ARRET SUR IMAGES Région du Kanem, Tchad Mission au cœur d une crise nutritionnelle
|
|
- Irène Monette
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 ARRET SUR IMAGES Région du Kanem, Tchad Mission au cœur d une crise nutritionnelle
2 Cela fait maintenant une journée que je suis dans le Kanem. Je suis en mission dans cette partie Nord du pays pour quelques jours car une urgence nutritionnelle est en cours. La région du Kanem est située à quelques 250 km au nord de la capitale du Tchad, N Djaména. Pour la rejoindre, nous avons fait près de 6 heures de voiture. Le Kanem se trouve dans la ceinture sahélienne du Tchad et connaît régulièrement, tout comme 3 autres régions du pays, des épisodes d insécurité alimentaire. Cette année encore, les populations de tradition agro pastorales du Kanem ont vu leur situation alimentaire se dégrader. Pendant ma mission àmao, capitale du Kanem, qui durera deux jours, je dois rencontrer les différents partenaires locaux et internationaux (Autorités locales, Organisations onusiennes et ONG internationales) de l Unicef afin de comprendre comment, lors d une crise de telle ampleur, les actions sont mises en place et coordonner pour préserver la vie de milliers d enfants.
3 ARRET SUR IMAGES Au Tchad, la situation nutritionnelle est aiguë En 2009 particulièrement, la sécurité alimentaire des populations de la bande sahélienne du Tchad s est détériorée du fait d un fort déficit pluviométrique qui a eu pour conséquence de très faibles récoltes ainsi qu une augmentation de la mortalité du bétail par manque de pâturage. En outre, des épisodes récents d épidémies de rougeole, la hausse des prix des produits alimentaires, ainsi que le faible accès aux soins de santé et à l eau et l assainissement ont exacerbé la situation alimentaire des ménages, déjà très précaire. Cette situation a plongé près de 2 millions de personnes dans une condition d insécurité alimentaire aigue. Les 4 régions situées dans cette bande sahélienne présentent des taux de malnutrition aigue globale largement au dessus des seuils d urgence de 15% de l OMS (voir carte) Aujourd hui, l Unicef estime que enfants dans le pays, dont près de enfants de 6 à59 mois dans les 4 régions de la ceinture sahélienne vont souffrir de malnutrition aiguë en 2010.
4 Dans le désert, la vulnérabilité alimentaire des ménages est exacerbée
5 ARRET SUR IMAGES Dépistage Communautaire dans le village de Maguianga Je commence cette mission par une séance de Dépistage Communautaire de la malnutrition qui se tient au village de Maguianga. Ce village est situé en plein désert à quelques 30 km de Mao. Lorsque j arrive à Maguianga, accompagnée de mes collègues de la Section Nutrition Unicef basée àmao, des centaines de femmes sont assises tout autour de ce qui fait office de centre de santé. Elles attendent patiemment, avec leurs enfants, que les portes du centre s ouvrent. A travers la Délégation Sanitaire du Kanem, l Unicef appuie le dépistage de la malnutrition àbase communautaire. Ce mécanisme permet d atteindre les populations les plus enclavées, comme celles de Maguianga. Avant que la séance ne commence, je fais la connaissance de l Agent de Santé et de son équipe. Ils ont organisés le dépistage du jour et coordonnent cette activité de la plus haute importance pour la survie des enfants. Le personnel de santé est accompagné par trois femmes qui ont été choisies par les chefs traditionnels de la communauté pour mener cette activité. Leur travail va consister à passer le bracelet brachial, ou MUAC, àchacun des enfants qui se présenteront pour mesurer leur état nutritionnel.
6 ARRET SUR IMAGES Le MUAC, outil de dépistage rapide Le MUAC est un bracelet que l on passe sur le bras gauche des enfants (souvent le moins musclé). Il est composé de trois couleurs et permet de mesurer l état nutritionnel des enfants âgés de 6 à59 mois. le vert signifie que l état nutritionnel de l enfant est bon ; le jaune indique un état de malnutrition aiguë modérée, nécessitant que l enfant bénéficie d une alimentation de supplément ; le rouge, quant àlui, correspond àun état critique de la malnutrition, la malnutrition aiguë sévère. Les enfants atteints de malnutrition aiguë sévère son en danger et doivent immédiatement être pris en charge et recevoir des soins spécifiques. Les trois dames sont prêtes, la séance peut donc commencer Les portes du centre de santé s ouvrent enfin, c est la cohue, de nombreuses femmes se précipitent avec leurs enfants. Dans la pénombre et la poussière, le dépistage commence et le centre est rapidement bondé.
7 ARRET SUR IMAGES Le dépistage permet le référencement vers les centres de soins Les trois femmes, agents de dépistage, passent le fameux MUAC àchacun des enfants, puis annoncent les résultats à très haute et intelligible voix, tandis qu un agent de l Unicef répertorie le nombre de cas par couleur (Vert, Jaune ou Rouge). Pour les enfants présentant un bon état nutritionnel, aucune prise en charge médicale n est nécessaire. Aussi, les mères seront simplement sensibilisées aux bonnes pratiques d alimentation des nourrissons et des jeunes enfants. Pour les enfants présentant un état de malnutrition aiguë modérée (Jaune sur le MUAC) Un ticket jaune est donné à la mère. Ce ticket lui permettra de recevoir au Centre de Nutrition Supplémentaire (CNS) géré avec l appui du PAM des rations alimentaires visant à enrichir l alimentation de l enfant et àéviter que son état nutritionnel ne se dégrade. Pour les enfants présentant un état de malnutrition aiguë sévère (Rouge sur le MUAC) Un ticket rouge est donné à la mère. Elle devra se rendre en Centre de Nutrition Ambulatoire (CNA) ou en Centre de Nutrition Thérapeutique (CNT) gérés avec l appui de l Unicef, où l enfant sera pris en charge et recevra des soins adaptés. Nous resterons près de 2h àmaguianga, 350 enfants seront dépistés, sur lesquels : 162 enfants sont en état de malnutrition aiguë modérée (46%); 44 enfants sont en état de malnutrition aiguë sévère (13%).
8 Dans les centres de nutrition ambulatoire, les mères se pressent!
9 ARRET SUR IMAGES Du dépistage àla prise en charge Dans la seule région du Kanem, l Unicef appuie 45 CNA Face àla situation de crise alimentaire et nutritionnelle, l objectif de l Unicef est d en ouvrir 5 nouveaux d ici la fin de l année Après cette séance de dépistage au village de Maguianga, où les résultats ont montré une situation nutritionnelle catastrophique chez les enfants, j ai rendez vous au Centre de Nutrition Ambulatoire (CNA). Le CNA se situe àmao, c est ici que tous les enfants en état de malnutrition aiguë sévère sont référés. Actuellement, ce centre assure la prise en charge de 120 enfants âgés, dans la majorité, de 1 à3 ans. Le CNA de Mao emploie 6 personnes et est appuyé par l Unicef qui lui fournit des consommables, du Plumpy Nut, ainsi que du matériel médical et anthropométrique pour la prise en charge médicale et le suivi des enfants.
10 ARRET SUR IMAGES Le cycle de prise en charge en CNA 1). Pesée et mesures anthropométriques de chacun des enfants ; 2). Bilan de santé afin de vérifier que l enfant ne présente pas une infection quelconque en plus de leur état de malnutrition ; 3). Test de l appétit. Il s agit de vérifier que l enfant arrive encore à manger, le test consiste à donner un sachet de Plumpy Nut (soit 92g, 500Kcal) àl enfant qu il doit manger en mois d 1 heure. Si le test est réussi, alors l enfant pourra repartir chez lui. Sa mère recevra ~ 20 sachets de Plumpy Nut, dose à administrer pour une semaine. Afin d assurer le suivi de l enfant, il devra revenir chaque semaine pour repasser des examens de santé et recevoir des sachets de Plumpy Nut pour la semaine suivante, ce jusqu à son rétablissement complet (entre 5 et 7 semaines). Dans le cas contraire, l enfant sera référé au Centre de Nutrition Thérapeutique (CNT), situé juste derrière le CNA, où sont pris en charge les enfants présentant un état de malnutrition aiguë sévère avec complication (perte d appétit, infections respiratoires, diarrhées, paludisme..).
11 Au CNT, les agents de santé nous disent combien la situation est aiguë.
12 Le CNT est équipé de toutes les infrastructures nécessaires àla vie quotidienne (douches, latrines, point cuisine, point lessive ) permettant ainsi aux mamans de rester avec leur enfant. En outre, les mères reçoivent pour leur alimentation quotidienne des rations alimentaires distribuées par le PAM et Action Contre la Faim. ARRET SUR IMAGES Les plus affaiblis sont pris en charge en CNT Dans la région du Kanem, deux Centres de Nutrition Thérapeutique sont actuellement opérationnels et reçoivent un appui de l Unicef et de ses partenaires. Dans le CNT de Mao, les enfants présentant un état de malnutrition aiguë sévère avec des complications bénéficient d une prise en charge médicale et d un suivi quotidien. En effet, la malnutrition atteint gravement le système immunitaire des enfants qui sont alors plus vulnérables à toutes infections. Dans ces cas précis, les enfants nécessitent àla fois d une prise en charge thérapeutique de la malnutrition mais également d un suivi médical quotidien. Ainsi, les 10 enfants présents au CNT le jour de mon passage sont accueillis, avec leur mère, le temps qu ils soient totalement rétablis.
13 ARRET SUR IMAGES Des cas nécessitant une prise en charge médicale quotidienne Le CNT de Mao a ouvert ses portes en Depuis, des milliers d enfants sont passés dans ses murs et ont pu être sauvés. Aujourd hui, 10 personnes travaillent dans le CNT. Elles ont été formées et continuent àl être régulièrement car les protocoles médicaux évoluent et il s agit de fournir les meilleurs soins aux enfants malnutris avec complications. Ces enfants doivent suivre un traitement thérapeutique spécifique en trois phases : Phase 1 Lait Thérapeutique F75 Phase Transition Lait Thérapeutique F100 Phase 2 Lait thérapeutique F100 et Plumpy Nut Grâce à cette prise en charge, la majorité des enfants survivent après un séjour de 15/16 jours au CNT. Chaque matin, l état de santé des enfants est vérifié par les agents de santé : leur température est prise, puis ils sont pesés et mesurés, ensuite les produits thérapeutiques leurs sont administrés sous surveillance du personnel.
14 ARRET SUR IMAGES La malnutrition, un état mal connu des populations Certains enfants arrivent dans des états critiques.. Par manque de connaissance, les parents dans une volonté de soulager leur enfant et pensant bien faire exécutent des scarifications sur les œdèmes crées par l état de malnutrition. Ces pratiques traditionnelles ne font qu aggraver l état de l enfant, le soumettant àdes risques graves d infections notamment. Afin de réduire l incidence de ce type de pratiques mais également dans un souci d éducation des familles àla santé de l enfant, les agents de santé du CNT organisent chaque jour avec les mères accueillies en centre des séances de discussions sur différents sujets, telles que les pratiques traditionnelles, mais diffusent également des messages sur les bonnes pratiques liées àl eau, l hygiène et l assainissement, ainsi que sur l alimentation du jeune enfant.
15 En tant que chef de file pour la nutrition, l UNICEF assure la coordination des interventions nutritionnelles tant au niveau national que régional ARRET SUR IMAGES Plan d Action de l Unicef au Tchad En Mai 2010, l Unicef TCHAD a lancé un APPEL d un montant de 7,8 millions euros pour faire face àla crise nutritionnelle grave qui affecte les enfants. Pour répondre à la crise nutritionnelle, qui est un problème multidimensionnel, l UNICEF a mis en place un paquet d interventions touchant plusieurs secteurs dont la nutrition, la santé, le VIH/SIDA, l eau, l hygiène et l assainissement. Pour la nutrition, L UNICEF vient en appui aux délégations sanitaires régionales dans le traitement de la malnutrition aigue sévère pour près de enfants au Tchad, dont vivent dans la bande sahélienne, mais aussi dans la prévention de la malnutrition en général pour enfants âgés de 6 à23 mois. Les actions de traitement de la malnutrition visent essentiellement la mise à l échelle d un système communautaire de dépistage et de référencement des enfants malnutris vers les centres nutritionnels. L UNICEF appuie également tous les centres nutritionnels en intrants thérapeutiques, en équipements anthropométriques et en médicaments essentiels génériques. Les actions de prévention visent principalement la promotion des pratiques familiales essentielles telles que l allaitement maternel exclusif entre 0 et 6 mois, l alimentation de complément de qualité entre 6 et 24 mois, le traitement de la diarrhée avec le zinc et SRO, l utilisation de moustiquaires imprégnées, le lavage des mains àl eau et au savon, etc... Cette promotion se fait à travers les campagnes de communication pour le développement ou par le biais de radios locales.
16 7,8 millions euros sont urgemment nécessaires pour sauver la vie de milliers d enfants au Tchad!
17 ARRET SUR IMAGES Zoom sur le processus de prise en charge des enfants malnutris Dépistage Communautaire avec utilisation du MUAC Jaune Malnutrition aiguë modérée Rouge Malnutrition aiguë sévère CNS / Centre de Nutrition Supplémentaire Soins Appuyé par le PAM Bilan médical et anthropométrique de l enfant Distribution de rations alimentaires mensuelles composées d huile, de sucre et de farines enrichies Sensibilisation aux bonnes pratiques d alimentation du nourrisson et du jeune enfant Soins CNA / Centre de Nutrition Ambulatoire Appuyé par l Unicef Bilan médical et anthropométrique de l enfant Test de l Appétit Distribution de sachets de Plumpy Nut pour 1 semaine et administration du Plumpy Nut àla maison par la mère Visite hebdomadaire de l enfant au CNA pour suivi Soins CNT / Centre de Nutrition Thérapeutique Appuyé par l Unicef Bilan médical et anthropométrique de l enfant Administration de Lait Thérapeutique F75 (en phase 1, ~ 4 jours), Lait Thérapeutique F 100 (en phase de transition, ~ 4 jours), Administration de F100 et de Plumpy Nut (phase 2).
Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena. 28-30 avril 2015
Deuxi ème jour Premier jour Jour 0 Programme du Forum National sur la Nutrition et l Alimentation à l Hôtel KEMPINSKI N Djamena 28-30 avril 2015 Date Heure Activité Veille du forum (Hôtel KEMPINSKI) Arrivée
Plus en détailVue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)
Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier
Plus en détailKayes, le 09 Avril 2013
«Rapport de Dépistage de masse dans les structures de santé de la zone d intervention du projet CRM & CRF dans les districts sanitaires de Kayes et Yélimané» «Appui à la prévention et la prise en charge
Plus en détailEvaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire
Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailBulletin humanitaire Haïti. La campagne de vaccination orale contre le choléra en Haïti atteint ses objectifs. Au sommaire FAITS SAILLANTS
Bulletin humanitaire Haïti Numéro 44 Septembre 2014 Au sommaire FAITS SAILLANTS Lutte contre l épidémie de choléra : près de 185,000 personnes ont reçu le vaccin contre le choléra dans trois départements
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMARS 2012. rapport d analyse. étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte
rapport d analyse MARS 2012 rapport d analyse étude de la situation nutritionnelle des enfants vus par Médecins du Monde à Mayotte introduction w La malnutrition se définit par des apports inférieurs ou
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailCAMP DE RÉFUGIÉS SOUDANAIS DE BREDJING, TCHAD OCTOBRE, 2013 BEATRIZ PÉREZ BERNABÉ
CAMP DE RÉFUGIÉS SOUDANAIS DE BREDJING, TCHAD OCTOBRE, 2013 BEATRIZ PÉREZ BERNABÉ REMERCIEMENTS Haut-Commissariat aux Réfugiés (HCR), International Refugee Committee (IRC) et le Coverage Monitoring Network
Plus en détailIntegrating Nutrition and food security programming. Sharing Good practices Tchad / 2014
Integrating Nutrition and food security programming Sharing Good practices Tchad / 2014 SECTION 1: OVERVIEW. Title of project/programme/initiative Implementing/responsible organisations(s) Geographical
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 CONTEXTE. Evénements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Février 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailEvaluation Prise en Charge de la Malnutrition Aiguë
UNICEF Bureau Régional de l Afrique Centrale et de l Ouest Evaluation Prise en Charge de la Malnutrition Aiguë CAMEROUN 20 août 1 septembre 2012 Yvonne Grellety Hélène Schwartz 1 REMERCIEMENTS Nous tenons
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailPLAN D ACTION QUADRIENNAL Première année 2004 2005
Objectif global : Appropriation et mise en œuvre de la stratégie d ARCHI 2010 au niveau national. Objectif du projet : Renforcement des activités de santé à base communautaire du CRM. Indicateurs Sources
Plus en détailMINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME
Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES
Plus en détailTITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE)
TITRE DU PROJET Construction d un complexe de santé pour le compte de l ONG Education Pour la Santé et la Promotion de l Emploi (EPSPE) PAYS ET REGION DE MISE EN ŒUVRE DU PROJET Ce projet sera mise en
Plus en détailCoordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 10 JUILLET 2013
Le Mercredi 10 Juillet 2013 entre 09h et 11h, s est tenue dans la salle Déniba de l UNICEF, la 13 ème réunion de l année 2013 de Coordination du CLUSTER Nutrition Mali. Elle a été présidée par Mme Anne
Plus en détailCoordination du Cluster Nutrition - Mali Compte-Rendu de la Réunion du 07 Novembre 2012
Compte-Rendu de la Réunion du Le mercredi 07 novembre 2012 entre 09h et 11h, s est tenue dans la salle Déniba de l UNICEF, la 32 ème réunion de la Coordination du CLUSTER Nutrition Mali. Elle a été présidée
Plus en détailInnoFaso inaugure son site de production
Communiqué de presse InnoFaso inaugure son site de production Ouagadougou, le 7 décembre 2012. Sous le haut patronage de son Excellence Luc Adolphe Tiao, Premier ministre, Michel Lescanne et Abdourazakou
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DES ACTIVITES. Année 2012
1 CROIX - ROUGE MALIENNE SECRETARIAT GENERAL Djélibougou, Rue 261, Porte N 2, Bamako Tél. (+223) 20 73 28 25 / B.P : 280 E-mail : crmalienne@croixrouge-mali.org RAPPORT ANNUEL DES ACTIVITES Année 2012
Plus en détailnotamment de la filière alimentaire, pour améliorer l action du PAM en matière de nutrition. Des discussions initiales ont été tenues avec des ONG
WFP! " #! "$" Nos connaissances sur la faim et la nutrition ont fortement évolué au cours des dix dernières années. Des données scientifiques récentes ont montré qu il n existe qu un créneau restreint
Plus en détailInvestir dans l avenir
Investir dans l avenir RÉSUMÉ DU RAPPORT MONDIAL 2009 BANQUE MONDIALE www.unitedcalltoaction.org La communauté mondiale devrait être choquée par les millions d enfants qui meurent ou sont rendus invalides
Plus en détailGOZ BEIDA, TCHAD OCTOBRE 2013
GOZ BEIDA, TCHAD OCTOBRE 2013 REMERCIEMENTS Nous tenons à remercier : Le Coverage Monitoring Network pour le soutien technique dans la réalisation de cette enquête, L unité de support pour la sante(hsu)
Plus en détailSituation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est
SOIXANTE-HUITIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A68/INF./4 Point 20 de l ordre du jour provisoire 15 mai 2015 Situation sanitaire dans le territoire palestinien occupé, y compris Jérusalem-Est Le Directeur
Plus en détailSONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES
Page 1 of 10 SONDAGE AUPRÈS DES INFIRMIÈRES Le Groupe de travail canadien sur la malnutrition (GTCM) a mené une étude à l échelle nationale de 2010 à 2013 afin de déterminer la prévalence de la malnutrition
Plus en détailPLAN NATIONAL D ACTION POUR LA NUTRITION 2012-2015
PLAN NATIONAL D ACTION POUR LA NUTRITION 2012-2015 Antananarivo Juillet 2012 SOMMAIRE RÉSUMÉ EXECUTIF... 8 I-CONTEXTE GENERAL... 1 II- SITUATION NUTRITIONNELLE A MADAGASCAR... 3 III- PROBLEMATIQUE DE LA
Plus en détailPartie II Données, indicateurs et sources d information
Partie II Données, indicateurs et sources d information WFP / Name and Surname Table des matières de la Partie II 1 Introduction 45 2 Plan d analyse 46 3 Besoins d information 49 4 Informations contextuelles
Plus en détailMODULES DE FORMATION DE FORMATEURS en communication sur les pratiques familiales essentielles (PFE)
MODULES DE FORMATION DE FORMATEURS en communication sur les pratiques familiales essentielles (PFE) MAI 2010 SOMMAIRE SIGLES ET ABRÉVIATIONS 4 PRÉAMBULE 5 I. Contexte et Justifi cation 5 II. Public cible
Plus en détailLa malnutrition en terre d abondance
Document d information La malnutrition en terre d abondance Principaux résultats d une étude effectuée dans la province du Kasaï-Oriental, République démocratique du Congo Introduction Pourquoi une région
Plus en détailREPUBLIQUE TOGOLAISE. Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET NUTRITION
REPUBLIQUE TOGOLAISE Travail Liberate Patria MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L ELEVAGE ET DE LA PECHE PROGRAMME NATIONAL D INVESTISSEMENT AGRICOLE ET DE SECURITE ALIMENTAIRE -PNIASA - PLAN D ACTION DU VOLET
Plus en détailFACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES
HAITI DEUX ANS APRES Les actions de la Commission européenne pour reconstruire le pays Janvier 2012 Table of contents 1 L aide de l UE en bref 3 2 L aide humanitaire de la Commission européenne à Haïti.
Plus en détailPLAN STRATEGIQUE DE DEVELOPPEMENT DE LA
CROIX-ROUGE MALIENNE Reconnue d utilité publique par decret No.123 du 23 septembre 1965 PLAN STRATEGIQUE DE DEVELOPPEMENT DE LA CROIX- ROUGE MALIENNE Période : 2010-2014 Juin 2010 1 Préface et Remerciements
Plus en détailTOUS !"#$ ENSEMBLE REDUCTION DE LA MORTALITE DES ENFANTS DE MOINS DE 5 ANS #!"$& #!"$' RAPPORTS THEMATIQUES 2013
RAPPORTS THEMATIQUES 2013 - OMD 1 ELIMINER L EXTRÊME PAUVRETE ET LA FAIM RAPPORT NATIONAL TOUS ENSEMBLE Union des Comores! " # $ % & ' & () *!"#$%&'"$%()'*+," Le gouvernement de l Union des Comores et
Plus en détailRapport sur la Nutrition et la Mortalité dans la commune I de Bamako Mali du 28 mars 2011 au 12 avril 2011
Rapport sur la Nutrition et la Mortalité dans la commune I de Bamako Mali du 28 mars 2011 au 12 avril 2011 Mars-avril 2011 SOMMAIRE Résumé du rapport 1. Introduction 2. Présentation de d enquête 3. Contexte
Plus en détailCoordination de la Gestion des risques. Bilan - Programme
Coordination de la Gestion des risques Bilan - Programme La démarche Mise en place en 2007 Regroupe l ensemble des Vigilances Sanitaire. Associe le programme CLIN Associe les risques liés aux vigilances
Plus en détailStratégie mondiale pour l alimentation du nourrisson et du jeune enfant
Stratégie mondiale pour l alimentation du nourrisson et du jeune enfant Organisation mondiale de la Santé Genève Catalogage à la source : Bibliothèque de l OMS Stratégie mondiale pour l alimentation du
Plus en détailPROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES
PROGRAMME DE LOGEMENTS AVEC SERVICES DE SOUTIEN LIGNES DIRECTRICES OPÉRATIONNELLES Janvier 2009 TABLE DES MATIÈRES Page Préambule 3 1. Dotation en personnel 4 1.1 Compétences du personnel 4 1.2 Fonctions
Plus en détail4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre
Plus en détailDocument de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants
Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes
Plus en détailMEMOIRE. Pour l obtention du. Master de l Université de Paris Dauphine «Economie et Management de la Santé Publique dans les Pays en Développement»
République de Côte d Ivoire République Française DEDICACE Union Discipline - Travail Liberté - Egalité - Fraternité Je dédie ce mémoire: A Dieu, le Tout Puissant MEMOIRE Pour l obtention du Master de l
Plus en détail+ Questions et réponses
HÉPATITE B L hépatite B c est quoi? L hépatite B est un type de maladie du foie causée par le virus de l hépatite B, une des formes les plus courantes de l hépatite virale (les autres sont le virus de
Plus en détaille livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé.
L association plaisirs de l eau vous présente le livret de Bébé nageur avec la complicité de bébé. http://plaisir-de-leau.wifeo.com 27/09/14 Plaisirs de l eau livret bébé nageur 1 BIENVENUE à l association
Plus en détailDIRECTIVES NATIONALES POUR LA PROMOTION DE LA SANTE AU NIVEAU COMMUNAUTAIRE.
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA SANTE DIRECTION NATIONALE DE LA PROTECTION SANITAIRE DIRECTIVES NATIONALES POUR LA PROMOTION DE LA SANTE AU NIVEAU COMMUNAUTAIRE. Mars 2010 1 TABLE DES MATIERES SOMMAIRE...
Plus en détailDeuxième Conférence internationale sur la nutrition. Rome, 19-21 novembre 2014. Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition
Octobre 2014 ICN2 2014/2 Deuxième Conférence internationale sur la nutrition Rome, 19-21 novembre 2014 Document final de la Conférence: Déclaration de Rome sur la nutrition Nous félicitant de la participation
Plus en détail13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF
13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président
Plus en détailTEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailLa prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre
La prévention : caractéristique du positionnement de la Mutualité Française sur l ensemble de son offre Avril 2011 La longue expérience de la Mutualité Française dans la mise en œuvre d actions de prévention,
Plus en détailREPUBLIQUE DU BENIN ********* MINISTERE DE LA SANTE ********* Mars 2010
REPUBLIQUE DU BENIN ********* MINISTERE DE LA SANTE ********* DIRECTIVES NATIONALES EN MATIERE DE MONITORING DES INTERVENTIONS DE SANTE Mars 2010 1 Sommaire Liste des tableaux et figures... 4 Abréviations,
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailMutuelles communautaires. Une initiative d appui à la Couverture médicale de base
Mutuelles communautaires Une initiative d appui à la Couverture médicale de base La population rurale n a pas ou peu accès aux médicaments En choisissant d axer son développement sur la valorisation du
Plus en détailService Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire
Service Hainchamps de mise en autonomie en logement communautaire Pour adultes handicapés mentaux de la Meuse serésienne rue Hainchamps 77 siège social: a.s.b.l. Cesahm 4100 Seraing rue du Sewage 9 à 4100
Plus en détailAIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG
CENTRE NATIONAL DE TRANSFUSION SANGUINE ---------------------------------- DIRECTION DE LA COMMUNICATION ET DE LA PROMOTION DU DON DE SANG AIDE MÉMOIRE DE PROMOTION DU DON DE SANG Pour vos dons et activités
Plus en détailECHO ACD UNICEF TCHAD
N 004 - Mars 2015 Points saillants : Évaluation de la Gestion Efficace des Vaccins au Tchad - Mai 2015 Tenue de la deuxième téléconférence de suivi de la mise en œuvre des activités PEV/ACD Renforcement
Plus en détailPRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH ET LE SIDA (PVVIH)
PRISE EN CHARGE NUTRITIONNELLE DES PERSONNES VIVANT AVEC LE VIH ET LE SIDA (PVVIH) Manuel de formation pour les agents de santé communautaire et les agents des soins à domicile Guide du facilitateur 2008
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailBureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 CONTEXTE. Evènements clés:
Bureau Régional pour l Afrique de l Ouest et du Centre Bulletin d Information Humanitaire Mars 2012 Ce bulletin d information humanitaire, produit par le bureau régional OCHA pour l Afrique de l Ouest
Plus en détailJ'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE!
J'Ai TELLEMENT FAiM QUE JE POURRAiS MANGER UN ARBRE! Les liens hypertextes vers d'autres sites de l'internet ne signifient nullement que l'organisation approuve officiellement les opinions, idées, données
Plus en détailNote de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.
Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3
Plus en détailPrésentation du plan national multirisques de préparation paration et de réponse aux catastrophes Burkina Faso
Présentation du plan national multirisques de préparation paration et de réponse aux catastrophes Burkina Faso Plan de présentation. Contexte du plan. Rôle du CONASUR But du plan. Objectifs du plan. Méthodologie
Plus en détailINTERVENTIONS D AIDE ALIMENTAIRE (IAAs)
INTERVENTIONS D AIDE ALIMENTAIRE (IAAs) I. PRESENTATION GENERALE I.1. Définition Les interventions d aide alimentaire (IAAs) apportent les denrées alimentaires nécessaires aux gens affectés par une crise
Plus en détailCHIFFRES CLES INDICATEURS SOCIO-ÉCONOMIQUES DÉMOGRAPHIE MORBIDITÉ*
Haïti avant le Contexte Haïti, première République noire, est devenu le premier Etat indépendant des Caraïbes lorsqu'elle a obtenu son indépendance de la France au début du XIXème siècle. Cependant, des
Plus en détailEVALUATION D OPERATION
Measuring results, sharing lessons EVALUATION D OPERATION TCHAD, Interventions prolongées de secours et de redressement (IPSR), 200289, Assistance alimentaire ciblée en faveur des réfugiés et des personnes
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 19 octobre 2011
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 19 octobre 2011 PEDIAVEN AP-HP G15, solution pour perfusion 1000 ml de solution en poche bi-compartiment, boîte de 4 (CIP: 419 999-0) PEDIAVEN AP-HP G20, solution pour
Plus en détailvaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé)
EMA/90006/2015 EMEA/H/C/001104 Résumé EPAR à l intention du public vaccin pneumococcique polyosidique conjugué (13-valent, adsorbé) Le présent document est un résumé du rapport européen public d évaluation
Plus en détailFoire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST
Foire aux Savoirs CONSOLIDER LA RESILIENCE A L INSECURITE ALIMENTAIRE ET NUTRITIONNELLE AU SAHEL ET EN AFRIQUE DE L OUEST Ouagadougou/Burkina Faso, du 05 au 07 novembre 2013 1. Introduction Au Sahel, environ
Plus en détailNations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011
Nations Unies Haut Commissariat aux Droits de l Homme, réf: NVebU mes 2011 Initiatives montrant des bonnes pratiques ainsi que des pratiques efficaces dans l adoption d une approche fondée sur les droits
Plus en détailLa prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge d un trouble dépressif récurrent ou persistant Vivre avec un trouble dépressif Septembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailRèglement du restaurant scolaire
DEPARTEMENT DE LOIR-ET-CHER REPUBLIQUE FRANCAISE ARRONDISSEMENT DE BLOIS COMMUNE DE SAINT GERVAIS LA FORET Règlement du restaurant scolaire Le présent règlement concerne l organisation du restaurant scolaire.
Plus en détailDomaine Santé. Plan d études cadre Modules complémentaires santé. HES-SO, les 5 et 6 mai 2011. 1 PEC Modules complémentaires santé
Domaine Santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé HES-SO, les 5 et 6 mai 2011 1 PEC Modules complémentaires santé Plan d études cadre Modules complémentaires santé 1. Finalité des modules
Plus en détail1 ] Droit à la santé, accès à la santé et aux soins de santé
1 ] Droit à la santé, accès à la santé et aux soins de santé Le temps est venu de mesurer la santé de notre monde au sort réservé aux plus faibles. (Jean Merckaert, CCFD) CADRE GÉNÉRAL Qu entend-on par
Plus en détailDRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA. Par Dr Colette LOSSO. PF Advisor PROSANI
DRC-IHP: Plans de communication, positionnement et de marquage LA PLANIFICATION FAMILIALE DANS LE PMA Par Dr Colette LOSSO PF Advisor PROSANI 1 PLAN DE LA PRESENTATION 1. LE PROJET PROSANI ET LES DOMAINES
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailLe VIH-sida, qu est-ce que c est?
LES DROITS DE l ENFANT FICHE THÉMATIQUE Le VIH-sida, qu est-ce que c est? UNICEF/ NYHQ2010-2622 / Roger LeMoyne Chaque jour dans le monde, plus de 7 000 nouvelles personnes sont infectées par le VIH, 80
Plus en détailC. difficile. Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le. à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B.
Réponses aux questions les plus fréquemment posées sur le C. difficile à l Hôpital général juif HÔPITAL GÉNÉRAL JUIF SIR MORTIMER B. DAVIS HÔPITAL D ENSEIGNEMENT DE L UNIVERSITÉ MCGILL www.jgh.ca 1. CLOSTRIDIUM
Plus en détailVACANCES DE POSTES. I. Lieu d affectation : La préfecture de la KEMO avec des déplacements ponctuels dans la province (République centrafricaine).
VACANCES DE POSTES Projet : Projet de Réhabilitation nutritionnelle d urgence au sein des populations (déplacés et autochtones) de l axe Dékoa-Sibut, préfecture sanitaire de KEMO, en RCA Postes vacants
Plus en détailRAPPORT D ÉTUDE DE MARCHÉ SANTÉ AVEC LES GROUPES D ÉPARGNE EPARGNER POUR LE CHANGEMENT AU MALI
RAPPORT D ÉTUDE DE MARCHÉ SANTÉ AVEC LES GROUPES D ÉPARGNE EPARGNER POUR LE CHANGEMENT AU MALI Photo Karl Grobl for Freedom from Hunger Octobre 2010 Dr. Mahamadi Cissé Nadège Diallo TABLE DES MATIÈRES
Plus en détailwww.programmeaccord.org
LA DOULEUR, JE M EN OCCUPE! NUTRITION ET DOULEUR CHRONIQUE CHRONIQUE De nos jours, l importance d adopter de saines habitudes alimentaires ne fait plus aucun doute. De plus, il est très facile d obtenir
Plus en détailJ ai choisi d allaiter...
Nous vous souhaitons un bon allaitement. J ai choisi d allaiter... Mes numéros : Pédiatre. Sage-femme. Médecin traitant... PMI Pharmacie... Brochure réalisée par les bénévoles de l AREAM. Juin 2009 L allaitement
Plus en détailDemande de prestation de compensation du handicap. Évaluation de mes besoins Par Philaminte
Demande de prestation de compensation du handicap Évaluation de mes besoins Par Philaminte Sommaire Préparation...2 Éléments de réflexion, de description...2 Préquantification...4 Documents donnés lors
Plus en détailPour la création d une maison d assistants maternels
CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Mars 2011 CHARTE DÉPARTEMENTALE Pour la création d une maison d assistants maternels Le Code de l Action Sociale et des Familles
Plus en détailasdf Deuxième Assemblée mondiale sur le vieillissement Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 madrid
Madrid (Espagne) 8-12 avril 2002 Promouvoir la santé et le bien-être des personnes âgées : actif «Nous sommes témoins d une révolution silencieuse qui bien au-delà de la sphère démographique a des incidences
Plus en détail0:51 Au Moyen-Âge, les femmes prennent activement part aux métiers de l artisanat et du commerce. Elles ont obtenu une certaine indépendance.
00:22 La ville au Moyen-Âge est un espace de liberté. Celui qui possède le droit du citoyen, a la possibilité d accéder à la prospérité par le travail et l intelligence. Cela vaut aussi pour les femmes,
Plus en détailCarlo Diederich Directeur Santé&Spa. Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu
Carlo Diederich Directeur Santé&Spa Tél. + 352 23 666-801 / c.diederich@mondorf.lu Mondorf Healthcare at work Nouveau service destiné aux entreprises en collaboration avec les Services de Médecine du Travail
Plus en détaild une Dr Ei Eric Peterman
d une Dr Ei Eric Peterman Implantations de MDM MALI: 1994-2010 TCHAD: 2009-2010 - 2-3 millions de fistules obstétricales dans le monde - 90% en Afrique (source OMS) MDM Yaoundé 2010 MOPTI MDM BERLIN 2010
Plus en détailSOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE
SOMMAIRE STANDARDS MINIMUMS POUR LA PROTECTION DE L'ENFANCE DANS L'INTERVENTION HUMANITAIRE Veuillez trouver ci-après la version sommaire des Standards Minimums pour la protection de l enfance dans l intervention
Plus en détailL hygiène alimentaire en EPHAD
L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 L hygiène alimentaire en EPHAD Isabelle Parmentier 24 mai 2012 Introduction (1/2) Le repas est un moment «fort»de la journée des personnes
Plus en détailRougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche
Rougeole, Oreillons Rubéole et Coqueluche Comment protéger vos enfants? La seule protection efficace : la vaccination R.O.R COQUELUCHE ANNUAIRE Livret élaboré en partenariat avec : Conseil Général du Loir-et-Cher
Plus en détailInformations préliminaires sur le poste. Informations générales sur la mission
Intitulé du poste Rattachement hiérarchique Pays / ville d affectation Date d arrivée souhaitée 15/09/15 Durée de la mission Contexte Informations préliminaires sur le poste CHARGE DE PROJET SANTE PROFIL
Plus en détailInformations préliminaires sur le poste. Informations générales sur la mission
: PROFIL DE POSTE Informations préliminaires sur le poste Intitulé du poste ADMINISTRATEUR BASE Pays & base d affectation GUINEE, COYAH Rattachement hiérarchique COORDINATEUR COYAH Création / Remplacement
Plus en détailANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR
Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol
Plus en détailFORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA
1 FORMULAIRE D AUTO-EVALUATION POUR PATIENTS SLA Afin de donner un bon aperçu de mes possibilités et mes limitations à la DG Personnes handicapés, je coche ce que je peux faire ou ne plus faire. Ci-dessous
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailÉconomisons l énergie! 11
Économisons l énergie! 11 Objectifs Prendre conscience de sa consommation d énergie. Maîtriser sa consommation d énergie afin de réduire l émission de gaz à effet de serre (mettre en place gestes et actions).
Plus en détail