LA CONNAISSANCE ET L UTILISATION DE LA REHYDRATATION ORALE PAR LES MERES DES ENFANTS DE 12 A 23 MOIS DANS LE DEPARTEMENT DU NOUN (CAMEROUN) EN MAI
|
|
- Norbert Baril
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 LA CONNAISSANCE ET L UTILISATION DE LA REHYDRATATION ORALE PAR LES MERES DES ENFANTS DE 12 A 23 MOIS DANS LE DEPARTEMENT DU NOUN (CAMEROUN) EN MAI 1988 E.R. VAN DER GEER*, J. PRATS RESUME Pour prévenir la déshydratation par diarrhées les solutions ménagères et les sachets de réhydratation par voie orale (SRO) sont promus dans les pays en voie de développement. A l aide d un sondage par grappes nous constatons que dans le Département du Noun, Cameroun, la connaissance et l utilisation de la réhydratation par voie orale ne sont pas encore bien répandues ; deux tiers des mères des enfants de 12 à 23 mois disent savoir préparer une solution ménagère, un tiers connait la composition de la solution ménagère eff i c a c e pour prévenir la déshydratation, 23,2 % (re ) c o n n a i s - sent les SRO et 15,5 % les ont utilisés. Pour litre la moitié des interviewées donnent une quantité de 910 à 1100 cc ; la variance est entre 310 et 2000 cc. Dans la vulgarisation de la RVO il est nécessaire de mettre - hormis la quantité de sel et de sucre - également l accent sur la quantité d eau afin de préparer une solution efficace. Vu la connaissance médiocre de la solution ménagère et la grande variation de sa composition, nous préférons dans la région d étude mettre l accent sur les SRO dans la lutte contre les maladies diarrh é i q u e s. Comme neuf concessions sur 10 disposent d une bouteille de 67 cl, il est souhaitable d avoir les SRO pour 67 cl à la disposition de la population. Mots clés : Thérapie de la réhydratation orale, solution ménagère, sachets de réhydratation par voie orale, Cameroun. INTRODUCTION Les maladies diarrhéiques comptent, avec la rougeole et les infections respiratoires, parmi les trois premières causes de mortalité infantile dans les pays en voie de développement. Pour les enfants de moins de 5 ans on estime le nombre de décès dans ces pays à 4,5 millions par an (1). L étiologie de la diarrhée connait une grande diversité, mais toutes les maladies diarrhéiques ont un problème commun : la déshydratation qui peut mener à la mort. En prévenant la déshydratation, la létalité par diarrhée diminue, sans effet sur l incidence de ces maladies (2). De ce fait, l OMS et l UNICEF (entre autres) ont activement propagé la réhydratation par voie orale (RVO), et le programme de lutte contre les maladies diarrhéiques a été accepté dans presque tous les pays en voie de développement (3). Dans quelques pays la mortalité par diarrhée a été déjà réduite par 40 à 50 % grâce à la vulgarisation large de la RVO (5). Au niveau communautaire la létalité par diarrhée connait une réduction sensible avec l utilisation de sachets de RVO (SRO) (5, 6, 7). Suite à l utilisation de SRO à domicile, l hospitalisation pour diarrhée diminue tangiblement (8). En 1985 on estime l accès aux SRO à 22 % dans les pays africains avec programme de lutte contre les maladies diarrhéiques, et le taux d utilisation de la thérapie par voie orale (TRO) à 8 % (9). Le but de cette recherche est de savoir la connaissance sur la solution ménagère et les SRO, et l utilisation de ces solutions dans le département du Noun. MÉTHODE DE TRAVAIL Avec des moyens logistiques et financiers modestes, nous avons utilisé la méthode du sondage par grappes, adoptée par le Programme Elargi de Vaccination pour estimer la couverture vaccinale (10). Le sondage comporte 30 grappes - sélectionnées au hasard par probabilité proportionnée à la taille dans la région d étude - de 7 concessions avec enfants de 12 à 23 mois. Le père de famille est le chef de la concession, qui, en cas de polygamie, fait habiter chacune de ses femmes dans une case qui lui est propre. * M. de Ruyterstraat 11, 3223 SJ Hellevoetsluis, Pays-Bas. Hôpital Protestant de Njissé, B.P. 58, Foumban, Cameroun.
2 262 E.R. VAN DER GEER, J. PRATS Le questionnaire comporte des sujets sur la connaissance de la composition de la solution ménagère, des SRO, sur leur but et sur leur utilisation, sur la mesure d un litre, sur la présence d une grande bouteille de TOP * et de bière et sur la religion de l enquêtée. Il comporte également des questions sur éléments d hygiène (savon, latrine et fosse à ordure) et la vaccination. En dehors des questions sur la solution ménagère et sur la mesure d un litre, toutes les possibilités de réponse ont été préimprimées. La composition de la solution ménagère est relevée à partir de la réponse de l enquêtée. Les quatre types de SRO** disponibles dans le département, sont montrés en demandant la connaissance et l utilisation des SRO. Pour la mesure d un litre, la femme est priée d apporter une estimation de cette quantité d eau, qui est vérifiée par les enquêteurs avec une éprouvette. Les bouteilles de TOP et de bière sont marquées présents lorsque les enquêteurs les ont vus. Après avoir obtenu l autorisation préfectorale, huit équipes de 2 personnes chacune mènent l enquête, supervisées par un médecin (JP) et deux infirmiers, du 23 au 27 mai Les enquêteurs ont reçu des instructions précises et ont fait des exercices pratiques relatifs à l enquête. Les chefs de village ont été mis au courant du programme de l enquête et son sujet par les autorités administratives. Les résultats de l enquête ont été élaborés sur ordinateur avec le logiciel épidémio (Pr Duflo, Paris, 1987). RESULTATS 220 personnes participent à l enquête. Le gardien est la mère de l enfant dans 84 % des cas, 4 % est grandmère et 12 % est lié autrement à l enfant. Trois quarts sont musulmanes et un quart est chrétienne. Des interviewées 67,3 % (148/220) disent savoir préparer l eau salée sucrée (ESS), c est-à-dire la solution ménagère. Le type de gardien y est significative, voir tableau 1. La composition mentionnée de l ESS a été précisée au tableau 2. *) TOP est le nom commercial d un boisson gazeuse sucrée très répandue dans tout le Cameroun. ** ) Les sachets montrés sont : - SRO (27,5 g) de CREAT International Laboratoire, Vernouillet, France. - SRO UNICEF (27,9 g) de Finnish Sugar Co. Ltd., Finlande. - SRO GES 45 (9,24 g) de Milupa, Les Mercuriales, Bagnolet Cedex, France. Tableau 1. Les types de gardien (des enfants de 12 à 23 mois) qui disent savoir préparer la solution ménagère habitant le département du Noun, en mai 1988 (%). Gardien Disant savoir pr&parer ESS oui non tot mère 130 (70,7) 54 (29,3) 184 (100,0) grandmère 4 (44,4) 5 (55,6) 9 (100,0) autre 14 (51,9) 13 (48,1) 27 (100,0) total 148 (67,3) 72 (32,7) 220 (100,0) X2 = 6,00 ; ddl 2 ; p = 0,049. Tableau 2. La composition de l eau salée sucrée pour un litre, donnée par les gardiens (mère, grandmère, autre personne) des enfants de 12 à 23 mois, habitant le département du Noun, mai 1988, en %. Composition ESS Réponse gardien sel 1 càc ; su 6-8 mcx ; 10,9 sel 1 càc ; su < 6 mcx ; 22,3 su 6-8 mcx ; sel < 1 càc ; 1,4 sel 1 càc ; su > 8 mcx ; 0,9 su 6-8 mcx ; sel > 1 càc ; 0,9 autre 31,4 inconnu 32,3 total 100,0 Environ un tiers croit que l ESS est utile contre la diarrhée, tandis qu un quart trouve qu elle l est pour la réhydratation. Trois personnes sur 10 ne connaissent pas l utilité de l ESS. 23,2 % (51/220) (re)connaissent le SRO et 15,5 % (34/220) l ont utilisé. Au tableau 3 nous avons mis les indications de SRO selon les réponses des gardiens. En dehors de la connaissance de la solution ménagère (tableau 1) le type de gardien ne joue pas de rôle dans les autres éléments de la RVO.
3 LA CONNAISSANCE ET L'UTILISATION DE LA REHYDRATATION 263 Tableau 3. Les indications de sachet RVO, données par les gardiens (mère, grandmère, autre personne) des enfants de 12 à 23 mois, habitant le département du Noun, mai 1988, en %. Indication sachet RVO Réponse gardien n = 220 contre la diarrhée 9,1 pour réhydratation 5,9 autre/inconnue 85,0 total 100,0 La moitié des gardiens mesurent une quantité d eau qui se trouve entre 910 et 1100 cc. Un quart estime un litre inférieur à 900 cc. un autre quart l estime supérieur à 1100 cc. Les quantités varient entre 310 et 2000 cc. 78,6 % (173/220) montrent une bouteille de TOP, et 54,1 % (119/220) montrent une bouteille de bière. Ces deux genres de bouteilles ont un contenu de 67 cl. 86,4 % (190/220) possèdent une telle bouteille. De celles qui sont musulmanes 45,8 % (77/168) montrent une bouteille de bière, cependant les femmes chrétiennes interviewées la montrent dans 80,8 % (42/52) des cas. Cette différence est significative (X2 = 18,13 ; ddl 1 ; p = 0,00002). La religion n influence pas du tout la présence de bouteille de TOP (79 et 21 % pour respectivement présence et absence de la bouteille pour les deux religions). DISCUSSION Pour évaluer la connaissance sur la réhydratation orale nous avons utilisé la méthode de sondage par grappes. Cette méthode est courante pour obtenir rapidement la couverture vaccinale dans une région. Le programme de lutte contre les maladies diarrhéiques a développé un protocole pour évaluer la couverture de la thérapie de réhydratation orale (TRO) dans une région donnée (11). Le point de départ de ce protocole est l utilisation de la TRO pendant un épisode diarrhéique chez un enfant de 0 à 5 ans. En se servant de ce protocole il est possible de calculer les épisodes diarrhéiques par enfant par an et le taux de TRO employé. Les inconvénients de cette méthode sont entre autre la définition de diarrhée (12) et la liaison entre l épisode diarrhéique et la TRO. En effet, un petit accès diarrhéique n incite pas souvent à recourir à la TRO (13). Donc cette méthodologie-ci occasionne une sousestimation de la connaissance sur la RVO. Ensuite, la méthode demande un nombre d enfants par grappe plus élevé à partir de la prévalence diarrhéique. Ce nombre est facile à trouver dans les zones urbaines, cependant dans les petits villages à la campagne il est bien possible qu on n y trouve pas ce nombre. Compléter la grappe au village avoisinant peut s avérer impossible pour raisons géographiques (barrières naturelles) ou psychologiques (mauvaise relation entre villages avoisinants). Comme la diarrhée est un symptôme si commun - au Cameroun 3 à 6 épisodes par enfant par an (14) - nous avons mené l enquête sans liaison aux épisodes diarrhéiques. Ceci évite également le problème de définition de diarrhée. Etant donné que la diarrhée est si courante nous avons préféré perendre la tranche d âge de 12 à 23 mois, pour obtenir la couverture vaccinale (15) et pour pouvoir aussi prendre en considération l influence d autres programmes sanitaires, comme la vaccination sur le programme de TRO (en préparation). Lié à cette méthode, les taux trouvés ont un intervalle de confiance de 10 % et, comme nous n avons pas utilisé de programme de statistique approprié pour sondage par grappes, il faut considérer les valeurs de chi carré et de p comme approximatives. Dans la lutte contre les maladies diarrhéiques, la propagation de la réhydratation par voie orale est une priorité. Il est important que l enfant avec diarrhée continue à boire pour prévenir la déshydratation. Au début de l accès diarrhéique la composition du liquide y est secondaire (16,17). Des études sont encore nécessaires pour déterminer les caractéristiques des patients avec diarrhée ayant le risque de déshydratation menaçant la vie et pour développer un protocole permettant aux agents de santé villageois de distinguer les patients qui ont besoin de TRO intensive de ceux qui ne requièrent pas de mesures extraordinaires (18). Avant l introduction de SRO, la solution ménagère - eau saléé sucrée - était déjà vulgarisée. Plusieurs méthodes pour préparer une solution composée de 20 grammes de glucose et de 3,5 grammes de NaCl dans un litre d eau, ont été décrites (16,19). La solution ménagère a l avantage, d être une potion obtenue sans intervention médicale. Si la
4 264 E.R. VAN DER GEER, J. PRATS population a accès à l eau, au sel et au sucre, elle a la possibilité de préparer la solution ménagère. Mais en pratique la composition de cette solution maison peut être très variable (19, 20, 21, 22, 23). Même dans des situations idéales la composition peut avoir une variabilité si larg e, qu elle est inacceptable (21, 24). Au Bangladesh, après une campagne d éducation, presque toutes les mères savent préparer des solutions bonnes et e fficaces. Deux ans plus tard le taux de mères préparant une solution dangereuse, augmente sensiblement (24). La solution recommandée pour les réhydratations orales de courte durée comprend 90 mmol/l de sodium et 111 mmol/l de glucose. Pour les réhydratations de longue durée et les nourrissons on recommande une solution de 50 à 60 mmol/l de sodium, afin d éviter l hypernatrémie (25,26). Celle-ci peut être causée par une solution trop salée (> 120 mmol/l), ou trop sucrée (diarrhée osmotique) (26). A l opposée, une solution plus faiblement dosée en sodium reste tout à fait efficace, si la concentration est supérieure à 40 mmol/l (16,25). Théoriquement, le saccharose 4 % (117 mmol/l) peut remplacer le glucose 2 % (111 mmol/l), bien que son utilisation entraine des taux plus élevés de vomissements et de diarrhée (26). Une solution moins concentrée en sucre, comme saccharose3 %, parait meilleure (25). En résumé, les solutions hyperconcentrées en sel ou en sucre provoquent respectivement l hypernatriémie et la diarrhée osmotique et sont dangereuses. Par contre, les solutions plus ou moins hypoconcentrées sont encore tout à fait efficaces. Dans cette étude aussi, nous constatons une grande variabilité en composition d ESS. Un tiers sait préparer une solution plus ou moins correcte, un tiers incorrecte et le reste ne connait pas de solution RVO. La plupart des femmes qui préparent l ESS avec moins de 6 morceaux de sucre, le font en utilisant 4 morceaux. Il s agit ici probablement d une confusion au niveau de l éducation ; en pensant aux 20 grammes de glucose, on a attribué cette quantité-ci aussi au saccharose. La solution ainsi préparée serait encore valable au début de la diarrhée sans être nocive pour l enfant. Les autres compositions mentionnées pourraient être dangereuses surtout en cas de traitement prolongé. En observant la grande variabilité de la composition nous nous demandons si la vulgarisation de cette solution contribue à la diminution de mortalité par maladies diarrhéiques. La composition mentionnée nous montre déjà une grande variabilité, l analyse des solutions préparées révèleraient encore une plus grande variation, dû entre autre à la variation du litre (310 à 2000 cc). Par manque de potassium et de base la solution n est pas complète. Ensuite, puique sa préparation ne peut être bien supervisée à domicile, il nous parait souhaitable de mettre l accent sur les SRO dans la lutte contre les maladies diarrhéiques (27). Vu les réponses sur l indication de la solution ménagère et de SRO on croit que ces potions sont plutôt un antidiarrhéique qu une mesure contre la déshydratation. Cette confusion pourrait influencer l acceptation de la TRO. quand la mère ne constate aucune diminution de la diarrhée chez son enfant malade. En diffusant la RVO, il est obligatoire d en considérer tous les aspects. Les accents ont été mis sur la quantité de sel et de sucre. Les résultats de cette étude montrent le manque d attention sur la mesure de litre. La variabilité du litre est si large, qu elle influence l efficacité de la RVO (28). Comme les bouteilles de 67 cl sont présentes dans 9 concessions sur 10, il nous parait souhaitable d utiliser cette quantité pour les SRO à l échelle nationale, la distribution de ces bouteilles s étendant sur tout le Cameroun (23,27). REMERCIEMENTS - A la population pour avoir collaboré à cette enquête ; - A tous ceux qui nous ont assisté pour cette enquête, en p a rticulier les superviseurs Mfossa Samuel, Njoya Emaanuel et Prats Patricia ; - Aux autorités administratives, dans la personne du médecin-chef départemental, Dr. Talla Jean Baptiste ; - Au Pr. A.S. Muller et au Dr. P.B.G. Peerenboom pour leur commentaire.
5 LA CONNAISSANCE ET L'UTILISATION DE LA REHYDRATATION 267 BIBLIOGRAPHIE 1. EDITORIAL. Les maladies diarrhéiques : i-un problème prioritaire. Ann Soc Belge Méd Trop (1986) : 66 : RAHAMAN MM, AZIZ KMS, PATWARI Y. MUNSHI MH. Diarrhoeal mortality in two Bangladeshi villages with and without community-based oral rehydration therapy. Lancet (1979) ; ii : WHO. Diarrhoeal diseases control programme. Wkly Epidem Rec (1989) ; 64 : MERSON MH. Oral rehydration therapy - from theory to practice. WHO Chronicle (1986) ; 40 (3) : DEB BC, SIRCAR BK, SENGUPTA PG ET AL. Implementation of oral rehydration therapy in villages. Indian J Pediatr (1985) ; 52 : EL-RAFIE M, HASSOUNA WA, HIRSCHHORN N ET AL. Effect of diarrhoeal disease control on infant and childhood mortality in Egypt. Lancet (1990) ; i : KUMAR V, KUMAR R, DATTA N. Oral rehydration therapy in reducing diarrhoea-related mortality in rural India. J Diarr Dis Res (1987) Sep ; 5 (3) : CHEN LC, BLACK RE, SARDER AM ET AL. Village-based distribution of oral rehydration therapy packets in Bangladesh. Am J Trop Med Hyg (1980) ; 29 (2) : TULLOCH J, BURTON P. Global acces to oral rehydration salts and use of oral rehydration therapy. Wld hlth statist quart (1987) ; 40 : HENDERSON RH, SUNDARESAN T., Cluster Sampling to assess immunization coverage : a review of experience with a simplified sampling method. Bull Wld Hlth Org (1982) ; 60 (2) : WHO. Household survey manual. CDD/SER/86.2 Rev 1 (1989). 12. CHOWDHURRY AMR, VAUGHAN JP, ABED FH. Use and safety of home-made oral rehydration solution : an epidemiological evaluation from Bangladesh. Int J Epidemiol (1988) : 17 : BIRITWUN RB, ISOMURA S, ASSOKU A, TORIGOE S. Growth and diarrhoeal disease surveillance in a rural Ghanaian preschool child population. Trans Roy Soc Trop Med Hyg (1986) ; 80 : MERLIN M, ROURE C, KOLLO B ET AL. Evaluation de la morbidité, de la mortalité et de ces conduites thérapeutiques relatives aux maladies diarrhéiques chez les jeunes enfants au Cameroun. Méd Trop (1986) ; 46 (4) : VAN DER GEER ER, PRATS J. La couverture vaccinale dans le Département du Noun, Cameroun, un an et demi après les Journées Nationales de Vaccination. Ann Soc Belge Méd Trop. à paraitre. 16. POPULATION REPORTS. Série L-2, Baltimore, Population Information Program, The Johns Hopkins University. 17. KUMAR V. Community implementation of oral rehydration therapy. Indian J Pediat (1984) ; 51 : STANTON BF, ROWLAND MGM, CLEMENS JD Oral rehydration solution - too little or too much? Lancet (1987) ; i : VA R AV I T H YA W, PICHAIPAT V., MANGKLASIRI R., THANOMSINGH P., PAVABUTARA P. Early home oral rehydration therapy (ORT) in primary health care. J. Med. Ass. Thailand (1986) ; 69 (suppl. 2) : RANSOME KUTI O., BAMISAIYE A. Oral therapy of infant diarrhoea. Lancet (1978) ; ii : LEVINE MM, HUGHES TP, BLACK RE et AL. Variability of sodium and sucrose levels of simple sugar/salt oral rehydration solutions prepared under optimal and field conditions. J. Pediatr. (1980) ; 97(2) : ZOYSA I. de, CARSOND., FEASHCEMR. et al Home-bases oral rehydration therapy in rural Zimbabwe. Trans Roy Soc trop. Med Hyg (1984) ; 78 ; WHO/CDD. Diarrhoeal dehydration - easy to treat but best prevented. World Health Forum (1989) ; 10 : DIBLEY M., PHILLIPS F., MAHONEY TJ, BERRY RJ, Oral rehydration fluids used in the treatment of diarrhoea. Med. J. Aust (1984) ; 140 : MEEUWISSE GW High sugar worse than high sodium in oral rehydration solutions. Acta Paediatr. Scand (1983) ; 72 : LEUNG AKC, DARLING P., AUCLAIR C. Oral rehydration therapy - a review. J R S H (1987) ; 2 : CASH RA Oral therapy for diarrhoea. Trop. Doct. (1979) ; 9 : NALIN D. A spoonful of sugar Lancet (1978) ; ii : 264.
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE
TEST DE DÉPISTAGE DE L IMMUNITÉ CONTRE LE 14 TÉTANOS ET LA ROUGEOLE 14.1 INTRODUCTION Soumaïla MARIKO Comme on l a déjà précisé au chapitre 1, des tests de dépistage de l immunité contre le tétanos et
Plus en détailProtection du personnel
PROTOCOLE POUR L EVACUATION DES EXCRETAS PAR LES ENTREPRISES DE VIDANGE/NETTOYAGE ET LES ONG s (Version 1.0, 23 décembre 2010) Sommaire I. Objectifs du protocole II. Protection du personnel III. Aspects
Plus en détailCONCEPTION ET TIRAGE DE L ÉCHANTILLON
CHAPITRE 4 CONCEPTION ET TIRAGE DE L ÉCHANTILLON Ce chapitre technique 1 s adresse principalement aux spécialistes de sondage, mais aussi au coordinateur et aux autres responsables techniques de l enquête.
Plus en détailMETHODOLOGIE GENERALE DE LA RECHERCHE EPIDEMIOLOGIQUE : LES ENQUETES EPIDEMIOLOGIQUES
Enseignement du Deuxième Cycle des Etudes Médicales Faculté de Médecine de Toulouse Purpan et Toulouse Rangueil Module I «Apprentissage de l exercice médical» Coordonnateurs Pr Alain Grand Pr Daniel Rougé
Plus en détailSignalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014
Signalement et gestion des infections respiratoires aiguës (IRA) et des gastroentérites aiguës (GEA) 19 juin 2014 Nadège Caillere, Cire Océan Indien Dr Joao Simoes, Cellule de veille, d alerte et de gestion
Plus en détailZ I G U I N C H O R SITUATION ECONOMIQUE ET SOCIALE REGIONALE 2013. Service Régional de la Statistique et de la Démographie de Ziguinchor
Z I G U I N C H O R REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------------ MINISTERE DE L ECONOMIE, DES FINANCES ET DU PLAN ------------------ AGENCE NATIONALE DE LA STATISTIQUE ET DE LA DEMOGRAPHIE
Plus en détailLe bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous?
Promouvoir l utilisation sécuritaire des médicaments Le bilan comparatif des médicaments (BCM): où en sommes-nous? My-Lan Pham-Dang, MSc. Formatrice ISMP Canada 10 juin 2010 Hôpital Général Juif Institute
Plus en détailVaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Vaccination contre la grippe : enjeux pour les infirmières et les infirmiers Caroline Quach Pédiatre microbiologiste-infectiologue, Hôpital de Montréal
Plus en détailVaccinations pour les professionnels : actualités
Vaccinations pour les professionnels : actualités Dominique Abiteboul Service de Santé au Travail Hôpital Bichat - Claude Bernard Paris GERES Les vaccins A (H1N1)v 4QUESTIONS +++++ Pas assez de recul???
Plus en détailVertiges et étourdissements :
: comment être à la hauteur? Anthony Zeitouni, MD, FRCSC Présenté à la 71 e édition du Programme scientifique de l Association des médecins de langue française du Canada. Est-ce bien des vertiges? Il n
Plus en détailEvaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire
Evaluation Multisectorielle RRM dans le Groupement de Minime, Bouar, Nana-Mambéré Rapport préliminaire Date : L évaluation multisectorielle s est déroulée du 26 au 28/08/2015. Zone d évaluation : Localité
Plus en détailChapitre VI : Gestion des risques épidémiques
Chapitre VI : Fiche n VI.1 : Gale Fiche n VI.2 : Tubeculose pulmonaire (accessible dans la prochaine version) Fiche n VI.3 : Gastro-entérite Fiche n VI.4 : Infection respiratoire aigüe basse Sommaire Sommaire
Plus en détailRapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde
Rapport 2014 sur la lutte contre la tuberculose dans le monde Résumé d orientation La tuberculose reste l une des maladies transmissibles causant le plus de décès dans le monde. En 2013, selon les estimations,
Plus en détailTMS les données belges relatives à la lombalgie
TMS les données belges relatives à la lombalgie Pr Philippe Mairiaux Université de Liège «Comment prévenir les TMS?», Bruxelles, 22 octobre 2007 Epidémiologie de la lombalgie en population générale (Inserm
Plus en détailDocument de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants
Document de réflexion : Précisions et orientations sur les formes inappropriées de promotion des aliments pour nourrissons et jeunes enfants CONTEXTE 1. La bonne alimentation des nourrissons et des jeunes
Plus en détailCONSTRUIRE UNE QUESTION ET ELABORER UN QUESTIONNAIRE?
Déchets : outils et exemples pour agir Fiche méthode n 3 www.optigede.ademe.fr CONSTRUIRE UNE ET ELABORER UN NAIRE? Origine et objectif de la fiche : Les retours d expérience des collectivités locales
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailMédecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI
Médecin Responsable volet hospitalier - Koulikouro - MALI L ASSOCIATION ALIMA The Alliance for International Medical Action (ALIMA) est une organisation médicale internationale, fondée en 2009. ALIMA a
Plus en détailHospital Anxiety and Depression Scale (HADS)
dmt Risques psychosociaux : out ils d é va lua t ion FRPS 13 CATÉGORIE ATTEINTE À LA SANTÉ PHYSIQUE ET MENTALE Hospital Anxiety and Depression Scale (HADS) LANGEVIN V.*, FRANÇOIS M.**, BOINI S.***, RIOU
Plus en détailDON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE. Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes
DON ET GREFFE D ORGANES EN TUNISIE Dr Mylène Ben Hamida Centre National pour la Promotion de la Transplantation d Organes Les besoins sont importants Insuffisance Organique Terminale en Tunisie Rein :
Plus en détailEffets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux
Effets sur la pression artérielle rielle des traitements non-médicamenteux PF Plouin, ESH Hypertension Excellence Center, Hôpital Européen Georges Pompidou, Paris La prise en charge de l hypertendu l concerne
Plus en détailNote de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali.
Note de présentation du Projet d évaluation d un programme communautaire d hygiène et assainissement au Mali. Initiative conjointe CEDLAS - DNACPN Février 2011 1 Résumé... 3 Description de l étude... 3
Plus en détailPacte européen pour la santé mentale et le bien-être
Pacte européen pour la santé mentale et le bien-être CONFERENCE DE HAUT-NIVEAU DE L UE ENSEMBLE POUR LA SANTÉ MENTALE ET LE BIEN-ÊTRE Bruxelles, 12-13 juin 2008 Slovensko predsedstvo EU 2008 Slovenian
Plus en détailVue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA)
Vue d ensemble de la prise en charge à base communautaire de la malnutrition aiguë (PCMA) 1 Module 1. Objectifs d apprentissage Discuter de la malnutrition aiguë et des mesures à prendre en réponse Identifier
Plus en détailDÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER
CHAPITRE 2 DÉCISIONS À PRENDRE AVANT DE COMMENCER Ce chapitre s adresse aux directeurs de programme, à leurs partenaires nationaux, aux coordinateurs d enquête et au personnel technique. Il vous aidera
Plus en détailSONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014
1 SONDAGE NATIONAL DES MÉDECINS 2014 Document d information Le 2 décembre 2014. Le Sondage national des médecins est un important projet de recherche continu qui permet de recueillir les opinions de médecins,
Plus en détailClub Santé. «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005
Club Santé «Vaccination : quelle évolution pour une meilleure prévention?» Dimanche 16 octobre 2005 Contacts Presse : Florence PARIS Fanny ALLAIRE Tél : 01.39.17.90.85 Fax : 01.39.17.86.56 Adresses e-mail
Plus en détailModule 3: Enseignement et évaluation clinique
Module 3: Enseignement et évaluation clinique Bienvenue au module 3 du cours EBM formation des formateurs. Dans ce module, vous apprendrez comment utiliser l évaluation et le feedback dans l enseignement
Plus en détailde plus de moitié, particulièrement dans les pays où la mortalité infantile est élevée 39.
postes de haut-fonctionnaires sont détenus par des femmes 38. Mais dans l ensemble, les avancées enregistrées par les pays africains dans leur progression vers la réalisation d une meilleure parité entre
Plus en détailURGENCE HUMANITAIRE LES 10 COMMANDEMENTS
1. EVALUATION 2. VACCINATION ROUGEOLE 3. EAU & SANITATION 4. ALIMENTATION & NUTRITION 5. ABRIS & CAMPS 6. SOINS DE SANTE 7. MALADIES TRANSMISSIBLES 8. SANTE PUBLIQUE 9. RESSOURCES HUMAINES 10. COORDINATION
Plus en détailDES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE
MSHP MODULE D ORIENTATION DES SUPERVISEURS DES SERVICES A BASE COMMUNAUTAIRE (AC/SBC) EN GESTION DES INFORMATIONS DE LA PLANIFICATION FAMILIALE ET DE LA SANTE MATERNELLE Réalisé en mai 2012 avec l appui
Plus en détailDEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LA SANTE/PROJETS. Ministre de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida Hon. Dr. Sabine NTAKARUTIMANA
DEVELOPPEMENT DU SECTEUR DE LA SANTE/PROJETS Ministre de la Santé Publique et de la Lutte contre le Sida Hon. Dr. Sabine NTAKARUTIMANA Plan de présentation Introduction Etat des lieux du secteur Stratégies
Plus en détailD A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S
REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les
Plus en détailLES INFECTIONS RESPIRATOIRES AIGUE (IRA) CHEZ LES ENFANTS DE MOINS DE CINQ ANS
LES INFECTIONS RESPIRATOIRES AIGUE (IRA) CHEZ LES ENFANTS DE MOINS DE CINQ ANS PRISE EN CHARGE DES IRA PAR LES AGENTS COMMUNAUTAIRES FORMES ET SUIVIS REVUE DOCUMMENTAIRE U.S. Agency for International Development
Plus en détailFaut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA?
Faut-il faire une corticothérapie prophylactique avant une césarienne élective pratiquée à 38 SA? (césarienne élective = césarienne pratiquée "à froid", en dehors du travail) C Dageville réanimation néonatale,
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailGTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM
GTSS GLOBAL TOBACCO SURVEILLANCE SYSTEM Questions sur le tabagisme à utiliser dans les enquêtes Sous-ensemble de questions essentielles tirées de l enquête mondiale sur le tabagisme chez les adultes (GATS)
Plus en détailSOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE. p. 3. p. 4 LE CESU. p. 5. Les outils. p. 6. Le centre de simulation. Quelques chiffres
SOMMAIRE COMMUNIQUÉ DE PRESSE p. 3 LE CESU Les outils Le centre de simulation Quelques chiffres Un exemple : la formation à l emploi des infirmiers des services d urgences En annexe p. 4 p. 5 p. 6 p. 6
Plus en détail13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament. CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF
13 ème Forum pharmaceutique international: Problématique de l accès au médicament N Djamena, 5 juin 2012 CEREMONIE D OUVERTURE Intervention de la Présidente de la CIOPF Excellence, Monsieur le Président
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailSTOP à la Transmission des microorganismes!
STOP à la Transmission des microorganismes! M.E Gengler Vendredi 25 Avril 2014 Vous avez ditstandard? Voici les «Précautions Standard» ou PS Les Précautions Standard : la Loi Respectez les «précautions
Plus en détailTOUS !"#$ ENSEMBLE REDUCTION DE LA MORTALITE DES ENFANTS DE MOINS DE 5 ANS #!"$& #!"$' RAPPORTS THEMATIQUES 2013
RAPPORTS THEMATIQUES 2013 - OMD 1 ELIMINER L EXTRÊME PAUVRETE ET LA FAIM RAPPORT NATIONAL TOUS ENSEMBLE Union des Comores! " # $ % & ' & () *!"#$%&'"$%()'*+," Le gouvernement de l Union des Comores et
Plus en détailLa stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand
La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle coût-efficace? Gabriel Birgand 1 Quelles questions se poser? 1. La stratégie de maîtrise des BHRe est-elle efficace? 2. Combien coûtent les colonisations/infections
Plus en détailFaciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau
Faciliter la transition de la guérison à la palliation en favorisant la communication entourant le choix de soins 16 avril 2009 19e congrès du Réseau de soins palliatifs du Québec, Montréal Julia Sohi
Plus en détailSTA108 Enquêtes et sondages. Sondages àplusieurs degrés et par grappes
STA108 Enquêtes et sondages Sondages àplusieurs degrés et par grappes Philippe Périé, novembre 2011 Sondages àplusieurs degrés et par grappes Introduction Sondages à plusieurs degrés Tirage des unités
Plus en détailRestitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME
Restitution de l 'atelier 1 Protocoles thérapeutiques et aspects médicaux de la PTME Modérateur : Dr Didier Koumavi Ekouevi INSERM U-897, Université Bordeaux Segalen, PACCI, Abidjan et Université de Lomé
Plus en détailRevitalisation de la prise en charge des diarrhées aiguës chez l enfant, en République Démocratique du Congo. Consultant Dr Célestin NSIBU NDOSIMAO
Revue documentaire à l intention de tous les partenaires impliqués dans le programme d introduction de la nouvelle solution de SRO, en complément d un supplément en zinc, en République Démocratique du
Plus en détailLES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES
COMMUNIQUE DE PRESSE N 213 12 Juin 2012 LES GAZ D ECHAPPEMENT DES MOTEURS DIESEL CANCEROGENES A l issue d une réunion d une semaine regroupant des spécialistes internationaux, le Centre international de
Plus en détailSanté Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad
Santé Maternelle et Infantile (SMI) à Abéché, Tchad Notre projet en 2009 Prendre soin des orphelins, des nouveaux-nés, des femmes ayant des problèmes d allaitement, des prématurés et des enfants malnutris
Plus en détailAnalyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes
Analyse de l enquête de consommation de boissons énergisantes Territoire de Thourotte (60) 2014 Depuis 2013, la Mutuelle Familiale en partenariat avec l IRBMS sensibilise ses adhérents à la consommation
Plus en détailINVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME
INVESTIR POUR UN MONDE SANS PALUDISME Des progrès extrêmement importants ont été réalisés ces dernières années dans la lutte contre le paludisme, mais ces avancées sont fragiles et réparties de façon inégale.
Plus en détailUtilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition
09-0749 1 WHO/EMP/MAR/2009.3 Utilisation des médicaments au niveau des soins primaires dans les pays en développement et en transition Synthèse des résultats des études publiées entre 1990 et 2006 Organisation
Plus en détailEnsemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola
Ensemble de documents d orientation sur la maladie à virus Ebola Août 2014 l enfance aux enfants Organisation mondiale de la Santé 2014 Tous droits réservés. Les appellations employées dans la présente
Plus en détailSOMMAIRE 1 PANORAMA DU PAYS...
Page 9 SOMMAIRE 1 PANORAMA DU PAYS... 11 1.1 UNE ÉCONOMIE PERFORMANTE...11 Le PIB...11 Les investissements directs étrangers (I.D.E.)...11 Les finances publiques...12 La fiscalité Charges sociales...12
Plus en détailLa réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien
Hôpital Cochin Samedi 1 er avril 2006 Forum Saint Jacques La réadaptation professionnelle des travailleurs lombalgiques : Présentation d'un modèle canadien Dr Jean-Baptiste Fassier 1,2 Centre d Etude et
Plus en détailVaccinations et milieu professionnel
La place de la vaccination dans la prévention des risques infectieux La prévention des risques infectieux au travail ne se réduit pas à la protection vaccinale. La vaccination s inscrit comme une des mesures
Plus en détailINFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT
INFORMATION À DESTINATION DES PROFESSIONNELS DE SANTÉ LE DON DU VIVANT QUELS RÉSULTATS POUR LE RECEVEUR? QUELS RISQUES POUR LE DONNEUR? DONNER UN REIN DE SON VIVANT PEUT CONCERNER CHACUN /////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////////
Plus en détailVACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES
VACCINS ANTIPNEUMOCOCCIQUES Infections respiratoires SPIF - 15 Novembre 2014 Patrick Petitpretz Déclaration de liens d'intérêts J ai actuellement, ou j ai eu au cours des trois dernières années, une affiliation
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailProtection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004
Protection Maternelle et Infantile Santé scolaire (33b) Professeur Dominique PLANTAZ Septembre 2004 Objectifs : indiquer les objectifs de prévention du Service départemental de Protection Maternelle et
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailLA VACCINATION PROFESSIONNELLE
F I C H E P R E V E N T I O N N 1 1 «H Y G I E N E S E C U R I T E» LA VACCINATION PROFESSIONNELLE INTRODUCTION La vaccination en milieu professionnel a un intérêt individuel dans le sens où elle protège
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détail«Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments»
1 «Boire est un besoin, mais c est aussi un plaisir, un acte social lors d évènements ou de bons moments» Magali Marchand, Chef de service Diététique RHMS Diététicienne agréée ABD 12.01.2012 - Maison du
Plus en détailFACTSHEET HAITI DEUX ANS APRES
HAITI DEUX ANS APRES Les actions de la Commission européenne pour reconstruire le pays Janvier 2012 Table of contents 1 L aide de l UE en bref 3 2 L aide humanitaire de la Commission européenne à Haïti.
Plus en détailGestion de la crise sanitaire grippe A
Gestion de la crise sanitaire grippe A Sommaire de la présentation Nature du risque lié au virus A H1N1 Plan gouvernemental de pandémie grippale Mesures de protection Historique de la grippe La grippe
Plus en détailRapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa
Rapport sur les nouveaux médicaments brevetés Iressa Au titre de son initiative de transparence, le CEPMB publie les résultats des examens des prix des nouveaux médicaments brevetés effectués par les membres
Plus en détailDONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT
DONNER NAISSANCE NE DOIT PAS ÊTRE UNE QUESTION DE VIE OU DE MORT Mise à jour avec rétroinformation technique de décembre 2012 Chaque jour, près de 800 femmes meurent durant la grossesse ou l accouchement
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailGUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO
GUIDE DE CONSOLIDATION D ÉQUIPE POUR LES ÉQUIPES DE SOINS PRIMAIRES DE L ONTARIO Janvier Module 2009 10 : Gérer les conflits Modifié en décembre 2010 Révisé en décembre 2012 Révisé en décembre 2012 1 Objectif
Plus en détailPrévenir... par la vaccination
Prévenir... par la vaccination 6 La vaccination...... Soit c est OBLIGATOIRE (2)... Les vaccinations obligatoires pour l ensemble de la population et dont les lois sont inscrites dans le Code de la Santé
Plus en détailOPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT)
OPTIMISATION DE LA MAINTENANCE DES EQUIPEMENTS DE MANUTENTION DU TERMINAL A CONTENEURS DE BEJAIA (BMT) LAGGOUNE Radouane 1 et HADDAD Cherifa 2 1,2: Dépt. de G. Mécanique, université de Bejaia, Targa-Ouzemour
Plus en détailLa République du Congo perd 72,5 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement
RÉPUBLIQUE DU CONGO IMPACTS ÉCONOMIQUES D UN MAUVAIS ASSAINISSEMENT EN AFRIQUE La République du Congo perd 72,5 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement mars 2012 La République du
Plus en détailLE DOSSIER PHARMACEUTIQUE
LE DOSSIER PHARMACEUTIQUE Septembre 2011 Arnaud ZEGIERMAN Amandine MESSINA www.institut-viavoice.com Viavoice Tel : +33(0)1 40 54 13 71 Mieux comprendre l opinion pour agir 9 rue Huysmans 75006 Paris +33
Plus en détailPeut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique?
Peut-on réduire l incidence de la gastroentérite et ses conséquences dans les écoles primaires à l aide de solution hydro-alcoolique? Service des Maladies Infectieuses; CHR Orléans Unité Inserm U-707,
Plus en détailSURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES
SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre
Plus en détailUtilité écologique du recyclage du PET en Suisse
Récapitulatif de l étude Utilité écologique du recyclage du PET en Suisse réalisé par Dr. Fredy Dinkel Carbotech AG, Bâle par ordre de PRS - PET-Recycling Schweiz Contact PRS - PET-Recycling Schweiz Naglerwiesenstrasse
Plus en détailDéclarations européennes de la pharmacie hospitalière
Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que
Plus en détailCORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION :
CORRECTION EVALUATION FORMATIVE TEST DE NIVEAU Date : PROMOTION : OJECTIFS : 1/ Evaluer le degré des connaissances acquises nécessaires à l administration des médicaments à diluer. 2/ Evaluer les capacités
Plus en détailRésistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque
Résistance aux Antimicrobiens: Ensemble, nous pouvons réduire ce risque Débats de Santé Publique 2014 Carmem Lúcia Pessoa-Silva, MD, PhD Health Security and Environment, WHO Headquarters, Geneva pessoasilvacl@who.int
Plus en détailLe guide du bon usage des médicaments
Le guide du bon usage des médicaments Les médicaments sont là pour vous aider mais......ils ont parfois du mal à vivre ensemble. Votre médecin et votre pharmacien peuvent adapter votre traitement pour
Plus en détailLettre à l éditeur. Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles. perspectives?
Lettre à l éditeur Résistance du VIH aux Antirétroviraux : Quoi de neuf au Mali? Quelles perspectives? HIV Antiretroviral Drug Resistance: What s new in Mali? What is the future? Maiga AI 1,2, Sangare
Plus en détailRésultats de l enquête EPCI
Sondage Résultats de l enquête EPCI Intitulé du sondage : Les EPCI françaises et Internet Intranet, Extranet Référence : 02SD421 Destinataire(s) : Répondants à l enquête Version : 1.0 Date : Octobre 2002
Plus en détailDAKAR. arrivée à Dakar hébergement sorties culturelles (Julie-Mélissa Picard) KAOLACK repas (à vos frais) repos, hydratation, salle de bain, $
AVANT LE DÉPART passeport billet d avion visa assurances liste des bagages personnels liste des bagages sac à dos valise de médicaments et matériel liste maitre pour médicaments à apporter gestion des
Plus en détailLA CONTRACEPTION SUR L INFORMATION REÇUE EN
LA CONTRACEPTION 1 SATISFACTION DES PATENTES SUR L INFORMATION REÇUE EN POST PARTUM INTRODUCTION Contexte : 2 Élargissement des compétences de SF (contraception & gynécologie de prévention) (1) Rôle dans
Plus en détailAu Luxembourg, au 31.12.2007, 10 personnes attendaient un rein, deux reins provenant de donneurs décédés luxembourgeois ont pu être greffés en 2007.
Communiqué de presse Luxembourg, le 2.02.2008 Campagne Il y a une vie après la mort. D après les statistiques d EUROTRANSPLANT, organisme européen qui gère les échanges d organes entre les pays Luxembourg,
Plus en détailExercices supplémentaires sur l introduction générale à la notion de probabilité 2009-2010
Exercices supplémentaires sur l introduction générale à la notion de probabilité 2009-2010 Exercices fortement conseillés : 6, 10 et 14 1) Un groupe d étudiants est formé de 20 étudiants de première année
Plus en détailLa République centrafricaine perd 13,2 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement
LA RÉPUBLIQUE CENTRAFRICAINE IMPACTS ÉCONOMIQUES D UN MAUVAIS ASSAINISSEMENT EN AFRIQUE La République centrafricaine perd 13,2 milliards XAF chaque année à cause d un mauvais assainissement mars 2012 La
Plus en détailProgramme spécial PNUD/FNUAP/OMS/Banque mondiale de recherche, de développement et de formation à la recherche en reproduction humaine (HRP)
Strategié de renforcement du potentiel de recherche dans les pays en développement via l octroi de bourses pour la formation à la recherche et pour la réintégration Bourses de Formation à la Recherche
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailEn 2014, comment mener à bien une enquête aléatoire en population générale par téléphone?
En 2014, comment mener à bien une enquête aléatoire en population générale par téléphone? Prémila Choolun 1, François Beck 2, Christophe David 1, Valérie Blineau 1, Romain Guignard 3, Arnaud Gautier 3,
Plus en détailVoici la newsletter de l Adéic. Retrouvez la totalité de ces brèves, articles ou interviews sur notre site www.adeic.fr
Bonjour à tous, Voici la newsletter de l Adéic. Retrouvez la totalité de ces brèves, articles ou interviews sur notre site www.adeic.fr Si vous êtes intéressés, l Adéic est toujours à la recherche de bénévoles
Plus en détailCLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE
CLINIMIX AVIS DE LA COMMISSION DE LA TRANSPARENCE BAXTER_CLINIMIX N9G15 E et N12G20E_Avis CT_14-02-2007.pdf BAXTER_CLINIMIX N9G15E N12G20E N14G30 N17G35_Avis CT_12-12-2001.pdf BAXTER_CLINIMIX changement
Plus en détailLe système de protection sociale en santé en RDC
REPUBLIQUE DEMOCRATIQUE DU CONGO MINISTERE DE L EMPLOI, DU TRAVAIL ET DE LA PREVOYANCE SOCIALE Le système de protection sociale en santé en RDC 13/09/2013 1 I. Contexte national Plan II. Mesures de protection
Plus en détailLigne directrice du cours menant à une qualification additionnelle. Musique instrumentale (deuxième partie)
Ligne directrice du cours menant à une qualification additionnelle Musique instrumentale (deuxième partie) Annexe D Règlement 184/97 Qualifications requises pour enseigner Mai 2005 This document is available
Plus en détailEnjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur
Enjeux psychologiques de la greffe pour le donneur et le receveur Jessica FRIPPIAT Psychologue clinicienne Service d Hémato-oncologie Unité de Psychologie Hôpital Universitaire des enfants Reine Fabiola
Plus en détailL expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public
L expérience des services financiers et la connaissance de l ACFC - le point de vue du public 5R000-040048/001/CY Présenté à : L Agence de la consommation en matière financière du Canada 24 mars 2005 Table
Plus en détailFirst do no harm Hippocrates (470 360 BC)
PHARMACOVIGILANCE DR A.TEBAA - Pr R. SOULAYMANI BENCHEIKH CENTRE ANTI POISON ET DE PHARMACOVIGILANCE M.COOPER-SHANTHI-PAL QUALITY ASSURANCE ET SECURITY MEDECINE Dakar 5-9 Mars 2006 First do no harm Hippocrates
Plus en détailDrug Misuse and Treatment in Morocco
Drug Misuse and Treatment in Morocco Fatima El Omari Centre National de Traitement, de Prévention et de Recherche en Addictions, Hôpital Arrazi, CHU Rabat-Salé, Maroc Morocco AFRIQUE Le Maroc Population:
Plus en détail