ALCOOLOGIE. Docteur Claude Fontanarava CSAPA AUBAGNE Chef de service

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1 ALCOOLOGIE Docteur Claude Fontanarava CSAPA AUBAGNE Chef de service Les services de soins prenant en charge les conduites addictives s appellent dorénavant des : C.S.A.P.A «Centre de Soins d accompagnement et de Prévention en Addictologie.» Certains dépendent de structures médico-sociales d autres de structures hospitalières. Au niveau de Marseille, il existe plusieurs CSAPA médicosociaux (AMPTA, SOS DI, ANPAA ) et un CSAPA Hospitalier à Sainte Marguerite. En ce qui concerne l AMPTA, nous gérons trois établissements de ce type: Marseille, Martigues et Aubagne. L accueil y est anonyme et gratuit.

2 État des lieux en France Les Français restent parmi les premiers consommateurs d Europe avec 11 litres d'alcool pur par habitant et par an. (18 litres il y a 40 ans) Le mésusage d alcool concerne en France : 25% de la clientèle masculine et 10% de la clientèle féminine des médecins généralistes. 25 % des personnes hospitalisées (+ prévalence masculine). 25 % des passages aux urgences (+ prévalence masculine). 1/3 des morts sur la route = 3500 / an (+ prévalence masculine) Il est présent dans 17 à 20% des AT, 20 à 25% des suicides, 50% des rixes et violences ainsi que 55% de la criminalité. La moitié du coût social des drogues = 1,4 % du PIB annuel soit 17 milliards /an = 300 /personne et par an. Niveaux de risque OMS 3 verres par jour chez un homme soit 21 verres par semaine 2 verres par jour chez une femme soit 14 verres par semaine Jamais plus de 4 verres en une seule occasion

3 Les conduites d'alcoolisation NON USAGE Aucune consommation primaire ou secondaire Prévention primaire. Education pour la santé USAGE Consommation à faibles doses en deçà des seuils OMS et situations à risque Eviter passage vers mésusage. Prévenir risques et dommages MESUSAGE USAGE A RISQUE USAGE NOCIF USAGE AVEC DEPENDANCE Consommation à doses supérieures aux seuils OMS. Ni dommage ni dépendance. Consommation avec dommages mais sans dépendance Perte de la maîtrise de la consommation. Existence de dommages Réduction consommation. Interventions collective. Repérage précoce Interventions brèves Accompagnement et prise en charge des dommages Domaine des soins. Conférence de consensus de la SFA (mars 2001) 25cl x 4,5% 10cl x 12% 12cl x 11% 2,5cl x 45% 3cl x 40% 3cl x 40% 2,5cl x 45% CHACUN DE CES VERRES CONTIENT EN MOYENNE 10 GRAMMES D ALCOOL PUR A jeun, la consommation de 3 verres va entraîner une alcoolémie sanguine de 0,6 g/l chez un homme de 70 kg - 1 g/l chez une femme de 50 kg

4 ACTION DE L ALCOOL SUR LE SYSTEME NERVEUX CENTRAL

5 Les neuromédiateurs ALCOOL ETHANOL DOPAMINE SEROTONINE ENDORPHINES PLAISIR HUMEUR BIEN-ÊTRE Première consommation Stimulation de la Dopamine: Sensation de plaisir Stimulation de la Sérotonine: S Amélioration de l humeurl Augmentation des Endorphines: Sensation de bien-être, analgésie et sommeil Incitation à la poursuite de la consommation.

6 ACCOUTUMANCE & TOLERANCE Nécessité d augmenter les doses pour obtenir les mêmes effets. Mise en place par l organisme de mécanismes de contre régulation. Blocage des différentes stimulations entraînant, en l absence d alcool, une baisse des taux de Dopamine, Sérotonine et Endorphines Besoin impératif de poursuivre la consommation. FEMMES & ALCOOL

7 Alcool au féminin femmes buveuses excessives en France femme alcoolique pour 12 hommes 1990: 1 femme alcoolique pour 3 hommes 30 % des femmes n ont jamais bu d alcool 30 % boivent régulièrement 40 % boivent à l occasion. Conduites d alcoolisation différentes des hommes A consommation égale, alcoolémie plus élevée Recommandations OMS pour la consommation d alcool chez la femme Usage régulier: pas plus de 14 verres par semaine soit deux verres par jour Usage ponctuel: pas plus de 4 verres par occasion En cas de grossesse, PAS DE CONSOMMATION D ALCOOLD

8 Alcoolisation maternelle et fœtale Première cause de retard mental d origine non génétique 1% des naissances en France chaque année. Soit 6800 enfants! Pronostic à long terme lié aux troubles du développement neurocomportemental Femmes enceintes & alcool En 2000, 3.9 % des femmes enceintes déclaraient continuer à boire un verre d alcool par jour. Enquête en maternité 5 % des femmes ont consommé au moins un verre d alcool / jour durant leur grossesse USA: 18.6 % d abus d alcool durant la grossesse Il n existe aucun seuil défini de dangerosité. Principe de précaution: Grossesse=alcool 0

9 Points essentiels Seulement 30 % des femmes n ont jamais bu d alcool et 5 % des femmes de 18 à 24 ans boivent plus de 3 verres / jour. En néonatal, évoquer le SAF devant un retard de croissance, un petit périmètre crânien La valeur-seuil de consommation d alcool pour les troubles neurocomportementaux n est pas fixée précisément. En conséquence: L objectif «jamais d alcool au cours de la grossesse» est l objectif à défendre chez la femme enceinte ALCOOL & ADOLESCENCE

10 Pourquoi l alcool a-t-il une place particulière cet âge? Curiosité et goût du risque Recherche de sensations inédites, nouvelles limites, déshinibition. L obsession de l ivresse avec déni du danger. Culte de la «performance». Autonomisation Se détacher des parents. S identifier à un groupe, être conforme, approcher des sensations «adultes». Fragilité psychique Alcool thérapeutique. Attention «à l arbre qui cache la forêt». Impact important d Internet. Blogs «alcool». Comble l oisiveté. TROIS GRANDS TYPES FESTIVE Visée euphorisante, en groupe. Généralement occasionnelle. Autres activités maintenues. Danger si répétition trop fréquente ou dérapage dans la quantité ingérée. Information nécessaire. AUTOTHERAPEUTIQUE Recherche de soulagement. Consommation souvent solitaire avec troubles du sommeil. Décrochage scolaire, repli sur soi. Passage collège lycée mais parfois plus précoce. PEC psychothérapeutique. TOXICOMANIAQUE Consommation quotidienne voire pluriquotidienne. Mélanges avec ivresses répétées. Recherche d anesthésie, de défonce. Poly toxicomanie souvent associée. Risques majeurs psychologiques, physiques et sociaux. PEC hospitalière.

11 Conséquences Très peu de prise de conscience de la part des ados. RISQUES IMMEDIATS: AVP En France les ans représentent 19% de la population mais 25% des morts sur la route et 30% des blessés. VIOLENCES 11% des ados déclarent avoir été plus agressifs et 6% déclarent avoir eu des problèmes avec la police. BLESSURES ET TRAUMATISMES Bagarres ou prise de risques inconsidérée. COMPORTEMENT SEXUEL A RISQUE Augmentation de la prévalence des MST et des IVG DIFFICULTES SCOLAIRES 8% des ados qui consomment. SUICIDE x 2,7 2 cause de décès chez les ans RISQUES A MOYEN ET LONG TERMES DEPENDANCE D autant plus fréquente que l âge de la première consommation est précoce. COMAS Depuis 2003 augmentation de la prévalence des ivresses pathologiques et des comas chez les 14/18 ans de 20% aux urgences. Séquelles sur les fonctions cognitives souvent indétectables dans l immédiat mais toujours présentes et risque de décès (Inhalation, troubles du rythme). DEPRESSION, TROUBLES PANIQUES OU ANXIEUX Problématiques souvent sous estimées car peu de verbalisation. ALTERATION DES CIRCUITS NEURONAUX. Perturbation de la neurogénèse et destructions neuronales au niveau du cortex pré frontal et des circuits dopaminergiques même avec de faibles quantités d alcool. (Crew & al. 2000). Diminution du volume de l hippocampe avec troubles de la mémoire et de l apprentissage. (De Bellis & al.2000). Altération des fonctions sérotoninergiques (5 HT) entrainant des troubles de l humeur( Monti & al. 2005). Danger du «Binge-drinking» car les dégâts sont proportionnels aux quantités ingérées. (White & Schwartzwelder 2004)

12 MERCI DE VOTRE ATTENTION

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