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1 Numéro du 4 mai 2015 Semaine de l infirmière du 11 au 17 mai 2015 Journée de l infirmière auxiliaire le 5 mai 2015 La Semaine de l infirmière et la Journée de l infirmière auxiliaire visent à mettre en valeur vos professions et à apprécier votre contribution dans notre organisation. Nous voudrions vous remercier et souligner l excellence des soins que vous prodiguez tous les jours. En cette occasion spéciale, prenez le temps de reconnaître votre apport exceptionnel pour la qualité et sécurité des soins à nos patients.» À gauche : Céline E. Gervais, cadre supérieure à la Direction des services cliniques et à la Direction des soins infirmiers À droite : Robin-Marie Coleman, cadre supérieure à la Direction adjointe des soins infirmiers Au menu RALENTISSEMENT DES ACTIVITÉS Ce qui est prévu pour l été EXPÉRIENCE PATIENT Mourir à l hôpital SANTÉ MENTALE Prenez une pause le 6 mai! APPROCHE ADAPTÉE À LA PERSONNE ÂGÉE Vieillissement du système musculosquelettique PROCHAINE PARUTION Semaine du 1 er juin 2015 Date de tombée : 22 mai 2015 Des activités pour souligner l engagement dans la qualité des soins Des activités auront lieu au cours de la semaine dédiée aux soins infirmiers afin de remercier le personnel de son travail. Les cadres supérieures à la Direction adjointe des soins infirmiers et les membres du conseil exécutif des infirmières et infirmiers (CII) et du comité des infirmières et infirmiers auxiliaires (CIIA) se rendront dans chaque unité de soins : Équipes de jour : le 12 mai en après-midi Équipes de soir : le 7 mai Équipes de nuit : le 8 mai Une conférence de M e Jean-Pierre Ménard est également prévue (voir page 4).

2 Changement de notre image Depuis le 1 er avril, le CHUS fait partie du Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l Estrie CHUS (CIUSSS de l Estrie CHUS). Ce changement s accompagne d une nouvelle identification visuelle (notre image). Nous sommes en attente du Programme d identification visuelle (PIV) pour toutes les normes concernant notre CIUSSS. Ce programme nous sera fourni par le Secrétariat du Conseil du trésor. Voici les informations et orientations que nous possédons actuellement. Tous les outils qui suivent se trouvent dans l intranet Outils de travail Logo, papeterie et modèles. Logo Toutes les communications doivent désormais être faites avec le logo du CIUSSS de l Estrie CHUS. Communications à l externe Nous avons un papier à lettres temporaire. Sous le logo, vous devez indiquer une des installations suivantes : Hôpital Fleurimont, Hôtel-Dieu de Sherbrooke ou Édifice Murray. N oubliez pas de compléter le bas de page pour les coordonnées. Il est très important de ne pas modifier ce modèle (taille et type de police ou logo). Vous serez avisés dès que nous aurons reçu le nouveau PIV afin que vous puissiez faire imprimer votre nouvelle papeterie (papier à lettres, enveloppes, cartes d affaires, etc.). Entretemps, s il vous reste de la papeterie imprimée avec les anciens logos, vous pouvez l écouler pour vos lettres à l interne uniquement. Vous pouvez aussi écouler vos cartes d affaires et vos enveloppes. Communications à l interne Vous trouverez dans l intranet des nouveaux modèles de message à la communauté, note de service, avis de nomination, bordereau de télécopieur, page de présentation et présentation multimédia (Powerpoint). Ajouts dans la signature courriel À moins d être un cadre dont le poste a été aboli, vous n avez pas besoin de changer votre signature courriel pour le moment. Vous pouvez changer le logo (voir comment dans l intranet). Cependant, sous votre titre, vous devez ajouter au long : Centre intégré universitaire de santé et de services sociaux de l Estrie Centre hospitalier universitaire de Sherbrooke. En-dessous, indiquez le nom de l installation (Hôpital Fleurimont, Hôtel-Dieu de Sherbrooke ou Édifice Murray). Les cadres dont le poste a été aboli ont reçu des directives concernant leur adresse courriel. Affichage extérieur Nous ne devons rien modifier pour l instant. Vous serez avisés dès que nous en saurons davantage sur le PIV. Communications et affaires publiques PROCHAINS TESTS D AJUSTEMENT DU MASQUE N95 Hôpital Fleurimont Local (aile 4, 2 e étage) Hôtel-Dieu de Sherbrooke Local 4510 (pavillon Émile-Noël) Mardi 12 mai 14 h 30 à 16 h 30 Vendredi 29 mai 14 h 30 à 16 h 30 Vous n avez pas besoin de vous inscrire, il suffit de vous présenter. Pour informations, faites le ou le Entre NOUS est publié par la Direction des communications et des affaires publiques du CHUS et de sa Fondation Publicité : , poste Rédaction et coordination : Colette Pellerin, poste Création : Quatorze Juillet design graphique Mise en page : DCAP Photographies : DCAP, Fondation du CHUS, UdeS journalentrenous.chus@ssss.gouv.qc.ca chus.qc.ca Médias et publications intranet Espaces publications Chaque collaborateur ou rédacteur a la pleine responsabilité du contenu de ses articles. Les opinions émises dans Entre NOUS n engagent en rien la direction du CHUS. La DCAP se réserve le droit d utiliser le contenu du journal Entre NOUS pour les médias sociaux du CHUS, comme les pages Facebook institutionnelles. La forme masculine est employée pour alléger le texte. 2 ENTRE NOUS 4 mai 2015

3 Nomination du Dr Tremblay au sein du CIUSSS Le Dr Stéphane Tremblay a récemment été nommé directeur général adjoint aux programmes de santé physique généraux et spécialisés du CIUSSS de l Estrie CHUS. Il est entré en fonction le 27 avril. Pédiatre au CHUS dès 1998, le Dr Tremblay est devenu directeur des services professionnels et codirecteur des services cliniques en En 2014, il a été nommé directeur général du CHUS. Marie-Sophie Dion Opticienne Sherbrooke Montréal Saint-Lambert Laval «Au cours de ces 14 derniers mois, j ai rencontré des gens généreux et engagés dont les tâches étaient liées aux aspects cliniques, bien sûr, mais aussi aux volets de soutien technique et administratif, aux communications, aux installations matérielles, à la logistique, aux services alimentaires, à la buanderie ainsi qu aux ressources humaines, informationnelles et technologiques, financières, etc. Ensemble nous sommes parvenus à atteindre les objectifs fixés, à travers les aléas du quotidien et les limitations budgétaires. Nous pouvons être fiers de ce que nous avons accompli», souligne le Dr Tremblay. Pour le CIUSSS de l Estrie CHUS, il aura comme responsabilité la gestion des soins infirmiers, des services professionnels, des services multidisciplinaires ainsi que des services généraux. Depuis son départ, et pour les prochaines semaines, Céline E. Gervais coordonnera les activités qui relevaient de la Direction générale du CHUS en plus d assumer toutes les tâches qui lui étaient déjà confiées à titre de codirectrice des services cliniques et directrice des soins infirmiers. Le Dr Tremblay demeure toutefois étroitement associé au Système performance du CHUS (SPCHUS). Bulletin d information sur la réforme Le CIUSSS de l Estrie CHUS a récemment créé le bulletin le lien, qui s adresse à l ensemble de sa communauté. Il a pour objectif de vous informer des changements apportés par le projet de loi no 10. Le lien paraît au moins deux fois par mois. Il est déposé dans l intranet du CHUS et est aussi distribué dans les installations du CHUS (Hôpital Fleurimont, Hôtel-Dieu de Sherbrooke et Édifice Murray). Vous trouverez des compléments d information sur la réforme en visitant le santeestrie.qc.ca. Note : ce nouveau bulletin ne remplace pas le journal Entre NOUS, qui continue pour l instant à être publié comme d habitude. 4 mai 2015 ENTRE NOUS 3

4 Semaine de l infirmière du 11 au 17 mai 2015 Journée de l infirmière auxiliaire le 5 mai 2015 Le CHUS recevra M e Jean- Pierre Ménard, conférencier de marque, avocat spécialisé dans la défense des droits des usagers du système de santé depuis 35 ans. Il nous entretiendra des aspects juridiques de la pratique en soins infirmiers et des responsabilités d être un professionnel de la santé.» M e Jean-Pierre Ménard Depuis quelques années, le rôle de l infirmière s est grandement modifié : son champ de pratique s est élargi, sa pratique s est spécialisée et complexifiée. Ces différents facteurs, et une plus grande propension des usagers à défendre leurs droits, expliquent l augmentation des poursuites judiciaires relatives aux soins infirmiers. En vertu de son statut juridique, la professionnelle en soins infirmiers doit exercer sa profession en se conformant aux dispositions législatives en vigueur. Elle doit assurer une pratique sûre, prudente, diligente et respecter les normes de soins en vigueur dans l établissement. L infirmière et l infirmière auxiliaire ne doivent pas craindre la loi, mais plutôt s y référer pour guider leur pratique et éviter d éventuelles poursuites. Comme membre d un ordre professionnel, elles doivent connaître le cadre juridique qui régit leurs professions respectives et les règlements adoptés par leur ordre provincial. De plus, chaque établissement de santé doit rédiger des normes et procédures de soins afin d encadrer la pratique infirmière et infirmière auxiliaire. Ces normes et procédures doivent être claires, précises et réalisables par l ensemble du personnel infirmier. L infirmière ou l infirmière auxiliaire qui ne les respecte pas expose les patients à des blessures ou des préjudices, et court le risque de faire l objet de poursuites judiciaires. Le professionnel qui contrevient à la loi, ou qui ne respecte pas les normes, les procédures ou politiques de soins s expose à des poursuites. La professionnelle en soins infirmiers est toujours responsable des actes. Sous forme de conférence, cette formation accréditée de deux heures abordera le cadre législatif de la profession infirmière et celle de la profession d infirmière auxiliaire, les dispositions juridiques pour assurer la protection du public et les droits des usagers. Avec plusieurs exemples, M e Ménard sensibilisera l auditoire à l importance de connaître ses responsabilités comme membre d un ordre professionnel. Nous vous attendons en grand nombre. Des coupons de tirage seront disponibles et plusieurs prix de présence seront offerts aux infirmières et infirmières auxiliaires. Conférence Les aspects juridiques de la pratique infirmière et de l infirmière auxiliaire Conférencier M e Jean-Pierre Ménard, avocat spécialisé en responsabilité médicale et hospitalière Date mardi 12 mai, Journée de l infirmière 2015 Heures et lieux 8 h 15 à 10 h 15 FM-6214 (FMSS) 13 h 45 à 15 h 45 Z (Institut de pharmacologie) 16 h 15 à 18 h 15 Z (Institut de pharmacologie) Les trois conférences seront projetées simultanément en visioconférence à l auditorium de l Hôtel-Dieu de Sherbrooke. Cette activité est organisée par la Direction des soins infirmiers dans le cadre de la Semaine de l infirmière et la Journée de l infirmière auxiliaire. Elle s adresse aux infirmières, infirmières auxiliaires et aux professeurs et étudiants des maisons d enseignement en soins infirmiers. Inscription Multi-Accès (pour le personnel du CHUS) Personnel infirmier du CHUS : 0,2 UEC Plus d informations : Emmanuel Boucher, poste ENTRE NOUS 4 mai 2015

5 Ralentissement pour la période estivale Le ralentissement des activités vise à maintenir un équilibre entre l accessibilité et la disponibilité de la maind œuvre. Fermeture du vendredi 19 juin à 16 h au mardi 8 septembre à 8 h Hôpital Fleurimont 22 lits au 4 e B 6 lits au 5 e C (pédiatrie) Hôtel-Dieu de Sherbrooke 2 lits aux soins critiques Fermeture du vendredi 19 juin à 16 h au mardi 22 septembre à 8 h Hôpital Fleurimont 12 lits semaine et fin de semaine au 8 e C + 11 lits supplémentaires la fin de semaine au 8 e C 4 lits fermés 7/7 aux soins critiques (3 e SIC et 9 e SIM) Fermeture pour une durée indéterminée Hôtel-Dieu de Sherbrooke 29 lits au 3 e A Activités au bloc opératoire Hôpital Fleurimont 22 juin au 28 août 6 salles avec anesthésie, bloc mineur ouvert Activités au bloc opératoire Hôtel-Dieu de Sherbrooke 22 au 26 juin 3 salles avec anesthésie 4 salles de chirurgie pour locale 29 juin au 24 juillet inclus 5 salles avec anesthésie générale 2 salles de chirurgie pour locale 27 juillet au 21 août inclus 4 salles avec anesthésie générale 3 salles de chirurgie pour locale 24 au 28 août inclus 5 salles avec anesthésie générale 2 salles de chirurgie pour locale Les activités régulières des blocs opératoires reprendront le 31 août. Aucun lit additionnel ne sera disponible. Direction interdisciplinaire des services cliniques INVITATION AU BBQ DE LA FINANCIÈRE 18 JUIN À 7 Vous êtes invité à partager un agréable moment de détente sur la terrasse avec notre équipe d experts en gestion de patrimoine rue King Ouest, Sherbrooke AU PLAISIR DE VOUS Y RETROUVER! Pour plus d information : lpetit@fprofessionnels.com / Bravo à Benoit et à son équipe! Lors de son congrès annuel, la Société canadienne de gériatrie a remis le prix Edmund V.Crowdy à Benoit Cossette, pharmacien au CHUS, pour un projet visant à réduire l utilisation de médicaments à haut risque pour les personnes âgées hospitalisées. À l initiative du comité médicaments de l Approche adaptée à la personne âgée (AAPA) du CHUS, ce projet a été mené par des cliniciens (résidentes en pharmacie, pharmaciens, médecins et infirmières) du CHUS et du CSSS-IUGS, en collaboration avec l Université de Montréal. Il a été subventionné en partie par le Fonds Brigitte-Perreault de la Fondation du CHUS.» Le Dr José Morais, président de la Société canadienne de gériatrie, et Benoit Cossette 4 mai 2015 ENTRE NOUS 5

6 Mourir à l hôpital Près de personnes décèdent au CHUS chaque année, soit environ trois personnes par jour. Quelque 160 décès ont lieu aux soins palliatifs. Une majorité des patients en fin de vie se trouve donc aux unités de soins aigus. Comment leur offrir des soins et conditions adaptés à leurs besoins, tout en prodiguant des soins aigus aux patients des chambres voisines? La Semaine nationale des soins palliatifs*, du 3 au 9 mai 2015, est une belle occasion d y réfléchir. Madjid Djouaher (ci-dessous), acteur de la vidéo sur l expérience patient, compose régulièrement avec cette situation dans son travail comme préposé aux bénéficiaires de l équipe volante à l Hôpital Fleurimont et à l Hôtel-Dieu de Sherbrooke. «Se préoccuper des besoins du patient et de sa famille, c est se mettre à leur place. Ça pourrait tous nous arriver et on souhaiterait être bien traité. Il faut être professionnel par l écoute, le respect, la courtoisie, la disponibilité et la responsabilité de ses actes.» Des gestes simples Utiliser les outils de la trousse de fin de vie. Parler à voix basse dans le couloir devant la chambre du patient. Si possible, offrir assez de chaises pour les proches présents. Leur apporter de l eau (lorsqu on pleure, on a soif). Faire appel aux intervenants en soins spirituels dès que possible pour évaluer les besoins des patients/ proches et les accompagner. Il y a aussi la considération des décisions relatives à la fin de vie, entre autres le code d intensité, le don d organes, etc. Des questions délicates qui ont besoin d être abordées de façon délicate. S assurer d avoir une approche concertée avant d en parler aux proches est un élément important. Par exemple : qui aborde la fin de vie avec le patient et quand. Trousse de fin de vie Une majorité des unités de soins aigus a reçu une trousse de fin de vie. Elle contient des outils utiles pour le personnel et les proches, dont une affiche de colombe à apposer sur la porte du patient, un guide à l attention des proches, un lecteur CD, un CD de musique apaisante et une lampe. Sabrina Marois-Gagnon Coordonnatrice du comité des usagers Cynthia Raymackers Conseillère expérience patient Intranet Espace clinique Expérience patient chus.qc.ca experience-patient *Association canadienne de soins palliatifs : Le personnel était exceptionnel, mais on était conscients que l on n était pas dans une unité destinée à la fin de vie Bien des questions se bousculaient dans notre tête, mais on savait que le personnel était occupé, alors on n osait pas trop déranger. C était difficile d entendre l intercom, les cloches, les conversations dans les corridors, quand pour nous, la terre avait arrêté de tourner. - Témoignage d un proche d un patient décédé au CHUS 6 ENTRE NOUS 4 mai 2015

7 Respecter les principes PDSB même dans les secteurs les plus inusités Quand on pense à un accident de travail dans le secteur de la santé mentale, on pense très souvent à un accident survenu lors d une intervention oméga. Pourtant le risque de blessures musculosquelettiques est également présent lors de mobilisations régulières telles que : l accompagnement à la marche, l assistance au bain, la mobilisation au lit (tourner ou remonter), le transfert du lit vers le fauteuil, etc. La réalité des lieux physiques du secteur de la santé mentale est évidemment un enjeu important lors des mobilisations : lit fixé au sol très bas et collé au mur, baignoire au sol ou avec un rebord très haut (thérapeutique), espace exigu avec mobilier fixe (salle iso). La prise de médicaments peut aussi altérer les capacités physiques du patient et le rendre amorphe ou désorienté. Cet état augmente donc les risques de chute ou la noncollaboration du patient. Ce sont des réalités auxquelles les travailleurs de la santé mentale doivent faire face au quotidien. Afin de sensibiliser et mettre à jour les connaissances des intervenants en santé mentale, les formateurs PDSB ont développé des capsules de formation PDSB spécialement pour ce secteur. Les formations adaptées à cet environnement particulier permettront de réduire le risque de blessures musculosquelettiques. Si vous désirez obtenir plus d informations sur les formations PDSB spécifiques à votre secteur, communiquez avec vos formateurs, Guy D. Bilodeau (poste du lundi au jeudi) ou Audrey Simard (poste les mardis). Vos formateurs PDSB Semaine nationale des techniciens et technologistes de laboratoire médical La Semaine nationale des techniciens et technologistes de laboratoire médical a eu lieu du 20 au 24 avril derniers. Pour mieux faire connaître leur travail, un kiosque d information a été aménagé dans un local de la cafétéria de l Hôpital Fleurimont. Cette vitrine a permis de démystifier cette belle profession qui met ses connaissances au profit des patients. Les techniciens et technologistes médicaux sont détenteurs d un diplôme d études collégiales en technologie d analyses biomédicales décerné après trois ans d études (au Québec, onze cégeps offrent ce programme). Bien qu ils n aient pas toujours l occasion de rencontrer le patient, leur habilité, leur intégrité et leurs compétences leur permettent de jouer un rôle important dans l établissement du diagnostic, du choix du traitement et du suivi thérapeutique. Les techniciens et technologistes médicaux travaillent dans les laboratoires de centres hospitaliers, les laboratoires privés, les centres de prélèvement, les centres de recherche, l industrie pharmaceutique et les institutions d enseignement collégial et universitaire. 1 De par leur expertise, ils sont heureux de contribuer au mieux-être de la population du Québec. Nous profitons de ce moment pour remercier toute l équipe des laboratoires de la biologie médicale pour son bon travail. Sans elle, nous ne pourrions offrir à notre clientèle les services de qualité auxquels elle a droit! L équipe de gestion du Programme-clientèle de la biologie médicale 1 Référence : Ordre professionnel des technologistes médicaux du Québec 4 mai 2015 ENTRE NOUS 7

8 Chantier d attraction, de rétention et d engagement Vent de fraîcheur sur le programme d orientation du nouveau personnel infirmier Depuis janvier 2015, plus de 50 nouvelles infirmières ou CEPI embauchées au CHUS ont bénéficié d un programme d orientation complètement révisé. Plus dynamiques et interactives, les activités de formation s appuient sur des mises en situation cliniques reproduisant un épisode de soins complet, par exemple une personne hospitalisée pour un diabète débalancé, un problème cardiaque ou un problème de santé associé à un comportement perturbateur. Différentes stratégies facilitent l apprentissage dans l action : Ecos, vidéos, jeux de rôles et pratiques de méthodes de soins. Ces activités «laboratoire» se déroulent au centre d apprentissage de l Hôtel-Dieu de Sherbrooke. La formation est dispensée par une équipe de préceptrices et précepteur débordant d énergie. L approche réflexive préconisée stimule les échanges et favorise le développement du jugement clinique des participants réunis en groupes de huit à dix. Pour le début de la période estivale, trois infirmières en développement clinique (ICDC) se joindront à l équipe. Depuis janvier 2015, l évaluation de ces activités a démontré un taux de satisfaction générale de 97,5 % envers le nouveau programme. De plus, 95 % des participants affirment qu il leur a permis de développer des liens solides avec leurs collègues et le précepteur tandis que 97,5 % d entre eux se considèrent bien outillés pour débuter leur travail dans une unité. Un énorme merci à tous les acteurs de ce changement qui contribuent activement à améliorer l accueil des nouvelles ressources ainsi qu à développer leurs compétences professionnelles. Francine Royer et Frédéric Grondin Conseillers cadres cliniciens Semaine du don d organes et de tissus Plus de 500 personnes sensibilisées au signalement Quelque 210 personnes ont assisté à la conférence Le coroner, un allié en don d organes et de tissus! présentée par le Dr Gilles Sainton, coroner, durant la Semaine du don d organes et de tissus. Plus de 325 personnes ont participé au jeu-concours aux kiosques-midi aux cafétérias, lors des tournées des unités de soins ou avant la conférence-midi. Merci d avoir suivi ces différentes activités de sensibilisation. Deux points ressortent de cette semaine : le Dr Sainton a rappelé les situations pour lesquelles certains décès (mort violente, cause inconnue, etc.) doivent être signalés au bureau du coroner. Les professionnels de la santé doivent aussi obligatoirement signaler tous les donneurs potentiels à Héma-Québec (dons de tissus) ou à l infirmière-ressource qui avisera Transplant Québec 8 ENTRE NOUS 4 mai 2015» L équipe de garde, 24 h sur 24, 7 jours sur 7 (dons d organes). Pour vous aider à identifier les donneurs potentiels ou obtenir les réponses au jeu-concours, allez dans l intranet Espace clinique Soins infirmiers Dons d organes et de tissus. 1 re rangée : Julie Blanchette, Annie Chouinard et le Dr Frédérick D Aragon. 2 e rangée : Christine Chabot, Samantha Houde, Véronique Leblond et Vicky Perreault. Absente : Chantal Langevin Jeu-concours tirage Les gagnants du tirage sont : Stéphane Fortin, SIM, Daniel Houle, SI HD, Renée Bouchard, 4 e B, Karl Fortier, 4 e A-B, Julie Lebel, bloc opératoire, Josée Huard, cliniques externes, et Renée Lafrenière, banque de sang. Merci à Josée Parenteau et Sonia Maheu et à nos commanditaires : Hôtel Le Président, Héma- Québec, Avon et SPA Algua- Sulis.

9 La future relève en visite! Le 16 avril dernier avait lieu une journée toute spéciale pour nous et pour des étudiants provenant d écoles secondaires de la région. En effet, la journée Les jeunes explorateurs d un jour, préparée de façon très dynamique, nous a permis de recevoir 30 étudiants qui ont pu faire connaissance avec plusieurs professions de la santé et peut-être même (nous l espérons!) choisir une future carrière. En avant-midi, les étudiants ont visité deux plateaux techniques comme l urgence, la réadaptation, l oncologie-chimiothérapie, l imagerie médicale, les laboratoires - pathologie et le secteur mère-enfant. En après-midi, chaque étudiant a été jumelé avec un parrain ou une marraine pour découvrir en profondeur la profession de son choix. Bravo à tous les participants qui ont fait de cette journée une activité des plus enrichissantes et stimulantes! Un merci spécial au comité organisateur Alain Choquette, Nathalie Sheehan, Hélène Rodrigue, Nathalie Fortin, Alain Thivierge, Joannie Bruneau, Monique Désilet, Claudie Gagnon, Catherine Boucher et Danika Lacroix. Un merci spécial aux parrains - marraines et aux employés ambassadeurs lors des visites aux plateaux techniques Mario Couture, Johanne Picotte, Marie-Ève Plante, Kevin Goyette, Isabelle Doucet, Marie-Andrée Gagné, Patrick Deschênes, Guylaine Roux, Mathieu Bernier, Josée Poulin, Pamela Fournier, Geneviève Beaudoin, Mathieu Poulin, Richard Laroche, Rosemarie Gauthier, Josianne Tremblay, Annick Delacroix, Christine Lafond, Janie Belhumeur, Sonia Routhier, Emmanuelle Beaudin, Sonia Gosselin, Khadidja Hamidi, Patrick Bélanger, Christelle Faucher, Annie Bolduc, Johanne Roy, Lise Mascolo, Andrée Ouellette, Flore Béland, Micheline Gagné, Lorry Normandin, Valérie Clément, Sonia Routhier, Gaétan Roy, Mélanie Fauteux et Christian Houde. L équipe de recrutement EXPÉRIMENTÉ, COMPÉTENT, EFFICACE & AVANT-GARDISTE / EQUIPEBLIMMOBILIER@GMAIL.COM GROUPE SUTTON-IMMOBILIER ESTRIE COURTIER IMMOBILIER AGRÉÉ, RÉSIDENTIEL, COMMERCIAL LIETTE BOUCHARD PHILIPPE BEAUBIEN STÉPHANIE LAMONTAGNE 4 mai 2015 ENTRE NOUS 9

10 Assemblée générale réussie! C est avec enthousiasme et fierté que s est déroulée l assemblée générale annuelle du conseil multidisciplinaire les 20 et 26 mars derniers, sur les deux sites de notre grande organisation. Nous avons dressé le bilan de nos diverses activités et, suivant la mise en place du CIUSSS de l Estrie, nous avons fait le point sur les travaux pendant la transition quant aux fonctions et mandat de notre conseil professionnel. L évènement a aussi permis de mettre en lumière l engagement, le dévouement et le professionnalisme de nos membres par le biais de la remise de Prix Reconnaissance. À l honneur, des professionnels considérés comme personnes-ressources, comme membres de la relève, se distinguant par leurs initiatives et leur implication ainsi que par leur accessibilité et leur dynamisme. Voici certains de nos lauréats. Ne ratez pas la prochaine édition du journal Entre NOUS pour connaître l ensemble des professionnels ayant reçu un Prix reconnaissance. Encore félicitations aux candidats et bonne continuité! Votre CM» Prix Engagement pour l équipe de biochimie» 1 re rangée : Sébastien Couture Bergeron 2 e rangée : de gauche à droite, Pierre-Étienne Fillion, Joannie Bruneau, Mélissa Côté, Mélanie Desrochers, Marielle Brochu, Marie Goulet, Nicole Lavoie, Karine Asselin et Julie Lamontagne 3 e rangée : de gauche à droite, Kevin Goyette, Jonathan Lachance, Alexandre Laplante, Diane Bercier, Chantal Ouellet, Mélanie Therriault, Lise Jacques, Isabelle Rinfret, Mario Couture et Vicky Blouin Prix Implication pour les membres de l exécutif du conseil multidisciplinaire De gauche à droite : Kathleen Lavigne, Julie Bélanger, Janie Belhumeur, Francine Adam, Suzanne K.Bédard, Julie Caya et Jean Delisle Un auteur parmi nous Le Dr Arnaud Gagneur, pédiatre au CHUS, a récemment publié un livre pour enfants : Akida & Nooka, les enfants rois La légende des hommes oiseaux (tome 1). Ce conte (initialement écrit pour ses propres enfants) évoque la sagesse des anciens et celle des plus jeunes, ainsi que les liens qui se tissent entre les générations. Ce livre est disponible à la Biblairie GGC et chez Renaud-Bray. Prix André Ghibely Le 20 avril, le Service d orthopédie remettait le prix André Ghibely à l étudiant de médecine ayant obtenu la meilleure note lors de la phase d enseignement du système locomoteur. Cette année, la récipiendaire du prix (d une valeur de 500 $) est Audrey Roy. Le Dr Ghibely a pratiqué la chirurgie orthopédique durant presque 30 ans au CHUS. Il a occupé, en» Le Dr François Cabana, directeur du Service d orthopédie, remettant le prix André Ghibely à Audrey Roy, étudiante de 2 e année en médecine. simultané, la direction du service et du programme pendant près de 10 ans. Il a aussi dirigé l unité du système locomoteur et a laissé en héritage le guide L essentiel de l anatomie, plus familièrement appelé Le Ghibely. 10 ENTRE NOUS 4 mai 2015

11 La communication au cœur du travail des orthophonistes et audiologistes Le mois de mai en est un de renouveau après cet hiver pénible, mais il est aussi le mois de la communication. À cette occasion, les professionnels de la santé spécialistes de la communication, soit les orthophonistes et les audiologistes du Programme-clientèle mère-enfant, en profiteront pour vous partager quelques informations sur leur profession respective, leurs tâches au CHUS ou sur tout autre sujet ayant trait à leur domaine. Tout d abord, pour débuter, il importe de définir ce qu est la communication. Selon le dictionnaire Larousse, la communication c est l action de communiquer, de transmettre quelque chose à quelqu un, d être en rapport avec autrui, en général par le langage; échange verbal entre un locuteur et un interlocuteur dont il sollicite une réponse. D une façon plus imagée, comparons le message à une balle qui est lancée entre les deux joueurs, soit le locuteur (celui qui émet le message) et l interlocuteur (celui qui reçoit le message). Si les deux joueurs sont face à face, que le contact visuel est présent et que la balle est lancée dans la bonne direction avec la bonne force, l interlocuteur sera en mesure de bien l attraper et le jeu suivra son cours de façon agréable. Il est aussi possible que la balle soit lancée moins précisément, mais que le joueur qui l attrape puisse se déplacer pour ainsi compléter l attrapé. Il s est adapté pour mener à terme le jeu. Voilà une communication efficace durant laquelle un message a été transmis correctement. Parfois, le lanceur échappe la balle et doit reprendre son lancer : c est ce qui se produit quand un message doit être répété pour arriver correctement au receveur. Par contre, si la balle est piquante ou glissante, il est possible que le locuteur peine à la lancer et que le receveur ne puisse l attraper correctement. Voilà ce qui survient quand le message n est pas clair, en raison d une barrière de la langue, de difficultés langagières (retard et/ou trouble du langage), trouble de la parole ou d un trouble de la voix. De plus, si les deux joueurs ne se regardent pas, qu ils ne s assurent pas que le message (balle) est bien rendu, que les tours de rôle ne sont pas respectés ou que le rythme de l un et l autre soit différent, il y aura un bris de communication comme il est souvent observé chez les personnes atteintes d un trouble du spectre de l autisme (TSA). Finalement, si la balle parvient au receveur mais qu il ne peut l attraper, le À l écoute de vos besoins Votre conseiller analyse vos besoins et vous accompagne tout au long de votre vie. Assurance vie et invalidité Assurance en cas de maladie grave Assurance accidents Épargne-retraite (REER) Épargne-études (REEE) Épargne libre d impôt (CELI) Placements Incorporation professionnelle Votre partenaire de confiance. Marc Alarie, B.A.A. (finance) Conseiller en sécurité financière 2655, rue King Ouest Bureau 137 Sherbrooke (Québec) J1L 2G4 Tél. : , p. 239 Sans frais : Téléc. : marc.alarie@agc.inalco.com message ne sera pas transmis efficacement à cause de difficultés langagières ou d atteintes auditives (baisse d audition, surdité, etc.). Il en revient aux orthophonistes et aux audiologistes d intervenir afin de s assurer de la transmission efficace du message. Une définition plus précise des tâches de l orthophoniste et de l audiologiste au CHUS est disponible auprès des professionnels. Janie Belhumeur orthophoniste P12068S 4 mai 2015 ENTRE NOUS 11

12 L interdisciplinarité au CRI volet affectif en santé mentale Un défi et une valeur ajoutée! Le mandat du centre de rétablissement intensif (CRI) en santé mentale est de soutenir la transition entre la prise en charge du patient présentant une souffrance psychologique aiguë et sa «propre prise en charge». Parmi les services offerts, il y a un hôpital de jour où travaille une équipe interdisciplinaire composée de sept professionnels de la santé. Partant des évaluations et de la contribution de chacun, l équipe conçoit un plan d intervention individualisé tenant compte des forces, des limitations et des objectifs de rétablissement des patients. L ensemble des intervenants anime des activités, des ateliers ou des séances de psychothérapie, en individuel ou en groupe. Chaque professionnel juge également de l évolution du patient en fonction de ses objectifs et ajuste le plan d intervention tout au long du suivi. Pour optimiser le processus de rétablissement, nous utilisons l expertise professionnelle de tous les membres de l équipe. La pratique de l interdisciplinarité comporte des défis, car elle nécessite une communication ouverte entre les professionnels impliqués et le respect de leurs propres connaissances et expertises. Travailler en interdisciplinarité demande une convergence des savoirs ainsi qu une ouverture sur les qualités personnelles et professionnelles de chacun. Le patient, pour sa part, fait partie intégrante de l équipe dans l atteinte de ses objectifs personnels. Psychiatre Procède à une évaluation complète incluant une histoire psychosociale, un examen mental, un bilan biologique et des examens d imagerie médicale appropriés. Évalue, diagnostique et traite chaque patient d un point de vue pharmacothérapeutique et psychothérapeutique dans une vision intégrative, en tenant compte des besoins spécifiques. Infirmières psychothérapeutes Évaluent quotidiennement la condition physique et mentale du patient. Elles exercent donc une surveillance de l état de santé du patient selon les principes du rétablissement : pharmacologie (effets positifs ou négatifs de la médication), application des ordonnances médicales et surveillance des paramètres physiologiques. Psychologue Procède à l évaluation du fonctionnement psychique du patient et peut émettre des diagnostics psychologiques. Identifie, recommande et instaure les processus visant le rétablissement de la santé mentale chez le patient, à l intérieur du cadre psychothérapeutique. Psychoéducateur Évalue les difficultés d adaptation et les capacités adaptatives des patients selon les caractéristiques de leurs environnements, pour les rétablir ou de les développer afin de favoriser un équilibre optimal. Travailleuse sociale Évalue le fonctionnement social de la personne pour faire ressortir ses ressources personnelles, familiales, matérielles et sociales ainsi que l interaction que le client entretient avec elles. Intervenante en loisirs Utilise l activité physique pour aider le patient à mettre en action certains objectifs spécifiques et les transposer dans sa vie personnelle à travers le médium de l activité physique et des saines habitudes de vie. Patient S engage à travailler sur ses objectifs de rétablissement personnels. Annie Laliberté Chef de soins et services du secteur ambulatoire en santé mentale adulte» Assises : Martyne Arsenault, technicienne en loisirs, Anick Ouellet, infirmière psychothérapeute. Debout : Anne-Marie Pothier, externe médicale, Maryse Roy, travailleuse sociale, Mathieu Girard, psychoéducateur, Mylène Lefevbre, psychologue, Linda St-Onge, infirmière psychothérapeute et la Dre Muriel Mury, psychiatre 12 ENTRE NOUS 4 mai 2015

13 La pause, importante pour la santé mentale Le rythme effréné de la vie d aujourd hui fait en sorte que nous prenons peu de pauses. Tout doit toujours être fait vite et pour hier! Pourtant, les bénéfices qu apportent les pauses sont indéniables : se ressourcer, recharger nos batteries tant au plan psychologique que physique, se recentrer sur l essentiel. Une étude a même démontré que lorsque les travailleurs ont le temps de prendre une pause et de manger convenablement, ils présentent moins de symptômes de détresse psychologique, d épuisement émotionnel et de dépression 1. Puisque cinq des dix principales causes d invalidité relèvent de problèmes de santé mentale, s accorder des pauses devient une action préventive. Prenons tous une pause le 6 mai! L équipe de santé mentale du pavillon Émile-Noël vous convie à une pause le 6 mai sur l heure du dîner, en face de la cafétéria de l Hôtel-Dieu de Sherbrooke, dès 11 h. Sur place, des kiosques de CHUS-Énergique du Programme d aide aux employés, de l APPAMM-Estrie, et des massages sur chaise (1 $ la minute). De plus, des œuvres créées par des patients en santé mentale (grâce à un don de la Fondation du CHUS), seront exposées à l entrée de la cafétéria. Vous êtes invités à voter pour votre toile «coup de cœur» et ainsi donner la chance à trois de nos patients de remporter un prix. Concours Un tirage ouvert à tous aura également lieu à la cafétéria de l Hôtel-Dieu de Sherbrooke. Vous pourriez gagner une trousse du CHUS-Énergique et des DVD de relaxation. Si vous ne pouvez venir, remplissez le questionnaire cidessous et faites-le parvenir avant le 14 mai (tirage le 15 mai). Au plaisir de vous rencontrer à la pause! L équipe d éducateurs spécialisés en santé mentale, en collaboration avec CHUS-Énergique 1 Soares, A. (2014). Le temps d une pause : la santé et le travail (in) humain. École des sciences de la gestion : UQAM Vrai ou faux CONCOURS CAMPAGNE «PRENEZ UNE PAUSE» 1. Rire réduit la pression artérielle, améliore la circulation sanguine et l oxygénation du muscle cardiaque. 2. Le cortisol, ou l hormone du stress, est produit par le cortex cérébral. 3. Les hommes sont plus à risque de développer des problèmes de santé mentale. 4. Est-ce vrai que la santé mentale est liée à la fois aux valeurs collectives dominantes dans un milieu donné qu aux valeurs propres à chaque personne? 5. Un Canadien sur 100 souffrira d une maladie mentale au cours de sa vie. Nom : Titre d emploi : Secteur : Numéro de poste pour vous joindre : Envoyer à Brigitte Pinsonneault, Hôtel-Dieu, local 6520, pavillon Émile-Noël. Merci! 4 mai 2015 ENTRE NOUS 13

14 La solution est entre nos mains! Le 5 mai dernier, l Organisation mondiale de la santé (OMS) a célébré la Journée mondiale de l hygiène des mains. Par cette campagne annuelle, l OMS veut inciter les travailleurs de la santé à respecter davantage l hygiène des mains afin de réduire la propagation des infections nosocomiales. Même si l hygiène des mains est la mesure la plus appropriée pour prévenir les infections associées aux soins et pour éviter le développement de la résistance microbienne, il n en demeure pas moins que le personnel soignant éprouve encore des difficultés à observer cette mesure. Plusieurs études montrent que le personnel soignant peut se contaminer les mains avec des agents pathogènes en effectuant des procédures de soins «propres» ou en touchant la peau saine de patients hospitalisés. De grandes quantités de squames cutanées (petites peaux mortes) contenant des microorganismes viables sont disséminées quotidiennement, et ce, même à partir d une peau saine. Les blouses des patients, leur literie, le mobilier près de leur lit et d autres objets situés dans leur environnement immédiat sont ainsi contaminés par leur flore microbienne. Si le personnel soignant omet de pratiquer l hygiène des mains, la flore microbienne des patients risque d être transportée ailleurs et de contaminer l environnement. Actuellement, le taux global de l observance de l hygiène des mains au CHUS est de 42 %. Certains secteurs de soins ont obtenu des taux variant entre 15 et 30 %. Une infection nosocomiale se développe chez 10 % des patients hospitalisés en soins de courte durée. On estime que 50 % de ces évènements sont évitables par l application de mesures préventives comme l hygiène des mains. De là, la pertinence de la campagne de sensibilisation de l OMS qui explique les enjeux de la non-observance, tout en rappelant l importance d une bonne hygiène des mains. Quand appliquer l hygiène des mains? Chaque fois qu on entre et quitte l hôpital Avant de toucher un patient ou son environnement Avant une intervention aseptique Après un risque de contact avec du liquide organique Après un contact avec un patient ou avec son environnement Comment appliquer l hygiène des mains? En utilisant de l eau et du savon lorsque les mains sont visiblement souillées, surtout en présence de certaines maladies infectieuses comme le Clostridium difficile et la gastroentérite. En utilisant la mousse antiseptique lorsque les mains ne sont pas souillées. Elle peut être utilisée en marchant ou en parlant avec le patient. Pour votre sécurité et pour offrir des soins de qualité, choisissez d intégrer cette pratique dans votre quotidien et incitez vos collègues à faire de même. Tenons-nous le pour dit, «La sécurité est entre nos mains». Le Service de prévention et de contrôle des infections 14 ENTRE NOUS 4 mai 2015

15 OFFRE SÉLECTION NOUVEAU NOUVEAU pour les infirmiers - infirmières Desjardins a développé une offre pour les infirmiers et infirmières ainsi que pour d autres professionnels de la santé Admissibilité Le professionnel doit avoir un dépôt direct de son salaire à la caisse Avantages Compte opérations : Forfait PROFITABLE PLUS à 7,95 $/ms Carte Visa Desjardins : Remise de 50 % des frais annuels sous forme de BONIDOLLARS pour la détention d une carte Visa Or Odyssée Placement : Bonification de 0,20 % applicable sur le taux affiché pour toute épargne à terme à taux fixe d un terme de 3 ans ou plus Financement : Plusieurs avantages reliés aux différents produits de financement. Ex.: des réductions de taux, remboursement possible des frais de notaire ou d évaluation Desjardins Groupe d Assurances Générales: Tarif avantageux sur les assurances auto et habitation Vous faites partie d une autre association de professionnels, informez-vous à votre conseiller! Une offre pourrait aussi s adresser à vous. NOUS POUVONS VOUS SIMPLIFIER LA VIE... A.R.Turgeon ont plus de 30 ans d expérience dans la vente et l installation de portes et fenêtres et en rénovation. Nous offrons plus de 75 modèles de portes et fenêtres en demonstration dans nos deux salles de montre. Nos produits sont diversifiés et fabriqués avec les plus hauts standards de qualité dans l industrie des portes et fenêtres offrant de solides garanties , 12 e Avenue Nord Sherbrooke (Québec) J1E 4J6 Tél. : , rue Sherbrooke Magog (Québec) J1X 2S4 Tél. : R.B.Q Transport externe des patients Un guichet unique pour mieux répondre aux besoins Au début de l été 2013, la direction a implanté un guichet unique pour recevoir et gérer les demandes de transport de patients émanant des unités de soins. Ce guichet a l avantage de consolider les pratiques de transport externe normées par le MSSS et ainsi en optimiser la gestion. Cette centralisation aide à l accessibilité et à la qualité du service à la clientèle. Elle permet aussi de dégager le personnel soignant de tâches administratives pour mieux se concentrer sur ses tâches cliniques. En plus de résorber les dépassements budgétaires ces dernières années, ce changement de pratique a généré une économie de $ l an dernier, une excellente nouvelle dans un contexte de resserrement financier. Depuis mai 2014, ce guichet relève du Service d accueil et d admission. Ouvert de jour 5 jours par semaine au début, ce service a vu sa plage horaire augmenter progressivement. Aujourd hui, le Service d accueil et d admission répond aux demandes 7 jours sur 7, 24 h sur 24. Au cours des prochains mois, d autres actions et outils seront déployés pour améliorer et faciliter la gestion de cette activité (formulaire de prise en charge du patient, campagne d information sur la responsabilité de paiement, etc.). Qu entend-on par transport externe? C est le transfert de patient entre nos deux installations (HD et HF) ou vers un autre établissement de la région. Ce transfert peut aussi se faire vers un établissement d une autre région que l Estrie, comme il peut s agir d un soutien particulier pour le retour à domicile. Le choix du transporteur (transport ambulancier, transport médical adapté, taxi ou taxi adapté) dépend de l état de santé du patient. 4 mai 2015 ENTRE NOUS 15

16 Vieillissement du système musculosquelettique Mme Richard, star des photoromans sur l AAPA* a 77 ans. Elle est hospitalisée pour chute et syncope en investigation. Vous lui avez remis le dépliant «Syndrome d immobilisation» pour la stimuler à bouger, car elle était réticente à se lever par crainte de tomber à nouveau. Vous lui avez expliqué que le déconditionnement peut conduire au syndrome, engendrer des complications graves (cardiaques, pulmonaires, rénales, musculosqulettiques) et même causer le delirium. Ce qui la mettrait davantage à risque de chuter. Pour qu elle puisse retourner chez elle en forme et maintenir son autonomie, elle doit bouger le plus souvent possible. Elle vous pose plusieurs questions reliées à son âge : «Est-ce normal à mon âge» de «rapetisser»? Le vieillissement normal provoque un tassement des vertèbres et une diminution de la hauteur des disques. Cela diminue la taille de la personne. Ce serait anormal en présence de douleur qui pourrait indiquer une fracture. de ne plus marcher aussi longtemps qu avant? Le vieillissement normal entraîne une diminution du nombre de fibres musculaires. Ceci réduit de 40 à 60 % la force musculaire, occasionne de la fatigue musculaire et diminue l endurance. Si la personne âgée demeure active, ces effets se font moins sentir. Ce serait anormal s il y avait une incapacité à marcher ou à effectuer les soins personnels habituels. qu on m ait prescrit du calcium et de la vitamine D? Le vieillissement normal cause une diminution de la densité osseuse en calcium de 30 à 40 %. Cela diminue la résistance de l os et peut augmenter le risque de fracture avec ou sans traumatisme. Des suppléments sont nécessaires pour minimiser ces risques. La présence d ostéoporose, de douleurs osseuses et de fractures spontanées sont anormales. d être plus lente à me mobiliser et à effectuer mes soins personnels? Le vieillissement normal entraîne une diminution de la souplesse, de l amplitude articulaire, de la coordination et de la dextérité fine, pouvant limiter les mouvements et augmenter le temps nécessaire pour effectuer une tâche. La présence d arthrose et d arthrite peuvent occasionner cette lenteur et représentent des pathologies courantes, pouvant être associées à l âge avancé. d être plus à risque de tomber? La diminution de la coordination, de l équilibre, des réactions réflexes et le ralentissement du temps de réaction peuvent augmenter la vulnérabilité aux chutes. Il serait anormal de tomber ou de faire des quasi-chutes à répétition. Le risque zéro de chute n existe pas, mais lorsque l on chute, il faut identifier les causes et tenter de les éliminer. Satisfaite de vos réponses, Mme Richard vous demande de lui apporter ses pantoufles (avec semelles antidérapantes) et sa robe de chambre. Elle désire s installer au fauteuil pour faire des mots-croisés. Afin de faciliter une mobilisation sécuritaire, vous abaissez son lit, dégagez l espace pour favoriser la circulation dans la chambre et évaluez la nécessité de mettre une marchette à sa disposition. Vous vous rappelez que les chutes surviennent souvent lors des déplacements dans la chambre ou vers la salle de bain. *Voir intranet Espace clinique AAPA 16 ENTRE NOUS 4 mai 2015

17 Des nouvelles de l UÉTMIS Dans le cadre des compressions budgétaires qu a subi le CHUS pour l année financière , un groupe de travail a été créé pour revoir les dépenses du secteur d angiographie. Dans ce contexte, l Unité d évaluation des technologies et des modes d intervention en santé (UÉTMIS) a reçu le mandat de produire une analyse coûtefficacité du ballon médicamenté pour le traitement des maladies artérielles périphériques. Les conclusions de l évaluation ont mené l UÉTMIS à recommander la poursuite de l utilisation du ballon médicamenté au CHUS telle qu actuellement déployée. Parallèlement à cette évaluation, l UÉTMIS a reçu le mandat du Programme-clientèle soins cardiopulmonaires de procéder à une analyse coût-efficacité de l utilisation sans restriction des endoprothèses coronariennes médicamentées (stents) de seconde génération. L utilisation de ces endoprothèses était jusqu alors restreinte en raison de leur coût élevé. L analyse de données récentes a permis à l UÉTMIS de recommander un arrêt de leur restriction d utilisation. Stage Pour une troisième année consécutive, l UÉTMIS accueillera un stagiaire du Centre d études et de recherches sur le développement international (CERDI), et ce, pour une durée de quatre mois. Détenteur d une formation médicale en chirurgie cardiovasculaire de l Université Cheik Anta Diop du Sénégal, Wilfried Gandji collaborera à la réalisation d une revue de la littérature visant à recenser les critères sur lesquels se basent les prises de décision des gestionnaires. Ces travaux auront pour but d améliorer l impact des recommandations de l UÉTMIS. AVANTAGES EXCLUSIFS AUX EMPLOYÉS ET RETRAITÉS DES SERVICES DE LA SANTÉ Linda Simard Agente en assurance de dommages Assurance Simard Maheu Cabinet en assurance de dommages JUSQU À 19 % DE RABAIS EXCLUSIF ADDITIONNEL sur vos assurances auto, habitation et véhicules de loisirs parce que vous êtes employé du lacapitale.com/chus d être là au quotidien pour nous et nos familles Affilié à : En tout temps, seul le contrat d assurance précise les clauses et modalités relatives à nos protections. Certaines conditions et exclusions s appliquent. Pour qui l arthroplastie du genou estelle efficace? Bien que l arthroplastie du genou soit considérée efficace pour une proportion importante de patients, de récentes données démontrent que plusieurs d entre eux n ont pas les résultats escomptés suivant l opération. Quels sont les facteurs associés à ces échecs? Peut-on identifier ces patients en préchirurgie? Et comment améliorer les résultats? Le Dr François Desmeules, professeur à l École de réadaptation de la Faculté de médecine de l UdeM et chercheur au Centre de recherche de l Hôpital Maisonneuve- Rosemont, tiendra une conférence sur le sujet. Quand le 12 mai 2015 Où auditorium, local 2458 de l Hôpital et Centre d hébergement d Youville Heure 12 h à 13 h Conférence organisée par le Centre de recherche sur le vieillissement du CSSS-IUGS. Pour information : mai 2015 ENTRE NOUS 17

18 «Merci de rester centrés sur l essentiel : l usager» Tel est le message-clé porté par la haute direction du CIUSSS de l Estrie CHUS dans cette période mouvementée. Voici des exemples d efforts d intégration des usagers en amélioration continue ces dernières années. Ultimement, ce que nous souhaitons, c est l intégration des usagers dans le cycle d amélioration continue au quotidien de la performance par les caucus journaliers. Informer Dans plusieurs projets Kaizen, les patients ont été informés en cours de projets et plusieurs outils ont été développés afin de faciliter leur compréhension (aide-mémoire, dépliant, enseignement ). Écouter À chaque tournée de direction, des usagers sont rencontrés et partagent leur expérience permettant aux directeurs de soutenir leur prise de décision et la prise en compte des trajectoires. En outre, au cours de divers projets Kaizen, des usagers ont été interpellés dans les processus de validation de la pertinence des informations leur étant destinées. Discuter Un usager a participé aux ateliers de réflexion afin d améliorer l accueil et la signalisation à l urgence de l Hôpital Fleurimont. Pour les cliniques externes HD, un membre du comité des usagers a participé aux ateliers de résolution de problème favorisant la priorisation et la pertinence des solutions à mettre en place par le partage de sa vision idéale (photo). Engager Avec la révision du processus de tournée médicale au chevet, les parents en néonatologie sont maintenant invités de façon formelle à la tournée afin de participer activement aux soins de leur nouveau-né. Par ailleurs, le comité des usagers s implique dans l organisation et la participation à l évènement amélioration continue.» Jaime Borja, membre du comité des usagers, a partagé sa «vision idéale» d un rendez-vous aux cliniques externes de l Hôtel-Dieu de Sherbrooke : «Mon implication est la preuve que des usagers sont de plus en plus en demande de par leurs savoirs, différents de ceux des professionnels de la santé». À ses côtés, Catherine Forget, chef de service de la Centrale des rendez-vous et de la téléphonie. (Source : publireportage du CHUS, février 2015) L exemple de l accueil aux cliniques externes Porte 1- HD Oct Avr Amélioration Temps d enregistrement moyen 3 : 20 min 2 : 43 min 18 % Délais d attente moyen 7 min (debout) 3,5 min (assis) 50 % Retards au rendez-vous à cause des délais d attente 10 % 6 % 40 % Lucie Guérin, agente conseil en amélioration continue Vous voulez collaborer avec les usagers dans vos initiatives d amélioration continue? Communiquez avec le comité des usagers au poste Courriel : comitedesusagers.chus@ssss.gouv.qc.ca 18 ENTRE NOUS 4 mai 2015

19 SANTÉ ET SÉCURITÉ Des postes adaptés pour nos technologues en génie biomédical En mars 2010, un groupe de travail, assisté d une ergonome de l Association paritaire en santé et sécurité du travail (ASSTSAS), s est penché sur la conception d un poste de travail standard qui répondrait aux besoins des technologues du GBM tout en étant ergonomique, fonctionnel et sécuritaire. Lorsqu un équipement médical flanche, il souvent est apporté au local du GBM pour être réparé et subir les tests de contrôle appropriés. Or, il n y a pas si longtemps, les locaux du GBM à l Hôtel-Dieu étaient un labyrinthe de fils, d équipements et d appareils de contrôle au travers desquels le matériel de travail, les pièces de rechange, les outils et les appareils à réparer étaient déposés au gré des espaces disponibles (sur et sous les tables, ou même dans le corridor adjacent). Plusieurs technologues avaient des malaises de type tendino-musculaire à force de se pencher et se contorsionner pour réparer les équipements. Le nombre des technologues augmentant et le travail nécessitant maintenant un poste informatique, les contraintes d espace se sont amplifiées. À ces contraintes s ajoutaient des risques importants de sécurité liés à la manipulation de lasers et de Rx dans des zones de travail non conçues à cette fin. Le dépoussiérage des pièces était aussi une problématique à cause de la ventilation désuète et insuffisante. Tout un changement! Tous les technologues du CHUS ont été consultés. Après de multiples essais et simulations, il a été conclu que des postes en «L» conviendraient. Une section serait dédiée au poste informatique et une autre section serait ajustable en hauteur pour déposer les équipements à réparer à la hauteur optimale. Des espaces de circulation suffisants ont été prévus, ainsi que des zones pour ranger les chariots utilisés par les technologues quand ils ont à se déplacer aux étages. Une fois testé et validé, le prototype a servi d unité de base aux architectes dans le projet de réaménagement de l ensemble du local, terminé en juillet Des locaux voisins ont également été libérés à proximité afin d aménager une réserve ultra-organisée pour les pièces, les outils et les équipements en attente. Un autre petit local a été réaménagé pour le dépoussiérage, avec un espace plombé pour l utilisation sécuritaire des Rx et des lasers. En plus d avoir un impact tangible pour la santé et la sécurité du personnel, le réaménagement des locaux du GBM a permis d augmenter l efficacité et la qualité des services. Bravo à toute l équipe ainsi qu à nos partenaires des services techniques et des installations matérielles qui ont participé au projet! René Chapdelaine, coordonnateur Guy Brûlotte, coordonnateur Dominique Gauthier, chef de service du GBM Suzanne Pronovost, hygiéniste du travail, Service de santé des personnes et des groupes» Avant» Après 4 mai 2015 ENTRE NOUS 19

20 Un printemps riche en découvertes! La formation professionnelle et l auto-évaluation de la pratique clinique en obstétrique seraient efficaces pour réduire les taux de césariennes, contribuant ainsi à une meilleure santé et à de meilleurs services pour les mamans et leurs bébés. C est ce que démontre l étude QUARISMA (qualité des soins, gestion du risque obstétrical et du mode d accouchement au Québec) menée par le chercheur Nils Chaillet, Ph. D. et publiée dans la revue scientifique The New England Journal of Medicine le 30 avril dernier. L étude démontre une diminution significative du taux de césariennes dans le groupe intervention (de 22,5 % à 21,8 %) contre une augmentation dans le groupe contrôle (23,2 % à 23,5 %). Parallèlement, les chercheurs ont observé une diminution des complications sévères chez les nouveau-nés, suggérant que la diminution du taux de césariennes est sécuritaire et que le programme pourrait contribuer à améliorer la santé des enfants.» Nils Chaillet La matriptase, enzyme intéressante pour ralentir le cancer du sein Les chercheurs Richard Leduc, Ph. D, et Éric Marsault, Ph. D, ont contribué à une étude démontrant le rôle critique d une enzyme dans la progression du cancer du sein. Publiée en avril dans le prestigieux Nature Communications, l étude rapporte que la matriptase constituerait une cible attrayante pour de nouveaux médicaments pouvant potentiellement ralentir la maladie. Richard Leduc»» Éric Marsault Au Canada, le cancer du sein est la forme de cancer la plus courante, à l exception des cancers de la peau autres que le mélanome. C est la 2 e principale cause de décès chez les Canadiennes. On estime qu en 2015, plus de femmes mourront de ce type de cancer au Canada et que nouveaux cas seront diagnostiqués. Les hommes obèses augmenteraient leurs chances d être fertiles en perdant du poids Jean-Patrice Baillargeon, M.D., rayonne à travers le monde à la suite de la diffusion d un reportage de la BBC en mars, repris par plusieurs autres médias, dévoilant les résultats préliminaires de son étude Impacts of Lifestyle and Anthropometric Changes in Male Partners of Obese Infertile Women on Couples Fertility. L étude démontre que la perte de poids chez les hommes obèses augmente leur fertilité et permet à leur partenaire de devenir enceinte plus rapidement. Les cliniciens-chercheurs Youssef Ainmelk, Bélina Carranza-Mamane, Marie-France Langlois et Marie-Hélène Pesant ont participé à la réalisation de cette étude.» Jean-Patrice Baillargeon Pour tout connaître des projets du CRCHUS, consultez notre site Internet cr.chus.qc.ca ou la page Facebook. 20 ENTRE NOUS 4 mai 2015

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