38 e congrès du SMG les 7 et 8 décembre 2012 à Saint-Denis

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "38 e congrès du SMG les 7 et 8 décembre 2012 à Saint-Denis"

Transcription

1 38 e congrès du SMG les 7 et 8 décembre 2012 à Saint-Denis Textes introductifs au débat - Rapport Moral 1 er texte : Osons le changement c'est le moment de penser le «Service Public de Santé de Proximité» Il est saisissant de constater que les questions qui sont à l'ordre du jour de ce 38 e congrès sont pour le SMG quasiment les mêmes que lors de son premier congrès. Faut-il en déduire que le SMG n'a fait que du sur place depuis sa création? Certains pourront le penser, d'autres, dont je suis, sont persuadés qu'il ne s'agit pas d'une stagnation, mais bien de la difficulté de transformer un système de l'offre de soins construit essentiellement sur les principes du capitalisme qui façonne l'économie libérale. Cette économie libérale qui porte l'individualisme et la libre concurrence comme valeurs d'émancipation humaine finissant par conduire à l'indécente lutte pour la conservation des privilèges de certains médecins spécialistes du secteur 2. Nous avons toujours portés d'autres valeurs issues de la pensée politique d'un socialisme qui mettait au fronton de ses valeurs : l'action collective, la justice sociale, la solidarité, l'altruisme et l'humanisme au cœur des pratiques de soins. Les combats d'hier que nous avons menés dans la quasi-solitude de la lutte minoritaire sont complètement d actualité aujourd'hui : la sortie du paiement à l'acte est ébauchée avec l'existence du forfait, les Unités Sanitaire de Base sont devenues les Maison de Santé de Proximité, le passage du soin à la santé est devenu le parcours de santé, et la santé populationnelle et certains n'hésiteront pas à franchir le pas en disant que les Contrats Locaux de Santé sont aussi les enfants du SMG. Quant à la santé communautaire, elle est le milieu où nous voulons exister. Ces transformations ne sont pas l'œuvre du SMG, cela serait bien excessif de prétendre que nous y sommes pour l'essentiel, c'est surtout l'ineptie du système libéral tel qu'il est dominé par l'économie libérale qui a permis d'avancer car son échec est patent. Cet échec s'est accéléré du fait de la crise économique et de la chance inouïe que les jeunes générations se soient emparées d'une analyse tout aussi critique que pragmatique vis-à-vis du système de soins dans lequel ils ne veulent pas rentrer. Ils assument la radicalisation des postures et revendiquent des formes d'exercices du soin qui ne peuvent que trouver du soutien de la part du SMG. Ce ne sont pas les différentes périodes d'exercice du pouvoir par la gauche qui ont changé grandchose, parce que cette gauche-là n'a jamais osé le changement, l'actualité récente sur les dépassements d'honoraire le prouve. Le vent soufflant dans le bon sens il faut en profiter pour avancer et pour cela oser choisir un cap qui nous permette cette fois-ci de transformer nos espérances en réalités. Nous avons des points forts, des leviers sur lesquels nous allons agir. 1) La crise de la médecine libérale est réelle. Il y a bien sûr le retour du boomerang du secteur 2 (ils en ont bien profité) qui montre que le mode de rémunération des médecins libéraux n'est plus adapté au mode de financement de la protection sociale solidaire. Quand les recettes du système de soins sont contraintes, le développement de «l'outil» libéral qui tend à devenir une micro-entreprise ne peut se faire uniquement sur les honoraires, car alors la sélection par l'argent entraîne l'exclusion des soins. Les médecins spécialistes essayent de trouver un moyen de solvabiliser les patients et ils espèrent que le régime complémentaire va continuer à prendre à sa charge les dépassements d'honoraires. Mais ils sont effrayés à l'idée que les mutuelles et autres organismes de prévoyance demandent, dès lors qu'elle le finance, d'être dans la gouvernance du système et qu'elles veulent organiser des réseaux d'accès préférentiel aux spécialistes qui font les prix les plus bas pour le même service. Les syndicats de ces médecins du secteur 2 défendent avec âpreté l'économie libérale, mais refusent les règles de celle-ci dès lors qu'elle les contraint. Ils 1

2 souhaitent la dérégulation du système en espérant en profiter, non sans faire la morale aux autres sur les valeurs de la médecine libérale: la cohérence n'est pas leur qualité dominante. 2) La crise du choix de la médecine générale en mode libéral. Quand la majorité des jeunes médecins choisissent le mode salarial, quand les anciens se hâtent de cesser leur activité avant l'âge de la retraite, c'est bien qu'il y a crise. Et nul besoin d'accuser les jeunes de ne rien y comprendre et les vieux de désertion, l'évidence est là : l'exercice de la médecine générale tel qu'il a été doit se transformer pour assumer ses missions. Mais, et c'est là que réside le gros problème, on ne sait plus quoi penser de ses missions, elles oscillent entre deux concepts : le soin rien que le soin et le médecin reste dans l'exercice solitaire ou, la santé rien que la santé et le médecin rejoint l'exercice regroupé du 1 er recours, le tout en sachant qu'il est possible de trouver un équilibre entre les deux à conditions de sortir du soin exclusif comme dans l'expérience ASALEE. Il n'y aura pas de transformation du système de l'offre de soins si on ne définit pas la mission des soignants. Mais qui doit la définir? Le gouvernement ou le peuple, je ne vous dis pas où va ma préférence!! 3) La crise institutionnelle : la mise en place des ARS devait permettre la décentralisation de la politique et l'organisation de l'offre de santé au niveau de la région, le tout dans le cadre de la démocratie sanitaire rénovée. Après deux ans d'existence, nous sommes loin du compte. Chaque région a élaboré son Plan Régional de Santé, mais cette élaboration est trop marquée par la logique de la rénovation hospitalière ou, si on préfère, la casse de l'hôpital public. La recomposition de l'offre de soin est menée avec la culture et les logiques institutionnelles qui, outre qu'elles sont autoritaires, ne correspondent pas à une véritable politique de développement territorial. Il suffit pour s'en convaincre de voir que presque toutes les ARS ont choisi le département comme territoire de santé, ce choix s'est fait parce qu elles sont prisonnières de la connaissance administrative classique. Les Contrats Locaux de Santé tentent de sortir de cette logique, ils peuvent être le début d'une autre manière d'organiser l'offre de santé sur le territoire à conditions que les communes s'en emparent et que cela contribue à la réalisation d'une véritable politique de santé et non d'une refonte de l'offre de soins classique, c'est-à-dire une autre vison que celle portée par les SROS. Quant à la CNAM, elle est devenue avec son nouveau système de «management», une institution qui ne protège plus les assurés sociaux, voire pire dans maints endroits, c'est elle qui provoque l'exclusion des soins!! La question est de savoir, en dehors du remboursement mal fait du risque maladie, à quoi sert-elle? Elle affiche sa volonté de réguler l'offre de soins, mais comme sa motivation c'est d'une part de diminuer les dépenses de soins sur le dos des patients, par les taxes sur la maladie, et d'autre part normaliser les pratiques médicales pour mieux les formater afin de les contrôler, on arrive au constat que la CNAM est devenue l'administration oppressive des malades, les fondateurs de la Sécurité sociale en sont tout bafoués. 4) La crise politique : elle à le mérite d'être facile à décrire : il n'y a pas de politique de santé portée par le gouvernement/ps. Il y a une gesticulation avec une girouette qui n'indique pas le chemin vers la justice et l'accès aux soins, mais qui tourne en fonction des manifestations des uns et des autres, avec quand même une préférence pour ne pas fâcher les syndicats médicaux libéraux les plus à droite. 5) La crise du syndicalisme de la médecine libérale : on perçoit bien que le système conventionnel n'a plus la compétence pour porter les réformes nécessaires à l'adaptation de la médecine libérale aux exigences d aujourd hui. Les syndicats médicaux de droite (csmf/sml/fmf) sont dans un jeu morbide avec le pouvoir et consciencieusement, ils scient la branche de la médecine libérale, refusant toutes avancées sur l'accès aux soins, sur l'exercice regroupé, sur le parcours de santé. quand à MG-France, le choix à été fait d'un pragmatisme syndical qui a payé puisque nous retrouvons, certes en tout petit, le forfait pour la médecine générale, premier petit pas vers une ébauche de sortie du paiement à l'acte. Mais rien n'est parfait dans ce monde conventionnel. Cet accord fut arraché au prix de la signature de l'avenant 8 qui avalise le dépassement d honoraire. La perversité de la CNAM, c'est de toujours imposer dans l'accord une carotte et un bâton et donc d'accepter d'être battu pour obtenir sa carotte. Si on lit l'accord 2

3 conventionnel du point de vue syndical, c'est le fait d'avoir obtenu la carotte qui est valorisé, si on lit d'un point de vue politique, c'est le fait de prendre les coups de bâton qui met en colère. C'est le dilemme de MG-F. Ils ont fait le choix syndical, je peux le comprendre. Mais il faut sortir de ce système conventionnel qui est devenu complètement ringard Alors comment s'y prendre pour changer le système.? D'abord il faut avoir l'envie! Et je pense que l'état actuel du système de l'offre de soins, avec l'exclusion qu'il provoque et toute l'injustice qui en résulte, ne peut que motiver les soignants épris de justice et d altruisme. C'est l'objet de ce congrès et des débats qui s'en suivront, notamment avec la jeune génération de soignants de tracer les contours de ce que peut être un Service Public de Santé de Proximité (SPSP) (Nous préférons le terme de proximité à ambulatoire qui renvoie à une définition libérale de la médecine de ville alors que le terme de proximité renvoie plus à l'organisation territoriale de la santé.) Nous pouvons essayer de décrire ce système de plusieurs manières, l'important ce sont les ingrédients qu'il contient, pour ma part je préfère partir de bas en haut. Il ne s'agit pas ici de décrire par le menu le système de santé que nous voulons, mais de soumettre au débat les grandes caractéristiques qui le fondent. 1) le projet de santé : c est le cœur du système. Tout soignant devrait inscrire sa pratique dans le cadre d'un projet de santé, qui associe à la fois un projet professionnel sur la manière d'exercer le soin et un projet d'offre de santé territoriale qui met en place des actions de santé en regard des besoins de santé exprimés par le diagnostic de santé conduit sur le territoire. En sachant qu'aujourd'hui, le véritable défi c'est de trouver des réponses à la transition épidémiologique qui fait que ce sont les maladies chroniques et les cas complexes qui nécessitent une réponse collective en termes d'organisation du parcours de santé sur un territoire. 2) Ce projet de santé ne peut ce conduire que dans le cadre collectif, cadre qui peut s'organiser de différentes manière : soit dans l'exercice regroupé sur un même lieu et là, cela peut se faire soit sur le mode libéral reformé ou sur le mode salariat tout autant réformé, soit une organisation dispersée sur le territoire dans le cadre d'un pôle de santé. 3) La structure juridique définissant le mode de rémunération : il ne faut pas figer l organisation. On peut déjà organiser cette offre de santé en mixant : le paiement à l'acte, le forfait, et la subvention, cette étape est nécessaire pour montrer ce qui est possible, mais elle doit précéder l'étape vers le système public de santé de proximité (SPSP) qui lui devra se fixer autour d'un salariat basé sur la capitation et sur le forfait. Il va donc être nécessaire d'inventer une structure juridique adéquate. Mais alors se pose la question de l'exercice libéral. Lui reste t-il une place dans cette organisation? Il faut non pas essayer de transposer l'existant vers cette nouvelle organisation, mais plutôt réfléchir comment nourrir ce système des valeurs de la médecine libérale qui ont du sens et qui sont des pare-feux à la tentative de la part des financeurs de toujours vouloir normaliser les pratiques quelque soit le système : la responsabilité individuelle, le colloque singulier, la liberté de prescription définit dans un cadre collectif sont d'authentiques valeurs que nous ne pouvons pas perdre. L'exemple des Centre de Santé, des Maisons médicales Belges, des Centre Locaux de Services Communautaire au Québec montre que l'on peut pratiquer une médecine générale et autre soins paramédicaux de qualité dans un cadre différent. La question n'est plus alors d'opposer la médecine libérale au salariat, mais la médecine générale de santé face à la médecine de soins (bobologie???). Car, et c'est un point fort à expliquer, la nécessité de construire un SPSP relève de l'obligation qui est faite aux soignants relever le défi des maladies complexes et chroniques. 4) Le réseau de santé territorial : un concept nouveau prend forme, c'est de définir une politique de santé à partir de et pour un territoire. La définition de l'échelle de ce territoire est un authentique débat, actuellement je pense que l'on peut raisonner en termes de bassin de vie. Certes, cela est à géométrie variable, mais sociologiquement, cela a du sens. Cela va du territoire de la commune en milieu urbain à la communauté de communes en milieu rural. L'important c'est de savoir ce qu'apporte le SPSP dans ce concept. Trois éléments sont à prendre en considération : a) Le diagnostic de santé du territoire qui doit être conduit avec : les élus, les professionnels, 3

4 la population, les financeurs ; la mise en œuvre des contrats locaux de santé a permis dans certains endroits de conduire une véritable concertation aboutissant à un CLS qui préfigure l'organisation territoriale. b) Une fois le diagnostic réalisé, des priorités sont définies, elles fixent les actions à conduire pour améliorer la santé des populations. L'exercice regroupé de l'offre de santé du 1 er recours réalisent certaines de ces actions qui sont de son domaine de compétence, on parle bien d'actions de santé, c'est-à-dire d'action médico-psycho-sociale et environnementale. c) Sur le territoire, il y a nécessité de coordonner les différentes actions et aussi d'aider les professionnels à inscrire leurs pratiques dans ces actions de santé, c'est la nouvelle mission qui devrait être fixée aux réseaux qui ne seraient plus thématiques, mais territoriaux et donc partie intégrante du SPSP. 5) La démocratie sanitaire de proximité : il ne peut y avoir de SPSP sans démocratie sanitaire. Une conférence locale de santé sur le territoire défini aura pour mission de participer au diagnostic de santé d'en valider les priorités. Cette conférence réunira les élus, les professionnels, et les habitants, les financeurs soit du système de l'offre de soins CPAM, soit de l'organisation territoriale Conseil Général, Conseil Régional Elle portera de fait la défense du SPSP. 6) Le Rôle institutionnel : il est de plusieurs ordres a) la régulation : tout système doit être régulé. Qui le fait? Si c'est le financeur, il veut obtenir du système une diminution des dépenses ou du moins l'approche économique est dominante. Si c'est l'etat, il veut utiliser le système pour donner de la visibilité à sa politique comme actuellement il l'a fait avec les plans : cancer, Alzheimer, dépistage de masse, et campagne de vaccination contre la grippe (ce n'est pas le meilleur exemple). Il est difficile aujourd'hui de trouver une solution centralisée. Je penche plutôt pour une régulation régionale avec des ARS transformées. L'ARS deviendrait l'outil de régulation de la mise en œuvre des contrats locaux de santé, l'organisation de l'offre de soins sera régulée non pas à partir de l'offre hospitalière, mais à partir des besoins du territoire validé par la conférence locale de santé. b) le financement : dans un système solidaire et socialisé, le financement doit être celui qui était à l'origine de la Sécurité sociale : un seul régime obligatoire qui rembourse à 100 % les frais de santé : soins, prévention, éducation. Idée utopiste dans toute sa splendeur vont crier les gestionnaires, pourtant cela ne demanderait que deux points de CSG. Il suffirait d'intégrer les cotisations des organismes complémentaires pour pouvoir financer toutes les actions de santé. Le prélèvement ne serait plus via des cotisations individuelles, mais via la CSG qui est un impôt progressif et donc plus juste. La reconversion des mutuelles vers la prévention, l'éducation, la lutte contre les pathologies de l'environnement serait plus profitable aux citoyens que la concurrence économique dans le remboursement du risque maladie. Enfin l'investissement sur la prévention, l'éducation, et les actions de santé sont les meilleurs atouts pour diminuer les dépenses de soins. Conclusion provisoire : A tout ceux qui penserons que le SPSP est une utopie, je rappelle que les utopies d'hier sont les innovations d'aujourd'hui. Certes, ce n'est pas du jour au lendemain que l'on peut construire le SPSP, mais les réalisations d'aujourd'hui montrent que le chemin est tracé. A nous jeunes et plus âges de donner la voie du possible, du plus juste, et du meilleur pour les personnes malades pour la population et pour les soignants. Ce congrès veut ouvrir le débat, il se prolongera ensuite pouvant aller vers de nouvelles réalisations et pourquoi pas vers une nouvelle organisation pour défendre nos valeurs et notre projet qui se nourri de cette maxime, «soyons réalistes ; exigeons l'impossible» (Che Guevara). Didier Ménard Président du SMG 2 e texte : commentaire et complémentaire du précédent Je voudrais souligner que «les combats que nous avons menés hier, s'ils sont toujours d'actualité», 4

5 sont loin d'avoir abouti aujourd'hui, en particulier en ce qui concerne la sortie du paiement à l'acte Quant à la phrase : «à MG-F, le choix à été fait d'un pragmatisme syndical qui à payé puisque nous retrouvons, certes en tout petit, le forfait pour la médecine générale premier petit pas vers la sortie du paiement à l'acte.» Pour moi, le forfait n'est pas une sortie du paiement à l'acte, c'est un ajout qui va demander des contreparties comme le paiement à la performance. Je trouve qu'il faut dire clairement qu'il faut sortir du paiement à l'acte qui pervertit tout, puisqu'il oblige les médecins de centres de santé et de maisons de santé à faire un certain nombre d'actes pour rentabiliser leur structure et ne permet pas de faire d'autres activités. Je ne comprends pas pourquoi on ne demande jamais clairement d'être payés à la capitation, qui serait une façon de sortir du paiement à l'acte. Dans le texte, il est écrit «en mixant : le paiement à l'acte, le forfait, et la subvention» puis, «cette étape est nécessaire pour montrer ce qui est possible, mais elle doit précéder l'étape vers le système public de santé de proximité (SPSP) qui lui devra se fixer autour d'un salariat basé sur la capitation et sur le forfait» : je ne comprends pas bien cette progression, je serais pour demander d'emblée un paiement à la capitation pour en sortir directement. Sinon, je pense qu'une étape intermédiaire serait à explorer : demander dès maintenant le tierspayant systématique et obligatoire, pour dévoiler les dépassements d'honoraires, faciliter l'accès aux soins, et obliger les médecins à se détacher de l'argent et demander que la Sécu contractualise avec les mutuelles pour que ce soit possible (cela ne doit pas être nous qui passons contrat avec les mutuelles, en effet c'est dangereux si ce sont des assurances). Autre chose : l'échelle du territoire pour la conférence de santé (et les décisions à prendre) ne doit pas dépasser le bassin de vie (regroupement d'une dizaine de communes), le niveau de l'ars pour l'ile-de-france ne peut pas être démocratique, beaucoup trop énorme, ce seront des délégués qui siègeront dans des commissions, et comment représenteront-ils la base? Par ailleurs, si on supprime les mutuelles en demandant que la Sécu rembourse à 100 % (avec une augmentation de deux points de CSG, moins chère et plus égalitaire pour les gens que payer les mutuelles), on peut demander à rouvrir les centres locaux de Sécu, en y employant le personnel des ex-mutuelles et en recréant une dynamique locale à partir de ces centres (idée de Patrice Muller). Martine Lalande, membre de la CE 5

Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle

Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle Inégalités sociales de Santé Propositions du SMG dans le cadre de la discussion conventionnelle Le constat Des études de plus en plus nombreuses (1) (2) montrent que les déterminants socioéconomiques ont

Plus en détail

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»

«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» 39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,

Plus en détail

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé

UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE. pour développer et pérenniser les centres de santé UN NOUVEAU MODÈLE ÉCONOMIQUE pour développer et pérenniser les centres de santé LES SOINS DE PREMIERS RECOURS CARACTÉRISTIQUES ET RÔLE DES CENTRES DE SANTÉ Les différentes formes d exercice médical regroupé

Plus en détail

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire

Intervention de Marisol TOURAINE. Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des. femmes. Maison de Santé Pluridisciplinaire 1 Intervention de Marisol TOURAINE Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Maison de Santé Pluridisciplinaire Magny-en-Vexin Vendredi 20 février 2015 Seul le prononcé fait

Plus en détail

LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 3 OUVRAGES

LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 3 OUVRAGES LA NEWSLETTER / LIGUE REIN ET SANTÉ / AVRIL 2015 #19 NOUVEAUTÉ 2015 / DES PAGES À PHOTOCOPIER DESTINÉES À VOS PATIENTS LE JOURNAL DES PATIENTS DE NOUVEAUX OUTILS DE COMMUNICATION ET D INFORMATION 2 SITES

Plus en détail

COMMENT LA PENSION DE RETRAITE EST-ELLE CALCULÉE ACTUELLEMENT?

COMMENT LA PENSION DE RETRAITE EST-ELLE CALCULÉE ACTUELLEMENT? Introduction : Le 17 décembre 2002, la Commission européenne a adopté un «rapport d'évaluation des stratégies nationales en matière de pensions adéquates et viables» (1). Ce rapport indique que «Le rythme

Plus en détail

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data!

Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Anticiper pour avoir une innovation d'avance : le leitmotiv de Pierre Jouniaux, entrepreneur du big data! Pierre Jouniaux http://www.safety line.fr CV : Pierre Jouniaux, ingénieur aéronautique, pilote

Plus en détail

Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales

Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales En clair COMPLÉMENTAIRES SANTÉ / PRÉVOYANCE Les Contrats Collectifs face aux nouvelles normes sociales et fiscales Quand la Prévoyance vous appartient. Sommaire Exonération des cotisations Sociales...

Plus en détail

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014

L assurance soins de santé en Belgique : une introduction. Thomas Rousseau 12 juin 2014 L assurance soins de santé en Belgique : une introduction Thomas Rousseau 12 juin 2014 Introduction L assurance maladie obligatoire L assurance soins de santé L assurance indemnités (maladie, accident,

Plus en détail

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours

Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé. Tours Contribution de la Mutualité Française Centre à la Stratégie Nationale de Santé Tours Débat régional du 13 février 2014 Chantier n 1 du programme Gaspar : développer les conventionnements tiers payant

Plus en détail

Associations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX

Associations, Syndicats, Ordre. Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Associations, Syndicats, Ordre Mardi 21 octobre 2014 Ecole de Pédicurie-Podologie 33000 BORDEAUX Trois systèmes complémentaires aux fonctions et missions bien définies : Associatif regroupement de personnes

Plus en détail

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement?

La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La LOLF, une loi bien pensée mais en voie de détournement? La nouvelle loi organique relative aux lois de finances a été promulguée en août 2001. Deux ans plus tard, et bien que la mise en œuvre de cette

Plus en détail

Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA

Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Assemblée Générale 30 avril 2014 Rapport Moral du Président Ruben GARCIA Bonjour à toutes et à tous, Merci d être présents nombreux pour cette 20 ème assemblée générale. Créée en 1994, par des militants

Plus en détail

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3)

L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) Lors d'une précédente analyse, nous avions présenté deux outils d'appel public à l'épargne qui bénéficient d'un régime légal favorable

Plus en détail

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession

Plus en détail

La protection Sociale : avenir ou souvenir? Les solidarités en temps de crise

La protection Sociale : avenir ou souvenir? Les solidarités en temps de crise La protection Sociale : avenir ou souvenir? Les solidarités en temps de crise ALBI - 10 janvier 2014 Fabrice Henry Petit état des lieux au travers de la loi de financement de la Sécurité Sociale La loi

Plus en détail

Liste des promesses tenues*

Liste des promesses tenues* 331 Culture Démocratiser l'accès au multimédia. I. CHANGEONS LA VIE QUOTIDIENNE DES FRANÇAIS.7. Assurer notre rayonnement culturel.nous porterons le budget de la culture à 1% du budget de l'etat. Nous

Plus en détail

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux.

Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques sociaux. R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES R4 = SÉCURITÉ SOCIALE, CMU, ABUS ET FRAUDES DÉFINITION : Ensemble des mécanismes de prévoyance collective pour faire face aux conséquences financières des risques

Plus en détail

Réponse de l EBG à la consultation publique concernant le Plan France numérique 2020.

Réponse de l EBG à la consultation publique concernant le Plan France numérique 2020. Réponse de l EBG à la consultation publique concernant le Plan France numérique 2020. Ce document est une réponse à la consultation publique dans le cadre du plan France numérique 2020. Nous avons participé

Plus en détail

Titre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins

Titre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins Titre de la Table citoyenne Offre de soins, accès aux soins Organisée par : Délégation des Hautes-Alpes de la Mutualité Française Paca, ADRETS, UDESS05, la CRESS (Chambre Régionale de l Économie Sociale

Plus en détail

Inviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture».

Inviter au plus vite tous les acteurs de la création, de l'édition, de la diffusion et de la lecture à des «États généraux du livre et de la lecture». Eléments pour une politique en faveur du livre et de la lecture Par Aurélie Filippetti, députée de Moselle, responsable du pôle Culture, audiovisuel, médias dans l équipe de campagne de François Hollande.

Plus en détail

La prise illégale d intérêts

La prise illégale d intérêts La prise illégale d intérêts Valeurs sociales protégées : Il s agit simplement de préserver, d une part, la probité dans la gestion des affaires publiques en respectant le vieil adage " nul ne peut servir

Plus en détail

PASSAGE Projet d'approche Solidaire en SAnté GEnésique

PASSAGE Projet d'approche Solidaire en SAnté GEnésique PASSAGE Projet d'approche Solidaire en SAnté GEnésique EuropeAid/120804/C/G/Multi Rapport de formation du personnel sanitaire des formations ayant signé une convention avec la mutuelle de santé communautaire

Plus en détail

Une circulaire "Technique" sur la syndicalisation et la trésorerie mais qui ne concerne pas que les trésoriers

Une circulaire Technique sur la syndicalisation et la trésorerie mais qui ne concerne pas que les trésoriers Paris, le10/11/2009 46, avenue d Ivry 75647 PARIS cedex 13 01 40 63 27 31 Fax: 01 40 63 29 09 Secrétariat : Claudine CAUQUIS : 01 40 63 27 10 tresor.enretraite@snes.edu Aux secrétaires et Trésoriers de

Plus en détail

LES MUTUELLES DE SANTE AU MALI CREATION, ORGANISATION, FONCTIONNEMENT

LES MUTUELLES DE SANTE AU MALI CREATION, ORGANISATION, FONCTIONNEMENT 1 REUNIONS STATUTAIRES DE L'ACI POUR L'AFRIQUE --------------------- Cotonou, du 21 au 25 Août 2000 -=-=-=-=-=-=- LES MUTUELLES DE SANTE AU MALI CREATION, ORGANISATION, FONCTIONNEMENT Dr Oumar OUATTARA

Plus en détail

Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique

Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique Faut-il reculer l âge de la retraite? Entretien avec Jean-Paul Betbéze : chef économiste et directeur des études économiques du Crédit agricole, est membre du Conseil d'analyse économique Entretien avec

Plus en détail

La mutualité. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 2011-1012. - Support de Cours (Version PDF) -

La mutualité. Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf. Date de création du document 2011-1012. - Support de Cours (Version PDF) - La mutualité Comité éditorial pédagogique de l'uvmaf Date de création du document 2011-1012 1/10 Table des matières SPECIFIQUES :... 3 I Introduction et historique :... 4 II Objet d une mutuelle :...4

Plus en détail

Je m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis.

Je m adresse à vous comme socialiste, comme parlementaire et comme Président du Conseil général de la Seine-Saint-Denis. Audition Commission sur la réforme territoriale Intervention de M. Claude Bartolone Jeudi 15 janvier 2009 Monsieur le Président, Mesdames et Messieurs les membres de la Commission, Mesdames et Messieurs,

Plus en détail

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!

Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit! Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

educationsolidarite.org

educationsolidarite.org Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org

Plus en détail

La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr

La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012. Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr La société interprofessionnelle de soins ambulatoires 12 /2012 Jean VILANOVA Juriste jean.vilanova@ca-predica.fr Le décret n 2012-407 du 23 /03 /2012 (JO du 25 /03) relatif aux sociétés interprofessionnelles

Plus en détail

La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille!

La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille! La protection sociale obligatoire et complémentaire au cœur de notre bataille! La protection sociale est un terme générique qui recouvre, la Sécurité Sociale (régime général obligatoire solidaire, géré

Plus en détail

LA SOLIDARITE INTERNATIONALE ET LES ENTREPRISES.

LA SOLIDARITE INTERNATIONALE ET LES ENTREPRISES. LA SOLIDARITE INTERNATIONALE ET LES ENTREPRISES. Une approche commune et des engagements des Associations de solidarité internationale et des Syndicats. 2010 Sommaire Préambule, p.2 Le contexte, p.3 Pourquoi

Plus en détail

LA GÉNÉRALISATION DE LA MUTUELLE OBLIGATOIRE DANS L ENTREPRISE AU 1 ER JANVIER 2016

LA GÉNÉRALISATION DE LA MUTUELLE OBLIGATOIRE DANS L ENTREPRISE AU 1 ER JANVIER 2016 Groupement des Métiers de l Imprimerie -------------------------------------------------------------------------------------------------------- JUIN 2015 NOTE N 147 LA GÉNÉRALISATION DE LA MUTUELLE OBLIGATOIRE

Plus en détail

1. Réponse de Nathalie COULAUD, journaliste au PARTICULIER

1. Réponse de Nathalie COULAUD, journaliste au PARTICULIER ARC / DOSSIER DU MOIS DE NOVEMBRE 2009/ www.unarc.asso.fr Les trois qualités et les trois défauts des syndics selon Au cours de notre Salon «indépendant», nous avons eu une conférence passionnante sur

Plus en détail

S T A T U T S (Association loi 1901)

S T A T U T S (Association loi 1901) CERCLE DAMIEN KONDOLO (La Fraternelle de la République Démocratique du Congo en Europe) S T A T U T S (Association loi 1901) Nous, membres de diverses institutions philanthropiques, réunis en Assemblée

Plus en détail

3 Les premiers résultats des plans d'actions

3 Les premiers résultats des plans d'actions 3 Les premiers résultats des plans d'actions Les résultats que nous avons obtenus en ce qui concerne les plans d'action, résultent de l'analyse de 48 entreprises seulement. Revenons sur notre échantillon.

Plus en détail

EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET

EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET EVALUER LE JUSTE PRIX D UN CABINET La notion de «fonds libéral», instituée par la Cour de Cassation il y a quelques années simplifie juridiquement la cession des cabinets libéraux. Auparavant, les juristes

Plus en détail

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33

Code du Travail, Art. L6222-23 à L6222-33 F I C H E P R A T I Q U E N 2 R E M U N E R A T I O N E T A I D E S L I E E S A U C O N T R A T D A P P R E N T I S S A G E L apprenti est titulaire d un contrat de travail de type particulier : il est

Plus en détail

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta

Workshop Gestion de projet- IHEID- MIA- Décembre 2008 Cas Colombie Cucuta PROJET FORMATION DE LEADERS POUR LA DEMOCRATISATION ET LE DEVELOPPEMENT LOCAL DANS LA MUNICIPALITE DE SAN JOSE DE CUCUTA COLOMBIE. 1. CADRE D'INSERTION DU PROJET Les conditions de vie de la population,

Plus en détail

Vers la création d un service d appui aux consommateurs en Wallonie

Vers la création d un service d appui aux consommateurs en Wallonie Question de point de vue Rue de Gembloux, 48-5002 Saint-Servais Tél : 081/73.40.86 - Fax : 081/74.28.33 secretariat@equipespopulaires.be Vers la création d un service d appui aux consommateurs en Wallonie

Plus en détail

Attentes liées aux prestations

Attentes liées aux prestations Appel à propositions du 26/05/2014 "Diagnostics de Sécurisation des Parcours Professionnels" Attentes liées aux prestations Projet SECURI'PASS 2.0 Cette opération bénéficie du soutien financier de l'etat,

Plus en détail

La Mutualité en chiffres Édition 2011

La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité en chiffres Édition 2011 La Mutualité, acteur principal de la complémentaire santé page 6 Sommaire Message du directeur général de la Mutualité Française

Plus en détail

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL

REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL 1 REFERENTIEL PROFESSIONNEL DES ASSISTANTS DE SERVICE SOCIAL DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION L assistant de service social exerce de façon qualifiée, dans le cadre d un mandat

Plus en détail

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient

Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble

Plus en détail

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT

A. DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIÈRE D'AIDES D'ETAT DISPOSITIONS DES TRAITÉS EN MATIERE D'AIDES D'ETAT Tableau de correspondance entre l'ancienne et la nouvelle numérotation des articles suite à l'entrée

Plus en détail

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données

Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Chapitre 1 : Introduction aux bases de données Les Bases de Données occupent aujourd'hui une place de plus en plus importante dans les systèmes informatiques. Les Systèmes de Gestion de Bases de Données

Plus en détail

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL,

Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, Contact chargées de mission FEHAP Centre : Magali BASTELICA, magali.bastelica@fehap.fr, 06 45 55 50 12 Nathalie PERPINIAL, nathalie.perpinial@fehap.fr, 06 74 72 73 78 SOMMAIRE Pourquoi la FEHAP intervientelle

Plus en détail

Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire?

Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire? Et si l économie sociale créait une mutuelle d épargne solidaire? Les entreprises d'économie sociale placent encore souvent leurs réserves dans des banques classiques. Aujourd hui, la crise financière

Plus en détail

La Bourse aux Financements Solidaires (BFS)

La Bourse aux Financements Solidaires (BFS) La Bourse aux Financements Solidaires (BFS) 1/ Contexte Socio-économique global La BFS est née d'un double constat. D'une part, le parcours d'un créateur d'entreprise ou d'activité est difficile, particulièrement

Plus en détail

Coût des études en Kinésithérapie

Coût des études en Kinésithérapie Solidarité Questions sociales Publication Formation Dossier Coût des études en Kinésithérapie Edition 2012-2013 + d infos sur: www.fnek.fr Contacts Mathieu NOIROT Président de la FNEK 06 67 28 26 40 president@fnek.fr

Plus en détail

Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France

Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France Conférence internationale de recherche en sécurité sociale an 2000 Helsinki, 25-27 septembre 2000 La sécurité sociale dans le village global Introduction de la couverture maladie universelle (CMU) en France

Plus en détail

Le courrier électronique

Le courrier électronique Le courrier électronique Le courrier électronique ou e-mail est le service le plus utilisé d'internet. Il permet l'échange rapide de messages mais aussi de fichiers entre internautes à travers le monde.

Plus en détail

Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole.

Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole. Dahir n 1-09-16 du 22 safar 1430 (18 février 2009) portant promulgation de la loi n 42-08 portant création de l'agence pour le développement agricole. LOUANGE A DIEU SEUL! (Grand Sceau de Sa Majesté Mohammed

Plus en détail

Principales différences par rapport aux sociétés privilégiant les intérêts des investisseurs.

Principales différences par rapport aux sociétés privilégiant les intérêts des investisseurs. Position du Groupement des sociétés d'assurance mutuelle (ARGE) concernant le document de consultation "Les mutuelles dans une Europe élargie" (03/10/2003) Secteurs d'activités actuels et importance des

Plus en détail

ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413

ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE DE LA MUTUELLE FAMILIALE DES CHEMINOTS DE FRANCE N 784 394 413 ANNEXE N 1 AU REGLEMENT MUTUALISTE page 1 Sécurité Sociale I - HONORAIRES MEDICAUX Consultations et visites de généralistes et spécialistes Actes de chirurgie en cabinet Actes techniques médicaux (endoscopie,

Plus en détail

MODULE 5 - GESTION DES SALAIRES ET DU TEMPS

MODULE 5 - GESTION DES SALAIRES ET DU TEMPS MANUEL DE FINANCIÈRE POUR LES BÉNÉFICIAIRES DE FONDS EUROPÉENS DESTINÉS AUX ACTIONS EXTÉRIEURES - Histoire vraie La société «AIDCONSULT» s'est vu confier un contrat d'assistance technique (contrat de services)

Plus en détail

Aroéven Caen Normandie

Aroéven Caen Normandie Aroéven Caen Normandie Aroéven Caen Normandie Passer du FSE à la Maison des Lycéens, pas si compliqué! Une association, pour quoi faire? Une association, pour faire quoi? Une association dans le lycée

Plus en détail

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF

Inégalités sociales de santé et accès aux soins. Inégalités sociales de santé et protection sociale 2006-07 Psychomot 1 UPMC/VHF Inégalités sociales de santé et accès aux soins INEGALITES SOCIALES DE SANTE Définition : Inégalités/ sociales /de santé Inégalités face à la mort Comparaisons européennes Les maladies inégalitaires Inégalités

Plus en détail

Concerne : réforme et précision sur le système de pensions complémentaires.

Concerne : réforme et précision sur le système de pensions complémentaires. Chers clients, Concerne : réforme et précision sur le système de pensions complémentaires. Lors de l'élaboration du budget 2012, le gouvernement a pris différentes mesures qui ont un impact important sur

Plus en détail

«Après le vote de la Loi de financement de

«Après le vote de la Loi de financement de À la veille du grand débat sur la protection sociale, annoncé par le premier ministre, beaucoup d interrogations demeurent. Dans une société de plus en plus individualiste, maintenir un système de protection

Plus en détail

Dossier à retourner avant le 23 septembre 2014

Dossier à retourner avant le 23 septembre 2014 DEMANDE DE SUBVENTION 2015 Dossier à retourner avant le 23 septembre 2014 NOM DE L ASSOCIATION : Cadre réservé aux services municipaux Date d'arrivée: 2014 Dossier complet Oui Non Nombre d'adhérents :

Plus en détail

La démocratie sociale et la participation des syndicats et des représentants des salariés aux décisions économiques en France

La démocratie sociale et la participation des syndicats et des représentants des salariés aux décisions économiques en France Conférence internationale sur le modèle social européen organisée par EURISPES et la Fondation Friedrich Ebert à Rome 10-11 mai 2007 La démocratie sociale et la participation des syndicats et des représentants

Plus en détail

Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire.

Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire. www.inami.be www.coopami.org Financement de l assurance maladie obligatoire en Belgique (les différents régimes). La question de l assurance complémentaire. Nouakchott 31 janvier 2011 Michel Vigneul Cellule

Plus en détail

Initiation à la comptabilité Hellodoc 4.56. Niveau : normal à confirmé

Initiation à la comptabilité Hellodoc 4.56. Niveau : normal à confirmé Initiation à la comptabilité Hellodoc 4.56 Niveau : normal à confirmé Ca y est, vous avez décidé de franchir le grand pas et d'utiliser cette année la comptabilité de Hellodoc. Dans HD5, il s'agit toujours

Plus en détail

La responsabilité civile et l'entreprise

La responsabilité civile et l'entreprise La responsabilité civile et l'entreprise Dans la présente rubrique, nous poursuivons notre étude de la responsabilité civile, cette fois-ci du point de vue d'un commerce ou d'une entreprise. Les questions

Plus en détail

Les exercices cliniques en ville

Les exercices cliniques en ville SOIREE INSTALLATION Les exercices cliniques en ville Dr Philippe Renard URPS médecins 27 juin 2012 Hôtel Scipion Les exercices cliniques en ville 1. OU? 2. QUAND? 3. COMMENT? 4. COMBIEN? www.soignereniledefrance.org

Plus en détail

Le rôle du syndic. Introduction

Le rôle du syndic. Introduction Le rôle du syndic Introduction Le syndic constitue un concept nouveau dans la société marocaine. Il est apparu avec l apparition de la copropriété. Celle ci a été régie pendant longtemps par le Dahir de

Plus en détail

M. Lacabarats (président), président SCP Lyon-Caen et Thiriez, SCP Masse-Dessen, Thouvenin et Coudray, avocat(s)

M. Lacabarats (président), président SCP Lyon-Caen et Thiriez, SCP Masse-Dessen, Thouvenin et Coudray, avocat(s) Références Cour de cassation chambre sociale Audience publique du mercredi 9 juillet 2014 N de pourvoi: 13-17470 Publié au bulletin Cassation partielle M. Lacabarats (président), président SCP Lyon-Caen

Plus en détail

à Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information

à Mesdames et Messieurs les Agents Comptables Médecins Conseils Régionaux Chef de service Pour information CIRCULAIRE CIR-2/2012 Document consultable dans Médi@m Date : 03/01/2012 Domaine(s) : gestion des prestations en nature à Mesdames et Messieurs les Directeurs CPAM CARSAT UGECAM CGSS CTI Agents Comptables

Plus en détail

La Mutualité Française Limousin

La Mutualité Française Limousin La Mutualité Française Limousin Un mouvement pour une santé solidaire en région 87 Haute-Vienne 23 Creuse 19 Corrèze Le mouvement mutualiste : un acteur majeur de la santé. La Fédération nationale de la

Plus en détail

EOVI MANAGER À CHACUN SA PARTITION À CHACUN SES SOLUTIONS

EOVI MANAGER À CHACUN SA PARTITION À CHACUN SES SOLUTIONS EOVI MANAGER À CHACUN SA PARTITION À CHACUN SES SOLUTIONS SANTÉ PRÉVOYANCE ÉPARGNE RETRAITE la qui renouvelle la mutuelle Dirigeants et salariés de petites structures... Vous êtes déjà nombreux à nous

Plus en détail

ACCORD RELATIF A L'EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUE

ACCORD RELATIF A L'EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUE PREAMBULE ACCORD RELATIF A L'EGALITE PROFESSIONNELLE DANS LA BRANCHE CREDIT MUTUE Dans le prolongement de la loi du 9 mai 2001 relative à l'égalité professionnelle entre les hommes et les femmes, de l'accord

Plus en détail

Séminaire d analyse économique

Séminaire d analyse économique Séminaire d analyse économique QUELLE RÉGULATION POUR LA SANTÉ? UN REGARD COMPARATIF. Bruno PALIER (chercheur CNRS au Cevipof - Sciences Po) COMMUNICATION AU SÉMINAIRE MESPI MARDI 16 NOVEMBRE 2004 Séminaire

Plus en détail

Internet Très Haut Débit : le Département a la fibre

Internet Très Haut Débit : le Département a la fibre Vendredi 29 novembre 2013 Internet Très Haut Débit : le Département a la fibre Plus de 133 millions d'euros seront consacrés dans les cinq années à venir au déploiement du Très Haut Débit sur le territoire

Plus en détail

DOSSIER LCR Editorial : c est maintenant qu il faut agir! Jean-Claude Delavigne, Rouge n 2036, 23 octobre 2003

DOSSIER LCR Editorial : c est maintenant qu il faut agir! Jean-Claude Delavigne, Rouge n 2036, 23 octobre 2003 DOSSIER LCR Editorial : c est maintenant qu il faut agir! Jean-Claude Delavigne, Rouge n 2036, 23 octobre 2003 Selon le président de la Mutualité Française, les cotisations des mutuelles augmenteront de

Plus en détail

CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015. entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ,

CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015. entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ, CONVENTION TRIENNALE D OBJECTIFS POUR LES QUARTIERS POPULAIRES 2013 / 2015 entre LA MINISTRE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTÉ, LA MINISTRE DÉLÉGUÉE AUX PERSONNES AGÉES ET A L AUTONOMIE, LA MINISTRE

Plus en détail

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon

L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon L hôpital dans la société. L expérience du CHU de Paris, l AP HP. Pierre Lombrail, Jean-Yves Fagon Colloque Santé et Société Quels déterminants de santé et quel système de soins pour la santé de toute

Plus en détail

SYNTHESE DE LA REFORME RETRAITE SUPPLEMENTAIRE, PREVOYANCE ET MUTUELLE

SYNTHESE DE LA REFORME RETRAITE SUPPLEMENTAIRE, PREVOYANCE ET MUTUELLE SYNTHESE DE LA REFORME RRAITE SUPPLEMENTAIRE, PREVOYANCE MUTUELLE La loi Fillon du 21 août 2003 modifie les dispositions fiscales et sociales des régimes de santé et de prévoyance, ainsi que de retraite

Plus en détail

LE SAVIEZ-VOUS 1) LA C.S.C.A.

LE SAVIEZ-VOUS 1) LA C.S.C.A. LE SAVIEZ-VOUS Etre adhérent du Sycaest, c est bien entendu bénéficier de nombreux services et prestations. Mais c est aussi participer au financement de la Chambre Syndicale des Courtiers d Assurances

Plus en détail

Statuts de l'association «CAP ou pas cap?»

Statuts de l'association «CAP ou pas cap?» Statuts de l'association «CAP ou pas cap?» Préambule L'éclosion et la multiplication des actions citoyennes participatives et décentralisées constituent un formidable terreau démocratique. Une nouvelle

Plus en détail

Archives et protection des données personnelles

Archives et protection des données personnelles Cet article est paru initialement dans la Revue Lamy Droit de l'immatériel, RLDI 2013/95, n 3177 Pour citer cet article : Françoise Banat-Berger, «Archives et protection des données personnelles», RLDI

Plus en détail

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs?

Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Que peut nous apporter une réflexion sur nos désirs? Problématique : La difficulté lorsque vous vous trouvez face à un tel sujet est de confondre le thème avec le problème du sujet. Ici le thème était

Plus en détail

Petite enfance : des droits pour ouvrir à la citoyenneté?

Petite enfance : des droits pour ouvrir à la citoyenneté? Petite enfance : des droits pour ouvrir à la citoyenneté? Introduction Dans un monde où chacun perçoit l autre comme une menace dès lors qu il transgresse les codes et rites sociaux, où il est difficile

Plus en détail

Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement

Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement Contribution des composantes et des directions aux charges communes de l établissement (Les renvois à des diapositives sont en référence au PPT présenté lors du CA et de la réunion des directeurs de composantes)

Plus en détail

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers

Maisons de Santé Pluridisciplinaires. Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Maisons de Santé Pluridisciplinaires Conditions d éligibilité à des soutiens financiers Les maisons de santé pluridisciplinaires (MSP) visent à offrir à la population, sur un même lieu, un ensemble de

Plus en détail

La prise en charge de votre affection de longue durée

La prise en charge de votre affection de longue durée La prise en charge de votre affection de longue durée Édition 2012 LA PRISE EN CHARGE DE VOTRE AFFECTION DE LONGUE DURÉE Sommaire Votre protocole de soins en pratique p 4 Comment êtes-vous remboursé? p

Plus en détail

Robert LAUNOIS (1-2) (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet : http://www.reesfrance.

Robert LAUNOIS (1-2) (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet : http://www.reesfrance. «QUELS RÔLES RESPECTIFS POUR LES DIFFERENTS ASSUREURS DE SANTE EN FRANCE?» Robert LAUNOIS (1-2) (1) REES France - 28, rue d Assas - 75 006 Paris Email : reesfrance@wanadoo.fr - Site Internet : http://www.reesfrance.com

Plus en détail

Comment faire plus d'argent cet été!

Comment faire plus d'argent cet été! Comment faire plus d'argent cet été! Je vais prendre ça vraiment cool cet été. Le 23 juin, je me retire à la campagne. Je vais prendre de longues vacances. Des vacances au cours desquelles je ferai du

Plus en détail

Livret 2. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire

Livret 2. Mise à jour février 2008. Département Tertiaire Déterminer mes choix juridiques Livret 2 Les modes d hébergement aidés de l entreprise Mise à jour février 2008 Département Tertiaire Avertissement au lecteur Le présent fascicule fait l'objet d'une protection

Plus en détail

UN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE

UN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE DOSSIER DE PRESSE 24 OCTOBRE 2014 UN NOUVEAU DEPART POUR LA LMDE «Le régime étudiant comme pilier d une politique de santé des jeunes» CONTACT PRESSE LISA RIBEAUD 06 15 86 43 41 lribeaud@unef.fr presse@unef.fr

Plus en détail

http://www.apce.com/pid1627/comparaison-rapide.html?espace=1

http://www.apce.com/pid1627/comparaison-rapide.html?espace=1 Page 1 of 9 Comparaison rapide EIRL : entrepreneur individuel à responsabilité limitée : entreprise unipersonnelle à responsabilité limitée ( unipersonnelle) : société à responsabilité limitée SA : société

Plus en détail

Prix d'un site Internet ou e-commerce professionnel

Prix d'un site Internet ou e-commerce professionnel Prix d'un site Internet ou e-commerce professionnel Lors de vos recherches concernant le prix d'un site Internet, vous avez dû voir un peu tout et n'importe quoi. Des sites Internet (soi-disant) gratuits.

Plus en détail

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance

Prévoyance collective, assurance santé et dépendance Juin 2012 Prévoyance collective, assurance santé et dépendance La Comarep vient de publier un état des lieux de la protection sociale complémentaire des branches à fin 2011. C est l occasion d en tirer

Plus en détail

Association ou Fondation, Quelles différences?

Association ou Fondation, Quelles différences? Association ou Fondation, Quelles différences? Préambule Il peut arriver que pour mener à bien des projets nécessitant des moyens importants, il soit conseillé de créer une structure ayant une personnalité

Plus en détail

Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données

Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données www.coopami.org Le Data WareHouse à l INAMI Exploitation des données TUNIS 17 décembre 2013 Michel Vigneul Conseiller Actuaire PLAN de l exposé : Partie 1 : Contexte général du système de remboursement

Plus en détail

Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire

Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Une loi de reconnaissance de l'economie Sociale et Solidaire Ensemble, Entreprendre Autrement 1 1. Principes, périmètre et bonnes pratiques : ce que dit la loi Ensemble, Entreprendre Autrement 2 Des principes

Plus en détail