Collecte et compostage des matières organiques triées à la source: options possibles et éléments de planification

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Collecte et compostage des matières organiques triées à la source: options possibles et éléments de planification"

Transcription

1 Collecte et compostage des matières organiques triées à la source: options possibles et éléments de planification Françoise Forcier, ing., agr., M.Ing. collaboration de Claude Paquin, B.Sc. Conseil canadien du compostage 1001 jours avant la fin de 2008

2 État de la situation PGMR complétés, les municipalités sont à l heure des choix en vue de la mise en place de collectes Plus d une vingtaine de municipalités envisagent la possibilité de mettre en place une installation de traitement/compostage À l aube de 2008, les principaux enjeux : L intégration des nouveaux services de collecte des matières organiques à mettre en place; L implantation d installations de traitement aptes à desservir les municipalités dans un contexte difficile.

3 Objectifs de la présentation Aperçu des considérations de choix face aux multiples possibilités de collecte et de traitement Aperçu de quelques exemples municipaux Pistes et éléments de planification en vue de la mise en place de la collecte et du traitement des matières organiques aux fins de valorisation

4 Le point de départ Le PGMR et ses grandes orientations Caractéristiques des matières produites Type d habitations résidentielles et particularités du territoire et des entreprises du secteur ICI Stratégies de base et objectifs poursuivis

5 Stratégies de collecte avec tri à la source MATIÈRES RÉSIDUELLES TRIÉES À LA SOURCE Déchets ultimes Matières recyclables Matières organiques VALORISATION SUR PLACE Herbicyclage (laisser au sol); Compostage domestique. COLLECTE DES MATIÈRES ORGANIQUES CENTRE DE TRAITEMENT POUR VALORISATION

6 Herbicyclage et compostage domestique Contribution au rendement global d un programme Ne peut se substituer aux collectes en bordure de rue Potentiel élevé mais du chemin à faire 3 RV ne veut pas dire implantation graduelle Besoins et contraintes différentes (citoyen) Agir à plusieurs niveaux pour résultats efficaces Mesure du résultat des efforts de réduction Indicateurs de performance Collaboration entre municipalités Messages et modalités semblables

7 Stratégies de collecte avec tri à la source MATIÈRES RÉSIDUELLES TRIÉES À LA SOURCE Déchets ultimes Matières recyclables Matières organiques VALORISATION SUR PLACE Herbicyclage (laisser au sol); Compostage domestique. COLLECTE DES MATIÈRES ORGANIQUES OPTION 1 : Collecte combinée des résidus alimentaires et des résidus verts ensemble Services complémentaires Collecte des surplus de résidus verts Collecte de branches Collecte d arbres de Noël Lieux d apport volontaire OPTION 2 : Collectes séparées des résidus alimentaires et des résidus verts Services complémentaires Collecte de branches Collecte d arbres de Noël Lieux d apport volontaire CENTRE DE TRAITEMENT POUR VALORISATION

8 Les choix Matières organiques organiques Matières acceptées acceptées Type de Collecte Type de Traitement doivent être faits en fonction les uns des autres

9 Caractéristiques des matières organiques Matières organiques 35 à 50 % Fractions variables de résidus verts, de résidus alimentaires et de fibres souillées Résidus verts 10 à 25 % Résidus alimentaires 15 à 25 % Fibres souillées 5% Saisonnière ou plutôt régulière Quantités et proportions Évolution dans le temps Nuisances (odeurs, vermine) Contaminants physiques (corps étrangers), chimiques, biologiques Impact sur le traitement et la qualité du compost

10 Caractéristiques des matières organiques Résidus verts Fraction moins bien connue qui diffère le plus selon les régions Production saisonnière et variable Appelés à diminuer valorisation sur place (herbicyclage) Évaluation plus spécifique étude des variations saisonnières Rés idus alim entaires Rés idus de jardin se pt em br e oc to br e no ve m br e ju ill e t ju in m ai av ri l m ar s 0 ja nv ie r tonnes

11 Caractéristiques des matières organiques Matières organiques 35 à 50 % Les résidus alimentaires: Résidus verts caractéristiques et implications différentes des résidus verts 10 à 25 % Résidus alimentaires 15 à 25 % Participation plus faible Flux plus constant dans le temps Plus de corps étrangers Fibres souillées 5% Niveau de traitement plus élevé pour contrôler les nuisances et optimiser la qualité du compost Compostage en système fermé

12 Matières organiques acceptées Impact sur les rendements (kg/u.o./an) Impact sur les procédés de traitement Impact sur le choix des contenants Ex.: les résidus alimentaires doivent être collectés dans des contenants qui isolent les odeurs et protègent contre la vermine Impact sur la fréquence de collecte Ex.: les résidus alimentaires exigent en général une collecte hebdomadaire pendant l été

13 Les choix Matières organiques acceptées Type de de Type collecte Collecte Type de Traitement doivent être faits en fonction les uns des autres

14 OPTION 1. Collecte combinée des résidus verts et des résidus alimentaires ensemble Stratégie de collecte basée sur l outil «bac roulant» Collecte mécanisée/automatisée, matières en vrac Ensemble des matières organiques (verts, alimentaires) Volume justifié pour les résidus verts Protection de la vermine et des odeurs Esthétique et outil incitatif Coût de traitement diminué par le vrac Particulièrement bien adapté: En banlieue, secteur d habitations unifamiliales avec espace

15 Rés idus alim entaires Collectes ou modalités spéciales durant les pointes de saison Mesures additionnelles pour l apport volontaire Taille des contenants versus les besoins (90 à 360 L) Moduler les fréquences selon les saisons Il y a aussi des contraintes et inconvénients Ne convient pas à tous volume, encombrement, etc. Difficultés et faible participation en hiver espace requis, gel, appréhensions à la collecte en vrac pour l alimentaire Coût d achat des bacs et coûts de compostage plus élevés (système fermé et enlèvement des corps étrangers) Résidus de jardin se pt em b oc re t no obr ve e m br e m ar s av ril m ai ju in ju ille t ja nv ie r Pour en optimiser les rendements: tonnes Collecte combinée des résidus verts et des résidus alimentaires ensemble

16 Plusieurs expériences ici et ailleurs Victoriaville, Laval, Lachute, Saint-Donat, Rawdon, Chertsey, Îles-de-la-Madeleine, et plusieurs pilotes Nombreuses expériences, Nouvelle-Écosse et ailleurs au Canada, certains états américains et Europe Collecte hebdomadaire requise en été; Rendement plus faible l hiver - alimentaires; Photo Ville d Hamilton Certains programmes particulièrement performants ex: Halifax avec un rendement de 175 kg/u.o. /an de résidus alimentaires (fibres incl.)!

17 OPTION 2. Collectes séparées des résidus verts et des résidus alimentaires Collecte simultanée (camion à compartiments) des résidus alimentaires et recyclables/déchets et collecte distincte des résidus verts Collecte manuelle, hebdomadaire à l année Variantes de petits bacs (35 à 45 L) et de sacs (couleur, transparent, plastique, biodégradable): 3 à 4 kg/u.o./sem. Favorise un rendement élevé pour l alimentaire (> 180 kg/u.o/an) Approches de traitement peuvent différer pour les résidus verts et les résidus alimentaires ramassés séparément

18 Co-collecte: collecte simultanée de deux matières dans un camion à compartiments Particulièrement bien adapté Secteurs urbains limiter le trafic, le passage de camions Secteurs ruraux- limiter les distances parcourues Lieux de traitement/transfert communs aux fractions combinées (organiques et recyclables/déchets) Il y a aussi des contraintes et inconvénients Collecte manuelle et main d œuvre (SST, disponibilité, etc.) Proportions variables des fractions combinées peuvent limiter l optimisation Effort de communication nécessaire pour faire au citoyen qu il s agit d une gestion distincte des matières combinées

19 Exemple de la Ville de Toronto Petit bac de 45 L pour les résidus alimentaires 30% résidus alimentaires Photos: Ville de Toronto 70% déchets ou recyclables (en semaines alternées) Camions de co-collecte $ à $

20 Des expériences révélatrices en Ontario: augmenter le rendement en minimisant les coûts Co-collecte lorsque avantageux Réduction des coûts jusqu à 30 % (Toronto, Niagara, Guelph, Hamilton, Durham, Markham) Collecte bi-mensuelle des déchets Réduction des coûts jusqu à 30 % (Toronto, Guelph, Markham, bientôt Durham) Collecte séparée des résidus verts - vrac ou sacs de papier Restriction à la collecte des déchets (fraction organique) Sacs dédié: un élément à intégrer aux contenants rigides Moins de lavage des contenants requis (participation accrue) Diminue le facteur de dégoût (participation accrue)

21 Plusieurs variantes et options de collecte Petit camion sans compaction Expérience Européenne Dédié aux résidus alimentaires Ramassés manuellement Mode de collecte qui minimise les coûts d investissement et d opération pour les résidus alimentaires récupérés régulièrement Photo: M.Ricci, Italy

22 Plusieurs variantes et options de collecte Photo: Ville d Ottawa Photo: Ville de Toronto Modalités de collecte: fréquences, contenants, etc. Photo: Saint-Bruno-de-Montarville

23 Plusieurs variantes et options de collecte Résidus verts Modalités plus faciles à changer si collecte séparée, avec le temps et selon l impact de la réduction à la source (herbicyclage et compostage domestique) Photo IPL

24 Choix des modes de collecte Facteurs-clés et considérations importantes Composition des matières résiduelles qui dicte où mettre l emphase pour optimiser rendement versus coût Offrir plus de service pour les matières à valoriser et contraindre / limiter la collecte des déchets Coordonner avec les choix quant aux méthodes de traitement et aux modes de gestion (propriété et opération publique, privée, en partenariat) Adaptation du système de collecte aux spécificités locales (type d habitation, ICI, etc.) Expérimentations pilotes et phases d implantation

25 Les choix Matières organiques acceptées Type de Collecte Type de de Type Traitement Traitement doivent être faits en fonction les uns des autres

26 Coordonner collecte et traitement: un compromis à plusieurs niveaux Objectif Rendement élevé Éléments favorables et impacts Collecter en sacs Inclusion de plusieurs matières (fibres souillées) Collecte hebdomadaire (moindre pour les déchets) Traitement adapté plus de pré-traitement (+ $) Qualité élevée de matières et de compost Collecte en vrac Limite quant aux matières acceptées Sensibilisation et contrôle de la participation Collecte séparée des résidus verts Traitement adapté plus de pré et post-traitement (+ $) Coûts optimisés Plus il y a d effort de séparation des matières en amont, moindres sont les coûts de traitement, plus le potentiel de valorisation est élevé.

27 Deux grandes approches de traitement Compostage Production de compost Digestion anaérobie et post-compostage Production d énergie (vapeur, électricité) ajout d eau et rejets d eaux usées Production de compost

28 Approches et technologies de traitement Par les choix que font les municipalités au niveau de la collecte, divers types de traitement possibles Ex: la collecte séparée des résidus alimentaires offre des perspectives différentes La digestion anaérobie (DA) qui est davantage propice aux résidus alimentaires (putrescibles) Les procédés humides (DA), particulièrement efficaces pour l enlèvement des corps étrangers (légers et lourds, etc.) Les résidus verts peuvent être compostés sur aire ouverte, à moindre coût, sur des installations plus petites Photo Solinov : Ville de Montréal

29 Approche technologique avec digestion anaérobie et compostage Coûts plus élevés, localisation parfois simplifiée, contrôle des odeurs amélioré Photo Solinov, Allemagne

30 Les résidus digérés doivent être compostés Photo : Ville de Toronto

31 Compostage avec collecte séparée des résidus alimentaires Ville de Guelph, depuis 1996 Technologie en silo-couloirs tonnes/an, co-collecte des résidus alimentaires en sacs de plastique et collecte séparée des résidus verts en vrac Photos Solinov, Ville de Guelph

32 Collecte par bac roulant et compostage Photo: Ville de Laval Expérience de la Ville de Laval

33 Compostage: systèmes ouverts, systèmes fermés et tant de possibilités de combinaison Photo: Island Waste Management Corporation, IPE

34 Stratégies de collecte avec tri à la source MATIÈRES RÉSIDUELLES TRIÉES À LA SOURCE Déchets ultimes Matières recyclables Matières organiques VALORISATION SUR PLACE COLLECTE DES MATIÈRES ORGANIQUES CENTRE DE TRAITEMENT POUR VALORISATION Traitement des résidus verts et alimentaires ensemble ou séparés Compostage ou digestion anaérobie Centre existant ou nouvelle installation dédiée

35 Infrastructures de traitement: les enjeux Plusieurs nouvelles installations de compostage seront nécessaires pour desservir les municipalités: Localisation appropriée, bien planifiée; Technologies adaptées et intégrées à la collecte; Exploitation responsable et saine gestion; Mise en marché efficace des composts. Il n y a pas de règle capacité minimale, technologies, etc. Concevoir son projet sur mesure; L enjeu est dans la façon de le gérer.

36 Opportunités pour le compostage Disponibilité de zones favorables: compatibilité des usages et services Traitement conjoint des matières organiques: Résidus domestiques, biosolides municipaux, résidus de bois industriels et CRD, résidus ICI - alimentaires et fibres Partenaires potentiels expertise du privé; Besoin de services et de retombées locales; Marché régional pour les composts

37 Implantation de nouvelles installations: une démarche en plusieurs étapes Étudier les options possibles Modalités de collecte, disponibilités de sites appropriés, opportunités de partenariats sur le territoire de planification Déterminer le mode de gestion et de financement Propriété et opération de l installation, mise en marché du compost Selon le cas, processus d appels d offres ou élaboration complète du projet par la municipalité Élaborer les concepts et estimer les coûts Localisation possibles, capacité et services offerts, approche de traitement et marchés, coûts et financement Sélection du site et démarches d autorisation CPTAQ, réglementation municipale et aménagement, MDDEP Processus d implantation

38 Options de traitement Le choix des modes de traitement revient au propriétaire et/ou à l exploitant, et dépend: des conditions des sites disponibles; des capacités de traitement requises; de la nature des intrants (alimentaires, verts, fibres, biosolides, provenance résidentielle/ici); des modes de collecte (sacs, bacs); des perspectives de marché pour les composts;

39 Localisation des nouvelles installations Élément essentiel de la prévention des odeurs Éloignement et zone tampon versus impacts du transport Taille de l exploitation et choix de technologies appropriées Un sujet délicat dans les municipalités Contrer le appréhensions négatives par une implantation bien préparée Niveau de contrôle requis pour une exploitation respectant les règles de l art

40 Localisation de nouvelles installations Dans tous les cas, les municipalités sont interpellées Conformité requise à la réglementation municipale, au schéma d aménagement; Responsables d atteindre l objectif de valorisation. Plusieurs solutions à explorer: Concertation régionale et identification de zones favorables et de critères d implantation appropriés, implication en amont; Compatibilité des usages et opportunités spécifiques (ex: infrastructures municipales existantes, station d épuration) Des délais sont à prévoir

41 Planification et coordination Dans la majorité des cas, il faut compter au moins une année pour bien planifier un programme de collecte et de compostage et un délai additionnel pour la mise en œuvre, selon l envergure et le contexte de réalisation du projet

42 2008, c est demain matin Planifier à l avance l implantation de la collecte et d un site de compostage le cas échéant Évaluer les nombreuses options disponibles Arrimer l ensemble des services de collecte et des mesures de sensibilisation/ éducation Un projet de valorisation des matières organiques c est une occasion de retombées régionales positives il faut la saisir! Tôt ou tard, c est incontournable

43 2008, c est demain matin Des outils pour aider et guider les municipalités Plusieurs expériences municipales inspirantes Regroupement et échange pour mettre en commun des informations et outils (ex: communication et sensibilisation) Guide de Recyc-Québec sur la collecte et le compostage des matières organiques du secteur municipal à venir bientôt Formation spécialisée opération d installations de compostage Conseil canadien du compostage, Recyc-Québec, MDDEP, associations et autres ressources/expertises Bon succès!

44 MERCI! QUESTIONS? Françoise Forcier, ing., agr., M.Ing. Tél:

APPLICABLES AUX TERRITOIRES DE L AGGLOMÉRATION DE MONTRÉAL

APPLICABLES AUX TERRITOIRES DE L AGGLOMÉRATION DE MONTRÉAL Rapport final RT04-19605 ÉTUDE DE FAISABILITÉ DES TECHNOLOGIES DE TRAITEMENT DES MATIÈRES ORGANIQUES APPLICABLES AUX TERRITOIRES DE L AGGLOMÉRATION DE MONTRÉAL Novembre 2006 Étude de faisabilité des technologies

Plus en détail

Mise à jour de l estimation budgétaire des RT-01 28109

Mise à jour de l estimation budgétaire des RT-01 28109 RT-01 28109 Mise à jour de l estimation budgétaire des coûts pour les installations de traitement des matières organiques des divers scénarios considérés par la Ville de Québec Mars 2009 Mise à jour de

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVIII e ÉDITION Projet de règlement no. 3 : Règlement sur la responsabilisation environnementale PRÉSENTATION Présenté par Monsieur Maxime Maheu-Moisan, membre du comité exécutif,

Plus en détail

WebInfoRoute. Gestion de l'information routière. outil développé en partenariat avec le. Conseil Général des Hautes-Alpes.

WebInfoRoute. Gestion de l'information routière. outil développé en partenariat avec le. Conseil Général des Hautes-Alpes. WebInfoRoute Gestion de l'information routière outil développé en partenariat avec le Conseil Général des Hautes-Alpes Sommaire L'information routière dans les Hautes-Alpes Patrouilles Viabilité hivernale

Plus en détail

LA GESTION DES MATIÈRES ORGANIQUES (RÉSIDUS DE CUISINE ET DE JARDIN)... 13 FOURNISSEURS D ÉQUIPEMENTS DE GESTION DES MATIÈRES RÉSIDUELLES...

LA GESTION DES MATIÈRES ORGANIQUES (RÉSIDUS DE CUISINE ET DE JARDIN)... 13 FOURNISSEURS D ÉQUIPEMENTS DE GESTION DES MATIÈRES RÉSIDUELLES... TABLE DES MATIÈRES MOT DU PRÉFET... 3 Pourquoi se préoccuper des matières résiduelles?... 3 Du soutien gratuit pour vous!... 4 Pourquoi les ICI?... 4 Étapes et démarches reliées à une saine gestion des

Plus en détail

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir

les outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE

Plus en détail

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles

Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Consultation publique sur le projet de politique québécoise de gestion des matières résiduelles Mémoire du Regroupement national des conseils régionaux de l environnement du Québec 23 février 2010 Présentation

Plus en détail

Quartier Calmette Tilleuls. 6 Juin 2012

Quartier Calmette Tilleuls. 6 Juin 2012 Rendez-vous urbain Quartier Calmette Tilleuls 6 Juin 2012 le 6 Juin 2012 1. Parcours réalisé 1 2 Pour ce troisième rendez-vous urbain, seulement trois personnes étaient présentes sur les douze convoquées.

Plus en détail

Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011!

Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011! Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011! Introduction! Repenser les toits! Des surfaces à exploiter! Très

Plus en détail

notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition?

notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition? 2 Saviez-vous que notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition? L avenir de la consigne au Québec est présentement incertain. Au printemps 2015, le Ministère du Développement

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

Stratégie de réduc-on des déchets Waste Reduc-on Strategy: Contrat 2016 Contract

Stratégie de réduc-on des déchets Waste Reduc-on Strategy: Contrat 2016 Contract Stratégie de réduc-on des déchets Waste Reduc-on Strategy: Contrat 2016 Contract Andrew Duffield Directeur des Travaux publics Director of Public Works 2015-05- 25 Résultats des ini-a-ves de la Stratégie

Plus en détail

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009

Protection de la ressource et Métiers de l Automobile. Intervention du 12 octobre 2009 Protection de la ressource et Métiers de l Automobile Intervention du 12 octobre 2009 Intervention 1. Le CNPA et le Défi de l Environnement 2. Environnement et Métiers de l Automobile 3. Le parcours du

Plus en détail

option pour le climat?

option pour le climat? Biosolides municipaux Quelle est la meilleure option pour le climat? Claude Villeneuve, professeur titulaire, directeur de la Chaire en éco-conseil de l Université du Québec à Chicoutimi (Claude_Villeneuve@uqac.ca)

Plus en détail

ÉVÉNEMENTS ÉCORESPONSABLES

ÉVÉNEMENTS ÉCORESPONSABLES ÉVÉNEMENTS ÉCORESPONSABLES LA GESTION RESPONSABLE D ÉVÉNEMENTS Le Bureau de normalisation du Québec a rendu publique, en juin 2010, une norme en gestion responsable d événements. La norme vient du besoin

Plus en détail

La cuisine de rue à Montréal : enjeux et réflexions

La cuisine de rue à Montréal : enjeux et réflexions Commission permanente sur le développement économique et urbain et l habitation La cuisine de rue à Montréal : enjeux et réflexions Consultation publique Octobre 2012 MONTRÉAL : qu est-ce que la cuisine

Plus en détail

Étude portantsurlaproblématiquedes lieux d enfouissement technique pourl éliminationdes résidus ultimesdel agglomérationdemontréal

Étude portantsurlaproblématiquedes lieux d enfouissement technique pourl éliminationdes résidus ultimesdel agglomérationdemontréal Étude portantsurlaproblématiquedes lieux d enfouissement technique pourl éliminationdes résidus ultimesdel agglomérationdemontréal Septembre 2006 Équipe deréalisation: Étude réaliséepar: Karine Dionne

Plus en détail

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011

Flash économique. Agglomération de Montréal. Faits saillants. Septembre 2011 Septembre 2011 Faits saillants Selon les données émises par la Chambre immobilière du Grand Montréal, la revente de résidences dans l agglomération de Montréal a atteint les 16 609 transactions en 2010,

Plus en détail

Les actions en sécurité alimentaire, notre DSP avant 2006

Les actions en sécurité alimentaire, notre DSP avant 2006 Leadership et mobilisation intersectorielle t i régionale : l exemple du Comité intersectoriel sur la sécurité alimentaire à Laval (CASAL) Présentation dans le cadre des Journées annuelles de santé publique

Plus en détail

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire

Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Collecte et valorisation des déchets dans le pays de Gex Permis de construire Édition 2013 Règles et prescriptions à respecter pour les permis de construire Prévoir la voirie, les équipements et les zones

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

COMMISSION DE SUIVI DE SITE

COMMISSION DE SUIVI DE SITE COMMISSION DE SUIVI DE SITE Centre de traitement multi filière SYCTOM IVRY Paris XIII Centre de tri et déchèterie exploités par SITA IDF SOMMAIRE Bassins versants Présentation du Centre de tri Bilan d

Plus en détail

Toitures vertes : bien commun ou bien privé?

Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Toitures vertes : bien commun ou bien privé? Owen A. Rose LEED, M.Arch, B.Comm www.ecologieurbaine.net www.montroyal-avenueverte.org www.ecosensuel.net Toitures vertes à la montréalaise Un vieux concept

Plus en détail

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles

COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles COLLECTE DES DECHETS MENAGERS : Recommandations techniques applicables lors de la conception de voiries, lotissements et immeubles Rappel : Organisation de la collecte des déchets sur le secteur de SAINT-BRIEUC

Plus en détail

Bibliothèque Royale Albert 1er

Bibliothèque Royale Albert 1er Bibliothèque Royale Albert 1er Description du projet Ce projet a pour but de valoriser des espaces plats et inutilisés (toit, terrasse ou autre) par la création de potagers écologique (sans pesticide,

Plus en détail

Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011

Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Le traitement mécano-biologique des déchets Important pour le Maroc? Casablanca, 23 Mars 2011 Plan de la présentation Partie I Pourquoi le TMB? Partie II Variantes techniques Partie III Conclusions pour

Plus en détail

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires

Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Chapitre 2 : Systèmes radio mobiles et concepts cellulaires Systèmes cellulaires Réseaux cellulaires analogiques de 1ère génération : AMPS (USA), NMT(Scandinavie), TACS (RU)... Réseaux numériques de 2ème

Plus en détail

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS

19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS 19- LA COLLECTE ET LE TRAITEMENT DES DECHETS Rapport de présentation / Diagnostic Dossier de PLU approuvé 255 19.1 LES ORDURES MENAGERES ET EMBALLAGES MENAGERS RECYCLABLES La prestation de collecte des

Plus en détail

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues

La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues La production de biogaz : La solution de valorisation énergétique des boues Sommaire 1. Etat des lieux 2. Un contexte favorable à une optimisation énergétique 3. Maximiser la production de biogaz 4. Quelques

Plus en détail

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1

Pompes à Chaleur & environnement acoustique. Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur. Fiche technique n 1 Fiche technique n 1 Pompes à Chaleur & environnement acoustique Recommandations pour la mise en œuvre des pompes à chaleur Association Française pour les Pompes A Chaleur 1 1 Puissance et pression acoustique

Plus en détail

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière?

L autopartage en trace directe : quelle alternative à la voiture particulière? L autopartage en trace directe : quelle alternative à la particulière? Résultats de la première enquête sur l impact d un service d autopartage en trace directe (le cas d Autolib ) Cette étude réalisée

Plus en détail

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com

eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com eat recovery system Metos Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste La solution compacte à vos dechets! www.metos.com Traitement de Déchets Solus Eco Flex Waste De plus en plus, le traitement des biodéchets

Plus en détail

Centre Multimodal de Distribution Urbaine Logistique Urbaine et système d information

Centre Multimodal de Distribution Urbaine Logistique Urbaine et système d information Centre Multimodal de Distribution Urbaine Logistique Urbaine et système d information Jean-Charles DECONNINCK Président de Generix Group 19 Septembre 2014 Generix Group Qui Éditeur de solutions applicatives

Plus en détail

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE

UNE MEILLEURE CONNAISSANCE CONCEVOIR ET GÉRER DES AMAS DE FUMIER SOLIDE AU CHAMP UNE MEILLEURE CONNAISSANCE pour un meilleur environnement En 2002, le Règlement sur les exploitations agricoles (REA) prévoyait l échéance des dispositions

Plus en détail

Mémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l

Mémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l Mémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l agglomération de Montréal Novembre 2014 Mémoire sur le

Plus en détail

Toutes les animations sont gratuites et ouvertes à tous!

Toutes les animations sont gratuites et ouvertes à tous! Dossier de presse Semaine Européenne de la Réduction des déchets 16 au 24 novembre 2013 Concarneau Cornouaille Agglomération (CCA) a signé un Programme local de prévention en juillet 2011 en partenariat

Plus en détail

Vous achetez une première habitation? Sachez RAPer sans déraper!

Vous achetez une première habitation? Sachez RAPer sans déraper! Vous achetez une première habitation? Sachez RAPer sans déraper! Recherche et rédaction Julien Michaud (Autorité des marchés financiers) Collaborateurs Vincent Ardouin (Cégep Marie-Victorin) Marylaine

Plus en détail

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif

Guide d entretien. de votre assainissement non collectif juillet 2009 Guide d entretien de votre assainissement non collectif Votre système d assainissement n est pas raccordé au «tout à l égout». Il est dit «non-collectif», «autonome» ou encore «individuel».

Plus en détail

Madame Monsieur, Yves ALLIENNE

Madame Monsieur, Yves ALLIENNE Madame Monsieur, Merci à l A.P.H et à sa Présidente de m avoir permis de présenter ce qui fait le quotidien des Services Municipaux en matière de Propreté Urbaine. Le classement de notre belle station

Plus en détail

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD

Plus en détail

COMMUNAUTE DE L AGGLOMERATION.DIJONNAISE REGLEMENT DU SERVICE DE COLLECTE DES DECHETS MENAGERS ET DES DECHETS ASSIMILES

COMMUNAUTE DE L AGGLOMERATION.DIJONNAISE REGLEMENT DU SERVICE DE COLLECTE DES DECHETS MENAGERS ET DES DECHETS ASSIMILES COMMUNAUTE DE L AGGLOMERATION.DIJONNAISE REGLEMENT DU SERVICE DE COLLECTE DES DECHETS MENAGERS ET DES DECHETS ASSIMILES ARTICLE 1 -DEFINITION DES DECHETS COLLECTES Sont compris dans la dénomination de

Plus en détail

Table des matières. Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2

Table des matières. Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2 Table des matières Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2 2.1 Quantités et caractéristiques des produits à valoriser... 2 2.2 Apprentissages des expériences de

Plus en détail

L enfouissement des déchets ultimes

L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E L enfouissement des déchets ultimes L E C E N T R E D E N F O U I S S E M E N T T E C H N I Q U E LE CENTRE D ENFOUISSEMENT TECHNIQUE (C.E.T.)

Plus en détail

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION

LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION LES AUTRES THÈMES BIOMÉTHANISATION Technologies émergeantes de biométhanisation de la biomasse végétale en Inde H.N. Chanakya, Centre for Sustainable Technologies (formerly ASTRA Centre), Indian Institute

Plus en détail

SELLE Masse d'eau AR51

SELLE Masse d'eau AR51 SELLE Masse d'eau AR51 Présentation Générale : Superficie : 720 m² exutoire : Somme canalisée à Amiens longueur des cours d'eaux principaux : 63,27 km Population du bassin Versant 2006 : 28 211 hab Évolution

Plus en détail

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011

Règlement numéro LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT. Avril 2011 Règlement numéro 346 LA GESTION DES EAUX DE SURFACE ET LES RACCORDEMENTS AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT Avril 2011 VOS RESPONSABILITÉS LIÉES AUX SERVICES D AQUEDUC ET D ÉGOUT DE VOTRE IMMEUBLE Protection

Plus en détail

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux

pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux pour un pacte écologique local : questions aux futurs élus locaux Préserver la biodiversité dans la commune La commune dispose-t-elle d'un inventaire du patrimoine écologique local? Quelle part de budget

Plus en détail

TD ASSURANCE HABITATION ET AUTO

TD ASSURANCE HABITATION ET AUTO ÉTUDE DE CAS TD ASSURANCE HABITATION ET AUTO TD Assurance habitation et auto (TDAHA) est une marque de commerce du Groupe TD Meloche Monnex. Dans le domaine de l assurance habitation et auto, le Groupe

Plus en détail

FICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication

FICHE ACTION n 31. Fleur des Mauges. ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication FICHE ACTION n 31 Fleur des Mauges ACTIONS GLOBALES Pacte «nature et stratégie», Transparence et stratégie de la gouvernance, communication ACTIONS SOCIALES ET SOCIETALES Sensibilisation et formation du

Plus en détail

Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P )

Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P ) Rénovation à très haute performance énergétique (Minergie-P ) de Treize immeubles d habitation Pour la Société Coopérative d Habitation 10.03.2014 1. INTRODUCTION 1.1Présentation de la société candidate

Plus en détail

Procès-verbal de la séance ordinaire du conseil tenue à l hôtel de ville de Chertsey, le lundi 21 juillet 2014, à 19 h 30.

Procès-verbal de la séance ordinaire du conseil tenue à l hôtel de ville de Chertsey, le lundi 21 juillet 2014, à 19 h 30. PROVINCE DE QUÉBEC MRC DE MATAWINIE MUNICIPALITÉ DE CHERTSEY Procès-verbal de la séance ordinaire du conseil tenue à l hôtel de ville de Chertsey, le lundi 21 juillet 2014, à 19 h 30. Présents : M. Michel

Plus en détail

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES

BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES BROCHURE DESTINÉE A ACCOMPAGNER LA MISE EN OEUVRE DE LA PART INCITATIVE DE LA TAXE D ENLEVEMENT DES ORDURES MENAGERES SOMMAIRE I- AVANT-PROPOS I.1- LES TROIS MODES DE FINANCEMENT DU SERVICE PUBLIC D ÉLIMINATION

Plus en détail

EMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM

EMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM EMC DATA DOMAIN OPERATING SYSTEM Au service du stockage de protection EMC AVANTAGES CLÉS Déduplication évolutive ultrarapide Jusqu à 31 To/h de débit Réduction des besoins en stockage de sauvegarde de

Plus en détail

À recycler ou pas? Guide pratique du tri

À recycler ou pas? Guide pratique du tri À recycler ou pas? Guide pratique du tri Pour trier, quels sont vos équipements? Pour les bouteilles et flacons en plastique, les emballages métalliques, les cartonnettes et les briques alimentaires Pour

Plus en détail

Mode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes

Mode d emploi. Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes Mode d emploi Moins de déchets, 10 gestes pour transformer nos habitudes 10 «petits» gestes pour réduire nos déchets Réduire ses déchets c est avant tout mieux consommer Le meilleur déchet est celui qui

Plus en détail

Est-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles?

Est-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles? FAQ // coopératives d habitations étudiante Est-ce que les coopératives d habitations sont des résidences universitaires traditionnelles? Pas du tout! Mise à part qu elles soient dédiées à la population

Plus en détail

Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne

Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Stratégie et développement du groupe Sogaris en logistique urbaine pour l agglomération parisienne Logistique urbaine : Sogaris imagine des solutions adaptées à la ville de demain Le 16 avril 2014 Contacts

Plus en détail

Montréal ORIENTATION. Améliorer la qualité de l air et réduire les émissions de gaz à effet de serre ACTION 2: Présentation de l action générale

Montréal ORIENTATION. Améliorer la qualité de l air et réduire les émissions de gaz à effet de serre ACTION 2: Présentation de l action générale /1 ORIENTATION Hochej -i1sonneuve Montréal Améliorer la qualité de l air et réduire les émissions de gaz à effet de serre m j3 ACTION 2: Réduire la dépendance à l automobile Présentation des enjeux reliés

Plus en détail

Que suis-je? Plus de 50% des GES sont sous mon contrôle et donc ma responsabilité

Que suis-je? Plus de 50% des GES sont sous mon contrôle et donc ma responsabilité Que suis-je? Je détiens près de 60% des infrastructures J accueille aujourd hui plus de 60% de la population mondiale Je réunis l économie du savoir, des services, des finances sur mon territoire 1 Que

Plus en détail

AÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3.

AÉRIENNE UNE STRATÉGI. Organisation. n de l aviation. Montréal, 19 1.1. SOMMAIRE et à moyen terme. la surveillance. fusion de. tions du 5.3. Organisation n de l aviation civile internationale NOTE DE TRAVAIL AN-Conf/12-WP/146 31/10/12 Français et anglais seulement 1 DOUZIÈME CONFÉRENCE DE NAVIGATION AÉRIENNE Montréal, 19 30 novembre 2012 Point

Plus en détail

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2

2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 Renens Epalinges Gland Froideville Crissier 11 janvier 17 janvier 18 janvier 19 janvier 19 janvier 2011 / rev. 01 JDL / 30.12.2 tourisme des déchets Lausanne Région (29 communes, ~275 000 habitants) GEDREL

Plus en détail

Smart grids for a smart living Claude Chaudet

Smart grids for a smart living Claude Chaudet Smart grids for a smart living Claude Chaudet 1 Institut Mines-Télécom Les smart grids en quelques mots Modernisation des réseaux électriques Utilisation des technologies de l information et de la communication

Plus en détail

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY

POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY POLITIQUE FAMILIALE DU CANTON DE WESTBURY «Penser et agir famille» LES OBJECTIFS 1. Accueillir les familles avec respect et ouverture d esprit dans toutes leurs formes et leurs différences. 2. Stimuler

Plus en détail

LE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS

LE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS UN DOUTE? UNE QUESTION? LE DEVENIR DES EMBALLAGES TRIÉS LA COLLECTE DES SACS ET DES BACS JAUNES : Les agents de collecte ramassent une fois par semaine les sacs et bacs jaunes. Seuls les emballages et

Plus en détail

Les communes et l Agglo ont mobilisé de mai à septembre les personnes susceptibles d apporter une contribution au débat.

Les communes et l Agglo ont mobilisé de mai à septembre les personnes susceptibles d apporter une contribution au débat. AGENDA 21-PLAN CLIMAT DU PAYS D AUBAGNE ET DE L ETOILE BILAN DE LA CONCERTATION DANS LES COMMUNES DU 24 SEPTEMBRE AU 1 ER OCTOBRE 2011 La Communauté d'agglomération du Pays d'aubagne et de l'etoile a décidé

Plus en détail

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment

la pauvreté 33 ses lutte contre territorial. création.cette n ne doit pas d insertion. 1. UNE Accompagner la Participation travaux sont évidemment Accompagner la participation des allocataires Par Marion Drouault, responsable de projets à l (Version courte) Participation et RSA : «Accompagner la l participation des allocataires» S appuyant en particulier

Plus en détail

Conférence sur la location

Conférence sur la location Conférence sur la location immobilière de Montréal TRAVAILLER VIVRE JOUER APPRENDRE 23 mai 2013 Session C1 Travailler, vivre, jouer et apprendre: comment la réutilisation et les développements adaptifs

Plus en détail

Waste concern. Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory. Initiative

Waste concern. Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory. Initiative Observatoire du Management Alternatif Alternative Management Observatory Initiative Waste concern Laura Loffler Novembre 2012 Majeure Alternative Management HEC Paris 2012-2013 Loffler Laura Fiche Initiative

Plus en détail

Le portrait budgétaire

Le portrait budgétaire ACEF du Haut-Saint-Laurent 340 boul. du Havre, bur. 203 Salaberry-de-Valleyfield, Québec J6S 1S6 Téléphone : 450-371-3470 Courriel : acefhsl@hotmail.com Page web : www.acefhsl.org Les bureaux de l ACEF

Plus en détail

FORMATS DE JEU POUR LA PRATIQUE DU SOCCER AU QUÉBEC FÉDÉRATION DE SOCCER DU QUÉBEC

FORMATS DE JEU POUR LA PRATIQUE DU SOCCER AU QUÉBEC FÉDÉRATION DE SOCCER DU QUÉBEC FORMATS DE JEU POUR LA PRATIQUE DU SOCCER AU QUÉBEC FÉDÉRATION DE SOCCER DU QUÉBEC MARS 2011 CHEMINEMENT IDÉAL DU JOUEUR DE SOCCER AU QUÉBEC STADES 1 DÉPART ACTIF 2 LES FONDAMEN- TAUX 3 L ÂGE D OR DE L

Plus en détail

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude

Plus en détail

ARTICLE 1 - Réglementation et rôle de la Collectivité

ARTICLE 1 - Réglementation et rôle de la Collectivité CCPG - 135 Rue de Genève BP 441 01174 GEX Cedex Tel : 04 50 42 26 41 / Fax : 04 50 42 65 01 - dechets@ccpg.fr CONTRAT DE COLLECTE DES DÉCHETS ASSIMILÉS «DIB-DAC» ARTICLES L.2224-14 ET L.2333-78 DU CGCT

Plus en détail

Prise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique

Prise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique COUNCIL OF EUROPEAN MUNICIPALITIES AND REGIONS CONSEIL DES COMMUNES ET REGIONS D EUROPE Inscrit au registre des représentants d intérêts de la Commission européenne. Numéro d inscription : 81142561702-61

Plus en détail

Table des Matières. 1. Organisation proposée. 1. Système d information & Remontées d information. 1. Dashboard. 1. Qualité de service

Table des Matières. 1. Organisation proposée. 1. Système d information & Remontées d information. 1. Dashboard. 1. Qualité de service Table des Matières 1. Organisation proposée 1. Système d information & Remontées d information 1. Dashboard 1. Qualité de service 1. Service Client Organisation proposée 3 Organisation proposée Le concept

Plus en détail

9, Rue de la Ville 14600 Honfleur Tél : 02 31 14 29 30 Fax : 02 31 14 29 39

9, Rue de la Ville 14600 Honfleur Tél : 02 31 14 29 30 Fax : 02 31 14 29 39 9, Rue de la Ville 14600 Honfleur Tél : 02 31 14 29 30 Fax : 02 31 14 29 39 Collectivités membres : Ablon, Barneville-la-Bertran, Cricqueboeuf, Equemauville, Fourneville, Genneville, Gonneville-sur-Honfleur,

Plus en détail

Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille.

Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille. Le GPS, la téléphonie mobile et les alertes intelligentes au service de la santé et de votre famille. Symposium sur les Créneaux d'excellence québécois et les Pôles de compétitivité français Québec Mercredi

Plus en détail

L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière

L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière L entretien hivernal des routes : concilier protection de l environnement et sécurité routière Audrée Perreault, ing. Naomie Gagnon, ing. jr. Frédéric Champagne, ing. Ministère des Transports du Québec

Plus en détail

Démarche en planification financière personnelle L éthique. Éthique. L éthique

Démarche en planification financière personnelle L éthique. Éthique. L éthique Démarche en planification financière personnelle Denis Preston, G.PA., Adm.A.Pl.fin. Chargé de cours Éthique 1. Les principes éthiques; 2. L encadrement légal; 3. La démarche à respecter; 4. Principes

Plus en détail

V o ir la v ie e n Ble ue. Plan Hypothécaire. Un plan d assurance hypothécaire sécurisant pour votre prêt et votre marge de crédit...

V o ir la v ie e n Ble ue. Plan Hypothécaire. Un plan d assurance hypothécaire sécurisant pour votre prêt et votre marge de crédit... V o ir la v ie e n Ble ue Plan Hypothécaire Un plan d assurance hypothécaire sécurisant pour votre prêt et votre marge de crédit... PlanHypothécaire Croix Bleue est heureuse de vous présenter un plan d

Plus en détail

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie

BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie BLUBOX Système de récupération des eaux de pluie La gestion responsable des eaux pluviales : UNE SOLUTION ACTUELLE POUR UN AVENIR DURABLE L eau est une ressource essentielle à toute forme de vie sur Terre.

Plus en détail

Règlement n o 5.2 concernant les normes de comportement sur le réseau de trains de banlieue

Règlement n o 5.2 concernant les normes de comportement sur le réseau de trains de banlieue Règlement n o 5.2 concernant les normes de comportement sur le réseau de trains de banlieue ADOPTÉ PAR LE CONSEIL D ADMINISTRATION LE 27 MAI 1998 PAR VOIE DE RÉSOLUTION N O 98-CA(AMT)-101 Règlement n o

Plus en détail

Le compost. Un petit écosystème au jardin

Le compost. Un petit écosystème au jardin Le compost Un petit écosystème au jardin En utilisant du compost au jardin, nous rendons les matières organiques produites par le jardin ou par notre alimentation, à l écosystème naturel. Ainsi l écosystème

Plus en détail

POURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY.

POURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY. POURQUOI ET COMMENT ARRIMER LES PDE ET LES SAD? LE CAS CONCRET DE LA MRC DE LA CÔTE-DE-BEAUPRÉ ET DE L OBV CHARLEVOIX-MONTMORENCY. Par Stéphanie Allard, Aménagiste et biologiste associée, ÉCOgestion-solutions

Plus en détail

TD Assurance Habitation Et Auto

TD Assurance Habitation Et Auto Profil du projet TD Assurance Habitation Et Auto Fournites de bureau Mobilier de bureau Impression et documents Fournitures d entretien Technologie Le défi Grand & Toy a été retenue pour créer un environnement

Plus en détail

lautorite.qc.ca Comment faire le point sur vos finances personnelles?

lautorite.qc.ca Comment faire le point sur vos finances personnelles? lautorite.qc.ca Comment faire le point sur vos finances personnelles? Qui sommes-nous? L Autorité des marchés financiers est l organisme de réglementation et d encadrement du secteur financier au Québec.

Plus en détail

ÉVALUATION DES PRÉFÉRENCES DES QUÉBÉCOIS CONCERNANT LES SYSTÈMES DE RÉCUPÉRATION DES CONTENANTS DE BOISSONS. Par. Amélie Côté

ÉVALUATION DES PRÉFÉRENCES DES QUÉBÉCOIS CONCERNANT LES SYSTÈMES DE RÉCUPÉRATION DES CONTENANTS DE BOISSONS. Par. Amélie Côté ÉVALUATION DES PRÉFÉRENCES DES QUÉBÉCOIS CONCERNANT LES SYSTÈMES DE RÉCUPÉRATION DES CONTENANTS DE BOISSONS Par Amélie Côté Mémoire présenté au Centre universitaire de formation en environnement en vue

Plus en détail

ATTENDU QU un montant de 43 543 $ est à pourvoir pour l année 2015, par l ensemble des contribuables de la Municipalité pour la solidarité sociale;

ATTENDU QU un montant de 43 543 $ est à pourvoir pour l année 2015, par l ensemble des contribuables de la Municipalité pour la solidarité sociale; PROVINCE DE QUÉBEC MRC DE MEMPHRÉMAGOG MUNICIPALITÉ D EASTMAN RÈGLEMENT 2015-01 FIXANT, POUR L ANNÉE 2015, LES TAUX DE TAXES, DE TARIFICATION POUR LES SERVICES, LES MODALITÉS DE PAIEMENT DES TAXES ET DES

Plus en détail

COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES COMMUNE DE PONT A MARCQ CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES Objet du Marché : Procédure adaptée pour «entretien des espaces verts de la commune de Pont à Marcq» Année 2013 Maître d ouvrage : Commune

Plus en détail

PRÉSENTATION DE L ÉCOLE LÉCOLE POLYTECHNIQUE

PRÉSENTATION DE L ÉCOLE LÉCOLE POLYTECHNIQUE PRÉSENTATION DE L ÉCOLE LÉCOLE POLYTECHNIQUE Pierre Baptiste, professeur et Directeur Mario Bourgault, professeur Département de mathématiques et génie industriel École Polytechnique Montréal 2012 2 L

Plus en détail

Création d une symbiose industrielle

Création d une symbiose industrielle Création d une symbiose industrielle Centre de transfert technologique en écologie industrielle Informations Pour obtenir plus de renseignements, communiquez avec le Centre de transfert technologique en

Plus en détail

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut

Rosemont- La Petite-Patrie. Îlots de chaleur urbains. Tout. savoir! ce qu il faut Rosemont- La Petite-Patrie Îlots de chaleur urbains Tout savoir! ce qu il faut Qu est-ce qu un îlot de chaleur? Un îlot de chaleur désigne une élévation localisée des températures, particulièrement des

Plus en détail

POUR UNE À LA PLANIFICATION

POUR UNE À LA PLANIFICATION Transformer des SITUATIONS de manutention Monique Lortie, UQAM Marie St-Vincent, IRSST Planifier une FORMATION sur mesure OUTIL D AIDE À LA PLANIFICATION POUR UNE MANUTENTION MANUELLE SÉCURITAIRE RF-782

Plus en détail

Calendrier2014 de collectes

Calendrier2014 de collectes Calendrier01 de collectes Férié : 1 pas de collecte 1 Report collecte Ordures Ménagères du 1 er Janvier 1 1 0 Pôle déchets du Pays de Sarrebourg Terrasse Normandie - ZAC des Terrasses de la Sarre - 0 SARREBOURG

Plus en détail

SOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008.

SOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008. BILAN APPEL A PROJET RECHERCHE EN ECO CONCEPTION 2008 SOCIETE SAMSIC ECO CONCEPTION D UN SERVICE DE NETTOYAGE INDUSTRIEL Pourquoi agir Pour les acheteurs publics et privés, les attentes en matière d hygiène

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2

Le contexte global. La ressource. I.1 Particularités de la ressource en eau. Superficie : 41 526Km 2 Le contexte global Superficie : 41 526Km 2 Population: 16,34M.(89,6% urbaine: / 10,4% rurale:) 2006 PIB/hab 2007: 35 576 USD Divisions administratives: 12 provinces et 467 communes en nombre variable Régime:

Plus en détail

Étude de disponibilité d internet haute-vitesse

Étude de disponibilité d internet haute-vitesse Étude de disponibilité d internet haute-vitesse Phase préparatoire Déploiement Internet haute vitesse en milieu rural MRC de Brome-Missisquoi 7 septembre 2011 Contenu A. Situation actuelle et étude de

Plus en détail

L auto-partage au Canada : des options de transport personnel plus écologiques

L auto-partage au Canada : des options de transport personnel plus écologiques Études de cas sur le transport durable Montréal, Québec et Vancouver Étude de cas n o 27 L auto-partage au Canada : des options de transport personnel plus écologiques Organisations Communauto (Montréal,

Plus en détail

Information, réseautage et concertation. Services administratifs

Information, réseautage et concertation. Services administratifs @ OFFRE DE SERVICES SPÉCIALISÉS NOTRE MISSION LA FÉDÉRATION QUÉBÉCOISE DES COOPÉRATIVES EN MILIEU SCOLAIRE (FQCMS) A POUR MISSION D ASSURER LA PÉRENNITÉ ET LE DÉVELOPPEMENT DE SES MEMBRES NOS SERVICES

Plus en détail

Liste des recommandations

Liste des recommandations RECOMMANDATIONS À TOUS LES MINISTÈRES ET ORGANISMES L EXERCICE DES POUVOIRS DISCRÉTIONNAIRES DE L ADMINISTRATION: Que lorsque, dans l exercice de ses pouvoirs discrétionnaires, l Administration prend une

Plus en détail