Résultats de la surveillance des infections nosocomiales en maternité
|
|
- Fabrice Picard
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Basse-Normandie Bretagne Centre Pays de la Loire St Pierre et Miquelon Résultats de la surveillance des infections nosocomiales en maternité Année 2006 Marion OLIVIER, Nadine GARREAU, Pascal JARNO, Benoît LEJEUNE
2 SOMMAIRE I. Liste des établissements ayant participé à la surveillance II. Introduction Objectifs Méthodes...3 III. Résultats Données manquantes Description des infections Infections de la mère Infections des nouveau-nés Description des mères Analyse des facteurs de risque pour les accouchements par voie basse Analyse des facteurs de risque pour les césariennes
3 I. Liste des établissements ayant participé à la surveillance 2006 Bretagne Clinique du Ter Ploermel CHU de Brest Pays de Loire Centre Hospitalier Côte de Lumière Les Sables d Olonne Polyclinique de l Atlantique St Herblain Clinique de l Anjou - Angers II. Introduction 1. Objectifs L objectif principal est d évaluer l incidence des infections nosocomiales en maternité, pour les parturientes et les nouveau-nés. Et donc de permettre à chaque établissement de se situer par rapport aux autres. 2. Méthodes Le protocole a été établi en lien avec un groupe de travail mis en place en 2002 constitué d hygiénistes et de professionnels des maternités (sages-femmes et gynéco-obstétriciens). Il est inspiré du protocole du C.CLIN-Sud-Est. Pour chaque accouchée ainsi que pour chaque nouveau-né une fiche de recueil a été renseignée. Les données ont été saisies localement sur une application informatique EPI-INFO fournie par le CCLIN. Chaque établissement peut éditer localement ses propres résultats. Afin de conserver l anonymat, un code établissement était attribué à chacune des maternités participantes. III. Résultats Cinq maternités (issues de 5 établissements) ont envoyé fiches. La durée du recueil des données a varié de 2 à 12 mois : - 2 mois pour 2 maternités - 4 mois pour 1 maternité - 1 an pour 2 maternités Sur les 5 établissements, 3 étaient privés et 2 étaient publics (1 CHU et 1 CH). Deux maternités étaient de niveau 1, 2 maternités étaient de niveau 2 et 1 maternité était de niveau 3. 3
4 Rappel - niveau 1 : maternité assurant des accouchements eutociques, sans unité de néonatologie - niveau 2 : maternité disposant d une unité de néonatologie - niveau 3 : maternité disposant d une unité de réanimation maternelle et d une unité de réanimation néonatale 1. Données manquantes Le nombre et la proportion de données manquantes sont présentés dans le tableau 1. Tableau 1 : Données manquantes sur les variables principales Variables Données Données dites manquantes (N et %) inconnues (N et %) Durée de séjour 0 - Année de naissance de la mère 6 (0,2 %) - Parité 14 (0,4 %) - Infection urinaire pendant grossesse 3 (0,1 %) 399 (12,2 %) Infection urinaire à l entrée (28,7 %) Hyperthermie pendant le travail (8,5 %) Durée d ouverture de l œuf >=12 h (7,4 %) Anesthésie 0 - Sondage urinaire (9,5 %) Allaitement maternel 0 55 (1,7 %) Antibiotiques 0 84 (2,6 %) Césarienne 0 - Première césarienne 12 (1,6 %) 45/761 (5,9 %) DA RU (VB) 2 (0,1 %) 83 (3,3 %) Manœuvre instrumentale (VB) 2 (0,1 %) 71 (2,8 %) Episiotomie (VB) 3 (0,1 %) 62 (2,5 %) Infection ciblée de la mère 1 (0,03 %) - Infection ciblée du nouveau-né 1 47 (1,4 %) 205 (6,3 %) Le pourcentage de données manquantes a beaucoup diminué par rapport à
5 2. Description des infections 2.1 Infections de la mère Parmi les mères, 1,9 % ont eu une infection nosocomiale (61/3274). L information n était pas renseignée dans un cas. 34 mères ont présenté une IN à la suite d un accouchement par voie basse soit un taux de 1,4 % (34/2514) (en 2005, le taux était de 1,1 %). 27 mères ont présenté une IN à la suite d une césarienne soit un taux de 3,6 % (27/761) (en 2005, le taux était de 5,3 %). Pour 29 d entre elles, l infection s est déclarée pendant le séjour (51,8 %) et 16 après la sortie de l établissement (28,6 %). Les infections urinaires étaient les plus fréquentes (40,3 % des IN au total) (tableau 5). La majorité des infections du site opératoire étaient superficielles (93,3 %). Tableau 5 : Répartition des infections nosocomiales survenues chez les mères Type d infection VB Césarienne Total Endométrite Infections urinaires Infections du site opératoire Syndrome Infectieux non étiqueté Total* *Au moins 6 des infections nosocomiales ont concerné plus d un site anatomique. Les taux d IN pour les accouchements par voie basse n étaient pas significativement différents selon l établissement (test exact Fisher ; p=0,11). Les taux d IN pour les césariennes ne différaient pas significativement selon les établissements (test exact Fisher ; p=0,12). Tableau 6 : Taux d IN parmi les mères par établissement Code établissement Nb accouch. Nb mères infectées Taux IN (%) IC 95% Taux IN (%) VB Taux IN (%) césarienne ,5 1,7-10,7 3,5 (3 / 87) 8,3 (2 /24) ,8 1,3-2,5 1,4 (21 / 1481) 3,2 (13 / 403) ,2 1,1-4,2 1,7 (6 / 347) 4,2 (3 / 72) ,2 2,7-12,7-6,1 (7/ 114) ,8 0,3-1,8 0,7 (4/599) 1,4 (2 / 148) Total 3274* 61 1,9 1,4-2,4 1,4 (34/2514) 3,6 (27/760*) * : la présence d une IN était non renseignée dans 1 cas 5
6 Parmi les 5 établissements ayant participé en 2006, 3 avaient participé en La comparaison de leur taux d IN pour les accouchements par voie basse ou pour les césariennes n a pas évolué de manière significative entre 2005 et 2006 (p>0,05). 2.2 Infections des nouveau-nés Il y avait nouveaux-nés dont 98 jumeaux. Parmi eux, sont nés vivants (98,3 %), 58 non vivants et 14 nouveaux-nés ou l item était non renseigné. Le nombre de nouveau-nés transférés a été de 315 (9,5 %). Le nombre de bébés surveillés était donc de L âge gestationnel moyen des bébés surveillés était de 39 SA (écart-type=2,7 ; min=22 ; max=40). 11 bébés ont présenté au moins une infection nosocomiale soit un taux de 0,4 % sur les 2986 bébés. (IC 95 % : 0,2-0,7). Pour 6 IN, l infection s est déclarée pendant le séjour, 3 après la sortie de l établissement et pour les 2 autres aucune information n a été indiquée. Pour un bébé, le type d infection n était pas renseigné. Les infections oculaires représentaient 82 % des infections. Leur incidence était de 0,3 % (9/2 986). Tableau 7 : Répartition des infections nosocomiales survenues chez les bébés Infection Nb Taux d IN Proportion (%) (%) Oculaire 9 0,30 81,8 Cutanée 0 0,00 0,0 Cordon 1 0,03 9,1 NR 1 0,03 9,1 Total 11 0,4 100,0 RQ : Vu les faibles effectifs par type d infection chez le nouveau-né, nous n avons pu analyser les facteurs de risque de chaque type d infection (oculaire, cutanée et infection du cordon). 6
7 3. Description des mères L âge moyen des parturientes était de 30 ans ± 5 (extrêmes : 16 ans 48 ans). L âge moyen était le même pour les femmes qui avaient accouché par voie basse et celles qui avaient subi une césarienne. Pour 6 patientes, l âge n a pu être calculé. Sur les 3275 naissances, 98 concernaient des jumeaux. Figure 1 : Distribution des patientes selon leur âge % ,7 34,3 17,8 11,3 1,5 3,3 0, Age en années (par classe de 5 ans) La parité moyenne était de 1,9 avec 41,6 % de primipares. La proportion d accouchements par voie basse était de 76,8 % (2514/3275). Soit 23,2 % de césariennes (11,1 % programmées et 12,1 % réalisées en urgence). Dans 64,9 % des cas, il s agissait d une première césarienne. Il y avait autant de césarienne réalisée en urgence (52,2 %) que de césariennes programmées (47,8 %). La durée moyenne de séjour pour les accouchements par voie basse était de 4,4 jours et de 6,8 jours pour les césariennes. La description des variables d exposition qualitatives communes aux 2 types d accouchements et spécifiques à chacune est présentée dans le tableau 2. 7
8 Tableau 2 : Description des variables qualitatives d exposition en global et par type d accouchement Global VB* Césarienne Variables d'exposition communes N % N % N % Infection urinaire pendant la grosesse 146 4, ,5 34 4,5 Infection urinaire à l'entrée 36 1,1 28 1,1 8 1,1 Hyperthermie pendant le travail 277 8, ,6 37 4,9 Ouverture de la poche des eaux>=12h , ,2 71 9,3 Anésthésie aucune , ,7 4 0,5 péridurale , , ,8 rachi 264 8,1 21 0, ,9 générale 176 5,4 26 1, ,7 plusieurs 11 0,3 3 0,1 8 1,1 Sondage urinaire pas de sondage , ,8 56 7,4 sondage à demeure ,8 51 2, ,7 sondage(s) évacuateur(s) , ,4 35 4,6 inconnu 312 9, ,8 41 5,4 Allaitement maternel , , ,1 Antibioprophylaxie aucune , , ,8 cadre césarienne , ,5 contexte Strepto B , ,8 40 5,3 autres situations , ,6 35 4,6 inconnu 84 2,6 62 2,5 22 2,9 Délivrance artificielle ,1 Manoeuvres instrumentales ,3 Episiotomie ,1 Première césarienne ,9 * VB : voie basse Une anesthésie a été pratiquée dans 84 % des cas (2751/3275). Un sondage urinaire a été réalisé dans 71 % des cas (2309/3275). Une antibioprophylaxie a été administrée chez 41 % des parturientes (1353/3275). 8
9 4. Analyse des facteurs de risque pour les accouchements par voie basse Un établissement n a surveillé que des césariennes. L analyse univariée des facteurs de risque pour les accouchements par voie basse a porté sur fiches. Les variables quantitatives ont été recodées en variables binaires en fonction de la médiane. Les variables qualitatives à plusieurs classes ont été recodées en variables indicatrices pour la régression logistique. La classe ayant le plus faible taux d infection a été prise comme classe de référence. Tableau 3 : Analyse univariée pour les accouchements par voie basse N Tx d'infection (%) OR IC95% p Variables d'exposition Age de la mère (> 30 ans) ,0 0,6 [0,3-1,2] 0,15 Parité (=1) 983 1,9 2 [1,0-3,9] 0,05 DMS (en jours) (>4) 860 1,9 1,9 [1,0-3,8] 0,05 Infection urinaire pendant la grossesse 112 2,7 2,0 [0,6-6,5] 0,27 Infection urinaire à l'entrée 28 3,6 2,4 [0,3-18,6] 0,37 Hyperthermie pendant le travail 240 0,8 0,6 [0,1-2,3] 0,41 Durée d'ouverture de l'œuf (>3h) ,9 1,8 [0,9-3,5) 0,11 Ouverture de la poche des eaux (>=12h) 257 2,0 1,6 [0,6-4,2] 0,33 Anésthésie aucune 520 0,6 1 ref péridurale ,5 2,6 [0,8-8,6] >0,9 rachi/générale/plusieurs 50 4,0 7,2 [1,2-44,0] 0,06 Sondage urinaire pas de sondage 598 1,5 1,2 [0,5-2,7] 0,19 sondage à demeure 51 5,9 4,9 [1,1-17,1] 0,02 sondage(s) évacuateur(s) ,3 1 ref Allaitement maternel ,6 0,7 [0,4-1,4] 0,30 Antibioprophylaxie aucune ,5 4,8 [0,7-35,6] 0,16 autres situations 367 1,4 4,4 [0,5-38,0] 0,3 contexte Strepto B 321 0,3 1 ref Délivrance artificielle 353 1,1 0,8 [0,3-2,2] 0,64 Manoeuvres instrumentales 459 2,8 2,7 [1,4-5,5] 0,004 Episiotomie ,5 1,3 [0,6-2,6] 0,55 Les variables ayant un p<0,20 ont été intégrées dans l analyse multivariée. L âge de la mère, la parité, la durée moyenne de séjour, la durée d ouverture de l œuf, l anesthésie, le sondage urinaire, l antibioprophylaxie et les manœuvres instrumentales ont été intégrées dans l analyse. 9
10 L analyse multivariée a porté sur fiches. A l issue de l analyse, il s avère que seules les manœuvres instrumentales sont un facteur de risque significatif d infection nosocomiale de la mère lors d un accouchement par voie basse (p=0,005 ; OR=2,7 ; IC 95% [1,3-5,4]). Aucune des autres variables d exposition n était liée à la survenue d une ISO (épisiotomie?) ou d une endométrite mais les effectifs sont faibles. L antibioprophylaxie n a pas été retrouvée associée à un moindre taux d infection et ce quel que soit l infection (p>0,05). Les sondages évacuateurs et les sondages à demeure n étaient pas retrouvés significativement liés au risque d infection urinaire nosocomiale chez les mères (p>0,05). 5. Analyse des facteurs de risque pour les césariennes L analyse univariée a porté sur 761 césariennes. Tableau 4 : Analyse univariée pour les césariennes N Tx d'infection (%) OR IC95% p Variables d'exposition Age de la mère (> 30 ans) 328 2,7 0,6 [0,3-1,5] 0,29 Parité (=1) 374 4,0 1,3 [0,6-2,8) 0,52 DMS (en jours) (>4) 136 7,4 2,8 [1,3-6,3] 0,01 Infection urinaire pendant la grosesse 34 2,9 0,8 [0,1-5,9) 0,81 Infection urinaire à l'entrée 8 0,0-0,60 Hyperthermie pendant le travail 37 0,0-0,22 Durée d'ouverture de l'œuf (>3h) 233 3,0 0,9 [0,3-2,9] 0,82 Ouverture de la poche des eaux (>=12h) 71 2,8 0,8 [0,2-3,4] 0,73 Anésthésie aucune 4 0,0 1 ref péridurale 356 3,1 - >0,9 rachi 242 4,1 - >0,9 générale/plusieurs 158 3,8 - >0,9 Sondage urinaire pas de sondage 55 5,5 0 >0,9 sondage à demeure 629 3,3 0,6 [0,1-5,2) >0,9 sondage(s) évacuateur(s) 35 2,9 1 ref Allaitement maternel 456 4,2 1,7 [0,7-4,1] 0,24 Antibioprophylaxie aucune 82 1,2 1 ref autres situations 35 2,9 1,9 [0,2-15,1] >0,9 cadre césarienne /contexte Strepto B 621 3,9 0 >0,9 Première césarienne 485 3,5 0,8 [0,4-1,9] 0,70 Seule une durée de séjour supérieure à 4 jours est liée significativement à la survenue d une Infection nosocomiale. 10
11 11
E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes
E8 - Faire l exercice d entraînement : Surveillance des infections nosocomiales en maternité : Produire les résultats avec des programmes Temps estimé nécessaire à l entraînement 1 H 30 Objectifs à consolider
Plus en détailAUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON
AUDIT ISO SUR CESARIENNE CH MACON JOURNEE DU «RESEAU MATER» Jeudi 18 novembre 2010 C. Brunet M.P. Veuillet Sage-femme cadre I.D.E. hygiéniste PRESENTATION DU SERVICE MATERNITE CH MACON niveau 2B PERSONNELS
Plus en détailPLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE
Royaume du Maroc Ministère de la Santé PLAN D ACTION 2012 2016 POUR ACCELER LA REDUCTION DE LA MORTALITE MATERNELLE ET NEONATALE Fin du Compte à rebours 2015 Avec l appui de Contexte En souscrivant aux
Plus en détailPrise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères. Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D.
Prise en charge des déchirures périnéales obstétricales sévères Courjon M, Ramanah R, Eckman A, Toubin C, Riethmuller D. Introduction Incidence : 0,5 à 3 % Importance de la reconnaissance et d un traitement
Plus en détailLes fistules obstétricales sont des communications anormales entre les voies urinaires ou digestives et l'appareil génital. ou d une manœuvre abortive
ROLE DE LA SAGE FEMME DANS LA PREVENTION, LE DIAGNOSTIC ET ORIENTATION DES FISTULES Présenté par Mme Atchoumi Annie Hortense Sage-femme DU épidémiologie-bordeaux CHU de Yaoundé Introduction Définition
Plus en détailStreptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.
Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,
Plus en détailQUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS.
QUALITÉ DE L APPRENTISSAGE DE L INTUBATION ORO-TRACHÉALE EN LABORATOIRE DE SIMULATION, SON INTÉRÊT POUR LES PATIENTS. Mémoire de D.E.S.C. de Médecine d Urgence Olivier Vuillot Matériel et Méthode : Design
Plus en détailBILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES. Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012
BILAN DE LA DAJ EN QUALITE D AUTO-ASSUREUR SUR LES RECLAMATIONS INDEMNITAIRES Marjorie OBADIA/DAJ/10 janvier 2012 Une place d auto-assureur unique en France : Rôle traditionnel de défense de l Institution
Plus en détailLogiciels de gestion sur mesure Etude et développement. Logiciel de suivi des évènements indésirables dans les établissements hospitaliers
Logiciels de gestion sur mesure Etude et développement VIGITRACE Logiciel de suivi des évènements indésirables dans les établissements hospitaliers VIGITRACE Page 2 1. Préambule Le logiciel «Vigitrace»
Plus en détailASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailSUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES
SUTURE D EPISIOTOMIE ET PRISE EN CHARGE DE LA CICATRICE; RECOMMANDATIONS AUX PATIENTES M. BERLAND Université Claude Bernard Lyon 1 Faculté de Médecine et de Maïeutique Lyon Sud Charles Mérieux 1 METHODES
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détailSimulation en aviation
Hôpitaux Universitaires de Genève Intérêt de la simulation en pharmacotechnie Pr Pascal BONNABRY Pharmacien-chef JFSPH 23 avril 2015 Etre les premiers pour vous Simulation en aviation 2 1 Simulation en
Plus en détailJean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen
Gestion d un cas de portage d entérocoque résistant aux glycopeptides (ERG- ERV) Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen IXème Journée régionale de Prévention des infections associées aux
Plus en détailLA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM
LA RÉTENTION URINAIRE DU POST-PARTUM Prise en charge au CH de Pau Dr Sophie Rouleaud Service de médecine physique et de réadaptation Samedi 4 octobre 1 2 DEFINITION Définition 2003 Glavind K. et Bjork
Plus en détailPSDP et usage des pénicillines - ESAC
Plan National d alerte sur les Antibiotiques 2011/2016 Déclinaison régionale Pr Pierre DELLAMONICA CHU de Nice ARS 29/11/12 1 Plans précédents 2001/2005 et 2007/2010 «Menace de santé publique majeure»
Plus en détailphase de destruction et d'élimination de débris
LE POST PARTUM I ) Définition : c'est une période de 6 semaines allant de l'accouchement jusqu'au retour de couches (= règles). Pendant ce temps il est nécessaire d'effectuer une surveillance médicale
Plus en détailGuide de la future maman & de son bébé
Guide de la future maman & de son bébé Avec la collaboration de: P r Jacques Jani D r Leonardo Gucciardo Katia Paemelaere D r Eliane Damis D r Anne-Britt Johansson Comité de rédaction: Bérengère Guccione
Plus en détailContrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques
Contrôle difficile non prévu des voies aériennes: photographie des pratiques B. Dureuil, PG. Yavordios, A. Steib Collège Français des Anesthésistes Réanimateurs (Absence de conflits d intérêts sur le sujet)
Plus en détailBMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents
BMR/ BHR en EHPAD Prise en charge des résidents L. Grolier-Bois - Médecin hygiéniste Centre Hospitalier de Bretagne-Sud (56) Centre Hospitalier de Quimperlé (29) ARLIN BRETAGNE Journée Régionale de Formation
Plus en détailLa version électronique fait foi
Page 1/6 Localisation : Classeur VERT Disponible sur Intranet A revoir : 10/2015 Objet : La présente procédure a pour objet de décrire les responsabilités et les principes pour la réalisation des prélèvements.
Plus en détailGESTION DES RISQUES EN MILIEU HOSPITALIER : LE POINT DE VUE DE L HYGIÉNISTE Bizerte, le 3 décembre 2005 Prof. Njah Mansour Service d hygiène hospitalière CHU F. Hached Sousse. Plan Introduction Définitions
Plus en détailLa gestion des risques en hygiène hospitalière
La gestion des risques en hygiène hospitalière Rappels des fondamentaux Dr J-L. Quenon Comité de Coordination de l Évaluation Clinique et de la Qualité en Aquitaine Séminaire de la SF2H, 19 novembre 2013,
Plus en détailLES CONSÉQUENCES. tricales. Juridiques
LES CONSÉQUENCES Médicales, Gynécologiques et Obstétricales tricales Juridiques Les complications Complications médicales m immédiates Hémorragie (section art clitoridienne) : cataclysmique ou secondaire
Plus en détailLA PROTHESE TOTALE DE GENOU
LA PROTHESE TOTALE DE GENOU Introduction : La destruction du cartilage est fréquente au niveau du genou qui est une articulation très sollicitée et soumise à tout le poids du corps. La conséquence de cette
Plus en détailPAR ANAT. Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur sanitaire BLOC OBSTÉTRICAL SCÉNARIO CONSULTATION IDENTITO-VIGILANCE
IDENTITO-VIGILANCE SCÉNARIO CONSULTATION SUIVI QUALITÉ GESTION DES IDENTITÉS SCÉNARIO ADMISSION PAR EXAMENS TRANSPORT RECOMMANDATIONS Améliorer la sécurisation de l identification des patients en secteur
Plus en détailCésarienne pour toutes
Césarienne pour toutes Méthodologie Revue de la littérature : - PUBMED de 2003 à nos jours - Mots clefs: urinary incontinence AND cesarean section (210 publications) fecal incontinence AND cesarean section
Plus en détailMise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire
Mise en place du contrôle du bon usage des carbapénèmes: expérience d une équipe pluridisciplinaire Murielle Galas, Gaëlle Dunoyer, Claude Olive, Rafaëlle Théodose, François Lengellé, Patrick Hochedez,
Plus en détailIndications de la césarienne programmée à terme
Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailMise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier
Mise en place de référents grippe au sein d un centre hospitalier Sophie FOUCAULT, IDE Hygiéniste, FFC Service ECLIN P.MIR, C.JACOB, Praticiens de Santé au Travail R.HUE, Praticien Hygiéniste, Service
Plus en détailPOLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017. Document validé le. Visa : Visa :
POLITIQUE D AMELIORATION DE LA QUALITE ET DE LA GESTION DES RISQUES 2013-2017 Document validé le Nom : M. GROHEUX Nom : M. MATHIEU Fonction : Directeur Fonction : Président de la CME Visa : Visa : Page
Plus en détailLe point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale
Spécialistes en santé publique? Le point de vue d une administration hospitalière Inka Moritz, Secrétaire générale Le CHUV est l employeur de 10 000 personnes Budget 1,4 milliard de frs 2 1 des 5 Hôpitaux
Plus en détailLe Centre Hospitalier Universitaire de Reims
Basse-Normandie Champagne-Ardenne Le Centre Hospitalier Universitaire de Reims RECRUTE DEUX PRATICIENS EN ANESTHÉSIE-RÉANIMATION À TEMPS PLEIN Missions : Renseignements & candidatures : 03 26 78 74 44
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE CHIRURGIE PLASTIQUE RECONSTRUCTRICE ET ESTHETIQUE Instructions Merci : de répondre complètement à toutes les questions, d écrire lisiblement, de signer et dater
Plus en détailPrésentation des intervenants et modérateurs
«NOSOPICARD 2015», 20 ème Rencontre d Hygiène Hospitalière, de Prévention et de Lutte contre les Infections Associées aux Soins Présentation des intervenants et modérateurs Roland GORI est : Professeur
Plus en détailPRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE
PRISE EN CHARGE D'UN PATIENT ATTEINT OU SUSPECT DE CLOSTRIDIUM DIFFICILE PG SPI SUR 014 v1 2011 1/5 OBJET Conduite à tenir dans le cadre de l'arrivée d'un patient atteint ou suspect de portage de Clostridium
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailMention Sciences de l Éducation Parcours Convention Santé Promotion 2010
Parmi les 95 diplômés 2010 de la licence Sciences de l Éducation parcours Convention Santé, tous ont quitté Lille 3 en 2010/2011. Les 95 sortants ont été interrogés sur leur devenir au 1 er décembre 2012,
Plus en détailECOLE DE SAGES-FEMMES POITIERS
ECOLE DE SAGES-FEMMES POITIERS SOMMAIRE Présentation de l Ecole p 3 à 9 Localisation p 4 Organigramme p 5 Les ressources matérielles p 7 Les horaires de la formation p 8 La capacité de formation p 9 L
Plus en détailLa campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections
La campagne québécoise des soins sécuritaires volet prévention et contrôle des infections Annie Laberge, CSSS Drummond et INSPQ Lise-Andrée Galarneau, CSSSTR présidente du CINQ Congrès annuel de l OIIQ,
Plus en détaildossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s
dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours lat ransplantation hépatique p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s Contact presse Anne-Karen Nancey - Direction de la communication
Plus en détailLa Responsabilité Civile De L anesthésiste
La Responsabilité Civile De L anesthésiste Point de vue du médecin conseil de l assurance Saint-Luc, 9 juin 2004 Fondements de la Art 1382 code civil Une faute Un dommage responsabilité Un lien de causalité
Plus en détailEvolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR
Evolution de la collecte des RPU Réseau OSCOUR Vanina BOUSQUET InVS St MAURICE 20 Mai 2014 Journée plénière de la FEDORU SOMMAIRE Etat des lieux des remontée de RPU Etat des lieux des structures régionales
Plus en détailN o d organisme. Rendement actuel Cible Justification de la cible
Plan qualité 2015-2016 pour Soins continus Bruyère Objectifs et initiatives d amélioration BUT Mesure Changement Initiatives prévues Dimension de la qualité Objectif Mesure/indicateur Unité/population
Plus en détailPRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF
PRISE EN CHARGE DES LESIONS SPINCTERIENNES ANALES DU POST-PARTUM : DU CURATIF AU PREVENTIF Laurent ABRAMOWITZ Unité de proctologie médico-chirurgicale Hôpital Bichat Claude Bernard 95, Rue de Passy 75016
Plus en détailCampagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie
Campagne nationale pour l élimination des fistules obstétricales en Mauritanie Contexte de la fistule obstétricale Situation en Mauritanie Progrès au niveau Pays/ Mise en œuvre Défis pour les années à
Plus en détailStratégies de dépistage des bactéries multirésistantes. Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA
Stratégies de dépistage des bactéries multirésistantes à l hôpital et en MRS: Qui? Pourquoi? Comment? Après? L exemple des MRSA Prof. Dr. Youri Glupczynski Unité d Hygiène hospitalière & Laboratoire de
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailProgramme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012
Programme National de Prévention des infections associées aux soins en ES, 2009-2012 Pr Coordonnateur Groupe de Pilotage du Programme National de Lutte contre les Infections Nosocomiales Séminaire National
Plus en détailPrésentation générale du Programme
Contexte Le Propias fait suite à Plan stratégique national 2009-2013 de prévention des infections associées aux soins Programme national de prévention des infections nosocomiales 2009-2013 (Propin) Programme
Plus en détailAtlas 2014 des SIH. Etat des lieux des systèmes d information hospitaliers
Atlas 2014 des SIH Etat des lieux des systèmes d information hospitaliers Direction générale de l offre de soins Mai 2014 Sommaire 1 INTRODUCTION 4 2 PARTIE 2 : LES OBSERVATOIRES 6 2.1. L observatoire
Plus en détail! " # $ % & '! % & & # # # # % & (
! " # $ % & '! % & & # # # # % & ( ' # $ " # # ) * ( + %, ' " # # # $ " '. / # #! 0 " $ ' # " # # " 1 $ " 1 " 1 # " / " 2 3 # $ " 2 3 1 4 # Information des instances Communication auprès du personnel
Plus en détailSituation Agent Schéma posologique*
Le besoin d une antibioprophylaxie pour la prévention d une endocardite infectieuse et d une infection hématogène à la suite d une arthroplastie doit être envisagé sur une base individuelle et en collaboration
Plus en détailNORMES DES SOINS INFIRMIERS, GYNECOLOGIQUES OBSTETRICAUX ET NEONATAUX
NORMES DES SOINS INFIRMIERS, GYNECOLOGIQUES OBSTETRICAUX ET NEONATAUX Octobre 2008 NORMES DES SOINS INFIRMIERS GYNECOLOGIQUES, OBSTETRICAUX ET NEONATAUX PLAN INTRODUCTION I DEFINITIONS DES CONCEPTS 1.1
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailDéfinition de l Infectiologie
Définition de l Infectiologie Discipline médicale clinique Spécialisée. Prise en charge des Maladies Infectieuses et Tropicales. Actuelles, émergentes ou ré-émergentes. Référents dans le cadre d un maillage
Plus en détailVersion synthétique des rapports de certification. Méthodologie. (Janvier 2010)
Version synthétique des rapports de certification Méthodologie (Janvier 2010) RAPPEL DU CONTEXTE 2 RAPPEL DU CONTEXTE La HAS en quelques mots La Haute Autorité de santé (HAS) est une autorité publique
Plus en détailControverse UDM télésurveillée Pour. P. Simon Association Nationale de Télémédecine
Controverse UDM télésurveillée Pour P. Simon Association Nationale de Télémédecine Controverse Peut-on être en 2013 opposé au développement de la télémédecine? Pourquoi les patients en insuffisance rénale
Plus en détailOFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS
OFFRE EN STAGE SIP POUR LES ETUDIANT(E)S D ANNEE PROPEDEUTIQUE SANTE ET LES ETUDIANTS BACHELOR FILIERE SOINSINFIRMIERS Filière : APS et Bachelor en soins infirmier Nom de l institution : CHUV Nom de l
Plus en détailLe prélèvement d organes anticipé/prémédité. Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon
Le prélèvement d organes anticipé/prémédité Ethique et Greffe Journée du 9 octobre 2012 Dr Laurent Martin-Lefèvre Réanimation La Roche-sur-Yon Déclaration des conflits d intérêt Médecin de la coordination
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailGynécologie Obstétrique
Date de validation ACCREDITATION DES MEDECINS ET DES EQUIPES MEDICALES REFERENTIEL RISQUES SPECIALITE Gynécologie Obstétrique Période de validité : 2011 / 2013 Date de validation : 22/09/2011 Référentiel
Plus en détailRecommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé
Sommaire Recommandations concernant les relations entre anesthésistes-réanimateurs et chirurgiens, autres spécialistes ou professionnels de santé EDITION DECEMBRE 2001 PREFACE... 2 PREAMBULE... 3 1. LES
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailDemande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec
Demande de résumés! 71 e conférence clinique et scientifique annuelle Du 9 au 12 juin 2015 Québec (Québec) Centre des congrès de Québec La Société des obstétriciens et gynécologues du Canada (SOGC), l
Plus en détailCOMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE
COMPTE RENDU D ACCREDITATION DE L'HOPITAL ET INSTITUT DE FORMATION EN SOINS INFIRMIERS CROIX-ROUGE FRANÇAISE Chemin de la Bretèque 76230 BOIS-GUILLAUME Mois de juin 2001 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE
Plus en détailAccréditation des laboratoires de ais
Accréditation des laboratoires de biologie médicale m français ais Hélène MEHAY Directrice de la section Santé Humaine Cofrac 52 rue Jacques Hillairet 75012 Paris Journée FHF Centre 30 juin 2015 1 L accréditation
Plus en détailCONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE
CONTRACEPTION DU POST-PARTUM ET VISITE POST-NATALE Présenté par JAOUEN Léna DIU Suivi gynécologique LE SCANFF Ghislaine DIU Périnalité Addictions Contraception du post-partum Une constatation: 5 % des
Plus en détail24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE?
24/01/ 2014 EQUIPE «REFERENTE» POUR L UTILISATION DES CATHETERS VEINEUX PERIPHERIQUES ET CENTRAUX : QUELLE PLACE POUR L INFIRMIERE? I. Kriegel, C. Thinlot, M. Arsicault, A. Mauduit, M. Varenne, A.-B. Knoche,
Plus en détailPACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX
PACK SANTE TOUS PAYS 3 NIVEAUX DE GARANTIES AU CHOIX Une garantie de paiement (entente préalable) peut être requise pour certaines prestations comme indiqué par un «1» ou un «2» dans le tableau ci-dessous.
Plus en détailDE QUALITE GESTION DES RISQUES DEVELOPPEMENT DURABLE
PROJET DE QUALITE / GESTION DES RISQUES / DEVELOPPEMENT DURABLE
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailOrganisation régionale en Bretagne Journée inter régionale FIDES. Nantes - 7 mars 2014
Organisation régionale en Bretagne Journée inter régionale FIDES Nantes - 7 mars 2014 1 La Bretagne engagée dans la démarche Un pilotage tripartite - Coordination régionale AM, ARS, DRFIP Débutée en 2009
Plus en détailLes coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique
Les coûts des prises en charge à l hôpital en médecine, chirurgie et obstétrique 2012 Sommaire Introduction 3 Notes de lecture 4 1. L ENC : objectifs et modalités de l étude 6 1.1. Qu est-ce que l Etude
Plus en détailLa gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais
14 besoins fondamentaux selon Virginia Henderson La gestion des excreta en région Nord-Pas de Calais Journée EHPAD Ile de France 03 avril 2014 Nouara Baghdadi pour le groupe de travail Nord Pas de Calais
Plus en détailAprès un an d enquête, 1176 femmes travaillant au C.H.U avaient répondu à notre questionnaire.
Prévalence de l incontinence urinaire d effort selon le traumatisme obstétrical et la catégorie socio-. G. Philippe (1), I. Clément (2), I. Thaon (3) (1) Service d urologie C.H.U St jacques, Besançon (2)
Plus en détailLaurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE
Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING
Plus en détailPRADO, le programme de retour à domicile
, le programme de retour à domicile Enjeux et objectifs du programme Répondre à une volonté croissante des patients Adapter et renforcer le suivi post hospitalisation Optimiser le retour à domicile et
Plus en détailSimulation en santé. Outil de gestion des risques. Avril 2014. Dr MC Moll 1
C E N T R E H O S P I T A L I E R U N I V E R S I T A I R E D ' A N G E R S Simulation en santé Outil de gestion des risques 1 La Simulation : définition 2 Le terme «simulation en santé» correspond à l
Plus en détailLa télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe. Un éclairage pour un déploiement national
La télémédecine en action : 25 projets passés à la loupe Un éclairage pour un déploiement national Journée Télémédecine ASIP Santé 3 mai 2012 Pascale MARTIN - ANAP Agence Nationale d Appui à la Performance
Plus en détailAUTOUR DE LA MISE BAS
AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif
Plus en détailPROJET PEDAGOGIQUE Formation conduisant au
INSTITUT DE FORMATION FILIERE AMBULANCIER PROJET PEDAGOGIQUE Formation conduisant au DIPLOME D ETAT D AMBULANCIER Juin à Novembre 2013 Directrice, Cadre supérieur de Santé : Agnès MISSAULT Infirmières
Plus en détailLa matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique
La matrice emploi- exposition spéci2ique du milieu de soin : application au risque chimique C. Verdun- Esquer Service Médecine du Travail et Pathologie Professionnelle - CHU de Bordeaux SFMT 23/01/2015
Plus en détailConférence de Presse 11/09/2013. «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg»
Conférence de Presse 11/09/2013 «Système de Surveillance de la Santé Périnatale au Luxembourg» La Santé Périnatale au Luxembourg Etat des lieux Présentation de deux rapports : Surveillance de la Santé
Plus en détailDROITS A L ASSURANCE MATERNITE
I. Ouverture des droits DROITS A L ASSURANCE MATERNITE Les conditions d ouverture des droits tant aux prestations en nature qu aux prestations en espèce de l assurance maternité s apprécient soit au début
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailSite pilote de l IMBCI en Amérique du Nord
CSSS La Pommeraie, Hôpital Brome Missisquoi Perkins certifié de l Initiative Ami des bébés 1999 Hôpital recertifié 2004 CLSC certifié 2005 CSSS certifié mai 2010 Site pilote de l IMBCI en Amérique du Nord
Plus en détailEvaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : Résultats préliminaires
Evaluation des coûts de dépistage d Entérocoques Résistants aux Glycopeptides : culture versus PCR Résultats préliminaires J. Assoukpa, L. Dupraz, D. Lecointe UFHHLIN, Centre Hospitalier Sud Francilien,
Plus en détailMinistère de la santé, de la jeunesse et des sports. Comité technique des infections nosocomiales et des infections liées aux soins
Ministère de la santé, de la jeunesse et des sports. DIRECTION GENERALE DE LA SANTE DIRECTION DE L HOSPITALISATION ET DE L ORGANISATION DES SOINS Comité technique des infections nosocomiales et des infections
Plus en détailLe DMP en Bretagne. Assemblée générale ANIORH. Vendredi 7 Décembre 2012
Le DMP en Bretagne Assemblée générale ANIORH Vendredi Ordre du Jour 1- Présentation du DMP 2- Déploiement du DMP en Bretagne 3- Présentation de la démarche en établissement 4- Présentation de la démarche
Plus en détailL observation des aspects non techniques d une simulation
L observation des aspects non techniques d une simulation Dr François LECOMTE Praticien Hospitalier Urgences SMUR UMJ CHU Cochin Hôtel Dieu Université Paris Descartes francois.lecomte@cch.aphp.fr Mettre
Plus en détailCOMPARAISON COUT-BENEFICE D UNE CESARIENNE SUR DEMANDE MATERNELLE ET D UN ACCOUCHEMENT PAR VOIE BASSE
Institut économie et administration de la santé Faculté de biologie et médecine HEC Université de Lausanne COMPARAISON COUT-BENEFICE D UNE CESARIENNE SUR DEMANDE MATERNELLE ET D UN ACCOUCHEMENT PAR VOIE
Plus en détailUEMS - OB/GYN SECTION LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1.
UEMS - OB/GYN SECTION Board et Collège Européen de Gynécologie et d' Obstétrique ( EBCOG) LA FORMATION DU SPECIALISTE EN GYNECOLOGIE OBSTETRIQUE PROPOSITIONS DU GROUPE DE TRAVAIL DE L' EBCOG 1. ADOPTEES
Plus en détailLogiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel
Logiciels, dispositifs médicaux et gestion des risques point de vue de l industriel Pascale COUSIN 2 ème Rencontres internationales de la gouvernance des risques en santé 7 juin 2010 Présentation SNITEM
Plus en détail