LA GESTION D ACTIFS. entre en résistance. DOSSIER > p. 20 à 37. INTERVIEW Paul-Henri de La Porte du Theil

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1 N juillet-août euros - ISSN revue-banque.fr Revue Banque n 738 juillet-août 2011 RÉFORME PRUDENTIELLE DE BÂLE III Préserver le modèle résilient de la bancassurance française Michel Bilger, Crédit Agricole SA > p. 44 DROIT DES MARCHÉS FINANCIERS Les banques et les biens mal acquis Hubert de Vauplane, Université Paris II Panthéon-Assas, AEDBF (Europe) > p. 79 CRISE DE LA MICROFINANCE INDIENNE «L engouement va laisser place à une phase de maturité» Jean-Michel Servet, Institut des hautes études internationales et du développement (Genève) > p. 64 MARKETING Osez les réseaux sociaux dans la banque DOSSIER > p. 20 à 37 LA GESTION D ACTIFS entre en résistance Bénédicte Daull Massart et Julien Maldonato, Deloitte > p. 77 INTERVIEW Paul-Henri de La Porte du Theil Président de l AFG «Nous réfléchissons à la création [ ] de produits de trésorerie adaptés à la réglementation prudentielle bancaire.»

2 Nouveauté Couleurs des thèmes : BANQUE FINANCE SOCIAL GESTION DROIT MARKETING Myriam Quéméner est magistrat au parquet général de la cour d appel de Versailles et précédemment sous-directrice de la justice pénale à la Chancellerie. Ancien auditeur de l Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), elle est experte au Conseil de l Europe et dirige la session relative à la cybercriminalité de l École nationale de la Magistrature (ENM). Vols de données bancaires, escroqueries, attaques informatiques, atteintes à l e-réputation : les établissements financiers sont aujourd hui légitimement inquiets face à la montée de la cybercriminalité. Comment définir cette nouvelle délinquance? Comment évolue-t-elle et qui sont les hackers? Quelle est la menace, quels sont les moyens de lutte à l heure du e-commerce en constante expansion? Comment prévenir les risques numériques en interne, comment gérer l usage des réseaux sociaux au sein des établissements financiers? Quelles sont les incidences juridiques du cloud computing pour les banques qui externalisent de plus en plus leurs données? Cet ouvrage dresse un panorama des «cyberfraudes» aussi bien internes qu externes et décrypte les modes opératoires utilisés par les «cyberdélinquants». L auteur présente la réglementation et les acteurs de la lutte contre ce fléau et propose des solutions pragmatiques aux établissements financiers, aux professionnels et à leurs clients qui peuvent être victimes ou acteurs involontaires. Vols de données bancaires, escroqueries, attaques informatiques, atteintes à l e-réputation : les établissements financiers sont aujourd hui légitimement inquiets face à la montée de la cybercriminalité. Comment définir cette nouvelle délinquance? Comment évolue-t-elle et qui sont les hackers? Quelle est la menace, quels sont les moyens de lutte à l heure du e-commerce en constante expansion? Comment prévenir les risques numériques en interne, comment gérer l usage des réseaux sociaux au sein des établissements financiers? Quelles sont les incidences juridiques du cloud computing pour les banques qui externalisent de plus en plus leurs données? Cet ouvrage dresse un panorama des «cyberfraudes» aussi bien internes qu externes et décrypte les modes opératoires utilisés par les «cyberdélinquants». L auteur présente la réglementation et les acteurs de la lutte contre ce fléau et propose des solutions pragmatiques aux établissements financiers, aux professionnels et à leurs clients, qui peuvent être victimes ou acteurs involontaires. 20 euros ISBN : Géodif : G Myriam Quéméner Établissements financiers & cyberfraudes DROIT BANQUE FINANCE SOCIAL GESTION DROIT MARKETING Établissements financiers & cyberfraudes Myriam Quéméner ÉTABLISSEMENTS FINANCIERS & CYBERFRAUDES MYRIAM QUEMENER 128 pages, 20 euros Myriam Quemener est magistrat au parquet général de la cour d appel de Versailles et précédemment sous-directrice de la justice pénale à la Chancellerie. Ancien auditeur de l Institut des hautes études de défense nationale (IHEDN), elle est experte au Conseil de l Europe et dirige la session relative à la cybercriminalité de l École nationale de la Magistrature (ENM). Commander cet ouvrage sur Internet : revuebanquelibrairie.com

3 éditorial 18, rue La Fayette, Paris Télécopie : Directeur de la publication Valérie Ohannessian Secrétaire général Pierre Coustols rédaction Rédacteur en chef Élisabeth Coulomb Rédacteurs Sophie Gauvent Andréane Fulconis-Tielens Séverine Leboucher Annick Masounave Céline Thomas Secrétariat de rédaction 1 er secrétaire de rédaction : Alain de Seze Christine Hauvette Maquette 1 er maquettiste : Emmanuel Gonzalez Alexandra Démétriadis Directrice marketing et commercial Valérie Dumas-Paoli Responsable activités Internet Paul-Emmanuel Géry Webdesigner Michal Sikora Assistante de direction Claire de Pommery Chargée de promotion Virginie Baillard Séminaires Responsable département : Carole Trambouze Responsable promotion et organisation : Magali Marchal Annabelle Bail Émilie Dolo PubliCité Isabelle Conroux édition Marie-Hélène Bourg Mauricette Delbos Diffusion-distribution Éric Meslier Gestion Patrick Moisset Librairie de la banque et de la finance Lundi au jeudi 9 h 18 h vendredi 9 h 17 h Tél. : ; Fax : SErViCE abonnements NPAI / La Revue Banque 39, rue Marcelin-Berthelot Drancy Tél. : Fax : Courriel : revuebanque.abo@npai.fr Abonnement 1 an : 335 CPPAP Certificat d inscription n 0212 T Imprimé par SPEI, Pulnoy (54) Dépôt légal 3 e trimestre 2011 La reproduction totale ou partielle des articles publiés dans Revue Banque, sans accord écrit de la société Revue Banque Sarl, est interdite conformément à la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique. Revue Banque Baisse des rendements, de la collecte de l assurance vie, hémorragies des fonds monétaires, sous-performance de certains portefeuilles, évolutions réglementaires adverses entre Bâle III qui incite les banques à placer leurs liquidités en produits bancaires plutôt qu en gestion collective, Solvabilité 2 qui modifie l allocation des assureurs vers des encours gérés en interne, voire même certains aspects extra-territoriaux de la loi US Dodd Frank, suspicion jetée par le FSB sur les ETF accusés de menacer la stabilité financière la gestion d actifs navigue sur des flots agités. Mais elle travaille déjà aux moyens de relancer sa croissance : «nous réfléchissons à la création d un nouveau type de fonds [ ] adaptés à la réglementation prudentielle bancaire» annonce Paul Henri de la Porte du Theil, président de l AFG ; même mobilisation auprès des assureurs avec des produits de type «variable anuities» qui permettent de sortir en capital ou en rente viagère, ou des fonds euro-diversifiés positionnés entre les contrats en euros et les unités de compte ; enfin elle regarde vers les pays émergents qui pourraient représenter 25 % des produits de gestion à l horizon 2014, au niveau mondial. Mais entre concurrence et négociations avec les régulateurs locaux, la partie sera difficile à jouer. Élisabeth Coulomb Rédactrice en chef Gestion d actifs : mer agitée à forte Les enjeux de La CRd4 pour La bancassurance Michel Bilger (Crédit Agricole SA) tire la sonnette d alarme : «Les règles de BâleIII fragiliseraient les banques ayant une activité significative dans l assurance et pénaliseraient le modèle de bancassurance largement développé en France». Et d énumérer les conséquences dommageables d une application à la lettre de ces règles : pénalisation des compagnies d assurance bien capitalisées, pas de gestion flexible des fonds propres au sein du conglomérat, distorsion de concurrence, etc. Il plaide donc pour que leur transposition dans la Directive CRD4 (dont la sortie est prévue pour cet été) maintienne, pour la prise en compte des participations de banques dans des compagnies d assurance, un renvoi vers la Directive conglomérats qui permet d évaluer de façon satisfaisante «la solvabilité au regard de l ensemble des risques pris dans les activités consolidées de banque et d assurance». Êtes-vous un twittos? Faut-il être présent sur les réseaux sociaux? Pour certains, c est inéluctable car ils seront bientôt des canaux de communication aussi pratiqués que nos traditionnels téléphones portables ou boîtes mails. Mais il faut apprendre à échanger autrement avec les internautes et à s adapter à l immédiateté qui caractérise ces réseaux. Ainsi, les banques américaines sont déjà des twittos confirmés pour échanger avec leurs clients ; elles exploitent les réseaux sociaux pour constuire de nouvelles méthodes de segmentation ou proposent de «liker» leurs produits, à l image de la pratique d appréciation popularisée par Facebook, expliquent Bénédicte Daull Massart et Julien Maldonato (Deloitte). Avec l arrivée des premières générations nées avec Internet, la tendance ne peut que s intensifier. La microfinance elle aussi Connaît La CRise Celle qui secoue depuis un an la microfinance indienne a remis en cause quelques idées reçues et fait émerger des bonnes pratiques. Ainsi, «la microfinance n est pas exclue du capitalisme» explique Jean-Michel Servet (IHEID Genève) ; et elle n a pas pour but de lutter contre la pauvreté mais plutôt contre l exclusion financière. La crise indienne pourrait ainsi avoir pour effet paradoxalement bénéfique de conduire cette activité vers sa phase de maturité. n juillet-août 2011 n o 738 Revue Banque 3

4 sommaire ViE du SECtEur Le mois en Revue Dossier À suivre 6 dette SouVEraiNE Sauvetage de la Grèce sous condition Les chroniques 8 économie Jean-Pierre Petit «Double dip» aux États-Unis? 8 CHaNGE & taux Philippe Weber Immobilier US : un secteur encore déprimé 9 épargne Guy marty Le logement, encore 10 m & a bancaires Georges Pujals Banques irlandaises : année zéro Le secteur 12 international 13 EuroPE 14 france Les entreprises 15 ViE des ENtrEPriSES 16 SoCial Stéphane Saugère La Conférence internationale du travail célèbre cette année sa 100 e session LA GeStIon D ACtIfS entre en résistance 23 Sommaire du dossier Les acteurs 18 NomiNatioNS CahieR techno 38 HautE-fidélité Tout pour la musique! 41 trois questions à Guy Bourreau, Cabasse par Stéphanie Chaptal 4 Revue Banque n 738 juillet-août 2011

5 EXPErtiSE Risques & RÉgLementation management & si 44 réforme PrudENtiEllE de bâle iii Préserver le modèle résilient de la bancassurance française Michel Bilger, Crédit Agricole SA, AFGAP 48 ProduitS dérivés Quelle qualification pour les contrats de change reportables? Philippe Goutay, Freshfields Bruckhaus Deringer LLP 50 réforme de la GardE à VuE Les entreprises face au risque judiciaire Philippe Bouchez El Ghozi, Paul Hastings 54 ParadiS fiscaux Le secret bancaire suisse : la contre-attaque Vincent Piolet, Université Paris-VIII 57 GEStioN des risques Les banques provisionnent-elles suffisamment en période de crise? Vincent Maymo, Université Paris IV Jean-Étienne Palard, Université Bordeaux IV 60 forum des auteurs À quoi servent les marchés financiers? activités & services 64 CriSE de la microfinance indienne «L engouement va laisser place à une phase de maturité» Jean-Michel Servet, Institut des hautes études internationales et du développement (Genève) 67 relation CliENt Le téléphone cherche sa place dans l organisation de la distribution Philippe Gardes, Exton Consulting 70 moyens de PaiEmENt Nouvelle vague ou onde de choc? Angelo Caci, ADN co 73 bonnes PratiquES Unifier les données de la fonction finances-risques Alain Maginot, Catherine Conte et Jocelyne Molière, Crédit Foncier 77 marketing Osez les réseaux sociaux dans la banque Bénédicte Daull Massart et Julien Maldonato, Deloitte veille technique 79 droit des marchés financiers Les banques et les biens mal acquis Hubert de Vauplane, Université Paris II Panthéon-Assas, AEDBF (Europe) 84 ComPtabilité La pratique de la juste valeur des instruments financiers au sein des directions comptables d établissements de crédit (1/2) Hervé Thiery, PricewaterhouseCoopers Audit, ADICECEI 87 JuriSPrudENCE bancaire Découvert et compte-courant à vocation professionnelle : quelles responsabilités pour les banques? Jean-Louis Guillot et Martine Boccara, Groupe BNP Paribas 90 la translucidité fiscale des SoCiétéS de PErSoNNES Une spécificité française en voie d extinction Jean-Jacques Cappelaere 93 GEStioN des risques Le traitement du risque de contrepartie dans les opérations de marché sous Bâle III Hassan Lahlou, Investance bloc-notes 95 bibliographie 98 agenda index des annonceurs z SAB, p. 37 Numéro mis sous presse le mardi 28 juin Illustration de couverture : Thinkstock. juillet-août 2011 n 738 Revue Banque 5

6 le mois en revue Nominations amundi l laurent Guillet, 50 ans, est promu directeur général d amundi alternative investments (amundi ai). diplômé d HEC, il débute en 1988 à la banque indosuez. devenu, en 1994, responsable de la structuration et du marketing fixed income de Crédit agricole indosuez, il prend en 2001 la responsabilité des ventes des produits dérivés sur actions pour la france, le benelux et la Suisse chez Crédit agricole Cheuvreux. à partir de 2004, il devient responsable des ventes du département actions et produits dérivés pour l Europe, le moyen-orient et l afrique du Nord de Calyon. Entré en 2007 chez amundi investment Solutions en tant que directeur général délégué, il était depuis l an dernier directeur général délégué d amundi ai. afte l Philippe messager, 56 ans, prend la présidence de l Association française des trésoriers d entreprise. Diplômé de HEC et titulaire du diplôme d études comptables supérieures, il entame son parcours chez Pechiney. Il rejoint Rhône-Poulenc en 1986 et devient trésorier du groupe en Grande-Bretagne. Recruté en 1992 par la direction financière de Valeo, il entre, en 1994, à la Compagnie générale des eaux comme trésorier de la CGEA, puis est nommé, en 2000, directeur des financements et de la trésorerie de Veolia Environnement. Il est actuellement directeur des financements et de la trésorerie du groupe EDF. banque fédérale mutualiste l yves marthos, 61 ans, est élu président-directeur général de la Banque Fédérale Mutualiste (BFM). Diplômé de l École nationale des services du Trésor, il exerce comme percepteur avant de rejoindre, en 1998, la direction générale de la comptabilité publique. Nommé, en 2001, administrateur de la Mutuelle du Trésor puis trésorier général, il est appelé par ailleurs, en 2005, en qualité de contrôleur de gestion d Initiatives Mutuelles. Élu président de la MFP Services (Union de mutuelles) en 2007, il était aussi depuis vice-président de la BFM et de la Mutuelle du Trésor. bnp paribas l frédéric tardy, 41 ans, devient directeur général de l Atelier BNP Paribas à San Francisco. Diplômé de l ESCAE, il entre chez Cetelem en 1993, occupe différents postes de direction, en France, au Royaume-Uni et en Espagne, notamment comme responsable du développement de Cetelem.fr. Il était auparavant directeur de l e-business pour BNP Paribas Personal Finance au niveau mondial. l Gilles david, 45 ans, intègre CamGestion, spécialiste en gestion patrimoniale de BNP Paribas Investment Partners, au poste de directeur des gestions. Diplômé de l École nationale supérieure d ingénieurs, il débute en 1990 au Crédit Lyonnais, puis occupe à partir de 1995 différentes fonctions au sein bnp paribas investment partners l Skander Chabbi, 37 ans, rejoint BNP Paribas Investment Partners en tant que responsable des obligations convertibles. Diplômé de l Université du Maine et de l Essec, il occupe tout d abord les postes de gérant de portefeuille, puis responsable de gestion obligations convertibles chez Amundi avant de rejoindre DWS Investment (Groupe Deustche Bank) où il gérait des portefeuilles globaux. de l équipe Gestion obligataire et monétaire de Crédit Agricole Asset Management. Devenu, en 2001, gérant gestion diversifiée internationale et responsable des comptes institutionnels au CAAM, il rejoint Groupe BNP Paribas en 2007 en tant que responsable de l équipe allocation du risque de BNP Paribas Asset Management. bpce l thierry Cherbit, 46 ans, est promu responsable mondial trésorerie et gestion du collatéral groupe BPCE- Natixis au sein de la banque de financement et d investissement de Natixis, filiale de BPCE. Titulaire d un DESS marchés financiers, marchés des matières premières et gestion de l entreprise, il exerce comme responsable de la syndication du CCF, puis du fixed income chez CPR, avant de rejoindre Natexis Banques Populaires en Il y assume tour à tour les responsabilités des marchés obligataires puis du pôle crédit, et enfin celle de coresponsable des marchés de capitaux à partir de Il occupe, banque populaire d alsace l Christine Jacglin, 47 ans, accède au poste de directrice générale de la banque Populaire d alsace. diplômée de l iep de Paris, elle entre à la Chambre syndicale des banques Populaires en 1987 en tant qu inspecteur. de 1994 à 2000, elle occupe diverses fonctions au sein de la filiale d affacturage factorem (organisation, finances, secrétariat général). En 2000, elle rejoint la banque Populaire rives de Paris (bics banque Populaire à l époque) comme secrétaire général, puis elle prend en charge la direction du développement de 2004 à devenue directeur des opérations en mars 2008, elle était directeur général adjoint depuis Revue Banque n o 738 juillet-août 2011

7 J.-M. PETTINA depuis quatre ans, les fonctions de responsable mondial trésorerie et arbitrage de Natixis. l Hervé Hatt, 47 ans, est nommé directeur général de MeilleurTaux. com, filiale de la BPCE. Diplômé de HEC, il débute chez Corporate Value Associates puis intègre McKinsey. Recruté par AXA en 1998, il supervise les filiales de gestion d actifs puis dirige la planification stratégique. Au sein d AXA France dès 2002, il conduit l acquisition auprès de BNP Paribas de Banque Directe, devenue AXA Banque, dont il est le président du directoire de 2002 à Parallèlement, il créé et pilote la gestion privée et les partenariats financiers d AXA France jusqu en Il était, depuis, président du comité de direction d AXA Bank Europe, en charge du pilotage des banques de détail en Europe. Caisse des dépôts l Jean-Charles Watiez, 46 ans, remplace Philippe Mutricy en qualité de directeur de cabinet du directeur général de la Caisse des Dépôts. Diplômé de l ESCP, docteur en sciences de gestion, ancien élève de l ENA, il débute en 1989 dans le groupe Michelin qui le nomme directeur de Michelin Taïwan en Trois ans plus tard, il rejoint la CCI de Saône et Loire pour prendre la direction de l enseignement supérieur, de l apprentissage et de la formation professionnelle continue. Affecté à sa sortie de l ENA en 2005 au ministère des Finances, il intègre en 2008 la Caisse des Dépôts comme directeur régional Limousin. La banque postale l anne-laure bourn, 48 ans, devient directrice des opérations de la banque Postale. diplômée de l isg, de l itb et de l executive mba d HEC, elle débute en 1985 chez thomson Grand Public. En 1988, elle intègre la Caisse régionale du Crédit agricole du morbihan dont elle devient responsable marketing en Entrée en 1995 dans le groupe la Poste, elle est, à partir de 2000, directrice du centre financier de rennes, avant de prendre la direction de celui de Paris ile-de-france. à la création de la banque Postale en 2006, elle devient représentante territoriale de la banque Postale ouest, dom et Corse et, depuis deux ans, elle était secrétaire générale de lbpam. national au Crédit Agricole Nord de France. Diplômé de l Edhec Lille et de l Université Paris- Dauphine (DESS banque & finance), il débute comme chargé d affaires au Crédit Lyonnais (futur LCL), puis occupe le poste de directeur financier et administratif de plusieurs PME grenobloises. En 2001, il intègre LCL pour prendre la responsabilité du Centre d affaires entreprises de Rouen. Depuis quatre ans, il était risk manager de CA Leasing & Factoring UK (filiale anglaise de crédit-bail et d affacturage du Groupe Crédit Agricole) à Londres. CRÉdit agricole sa l Jean-Christophe kiren, 54 ans, est nommé directeur des systèmes et services de paiement et flux de Crédit Agricole. Diplômé de l Essec, il rejoint en 1983 la Caisse régionale de Crédit Agricole du Sud Est. Devenu, en 2000, directeur des ressources humaines et de la communication de la Caisse régionale Anjou Maine, il est nommé, en 2004, directeur général adjoint de la Caisse régionale du Calvados et du Crédit Agricole Normandie, puis en 2005 de la Caisse régionale de Normandie. En 2007, il intègre LCL en tant que directeur du pôle technologies et traitements. Depuis deux ans, il était directeur général adjoint de la Caisse régionale de Crédit Agricole Nord Est. natixis l Etienne Varloot, 43 ans, prend la tête du département des risques de marché chez Natixis. Ingénieur (École centrale Lyon et Columbia University), actuaire et diplômé d un MBA de l Insead, il occupe plusieurs postes d analyse, de stratégie, puis de trading chez Citigroup et UBS. Depuis deux ans, il était responsable adjoint des risques de marché et de crédit de la Banque de France. CRÉdit agricole nord de france l david asseo, 41 ans, est promu directeur des entreprises et de l interréalisé par Christine Hauvette hauvette@revue-banque. fr télex l activa CaPital Jean-baptiste Salvin est nommé en tant qu investment manager l alfi (association luxembourgeoise des fonds d investissement) marc Saluzzi est élu président l audisoft Sylvie lépicier rejoint audisoft Consultants en qualité d associée l bcg éric brat devient directeur associé senior du boston Consulting Group Paris l deloitte laurent Halfon, Edouard lhomme, antony maarek et Jean Cauka sont cooptés associés l ErNSt & young Jean-louis Georgelin rejoint le conseil stratégique du cabinet l morningstar Christophe tardy prend la direction de la stratégie. juillet-août 2011 n o 738 La Compagnie financière edmond de RothsChiLd l maurice lévy, 69 ans, rejoint le conseil de surveillance de La Compagnie Financière Edmond de Rothschild. En 1967, il entre dans le groupe Publicis pour y diriger l informatique. Devenu, en 1976, directeur général de Publicis Conseil, puis P-DG, il est depuis 1987 le président du directoire de Publicis Groupe. Il est également président de l Afep (Association française des entreprises privées). Revue Banque 19

8 D ossier LA GeStIon D ACtIfS entre en résistance Dossier réalisé par Sophie Gauvent 20 Revue Banque n 738 juillet-août 2011 L asset management fait l objet de l inquiétude de plusieurs instances. L AMF, dans sa cartographie des risques 2011, écrit que «les banques sont incitées [ ] à augmenter les dépôts de la clientèle [ ] à leur bilan, au détriment possible des fonds monétaires». Jean-Paul Redouin, sous-gouverneur de la Banque de France, a repris le même thème dans son discours du 30 mai devant les trésoriers de banque, avant d ajouter : «L industrie de la gestion d actifs est un secteur d activité solide que l on ne doit pas déstabiliser.» Les recommandations du sous-gouverneur auront-elles raison de l offensive bancaire en direction du pactole monétaire? Les asset managers préfèrent assurer euxmêmes leur défense et préparent leur contre-offensive en réfléchissant à la création d un nouveau produit de trésorerie (voir p. 22). Et puis, la gestion monétaire n est pas la seule activité des asset managers : ils gèrent également, pour le compte de particuliers ou d institutionnels, des fonds investis sur d autres classes d actifs (obligations, actions ) et comptent aussi sur ces activités pour continuer de se développer. L assurance vie menacée Autres cibles de l assaut des banques : les assureurs vie qui entrent eux aussi dans la sphère de l asset management. Ces derniers sont menacés par la possible création d un livret bancaire qui viendrait défier l assurance vie. Mais ils ne se laissent pas impressionner et estiment que les banquiers, spécialistes du court terme, ne parviendront pas à concurrencer les assureurs vie qui, comme les sociétés de gestion, maîtrisent l asset

9 «La prospérité découvre nos vices et l adversité nos vertus.» À en croire cette citation du philosophe Francis Bacon, l industrie de la gestion d actifs va se montrer vertueuse afin de résister à la tourmente actuelle. management sur le moyen-long terme. Surtout, les assureurs vie mettent en œuvre une nouvelle manière de faire fructifier leurs actifs : ils tirent profit de leur excédent de liquidité, en prêtant des titres à ces mêmes banquiers! (voir p. 25) des fonds mis en Cause La guerre n est donc pas totale entre la banque et l asset management et ce dernier résiste bien (voir Encadré n 2 p. 23 et graphique p. 26). Pourtant, il doit aussi essuyer d autres attaques. Par exemple, les fonds indiciels cotés (voir p. 27) ont été récemment désignés par le Financial Stability Board comme une menace potentielle pour la stabilité financière. Cette première salve pourrait être suivie par un renforcement des contraintes réglementaires pesant sur ces véhicules. Autre inquiétude pour les sociétés de gestion : leur clientèle institutionnelle menace de leur échapper à cause de la réglementation Solvabilité 2. Cette industrie doit donc faire preuve de créativité pour continuer de séduire (voir p. 36). Elle doit aussi renforcer ses efforts en direction des intermédiaires qui sont au contact des particuliers fortunés (family office, conseillers en gestion de patrimoine indépendant, filiales Gestion privée des banques). Enfin, que la clientèle soit retail ou institutionnelle, elle a de nouvelles exigences depuis la crise (p. 31). Face à ces défis, les filiales Asset management des banques sont-elles les mieux placées? Pas vraiment, à en croire le dirigeant de Morningstar. Mais le Boston Consulting Group est d un autre avis (p. 33), même s il admet que les sociétés de gestion indépendantes disposent d atouts indéniables. n SommairE du dossier CoNtEXtE réglementaire 22 Les sociétés d asset management dans la tourmente interview de Paul-Henri de la Porte du theil, AFG face aux banques 25 L assurance vie a la peau dure interview de roger bonne, AG2R La Mondiale Stabilité financière 27 Les fonds indiciels montrés du doigt témoignages de Eric Wohleber, Blackrock France, et de alain dubois, Lyxor AM SoCiétéS de GEStioN 31 Quelles sont les gagnantes et les perdantes depuis la crise? témoignages de Jean-françois bay, Morningstar France et de Philippe morel, Boston Consulting Group StratéGiE 36 Mission : séduire les investisseurs Gilles Guérin, THEAM juillet-août 2011 n 738 Revue Banque 21

10 BiBliograPhie CRISE DE LA DETTE ET FINANCEMENT DE LA NOUVELLE CROISSANCE 2011 L année des professions financières 285 p., 25 association d économie financière n La 6 e édition de «l année des professions financières» est introduite par un entretien exceptionnel entre le président et ancien ministre, Edmond Alphandery, et l économiste et auteur Jean- Marc Daniel, permettant de confronter leurs visions sur trois grandes questions : la crise est-elle terminée? Quelles leçons en tirer? Quelles sont les pistes nouvelles pour nourrir la croissance de demain? Cette parution est consacrée à «la crise de la dette et au financement de la nouvelle croissance». Sujet d ac- tualité auquel les contributeurs à cet ouvrage collectif, grands sionnels de la finance, apportent profesune qualité d analyse et une vision prospective sur les actions que les gouvernements et institutions internationales devront mettre en œuvre, qui s avèrent délicats et hautement stratégiques : quelles sont les voies envisageables d une nouvelle croissance, sous contrainte budgétaire renforcée? «À nouvelle croissance, finance autrement». propose Michel Roux tandis que Jean-Hervé Lorenzi et Henri Elbaz envisagent la mise en place d une «agence de financement de la dette et de la croissance». Dans ce contexte, les établissements financiers spécialisés, tels qu Oseo, auront un rôle majeur à jouer ainsi que les fonds souverains, rappelle Augustin de Romanet. Reste que rien ne pourra se faire sans un repositionnement des autorités et, en particulier, des banques centrales, comme l indique Denise Flouzat devant la nouvelle étape de l histoire des changes (dollar-yuan-euro). Mais la finance peut-elle s autoréguler? se demande Olivier Pastré, tandis que pour André Lévy-Lang, la recherche doit aussi s adapter, avec «des règles du jeu» à revoir, et notamment celles visant à la convergence des normes comptables européennes et américaines, comme l indique Edouard Salustro. Des «regards croisés» sur la nouvelle donne budgétaire, nationale et mondiale, qui contribueront à éclairer la réflexion des professionnels de la finance, comme d un large public, sur un sujet qui est loin d être épuisé. Jean-Louis Chambon Président du Prix Turgot ÉpaRgne et CRises politiques en france Les mouvements de panique dans Les Caisses d ÉpaRgne au xx e siècle Vincent Tournié 336 p., 29 Economica n Au XX e siècle, ce ne sont pas tant les crises économiques que les crises politiques qui ont fortement troublé les épargnants. Elles ont engendré des peurs qui ont conduit à de grands mouvements de panique. Chaque crise politique représente un risque de voir un grand nombre d épargnants se précipiter pour retirer leurs avoirs, créant ainsi des files d attente interminable devant les établissements d épargne. Jusqu à présent, les études s étaient portées sur les crises économiques, délaissant les politiques, jugées secondaires. Or, ce sont pourtant ces dernières qui ont fait le plus réagir les épargnants. Ce livre nous invite à découvrir la violence des runs bancaires, cette panique soudaine qui s empare des épargnants, les conduisant à se rassembler devant les grilles des Caisses d épargne pour exiger le remboursement de leurs placements. Il nous montre également avec quelle attention les épargnants sont soucieux de la situation politique française et internationale. Il étudie plus spécifiquement cette relation entre l épargne et les crises politiques en cherchant à comprendre le mécanisme qui entraîna les plus grandes difficultés pour les Caisses d épargne, les mettant gravement en danger. De 1914 à 1974, l épargnant craint le blocage de ses comptes par le pouvoir politique, c est donc sous cet angle du blocage, ou de la possibilité de blocage, qu il faut comprendre les runs. Lors des crises, chacun cherche à transformer son épargne sous la forme jugée la plus sécurisante : pour le XX e siècle, cela fut la monnaie fiduciaire. z vincent tournié, docteur en Histoire de l Université Paris VII, a consacré ses travaux à l histoire de la monnaie. ComptabiLitÉ et audit bancaires (3 e Édition) normes françaises et ifrs Dov Ogien 576 p., 39,90 dunod n Cet ouvrage aborde de façon claire et pédagogique tous les aspects de la comptabilité et de l audit bancaires, correspondnant à l enseignement de la matière au sein des masters en banque et finance des universités et des écoles de commerce. Il traite du cadre juridique et institutionnel d exercice de la profession bancaire, du Plan comptable bancaire, qui se distingue du PCG n 738 juillet-août 2011 Revue Banque 95

11 management & systèmes D information BiBliograPhie par une présentation inversée, et étudie l audit bancaire et ses spécificités. Cette 3 e édition profondément remaniée et mise à jour prend en compte les dernières modifications, tant françaises qu internationales : loi de régulation bancaire et financière d octobre 2010, réorganisation des autorités de tutelle, rem- 96 Revue Banque n o 738 juillet-août 2011 placement de la Bafi (base des agents financiers) par le système Surfi (système unifié de reporting financier), intégration des dispositions Bâle III z dov ogien, professeur à l ESG, participe également au Master spécialisé en lutte contre le blanchiment d argent à l Université de Strasbourg. guide pratique des ReLations banque entreprise optimiser financer sécuriser négocier CompRendRe Jean-Marc Tariant 290 p., 29,90 Eyrolles n Les objectifs de ce guide sont multiples : faire découvrir l envers du décor de la banque, son fonctionnement, ses processus de décision, ses produits et services, afin de permettre de mieux comprendre ses interlocuteurs, pour gagner en crédistratégies de placement en vue de La RetRaite Franck Nicolas 300 p., 52 Eska n la problématique du financement des retraites évolue partout d une logique étatique vers une approche collective d entreprise ou purement individuelle. les bouleversements démographiques rendent les mécanismes de répartition insolubles, et les déficits sociaux produisent un désengagement régulier des états. un transfert de responsabilité s opère donc de la société vers les épargnants, qui devront à l avenir assumer une part croissante de leurs revenus complémentaires pendant la période de la retraite. Néanmoins, se constituer un complément de retraite n est pas une formalité. les particuliers sont souvent mal préparés à ces enjeux et plusieurs questions de gestion patrimoniale se trouvent complexifiées par les spécificités d une épargne-retraite. tout au long du cycle de vie de l épargnant, plusieurs interrogations doivent régulièrement être revisitées. à quel âge doit-on commencer à épargner? quand doit-on augmenter ou diminuer son épargne? quels produits choisir et quel degré de risque assumer? Comment sécuriser ses revenus? faut-il sortir en rente ou en capital? quels produits d assurance pour protéger son épargne? l utilisation d un différentiel dans la fiscalité des produits et la mise en place de montages patrimoniaux ne doivent pas être absents de la réflexion. Cependant, la stratégie d investissement est probablement encore ce qui prime dans cette démarche d épargne très longue. Cet ouvrage fait le point sur des éléments structurants des techniques de placement en vue de la retraite. z franck nicolas est directeur de l allocation globale & ALM de Natixis Asset Management. Les produits dérivés et Les grands désastres financiers ingénierie défaillante et supercherie Laurent L. Jacque Traduit et adapté par Anthony Gribe 336 p., 29 Economica n Alors que l économie mondiale se débat dans la plus grave crise financière depuis celle de 1929, il est tentant de faire des produits dérivés le bouc émissaire du chaos économique que nous traversons : seraient-ils les nouvelles armes financières de destruction massive? Une chose est cependant certaine : si les dérivés peuvent être craints, ils sont incontournables dès l instant où ils contribuent à mettre à notre portée des produits ou des services qui sont au cœur de la vie moderne. Ce livre analyse les débâcles qui ont secoué le marché des dérivés depuis plus d un demi-siècle, et ont entraîné les faillites de la Barings Bank (1995), LongTerm Capital Management (1998), Amaranth (2006), ou des pertes considérables chez Metallgesellschaft (1994), à la Société Générale (2008) et chez AIG (2008) Il raconte comment ces institutions qui se sont aventurées sur ces marchés ont perdu très gros lorsqu elles n ont pas fait faillite. Que la faute fatale soit due à une ingénierie financière défaillante, un audit désuet, un système de contrôle des risques bancal, une mauvaise gouvernance ou une supercherie diabolique de traders escrocs, les leçons récurrentes de ces différentes histoires appellent à une plus grande vigilance et à la nécessité impérative de mettre en place des systèmes de gestion et de contrôle des risques plus stricts, plus intelligents et mieux adaptés. Cette conclusion devrait attirer l attention des financiers, banquiers, traders, auditeurs et autorités de tutelle impliqués dans le marché des produits dérivés. z Laurent L. jacque est professeur de finance Internationale à la Fletcher School of Law and Diplomacy (Tufts University) et professeur affilié à HEC.

12 bilité et négocier efficacement ; renforcer son indépendance financière en expliquant ce qui distingue les banques les unes des autres, ce qu il est possible voire souhaitable de leur demander, à quel moment et sous quelle forme, en ayant de bonnes chances de l obtenir ; mais aussi expliquer comment présenter un dossier financier et quels types de financement privilégier à court, moyen ou long terme ; enfin, révéler les bonnes pratiques et les astuces qui permettront d augmenter son capital confiance, pour éviter de donner une caution personnelle par exemple, tout en réalisant d importantes économies. z jean-marc tariant a fondé le cabinet Finance et Stratégie, spécialisé dans les domaines de l ingénierie financière, du financement et de la transmission d entreprises. ÉConomie des marchés financiers Paul-Jacques Lehmann 245 p., 24,50 de boeck n Cet ouvrage présente les marchés financiers et, à partir d analyses historiques et théoriques, leur fonction sur l économie «réelle». Il explique le rôle des différents acteurs qui opèrent sur ces marchés (émetteurs, investisseurs, intermédiaires, agences de notation) et l influence des innovations financières de ces dernières années, tant dans le domaine des produits que dans celui des marchés, sur le déclenchement de la crise financière de la fin des années Il montre également comment les pouvoirs publics (États, banques centrales, autorités boursières) ont agi afin d éviter la survenance du risque systémique. Enfin, il fait le point sur les conséquences des décisions nationales et internationales déjà prises et de celles encore à venir, indispensables pour parvenir à une régulation plus efficace du fonctionnement des marchés. z paul-jacques Lehmann est professeur agrégé d économie à l Université de Rouen où il dirige le Master Économie et gestion des risques financiers. analyse financière (5 e Édition) ConCepts et méthodes Alain Marion 320 p., 29,90 dunod n Méthode de compréhension de l entreprise à travers ses états comptables, l analyse financière a pour objet de porter un jugement global sur le niveau de performance de l entreprise et sur sa situation financière bercy au CŒuR du pouvoir enquête sur le ministère des finances Thomas Bronnec et Laurent Fargues n rigueur, plans sociaux, dette publique, réforme fiscale, G20 même à l heure de l hyper-présidence de Nicolas Sarkozy, le ministère des finances est en première ligne. bien au-delà de l influence de ses locataires actuels, Christine lagarde à l économie et françois baroin au budget, bercy reste un des lieux de pouvoir les plus emblématiques en france. des ministres en rivalité permanente, un subtil jeu de cache-cache avec l élysée et matignon, une force de proposition qui n a d égale qu une redoutable capacité de nuisance, des hauts fonctionnaires puissants dont le réseau s étend à tous les étages de la vie politique et économique bienvenue à bercy, un ministère qui a chevillés au corps le service de l état et le sens de l intérêt général, autant que le goût de l opacité. la forteresse était réputée imprenable? Cette enquête, basée sur plus de cent cinquante témoignages, explore dans ses profondeurs le ministère le plus puissant et le plus secret de la république. z thomas bronnec est journaliste, chargé de la rubrique économie du site Internet de L Express et rédacteur en chef adjoint du site de L Expansion. z Laurent fargues est rédacteur en chef adjoint d Acteurs publics, mensuel spécialisé dans l analyse des politiques publiques et la réforme des administrations. (actuelle et future). Empruntant une méthodologie rigoureuse, cette 5 e édition, entièrement mise à jour, en présente toutes les étapes. Les exemples et cas pratique ont été actualisés. z Professeur des universités à l IAE de Lyon, alain marion est également responsable de l équipe de recherche AFI (analyse et finance). La sécurité nfc Didier Hallépée 60 p., 40 Éditions Carrefour du Net Le développement durable au CŒuR de L entreprise (2 e Édition) Ouvrage dirigé par Emmanuelle Reynaud, À LiRe aussi Réalisé par Christine hauvette hauvette@revue-banque.fr tous ces ouvrages sont disponibles à La librairie de la banque et de la finance, 18 rue La fayette paris préface de Geneviève Férone 208 p., 25 Dunod Le Luxe en Chine Potentiel économique et approche marketing Michel Chevalier et Pierre Xiao Lu 242 p., 30 Eska juillet-août 2011 n o 738 Revue Banque 97

13 Revue Banque ABONNEMENTS 2011 Je choisis l abonnement à REVUE BANQUE coché ci-dessous : 1 MOIS DÉCOUVERTE : 1 n o + accès en ligne France (TTC) Étranger Quantité Total Nouveaux abonnés (offre réservée non renouvenable) 35,00 40, MOIS DÉCOUVERTE : 3 n os + accès en ligne France (TTC) Étranger Quantité Total Nouveaux abonnés (offre réservée non renouvenable) 79,00 89, AN : 11 n os + 2 suppléments + accès en ligne France (TTC) Étranger Quantité Total Institutionnel (entreprises et autres personnes morales) 335,00 365, Individuel (1) (particuliers et enseignants) 190,00 220, Étudiant (2) 99,00 130, ANS : 11 n os + 4 suppléments + accès en ligne France (TTC) Étranger Quantité Total Institutionnel (entreprises et autres personnes morales) 530,00 570, Individuel (1) (particuliers et enseignants) 325,00 365, Étudiant (2) 185,00 225, TOTAL (TVA : 2,10 % incluse sur le tarif France) (1) Domiciliation à l adresse personnelle de l abonné. (2) Y compris CFPB, CESB, ITB. Joindre un justificatif. Société... Nom... Prénom... Vos abonnements se poursuivent en ligne sur revue-banque.fr Feuilletage dès parution, newsletters, accès illimité aux archives de Revue Banque Fonction... Service... Adresse... Code postal/ville...pays... Code TVA (pour les pays de la CEE)... Téléphone...Télécopie... (indispensable)... En application de la loi du 6 janvier 1978, les informations ci-dessus sont indispensables au traitement de votre commande et sont communiquées aux destinataires aptes à les traiter. Elles peuvent donner lieu à l exercice du droit d accès et de rectification auprès de Revue Banque. Vous pouvez vous opposer à ce que vos nom et adresse soient cédés ultérieurement en le demandant par écrit au secrétariat général de Revue Banque. à retourner au SERVICE ABONNEMENTS REVUE BANQUE NPAI 39 rue Marcelin Berthelot DRANCY CEDEX Tél.: Fax : revue-banque.abo@npai.fr Règlement à l ordre de La Revue Banque par chèque par carte bancaire n (sauf American express et Diner s Club) Date limite de validité : Le règlement sur l étranger est à joindre impérativement à la commande et doit être effectué en euros, par chèque payable en France, net de frais. Pour les virements bancaires et CCP, nous consulter. SIGNATURE BAN11 Rendez-vous sur revue-banque.fr pour découvrir nos offres de couplage d abonnement avec BANQUE & DROIT et BANQUE & STRATÉGIE

14 À paraître en août Face à la profusion des textes réglementaires et à l émergence concomitante de risques nouveaux ou nouvellement identifiés, la fonction juridique s affirme chaque jour davantage comme l un des éléments centraux de l entreprise, garante de son développement et de sa pérennité. Cet ouvrage dresse un état des lieux et propose une première réflexion indispensable à la compréhension de la fonction juridique et à son exercice : Quels sont les principaux risques juridiques, quels sont les enjeux en présence? Quelles sont les missions des fonctions juridique et conformité? Quelle est la ligne de partage? Quel est le cadre nécessaire pour rendre ces missions efficientes? Les réponses à ces questions resteraient théoriques si elles ne s appuyaient sur l expérience des auteurs et la mise en œuvre réussie de leurs préconisations. C est bien là que résident toute la légitimité et la valeur de cet ouvrage : le lecteur bénéficie d emblée d un savoir-faire opérationnel, que ce soit pour manager le risque juridique ou organiser le contrôle interne qui s y rapporte. Ce livre concis, accessible à tous, au style vif et clair, a vocation à devenir le vade-mecum des professionnels des directions juridiques et conformité. Il sera également très précieux à tous ceux qui, désireux de mieux la comprendre, ont affaire à la fonction juridique. C està-dire à chacun d entre nous. CONTRÔLE DES RISQUES MIEUX COMPRENDRE LES FONCTIONS JURIDIQUES ET DE CONFORMITÉ JEAN-MICHEL DAUNIZEAU et MARTINE LEIMBACH 204 pages, 28 euros Commander cet ouvrage sur Internet : revuebanquelibrairie.com

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