L innovation Fièvre Q Phase 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "L innovation Fièvre Q Phase 1"

Transcription

1 L innovation Phase 1

2 5 ÉTAPeS pour lutter FIÈVre ÉTAPE PAR ÉTAPE CONTRE LA FIÈVRE étape 1 Identifier La maladie et ses conséquences 2 Diagnostiquer la maladie 3 Définir une stratégie de lutte Diagnostiquer De la suspicion à la confirmation étape 2 4 Vacciner immuniser protéger étape 3 Combattre Une stratégie à deux niveaux pour lutter contre la 1 Identifier la maladie COXEVAC, vaccin phase 1 Limite l impact de la maladie et prévient ou réduit l excrétion de Coxiella burnetii étape 4 5 Un vaccin efficace et sûr étape 5 F iche technique COXEVAC, un vaccin efficace et sûr L innovation Phase 1

3 1 Identifier : la maladie et ses conséquences A la FiÈVre Q : une maladie bactérienne zoonotique la est causée par une bactérie Gram - intracellulaire, très résistante dans l environnement (9 mois à 4 C par exemple...), appelée Coxiella burnetii (Figure 1). Coxiella burnetii est zoonotique. elle peut infecter l homme et entraîner des syndromes grippaux, des avortements, des hépatites, des endocardites Figure 1 : Coxiella burnetii B la FiÈVre Q : une Diminution Des performances De reproduction la diminue fortement les performances de reproduction (Figure 2). Chez les bovins, la entraîne essentiellement de l infertilité et des métrites, et l avortement n est pas la conséquence la plus fréquente de l infection. Chez les petits ruminants, en revanche, la entraîne essentiellement des avortements (Figure 3). la augmente la mortalité néonatale (Figure 3). Avortements tardifs SYNDROME GRIPPAL Infertilité Métrites Nouveau-nés chétifs Avortements tardifs Mortalité néonatale ou mises bas prématurées Figure 2 : Impact de la sur les performances de reproduction. p.4 Identifi er les symptômes Figure 3 : Les signes cliniques liés à l infection par Coxiella burnetii chez les bovins. p.5

4 2 Diagnostiquer : de la suspicion à la confirmation A la FiÈVre Q : une maladie sous-diagnostiquée les signes cliniques liés à la n étant pas spécifiquement caractéristiques (infertilité, syndrome grippal ), de nombreux troupeaux infectés ne sont pas détectés. la prévalence réelle des troupeaux infectés est donc beaucoup plus importante que la prévalence observée, variant de 5 à 70 %. la prévalence d animaux infectés intra-troupeau peut aller au-delà de 90 % chez les chèvres adultes (2). B la FiÈVre Q : QuanD la suspecter? (3) la doit être suspectée, et Coxiella burnetii systématiquement recherchée dans tous les cas d avortements chez les ruminants. toutefois, le diagnostic différentiel doit être investigué avec précaution, l origine de l infertilité étant malgré tout multifactorielle. Dans un élevage de bovins, elle doit également être suspectée lors de métrite persistante et d infertilité. C la FiÈVre Q : comment la confirmer? Diagnostic la confirmation de l implication de Coxiella burnetii peut être réalisée : au niveau individuel lors d avortements : avec une PCr sur placenta, avorton ou écouvillon vaginal de la mère ; lors d avortements répétés : avec une PCr sur placenta, avorton ou écouvillon vaginal de la mère et des sérologies (Figure 4 au dos). la PCr sur lait de tank (pot stérile +/- bronopol) s utilise conjointement à la sérologie pour identifier la circulation de Coxiella burnetii au sein d un troupeau. Ce diagnostic peut être utilisé pour vérifier l implication de la bactérie lors de problèmes de fertilité et de métrites (Figure 5 au dos). attention, car il existe des animaux excréteurs de Coxiella burnetii intermittents, des animaux excréteurs séronégatifs, et enfin, des animaux non-excréteurs séropositifs. Il faut donc réaliser la pcr et la sérologie conjointement pour une interprétation optimale du diagnostic. p.6 p.7

5 2 Diagnostiquer : méthodologie de confirmation des présomptions Méthodologie : Diagnostic lors d avortements répétés (4) Méthodologie : Diagnostic de circulation de Coxiella burnetii (4) PCR sur Avorton (contenu abomasal notamment) ou écouvillon vaginal de la mère ET prise de sang sur 5 primipares et 5 multipares PCR sur lait de tank PCR+ PCR PCR+ PCR constat > 50 % Autres vaches à problèmes < 30 % Autres vaches à problèmes > 60 % Autres vaches à problèmes < 30 % Autres vaches à problèmes 0 % constat > 10 % sur 10 vaches prélevées 0 % sur 10 vaches prélevées > 10 % sur 10 vaches prélevées 0 % sur 10 vaches prélevées Interprétation Avortements dus à C. burnetii Avortements récents dus à C. burnetii Suspicion modérée Suspicion faible Avortements non dus à C. burnetii Interprétation Circulation de C. burnetii dans l élevage Forte suspicion de circulation Suspicion Modérée Forte suspicion d absence de circulation Suite à donner Rechercher d autres hypothèses pour les plus anciens avortements Réaliser systématiquement une PCR FQ lors du prochain avortement Rechercher d autres hypothèses pour l avortement et réaliser une cinétique sérologique FQ Rechercher d autres hypothèses pour les avortements Suite à donner Refaire une PCR Lait de tank pour écarter un faux positif Réaliser une PCR Lait de tank et une cinétique sérologique FQ 3 semaines plus tard Figure 5 Figure 4 p.8 p.9 À confirmer si besoin

6 3 Combattre : stratégie de lutte contre la A objectifs : un combat sur Deux niveaux l objectif de la lutte est double : Protéger les animaux sains : limiter l excrétion de la bactérie dans le milieu extérieur afin de réduire le risque d infection ; Limiter l impact de la maladie : réduire les signes cliniques et en minimiser les conséquences. pour atteindre ce double objectif, il faut simultanément agir sur la bactérie elle-même mais aussi sur le niveau de contamination de l environnement. B 1 er niveau : la contamination De l environnement l infection à Coxiella burnetii se fait principalement par l inhalation des bactéries sous forme d aérosol. les bactéries se retrouvent dans l air sous forme d aérosol à partir : de l animal infecté excréteur (pertes vaginales, matière fécales ) (Figure 6) ; de l environnement (fumier, placenta, avorton ). CONTENU UTÉRIN LAIT FÈCES Sang VOIES RESPIRATOIRES Voies digestives Voies sanguines (tiques) Figure 6 : Voies d excrétion et de contamination de Coxiella burnetii par les animaux infectés C2 e niveau : une bactérie a variation antigénique Une protection immunitaire optimale nécessite une stimulation par le vaccin de l immunité humorale et cellulaire. la mise en culture de Coxiella burnetii provoque une délétion de ses antigènes de surface : passage de la phase 1 à la phase 2 (Figure 7). Seule la phase 1 permet la mise en place d une immunité cellulaire et humorale efficace. Phase 1 (forme infectieuse) : Phase 2 : Définir une stratégie de lutte Figure 7 : Phases 1 & 2 Forme isolée des cas contaminés Survit dans les macrophages et s y multiplie Présente de nombreux antigènes Isolée après passage sur culture de cellules Pénètre facilement dans les cellules, mais ne survit pas dans les macrophages Ne présente pas les antigènes de la phase 1 C est pourquoi la vaccination avec un vaccin phase 1 est préconisée dans les rapports AFSSA (5) et efsa (6) ainsi que dans la dernière note de service de la DGAL sur la (7). p.10 p.11

7 3 Combattre : moyens de lutte contre la D mesures non-médicales : pour réduire la contamination de l environnement, il faut mettre en place des mesures de contrôle non-médicales (5) (6) : Les risques Le fumier est une source importante de contamination L excrétion est notamment considérable lors de la parturition, mais pas uniquement Les moyens de lutte Limiter l épandage de fumier en présence de vent Optimiser l hygiène de la zone de mise bas (séparation, destruction des placentas), éviter la désinfection par des sprays à haute pression (aérosols) E mesures médicales : la vaccination COXEVAC à l heure actuelle, la vaccination est le moyen le plus efficace pour : diminuer les signes cliniques de la maladie ; limiter l excrétion de la bactérie par les animaux et ainsi réduire les risques d infections par Coxiella burnetii. COXEVAC contient des lipopolysaccharides de Coxiella burnetii en phase 1 ultra purifiés, ce qui lui confère une réponse immunitaire optimale (figures 8 et 9). C est le seul vaccin de phase 1 disponible sur le marché en médecine vétérinaire. Bien qu à moindre échelle, l infection par les tiques reste une possibilité Prévenir l infestation par des arthropodes piqueurs (tiques, poux...) Figure 8 : Comparaison du statut immunitaire de bovins vaccinés ou non en milieu infecté Figure 9 : Comparaison du statut immunitaire de caprins vaccinés ou non p.12 p.13

8 4 Vacciner : diminuer l impact de la maladie A coxevac : utilisé en prévention, il réduit l impact De la maladie la mise en place d une vaccination avec CoXeVaC permet en premier lieu de minimiser les conséquences de la maladie bactérienne : réduction du nombre d avortements chez les caprins (figure 10). réduction du nombre de métrites et d avortements chez les bovins (figure 11)*. Figure 10 : Réduction de l impact de la par la vaccination avec COXEVAC chez 43 chèvres après challenge expérimental (11) Vacciner, protéger, immuniser Figure 11 : Comparaison de paramètres de reproduction pendant un épisode de en France dans un cheptel de 50 vaches laitières, suite à la mise en place sur l ensemble du cheptel de la vaccination COXEVAC avec rappel annuel durant 4 ans p.14 p.15 *(Hors AMM)

9 4 Vacciner : limiter l excretion de Coxiella burnetii B coxevac : Chez les animaux sains C coxevac : chez les animaux infectés Un bovin non gestant vacciné avec COXEVAC a 5 fois plus de chances d être non excréteur qu un bovin non vacciné (Figure 12) (9). Chez les chèvres, la vaccination avec COXEVAC : réduit la durée et la quantité d excrétion de Coxiella burnetii (Figures 13 et 14) ; prévient l excrétion de Coxiella burnetii dans le lait (Figure 15). Un vaccin, même en phase 1, n est pas un traitement. Cependant, COXEVAC réduit significativement l excrétion de Coxiella burnetii chez les chevrettes infectées (Figure 16). Hazar d ratio Placebo % CI P Value COXEVAC 0,21 0,05-0,90 0,036 Figure 12 : Risque d un bovin vacciné non gestant de devenir excréteur en milieu infecté Figure 13 : Quantité de Coxiella burnetii par écouvillon chez des chevrettes non contaminées avant vaccination en milieu infecté (2) Figure 16 : Quantité de Coxiella burnetii par écouvillon chez des chevrettes infectées vaccinées ou non (2) Chez les bovins, la différence d excrétion entre les animaux infectés non vaccinés et vaccinés n est pas significative. Cependant on observe une tendance à avoir moins d animaux super excréteurs parmi les animaux vaccinés (figure 17)**. Figure 14 : Mesure de l excrétion de Coxiella burnetii dans le lait de chèvre après challenge expérimental (11) p.16 Figure 15 : Durée de l excrétion vaginale de Coxiella burnetii chez la chèvre après challenge expérimental Figure 17 : Nombre de bovins infectés, vaccinés ou non, en fonction du log du nombre de Coxiella burnetii excretées par écouvillon (10) (11) p.17 **(Hors AMM)

10 5 COXEVAC : un vaccin efficace et sûr A coxevac : un vaccin efficace et sûr Un vaccin efficace et sûr exempt d adjuvant, CoXeVaC, administré par voie sous-cutanée stricte, présente peu d effets indésirables : Son administration sur des bovins gestants n a pas mis en évidence d effet secondaire sur la gestation (Figure 18) (9)**. la vaccination avec CoXeVaC n a pas d impact sur la production laitière (Figures 19 et 20) (12). Figure 19 : Observation des courbes de lactaion suite à la vaccination de chèvres en lactation (12) Figure 18 : Observation du maintien de la gestation après vaccination avec COXEVAC d animaux gestants** Figure 20 : Observation des courbes de lactation suite à la vaccination de vaches en lactation (12) **(Hors AMM) B coxevac : recommandations D utilisation Il faut commencer la vaccination à partir de 3 mois d âge car les animaux peuvent s infecter par voie respiratoire avant la mise à la reproduction. afin de maintenir l immunité de troupeau, un rappel est nécessaire tous les 9 à 12 mois (1). la vaccination doit s inscrire dans un schéma de lutte global comprenant : la réduction du niveau de contamination de l environnement ; la mise en place d un programme de vaccination sur 3 à 5 ans permettant de faire évoluer le statut d un cheptel (Figure 21). Figure 21 : Statut PCR d un cheptel bovin infecté, suite à la mise en place sur l ensemble du cheptel d une vaccination COXEVAC durant 4 ans avec rappel annuel (1) p.18 p.19

11 PRotoCoLe de VaCCInatIon P.V.1 tous les 9 à 12 mois Période de vaccination optimale : à partir de 3 mois d âge dose VaCCInaLe 4 ml chez les bovins 2 ml chez les caprins RéFéRenCes 3 semaines L innovation Phase 1 P.V.2 Rappel 1. Camuset P., Remmy D. Q fever (Coxiella burnetii) eradication in a dairy herd by using vaccination with a phase 1 vaccine (COXEVAC, CEVA S.A.).Word Buiatric Congress Proceeding, Budapest, De Cremoux R. et David V. Evaluation de l incidence de la vaccination par un vaccin phase I sur la dynamique de l infection à Coxiella burnetii dans les élevages caprins en situation de fièvre Q clinique. Institut d Elevage , 97 p., Saegerman C. Q Fever: an emerging disese. European Buiatrics Forum, Ceva symposium, Marseille, Guatteo R., Joly A. et Beaudeau F. : quels prélèvements pour quelles vaches? Le Point Vétérinaire, 260, 40-42, Agence Française de Sécurité Sanitaire des Aliments : rapport d évaluation des risques pour la santé publique et des outils de gestion des risques en élevage de ruminants. AFSSA, 88 p., European Food Safety Agency Scientific opinion on Q fever. EFSA Journal; 8 (5): 1595, Ministère de l Alimentation, de l Agriculture et de la Pêche rôle des DDPP, modalités de surveillance et plan de maîtrise en élevage. Note de Service DGAL/SDSPA/SDSSA/N Guatteo R. Q Fever: an emerging disease. European Buiatrics Forum, Ceva symposium, Marseille, Guatteo R., Seegers H., Joly A., Beaudeau F. Prevention of C. burnetii shedding in infected dairy herds using a phase 1 Coxiella burnetii inactivated vaccine. Vaccine, 26, , Guatteo R., Seegers H., Joly A., Remmy D., Beaudeau F. Diagnostic et prévention de l infection par C. burnetii, agent de la fièvre Q. Bulletin des GTV, 48, Arricau-Bouvery N., Souriau A., Bodier C., Dufour P., Rousset E., Rodolakis A. Effect of vaccination with phase I and phase II C. burnetii vaccines in pregnant goats. Vaccine, 23, , Dossier d AMM COXEVAC - Etude d innocuité sur la production laitière protocole vaccinal bovin RCS Bordeaux Crédit Photo : Fotolia.com - photographie, Yves Roland, auremar, PackShot, alberto maisto, laurent davaine, Thierry Hoarau, mirpic / Getty images - Don Farall / Paul Robin COXEVAC suspension injectable pour bovins et caprins - COMPOSITION : Chaque ml de suspension contient : Principe actif : Coxiella burnetii inactivé, souche Nine Mile 72 unités FQ (Unité : teneur relative de l antigène phase I mesurée par ELISA en comparaison avec une unité de référence). Excipient : Thiomersal max. 120µg. INDICATIONS : Bovins : immunisation active des bovins afi n de réduire le risque chez les animaux vaccinés non-infectés et non-gestants de devenir excréteurs (5 fois moins de probabilité que chez les animaux ayant reçu un placebo) et afi n de réduire l excrétion de Coxiella burnetii chez ces animaux par le lait et le mucus vaginal. Mise en place de l immunité : non établie. Durée de l immunité : 280 jours après achèvement de la primo-vaccination. Caprins : immunisation active des caprins afi n de réduire les avortements causés par Coxiella burnetii et réduire son excrétion de l organisme par le lait, le mucus vaginal, les fèces et le placenta. Mise en place de l immunité : non établie. Durée de l immunité : non établie. Une protection a été démontrée par épreuve virulente 8 semaines après primo-vaccination. CONTRE-INDICATIONS : Aucune. EFFETS INDESIRABLES : Bovins : une réaction palpable d un diamètre de 9 à 10 cm est couramment observée (chez 8 animaux sur 10) au point d injection, et peut durer 17 jours. Cette réaction régresse progressivement et disparaît sans traitement. Caprins : une réaction palpable d un diamètre de 3 à 4 cm est couramment observée (chez 4 animaux sur 12) au point d injection, et peut durer 6 jours. Cette réaction régresse et disparaît sans traitement. Une légère augmentation de la température rectale est couramment observée (plus d un animal sur 10), pendant 4 jours après la vaccination sans autres signes particuliers. POSOLOGIE ET VOIE D ADMINISTRATION : Voie sous-cutanée. Bien agiter avant emploi. Bovins : 4 ml dans la région du cou - Caprins : 2 ml dans la région du cou. Même si les données d effi cacité sont basées sur les données de l essai avec épreuve virulente mené sur les chèvres vaccinées 2 fois, 6 et 3 semaines avant le début de la gestation, les résultats d un large essai terrain indiquent qu il serait utile de vacciner les jeunes animaux. Cette information ainsi que les données obtenues chez les bovins, permettent de recommander le schéma vaccinal suivant : Bovins à partir de 3 mois d âge : Primo-vaccination : 2 injections doivent être administrées par voie sous-cutanée à 3 semaines d intervalle. Dans des conditions normales, un calendrier de vaccination doit être planifi é afi n que la primo vaccination soit complète 3 semaines avant l accouplement ou l insémination artifi cielle. Rappel : tous les 9 mois, tel que décrit pour la primo-vaccination, basé sur une durée d immunité de 280 jours. Caprins à partir de 3 mois d âge : Primo-vaccination : 2 injections doivent être administrées par voie sous-cutanée à 3 semaines d intervalle. Dans des conditions normales, un calendrier de vaccination doit être planifi é afi n que la primo vaccination soit complète 3 semaines avant l accouplement ou l insémination artifi cielle. TEMPS D ATTENTE : Viande, abats et Lait : zéro jour. CATEGORIE : USAGE VETERINAIRE A ne délivrer que sur ordonnance vétérinaire devant être conservée pendant au moins 5 ans. PRESENTATION : Boîte de 1 fl acon de 40 ml. NUMERO D AMM : EU/2/10/110/001 TITULAIRE DE L AMM : CEVA SANTE ANIMALE - 10 av. de la Ballastière LIBOURNE. Fabriqué par : CEVA PHYLAXIA Budapest Szállás u.5 - HONGRIE. p.20 CEVA Santé Animale - 10, Av de La Ballastière Libourne Tél. : Fax :

Tuberculose bovine. Situation actuelle

Tuberculose bovine. Situation actuelle Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier

Plus en détail

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.

La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium

Plus en détail

Vaccinations pour les professionnels : actualités

Vaccinations pour les professionnels : actualités Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???

Plus en détail

FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES :

FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC, PIPETTES CONTRE PUCES ET TIQUES : FIPROTEC 50 MG SOLUTION SPOT-ON POUR CHAT Composition :Une pipette de 0,50 ml contient 50 mg de Fipronil. Indications d utilisation : Chez les chats : - Traitement

Plus en détail

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie,

Protéger. son animal. la gamme FRONTLINE. grâce à la gamme. Contre les puces et les tiques. Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, la gamme Frontline Contre les puces et les tiques Efficace plusieurs semaines (1) Résistant à la pluie, aux bains et aux shampooings (2) Protéger son animal grâce à la gamme FRONTLINE La gamme FRONTLINE

Plus en détail

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la

Plus en détail

Parasites externes du chat et du chien

Parasites externes du chat et du chien Parasites externes du chat et du chien Identification, prévention et traitement Les tiques Les tiques transmettent des maladies parfois mortelles. La prévention est la meilleure arme. 1 - Où les trouve-t-on?

Plus en détail

Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ

Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Programme Lait canadien de qualité des Producteurs laitiers du Canada Registre des dossiers et des mesures correctives du programme LCQ Utiliser avec le Registre et le Calendrier de DGI pour des dossiers

Plus en détail

Le point sur l IBR. la lutte les statuts. Manuel pratique à l attention des éleveurs. élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne!

Le point sur l IBR. la lutte les statuts. Manuel pratique à l attention des éleveurs. élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne! Le point sur l IBR Manuel pratique à l attention des éleveurs la maladie la lutte les statuts élever, produire, transformer... l Arsia vous accompagne! Manuel pratique à l attention des éleveurs - décembre

Plus en détail

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine

CROPSAV POITOU-CHARENTES. Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine CROPSAV POITOU-CHARENTES Section spécialisée domaine vétérinaire Tuberculose bovine Plan de la présentation La situation sanitaire Les mesures de surveillance de la tuberculose mises en place en Poitou-Charentes

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

22/12/11. Plan de la présentation

22/12/11. Plan de la présentation http://www.dda.ulg.ac.be L appréciation quantitative du risque microbiologique et la microbiologie prévisionnelle pour les entreprises. La microbiologie prévisionnelle Deux exemples simples L appréciation

Plus en détail

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS

CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS CLBV AQMP02 CAPRINS LAITIERS + BOVINS VIANDE ENSILAGE DE MAÏS 2 UMO sur 39 ha avec 200 chèvres produisant 160 000 litres de lait et engraissement de 40 génisses Ce système se rencontre principalement dans

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION. 10 octobre 2001 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS DE LA COMMISSION 10 octobre 2001 VIRAFERONPEG 50 µg 80 µg 100 µg 120 µg 150 µg, poudre et solvant pour solution injectable B/1 B/4 Laboratoires SCHERING PLOUGH Peginterféron

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

Commission des Recherches Bovines

Commission des Recherches Bovines Commission des Recherches Bovines Bilan des activités 2002-2006 Composition de la commission Représentants des depts GA (4), PHASE(4+2), SA(3) CEPIA (1), SAE2(1), SAD(1) Représentants des Ecoles Sup Agronomiques

Plus en détail

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME

MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES DIRECTION GENERALE DE LA SANTE- DDASS DE SEINE MARITIME Département des situations d urgence sanitaire Personne chargée du dossier : Evelyne FALIP/Nicole BOHIC Tél : 01 40 56 59 65/02 32 18 31 66 evelyne.falip@sante.gouv.fr MINISTERE DE LA SANTE ET DES SOLIDARITES

Plus en détail

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Surveillance des toxi-infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2012 En 2012, 1 288 foyers de toxi-infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés en France,

Plus en détail

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON

Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON 20-14 Vaccinations - Rédaction Dr BOUTON Chaque personnel navigant est responsable de la mise à jour des ses vaccins. 1 - VACCINATION OBLIGATOIRE La vaccination contre la fièvre jaune (vaccination anti-amarile)

Plus en détail

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe

Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Organisation des bâtiments dans les grands troupeaux 5 exemples d organisation spatiale en Europe Avril 2009 FICHES TECHNIQUES Auteur : Jacques CHARLERY Pôle Herbivores Chambres d agriculture de Bretagne

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE

PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE ÉTUDE DE FAISABILITÉ PORTANT SUR L ÉTABLISSEMENT D UNE PÉPINIÈRE DE CHEVRETTES AU QUÉBEC PLAN D AFFAIRES SOMMAIRE remis à Société des éleveurs de chèvres laitières de race du Québec Ministère de l Agriculture

Plus en détail

Restauration collective. quelques aspects réglementaires

Restauration collective. quelques aspects réglementaires Restauration collective quelques aspects réglementaires JL Fumery Marseille, 17 mai 2005 1 La restauration collective n est pas vraiment un concept nouveau de la préhistoire au moyen-âge quelles que soient

Plus en détail

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR

ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Dénomination du médicament ANNEXE IIIB NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR LYSOPAÏNE MAUX DE GORGE AMBROXOL CITRON 20 mg SANS SUCRE, pastille édulcorée au sorbitol et au sucralose. Chlorhydrate d ambroxol

Plus en détail

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé

Don de moelle osseuse. pour. la vie. Agence relevant du ministère de la santé. Agence relevant du ministère de la santé Don de moelle osseuse Engagez-VOUS pour la vie 1 Pourquoi devenir veilleur de vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison

Plus en détail

Le don de moelle osseuse

Le don de moelle osseuse Le don de moelle osseuse Enfant, je rêvais de sauver des vies. Aujourd hui, je le fais. Grande cause nationale 2009 Olivier, 4 ans Olivier, 32 ans Établissement relevant du ministère de la santé Le don

Plus en détail

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve

Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes

Plus en détail

MEDRIA 2013 DOSSIER DE PRESSE MEDRIA INVESTIT LA SANTÉ ANIMALE ET LANCE SON APPLICATION MOBILE

MEDRIA 2013 DOSSIER DE PRESSE MEDRIA INVESTIT LA SANTÉ ANIMALE ET LANCE SON APPLICATION MOBILE MEDRIA 2013 DOSSIER DE PRESSE MEDRIA INVESTIT LA SANTÉ ANIMALE ET LANCE SON APPLICATION MOBILE 1 2 Retrouvez-nous Au SPACE 2013 HALL 1 STAND E46 COMMUNIQUÉ DE PRESSE Depuis près de 10 ans, MEDRIA met au

Plus en détail

DOSSIER D'INSCRIPTION

DOSSIER D'INSCRIPTION CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE NICE ECOLE D' INFIRMIERS ANESTHESISTES CONCOURS D ENTREE DOSSIER D'INSCRIPTION DATE LIMITE DE DEPOT LE DERNIER JOUR OUVRABLE DU MOIS DE MARS ANNEE N ECOLE INFIRMIERS

Plus en détail

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions.

Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Streptocoque B :apports des tests en fin de grossesse, nouvelles propositions. Exemple d une étude prospective sur la place d un test de détection rapide du SGB. HONORAT Raphaële 1, ASSOULINE Corinne 1,

Plus en détail

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles

Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair. Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair Dr. Wael Abdelrahman Consultant technique, Probiotiques volailles Prévenir la colonisation par Campylobacter chez les poulets de chair

Plus en détail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Saisine n 2010-SA-0215 Le directeur général Maisons-Alfort, le 11 août 2011 COMPLEMENT D AVIS de l Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la

Plus en détail

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA

Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Epidémiologie appliquée aux sciences vétérinaires DES DAOA DES - DEA Claude SAEGERMAN Département des maladies infectieuses et parasitaires, Service d épidémiologie et analyse de risques appliquées aux

Plus en détail

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE

LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE Marie-Hélène BONNET 8, Avenue de l Amiral Narbonne 111120 Bize Minervois Tél. 04.68.40.61.50 Email : manoirperceval@wanadoo.fr LA PERITONITE INFECTIEUSE FELINE A lire très attentivement, et à faire lire

Plus en détail

AUTOUR DE LA MISE BAS

AUTOUR DE LA MISE BAS AUTOUR DE LA MISE BAS Un vêlage ou un agnelage est une des périodes les plus importantes dans la conduite d un élevage. De sa réussite dépendra l entrée d argent quelques mois plus tard. Il est donc impératif

Plus en détail

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses

Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier ensilage L assurance sécheresses Sorgho grain sucrier Itinéraire cultural Type de sol et préparation avant semis Le sorgho grain sucrier est relativement peu exigeant par rapport au

Plus en détail

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA

BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA BOITE A IMAGES PREVENTION DE LA MALADIE A VIRUS EBOLA INSTRUCTIONS À L ATTENTION DE L ANIMATEUR La boite à images pour la prévention de la FHVE (La Fièvre Ebola est une maladie épidémique, contagieuse

Plus en détail

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles

Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles Le Livre des Infections Sexuellement Transmissibles sommaire Qu est-ce qu une IST? p. 5 La blennorragie gonococcique p. 7 La chlamydiose p. 8 L hépatite B p. 9 L herpès génital p. 10 Les mycoplasmes et

Plus en détail

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives

Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Nombre de foyers Surveillance des toxi infections alimentaires collectives Données de la déclaration obligatoire, 2011 En 2011, 1 153 foyers de toxi infections alimentaires collectives (Tiac) ont été déclarés

Plus en détail

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4

Bovins viande. Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013. Total élevages. Nbre de veaux pesés en VA0. Nbre de veaux pesés en VA4 Bovins viande Effectifs troupeaux et animaux par région en 2013 Chif Régions Nbre de Nbre de Nbre de troupeaux troupeaux troupeaux adhérents adhérents suivis en en VA4 en VA0 engraissement Nbre de troupeaux

Plus en détail

Les gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux.

Les gencives et la santé générale. Qu est-ce qu une maladie des gencives? d autres types de problèmes de santé ou en causer de nouveaux. Les gencives et la santé générale Nous savons tous que la prévention est l une des clés du maintien de la santé générale. Nous faisons de l exercice et nous surveillons notre alimentation pour nous aider

Plus en détail

Qu est-ce que la peste?

Qu est-ce que la peste? Département fédéral de l'intérieur DFI Office fédéral de la santé publique OFSP Unité de direction Santé publique Qu est-ce que la peste? État : 1 juin 2008 Réponses aux questions fréquemment posées concernant

Plus en détail

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE

REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE REPOBLIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana Fahafahana Fandrosoana ----------------------- PRESIDENCE DE LA REPUBLIQUE LOI n 2006-030 du 24 novembre 2006 relative à l élevage à Madagascar L Assemblée nationale

Plus en détail

MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE

MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE MEDRIA 2014 DOSSIER DE PRESSE Alimentation-Reproduction-Santé MONITORING 100% CONNECTÉ : MEDRIA LANCE LE FEEDPHONE 1/18 COMMUNIQUÉ DE PRESSE MEDRIA lance au SPACE 2014 sa dernière innovation, le FeedPhone

Plus en détail

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014

Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion

Plus en détail

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger

Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb. Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Devenir des soignants non-répondeurs à la vaccination anti-vhb Dominique Abiteboul - GERES Jean-François Gehanno Michel Branger Contexte Hépatite B = risque professionnel pour les soignants Passé futur

Plus en détail

Bonus Bon Client 10 % Pack Modulis Agriculture Des garanties exclusives pour vous, vos activités et votre famille!

Bonus Bon Client 10 % Pack Modulis Agriculture Des garanties exclusives pour vous, vos activités et votre famille! Bonus Bon Client 10 % Pack Modulis Agriculture Des garanties exclusives pour vous, vos activités et votre famille! Modulis, pour une vision globale et une gestion simplifiée de vos assurances! L agriculture

Plus en détail

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL)

Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) Dracunculose Association Française des Enseignants de Parasitologie et Mycologie (ANOFEL) 2014 1 Table des matières Introduction... 3 1. Historique et actualité... 3 2. Agent pathogène et cycle... 4 3.

Plus en détail

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie :

I Identification du bénéficiaire (nom, prénom, N d affiliation à l O.A.) : II Eléments à attester par un médecin spécialiste en rhumatologie : ANNEXE A : Formulaire de première demande Formulaire de première demande de remboursement de la spécialité HUMIRA pour une spondylarthrite axiale sévère sans signes radiographiques de spondylarthrite ankylosante

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

La planification familiale

La planification familiale La planification familiale après l avortement spontané ou provoqué Introduction Les grossesses non désirées sont l une des principales raisons pour lesquelles les femmes choisissent d avorter. Beaucoup

Plus en détail

Des déficiences présentes

Des déficiences présentes Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?

Plus en détail

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali

Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali Compétitivité des produits laitiers locaux: vers une standardisation du «fènè», un lait spontanément fermenté au Mali S. Wullschleger, B. Bonfoh; A. Sissoko, I. Traoré; S. Tembely, J. Zinsstag, C. Lacroix,

Plus en détail

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring»

Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Aide à l Utilisation du site «Mon Monitoring» Mise à jour Aout 2013 Identifiant :... Mot de passe :.. Lorsque vous mettez les colliers aux animaux prenez garde à la petite flèche gravée (colorée en noir

Plus en détail

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012

Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Conclusions Projet Aquamanche Aquatic management of catchments for health and environment Gestion des eaux des bassin versants pour la santé et l environnement Brest (29) Lessay (50), 12-13 Mars 2012 Les

Plus en détail

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT

CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT CE QU IL FAUT SAVOIR PARTICIPATION À UN ESSAI CLINIQUE SUR UN MÉDICAMENT Sommaire Comment se fait la recherche sur un nouveau médicament? (page 1) A quoi sert la recherche sur un nouveau médicament? (page

Plus en détail

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT

DISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,

Plus en détail

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE»

1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» 1 er MASTER CONCEPT «UN MONDE UNE SANTE» In Partnership with Le Master 2 MAN-IMAL c est : Formation innovante et interdisciplinaire (Médecins, Véto, Ingénieurs agro/iaa, Biologistes ) Double compétence

Plus en détail

ANNEXE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME. Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5

ANNEXE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME. Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5 ANNEE I RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME Mention complémentaire Maintenance des systèmes embarqués de l automobile 5 RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES 1. Définition La mention complémentaire Maintenance

Plus en détail

Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref - Le parasitisme externe Les sentinelles : Attention. Les mises bas difficiles :

Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref - Le parasitisme externe Les sentinelles : Attention. Les mises bas difficiles : Septembre 2006 N 6 SOMMAIRE - Les nouvelles en bref Page 1 - Le parasitisme externe Page 2 - Les différents parasites Page 2 - Conséquences des infestations par les ectoparasites, Page 5 moyens de lutte

Plus en détail

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal

Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal GUIDE PRATIQUE DE L'ÉLEVEUR Produire avec de l'herbe Du sol à l'animal avril 2011 BRETAGNE PAYS DE LA LOIRE SOMMAIRE Paroles d éleveurs 4 Quelle place donner à l herbe Le choix d un système fourrager 8

Plus en détail

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence

Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en

Plus en détail

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE

SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE SPECIAL FINANCEMENT DE L AGRICULTURE L installation, la mise aux normes, le renouvellement d un matériel, ou tout autre investissement sont autant de situations ou d évènements qui nécessitent des besoins

Plus en détail

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5

Bijsluiter FR versie Collier Propoxur Halsband B. NOTICE 1/5 B. NOTICE 1/5 NOTICE COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de petite taille et chats COLLIER PROPOXUR HALSBAND pour chiens de grande et moyenne taille 1. NOM ET ADRESSE DU TITULAIRE DE L AUTORISATION DE

Plus en détail

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008

Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 AFRITAC de l Ouest (AFW) Abidjan Côte d Ivoire SÉMINAIRE Elaboration des documents méthodologiques des comptes nationaux selon le SCN 1993 et préparation du passage au SCN 2008 Institut national de la

Plus en détail

Transfusions sanguines, greffes et transplantations

Transfusions sanguines, greffes et transplantations Transfusions sanguines, greffes et transplantations Chiffres clés en 2008 La greffe d organes est pratiquée depuis plus de 50 ans. 4 620 malades ont été greffés. 1 563 personnes ont été prélevées. 222

Plus en détail

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION

FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION FICHE D INFORMATION AVANT UNE TRANSFUSION Madame, Monsieur, Si votre état de santé nécessite une transfusion sanguine, ce document est destiné à vous informer sur les avantages et les risques de la transfusion,

Plus en détail

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE

LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE LES INCONTOURNABLES DE L HYGIENE ALIMENTAIRE EN RESTAURANT SATELLITE Direction Départementale de la Protection des Populations De Seine-Saint-Denis (DDPP 93) - Immeuble l Européen - 5 et 7 promenade Jean

Plus en détail

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD?

CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? CONTROVERSE : IDR OU QUANTIFERON LORS D'UN CONTAGE EN EHPAD? Hélène MANGEARD François MALADRY Tuberculose : infection mycobactérienne Infection mycobactérienne chronique (M. Tuberculosis ++ ou bacille

Plus en détail

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN

UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN RÉSEAUX D ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE COLLECTION THÉMA UN VEAU PAR VACHE ET PAR AN Pour les éleveurs allaitants dont la principale activité est de faire naître des veaux, il est primordial

Plus en détail

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité

ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG. Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Hôpitaux Universitaires de Genève ASPECT ECHOGRAPHIQUE NORMAL DE LA CAVITE UTERINE APRES IVG Dr D. Tasias Département de gynécologie, d'obstétrique et de stérilité Introduction (1) L IVG chirurgicale est

Plus en détail

Indications de la césarienne programmée à terme

Indications de la césarienne programmée à terme Indications de la césarienne programmée à terme Janvier 2012 Quelles sont les indications de la césarienne programmée? Utérus cicatriciel Transmissions mère-enfant d infections maternelles Grossesse gémellaire

Plus en détail

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance

BREVES DU GDS 85. ont plutôt tendance Editorial BREVES DU GDS 85 N 29 - NOVEMBRE 2010 Ne pas confondre le PSE et le SPE (Support Personnalisé d Epidémiosurveillance), ce dernier mis en place avec le GTV (Groupement Technique Vétérinaire) et

Plus en détail

PLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91

PLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91 CERTIFICATION DE LABEL : PLAN DE CONTRÔLE Référence : LA1791 / P300-1. VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE D AQUITAINE LA/17/91 Indice n 1 Page 1/63 PLAN DE CONTRÔLE VIANDE BOVINE ET ABATS DE RACE BLONDE

Plus en détail

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE

EPREUVE ECRITE D ADMISSIBILITE CONCOURS DE RECRUTEMENT DE PROFESSEURS DE LYCEE PROFESSIONNELS AGRICOLE (PLPA) SESSION 2011 Concours : INTERNE Section : Sciences économiques et sociales et gestion Option A : Sciences économiques et sociales

Plus en détail

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME

EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME EVALUATION DES METHODES D AIDE A L ARRET DU TABAGISME Docteur Jean PERRIOT Dispensaire Emile Roux Clermont-Ferrand jean.perriot@cg63.fr DIU Tabacologie Clermont-Ferrand - 2015 NOTIONS GENERALES INTRODUCTION.

Plus en détail

1 ère manche Questions fermées

1 ère manche Questions fermées Quiz VIH 2011 1 ère manche Questions fermées Crips Ile-de-France / Mise à jour : août 2015 Thème : Dépistage Un test VIH négatif indique toujours que la personne qui a fait le test n est pas contaminée

Plus en détail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail

AVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise

Plus en détail

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution

Objet : Critères microbiologiques applicables aux auto-contrôles sur les carcasses d'animaux de boucherie. Destinataires d'exécution Ordre de méthode Direction générale de l'alimentation Sous-direction de la sécurité sanitaire des aliments Bureau des établissements d'abattage et de découpe 251 rue de Vaugirard 75 732 PARIS CEDEX 15

Plus en détail

Comment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse:

Comment se déroule le prélèvement? Il existe 2 modes de prélèvements des cellules souches de la moelle osseuse: La greffe de moelle osseuse représente une chance importante de guérison pour de nombreuses personnes atteintes de maladies graves du sang. Le don de moelle osseuse est un acte volontaire, anonyme et gratuit

Plus en détail

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité

Introduction. CRA-W- Département Productions et Filières, Unité Mode d élevage, bien être et qualité Gestion raisonnée du parasitisme gastro-intestinal chez le jeune bétail laitier à l herbe Remience Virginie, attachée scientifique 1 ;Vanvinckenroye Caroline, assistante 2 ; Decruyenaere Virginie, attachée

Plus en détail

ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT

ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT ANNEXE I RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1 1. DÉNOMINATION DU MÉDICAMENT VÉTÉRINAIRE Equip WNV - émulsion injectable pour chevaux 2. COMPOSITION QUALITATIVE ET QUANTITATIVE Chaque dose de 1 ml contient:

Plus en détail

La vaccination, une bonne protection

La vaccination, une bonne protection Vaccin contre l hépatite A et l hépatite B La personne qui reçoit ce vaccin se protège contre l hépatite A, l hépatite B et leurs complications. L hépatite A et l hépatite B sont des infections du foie

Plus en détail

Référentiel Officine

Référentiel Officine Référentiel Officine Inscrire la formation dans la réalité et les besoins de la pharmacie d officine de demain - Ce référentiel décrit dans le cadre des missions et des activités du pharmacien d officine

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport

Service d ambulance. Normes. de soins aux patients. et de transport Service d ambulance Normes de soins aux patients et de transport Ministère de la Santé et des Soins de longue durée Direction des services de santé d urgence Avril 2000 (Mise à jour : octobre 2002) Soins

Plus en détail

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV

Réintroductions alimentaires chez l enfant. M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires chez l enfant M. Hofer - J.Wassenberg Immuno-allergologie Service de pédiatrie - CHUV Réintroductions alimentaires en 2004 Age: 12 mois 10 ans Nombre total: 30 Tests réussis:

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

www.dondemoelleosseuse.fr

www.dondemoelleosseuse.fr Agence relevant du ministère de la santé www.dondemoelleosseuse.fr 01 Pourquoi devenir Veilleur de Vie? Le don de moelle osseuse peut sauver des vies. Chaque année, des milliers de personnes - enfants

Plus en détail

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES

TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES TEST DE DÉTECTION DE LA PRODUCTION D INTERFÉRON γ POUR LE DIAGNOSTIC DES INFECTIONS TUBERCULEUSES Classement NABM : non inscrit code : non codé DÉCEMBRE 2006 Service évaluation des actes professionnels

Plus en détail

Stelara (ustekinumab)

Stelara (ustekinumab) Les autorités de santé de l Union européenne ont assorti la mise sur le marché du médicament Stelara de certaines conditions. Le plan obligatoire de minimisation des risques en Belgique, dont cette information

Plus en détail

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental

La cohabitation des races ovines Ouled Jellal (OJ) et Beni Guil (BG) et développement de l'élevage ovin dans le système pastoral du Maroc Oriental Mediterranean biodiversity as a tool for the sustainable development of the small ruminant sector: From traditional knowledge to innovation Institut Agronomique et Vétérinaire Hassan II Rabat, 16 décembre

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX.

Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Coup de tonnerre dans les raccourcisseurs Nouveau. TRIMAXX, le raccourcisseur qui en fait un MAXX. Trimaxx est un nouveau raccourcisseur pour céréales à paille et féveroles doté d une formulation Son absorption

Plus en détail

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité

Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Document d orientation sur les allégations issues d essais de non-infériorité Février 2013 1 Liste de contrôle des essais de non-infériorité N o Liste de contrôle (les clients peuvent se servir de cette

Plus en détail

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS

RECUEIL SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS RECUEIL IDENTIFICATION ÉLECTRONIQUE DES BOVINS, OVINS ET CAPRINS SOMMET DE L ÉLEVAGE 2009 Institut de l Élevage, 149 rue de Bercy, 75595 PARIS Cedex 12 Boucle électronique officielle : questions-réponses

Plus en détail

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE

THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE THEME 2 : CORPS HUMAIN ET SANTE : L EXERCICE PHYSIQUE Introduction générale : L Homme, pour vivre, a besoin de se nourrir. La nutrition fait appel à différentes fonctions que sont l alimentation, la respiration

Plus en détail