Cas clinique cancer colique avec métastases hépatiques en 2016
|
|
- Tiphaine Falardeau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Cas clinique cancer colique avec métastases hépatiques en 2016 Philippe Rougier Université ParisV-René Descartes & Université Hopital Nantes
2 Mr V. 58 ans Marié, 4 enfants Non fumeur, prise d alcool occasionnelle
3 Antécédents personnels : Appendicectomie à 25 ans + Prothèse de hanche gauche Antécédent familiaux : Père décédé à 55 ans d un cancer du côlon. À l interrogatoire : - douleurs abdominales non calmées par le Spasfon d apparition récente. - constipation chronique parfois ponctuée par des épisodes de diarrhées - fatigue chronique qui le gêne dans son travail.
4 bilan Ex clinique normal Coloscopie = tumeur circonférentielle du sigmoïde sténosante Bilan d extension locorégionale et à distance TR et aires GG normales TDM TAP: tumeur du sigmoïde sans ascite ni nodules péritonéaux, ni lésion hépatique ou pulmonaire Biologie: normale, sauf Hb : 10,5 gr/100ml et ACE = 12 ng/ml => indication à une intervention Question 1: y a-t-il une indication - à faire d autres examens? - un traitement préopératoire?
5 y a-t-il une indication à faire un traitement préopératoire : REPONSE Pas d indication à un autre examen Pas d indication à un traitement préopératoire. Un essai en cours pour les tumeurs coliques infiltrantes: PRODIGE 22 ECKINOXE : «Experimental Colon KI-RAS status based Neoadjuvant OXaliplatin treatment with or without Erbitux» Phase II randomisée : - Chimiothérapie néoadjuvante par FOLFOX-4 +/- Cetuximab vs - Chirurgie d emblée dans le cancer colique localement avancé AERO GRECCAR FRENCH - PRODIGE (FFCD FNCLCC)
6 Traitement : selon DÉCISION prise en RCP +++ (réunion de concertation pluridisciplinaire) Chirurgie : résection sigmoïdienne + ligature première des vaisseaux et anastomose colorectale protégée par stomie d amont en un temps + curage ganglionnaire. Anapath: résection R0 Adénocarcinome lieberkühnien bien différencié Infiltration de la séreuse sans effraction 3 ganglions envahis sur 28 Embols veineux + Question 2: Quel est le stade tumoral UICC?
7 Classification TNM 2009 (7ème édition) ; tncd Tis intra-épithéliale ou intra-muqueuse Stade 0 T1 Chorion ou sous-muqueuse a : < 1cm b : 1-2cm T2 Musculeuse ou > 2cm Stade I (N0M0) T3 Sous-séreuse Stade IIa(N0M0) T4 Séreuse, graisse péricoliqueou organes de voisinage a : pénétration du péritoine viscéral b : envahissement d un organe voisin Stade IIb(N0/M0) Stade IIc(N0/M0) N1 1 à 3 gg métastatiques régionaux a : 1 b : 2-3 c : dépôts tumoraux satellites ds sous séreuse non péritonisée N2 M1 4 gg métastatiques régionaux ou plus Métastase, dont ggsusclaviculaire a : 4-6 b : > 7 a : un organe b : > un site Stade IIIa(T1-2 /M0).pT1 N2a Stade IIIb(T3-4 /M0).et T1-2 N2b Stade IIIc(tous T/M0) et Stade IV
8 Quel est le stade tumoral UICC? : REPONSE classification TNM 2009 (7ème édition) Stade IIIa pt1-t2 N1/N1c M0 et pt1 N2a M0 Stade IIIb pt3-t4a N1N1c M0, pt2-t3 N2a M0, pt1-t2 N2b M0 Stade IIIc pt4a N2a M0 ; p T3-T4a N2b M0 ; pt4b N1-N2 M0 Stade IVa tout T, tout N, M1a Stade IVb tout T, tout N, M1b => Stade tumoral UICC? = pt4an1bm0 => Stade IIIb
9 Question 3: Proposez-vous un traitement adjuvant? Si oui, lequel? 1 Surveillance seule 2 5FU seul ou Capecitabine 3 - FOLFOX (Oxaliplatine & 5-FU ) 4 Radio-chimiothérapie 5- Ajout du bévacizumab? 6- Ajout du Cétuximab si RAS non muté Plusieurs réponses possibles
10 Proposez-vous un traitement adjuvant? Si oui, lequel? 1 non surveillance seule 2 oui par 5FU seul ou Capécitabine 3 - oui par FOLFOX (Oxaliplatine & 5-FU ) 4 oui par radio-chimiothérapie 5- avec ajout du bévacizumab? 6- avec ajout du Cétuximab si RAS non muté Décision à prendre en RCP avec l anapath
11 Dans quel délai? 1 avant la 5 ème semaine post opératoire 2 avant la 8 ème semaine post opératoire 3 avant la 12 ème semaine post opératoire Pendant quelle durée? 1 3 mois 2 6 mois 3 12 mois
12 Dans quel délai 1 avant la 5 ème semaine post opératoire 2 avant la 8 ème semaine post opératoire 3 avant la 12 ème semaine post opératoire Pendant quelle durée? 1 3 mois 2 6 mois et arrêt de l oxaliplatine en cas de neurotoxicité gr mois
13 Illustration de l utilité de la chimiothérapie adjuvante dans les cancers du colon Stades III
14 SSR % CT adjuvante des CCR stade III Quels bénéfices? Chirurgie seule Chirurgie + Chimiothérapie 12 à 20% 20% 20% 60% Pas de bénéfice à la chimiothérapie Guéris par la chirurgie + chimiothérapie Déjà guéris par la chirurgie Exposition aux toxicités Années 2 / 3 du bénéfice lié au 5FU Et 1 / 3 à l oxaliplatine
15 CT adjuvante des CCR stade III: Step by step Efficacité du 5FU: + 12 à 16% la survie à 5 ans 5FU levamisole 12 mois (Moertel, NEJM 1990) FUFOL pendant 9 puis 6 mois : le FUFOL fort (étude IMPACT, Lancet 1995) ou le FUFOL faible (étude QUASAR, Lancet 2000) diminuent de 12 à 16 % le risque absolu de décès à 5 ans. Le protocole LV5FU2, est aussi efficace et mieux toléré que le FUFOL (André, JCO 2003) Efficacité de l oxaliplatine : + 5 à 7% «en plus» / 5FU: FOLFOX pendant 6 mois améliore significativement la survie a 6 ans des stade III comparé au LV5FU2 (étude MOSAIC, JCO 2009) (72,9 % vs 68,7 % RR 0,80 (IC 95 % 0,65-0,97 ; p=0,023)) NSAPB C07 a confirmé l intére t de l oxaliplatine : schéma FLOX hebdo pendant 6 mois: amélioration de 6,2 % de la SSR a 3 ans (JCO 2007)
16 2004: essai MOSAIC FOLFOX4 vs LV5FU2: Survie Sans Récidive en ITT 1 0,9 0,8 0,7 0,6 0,5 HR: 0.77 [ ] p = years Probability FOLFOX4 (n= 1123) 78,2% LV5FU2 (n=1123) 72,9% 5.3% DFS (months) % de réduction du risque de récidive avec FOLFOX FOLFOX: standard européen André et al. N Engl J Med 2004
17 Probability 2009: essai MOSAIC FOLFOX4 vs LV5FU2: Survie Globale à 6ans II / III p=0.996 p= % Overall survival (months) +4.2% Stades II T4 ou ggl< 12, FOLFOX4 améliore la SSR a 5 ans comparé au LV5FU2 (RR : 0,72 ; IC95% 0,50 1,02, NS) et la SG a 6 ans (RR : 0,81 ; IC 95% 0,52-1,26, NS) André et al. JCO 2009
18 CT adjuvante des CCR stade III: la chimio orale Est aussi efficace Capécitabine est aussi efficace que le FUFOL pour la SSR à 3 ans (Twelves, NEJM 2005) et pour la SG à 5 ans (Twelves, ASCO GI 2008) avec moins d effets secondaires DFS 68,3% 66,9% HR = 0.87 (95% CI: ) p= Year 3 Supériorite du XELOX sur une association de 5-FU bolus /AF (e tude NO16968) pour la SSR a 3 ans (71 % vs. 67 %,HR 0,80 p=0,0045) La CT orale est une alternative valide / FUFOL
19 3 phases III positives en faveur de l Oxaliplatine Mosaic FOLFOX vs LV5FU2 C-07 FU-Ox vs FUFOL hebdo Δ 3y DFS Δ 5y DFS Δ 5-6y 0S / à LV5FU2 ou au FU-FOL + 5.3% + 5.9% + 2.5% HR % + 5.2% + 4.2% (median FU:82 m) HR 0.85 (median FU:67 m) Xelox Vs Xéloda (capécitabine) + 4.5% + 6.3% + 3.4% HR 0.85 (median FU?)
20 CT adjuvante des CCR stade III Les déceptions: Le FOLFIRI n a jamais démontre d efficacite (Saltz, JCO 2007; Ychou, Ann Oncol 2009; Van Cutsem, JCO 2009 PETACC 3) Le Bevacizumab associé au FOLFOX ne présente pas d intérêt. (Wolmark NSABP C08, JCO 2011; De Gramont AVANT, lancet oncol 2012) Le Cetuximab non plus (Alberts et al, JAMA 2012 N0147; Taieb et al, Lancet Oncol 2014 PETACC 8) me me si KRAS WT Nombreuses études de phase III négatives pour les thérapies ciblées et l irinotécan, 1 milliard de dollar d investissement en recherche plus de patients randomisés
21 DFS rate OS rate 2014: essai PETACC 8 : Kras WT n=1602 Pas d intérêt de l ajout du cetuximab (anti-egfr) SSM SG FOLFOX4 + cetuximab FOLFOX FOLFOX4 + cetuximab FOLFOX Years Number of patients at risk FOLFOX4 + cetu. 791 FOLFOX4 811 FOLFOX4 + cetuximab n=791 FOLFOX4 n=811 No. of Events DFS-Year 3 [95% CI], % [71.7, 78.1] HR for DFS [95% CI] [0.853, 1.286] p-value (log-rank) [74.8, 80.8] 0 0 FOLFOX4 + cetu FOLFOX FOLFOX4 + cetuximab n=791 FOLFOX4 n=811 No. of Events Survival-Year 3 [95% CI], % 0.0 Number of patients at risk [85.6, 90.6] Years HR for OS [95% CI] [0.813, 1.466] p-value (log-rank) [87.9, 92.5] Taieb et al, Lancet Oncol 2014 PETACC 8
22 Le protocole FOLFOX pendant 6 mois a été appliqué chez ce patient Quelle surveillance mettez-vous en place pour ce patient? Les attitudes vatient selon les experts Un grand essais comparant suivi intensif à suivi moins intensif a été mené sur plus de 1500 patients par la FFCD (PRODIGE 13) résultats pour 2018?
23 Surveillance pour ce patient selon tncd Clinique : tous les 3 mois pendant 3 ans puis tous les 6 mois pendant 4 ans Paraclinique : Coloscopie totale : dans l année si incomplète initialement puis si normale: à 3 ans puis tous les 5 ans ACE : tous les 3 mois pendant 3 ans Puis tous les 6 mois pendant 2 ans Écho abdo alternée avec TDM TAP : tous les 6 mois pendant 3 ans Puis tous les ans pendant 4 ans
24 M. V se demande s il est nécessaire de dépister un cancer colorectal chez ses enfants. Que lui répondez-vous? 1- NON 2- OUI
25 M. V se demande s il est nécessaire de dépister un cancer colorectal chez ses enfants. Réponse : OUI 1 ATCD de CCR au 1 er degré chez un sujet < 60 ans 1 coloscopie tous les 5 ans à partir de 45 ans ou 5 ans avant l âge de diagnostic du cas index soit 53 ans. Recherche du statut MSI Recherche de lésions associées à la coloscopie à réaliser dans les 6-8 mois (coloscopie incomplète et mal préparée en pré-op)
26 Question 6: Quels sont les éléments du pronostic des CCR? 1 - Le stade UICC 2 - Le site 3 - La biologie 4 1 et et et 3 7 1, 2 et 3
27 Quels sont les éléments du pronostic des CCR? Réponse: Le stade UICC: T et N Le site rectum / colon droit / colon gauche La biologie MSI RAS BRAF Les signatures moléculaires
28 OS: KRAS exon 2 and BRAF mutational status 91% 86% HR for OS [95% CI] p-value (adjusted) 74% BRAF KRAS exon [1.33; 2.22] < [1.29; 1.79] < Taieb et al. ASCO 2015
29 Stage III: SAR (survie après récidive) en fonction du statut mutationnel de KRAS exon 2 et BRAF 1,0 2,09 2,57 years Taieb et al. ASCO 2015
30 Risk of recurrence at 3 years Les scores moléculaires: l exemple de QUASAR Colon Cancer Recurrence Score Predicts Recurrence Following Surgery Prospectively-Defined Primary Analysis in Stage II Colon Cancer (n=711) RECURRENCE SCORE Calculated from Tumor Gene Expression 35% 30% Group Risk (by Kaplan-Meier) 12% 18% 22% STROMAL FAP INHBA BGN CELL CYCLE Ki-67 c-myc MYBL2 25% 20% GADD45B REFERENCE ATP5E GPX1 PGK1 UBB VDAC2 D. Kerr et al., ASCO 2009, A % 10% 5% 0% p= Recurrence Score
31 New classification for colorectal cancer International Colorectal Cancer Subtyping Consortium ICCSC Bionetwork Sage initiative 31 Guinney J et al Nat Med 2015
32 Une classification consensuelle à été mise eu point par un consortium qui a mis son matéreile en commun = 4 sous types Relapse free survival Survival after relapse Cette nouvelle classifications influencera notre prise en charge et les indications thérapeutiques dans le futur comme les status RAS, RAF et MSI 32 Guinney J et al Nat Med 2015
33 Stade Survie à 5 ans I = T1-2, N0 93,2% Chirurgie Traitements Objectif IIa = T3, N0 84,7% IIb = T4, N0 72,2% IIIa = T1-2, N1 83,4% Chirurgie +/- Chimio? Guérison! IIIb = T3-4, N1 64,1% IIIc = Tx, N2 44,3% IV = M+ +/- 10% Chirurgie Chirurgie et/ou TTT local Chimio Chimio Adjuvante Survie Chirurgie carcinologique: seul TTT potentiellement curatif
34 18 mois après élévation des ACE et apparition à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable: Question 7: Quel bilan complémentaire demander? 1- IRM hépatique. 2- PET-scan 3- Nouvelle TDM TAP à 2 mois
35 18 mois après élévation des ACE et apparition à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable: Question 7: Quel bilan complémentaire demander? 1- IRM hépatique. 2- PET-scan 3- Nouvelle TDM TAP à 2 mois
36 18 mois après élévation des ACE et apparition à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable: Question 8: Quel traitement sera envisagé en RCP? 1- chirurgie d emblée. 2- chimiothérapie préopératoire suivi de la chirurgie 3- destruction par radiofréquence
37 3 DIFFERENT Situations = different strategies # 10% Metastatic Colorectal Cancer Easily Resectable # 20% Potentially Resectable in case of good response never # 70% resectable
38 18 mois après élévation des ACE et apparition à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable: Quel traitement sera envisagé en RCP?: Réponse 1- chirurgie d emblée. 2- chimiothérapie préopératoire suivi de la chirurgie pour résection des lésions hépatiques droites + traitement de la métastase du III par radiofréquence ou exérèse 3- destruction par radiofréquence
39 Arguments pour la chirurgie Chirurgie = seule possibilité de «guérison» - 25 à 41 % de survie à 5 ans après chirurgie - Survie médiane = 52 mois - 10 à 20 % des patients initialement non résécables deviennent résécables après chimiothérapie - Survie spontanée < 1 % à 5 ans - Avec chimiothérapie / tt ciblés # 10-15% Remerciements à Sylvie Métairie R. Adam Ann Surg 2004 Nathan J Am Coll Surg 2010
40 LIVERMETSURVEY : SURVIVAL AFTER LIVER RESECTION Dec 2014 : 23,444 Pts Centers - 69 countries 41% 22,210 Resected Pts 24% 9% 1234 non Resected Remerciements à René Adam
41 Conditions pour la résécabilité Foie restant sans lésion Préservation d au moins 1 des 3 VH avec le pédicule portal homolatéral Marge saine Foie restant 25 % du parenchyme fonctionnel 20 % des patients ont des métastases résécables
42 1-MH Résécable: Classe I ou II Références (suite) généralités: Le nombre des métastases n est pas limitant. Les techniques d'hépatectomie dépendent de la taille, du nombre et de la topographie des MH. Une résection atypique (wedge) R0 # une hépatectomie réglée. L exérèse doit se faire si possible avec une marge de foie sain d au moins 5 mm (recommandation : grade C). Une marge <1 cm ou possiblement R1 n est pas une contre-indication à la résection (recommandation : grade C). (absence de différence des taux de rechute entre les patients ayant eu une résection R1 ou R0) Réduction des pertes de sang (avec si besoin clampage ) (TNCD )
43 18 mois après élévation des ACE et apparition à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable: Question 9: Quel traitement médical proposez-vous? 1 - LV5 FU2 2 - FOLFOX 3 - FOLFIRI 3 FOLFOX + bévacizumab 4 FOLFIRI + Cetuximab 5 FOLFIRINOX 6 - FOLFIRINOX + biothérapie
44 18 mois après élévation des ACE et apparition à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable: Question 9 Quel traitement médical: Réponse 1 - LV5 FU2 2 - FOLFOX (6cycles avant et 6 cycles après) 3 FOLFIRI (si intolérance à l oxaliplatine?) 3 FOLFOX + bévacizumab 4 FOLFIRI + Cetuximab 5 FOLFIRINOX (si considéré non résécable ; METHEP2) 6 - FOLFIRINOX + biothérapie
45 1-MH Résécable: Classe I ou II Références (suite): situations particulières A- Résécabilité de classe I: - FOLFOX: 6 cycles préop et 6 cycles post-op (grade C) (+ 9,2 % de survie à 3 ans si chimio néo-adjuvante: 42,4 vs 33,2 %*) - Chirurgie d emblée si doute diagnostique ou petite taille (risque de disparition possibilité de marquage par un coil) B- en cas de disparition d une MH après chimio - La chirurgie doit retirer le siège initial de la MH (grade C car RC histo seulement # 20%) - Si cette exérèse est impossible (missing metastases) discuter une CIAH post-op, *Nordlinger B Rougier P 2007 (TNCD )
46 18 mois après élévation des ACE et apparition à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable: après 5 cures de FOLFOX diminution de 50% du volume des lésions hépatiques, pas de nouvelle lésion
47 Bilan après 5 cures de FOLFOX : diminution de 50% du volume des lésions hépatiques, pas de nouvelle lésion Question 10 : Quelle attitude proposez-vous? 1 - Radiofréquence per-cutanée (RF) 2 - Résection chirurgicale des métastases +/- RF 3 - Résection des métastases et KT puis CIAH adjuvante 4 - Poursuite du FOLFOX 5 - Radiofréquence de la lésion du VII et embolisation portale gauche
48 Bilan après 5 cures de FOLFOX : diminution de 50% du volume des lésions hépatiques, pas de nouvelle lésion Question 10 : Attitude choisie. Réponse 1 - Radiofréquence per-cutanée (RF) 2 - Résection chirurgicale des métastases +/- RF 3 - Résection des métastases et KT puis CIAH adjuvante 4 - Poursuite du FOLFOX 5 - Radiofréquence de la lésion du VII et embolisation portale gauche
49 Laparotomie = pas de carcinose, pas de gg dans le pédicule hépatique, Echo per-op : 1cm VII ; 2 cm IV ; 1 cm III ; 1 cm II Question 11: compte tenue de ces constatations, quel traitement proposez-vous? 1 - KT pour CIAH 2 - destruction in situ de toutes les lésions 3 - hépatectomie gauche et destruction de la lésion du VII 4 - hépatectomie droite élargie au IV et destruction lésions du II et III par RF 5 - destruction de la lésion du VII puis CT (folfox) puis hépatectomie gauche
50 Laparotomie = pas de carcinose, pas de gg dans le pédicule hépatique, Echo per-op : 1cm VII, 2 cm IV, 1 cm III, 1 cm II Question 11: compte tenue de ces constatations: traitement proposé : Réponse 1 - KT pour CIAH 2 - destruction in situ de toutes les lésions 3 - hépatectomie gauche et destruction de la lésion du VII 4 - hépatectomie droite élargie au IV et destruction lésions du II et III 5 - destruction de la lésion du VII puis CT (folfox) puis hépatectomie gauche
51 Décision per-opératoire = hépatectomie gauche et destruction par RFA d une métastase du segment VII Les suites opératoire sont simples Question 12: Quel traitement proposez-vous? 1 - Surveillance 2 - CT : FUDR IAH 3 - CT : FOLFOX iv 4 - CT : FOLFIRI iv 5 - chimio-embolisation
52 Décision per-opératoire = hépatectomie gauche et destruction par RFA d une métastase du segment VII Les suites opératoire sont simples Question 12: Quel traitement proposez-vous? 1 - Surveillance 2 - CT : FUDR IAH 3 - CT : FOLFOX iv (reprise du traitement efficace) 4 - CT : FOLFIRI iv 5 - chimio-embolisation
53 RCP = reprise CT (FOLFOX) pendant 4 mois Résultat à la TDM TAP réalisée 6 mois après hépatectomie TDM 1an gauche après et destruction par RFA d une métastase du segment VII arteriel tardif
54 Et si à la TDM TAP de 4 lésions hypodenses hépatiques (segment II, III, IV, VII) sans autre lésion décelable avaient été synchrones Question 13: Quel ordre de traitement? 1- Métas hépatique en premier. 2- colon en premier 3- chimio puis décision en fonction du résultat
55 Synchronous colorectal liver metastases Classical attitude New attitudes CRC RxChemo Chemo / RxChemo Chemo 2-3 months CRC LIVER Chemo Chemo CRC LIVER RxChemo LIVER LIVER CRC Delay in starting Chemo Asymptomatic Primary Multiple Liver Metastases Changing attitude Remerciements à René Adam
56 Et si lors de la RCP les métastases avaient été considérée comme difficilement réséquables (TDM TAP et IRM)sans autre lésion décelable:
57 3 DIFFERENT Situations = different strategies # 10% Metastatic Colorectal Cancer Easily Resectable # 20% Potentially Resectable in case of good response never # 70% resectable
58 Question 14: Quelle stratégie pour les métastases hépatiques? 1. Faut-il déterminer le statut RAS? 2. Y a-t-il une Indication pour un traitement agressif? 3. Y a-t-i une Indication à un traitement conservateur ESMO Consensus 08 : 2016
59 Quelle stratégie pour les métastases hépatiques potentiellement résécable en cas de bonne réponse Il faut déterminer le statut RAS: Tumeur mutée Non mutée Indication pour un traitement agressif Risque de complications sévères / M extensive Bon EG (PS0-1) / candidat pour tt local en cas de réponse Indications un traitement conservateur patients âgés (> 80 y), mauvais EG (PS >2) Faible envahissement tumoral Absence de demande de tt par le patient ESMO Consensus 08 : 2016
60 Métastases hépatiques potentiellement résécable en cas de réponse? Question 12: Quelles chimiothérapies: Réponse 1 FOLFOXIRI + Biologique 2 - FOLFOXIRI 3 Oxaliplatine en IAH + LV5FU2 IV 4 - FOLFOX iv 5 - FOLFIRI iv 6 - FOLFOX iv + Biologique 7 - FOLFIRI iv + Biologique 8 - chimio-embolisation
61 Métastases hépatiques potentiellement résécable en cas de réponse? Question 12: Quelles chimiothérapies: Réponse 1 FOLFOXIRI + Biologique RO = 65-80% 2 - FOLFOXIRI 60% 3 Oxaliplatine en IAH + LV5FU2 IV 85% 4 - FOLFOX iv 50% 5 - FOLFIRI iv 45% 6 - FOLFOX iv + Biologique 60% 7 - FOLFIRI iv + Biologique 60% 8 - chimio-embolisation x L important est de choisir un traitement pouvant donner des taux de régression élevé (réponse) et bien supporté par le patient
62 Percent survival Percent survival Plus peut être mieux: «triplet vs doublet» FOLFOXIRI VS FOLFIRI ; mcrc ; phase III G.O.N.O PFS 1st line CT Months FOLFOX Overall SURVIVAL FOLFOX FOLFIRINOX FOLFIRINOX Months 34% 21% FOLFIRI vs FOLFIRINOX Nb SSP 6,9m 9,8m* SG 16,7m 22,6m** *p : 0,006 **p : 0,032 R0 Resection all patients R0 in pts with liver M only 7 (6%) 5 (12%) 18 (14%)*** 14 (36%)**** Falcone et al. JCO 2009
63 Survival rate (%) 3512: FOLFIRINOX combined to targeted therapy according RAS status for colorectal cancer patients with liver metastases initially non-resectable: A phase II randomized Study Prodige 14 accord 21 (METHEP-2), a unicancer GI trial Ychou M, et al Key results Taux de résections secondaires CT arm Targeted therapy type Dual CT Triple CT Bevacizumab Cetuximab LM R0/R1 resection rate, % p-value p=0.048* OS Months triplet doublet Dual CT Triple CT mos, months (95% CI) Dual CT 36 (23.5, 40.6) p-value Triple CT *Log rank stratified. NE, not evaluable. LM, liver metastases. Ychou et al. J Clin Oncol 2016; 34 (suppl): abstr 3512 NE 1-year OS, % year OS, % Avec un «triplet» = Plus de résections secondaires
64 OLIVIA study: FOLFOX-6+Bev vs FOLFOXIRI+bev Avant résection de MH difficilement résécables FOLFOX-6+ bev N = 39 FOLFOXIRI + bev N = 41 p Response Rate 61.5% 80.5% R0 Resections 23.1% 48.8% mpfs (mos) En rajoutant bevacizumab au «triplet» = Plus de résections / «doublet» Gruenberger T et al. ASCO 2013 and Ann Oncol 2015
65 Probability of survival Quelle combinaison avec un biologique? Cetux ou Bev? FIRE 3 results: Overall survival FOLFIRI + Cetuximab FOLFIRI + Bevacizumab Events n/n (%) median (months) 95%-CI 91/171 (53,2%) ,5-39,4 110/171 (64,3%) ,7-28, surtout Δ = 7.5 months HR 0,70 (95% CI : 0,53 0,92) Log-rank p=0,011 N at risk 0.0 *KRAS and NRAS exon 2,3 and 4 wild-type Months S. Stintzing et al., ASCO GI 2014, A 445 Cela semble surtout vrai pour les CC gauches Le cetuximab Serait plus adapté Que le bevacizumab Avec le FOLFIRI?
66 Les anti EGFR plus actifs sur les ADK coliques gauches? Survival Characteristics of CRYSTAL Study Patients A, Progression-free survival (PFS) and B, overall survival (OS) for RAS wild-type (wt) ADK coliques gauches ADK coliques droits stratified based on tumor location. P values derive from a log-rank test, stratified by region and PS. FOLFIRI indicates fluorouracil, leucovorin, and irinotecan; HR, hazard ratio; mcrc, metastatic colorectal cancer. Tejpar et al. JAMA oncol Oct 2016
67 Survival (%) Dans tous les cas importance d obtenir une bonne réponse Cf Survie après résection en fonction de la réponse à la chimio % 92% Réponse: 58 Stabilité: 39 Progression: % Log rank: p< % 44% 12% 37% 30% 8% Years Adam R, et al. Ann Surg 2004;240:
68 En pratique les choix stratégiques sont assez ouverts et dépendent du statut RAS: => Dans les tumeurs RAS non mutés Strategy 1 Doublet + Anti-EGFR Doublet + Bevacizumab Anti -EGFR? Rego Ramu. CRISTAL PRIME FIRE3, PEAK Giantonio Santini CORRECT RAISE Strategy 2 Doublet + Bevacizumab Doublet + Bevacizumab Ou Aflibercept Anti EGFR Rego Ramu. Hurwitz NO16966 CALGB/SWOG TML Tabernero Karapetis Amado CORRECT RAISE Strategy 3 => DANS LES TUMEURS RAS MUTÉS Doublet + Bevacizumab Doublet + Bevacizumab Ou Aflibercept Rego Ramu. CORRECT RAISE
69 Traitement des CCR metastatiques: ESMO Guidelines 2016/07 Van Cutsem E, Cervantes A, Arnold D et al, ESMO Consensus 2016; Online Ann Oncol, July 2016
70 Traitement des CCR metastatiques: ESMO Guidelines 2016/07 Pour faciliter les résections secondaires Van Cutsem E, Cervantes A, Arnold D et al, ESMO Consensus 2016 Online Ann Oncol, July 2016
71 Traitement médical des CCR métastatiques: synthèse -1 ESMO guidelines : En 1 ère ligne choisissez des combinaisons d au moins 2 produits de chimiothérapie actifs et 1 agent biologique Favorisez les stratégies d optimisation thérapeutique avec traitement de maintenance après traitement d induction Considérez les possibilités de résections secondaires en RCP Le choix des premières lignes de chimio est ouvert Respectez les autorisations (recommandations MEA ) Les associations 5FU bolus & fluoropyrimydines orales + anti-egfr sont a éviter Ne combinez jamais anti-vegf & anti EGFR simultanément Van Cutsem E, Cervantes A, Arnold D et al, ESMO Consensus 2016; Online Ann Oncol, July 2016
72 Traitement médical des CCR métastatiques: synthèse - 2 Anti-EGFR: Testez toutes les mutations de RAS avant la 1 ère ligne Pas de prescription d anti-egfr avec une mutation RAS rare, il faut retester avant la reintroduction des anti-egfr Soyez vigilant dans leur utilisation dans les cancers du colon droit en 1 ère ligne 1 ère ligne les anti-egfr sont une option en absence de mutation RAS Anti-angiogèniques ils peuvent être utilisés à toutes les lignes (Bevacizumab) ou après échec du FOLFOX +/- Bev (Aflibercept) avec un bénéfice prouvé. Triplet: FOLFOXIRI + Bev est supérieur au FOLFOXIRI. Van Cutsem E, Cervantes A, Arnold D et al, ESMO Consensus 2016; Online Ann Oncol, July 2016
73 Traitement médical des CCR métastatiques: synthèse - 2 Immunothérapie c est une nouvelle option pour les patients ayant des tumeurs dmmr en attente de validation et d autorisation (essais). De nouvelles cibles et de nouvelles classifications vont changer nos méthodes de sélection des traitements pour nos patients? Dans tous les cas n hésitez pa à consulter - Le tncd: thésaurus national de cancérologie digestive: tncd.org ou sur site de la ffcd ou de la snfge - Les guideline de l esmo sur le site ESMO ou dans Ann Oncol 2016, E Van Cutsem Van Cutsem E, Cervantes A, Arnold D et al, ESMO Consensus 2016; Online Ann Oncol, July 2016
Essai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailALK et cancers broncho-pulmonaires. Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse
ALK et cancers broncho-pulmonaires Laurence Bigay-Gamé Unité d oncologie thoracique Hôpital Larrey, Toulouse Toulouse, le 19 Février 2013 Adénocarcinomes : Lung Cancer Mutation Consortium Identification
Plus en détailValidation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste. Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon
Validation clinique des marqueurs prédictifs le point de vue du méthodologiste Michel Cucherat UMR CNRS 5558 - Lyon Marqueur prédictif - Définition Un marqueur prédictif est un marqueur qui prédit le bénéfice
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailCancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques. Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006
Cancer du rein métastatique Nouvelles approches thérapeutiques Sophie Abadie-Lacourtoisie 20 mai 2006 Cancer du rein à cellules claires métastatique (CRM) Plus de 30 % des CR deviendront métastatiques
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailPemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée. Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var
Pemetrexed, pionnier de la chimiothérapie histoguidée Dr Olivier CASTELNAU Institut Arnault TZANCK ST Laurent du Var SFPO Octobre 2009 EPIDEMIOLOGIE Incidence : 1.35 M par an dans le monde (12,4%) 28 000
Plus en détailLe RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire
Le RIVAROXABAN (XARELTO ) dans l embolie pulmonaire Dr Florence Parent Service de Pneumologie et Soins Intensifs de Pneumologie Hôpital Bicêtre, AP-HP Inserm U999. Université Paris-Sud Traitement anticoagulant
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailCancer colo-rectal : situation belge
Cancer colo-rectal : situation belge J.-L. Van Laethem, MD, PhD Unité d'oncologie digestive Département médico-chirurgical de Gastro-entérologie Pas de conflit d intérêt déclaré Cancer du colon 7000 nouveaux
Plus en détailRadiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires. J. Palussière, X. Buy Département imagerie
Radiologie Interven/onnelle sur les nodules pulmonaires J. Palussière, X. Buy Département imagerie Radiofréquence Interac*on courant électro- magné*que ma*ère agita*on ionique chaleur Coagula*on Nécrose
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailQui et quand opérer. au cours du traitement de l EI?
Qui et quand opérer au cours du traitement de l EI? Gilbert Habib Département de Cardiologie - Timone Marseille 7es JNI Bordeaux, 8 juin 2006 Université de la Méditerranée Faculté de Médecine de Marseille
Plus en détailNAVELBINE voie orale
DENOMINATION DU MEDICAMENT & FORME PHARMACEUTIQUE NAVELBINE voie orale CARACTERISTIQUES Dénomination commune : vinorelbine Composition qualitative et quantitative : Statut : A.M.M. A.T.U. Classe ATC :
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailclinique d un médicament
DU Recherche Clinique Calcul du nombre de sujets nécessaires (accent sur les phases III) S. THEZENAS I.C.M. (Ex CRLC Val d Aurelle) Unité de Biostatistiques Phases du développement clinique d un médicament
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailLes plateformes de génétique
Thérapies ciblées : de l anatomopathologie th l à la biothérapie i Les plateformes de génétique moléculaire PO Schischmanoff UF Génétique moléculaire et oncogénétique CHU Avicenne ACP FHF 29 mars 2012
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 4 novembre 2009
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS 4 novembre 2009 IRESSA 250 mg, comprimé pelliculé Boîte de 30 (CIP 395 950-7) ASTRAZENECA géfitinib Liste I Médicament soumis à prescription hospitalière. Prescription
Plus en détailPierre OLIVIER - Médecine Nucléaire
Diplôme Universitaire Corrélations anatomo-physio-pathologiques en imagerie thoracique 25 mai 2011 Imagerie TEP et pathologie tumorale bronchique Pierre OLIVIER - Médecine Nucléaire Détection en coincidence
Plus en détailDépistage du cancer colorectal :
Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailGreffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner?
Greffe de moelle osseuse: Guérir ou se soigner? Malika Benkerrou Site de référence pédiatrique national sur la drépanocytose Hôpital Robert Debré, Paris 3èmes Journées de la Drépanocytose en Martinique
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux (NAC)
Les nouveaux anticoagulants oraux (NAC) Dr Jean-Marie Vailloud Cardiologue libéral/ salarié (CHU/clinique) Pas de lien d'intérêt avec une entreprise pharmaceutique Adhérent à l'association Mieux Prescrire
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailFaut-il encore traiter les cancers prostatiques?
Faut-il encore traiter les cancers prostatiques? Pr Arnauld Villers Université Lille2 -France AFCOR 2013 Quelles données? Notion de lésions indolentes ou à risque Etudes observationnelles de patients traités
Plus en détailLe point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes
Le point sur les techniques d embolisation des hépatocarcinomes Johann CLOUET Pharmacien AHU Pharmacie Centrale CHU de Nantes Epidémiologie Hépatocarcinome ou CHC. 5 ème cancer mondial 3 ème par la mortalité
Plus en détailÀ PROPOS DU. cancer colorectal. Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient
À PROPOS DU cancer colorectal Les choix de traitement du cancer colorectal : guide du patient Table des matières Qu est-ce que le cancer colorectal?... 1 Les stades du cancer colorectal... 2 Quels sont
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailIncontinence anale du post-partum
Incontinence anale du post-partum Laurent Abramowitz Unité de proctologie médico-chirurgicale de l hôpital Bichat, Paris Et cabinet libéral Prévalence Inc anale France (1) : 11% > 45 ans Damon et al (2):Pop
Plus en détailPlace de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées. The role of surgery in the era of targeted therapy. * Non ouvert en France.
dossier thématique Place de la chirurgie à l heure des thérapies ciblées The role of surgery in the era of targeted therapy P. Bigot*, J.C. Bernhard** Points forts» En association avec l immunothérapie,
Plus en détailCancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature
Cancer Bronchique «Sujet Agé» Etat de la litterature Situation en 2011 M CHAKRA Secteur Oncologie Thoracique CHU Arnaud de Villeneuve, Montpelier Qu est ce qu un sujet âgé? 70 ans est habituellement considéré
Plus en détailJ. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1)
J. Goupil (1), A. Fohlen (1), V. Le Pennec (1), O. Lepage (2), M. Hamon (2), M. Hamon-Kérautret (1) (1) Pôle d Imagerie, service de Radiologie, CHU Caen (2) Pôle Cardio-thoracique, service de Chirurgie
Plus en détailApplication des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires
Application des courbes ROC à l analyse des facteurs pronostiques binaires Combescure C (1), Perneger TV (1), Weber DC (2), Daurès J P (3), Foucher Y (4) (1) Service d épidémiologie clinique et Centre
Plus en détailTRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES. Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie
TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Paul Legmann Radiologie A Pôle Imagerie TRAITEMENT DES TUMEURS HEPATIQUES Carcinome hépato-cellulaire : Sans traitement : survie à 5 ans < à 5 % (CHC sur cirrhose) Traitement
Plus en détailCOMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES
COMPARAISON DE QUATRE PROTOCOLES DE CHIMIOTHERAPIE POUR DES CANCERS DU POUMON NON A PETITES CELLULES (CBP NAPC) AVANCES Approximativement, un tiers de tous les décès dus au cancer sont en relation avec
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailFirst Line and Maintenance in Nonsquamous NSCLC: What Do the Data Tell Us?
Dr Jean-Charles Soria : Bonjour et bienvenue dans ce programme. Je suis Jean Charles Soria, Professeur de Médecine et Directeur du programme de développement précoce des médicaments à l université Paris
Plus en détailLe dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence
Le dropéridol n est pas un traitement à considérer pour le traitement de la migraine à l urgence On pose fréquemment le diagnostic de migraine sévère à l urgence. Bien que ce soit un diagnostic commun,
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer colorectal
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer colorectal Février 2008 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre
Plus en détailVOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules
VOLUMES-CIBLES Cancer Bronchique Non-à-Petites Cellules Philippe GIRAUD, Nicolas POUREL, Vincent SERVOIS Romainville, le 29 septembre 2011 1 Radiothérapie et cancer du poumon La dosimétrie des cancers
Plus en détailLe traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a largement remplacé les amputations
FACE A FACE Péroné vascularisé / Péroné non vascularisé Reconstruction après résection tumorale Dr NOURI / Dr BEN MAITIGUE SOTCOT Juin 2012 Le traitement conservateur des tumeurs malignes des membres a
Plus en détailM Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale
M Gamaz K Bouzid CPMC- HDJ Oncologie Médicale Plan Deux situations: Adjuvante Métastatique Pas de scoop Des nouveautés. Des espoirs, lumières. En situation adjuvante Abstract 7513 Adjuvant erlotinib (E)
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES
ALLOGREFFE DE CELLULES SOUCHES HEMATOPOÏETIQUES (CSH) CHEZ 26 PATIENTS ATTEINTS DE β THALASSEMIES MAJEURES R. Belhadj, R.Ahmed Nacer, F.Mehdid, M.Benakli, N.Rahmoune, M.Baazizi, F. Kaci, F.Harieche, F.Zerhouni,
Plus en détailImmunothérapie des cancers bronchiques
Immunothérapie des cancers bronchiques Alexis Cortot, MD, PhD Service de Pneumologie et Oncologie Thoracique Hôpital Calmette, CHRU de Lille UMR8161, Institut de Biologie de Lille 11 ème Journée du CPHG
Plus en détailFaut-il encore modifier nos pratiques en 2013?
Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailPRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS
PRINTEMPS MEDICAL DE BOURGOGNE ASSOCIATIONS ANTIAGREGANTS ET ANTICOAGULANTS : INDICATIONS ET CONTRE INDICATIONS Dr Mourot cardiologue Hôpital d Auxerre le 31 mars 2012 PLAN DE LA PRESENTATION ASSOCIATION
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détailColette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE
Colette Franssen Département d Anesthésie Réanimation CHU Sart Tilman LIEGE La mise au point préopératoire par un anesthésiste permet de mieux planifier l organisation de la salle d opération, d éviter
Plus en détailDOSSIER DE PRÉSENTATION
DOSSIER DE PRÉSENTATION GUSTAVE ROUSSY ET LE CANCER DU SEIN OCTOBRE 2013 Gustave Roussy et le cancer du sein octobre 2013 page 1 DOSSIER DE PRÉSENTATION Gustave Roussy et le cancer du sein GUSTAVE ROUSSY,
Plus en détailM2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum. Coordination : Pr Hahnloser
M2.6. 2012 Cancer du colon et du rectum Coordination : Pr Hahnloser Pathologie Dr. Maryse Fiche Cancers colo-rectaux Précurseurs : Images et figures : Robbins 8è Edition Objectifs d apprentissage : SCLO
Plus en détailTumeurs rectales Bilan initial et Imagerie
Tumeurs rectales Bilan initial et Imagerie Ou en est on plus de 10 ans après? Valérie LAURENT(1) François JAUSSET (1) Laurence CHONE(2) Laurent BRESLER(3) Adeline GERMAIN (3) Thibaut FOUQUET(3) Didier
Plus en détailOBJECTIFS 2013-02- 14 LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013?
OBJECTIFS LE TRAITEMENT DU CANCER DU POUMON DE STADE AVANCÉ: " OÙ EN SOMMES-NOUS " EN 2013? Connaître les différentes options de traitement disponibles pour le cancer du poumon de stade avancé Connaître
Plus en détailREPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Première Journée du Centre Intégré Nord Francilien de prise en charge de l obésité de l adulte et de l enfant REPOUSSER LES LIMITES DE LA CHIRURGIE BARIATRIQUE DANS LES OBESITES MASSIVES AVEC COMORBIDITES
Plus en détail«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?»
«Quelle information aux patients en recherche biomédicale? Quels enseignements en retirer pour la pratique quotidienne?» Dr Adeline Paris Unité de Pharmacologie Clinique Centre d Investigation Clinique
Plus en détailÉpidémiologie des maladies interstitielles diffuses
Épidémiologie des maladies interstitielles diffuses 3 à 5/100 000 habitants Augmente avec l age 175 /100 000 >70 ans Notre file active toutes les maladies interstitielles confondues plus de 120 patients
Plus en détailNouveautés dans Asthme & MPOC
Nouveautés dans Asthme & MPOC Dr Gilles Côté Pneumologue CSSSGatineau Pavillon de Hull 31 Janvier 2014 Conflit d intérêt Aucun 2 1 Objectifs A la fin de cette capsule, le participant pourra identifier
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailPrincipe d un test statistique
Biostatistiques Principe d un test statistique Professeur Jean-Luc BOSSON PCEM2 - Année universitaire 2012/2013 Faculté de Médecine de Grenoble (UJF) - Tous droits réservés. Objectifs pédagogiques Comprendre
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailSecond cancers après cancer du sein. M. Espié Centre des maladies du sein
Second cancers après cancer du sein M. Espié Centre des maladies du sein Second cancer après cancer du sein 376 825 pa=entes diagnos=quées entre 1943 et 2002 ayant au moins survécu un an en Scandinavie
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailLES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS
LES NOUVEAUX ANTICOAGULANTS Pr. Alessandra Bura-Rivière, Service de Médecine Vasculaire Hôpital Rangueil, 1 avenue Jean Poulhès, 31059 Toulouse cedex 9 INTRODUCTION Depuis plus de cinquante ans, les héparines
Plus en détailTransplantation pulmonaire et mucoviscidose. Optimiser la prise en charge médicale
Transplantation pulmonaire et mucoviscidose Optimiser la prise en charge médicale Dr Isabelle Danner-Boucher CRCM adulte de Nantes Unité de Transplantation Thoracique 11èmes Journées Scientifiques de la
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailLecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique
Lecture historique et prospective du rôle de la barrière génétique Clotilde Allavena NANTES Symposium JANSSEN JNI 2011, Toulouse Jusqu en 1996, la montée en puissance Bithérapie 2 NUCs Trithérapie 2 NUCs
Plus en détailTraitement de consolidation dans les cancers de l ovaire
Traitement de consolidation dans les cancers de l ovaire J.-F. Geay, I. Ray-Coquard, H. Curé et É. Pujade-Lauraine Pourquoi un traitement de consolidation? Le standard de traitement de première ligne d
Plus en détailCANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie
CANCERS ET RAYONNEMENTS IONISANTS Fortes doses: seconds cancers après radiothérapie Rencontres Nucléaire et Santé 08/02/2013 Pierre BEY Professeur émérite de Cancérologie;Radiothérapie Université de Lorraine
Plus en détailNACO et Angioplas>e. Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière
NACO et Angioplas>e Guillaume CAYLA Service de cardiologie CHU de Nîmes Groupe ACTION Pi>é Salpêtrière Disclosures Research Grants from «Fédéra>on Française de Cardiologie» Consul>ng fees from Astra Zeneca,
Plus en détailChimiotherapie neo-adjuvantes dans les cancers du rectum : perspectives
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2015, 14 (1) : 075-081 75 Chimiotherapie neo-adjuvantes da les cancers du rectum : perspectives Neoadjuvant Chemotherapy in the Treatment of Locally Advanced
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailLe quizz des stats. Xavier Paoletti. Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie
Le quizz des stats Xavier Paoletti Sce de biostatistiques / Inserm U900 Institut Curie Qques questions pour entamer les hostilités 1. Description de la population Pourquoi parler d'âge médian et non moyen?
Plus en détailDr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre
Dr Pierre-François Lesault Hôpital Privé de l Estuaire Le Havre «Il faut toujours prendre le maximum de risques avec le maximum de précautions» R. Kipling??? Geste d angioplastie en 2014 plus de limites
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailLes nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC. Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014
Les nouveaux anticoagulants oraux, FA et AVC Docteur Thalie TRAISSAC Hôpital Saint André CAPCV 15 février 2014 Un AVC toutes les 4 minutes 1 130 000 AVC par an en France 1 770 000 personnes ont été victimes
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailQUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES?
QUEL PROTOCOLE DE REENTRAINEMENT PROPOSER AUX PATIENTS INSUFFISANTS CARDIAQUES? Cliquez pour modifier le style des sous titres du masque MARIE CHRISTINE MERSCH MASSEUR KINESITHERAPEUTE Service de Réadaptation
Plus en détailObjectifs. La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée. Dre Lise Tremblay
2 e journée scientifique en oncologie thoracique de l IUCPQ Vers un nouveau visage La prise en charge du cancer du poumon métastatique: vers une approche personnalisée Dre Lise Tremblay Vendredi 14 novembre
Plus en détail