ESSAI DE CO-COMPOSTAGE EN EXPLOITATION AGRICOLE DE FUMIER D OIE AVEC DU LISIER D OIE ET DE LA PAILLE HACHEE

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1 ESSAI DE CO-COMPOSTAGE EN EXPLOITATION AGRICOLE DE FUMIER D OIE AVEC DU LISIER D OIE ET DE LA PAILLE HACHEE L essai mené en exploitation sera réalisé sur base de paille afin de permettre l incorporation d une proportion élevée de lisier. En effet, dans des essais précédents, nous avions testé des mélanges à base de copeaux de bois et de fumier de copeaux qui permettaient d incorporer environ 20 à 25 % de lisier. De nouveaux tests avaient été conduits afin d étudier des mélanges à base de paille + fumier pailleux. Ces tests ont donné des résultats très moyens et il fallait continuer les essais afin d arriver à un bon taux d incorporation des différentes matières. de substrat corrective ajoutée à l andain, lors d 1 essai antérieur Andain au départ Substrat (Kg) (%) Andain reprise 1 ajoutée (Kg) (Kg) Bilan global (%) Fumier PAG , Lisier d oie PAG , Paille , Total Les résultats de ces premiers tests n étaient pas concluants. Evolution de la température du compost pailleux avant et après action corrective, lors d un essai antérieur Brassage Mise en andain Action corrective 0 08/05/05 28/05/05 17/06/05 07/07/05 27/07/05 16/08/05 05/09/05 Il était donc nécessaire de mieux préparer la paille afin qu elle puisse absorber plus de lisier. Il fallait aussi, dès le départ mettre une quantité suffisante de lisier et de fumier en abaissant le taux de paille.

2 Matériel et Méthode Matériel utilisé sur l exploitation pour le compostage. Pour la réalisation des andains, l exploitation possède des outils basiques que l on trouve en général dans les structures agricoles, à savoir : Un épandeur de fumier à hérissons, ici verticaux de 10 m 3. Une tonne à lisier de 4 m 3. Un tracteur avec fourche et godet. L exploitant ne dispose pas d équipement spécifique pour retourner les andains. Le tas de compost est retourné à l aide de la fourche et du godet du tracteur. Le lieu de réalisation du tas de compost se fait dans un ancien silo à ensilage en béton (7 mètres de large, 1,80 mètre de hauteur, 13 mètres de longueur), à défaut d une aire spécifique. Cependant, le silo est muni d une fosse de récupération des écoulements, comme l impose la réglementation liée au stockage des effluents d origine agricole. Le matériel de mesure utilisé pour les relevés de température est composé d une sonde métallique de 1,5 mètre, reliée à un enregistreur programmable automatique permettant de stoker en mémoire l évolution des températures du tas de compost au cours du temps. Méthode utilisée pour l épandage des substrats. Il va s agir d épandre les différents substrats dans le silo de la meilleure manière possible (cf. photos annexes), afin de limiter les écoulements de lisier. Les expériences passées ont montré qu il n était pas judicieux d alterner les couches des différents substrats à épandre. En effet, lors d une précédente campagne, il avait été procédé à l épandage d une couche de paille, suivie d une couche de fumier puis d un arrosage de lisier et ainsi de suite. Le résultat s était soldé par un écoulement important au pied du tas une fois l épandage des substrats terminé. La cause de ce problème est lié au fait que le lisier n a pas eu le temps de percoler lentement au travers des couches de fumier et de paille, celles-ci étant de trop faible épaisseur. La méthode va ici consister à épandre en premier toute la quantité de paille nécessaire au mélange, puis dans un second temps épandre tout le fumier sur la paille. Le lisier sera épandu en dernier sur la paille et sur le fumier. Cette méthode va permettre au lisier de percoler lentement au travers de la couche de fumier puis au travers de la paille, afin que celle-ci puisse absorber au mieux le lisier. En effet, la texture externe de la paille est hydrophobe alors que sa structure interne est hydrophile, par conséquent, celle-ci a du mal à absorber le lisier lorsque celle-ci n est pas broyée suffisamment finement, à l instar de ce qui est réalisé en laboratoire dans les mini-réacteurs. Les substrats utilisés pour le compostage sur l exploitation. Il va s agir, comme il a été vu précédemment dans les expérimentations, de composter du lisier avec du fumier et de la paille. Les caractéristiques physico-chimiques des substrats utilisés en mélange se composent de la façon suivante. Caractéristiques physico-chimiques des substrats Analyse Fumier de Canard Lisier d oie Tabac Paille Sciure Humidité (%) 64 98, ,10 Cendres (%) 16,88 48,80 12,51 6,18 22,96 Azote total (%) 1,53 5,30 2,20 0,62 0,09 Carbone total (%) 44,82 26,30 42,32 45,82 44,79 C/N 29,29 4,96 19,24 73, Rétention en eau Sur poids (%) Rétention en eau Sur volume (%) Source : INPT-ENSAT

3 Composition du mélange de substrats à base de paille. Le mélange de substrats utilisé sera composé proportionnellement de la manière suivante : Eléments (en Kg) Mélange mis en œuvre : Andain au départ (Juillet 2006) Part dans le mélange (%) Humidité (%) Humidité (Kg) Andain après reprise (Septembre 2006) ajouté (Kg) Bilan global Fumier oie ,6 30, Lisier oie ,7 95, Paille hachée ,7 11, Mélange Il est à noter que les masses de substrats utilisées semblent au premier abord faibles, cependant le volume à manipuler est lui très important. Cette donnée est à ne pas négliger lors de la réalisation d un andain sur base de paille et nécessite de tenir compte de la place disponible pour la mise en œuvre du tas de compost (silo, dalle bétonnée). Modalités de réalisation de l essai en exploitation agricole. L essai s est déroulé chez un éleveur-gaveur d oies à Prats de Carlux à l est de Sarlat (24). La conduite de l expérimentation a débuté en Juillet Lancement du tas de compost : Juillet Suivi des températures journalières par enregistreur automatique. Dernier brassage le 13 décembre 2006 Résultats obtenus La réalisation du tas s est parfaitement passée, ainsi que le suivi des températures et les différents retournements de tas. Les différentes phases caractéristiques de la cinétique d un tas de compost se sont déroulées selon les standards habituellement observés de la méthode et imposés par la réglementation (Circulaire du 17 janvier 2002 relative au compostage en établissement d élevage), parmi lesquelles : Une montée en température (deux semaines à plus de 55 C), Deux brassages en vue d une aération forcée Evolution de la température de l'essai compost pailleux terrain lancé en Juillet 2006 T MAX 74 C T Max 65 C T sonde 1 ( C) T sonde 2 ( C) Température ( C) Ajout de lisier 1ier Brassage 2ième Brassage Semaines

4 Au cours de la mise en œuvre du tas de compost aucun écoulement n a été observé de l épandage de tous les substrats selon la méthode préconisée. Concernant les odeurs de lisier présentes le premier jour de la mise en andain, celles-ci ont quasiment disparu le deuxième jour. Cela tend à montrer au premier abord qu il y a une élimination des odeurs liées au lisier, dès la mise en route du processus de compostage. Du point de vue de l évolution de tas, plusieurs étapes importantes sont à noter : La première est qu il a fallut rajouter du lisier au bout de 7 semaines après le lancement du tas celui-ci étant descendu à 40 % d humidité, ce qui est insuffisant pour maintenir une bonne activité des microorganismes du tas. Cette perte d humidité correspond à 3,36 T d eau. Cela s explique par deux choses, d une part une montée en température et le maintien de celle-ci à plus de 55 C pendant deux semaines avec des pointes à 65 C e t 74 C. D autre part, les températures estivales ont accéléré l évaporation de l humidité du tas abaissant ainsi l humidité du tas. De ce fait et afin de maintenir une bonne activité des microorganismes et favoriser la transformation des substrats du tas, il a été procédé à une ré-humidification du tas avec du lisier jusqu à ramener l humidité initiale de l andain à 64 % d humidité. La quantité nécessaire d eau pour combler le déficit hydrique du tas a été de 2 T de lisier. Conclusions : Le compostage est un moyen de valoriser les effluents d élevage, en utilisant du fumier pour absorber les lisiers. L application de cette méthode chez un éleveur gaveur d oies permettrait : Une valorisation de la totalité des lisiers produits sur l exploitation. En effet, d après les tonnages d effluents produits annuellement (300 tonnes de lisiers et 200 tonnes de fumier), en respectant les taux d incorporation de l essai, on pourrait utiliser 400 tonnes de lisier à partir des 200 tonnes de fumier pailleux en incorporant en plus environ 115 tonnes de paille. Une élimination des mauvaises odeurs. Une réduction des distances liées à l épandage près des habitations (10 m) et donc l utilisation de nouvelles parcelles d épandage. En bref : technique simple à mettre en œuvre, nécessitant - des investissements limités, mais à spécialiser dans l objectif d une utilisation à grande échelle. - méthode généralisable et vulgarisable, s inscrivant dans une optique de développement durable. - Inconvénients : cette méthode consomme de la paille. Lancement du tas de compost en exploitation (juillet 2006) Opération 1 : réalisation du tas de paille Opération 2 : épandage du fumier sur la paille

5 Opération 3 : incorporation du lisier Avancement du tas : 1 ier brassage (octobre 2006) Opération 1 : enlèvement de la bâche : le tas a diminué de volume Opération 2 : brassage pour aérer le tas Opération 3 : rebâchage du tas avec bâche géotextile

6 Avancement du tas : 2 ième brassage (décembre 2006) Opération 1: nouveau brassage pour incorporer de l air dans le tas Le tas est colonisé par les lombrics c est bon signe! Le tas est de plus en plus petit! Réduction de 50% du volume initial

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