L ECHOGRAPHIE THORACIQUE DANS LA PATHOLOGIE PLEURO-PULMONAIRE AVEC DISSOCIATION RADIO-CLINIQUE DE L ENFANT
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- Olivier Métivier
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1 L ECHOGRAPHIE THORACIQUE DANS LA PATHOLOGIE PLEURO-PULMONAIRE AVEC DISSOCIATION RADIO-CLINIQUE DE L ENFANT TRA BI ZOD, KOUAME N, AM NGOAN-DOMOUA, KONAN AN, SETCHEOU A, N GBESSO RD, KEITA AK Service de Radiologie CHU de YOPOUGON (Abidjan Côte d Ivoire)
2 INTRODUCTION Pneumonie chez l enfant = affection fréquente et grave [1] décès d enfants de moins de 5ans par pneumonie en Afrique subsaharienne : OMS [1]. 20 % de l ensemble des décès chez les enfants de moins de 05 ans [1] (Cote d Ivoire).
3 INTRODUCTION Radiographie thoracique = premier moyen diagnostic des pneumonies Retard sur les signes cliniques et entraine des résultats faussement négatifs [2]. Nécessité d avoir recours au scanner.
4 INTRODUCTION TDM = risques liés aux radiations ionisantes et aux PCI[3], Echographie thoracique = alternative [4]. Sémiologie échographique des pneumopathies bien décrite [5, 6, 7] Utilisation chez l enfant pas de pratiques courante.
5 INTRODUCTION Observation de 3 cas cliniques de pneumopathie alvéolaire diagnostiquée à l échographie et simulant parfois une pleurésie à la radiographie thoracique. Objectif = contribution de l échographie dans la prise en charge de la pathologie pulmonaire de l enfant.
6 OBSERVATION 1 Enfant SB âgé de 03 ans et de sexe masculin. Drépanocytaire SSFA2. Évacué au CHU de Yopougon le 02/07/2012 pour crise vaso occlusive fébrile avec une toux grasse, expectoration muqueuse et rhume.
7 OBSERVATION 1 A l examen clinique : Fréquence respiratoire =30 cycles/mm Battement des ailes du nez et tirage intercostal Abolition du le murmure vésiculaire à la base pulmonaire droite, vibrations vocales abolies, une matité basale droite des râles sous crepitantes à la base pulmonaire droite quelques fois.
8 OBSERVATION I Radiographie thoracique [figure1] : opacité de tonalité hydrique occupant la moitié du lobe pulmonaire droit, à limite supérieure peu nette, grossièrement concave vers le haut, à limite inferieure effaçant la coupole diaphragmatique et le bord droit du cœur, Opacité homogène, sans bronchogramme ni alveologramme faisant évoquer un syndrome d épanchement pleural liquidien.
9 OBSERVATION I Ponction pleurale blanche effectuée en hématologie, Ponction sous guidage échographique sollicité. Absence d épanchement pleural à l échographie Échographie pulmonaire préconisée.
10 OBSERVATION I Examen réalisé sur un appareil de marque Esaote My Lab 40, à l aide d une sonde linéaire 7.5 MHz et convexe 5 MHz. La technique = abord direct du thorax, patient en décubitus dorsal ou en position demi-assise en antérieur, en latéral sans omettre la région sous axillaire et en postérieur en mobilisant le patient.
11 OBSERVATION I L examen a permis de retrouver [figure 2,3]: hépatisation des lobes pulmonaires moyens et inferieurs. un bronchogramme aerique dynamique sous forme de ligne de signaux punctiforme hyperéchogènes rehaussés par la respiration. un glissement pleural en regard était aboli. Le «shred sign» était présent. Absence d épanchement pleural liquidien. Conclusion = syndrome de condensation alvéolaire sans pleurésie
12 OBSERVATION I Radiographie de contrôle réalisé après antibiothérapie (amoxicilline-acide clavulanique) à J7 [figure4] et J21 [figure5] = évolution favorable avec restitution ad intégrum du parenchyme pulmonaire
13 OBSERVATION 2 Enfant B V, 2 ans 6 mois sexe féminin, VIH positif admis en pédiatrie pour toux chronique et fièvre vespérale sueur nocturne. A l examen clinique : Patiente consciente, 38 C, AEG Conjonctives et des téguments peu colorés FR= 51cycles /minute Vibrations vocales et murmure vésiculaire abolis à droite. Matité franche homolatérale
14 OBSERVATION 2 RT[figure 6] = champ pulmonaire droit était totalement opaque sans bronchogramme visible. Ponctions pleurales blanches, Echographie [figure7] = une hépatisation totale du champ pulmonaire droit abolition du glissement pleural bronchogramme aerique dynamique par endroit. Pas d épanchement pleural. Conclusion = syndrome de condensation alvéolaire sans pleurésie.
15 OBSERVATION 3 Enfant G.A.V, 3 ans 1mois,sexe masculin reçu en consultation pour toux aigue, fièvre et dyspnée. A l examen clinique: Enfant conscient, dénutri température à 38 2 C conjonctives moyennement colorés
16 OBSERVATION 3 fréquence respiratoire = 23cycles par minute. vibrations vocales augmentées à gauche avec des râles sous crepitantes sans matité évidente.. Radiographie thoracique = normale [figure 8].
17 OBSERVATION 3 Échographie pulmonaire [figure 9] : hépatisation du lobe pulmonaire inferieur gauche en para-cardiaque bronchogramme aerique dynamique et «Shred sign». CONCLUSION: Pneumopathie alvéolaire
18 COMMENTAIRE L échographie thoracique = diagnostic définitif sans recours au scanner. Dans l étude de Gazon [8], 07 épanchements pleuraux radiographiques = condensation alvéolaire à l échographie. Absence d alvéologramme ou de bronchogramme radiologique n élimine pas donc d emblée un syndrome alvéolaire.
19 COMMENTAIRE Syndrome de condensation radiologique est décrit à l échographie par de nombreux auteurs[3,5 8, 9]. signe du poumon tissulaire [4,5], ou hépatisation [8, 9] bronchogramme aérique dynamique [3, 5, 6, 8], l Abolition du glissement pleural [5]
20 COMMENTAIRE un angle de raccordement droit à la paroi thoracique [7] «Shred sign» ou signe de la scie considère que la bordure profonde d une consolidation est déchiquetée car en connexion avec le poumon aéré [5] était présent. Ce signe manque quand l ensemble du lobe est consolidé jusqu à la ligne pulmonaire opposée [6].
21 COMMENTAIRE L absence d épanchement pleural oriente vers des étiologies en l occurrence vers le streptococcus pneumoniae dans ce cas au lieu du staphylocoque [10, 11]. zones de nécroses intra parenchymateuses [6], fréquentes en cas de germes anaérobie, klebsiella pneumoniae et staphylocoque doré [11]. bronchogramme hydrique ou liquidien [3].
22 COMMENTAIRE D autres syndromes pulmonaires thoraciques : syndrome interstitiel, alvéolo interstitiel, le pneumothorax, sont décrits dans la littérature [6, 3].
23 CONCLUSION Échographie pulmonaire = moyen diagnostic efficace et d orientation étiologique dans la pathologie infectieuse de l enfant. Elle permet d éviter les ponctions pleurales blanches potentiellement cause de pleurésie secondaire Innocuité et sensibilité dans la détection des pneumonies = moyen à privilégier par rapport à la radiographie chez l enfant
24 FIGURE 6
25 FIGURE 9
26 FIGURE 11
27 QCM 1 Le nouveau-né PMY, 21 semaines est admis en réanimation pédiatrique au CHU de YOPOUGON pour détresse respiratoire. On réalise une radiographie à thoracique de face à J3 d hospitalisation Figure Cochez la ou les réponses(s) exacte(s). A. Il s agit d une pleurésie massive droite B. Il s agit d une pneumopathie massive droite non compliquée
28 C. Il s agit d une pleuro-pneumopathie avec parenchyme pulmonaire basale épargné D. Il s agit d une pneumopathie alvéolaire compliquée d abcès parenchymateux E. Il s agit de pneumopathie séquellaire avec bulle d emphysème
29 QCM 2 2. On réalise une échographie thoracique chez ce nouveau-né Figure 12. Cochez la ou les réponse(s) exacte(s) A. Il existe une hépatisation parenchymateuse pulmonaire. B. Il n existe pas de bronchogramme aerique. C. Il existe des zones de nécrose D. Il existe un bronchogramme aerique E. Il s agit vraisemblablement d une peumopathie alveolaire droit compliquée d abcédation prenchymateuse
30 QCM 3 Quelle est votre orientation étiologique: Cochez la ou les réponse (s) exacte(s) A. Streptococcus pneumoniae B. Staphylocoque doré C. Klebsiella peumoniae D. Bacille de koch E. Haemophilus influenza
31 REPONSES AUX QCM: 1. D 2.ACE 3.BC
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