5% (?), 5 millions. En principe disponible: projets innovants:32%, sans compter éventuel impact «bureaucratie» Réel =? (estimé rapide : entre 3 5 %) (liste des types de produits à innover!!??!!) ALORS QUE PRINCIPE DE BASE DES FONDS : 99-95% réaffectés à la mission, (suivant frais de gestion interne ou externe par professionnels des fonds)

18 Analyse détaillée: dyfonctionnement mécanismes de financement R&D-I EXEMPLE CONCRET d un mécanisme de financement d innovation TIC Liste activités finançables: Page 18

19 Quelques éclairages sectoriels

20 Ministère du Commerce: Dir. du e-commerce (1) Seulement deux secteurs semblent avoir développé des stratégies nationales d innovation pour appuyer le développement: Le secteur du commerce électronique Le secteur de l artisanat et produits agricoles Pour le secteur du Commerce Electronique: le cadre réglementaire date du 9 août 2000 (Loi ) sur les échanges et le e-commerce, pratiquement en même temps que les initiatives équivalentes en EU Page 20

21 Ministère du Commerce: Dir. du e-commerce (2) Page 21 La stratégie adoptée vise à : Développer une culture e-commerce la plus large possible, surtout pour les PME Moderniser les procédures commerciales en adoptant les TIC: «e-business»; Inciter à l adhésion aux places de marché électroniques (>1800 entr./ Alibaba). Un Plan d Action détaillé a été décidé en Avril 2007: depuis 2 ans une task-force fondée sur le partenariat public-privé commence à mobiliser et redynamiser le secteur en proposant une feuille de route et un Programme d Actions: Coopération internationale: formations, labellisation e-trust (mais pb SMT-SPS) Projet de pépinière e-commerce (mais pb de moyens et ressources) Actions de Communication et Visibilité: séminiares, Guide du Promoteur e-comm, enquêtes consommateurs révélant de fortes prédispositions. MAIS: une initiative commune lancée sur fonds du Min. des TIC pour le e-commerce a été abandonnée par manque d appui institutionnel interne

22 Organisation Interprofesionnelle - >IACE(1) Organisation associative, l institut Arabe des Chefs d Entreprises vise à promouvoir l entreprise et à améliorer l environnement des affaires en formulant des propositions de réformes avec le concours des chefs d entreprises, des universitaires et autres acteurs de la société civile: Lieu de rencontres, manifestations d échange d idées: conférences, journées d études: «Journées de l Entreprise» Appuis aux créateurs d entreprises: conseils, visites, stages Page 22 Services professionnels: La Maison de l Entreprise Le CTGE (Centre Tunisien de Gouvernance d Entreprise) Le Centre de Formation IACE Le CTVIE (Centre Tunisien de Veille et Intelligence Economique) Le CJE (Centre des Jeunes Entrepreneurs) CTEE (Centre Tunisien des Etudes Economiques) Le CTIE (Centre Tunisien d Informations Economiques)

23 Organisation Interprofesionnelle - >IACE(2) Page 23 Visibilité et Outils de Communication novateurs: Les différentes études sont publiées sous forme de bibliothèque électronique et/ou video sur le site de l IACE : Critique du Système National d Innovation: Besoin d un changement radical du modèle de chaine de valeur Problème de motivation/rémunération chercheurs: indicateurs =publications? Mise en relation ENTREPRISE UNIVERSITES: besoin d un système SIMPLE et LISIBLE, et besoin d un suivi d immersion des doctorants Questionnement sur la qualité et adéquation des diplômes supérieurs Demande de transparence et fiabilité des chiffres sur l innovation

24 Ministère du Tourisme (1) Page 24 Pas de Direction Générale STRATEGIE, mais la création récente (il y a 1an) d une Direction Générale - Unité de gestion par objectif (UGO) pour le déploiement de la stratégie de développement du tourisme tunisien à l horizon 2016: 1) la diversification et l innovation du produit touristique, l amélioration continue de la qualité du service et la formation du personnel, 2) le renforcement de la promotion institutionnelle, 3) le recours aux TIC pour la promotion et la commercialisation, 4) une meilleure desserte aérienne au meilleur cout, 5) une refonte de la gouvernance du secteur et, 6) un meilleur accès aux financements de l exploitation et de l investissement. Mais manque chronique de moyens pour la mise en œuvre de l UGO.

25 Ministère du Tourisme (2) Pas de direction de la stratégie ou de l innovation, études prospectives financées par les bailleurs de fonds internationaux. Des initiatives de Mise à Niveau réalisées, mais pas d études d impact Besoins exprimés par la profession pour un système de classement des hôtels, mais déception sur les prévisions de mise à niveau immatérielle: 14 dossiers présenté sur 500 hôtels qualifiables problème de «mentalié»? Page 25 Approche PPP: déjà conceptualisé mais difficulté de démarrage sans une réorganisation de l état en territoires responsables et surtout représentatifs (démocratie? méfiance «hukmu»? )

26 Ex- Ministère de l Emploi (1) (échanges avec Mr Saïs AÏDI, ancien Ministre de l Emploi , + études rapports et documents d analyse) Problématique de l emploi complexe mais des raisons socioéconomiques établies: Déséquilibres régionaux/territoriaux Modèle économique de la dernière décennie incompatible avec les formations de la population, générateur du «paradoxe Tn»: Paradoxe Tunisien: jeunes diplômés plus sujets au chômage Pas de direction de la stratégie ou de l innovation, études prospectives financées par les bailleurs de fonds internationaux. Chomage structurel nouveaux diplômés arrivent sur le marché tous les ans Mais seulement emplois qualifié sont disponibles!!! Page 26

27 Ex- Ministère de l Emploi (2) Chômage amplifié dans les régions (réforme territoire: absence débat) chômage des jeunes > 50-60%! Manque de PLANIFICATION et PROSPECTIVE pour la formation supérieure, certaines spécialités d études sup : chômage = 82% Page 27 Analyse emploi : Secteur informel: personnes Saisonniers: (WorldBank) personnes Temps partiel subi: (W-B) p. CDD: 41% des contrats Politique sociale de l emploi: p. TOTAL: p. (emplois recensés: emplois)

28 Ex- Ministère de l Emploi (3) Etudes prospectives récentes montrent potentiels importants secteurs: TIC: (??) emplois Agro-alimentaire, Logistique, Energie, Santé Tourisme et Artisanat traditionnel et régional Besoin de «remonter la chaine de valeur» de l industrie en intégrant la R&D-I dans le modèle économique en accord avec les donneurs d ordre Européens (Réaliste? Délais? Arguments) Manque politique PME, tous les efforts précédents orientés soustraitance pour grands groupes étrangers. Accompagnement PMEs: LT! InitiativesONG: «adaptation par stages pratiques professionnels» (EFE) Page 28

29 Ministère de TIC (1) Législation d appui et promotion des TIC très (trop?) abondante: Non structurée: modifications, réorientations, détails bureaucratiques, législation essentiellement intégrée dans les Loi de Finances (annuelles, changeantes et évolutives) Manque de transparence Pas d approche structurée d une stratégie avant 2011: Etude EuropaAid P3A-II RDI-TIC Ph. Cousin 2011 Journées TABARKA, Juin2013: débats nationaux Plan Stratégique, Plan d Action, financement et gouvernance public privé à court, moyen et à long terme. Page 29

30 Ministère de TIC (2) Néanmoins il est à remarquer que même en période d instabilité institutionnelle et politique, la couche technocratique du Min TIC continue de proposer des améliorations, corrections ou interprétations règlementaires permettant de solutionner les problèmes sans attendre «des jours meilleurs»: Stratégie TIC-R&D-I initiée, à publier et communiquer en Mars Décrets d aménagement d articles ou initiative Smart Tunisia Plusieurs conventions PPP: Microsoft, Telnet, LINUX Pro Inst Plusieurs initiatives en cours de discussions avec d autres ministères sectoriels pour l utilisation d une partie du fonds de développement des communications pour financer des projets «métiers» mobilisant des TIC (mais lenteur administratives dans le traitement interministériel des dossiers) Pas d initiative «régionalisation», «territoires», débat politique absent. Page 30

31 Ministère de TIC (3) Point de vue sur la problématique du SNI par le Min TIC: Manque de Communication, de Contrôle et de Collaboration (CCC) Manque de sensibilisation et d incitations des entreprises et des structures de Recherche Absence de Gouvernance sectorielle et nationale Absence de la culture de Brevets, Propriété Intellectuelle et valorisation de la Recherche en plus des publications Manque de visibilité locale, régionale et Internationale Absence de grands projets fédérateurs Mécanismes de financements lourds sinon peu conséquents Page 31

32 Ministère de TIC (4) Propositions d amélioration: Professionnalisation du management de la recherche, Mngt Qualité Consolider les interactions et COLLABORATION entre les acteurs Développement Recherche Industrielle et d innovation dans l entreprise Revoir statuts personnel technique de la recherche, mobilité chercheurs Améliorer l environnement propice de l entrepreneuriat innovant Améliorer l environnement propice à l investissement privé dans la R&I Améliorer l accès au financement notamment pour l incubation et l entrepreneuriat innovant Définir une stratégie nationale et des axes de recherche porteurs Afficher une volonté politique claire en TIC Soigner la COMMUNICATION Page 32

33 Analyse constructive et suggestion

34 Analyse constructive? c'est plus un "ensemble de strates successifs de règles" et d institutions dont on n arrive pas à bien lire les rôles, les objectifs, ni les performances,.. Page 34 dans un tel système difficile à lire, ce n'est surement pas facile de gérer les priorités! il faut simplifier fédérer autour d'une démarche de développement économique par l'innovation et ne pas noyer l'innovation dans des mesures et règles bureaucratiques il manque donc une approche concrète, directe, ayant des impacts, du genre INITIATIVES VOLONTARISTES. Il faut d-signaler que les initiatives ne manquent pourtant pas, mais elles sont exclusivement privées et même organisées par certaines sociétés capable de monter leur propre chaine de valeur et de valorisation comme Google, Microsoft, Orange, etc...

35 Analyse constructive? Certaines de ces grandes sociétés, commencent même à rapprocher leurs initiatives «propriétaires», sans même comme résultante d une obligation externe. De plus compte-tenu de la taille du marché Tunisien il est peu probable que même des multinationales décident de déployer un chaine complète en Tunisie à elles toutes seules. Donc indépendamment des principes maintenant internationalement acquis et établis du besoin de COLLABORATION et de "COOPETITION (COOPERATION+COMPETITION)", il faut mobiliser des initiatives fédératrices même pour ces multinationales pour atteindre une taille critique minimale dans leurs approche propriétaires de plateformes de génération de nouveaux projets. Page 35

36 Analyse constructive? C'est le role d'agences ou de services de l'etat que d'initier et appuyer ce type d'initiative collective! Il manque une ARCHITECTURE, qui en plus doit être souple, flexible, non-bureaucratique et rapidement reconfigurable. Page 36

37 .et pour finir une critique positive: ISIS - IRIS - Commencer par des réalisations concrètes et des projets collaboratifs restreints pouvant être étendus soit en termes de nombres d acteurs, soit en termes d envergure des projets, soit en termes de diversité: initiative ISIS en cours de discussion/gestation au pôle El Gazala afin d expérimenter la génération de projets innovants sur toute la chaîne de valeur. Cette initiative testerait des démonstrateurs concrets et des mécanismes déjà existants même si considérés non performants à ce jour quand on regarde leur performance d ensemble actuelle. Page 37

38 .et pour finir une critique positive: ISIS - IRIS L élément central de cette initiative serait la professionnalisation des services d appui et de génération de projets grâce au management de l innovation de bout en bout. Cela permettra aussi de tester et analyser en grandeur réelle une chaine complète d innovation (recensement en cours des éléments composant la «chaîne»). Cette initiative s appuiera donc sur un secteur transversal que sont les TIC et qui sont reconnus et ont un a priori positif à ce jour en Tunisie grâce à leurs performances passées. Page 38

39 .et pour finir une critique positive: ISIS - IRIS - Ils joueraient le rôle de catalyseur pour quelques premiers secteurs applicatifs: Le e-commerce du Ministère du Commerce par exemple est partant pour une telle initiative et des discussions sont en cours pour analyser la faisabilité à court terme. L idée fait suite à de premières expérimentations positives mais non coordonnées, sur la base d essais réels déjà réalisés en privé par certaines grandes entreprises internationales de TIC (mais limitées pour le moment à leur propres «initiatives propriétaires» ) Page 39

40 .et pour finir une critique positive: ISIS - IRIS En cas de signaux positifs, d autres secteurs seraient appelés à participer en parallèle sur le même modèle. Un autre élément d analyse systémique sera l évaluation in-vivo de la performance d un certain nombre d institutions censées jouer des rôles importants dans cette chaîne de valeur; l existence d un management professionnel devrait permettre d évaluer avec recul et neutralité l apport et la performance de telles institutions, de par leurs performances intrinsèques ou liées au rôle qu on leur a désigné et alloué de façon rigide et bureaucratiques. Page 40

41 .et pour finir une critique positive: ISIS - IRIS Composant et acteurs de la chaine de valeur : Supcom, Ecole Centrale Polytechnique?, Ecole de Commerce et MBA BusinessSchools?, Ecoles d'informatique ( Xxxx, Yyyy, Zzzzz, ) CERT (pas besoin de revoir les statuts-type des centres techniques pour l inno) Technopôle El Gazala (vision, capacité et volonté pour devenir le 1er VRAI Pôle de Compétitivité en Tunisie?): private cloud, datacenter, plugfest, Incubateurs, Pépinières (Pépinière e-commerce Min Commerce), Microsoft MIC opérateurs télécom et leurs partenariats avec des constructeurs structurant le marché du développement «libre» ou «semi-libre» Mobility Forum Orange, Java J2ME Mobile Programming ( droidcon (Google Android), ios Apps Mobile Games development, + Telnet Labs El Gazala, + Alpha Tech (ini-gps, Android,..), Microsoft MIC premières têtes de pont à tester au-delà des TIC s avec d autres secteurs : Départements R- D&I de sociétés industrielles (STEG-Jomaa SOUISSI Directeur Stratégies, Etudes, InfoSystems) + (Hela NACEF, SONEDE, Ministère Agriculture), (Lazhar BENNOUR Ministère Commerce, Resp Nat e-commerce, Karim GHARBI Min Tourisme : Platfeforme e-tourisme) Page 41

42 .et pour finir une critique positive: ISIS - IRIS Composant et acteurs de la chaine de valeur : SICARS: DivaSICAR, Xxxxx, Business-Angels, Autres centres d'appui (normalisation, brevets, propriété industrielles, ) Living Labs/Open Living Labs/SUST-StartUp-System-Tunisia (sustunisia.org) CityCamp projects, Tunisia-SAT (Mask, Abou Yassine AYARI, Chérifmh, Winzo, ) Projets et Programmes Européens de recherche et innovation (Smart Cities? smartsantander.eu testbed open for real-world experimental research on IoT and citizen-centric development imbedded in operational real infra networks of the city -electrical, lighting, etc - with socioeconomic, city governance and community services.) Relais de promotion politique par les associations professionnelles type UTICA, Conect, branche SSII UTICA, AICE, etc Page 42

43 Termes de Référence Le Ministère tunisien de l Enseignement Supérieur et de la Recherche Scientifique, en collaboration avec le Ministère de l Industrie et de la Technologie, a lancé le Projet d Appui au Système de Recherche et d Innovation «PASRI», financé par un don de l Union européenne de L objectif général fixé au PASRI est d «améliorer la contribution de la recherche et de l innovation à la croissance et au développement de l emploi en Tunisie, en renforçant le lien entre la recherche et l entreprise. Il est décliné en trois sous-objectifs correspondant aux actions à mettre en œuvre par les trois composantes retenues pour les actions du PASRI: Renforcer les mécanismes de «gouvernance» du système national d innovation SNI ; Dynamiser le milieu de la recherche, le milieu économique et «l interfaçage» ; Développer les actions de «réseautage» aux niveaux national et international et renforcer la capacité de la Tunisie à intégrer les programmes de recherche européens. Le PASRI est géré par l Agence Nationale de Promotion de la Recherche Scientifique (ANPR) représentée par le Responsable National du Projet. Il est assisté dans ses fonctions par une Unité d Appui au Projet UAPASRI.

LE PMI, LEVIER DE DEVELOPPEMENT DES PÔLES DE COMPETITIVITE

LE PMI, LEVIER DE DEVELOPPEMENT DES PÔLES DE COMPETITIVITE PROGRAMME DE MODERNISATION INDUSTRIELLE LE PMI, LEVIER DE DEVELOPPEMENT DES PÔLES DE COMPETITIVITE TERRITOIRES MÉTROPOLITAINS INNOVANTS : Technopoles et pôles de compétitivité Tunis 19 et 20 juin 2007

Plus en détail

Mise en place des projets collaboratifs. public-privé dans les TIC à l entreprise. Cynapsys

Mise en place des projets collaboratifs. public-privé dans les TIC à l entreprise. Cynapsys Mise en place des projets collaboratifs public-privé dans les TIC à l entreprise Cynapsys 22 Septembre, Pôle Elghazala, Ariana Imed AMMAR Manager AGENDA Présentation de CYNAPSYS Vision et Stratégie de

Plus en détail

Plan d actions 2011/2014

Plan d actions 2011/2014 Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent

Plus en détail

RESUME DESCRIPTIF DE LA CERTIFICATION (FICHE OPERATIONNELLE METIERS)

RESUME DESCRIPTIF DE LA CERTIFICATION (FICHE OPERATIONNELLE METIERS) RESUME DESCRIPTIF DE LA CERTIFICATION (FICHE OPERATIONNELLE METIERS) Intitulé (cadre 1) Master Droit Economie Gestion, mention Management des Systèmes d Information, spécialité Management et Technologies

Plus en détail

Digital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014

Digital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014 Digital Lëtzebuerg Conférence de presse du 20 octobre 2014 Initiative «Digital Lëtzebuerg» Pour la définition, l élaboration et la mise en œuvre d une stratégie numérique globale pour le Luxembourg 1.

Plus en détail

Elaboration participative des programmes communaux

Elaboration participative des programmes communaux Séminaire Elaboration participative des programmes communaux 29-29 Mars 2014 à Ain Draham Hôtel «Nour El Ain» Première journée : Vendredi 28 Mars Ain Draham Contexte général et objectifs : L Association

Plus en détail

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013

Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun. Le 5 novembre 2013 Programme d Appui au Développement du Secteur Privé (PADSP) du Cameroun Le 5 novembre 2013 Plan de la présentation 1. Contexte du Programme 2. Objectifs et méthode du Programme 3. Activités prévues dans

Plus en détail

Augmenter l impact économique de la recherche :

Augmenter l impact économique de la recherche : Augmenter l impact économique de la recherche : 15 mesures pour une nouvelle dynamique de transfert de la recherche publique, levier de croissance et de compétitivité Partout dans le monde, la recherche

Plus en détail

>> Dossier de presse. Octobre 2014

>> Dossier de presse. Octobre 2014 Octobre 2014 >> Dossier de presse Contact : Estelle Barré, Chargée de communication I Angers Technopole Tel : 02.41.72.14.13 / 06.46.10.14.74 estelle.barre@angerstechnopole.com 2 Au programme 1. > Contexte

Plus en détail

Rapport d évaluation de la licence professionnelle

Rapport d évaluation de la licence professionnelle Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation de la licence professionnelle Entrepreneuriat de l Université Paris 13 - Paris-Nord Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section

Plus en détail

«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne»

«LE Capital-Investissement : accelerateur de croissance de l economie tunisienne» «accelerateur de croissance de l economie tunisienne» Note conceptuelle LE MOT DU PRESIDENT Le Capital-Investissement - ou Private Equity - est un des moteurs du financement de l économie réelle et du

Plus en détail

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication

Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation

Plus en détail

LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE?

LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE? LES PLATEFORMES D INITIATIVE LOCALE ET LA CREATION D ENTREPRISE INNOVANTE EN FRANCE QUELLE PERTINENCE POUR LA TUNISIE? Anne CHATAURET Volet Interfaçage QU EST-CE QU UNE PLATEFORME INITIATIVE? 2 Les «Plateformes

Plus en détail

N 362. Votre Revue de Presse Du 24/ 03 /2015. press@conect.org.tn tel : +216 31 330 330 Fax: +216 71 231 059 CONECT 2015

N 362. Votre Revue de Presse Du 24/ 03 /2015. press@conect.org.tn tel : +216 31 330 330 Fax: +216 71 231 059 CONECT 2015 N 362 By Votre Revue de Presse Du 24/ 03 /2015 press@conect.org.tn tel : +216 31 330 330 Fax: +216 71 231 059 CONECT 2015 Création d entreprises Nouveaux promoteursle parcours d obstacles Les jeunes promoteurs

Plus en détail

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I

Promulgue la loi dont la teneur suit : TITRE I Loi n 98-11 du 29 Rabie Ethani 1419 correspondant au 22 août 1998 portant loi d Orientation et de Programme à Projection Quinquennale sur la Recherche Scientifique et le Développement Technologique 1998-2002

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation

Plus en détail

Formation de chargés de missions d'évaluation, intervenants dans les organisations (Fonction publique, entreprises, Santé)

Formation de chargés de missions d'évaluation, intervenants dans les organisations (Fonction publique, entreprises, Santé) MASTER PROFESSIONNEL Sciences de l éducation master (bac+5). (ex DESS) Consultant chargé de missions d évaluation Pour devenir intervenant chargé de missions d évaluation : Expert, consultant ou coach

Plus en détail

CONSTRUIRE COMPÉTENCES LES. www.groupe-cd.fr

CONSTRUIRE COMPÉTENCES LES. www.groupe-cd.fr CONSTRUIRE LES DE COMPÉTENCES www.groupe-cd.fr ACCOMPAGNER LES RÉUSSITES C&D EN CHIFFRES PLUS DE 9000 300 ÉTUDIANTS SALARIÉS PERMANENTS Compétences & Développement est un groupe d écoles françaises implantées

Plus en détail

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette

Plus en détail

Guide du Tuteur Banque et Assurance

Guide du Tuteur Banque et Assurance Guide du Tuteur Banque et Assurance QU EST-CE QUE LE BTS MANAGEMENT DES UNITES COMMERCIALES? Il s agit d une formation en 2 ans proposée aux titulaires d un baccalauréat technologique ou général. Elle

Plus en détail

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs

Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie et de la diversité des jeunes créateurs Centre national de la danse Mesures en faveur de la formation, de l insertion, des conditions de vie MARDI Contact presse Ministère de la Culture et de la Communication Délégation à l information et à

Plus en détail

Objectifs pédagogiques de l enseignement «Métiers»

Objectifs pédagogiques de l enseignement «Métiers» É C O L E D I N G É N I E U R D E S T E C H N O L O G I E S D E L I N F O R M A T I O N E T D E L A C O M M U N I C A T I O N Métiers Objectifs pédagogiques de l enseignement «Métiers» Les objectifs sont

Plus en détail

Le Pacte de responsabilité et de solidarité

Le Pacte de responsabilité et de solidarité Le Pacte de responsabilité et de solidarité La France est à un moment décisif. Depuis plus de dix ans, l appareil de production s est affaibli, la compétitivité s est détériorée et le niveau de chômage

Plus en détail

création oseo.fr Pour financer et accompagner les PME

création oseo.fr Pour financer et accompagner les PME création oseo.fr OSEO Document non contractuel Réf. : 6522-02 Janvier 2007 Pour financer et accompagner les PME création oser pour gagner! Que la création porte sur une activité traditionnelle avec un

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Marketing et vente de l Université Paris-Est Créteil Val de Marne - UPEC Vague E 2015-2019 Campagne d évaluation 2013-2014 Section

Plus en détail

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»

THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT» ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES

Plus en détail

LA REFORME LMD EN COTE D IVOIRE :

LA REFORME LMD EN COTE D IVOIRE : LA REFORME LMD EN COTE D IVOIRE : Mise en œuvre et enjeux Pr Viviane KROU ADOHI Directeur Général de l Enseignement Supérieur Abidjan, février 2012 1 Définition LICENCE (bac +3) INTRODUCTION MASTER (bac+5)

Plus en détail

LE référentiel des métiers

LE référentiel des métiers LE référentiel des métiers 2 Le référentiel des métiers de Pôle emploi FILIÈRE RELATION DE SERVICES Métiers MISSIONS ACTIVITÉS COMPÉTENCES Le référentiel des métiers de Pôle emploi 3 4 Le référentiel des

Plus en détail

Le MIC: Une idée des réalisations

Le MIC: Une idée des réalisations Le MIC: Une idée des réalisations ission du MIC Le MIC est le fruit d un partenariat qui a été signé en Juillet 2006 entre: Le gouvernement tunisien Microsoft pour soutenir la stratégie de la Republique

Plus en détail

LES SERVICES A LA PERSONNE EN ARTOIS COMM.

LES SERVICES A LA PERSONNE EN ARTOIS COMM. LES SERVICES A LA PERSONNE EN ARTOIS COMM. Direction du Développement Economique et Emploi Artois Comm. Le 4 juin 2010 ARTOIS COMM. PRESENTATION D ARTOIS COMM. LES CARACTERISTIQUES DU TERRITOIRE : La Communauté

Plus en détail

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience

«Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience «Donnons envie aux entreprises de faire de la Formation continue à l Université!» (Stand D07) La formation continue à l Université Fiche expérience UNIVERSITE PARIS 8 ENTREPRISE FNAIM Monter les salariés

Plus en détail

C.R.I.T.E.R. Centre de Ressources et d Ingénierie du Tourisme en Espace Rural

C.R.I.T.E.R. Centre de Ressources et d Ingénierie du Tourisme en Espace Rural Centre de Ressources et d Ingénierie du Tourisme en Espace Rural C.R.I.T.E.R. Languedoc-Roussillon (Siège social) Parc d Activités Le Millénaire Bruyère 2000 - Bat 1-650, rue Henri Becquerel 34000 MONTPELLIER

Plus en détail

Mutualisation des compétences

Mutualisation des compétences Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux

Plus en détail

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité

Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat : 081/33.44.84 Accompagnement.recherche@spw.wallonie.be. Guide pratique pour les études de faisabilité Direction générale opérationnelle Économie, Emploi et Recherche Département du Développement technologique Direction de l Accompagnement de la Recherche Place de Wallonie, 1 à 5100 Jambes Secrétariat :

Plus en détail

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS

MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS MASTER 1 MANAGEMENT PUBLIC ENVIRONNEMENTAL CONTENU DES ENSEIGNEMENTS Le Master 1 : Management Public Environnemental forme aux spécialités de Master 2 suivantes : - Management de la qualité o Parcours

Plus en détail

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats

Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais. Synthèse des résultats Contrat d étude prospective de l emploi et de LA formation de la filière santé dans le Nord-Pas de Calais Synthèse des résultats Septembre 2013 Etude coordonnée par Dispositif soutenu et financé par Le

Plus en détail

Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée

Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Strasbourg, le 14 novembre 2014. Comité stratégique de la démarche Alsace 2030 : des ambitions fortes, une vision partagée Philippe Richert, Président du Conseil Régional d Alsace, Ancien Ministre, a ouvert

Plus en détail

Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan

Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Terres Romanes en Pays Catalan est porteur, en partenariat avec le Pnr

Plus en détail

Accenture accompagne la première expérimentation cloud de l État français

Accenture accompagne la première expérimentation cloud de l État français Accenture accompagne la première expérimentation cloud de l État français Pays marqué par la centralisation, la France dispose paradoxalement d une informatique en silo, chaque ministère étant doté de

Plus en détail

Conseil économique et social

Conseil économique et social Nations Unies ECE/CECI/2015/4 Conseil économique et social Distr. générale 30 juin 2015 Français Original : anglais Commission économique pour l Europe Comité de la coopération et de l intégration économiques

Plus en détail

LE PÔLE D EXCELLENCE OUTIL DE STRUCTURATION ET DE PROFESSIONNALISATION DU SECTEUR DU TOURISME EN MARTINIQUE

LE PÔLE D EXCELLENCE OUTIL DE STRUCTURATION ET DE PROFESSIONNALISATION DU SECTEUR DU TOURISME EN MARTINIQUE LE PÔLE D EXCELLENCE OUTIL DE STRUCTURATION ET DE PROFESSIONNALISATION DU SECTEUR DU TOURISME EN MARTINIQUE Chantal LAMEYNARDIE Consultante chef de projets RH - Groupe MONPLAISIR Quelles compétences pour

Plus en détail

E-Commerce en Afrique du Nord

E-Commerce en Afrique du Nord ECommerce en Afrique du Nord Etat des lieux et recommandations Mustapha Mezghani Consultant Rabat 46 avril 26 1 Plan Echanges commerciaux entre les pays d Afrique du Nord Comment les TICs peuvent dynamiser

Plus en détail

SALON INTERNATIONAL DU MULTIMEDIA ET DE L ECONOMIE NUMERIQUE (SIMEN)

SALON INTERNATIONAL DU MULTIMEDIA ET DE L ECONOMIE NUMERIQUE (SIMEN) SALON INTERNATIONAL DU MULTIMEDIA ET DE L ECONOMIE NUMERIQUE (SIMEN) Cité de la démocratie,libreville du 01 au 04 Décembre 2006 28/04/2006 eme II EDITION «Une rencontre pour la promotion des partenariats

Plus en détail

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication

www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication www.u-bordeaux3.fr Master professionnel Communication des organisations Stratégies et produits de communication Un peu d histoire Depuis 1988 à l université Bordeaux 3, la spécialité Communication des

Plus en détail

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau

Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau ROYAUME DU MAROC Secrétariat d État chargé de l Eau et de l Environnement Agences de Bassins Hydrauliques & Gouvernance de l eau Mohamed HACHIMI Du 08 au 09/07/2009 à Tunis Gouvernance au niveau des Agences

Plus en détail

Réussir sa création d entreprise

Réussir sa création d entreprise Chambre des Experts Comptables du Cœur d Hérault Réussir sa création d entreprise Les conseils de l expert-comptable Support téléchargeable sur : www.cecch.fr CSOEC 2012 Comité Création d Entreprise La

Plus en détail

Métiers d études, recherche & développement dans l industrie

Métiers d études, recherche & développement dans l industrie Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers d études, recherche & développement dans l industrie R&D Production Ingénieur

Plus en détail

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats

C ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.

Plus en détail

Le secteur des Technologies de l Information et de la Communication: Des Réalisations Importantes et des Perspectives Prometteuses

Le secteur des Technologies de l Information et de la Communication: Des Réalisations Importantes et des Perspectives Prometteuses REPUBLIQUE TUNISIENNE Ministère des Technologies de la Communication Le secteur des Technologies de l Information et de la Communication: Des Réalisations Importantes et des Perspectives Prometteuses Grâce

Plus en détail

AVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION D INTERET AUPRES DE CONSULTANT INDIVIDUEL

AVIS DE SOLLICITATION DE MANIFESTATION D INTERET AUPRES DE CONSULTANT INDIVIDUEL REPUBLIQUE TUNISIENNE MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE DE SFAX FACULTE DES LETTRES ET SCIENCES HUMAINES CENTRE DE DOCUMENTATION NUMERIQUE ET DE FORMATION

Plus en détail

SILICON SENTIER UNE ASSOCIATION D ENTREPRISES LOI 1901. siliconsentier.org

SILICON SENTIER UNE ASSOCIATION D ENTREPRISES LOI 1901. siliconsentier.org SILICON SENTIER UNE ASSOCIATION D ENTREPRISES LOI 1901 SILICON SENTIER L ASSOCIATION Silicon Sentier est une association d entreprise regroupant 175 PMEs et TPEs en région Ile-de-France, spécialisées dans

Plus en détail

Gestion budgétaire et financière

Gestion budgétaire et financière Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication

Plus en détail

Plate-forme RSE. Commissariat Général à la stratégie et la prospective

Plate-forme RSE. Commissariat Général à la stratégie et la prospective Plate-forme RSE Commissariat Général à la stratégie et la prospective «La Région Languedoc-Roussillon accélérateur de compétitivité et de responsabilité sociale pour les entreprises» Josick Paoli Directrice

Plus en détail

Personnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans.

Personnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans. Personnes physiques fiscalement domiciliées en France, PME * de moins de 3 ans. Aider le créateur à préciser son plan d entreprise et à procéder à des vérifications a minima techniques et juridiques pour

Plus en détail

DU E-COMMERCE E-TOURISME

DU E-COMMERCE E-TOURISME DU E-COMMERCE E-TOURISME RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Diplôme universite niv. form. bac + 3 Domaine : Gestion et Management Présentation Etablissements partenaires Convention de partenariat

Plus en détail

Mettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services.

Mettre en place de plateformes inter-opérables mutualisées d informations et de services. 7 points pour garantir un bel avenir de la e-santé en France... by Morgan - Dimanche, janvier 30, 2011 http://www.jaibobola.fr/2011/01/avenir-de-la-e-sante-en-france.html La Recherche et le développement

Plus en détail

LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1

LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1 LE BACCALAUREAT PROFESSIONNEL GESTION ADMINISTRATION Janvier 2012 Page 1 La rénovation de la voie professionnelle, filière du tertiaire administratif a conduit à la création du baccalauréat professionnel

Plus en détail

Axes de travail et plan d action 2015

Axes de travail et plan d action 2015 19 novembre 2014 Axes de travail et plan d action 2015 SOMMAIRE Introduction... 3 Partager l information sur les métiers, l emploi et la formation professionnelle en LR ; être plus utile et plus accessible...

Plus en détail

OKKI LETTRE DE MISSION DIAG- NUM-TER MANCHE TOURISME 29/07/2013

OKKI LETTRE DE MISSION DIAG- NUM-TER MANCHE TOURISME 29/07/2013 29/07/2013 OKKI LETTRE DE MISSION DIAG- NUM-TER MANCHE TOURISME Okki - 7 route Nationale - 14 220 Saint Laurent de Condel - Tél. : 0.231.710.728 - Cell. : 0.621.757.666 - Email : mail@okki.fr LETTRE DE

Plus en détail

Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité

Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité Les leviers régionaux de soutien de la structuration de l offre en produits alimentaires de proximité Lycée agricole Edgar Pisani, Montreuil-Bellay (49) 11 octobre 2012 1. La PRI Jules Rieffel 1.1 Les

Plus en détail

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export

Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Les réformes se poursuivent en faveur d une économie française plus compétitive et d un appui renforcé aux entreprises à l export Depuis 2012, un ensemble d actions est engagé au service du renforcement

Plus en détail

Pôle de compétitivité Aerospace Valley. Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2)

Pôle de compétitivité Aerospace Valley. Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2) Pôle de compétitivité Aerospace Valley Agilité et Confiance dans la filière aéronautique (2) Cahier des charges pour une offre d accompagnement pour une démarche «Agir ensemble pour la filière aéronautique».

Plus en détail

Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme

Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme Conférence de Presse jeudi 19 mars 2015 Salon Mondial du Tourisme Sommaire Edito Présentation du Welcome City Lab Le Welcome City Lab: les chiffres Paris&CO La nouvelle promotion de startups L état rentre

Plus en détail

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II

MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II MASTER I : Responsable en Gestion Métiers du Management Commercial Titre RNCP II Sommaire 1.Les Tourelles en quelques mots... 2 2. Le CNAM en quelques mots... 3 3. Objectifs de la formation... 4 4. Poursuites

Plus en détail

Agence Régionale des Territoires d'auvergne. Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi

Agence Régionale des Territoires d'auvergne. Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi Agence Régionale des Territoires d'auvergne Gérard Lombardi Marketing Territorial Relations entreprises Emploi En quelques mots L'Auverg ne L'Agence des Territoires d'auvergne L'accueil de nouvelles populations

Plus en détail

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France)

Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Etude sur les Maisons des Services Publics en Europe (hors la France) Résumé du rapport réalisé par EUROPA pour la DATAR DATAR EUROPA Etude sur les maisons des services publics en Europe Résumé du rapport

Plus en détail

Licence Professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et Entrepreneuriat

Licence Professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et Entrepreneuriat Licence Professionnelle Gestion de l'économie sociale et solidaire et Entrepreneuriat BAC+3 Domaine : Droit, Economie, Gestion Dénomination nationale : Management des organisations Organisation : Ecole

Plus en détail

Rapport d évaluation du master

Rapport d évaluation du master Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Management et organisation de l Université Paris-Dauphine Vague D 2014-2018 Campagne d évaluation 2012-2013 Section des Formations

Plus en détail

DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR

DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR DES MÉTIERS POUR CONSTRUIRE SON AVENIR OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS DE LA BRANCHE PROFESSIONNELLE DE LA PROMOTION CONSTRUCTION OBSERVATOIRE PROSPECTIF DES MÉTIERS ET DES QUALIFICATIONS

Plus en détail

I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014

I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014 OBSERVATOIRE DYNAMIQUE DES METIERS DE LA BRANCHE I. BILAN 2013 ET PROSPECTIVE 2014 TENDANCES D EVOLUTION ET COMPETENCES EMERGENTES I.3. SECTEUR ETUDES & CONSEIL OPIIEC 25 Quai Panhard et Levassor 75013

Plus en détail

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation

Programme détaillé MASTER DE MANAGEMENT ET DE STRATEGIE D ENTREPRISE. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation Objectifs de la formation Les métiers Ce Master valide votre qualification professionnelle et votre aptitude à tenir les emplois de cadres et futurs cadres supérieurs dans les professions industrielles

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/5/7 REV. ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 21 JUILLET 2010 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Cinquième session Genève, 26 30 avril 2010 PROJET RELATIF À LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE

Plus en détail

Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie

Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie CONSEIL NATIONAL DE RECHERCHES CANADA PROGRAMME D AIDE À LA RECHERCHE INDUSTRIELLE Accélérer la croissance des PME grâce à l innovation et à la technologie MANDAT Stimuler la création de richesses au Canada

Plus en détail

LICENCE PROFESSIONNELLE EN MANAGEMENT ET ECONOMIE DU NUMERIQUE (LIPMeN)

LICENCE PROFESSIONNELLE EN MANAGEMENT ET ECONOMIE DU NUMERIQUE (LIPMeN) LICENCE PROFESSIONNELLE EN MANAGEMENT ET ECONOMIE DU NUMERIQUE (LIPMeN) Domaine : Sciences et Techniques Mention : Management et Economie du Numérique La formation se déroule sur trois (3) ans (6 semestres).

Plus en détail

Cahier des charges - Refonte du site internet www.sciencespo- rennes.fr

Cahier des charges - Refonte du site internet www.sciencespo- rennes.fr Cahier des charges Refonte du site internet www.sciencesporennes.fr Procédure d achat conformément à l article 28 alinéa I du Code des marchés publics 1. Présentation de la structure Reconnu pour son excellence

Plus en détail

Licence professionnelle Gestion et commercialisation des produits de la filière forestière

Licence professionnelle Gestion et commercialisation des produits de la filière forestière Formations et diplômes Rapport d'évaluation Licence professionnelle Gestion et commercialisation des produits de la filière forestière Université Pierre Mendes France - Grenoble - UPMF Campagne d évaluation

Plus en détail

PEPI GPI (Gestion de Projet Informatique) - Note de Cadrage décembre 2010 -

PEPI GPI (Gestion de Projet Informatique) - Note de Cadrage décembre 2010 - I N S T I T U T N A T IO N A L D E L A R E C H E R C H E A G R O N O M I Q U E Pepi Gestion de Projets Informatiques PEPI GPI (Gestion de Projet Informatique) - Note de Cadrage décembre 2010-1 Préambule...

Plus en détail

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives

Plus en détail

L attractivité de PACA pour le développement des smart grids

L attractivité de PACA pour le développement des smart grids L attractivité de PACA pour le développement des smart grids FORUM OCOVA 16 septembre 2014 Page 1 Les smart grids : une ambition pour la France Objectifs de la feuille de route du plan industriel Consolider

Plus en détail

Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION. Licence Professionnelle Management des Organisations

Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION. Licence Professionnelle Management des Organisations Université du Sud-Toulon Var IUT Toulon Var PROGRAMME DE LA FORMATION Licence Professionnelle Management des Organisations Spécialité Ressources Humaines et Conduite de Projets Formation initiale/ Contrat

Plus en détail

CATALOGUE FORMATION 2015

CATALOGUE FORMATION 2015 CATALOGUE FORMATION 2015 CATALOGUE FORMATION 2015 SOMMAIRE P. 06 L agence Présentation de l Agence Nationale de Promotion des TIC (ANPTIC) Mot du Directeur Général P.11 Nos formations par thème Outils

Plus en détail

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE

APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE APPEL A PROJETS SERVICE REGIONALE DE L APPRENTISSAGE L apprentissage dans l enseignement supérieur a pour mission de faciliter l accès à des formations de haut niveau et de permettre à des étudiants de

Plus en détail

Présentation du programme de Master en gestion

Présentation du programme de Master en gestion Présentation du programme de Master en gestion Faculté de Gestion et de Management Université Saint Joseph 2015-2016 Le Concours d entrée se passera le Samedi 9 Mai Cette présentation se trouve aussi sur

Plus en détail

LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année

LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année LICENCE Administration publique Parcours : MANAGEMENT PUBLIC 2 ème année CONTENU DES ENSEIGNEMENTS ET MODALITES D EVALUATION Semestre 1 : 30 crédits 9 EC obligatoires 1 EC optionnelle à choisir parmi 2

Plus en détail

PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE

PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE École nationale supérieure d architecture Montpellier PASSEPORT POUR LA MISE EN SITUATION PROFESSIONNELLE -MSP- HABILITATION DE L ARCHITECTE DIPLÔMÉ D ÉTAT À EXERCER LA MAITRISE D ŒUVRE EN SON NOM PROPRE

Plus en détail

L écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon

L écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon L écosystème de l ESS en Languedoc-Roussillon Debate 7. Muriel Nivert-Boudou DG Cress LR www.cresslr.org www.coventis.org Bref historique de l ESS en France L Economie sociale est née et a pris son essor

Plus en détail

CAHIER DES CHARGES : CERTIFICATION NF X 50 770 PEPINIERE D ENTREPRISES

CAHIER DES CHARGES : CERTIFICATION NF X 50 770 PEPINIERE D ENTREPRISES Communauté de Communes de la Lomagne Gersoise CAHIER DES CHARGES : CERTIFICATION NF X 50 770 PEPINIERE D ENTREPRISES 1 Février 2012 PRESENTATION MAITRE D OUVRAGE ET CONTEXTE Présentation Communauté de

Plus en détail

Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export

Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export Fiche-action n 5.1 Accompagner les chefs d entreprise dans la définition de leur stratégie d export ACTION : - Nature (nationale/régionale) ; - Descriptif du contenu (éventuelles sous-actions ou phases

Plus en détail

Organisation générale

Organisation générale LE MASTER MARKETING ET COMMERCE Organisation générale Le Master Marketing et Commerce a pour objectif de former des spécialistes de la relation client autour des métiers du marketing et de la vente. La

Plus en détail

Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation

Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation Pilotage de la masse salariale Déploiement de l outil de budgétisation par Jean-Michel de Guerdavid, expert pour l AFRITAC de l Ouest 1 Présentation de l outil de budgétisation 1. Utilisation de l outil

Plus en détail

Liste des propositions :

Liste des propositions : Liste des propositions : Enseignants Propositions Hamid SKOURI Thèmes pour mémoires de licence : - Thème 1- Les entreprises familiales à Fès : management, gouvernance et challenges. (Etude de cas). - Thème

Plus en détail

Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie

Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de

Plus en détail

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences

Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations

Plus en détail

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest

Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Alliance Globale pour la Résilience AGIR Sahel et Afrique de l Ouest Guide Méthodologique de Conduite du Dialogue Inclusif Pays «Formulation des Priorités Résilience Pays (PRP-AGIR)» Version Finale (Septembre

Plus en détail

Prenez en main. votre avenir! BTS-DEES-MASTER

Prenez en main. votre avenir! BTS-DEES-MASTER Prenez en main votre avenir! BTS-DEES-MASTER POURQUOI choisir?? 2? IFOPI est une école supérieure technique privée, dynamique et ambitieuse! LOCALISATION Située à Paris place de la Bastille Parfaitement

Plus en détail

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants

Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Stratégies gagnantes pour la fabrication industrielle : Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Stratégies gagnantes pour l industrie : Synthèse Jusqu ici, les

Plus en détail

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER

LEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE. www.synaphe.fr

DOSSIER DE PRESSE. www.synaphe.fr DOSSIER DE PRESSE www.synaphe.fr Contacts presse Agence Yucatan Céline BERNARD Nicolas MOUTIER cbernard@yucatan.fr nmoutier@yucatan.fr Tél. 01 53 63 27 27 SYNAPHE Bruno REBILLE Responsable Communication

Plus en détail