Asie du Sud. Tendances récentes
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- Marguerite Meunier
- il y a 6 ans
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1 Tendances récentes Asie du Sud La région Asie du Sud a affiché en 2007 un rythme de croissance dynamique, avec un taux de progression du PIB de 8,4 % qui marque seulement un très léger fléchissement par rapport à celui de 8,8 % enregistré en Elle continue de tirer parti de l impulsion donnée par les réformes menées ces derniers temps sur le plan budgétaire et pour l amélioration du climat des affaires. L année a vu une accélération de la consommation privée et de l investissement en dépit de politiques monétaires plus restrictives. Les dépenses privées se sont appuyées sur d importants apports de capitaux, des revenus en hausse et des niveaux soutenus d envois de fonds des travailleurs à l étranger. L amélioration de la confiance des milieux d affaires, tant étrangers (vis-à-vis de l Inde) que locaux, et la hausse des bénéfices des entreprises ont établi de solides bases pour les investissements. Pour ce qui est des dépenses publiques, elles ont vu leur progression diminuer par rapport à son niveau de 12,5 % en 2006, et cette progression s inscrit à présent dans la ligne de l activité économique globale. Ce ralentissement est principalement imputable à une forte diminution des dépenses publiques au Pakistan, qui avaient fait une montée en flèche en 2006 à l occasion des efforts de redressement et de reconstruction entrepris à la suite du séisme de décembre Parmi les grandes économies de la région, l Inde a vu la croissance de son PIB fléchir légèrement, de 9,4 % en 2006 à 9,0 % en 2007, sous l effet d un raffermissement de la demande d importations qui a placé le niveau des exportations nettes dans une situation négative encore accrue par la forte appréciation de la roupie indienne (figure A19). Au Pakistan, le taux de croissance est tombé de 6,9 % en 2006 à 6,4 % en 2007, en raison d une baisse du rythme de progression du crédit au niveau du secteur privé, d un ralentissement des apports d IDE à partir de juillet 2007, et d un affaiblissement des exportations. Au Bangladesh, le resserrement du crédit intérieur a entraîné un affaiblissement de la croissance des investissements dans le même temps où la situation des exportations nettes devenait négative, deux séries d éléments qui expliquent le léger fléchissement de la croissance à 6,5 % (contre 6,6 % en 2006). Pour Sri Lanka, une aggravation du conflit opposant les forces gouvernementales aux groupes séparatistes a assombri les perspectives dans le secteur touristique et contribué à faire baisser de 1,1 point de pourcentage la croissance, laquelle s est établie à 6,3 % en De son côté, le Népal est destiné à enregistrer une légère accélération de la croissance, de 2,3 % en 2006 à 2,5 % en 2007, grâce à l évolution du processus de paix qui a pour corollaire des hausses de l aide extérieure et une reprise progressive dans le secteur touristique. À l échelon régional, une solide demande d investissement a alimenté une croissance rapide des importations qui a atteint en moyenne 11 % par an, dépassant celle des exportations de 2,5 points de pourcentage, dans le même temps où l appréciation des monnaies engendrait également un surcroît de demande pour les importations. La progression des exportations est restée saine, avec un taux de 8,5 %, mais elle a fléchi du fait d un affaiblissement de la demande des pays à revenu élevé et des appréciations des changes réels qui ont exacerbé la concurrence sur les marchés d exportation. 23
2 Le déficit courant de la région en pourcentage du PIB s est creusé, passant de 1,3 % en 2006 à 2,4 %. Un certain nombre de pays ont vu la situation de leur compte courant s aggraver dans le courant de l année 2007, les déficits atteignant près de 5 % du PIB au Pakistan et environ 2 % en Inde. Le compte courant du Pakistan n est pas sans susciter des préoccupations, car il s est détérioré ces quatre dernières années dans une proportion équivalant à plus de 5 points de pourcentage du PIB. Mais pour l ensemble de la région, le niveau soutenu des envois de fonds des travailleurs à l étranger a contribué à limiter l ampleur de la détérioration des soldes courants. Dans beaucoup de pays d Asie du Sud, ces envois représentent une part importante du PIB, contribuant ainsi à régulariser la consommation privée tout en offrant un degré de protection contre d éventuels revers en matière d échanges extérieurs. La part relative qu ils prennent dans le PIB va jusqu à 16 % au Népal, et elle est de 9 % à Sri Lanka, 7 % au Bangladesh et 4 % au Pakistan. Et dans le cas de l Inde et du Pakistan en particulier, d importants apports de capitaux étrangers sont venus compléter ces envois, procurant à ces pays un niveau dans l ensemble confortable de financement extérieur. Les pressions inflationnistes se sont atténuées en Inde et au Pakistan au cours des trois premiers trimestres de 2007 (figure A20). En Inde, l appréciation de la roupie a contribué à réduire la hausse des prix de gros, laquelle est tombée début novembre à 3 % (sur un an), son plus bas niveau depuis cinq ans. Mais des risques de reprise de l inflation subsistent encore au niveau régional, pour des raisons diverses : le fait que la hausse des prix de l énergie n a pas été totalement répercutée sur les consommateurs dans plusieurs pays, la pression croissante à la hausse qui s exerce d une manière générale sur les prix alimentaires, la forte progression du crédit et le surcroît de liquidités engendré par de forts profits sur les marchés des valeurs mobilières. L inflation a de fait repris à Sri Lanka en 2007, avec un niveau en moyenne mobile sur 12 mois de 18 % en septembre, contre 6,8 % un an plus tôt. Elle s est aussi renforcée aux Maldives, passant de 3,7 % en 2006 à 7,0 % en 2007 sous l effet d une politique expansionniste suivie en matière de dépenses publiques et d un déficit budgétaire qui est censé atteindre 24 % du PIB en 2007, ce qui tient en partie à l effort continu de reconstruction engagé après le tsunami et à de grands projets de construction en cours dans le secteur touristique. Elle donne également des signes d accélération au Bangladesh, à la suite du récent cyclone. En Inde, le resserrement monétaire et d importants afflux de capitaux ont entraîné en 2007 une forte appréciation de la roupie, qui a atteint fin novembre un niveau quasi record sur dix ans de 39,2 contre le dollar. Cela a contribué à atténuer les pressions inflationnistes par le jeu des prix des importations, mais réduit dans le même temps la compétitivité des exportations indiennes. La forte progression de la monnaie a amené la banque de réserve indienne à vendre des roupies pour aider à juguler son taux d appréciation, et à instaurer certaines mesures de contrôle des capitaux. Au Pakistan, la monnaie s était légèrement appréciée par rapport au dollar durant la majeure partie de l année, mais elle a amorcé un recul en réponse au regain d incertitude pesant sur les marchés financiers internationaux, ainsi qu à l imposition, début novembre, de l état d urgence. Le surcroît de volatilité causé à la mi-2007 sur les marchés internationaux du crédit par la baisse du marché du logement aux États-Unis a, dans un premier temps, provoqué une baisse des valeurs boursières en Inde et au Pakistan, mais les marchés en question ont 24
3 depuis comblé leurs pertes. En octobre, l indice indien Sensex a passé pour la première fois la barre des sous l effet des achats de fonds étrangers. Selon le Securities and Exchange Board of India, les investisseurs étrangers ont acheté en moyenne pour près de 500 millions de dollars de plus de titres indiens qu ils n en ont vendu dans la première moitié d octobre, comparé à des achats nets de 232 millions de dollars en septembre. Exprimée en monnaies locales, la hausse des marchés des valeurs en question entre le 1 er janvier et le 31 octobre 2007 a atteint 36 % en Inde (50 % en équivalent dollar) et 20 % au Pakistan (19 % en équivalent dollar). Perspectives à moyen terme L Asie du Sud devrait voir la demande extérieure pour ses produits d exportation accuser un ralentissement assez prononcé en 2008 sous l effet de multiples facteurs : resserrement de l encadrement du crédit, volatilité des marchés financiers internationaux, risque de récession aux États-Unis, et ralentissement de la croissance dans les pays de l Union européenne. Cela aura probablement pour effet d aggraver le déficit global de son compte courant, et il en sera de même en cas de hausses des cours pétroliers mondiaux après le début de l année On s attend néanmoins à ce que la demande intérieure, sous forme de consommation privée et d investissement, continue de contribuer assez fortement à la croissance, en dépit de vents contraires liés au resserrement de la situation monétaire et à la poursuite du rééquilibrage budgétaire. Tous ces éléments devraient entraîner un relâchement de la croissance du PIB de la région, de 8,4 % en 2007 à 7,9 % en 2008, la plupart des pays enregistrant un léger ralentissement (tableaux A9 et A10). Mais dans le cas du Bangladesh, un surcroît de tensions politiques et de graves inondations pesaient sur la demande au second semestre 2007, et contribueront à réduire la croissance d un point de pourcentage complet, à 5,5 % pour On s attend toutefois à une reprise de la croissance dans la région, à 8,1 % pour 2009, avec le raffermissement de la demande extérieure sous l effet de la reprise dans les pays de l OCDE et à mesure que les pressions sur la facture des importations s atténueront à la faveur d un recul des prix pétroliers. Les projections laissent envisager un regain de vigueur de l absorption interne en 2009, à supposer que la conjoncture des prix permette un relâchement des politiques monétaires dans la seconde moitié de Un resserrement de la conjoncture sur les marchés internationaux du crédit et une moindre propension des investisseurs au risque pourraient se traduire par une baisse des apports de capitaux dans la région, lesquels ont contribué à la vigueur des résultats affichés récemment en termes de croissance, particulièrement en Inde et au Pakistan. Bien que le degré d ouverture des échanges ait augmenté dans l ensemble (sauf en Afghanistan, au Népal et à Sri Lanka, qui sont tous en proie à des troubles civils), il reste assez faible dans la plupart des pays. Il faut s attendre de ce fait à ce que la région soit dans une certaine mesure protégée des effets d une baisse de la demande extérieure liée au passage du cycle du crédit dans une phase descendante. Risques Les assez gros déficits courants affichés par les Maldives, le Pakistan et Sri Lanka restent un motif de préoccupation, surtout dans un contexte de volatilité accrue sur les marchés 25
4 financiers internationaux. Les déficits budgétaires des Maldives et de Sri Lanka dépassent 7,3 % du PIB, et la situation de leurs réserves de change était assez serrée au milieu de 2007, puisqu elle représentait l équivalent de 2,5 mois de couverture des importations. Au Pakistan, le niveau de couverture des importations est de 4 mois, ce qui reste assez confortable, mais sa tendance est à la baisse, ce qui donne à penser que des ajustements supplémentaires s imposent. Dans ces conditions, un ralentissement subit et prononcé des apports de capitaux ou un ajustement ponctuel sur les marchés financiers internationaux pourrait avoir des effets négatifs tangibles sur l économie de ces pays. Par ailleurs, les restrictions imposées en Europe et aux États-Unis sur certaines catégories d exportations chinoises de textiles et de vêtements seront levées à la fin de 2008, et les pays exportateurs de la région pourraient donc souffrir en 2009 du surcroît de compétition ainsi généré. On peut se faire une idée des effets que cela pourra avoir en examinant la façon dont la situation a évolué au Canada, qui n a pas imposé de restrictions de sauvegarde sur les produits chinois : en l occurrence, le Bangladesh a vu sa part du marché canadien de textiles et de vêtements, qui était de 7,4 % en , tomber à ce jour en 2007 à 6,9 %. Parmi les pays exportateurs de la région, Sri Lanka est celui qui semble courir le plus de risque, car près du tiers de ses exportations totales de marchandises vers les pays de l UE et près du cinquième de celles destinées aux États- Unis figurent dans les catégories pour lesquelles les échanges avec la Chine seront libéralisés (voir l encadré 1.1 au chapitre 1). [Table A5.2] Un autre élément qui présente un risque pour les économies de la région est le niveau élevé, et la hausse dans certains cas, des prix des produits de base. La montée en flèche des prix internationaux des produits alimentaires constitue une menace croissante pour une région dans laquelle les produits alimentaires entrent pour 11 à 20 % dans les importations totales de marchandises : cela concerne au premier chef le Bangladesh (19 %), les Maldives (16 %), le Népal (17 %), le Pakistan (11 %), et Sri Lanka (12 %). Dans le cas de l Inde, les importations alimentaires constituent 3 % seulement des importations totales de marchandises. Outre le surcroît de pression exercé sur les positions extérieures, la hausse des prix internationaux des produits alimentaires peut éventuellement avoir de graves implications pour les populations les plus pauvres des pays concernés, et elle pourrait aussi y mettre à mal les caisses de l État et engendrer un surcroît de pressions inflationnistes de par l application généralisée de subventions alimentaires. De même, des hausses supplémentaires des prix de l énergie constituent toujours un risque pour cette région, qui est très tributaire des importations de pétrole. À titre d exemple, les importations de combustibles représentent, respectivement, plus de 30 % et 20 % des importations de marchandises de l Inde et du Pakistan. Les tensions politiques et militaires au sein des pays sont un élément qui continue de présenter un risque de dégradation de la situation par rapport à ces perspectives, comme le montre par exemple le cas de Sri Lanka, avec l intensification des combats à laquelle sa guerre civile a donné lieu depuis le milieu de 2006 et jusqu en De la même façon, une amélioration des relations peut éventuellement amener à revoir les perspectives à la hausse ; on peut citer comme exemple le processus en cours pour le rétablissement des liens entre l Inde et le Pakistan, qui a donné lieu, le 1 er octobre 2007, à 26
5 l ouverture de la première liaison routière pour les camions à travers la frontière, après des dizaines d années de fermeture des frontières entre ces deux pays. 27
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