Union des Comores. Consultation nationale en préparation à la Conférence Régionale de l Afrique subsaharienne sur l Agenda pour l Education Post-2015
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- Liliane Boisvert
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1 Union des Comores Consultation nationale en préparation à la Conférence Régionale de l Afrique subsaharienne sur l Agenda pour l Education Post-2015 RAPPORT 5 février 2015
2 Introduction Suite à la convocation et à la nécessité de préparation de la Conférence de Kigali, les acteurs et les partenaires de l Education aux Comores se sont réunis pour préparer le présent rapport des Comores à la dite conférence. La scolarisation universelle est une priorité pour les Comores à l instar des autres pays de l Afrique Subsaharienne. Elle cadre parfaitement avec la Stratégie de Croissance Accélérée du Développement Durable (SA2D) des Comores pour la période 2015/2019. Pour ce faire, le pays, avec l appui de ses partenaires, a mis en œuvre des activités liées aux objectifs du cadre d action de Dakar, en vue de l échéance de Le diagnostic réalisé en 2012 de type RESEN a révélé quelques progrès accomplis tant au niveau de l accès, de la qualité, de l achèvement et de la gestion du secteur. Toutefois, les défis à relever restent encore de taille pour l universalisation de l enseignement primaire, et cela en dépit des sacrifices consentis par les gouvernements et les différents partenaires pour le développement du secteur. C est dans ce contexte qu un Plan Intérimaire de l Education (PIE) 2013/2015 a été élaboré et adopté en Sa mise en œuvre permet de renforcer les capacités du système dans sa globalité, ainsi que l élaboration des nouvelles orientations stratégiques à travers le plan sectoriel complet de l éducation à l horizon Ces orientations constituent une référence des efforts à conduire dans le secteur pour les prochaines années et un outil de plaidoyer permettant au secteur de s inscrire dans une dynamique de coordination des interventions de ses différents partenaires dans le cadre du Partenariat Mondial pour l Education (PME) pour l atteinte des objectifs de l EPT que le pays s est fixé d ici Ce rapport est le résultat des réflexions issues de la consultation nationale sur les problèmes et défis majeurs du secteur, sous le leadership et la coordination active du Ministère de l Education Nationale, en collaboration avec les Commissariats en charge de l Education des Iles Autonomes, les partenaires techniques, sociaux et financiers. I. Cibles proposées pour l agenda de l éducation post-2015 dans le cadre des défis et priorités nationaux en éducation: points de vue et opinions des parties prenantes nationales Le RESEN constitue la base à partir de laquelle est fondée la vision à moyen terme (horizon 2020) pour relever les défis identifiés dans le diagnostic, notamment en matière d efficience, et de progression significative vers l objectif de l EPT ; notamment l universalisation de l enseignement primaire (que le pays propose d atteindre un taux net de scolarisation de 95% en 2020) ; la scolarisation de qualité aux différents niveaux, les types d enseignement qui correspondent le mieux possible aux besoins du développement économique et social du pays. 5 février 2015 Page 2
3 Ces orientations stratégiques du pays en matière d EPT s inscrivent dans une approche résolument sectorielle, de convergence entre les atouts internes du système éducatif, de développement des capacités, d accroissement de l égalité des chances (accorder une attention particulière aux efforts visant à éliminer toutes les formes de discrimination entre filles et garçons), jusqu à la gestion optimale de l aide au développement. Elles sont déclinées sous forme d objectifs stratégiques pour les sept sous-secteurs qui doivent concourir à la réalisation de la politique nationale de l éducation tracée d ici à 2020 dont les principaux objectifs sont de: - progresser vers l atteinte des objectifs de l EPT et des OMD, - créer les conditions d optimisation des ressources allouées à l éducation, - améliorer la gestion et le pilotage basé sur les résultats. Ces orientations seront réalisées à travers les axes stratégiques d intervention suivants comme convenu avec toutes les parties prenantes: Cible n 1: - Accroitre la couverture au préélémentaire via la formule des classes d enseignement coraniques rénovées (ECR) ; - Améliorer la prise en charge des enfants de 0 à 3 ans à travers l éducation parentale. - Progresser vers l achèvement universel de qualité d ici 2020 (améliorer l accès en ciblant notamment les enfants souffrant de handicap, la qualité des enseignements et des apprentissages à travers le renforcement des capacités de l encadrement pédagogique et le pilotage par des tests standardisés, ainsi que la production des manuels scolaires). - Prioriser les populations vulnérables Cible n 2: - Progresser vers l achèvement universel autant qu il est possible d ici Agir sur la demande (accès et rétention/ciblage) - Réduire la fréquence des redoublements (cycle, évaluation/remédiation) - Renforcer l égalité de chance et d inclusion de la fille et du garçon à l école - Accroitre le taux de réussite et réguler le taux de transition entre le primaire et le premier cycle du secondaire (général et professionnel) Cible n 3: - Elaborer une politique de l alphabétisation - Développer une offre d alphabétisation fonctionnelle et un dispositif postalphabétisation préprofessionnelle. - Réduire de façon significative le nombre d analphabètes de moins de 45 ans d ici Cibler prioritairement ceux qui ont moins de 35 ans, notamment les femmes Cible n 4: 5 février 2015 Page 3
4 - Elaborer une politique sous sectorielle en vue de développer une offre de formation en adéquation avec le bassin de l emploi et de structurer la formation professionnelle autour du partenariat public-privé. - Assurer la diversification des formations de sorte à ce que le plus grand nombre de jeunes sortants du système soient préparés à entrer efficacement dans la vie active - Intégrer le secteur privé dans l organisation des études et l insertion professionnelle des sortants Cible n 5: - Renforcer l enseignement de la culture de paix, des droits humains, du civisme et de la citoyenneté. - Développer l éducation au développement durable - Renforcer l éducation à la santé, notamment les risques du VHS-SIDA et les problèmes de santé publique Cible n 6: - Assurer une meilleure formation professionnalisation des enseignants et du personnel à tous les niveaux - Renforcer la formation initiale/continue des enseignants - Renforcer l encadrement et suivi des enseignants - Augmenter de façon significative les ressources de fonctionnement (pédagogiques). Cible n 7: - Les Comores disposent déjà d un plan intermédiaire de l Education financé par le Gouvernement comorien et des partenaires bi et multilatéraux. - Le pays va disposer prochainement d un plan sectoriel 2016/2020 qui viendra compléter le plan intérimaire 2013/ Le gouvernement va accroître les financements publics intérieurs à l éducation, allant de 20,4 % en 2010 à 25% en 2020, dont au moins 50% dans l enseignement primaire. Ces engagements se concrétisent en 2014 par l allocation à l Education de 28% du budget de l Etat et les avancements des salaires des enseignants. Aussi, un processus de programmation du budget du secteur est en cours, associant le Ministère des Finances et du Budget, ainsi que les Exécutifs des îles dans le cadre de l élaboration du CDMT du secteur, intégrant les questions d équité dans l éducation. II. Opérationnalisation de l agenda pour l éducation au niveau national a. Critères nationaux proposés par cible Les Comores entendent inscrire les politiques de développement dans une perspective à long terme dont l ambition des autorités politiques est de «Faire des Comores un pays émergeant d ici 2040», comme indiqué dans la Stratégie Accélérée de Développement Durable (SCA2D) pour la période 2015/ février 2015 Page 4
5 Dans cette perspective, lors de l actualisation de la simulation de la politique nationale d éducation et l élaboration du plan sectoriel 2016/2020 en cours, les acteurs et les partenaires de l éducation se pencheront sur l horizon 2030 en s inspirant du cadre global de développement durable du pays. Mais d ores et déjà suite à un RESEN de 2012, les Comores disposent des documents et des critères nationaux à travers les documents suivants: - Le plan intermédiaire de l Education La lettre de politique éducative - La note de cadrage de l Education - La stratégie de croissance accélérée de développement durable (avec un grand volet sur l éducation) b. Suggestions d exigences pour faciliter la mise en oeuvre du prochain agenda pour l éducation au niveau national (en termes de politique et de planification, de gouvernance, de coordination et de partenariats, de financement, de suivi et de responsabilité) Pour la mise en œuvre de l ensemble de toutes ces orientations, le Gouvernement comorien, à travers le Ministère de l Education Nationale a mis en place un instrument de simulation financière pour assurer les critères de soutenabilité à moyen et à long terme de la politique éducative à l horizon Cet instrument a défini un scénario de référence qui a été validé par le Gouvernement, en Conseil des Ministres, pour confirmer l engagement de l Etat Comorien à soutenir la politique éducative à l horizon Ainsi, les engagements suivants ont été pris en compte à savoir: Disposer d un plan sectoriel 2016/2020 qui viendra compléter le plan intérimaire 2013/2015; S agissant du renforcement des processus relatifs aux données et à la reddition de compte, le Gouvernement comorien se propose de: intégrer dans les Lois de finance, une ligne budgétaire sur les statistiques de l éducation, poursuivre la réforme pour la révision du mode d évaluation des élèves aux examens de fin de cycles dont les données seront analysées chaque année pour informer le grand public sur les acquis scolaires; établir un rapport annuel sur les dépenses publiques de l Etat à transmettre à l Assemblée nationale aux fins d appréciation de l action gouvernementale et de l utilisation des dépenses publiques; réactualiser le modèle de simulation financière à l horizon 2020, notamment l extension jusqu à 2030; 5 février 2015 Page 5
6 Pour le renforcement des capacités de gestion et de pilotage du système, le MEN se déploie pour : mettre en œuvre la révision de la Loi d orientation de l éducation qui date de 1994 et la mise à jour de la carte scolaire au regard du découpage communal; mettre en place un processus d acquisition des manuels scolaires; assurer la publication régulière, à travers le Ministère de l Education Nationale les documents statistiques de l éducation (Annuaire statistique, Tableau de bord et les principaux indicateurs de l Education Pour Tous). En guise d illustration les documents susmentionnés sont déjà publiés pour l année scolaire 2013/2014; renforcer la coordination des projets qui concourent à la mise en œuvre de toutes les activités relatives à l EPT; mettre en place des mécanismes d échanges sur la collaboration et la concertation avec les PTFs pour soutenir les efforts de l éducation; contribuer à une meilleure coordination et efficacité de l Aide dans le secteur en conformité avec la Déclaration de Paris sur l efficacité de l Aide; appuyer le suivi d exécution des programmes prioritaires en rendant disponibles les informations sur l état d avancement de la mise en œuvre des activités programmées dans le cadre des interventions des différents projets; mettre en place d un groupe local des partenaires de l éducation (GLPE) aux Comores pour le suivi de la mise en œuvre du PIE et la coordination des projets qui y concourent. Le groupe local des partenaires de l'éducation constitue un forum de collaboration entre les parties prenantes du secteur. Il est coordonné par le Gouvernement et comprend les partenaires au développement dans le cadre de la coopération bi et multilatérale, les syndicats d'enseignants, les encadreurs pédagogiques, la société civile et le secteur privé de l'éducation. C est dans cette dynamique que les partenaires techniques et financiers aux Comores sont impliqués dans la planification, le suivi et l évaluation des plans sectoriels de l'éducation. Ils s'assurent aussi que toutes les parties sont informées des progrès accomplis et des défis restant dans le secteur en matière d EPT; lancer un processus de mise en œuvre d un site web pour la diffusion de toutes ses données. III. Conclusions et recommandations Les Comores se trouvent en phase avec les politiques éducatives prônées au niveau régional et international. En effet, l analyse globale de la situation de l EPT aux Comores montre, qu après Dakar en avril 2000, des avancées significatives sont enregistrées et que les progrès accomplis en matière de développement du secteur sont acceptables par rapport aux objectifs nationaux. En effet, le niveau atteint en matière de couverture scolaire qui se manifeste en 2014 par un 5 février 2015 Page 6
7 taux net de scolarisation de 85%, un taux d achèvement de 69% et taux d alphabétisation (15-24 ans) de 69.1%) montre que la Scolarisation Primaire Universelle (SPU) dans notre pays peut être une réalité. Pour y parvenir, beaucoup d efforts devront être fournis avec un engagement ferme de tous les acteurs du système. C est dans ces perspectives que le Gouvernement est à pied d œuvre pour la mise en place des nouvelles orientations stratégiques de développement d une éducation de qualité pour tous en renforçant les acquis et en éliminant les insuffisances par les mesures ci-après: (i) augmenter les capacités d accueil pour assurer l accès de tous les enfants à l éducation de base; (ii) mobiliser des fonds pour accroître le financement du secteur (ressources endogènes, diaspora et nouveau partenariat extérieur); (iii) renforcer les capacités d encadrement des enseignants pour améliorer la qualité de l enseignement et des apprentissages; (iv) promouvoir des campagnes de sensibilisation des communautés visà-vis de la scolarisation de la junte féminine; (v) améliorer l environnement physique des écoles afin de retenir le maximum des filles à l école; (vi) renforcer les capacités du système d information statistique (vii) envisager une augmentation progressive de la part du budget consacré à l éducation dont au moins (50% pour l enseignement primaire); (viii) renforcer les capacités de gestion du système en vue d augmenter sa performance et son efficacité; (ix) renforcer les mécanismes de suivi/évaluation du système éducatif; (x) promouvoir l alphabétisation fonctionnelle. 5 février 2015 Page 7
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