Rapport post-intervention WASH RRM Site de déplacé Kaga Bandoro RCA, Kaga Bandoro
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- Angèline Bureau
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1 AAAAAA Rapport post-intervention WASH RRM Site de déplacé Kaga Bandoro RCA, Kaga Bandoro Déplacement des populations autour de la Minusca et piste de l aérodrome suite aux attaques du 12 octobre. Date d intervention RRM : du 18/10/2016 au 17/11/2016 1
2 Table des matières Contexte... 3 Donnees de population... 3 Situation securitaire... 3 Réponse EHA... 6 Coordination de la réponse... 6 Accès à l eau... 6 Assainissement Participation communautaire et sensibilisation aux bonnes pratiques Distribution de kit NFI aux victimes de VBG : Stratégie de sortie : Conclusions
3 Contexte Le 12 octobre 2016, des éléments armés GSA ont attaqué le sud de la ville de Kaga Bandoro et les axes périphériques (Botto, Ouandago, Grevai) provoquant la fuite des civils. Ce même jours, ces éléments GSA ont incendié le site de déplacés de l évêché Kaga Bandoro (environ 700 personnes). L ensemble des populations déplacées par ces attaques ont trouvé refuge aux abords directs de la base MINUSCA de Kaga Bandoro, créant de facto un site de déplacés estimé à individus. Aucun mouvement de retour vers les quartier/village d origine n a été observé durant la période d intervention (du 18/10/2016 au 19/11/2016). Du fait de ces violences, aucun acteur présent à Kaga Bandoro ne s est positionné pour apporter une réponse EHA d urgence au sein de ce site. Afin de combler ce gap, le RRM-SI s est déployé en urgence assurant ainsi la couverture des besoins EHA de base des déplacés. DONNEES DE POPULATION Les données provisoires de l enregistrement mené par le HCR présentent les chiffres suivants 1 : Site MINUSCA : 6233 ménages de personnes Site Bamou 536 ménages de 1590 personnes Site Kando (centre de formation avec son propre forage à priori) : 110 ménages de 301 personnes Récapitulatif général : 8124 ménages de personnes. Durant cette intervention, l équipe SI-RRM /Echelle a assuré une assistance EHA d urgence bénéficiant aux déplacés des sites MINUSCA et BAMOU soit personnes. SITUATION SECURITAIRE Durant la période d intervention, la situation sécuritaire est demeurée volatile dans la ville de Kaga bandoro, les axes périphériques ainsi que sur le site de déplacé MINUSCA. Insécurité dans la partie sud de Kaga. Tirs, braquages (ONG, UN, civils), hommes en arme et alcoolisés surtout le week-end. Impact sur les activités RRM : Limitation de la capacité d intervention de l équipe : activités réduites en milieu d après-midi (arrêt à 15h le week-end), obligation de déplacement par 2 hors zone 3, impossibilité de retour à la base SI et donc de faire venir plus de membres de l équipe RRM Insécurité sur les axes menant à Kaga. Le 29/10/2016, un convoi protégé par la Minusca (à Dissikou et à Sibut) a été attaqué. Impact sur les activités RRM : acheminement logistique compromis 1 Données présentées en réunion CCCM du 1 er novembre
4 Omniprésence d un sentiment de danger imminent pour les populations déplacées ayant trouvé refuge autour de la Minusca/piste d atterrissage. Ce sentiment a été exacerbé par de multiples rumeurs, coup de feu la nuit, «patrouille» de groupes d auto-défense le soir. La grande crainte de la population ce sont les éventuelles représailles après chaque altercation entre musulman/chrétien. Impact sur les activités RRM : le 25/10/2016, le passage à tabac d un jeune musulman a donné lieu à une montée diffuse de la peur de vengeance au sein du site de déplacés, un mouvement de foule s en est ensuivi donnant lieu au retrait préventif de l équipe RRM en pleine activité de water trucking. Ce retrait rapide ne laissant que des journaliers inexpérimentés sur le terrain a conduit à la destruction de la plateforme du bladder Impact sur l assistance humanitaire en général : la grande majorité du personnel qualifié à fui la ville, surtout pour Bangui. 4
5 Zone d installation 5 dite «Bamou» Zone d installation 1 Zone d installation 2 Zone d installation 4 Zone d installation 3 Frontière naturelle crée par la rivière nana et les zones marécageuses 5
6 Réponse EHA COORDINATION DE LA REPONSE Cette réponse, menée par l équipe SI-RRM (8 personnes) s est fondée sur une mutualisation des capacités des différents acteurs présents sur place et souhaitant participer à l assistance humanitaire de base. Elle a été menée avec le support de : UNICEF/ANEA : Soutien à la coordination, mise à disposition de matériel et suivi des forages Echelle-Appui au développement : mise à disposition de 3 membres pour le support de l équipe RRM CICR : mise à disposition de la pompe immergée du site de l Evêché/passation des activités après 1 mois d intervention RRM OIM : mise à disposition ponctuelle de travailleurs pour des travaux communautaires IRC : Coordination pour la distribution de kits NFI aux femmes victimes de VBG Caritas : prêt de matériaux pour la réalisation des ouvrages Minusca : mise à disposition de containers pour point de desserte en eau potable ACCES A L EAU 1. Stratégie de mise en oeuvre Avec peu de données de population fiables au lancement de l intervention, l équipe RRM-SI s est basée sur des analyses terrain et des rencontres communautaires pour cartographier l accès à la ressource en eau potable selon les différentes zones d habitation des déplacés. Il en est ressorti le diagnostic suivant : Zone 1 : Accès acceptable aux forages et puits fonctionnels des quartiers et du site de l Evêché Besoin de sécuriser les pompes, assurer la gestion du point d eau et sécuriser la qualité de l eau des puits. Zone 2 : Dans les premiers jours après le déplacement, accès à de l eau potable par approvisionnement de la Minusca, mais arrêté autour du 23 après endommagement de leur citerne. Depuis, accès compliqué aux forages des quartiers (éloignement et pression sur les points d eau de la zone 1). Besoin d un nouveau point d eau potable Zone 3 et 4 : Accès à la rivière et à un puits traditionnel non protégé dans les premiers jours, puis développement des «puits» privés (la nappe était par endroit à 50 cm de profondeur). Cette zone est aussi celle qui s est densifiée et étendue au fur et à mesure des arrivées et des mouvements internes au site (regroupement, changement de parcelles.) Besoin de sécuriser la qualité de l eau du puits traditionnels, de mettre en place un point d eau potable. Zone 5 : Accès à des émergences d eau non protégées Besoin de sécuriser la qualité de l eau. La mise en œuvre de cette stratégie de réponse s est articulée autour de 3 types d activités : 6
7 A- Sécurisation des forages accessibles par les déplacés Cette sécurisation a été assurée par l ANEA/UNICEF durant toute la période d intervention. Elle a consisté en la maintenance quotidienne et le contrôle de l usage de 7 forages accessibles par les déplacés dans les quartiers Mambeya et Tipoyeur, ainsi qu au niveau du site incendié de l Evêché. Chaque forage distribuait en moyenne litres par jour, soit litres d eau potable fourni en moyenne par jour par ces points d eau. B- Amélioration de la qualité de l eau disponible L équipe SI-RRM/Echelle a mise en place 6 points de chloration sur des points d eau présentant des risques majeurs de contamination et utilisés par les déplacés pour tous les usages. Ces points de chloration étaient: - Zone 1 : Puits traditionnel Banganga dit «de Papa», Puits CICR Ecole Bâche - Zone 3 : Puits traditionnel dit «Maman Angèle» - Zone 5 : Source non protégée Bamou - Quartier Mambeya : Puits CICR «Amady», puits dit «Maman Ouikon» Les données récoltées par les agents RRM M&E au niveau des 6 points de chloration révèlent une moyenne de 102m3 de litres d eau chlorée par jour (17m3 en moyenne par point de chloration par jour). Chloration au puits traditionnel Baganga - Zone 1 7
8 C- Augmentation de la quantité d eau potable disponible via Water trucking Dans un premier temps, l équipe RRM-SI a mis en place 2 aires de puisage en eau potable alimentées par water trucking en Zone 2, face à la Minusca et en Zone 3 au niveau du milieu de la piste. Ces 2 zones avaient été identifiées par les équipes et les leaders communautaires comme les zones avec le plus faible accès à de l eau propre à la consommation. Chaque aire de puisages était constituée de : Une plateforme surélevée pour citerne souple 10m3 2 rampes de distribution de 6 robinets 2 puits perdus destinés à l évacuation des eaux Cette eau était pompée et chlorée au niveau du puits CICR du site de l Evêché et acheminée par 2 camions privés sous contrat avec SI, équipés chacun d une citerne souple de 10 m3. L eau étant ensuite stockée au niveau des plateformes surélevées pour desservir les bénéficiaires. Avec l arrivée de la saison sèche, les émergences utilisées par la population du site Bamou (zone 5) ont partiellement tari. Une distribution d eau à partir du camion a été mise en place de manière quotidienne afin de préserver la disponibilité en eau dans cette zone. Débutée le 24 octobre, cette activité a permis une desserte d en moyenne litres d eau propre à la consommation supplémentaire par jour (dont litres en moyenne du 1 er au 17 novembre). Installation de la plateforme container - zone 2 (Photographie de l infrastructure finalisée en page de couverture) 8
9 Dans le cadre de cette activité, les équipes RRM-SI ont organisé deux jours de nettoyage des récipients d eau les 14 et 15 novembre aux abords des aires de puisage water trucking. 2- Conclusion Du fait de l intervention RRM, l espace sur lequel sont venus chercher refuge les déplacés a été rendu plutôt favorable en termes d accès à l eau. L accès aux forages et puits améliorés des quartiers avoisinants, la bonne qualité de production du puits et de la pompe immergée du CICR au niveau du site de l Evêché et la courte distance à parcourir pour assurer la desserte par water trucking, ont permis d assurer et ceux malgré une capacité opérationnelle très limitée (RH et logistique), une disponibilité en eau propre à la consommation de 207m3/jour (avec une moyenne de 223m3 entre le 1 er et le 17 novembre). Selon les données de dénombrement provisoires du HCR ( personnes) cette intervention a donc permis d assurer une disponibilité en eau propre à la consommation de 10,8 litres/personne/jour. Activités Nombre de Litres/jours Points de chloration Water trucking Forage (maintenus par ANEA) Nombres de bénéficiaires Nombres de litres/personne/jour Total Aire de puisage Water trucking - zone 3 9
10 ASSAINISSEMENT 1. Stratégie de mise en œuvre Dès l arrivée de l équipe RRM-SI sur place, les besoin en solution d hygiène et d assainissement se sont révélés critiques. De plus, SI a dû faire face à plusieurs obstacles à savoir : Zone 1 : La forte densité des abris sur cette zone rendait la construction de blocs de latrines douche impossible, nécessitant une forte mobilisation communautaire afin de dégager des espaces d assainissement. Zone 3 et 4 : la nappe d eau de surface a été atteinte à 1,5m de profondeurs, rendant la profondeur de la fosse et la durée de vie de la latrine limitée. Approvisionnement : en raison des problématiques sécuritaires, la disponibilité de bois dans la ville de Kaga s est avérée réduite. De plus, l insécurité sur les axes rendait l approvisionnement de matériaux depuis Bangui quasi-impossible. A- Latrines et douches Les blocs de latrine ont été construits selon un design d urgence avec fosses non vidangeables et superstructure bois et bâches. Superstructure de latrine d urgence avant la pose de bâche 10
11 Dans la mesure du possible l équipe négociait avec la communauté la sécurisation d espace permettant la réalisation d espace hygiène complet à savoir : - 2 voire 3 blocs de 5 portes de latrines (femme, enfants, homme), - 2 blocs de 5 portes de douches (femmes, hommes). Chaque bloc de latrines était équipé d un lave main avec savon et entretenu par un/une hygiéniste chargé du nettoyage des blocs et de répartir les messages de bonne utilisation des ouvrages (remise en place des bouchons, lavage des mains après la latrine, usage de la bonne latrine/douche en fonction du genre etc ). Les blocs de douches suivaient également un design d urgence en bois et bâches avec remblais et bâche au sol. Un canal de drainage avec puits perdu était construit à l arrière de chaque bloc. Pour pallier à la pénurie de bois, les équipes RRM ont réalisé un design de douche sans toit. Au terme de l intervention, l équipe RRM-SI/Echelle avait réalisé 85 portes de latrine et 55 portes de douche répartis comme suit : Zone 1 : 20 latrines (5 femmes, 5 hommes, 5 enfants, 5 mixtes) et 15 douches (5 hommes, 5 femmes, 5 mixtes) Zone 3 : 30 latrines (15 hommes, 15 femmes) ces latrines ont une durée de vie très limitée car les fosses sont à 1,50 mètres (zone marécageuses). Zone 4 : 25 latrines (10 femmes, 10 hommes, 5 UNICEF) Zone 5 : 10 latrines (5 femmes, 5 femmes) B- Assainissement environnemental L équipe SI-RRM a débuté une stratégie d assainissement de l environnement avec identification des zones à risque, des types de risques et proposition d intervention. Les zones où la défécation à l air libre constituait un risque majeur (proche des points d eau) ont été identifiées et des activités de nettoyage rémunéré ont été entreprises. De plus, une communication constante avec les leaders communautaire sur les zones à risques en termes de défécation à l air libre ainsi que la nécessité de transmettre les messages a été assurée par l équipe RRM-SI. 11
12 Travaux de drainage et désengorgement des puisards par le comité de gestion du point d eau (Puits réhabilité par le CICR au niveau de l école bâche).prêt de matériel SI. Conclusion En dépit de moyen limités en termes de ressources humaines et logistique, l intervention RRM-SI a permis une amélioration significative de la couverture sanitaire de ce site. Celle-ci demeure insuffisante malgré cette progression, avec un ratio de 223 personnes/porte de latrine (standard urgence : 50 personnes /porte). La non atteinte de ces standard s explique notamment par : La non disponibilité/difficulté d approvisionnement en bois sur le site Le manque d espace disponible pour l implantation d ouvrage d assainissement La durée réduite de cette intervention RRM (1mois). Cependant, la mise en place de canaux de communication avec les leaders ainsi que l implication communautaire adoptée par SI lors de cette intervention (sécurisation des espaces, plaidoyer auprès des communautés) facilitera l implantation à court termes d infrastructures d assainissement par l acteur EHA en charge du site. 12
13 Répartition par genre et par zone des infrastructures sanitaires : Zone du site Genre porte latrine porte de douche Zone 1 Zone 3 Zone 4 Zone 5 femme 5 5 enfant 5 0 Homme 5 5 mixte HF 5 5 homme femme Unicef 5 0 homme femme homme 5 0 femme 5 0 Total Bloc de latrine 5 portes avec hygiéniste et kit de maintenance 13
14 PARTICIPATION COMMUNAUTAIRE ET SENSIBILISATION AUX BONNES PRATIQUES 1. Mobilisation communautaire L intervention a débuté par la tenue d une réunion communautaire impliquant 37 chefs de site/quartiers/villages identifiés par les équipes SI-RRM/Echelle. Cette réunion a permis de présenter l équipe, les capacités et stratégies d intervention en eau, hygiène et assainissement tout en leur demandant leur soutien et implication pour libérer des espaces et faire passer les messages. La réunion a été fortement appréciée par ces leaders et a permis à plusieurs reprises leur mobilisation pour sécuriser des espaces. Réunion le 20 octobre avec tous les chefs identifiés par l équipe pour présentation de notre capacité d intervention et demande de soutien. 2. Information communautaire Communication de masse au mégaphone pour : Info sur les points d eau disponibles, les horaires ouvertures et fonctionnement Info sur les ouvertures de nouveaux blocs de latrines ou douche 14
15 3. Promotion de l hygiène Discussions de groupe centrées sur la gestion sécurisée des excrétas. Sensibilisation au niveau des ouvrages focalisée sur la bonne utilisation 15
16 Sensibilisation des enfants via l organisation de jeux sur le thème de l hygiène et du lavage des mains : Au total, 10 séances ont été organisées, permettant de sensibiliser 617 enfants au lavage des mains et aux règles d hygiène via des activités ludiques. DISTRIBUTION DE KIT NFI AUX VICTIMES DE VBG : Pour des raisons de capacités et de protection, l option d une distribution générale de kit NFI auprès des déplacés du site MINUSCA/Bamou n a pas été retenue par l équipe RRM- SI. Au regard de la situation, un ciblage des ménages les plus vulnérables en terme NFI ne s avéraient pas non plus pertinents (risque de ciblage de ces ménages, incompréhension des critères de sélection etc ). Néanmoins, le RRM-SI en collaboration avec l acteur protection IRC a positionné des kits NFI dans les centres d écoutes pour femmes victimes de VBG. Ces centres gérés par IRC ont donc reçus 50 kits NFI constitués comme suit : 1 couverture 1 Natte 1 kit cuisine 1 seau de 20 litres avec robinet et couvercle 1 jerrycan souple de 10litres 4 savons de 200grammes 16
17 A la fin de l intervention, 10 kits avaient été distribuées à des femmes victimes de VBG et prise en charge au niveau du centre d écoute. Au regard du contexte, cette modalité de distribution via les centres d écoute s est avérée la plus pertinente, mitigeant les risques en terme de protection des bénéficiaires par l adoption d un critère de vulnérabilité aigue et concret (Femme victime de VBG soutenue par le centre d écoute). STRATEGIE DE SORTIE : Véhicule IRC lors du transport des kits NFI destinés aux femmes victimes de VBG. Dès les premiers jours de son intervention, l équipe RRM-SI a développé une stratégie de sortie des activités. Pour ce faire, SI est resté en contact constant avec le CICR afin de permettre une reprise des activités assurées par le RRM au terme de l intervention. L équipe Wat Hab CICR et l équipe RRM-SI ont organisé la passation de l ensemble des activités EHA durant la dernière semaine d intervention. Dans le cadre de cette passation, SI a tenu à intégrer les leaders communautaires présents sur le site. Une réunion de passation a donc été organisée en présence du CICR le 16/11/2016 afin d aborder notamment : - Le rappel du mandat RRM et les raisons de la passation - Le bilan des activités menées durant la période d intervention - La facilitation de la prise de contact entre le CICR et les leaders communautaires. 17
18 Réunion de passation des activités EHA en présence de SI, CICR et des leaders communautaires Conclusions L intervention RRM menée par SI en collaboration avec ECHELLE a permis d améliorer drastiquement les conditions EHA sur ce site à savoir : Accès à l eau : 10,4 litres/jours/personnes d eau propre à la consommation Assainissement : Construction de 85 portes latrines et 55 portes douches Sensibilisation de masse aux pratiques d hygiène en lien avec les risques de maladies hydriques La coordination entre les acteurs présents à Kaga bandoro ainsi que la mise en place d une stratégie de sortie à court terme ont été des facteurs prépondérant dans l efficacité de cette intervention tout en permettant de demeurer dans le cadre stricte du RRM. De manière générale, les déplacés interrogés sur le site déclarent ne pas avoir l intention de rentrer dans leur quartiers/villages tant que la situation sécuritaire ne sera pas stabilisée. La présence du CICR permettra de maintenir et d améliorer les conditions EHA dans ce site à moyen terme. 18
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