Ces dernières années ont vu le développement

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1 RELATIONS BANQUE-ENTREPRISE 66 «Nous avons toujours besoin de nos banquiers mais différemment» Dominique Expert et François d Alverny, Coprésidents des Journées de l AFTE 2014 N 776 octobre 2014 PAIEMENT SUR MOBILE 40 euros - ISSN Apple Pay : le paiement NFC à la sauce Apple Revue Banque n 776 octobre 2014 Stéphanie Chaptal INNOVATION 80 Les objets connectés 24 DOSSIER SHARING ECONOMY Un nouveau business tisse sa toile Stéphanie SAVEL Hugues LE BRET WiSEED Compte-Nickel dans le secteur bancaire : révolution ou simple évolution? Yvon Moysan, CSA Consulting

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3 ÉDITORIAL 18, rue La Fayette, Paris Directeur de la publication Valérie Ohannessian Secrétaire général Pierre Coustols RÉDACTION Rédacteur en chef Élisabeth Coulomb Rédacteurs Sophie Gauvent Séverine Leboucher Annick Masounave Secrétariat de rédaction Alain de Seze (1 er SR) Christine Hauvette Maquette Emmanuel Gonzalez Alexandra Démétriadis SÉMINAIRES Carole Trambouze Magali Marchal Victoire Gonot ÉDITION Marie-Hélène Bourg Mauricette Delbos MARKETING & INTERNET Valérie Dumas-Paoli Paul-Emmanuel Géry Hadrien Briandon Facturation et suivi administratif Virginie Baillard PUBLICITÉ Isabelle Conroux COMPTABILITÉ/GESTION Patrick Moisset ESPACE LIBRAIRIE ISSN CPPAP Certificat d inscription n 0217 T Imprimé par Imprimerie de Champagne, Langres (54) Dépôt légal 4 e trimestre 2014 La reproduction totale ou partielle des articles publiés dans Revue Banque, sans accord écrit de la société Revue Banque Sarl, est interdite conformément à la loi du 11 mars 1957 sur la propriété littéraire et artistique. SERVICE ABONNEMENTS 18 rue La Fayette Paris Gladys Hypolite Tél. : 33(0) Fax : 33(0) service.abonnement@ Abonnez-vous sur Ces dernières années ont vu le développement de l économie du partage (sharing economy, dans sa version anglo-saxonne). Difficile d en donner une définition et un périmètre précis : ce concept recouvre un ensemble de services ou d activités partagés entre les utilisateurs, mis en relation grâce aux progrès technologiques ouverts par Internet. Comment l industrie financière est-elle touchée par ce phénomène? De multiples façons, comme le montre le dossier de Revue Banque réalisé ce mois-ci par Annick Masounave. L économie du partage a d abord fait tomber certaines barrières : c est le cas dans le secteur des moyens de paiement, dont les banques avaient le monopole. Une même tendance s amorce dans le crédit avec l apparition des plates-formes de peer-to-peer lending. Concurrente de certaines activités financières, la sharing economy se positionne aussi comme son complément : ainsi, le crowdfunding pourrait être le chaînon manquant dans les financements des PME et ETI, et réconcilier les Français avec leurs entreprises. Enfin se pose avec force la question de la régulation de ces activités nouvelles : une équation délicate, car le régulateur doit évoluer au rythme très rapide du développement de ces nouveaux usages et de ces nouveaux acteurs, tout en assurant une protection raisonnable des consommateurs, en encourageant une saine concurrence, et sans faire obstacle à l innovation! Courriel des lecteurs : redaction@. Pour vos avis et commentaires, retrouvez-nous sur Facebook et Twitter. Élisabeth Coulomb Rédactrice en chef L économie autrement Où en sont les relations banque-entreprise? Dominique Expert et François d Alverny, trésoriers d entreprise et membres de l AFTE, confirment la désintermédiation des financements qui touchent aujourd hui aussi les ETI, voire même les PME ; ils constatent également les effets de la digitalisation, mais s inquiètent de la sécurisation des transactions ; enfin, ils déplorent les contraintes imposées par une réglementation toujours plus dense. Mais ils se veulent au final rassurants : «Nous avons toujours besoin de nos banquiers...mais différemment.» James Bond peut aller se rhabiller : photographier ses justificatifs et les stocker dans son coffre-fort numérique grâce à ses lunettes ou encore consulter son compte bancaire, tels sont les services déjà proposés par certaines banques à leurs clients. Comme le montre Yves Moysan (CSA), nous entrons dans l ère des objets connectés et communiquants : ils seront 26 milliards en 2020, selon le Gartner Group, 30 fois plus qu en Les banques voient arriver cette déferlante avec intérêt et prudence : «les objets connectés n auront de valeur que s ils ont une réelle utilité. Il faudra donc valider l usage avant la technologie» et sans rien concéder en matière de sécurité. Une histoire à suivre. Selon un rituel marketing parfaitement orchestré, Apple a lancé le 9 septembre dernier l iphone 6 équipé d une fonction de paiement. «La question n était pas de savoir si Apple allait se lancer [dans les paiements], mais quand et comment», rappelle Stéphanie Chaptal dans le cahier Nouvelles Technologies. Elle y détaille les caractéristiques de cette nouvelle fonction et précise les conditions de son déploiement en France. La locomotive Apple pourra-t-elle entraîner le développement du paiement pour les autres téléphones NFC? À suivre n octobre 2014 n o 776 Revue Banque 3

4 s o m m a i r e LE MOIS EN REVUE À suivre 6 INTERVIEW de Marc-Antoine Lacroix Le sommet de Brisbane va préciser le GLAC et le TLAC Les chroniques 8 Antoine Brunet Pourquoi le PIB chinois devancera le PIB américain dès Marie Brière Pensions : qu attendre des changements réglementaires européens? 9 Frédéric Picard La collecte en gestion collective retrouve des couleurs 10 Georges Pujals Les banques espagnoles à l offensive Le secteur 12 INTERNATIONAL 13 EUROPE 14 FRANCE 15 VIE DES ENTREPRISES Les entreprises 16 SOCIAL Jacques Vessaud La complémentaire santé pour tous les salariés 18 LA RÉGLEMENTATION FINANCIÈRE DÉCRYPTÉE PAR LABEX-RÉFI Constantin Mellios et Jean-Jacques Pluchart Réguler le shadow banking 24 DOSSIER SHARING ECONOMY Un nouveau business tisse sa toile CAHIER NOUVELLES TECHNOLOGIES 46 PAIEMENT SUR MOBILE Apple Pay : le paiement NFC à la sauce Apple 48 RENCONTRE AVEC Laurent PENOU, Lyra Network 50 SOLUTIONS / PROGICIELS SUR REVUE-BANQUE.FR REVUE BANQUE, AU CŒUR DES RÉSEAUX SOCIAUX Découvrez, communiquez, partagez toute l information de la banque et de la finance Stéphanie Chaptal 20 POINT DE VUE Hubert de Vauplane La dette a changé de finalité Les acteurs 22 NOMINATIONS LES VIDÉOS DE SEPTEMBRE Interview de Hugues Le Bret Le digital dans la banque c est principalement la sécurité et le temps réel Interview de Séverine Leboucher M-Pesa ou comment les Kenyans ont accès à la banque grâce à leur téléphone Inclusion financière : tour du monde des initiatives pour bancariser le monde en développement Interview de Georges Pauget Origines et conséquences des innovations dans la banque Interview de Dominique Stucki Le crowdfunding, un mode de financement en plein essor Les nouveautés réglementaires du crowdfunding DIAPORAMA Les Journées européennes du Patrimoine Visitez Bercy en compagnie d Emmanuel Macron. 4 Revue Banque n 776 octobre 2014

5 RISQUES & RÉGLEMENTATION 52 DÉRIVÉS Bâle III et la compensation en CCP : qui aime bien châtie bien Vincent Viencek et Nicolas Bigourdan, Equinox-Cognizant 55 GLOBAL TRADE REPOSITORY Quelle solution de reporting pour EMIR? Mikhail Popovic et Aouatif Ouahi, Investance 58 FACTEURS DE SUCCÈS ET DEVENIR DES ENTREPRISES APRÈS LES PROCÉDURES COLLECTIVES Le chapitre 11 est-il un modèle à suivre? Philippe du Jardin, Edhec Business School, et Eric Séverin, Université de Lille 1 62 POLITIQUE DE DISTRIBUTION, ÉVALUATION DES BANQUES, BÂLE III, IFRS Les banques ont-elles (encore) les moyens de verser des dividendes? Franck Imbert, Crédit du Nord, et Jean-Étienne Palard, IAE de Bordeaux - Université de Bordeaux ACTIVITÉS & SERVICES 66 RELATIONS BANQUE-ENTREPRISE «Nous avons toujours besoin de nos banquiers mais différemment» INTERVIEW Dominique Expert et François d Alverny, coprésidents des Journées de l AFTE LA LOI ECKERT DU 13 JUIN 2014 Un renforcement sensible des obligations des compagnies d assurance Olivier Bohm et Amicie de Vauplane, MANAGEMENT & SI 80 INNOVATION Les objets connectés dans le secteur bancaire : révolution ou simple évolution? Yvon Moysan, CSA Consulting VEILLE TECHNIQUE 84 DROIT DE LA CONSOMMATION L interprétation des contrats en faveur des consommateurs Cass. civ. 2 e, 3 juillet 2014 Pierre-Yves Bérard, Groupe BNP Paribas 88 DROIT DES MOYENS ET SERVICES DE PAIEMENT Actualités juillet-août à début septembre Pierre Storrer, avocat au Barreau de Paris 93 DROIT DE LA RÉGULATION BANCAIRE Signalement abusif du superviseur bancaire : quelle est la juridiction compétente pour engager la responsabilité l État? CE 16 juillet 2014, Bedoian, n Jean-Philippe Kovar et Jérôme Lasserre Capdeville, Université de Strasbourg 95 COMPTABILITÉ Package consolidation : la mise en œuvre de la norme d information financière IFRS 12 Marie-Laure Troupel, Société Générale, et Sophie Ganter, EY 75 ÉNERGIE RENOUVELABLE Projets photovoltaïques : des financements sûrs et attractifs Christophe Jacomin, Lefèvre Pelletier & Associés Numéro mis sous presse le lundi 29 septembre Index des annonceurs : ERI, 2 e de couv. Kramer, 4 e de couv. SAB, p. 19 Sopra, p. 49 Ce numéro comprend un encart jeté «Édition». octobre 2014 n 776 Revue Banque 5

6 l e m o i s e n r e v u e Chroniques CHANGE ET TAUX Antoine Brunet Président AB Marchés Pourquoi le PIB chinois devancera le PIB américain dès 2014 En juin 2014, la Banque Mondiale a provoqué la surprise. Après avoir réactualisé son chiffrage de la parité de pouvoir d achat entre États-Unis et Chine de 4,21 yuan pour 1 dollar à 3,52, elle concluait pour 2013 à un PIB de 16,2 trillions de dollars pour la Chine contre 16,8 pour les Etats-Unis. Désormais, la différence en 2013 se limite donc à 4 %, au lieu de 23 % antérieurement retenu. Comme on s attend à ce qu en 2014, le PIB progresse de 7,5 % en Chine et de 2 % aux États-Unis, le PIB chinois dépassera le PIB américain dès 2014 (pour environ 1,5 %). Ni Pékin ni Washington n ont braqué le projecteur sur ce qui, aux yeux des historiens du futur, apparaîtra comme un événement clé. Pékin poursuit sa politique de communication qui vise à faire apparaître la Chine moins prospère et moins puissante qu elle ne l est. Cela présente à ses yeux l avantage majeur de pousser les pays démocratiques à la passivité face à son irruption multidimensionnelle sur la scène internationale. Washington, quant à lui, ne tient pas à souligner le fiasco de sa politique commerciale à l égard de Pékin, ni la complaisance commerciale que, depuis 1999, la Maison- Blanche manifeste à l égard de la Chine. À cette date, elle accepta que la Chine rentre à l OMC alors même que, en dépit d un coût salarial horaire en yuan très bas, Pékin ne cachait pas son intention quant à maintenir le yuan fortement sous-évalué contre dollar et contre toutes les autres monnaies du monde (Pékin artificiellement maintint le cours dollar/yuan à 8,28 entre 1994 et 2005 et ne le réduisit que lentement : 6,15 en août 2014, très au-dessus de la parité de 3,52). La Maison-Blanche accepta aussi que les droits de douane entre la Chine, d une part, les pays de l OCDE, d autre part, ne soient pas du tout symétriques. Muni de tels privilèges commerciaux, Pékin a pu verrouiller depuis 15 ans une compétitivité extrême contre tous les autres pays et obtenir de ce fait une croissance de son PIB très supérieure à celle de tous les autres pays sans que pour autant son solde commercial cesse de rester fortement excédentaire. Un exploit qui est historiquement inédit mais qui est aussi totalement intolérable : l économie du reste du monde se trouve gravement déstabilisée par les déficits manufacturiers colossaux que lui inflige Pékin. n ÉCONOMIE Marie Brière Head of Investor Research Center, Amundi, Managing Editor, Bankers, Markets and Investors Pensions : qu attendre des changements réglementaires européens? De nombreux pays connaissent aujourd hui de graves problèmes de soutenabilité de leur système de pension, lié à l allongement de la durée de vie et aux effets néfastes de la crise sur les performances de leurs investissements. À ces difficultés communes s ajoute en Europe une forte incertitude concernant l évolution de leur réglementation. Celle-ci dépend aujourd hui du pays, mais également du type d institution fournissant des pensions. Ainsi, les institutions de retraite professionnelle ne sont pas régulées comme les compagnies d assurance. Les efforts entrepris récemment par la Commission européenne visent à harmoniser cette régulation. Quel impact ces changements auront-ils[1] [1] La revue Bankers Markets and Investors organise, le 24 octobre prochain, une conférence sur la régulation des sur les institutions de retraite en Europe, leur capacité à investir durablement en actifs risqués, et in fine sur leurs performances? Une comparaison des changements réglementaires intervenus ces 20 dernières années aux États-Unis, Canada et Pays- Bas et une analyse empirique de leur impact sur plus de 600 fonds[2] montre que les exigences de capital réglementaire qui pourraient voir le jour (elles sont aujourd hui imposées aux assureurs en Europe et aux fonds de pension aux Pays-Bas), réduisent significativement la capacité des fonds à investir en actifs pensions en Europe. Contact : fr/challenges-managing-and-regulating-pensions-french. [2] L.N. Boon, M. Brière et S. Rigot (2014), «Does Regulation Matter? Riskiness and Procyclicality in Pension Asset Allocation», SSRN Working Paper, papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id= risqués, notamment en actions et actifs alternatifs. En revanche, contrairement aux prédictions théoriques, ces exigences ne semblent pas avoir induit chez les fonds de pension néerlandais plus de procyclicité des investissements. Ce résultat s explique probablement par le fait que le régulateur néerlandais a réduit ses exigences en réponse à la crise des subprime, permettant aux fonds de conserver leur exposition aux actifs risqués. Alors que la tendance est à l introduction de contraintes rigides, les résultats de cette étude plaident en faveur d une certaine flexibilité de la réglementation des institutions de retraite en fonction des conditions de marché. n 8 Revue Banque n o 776 octobre 2014

7 Parution novembre L année des professions financières SOMMAIRE ET CONTRIBUTEURS Michel PEBEREAU, Président du Centre des Professions Financières z Avant-propos Denise FLOUZAT-OSMONT d AMILLY et Pierre-Henri CASSOU z Présentation de l APF 2014 INTRODUCTION Robert OPHELE z La contribution de la finance à la reprise 1 ÉTAT DES LIEUX DE L INDUSTRIE FINANCIÈRE CINQ ANS APRÈS LA CRISE Marie-Anne BARBAT-LAYANI z Les banques françaises ont su s adapter au nouvel environnement réglementaire tout en finançant l économie Françoise PALLE-GUILLABERT z La réforme des statuts en France Pierre BOLLON z La gestion d actifs, atout stratégique pour le financement de l économie post-crise Pierre-Henri CASSOU z La réglementation bancaire et financière, cinq ans après la crise Michel ROUX z La finance autrement : mythe, réalité et interrogations pour les professions financières ISBN : Code Géodif : G TTC Comment la finance peut-elle Contribuer à la reprise? L année des professions financières 2014 Comment la finance peut-elle Contribuer à la reprise? Volume 9 Sous la direction de Denise Flouzat Osmont d Amilly et Pierre-Henri Cassou 2 LES NOUVELLES RÉPONSES DE L INDUSTRIE FINANCIÈRE AUX BESOINS DES AGENTS ÉCONOMIQUES Hervé LABBE, Guy SILVESTRE et Stéphane BLANCHOZ z Accompagner le mouvement de désintermédiation du Financement des entreprises : la démarche Friedland Gilles SAINT-MARC z Prêts directs des entreprises d assurance et fonds de prêts à l économie Thierry GIAMI z Un Novo financement de l économie Nicolas LESUR z Finance participative : et après? Catherine BARBAROUX et Bruno SALMON z Développer la micro-finance, c est donner un coup de pouce à la croissance! Thierry LOBJOIS z Le financement par les actifs : crédit sécurisé Gautier MARIAGE z Finexkap : la nouvelle solution aux besoins de trésorerie des entreprises Philippe DUPONT z ISODEV 3 LA FINANCE EST-ELLE AUJOURD HUI À MÊME DE FAVORISER LA REPRISE ÉCONOMIQUE? Damien LEURENT z Le défi de la prochaine décennie? Financer une économie en profonde transformation Jean-Hervé LORENZI z La finance est-elle à même de favoriser la reprise économique? Sylvain de FORGES z Un renouveau nécessaire de l intermédiation financière Arthur CHABROL z Les investissements réalisés par les organismes d assurance sont-ils à même de favoriser la reprise économique? Natacha VALLA et Christian PFISTER z Le système financier européen peut-il soutenir la croissance? ANNEXES CHRONIQUES Jean-Marc DANIEL z Une année de publications économiques et financières 2013/2014 Christian PFISTER z Données statistiques COMMENT LA FINANCE PEUT-ELLE CONTRIBUER À LA REPRISE? Sous la direction de Denise Flouzat-Osmont d Amilly et Pierre-Henri Cassou 30 ISBN : L Année des Professions Financières 2014 offre, comme lors des précédentes éditions, les repères indispensables à la compréhension de l industrie financière et à la connaissance de ses acteurs. Elle permet l expression de points de vue très variés reflétant la diversité des expériences des auteurs et met en valeur les caractéristiques ainsi que la vitalité de l École française de la finance. Commandes, informations, catalogue : contact : librairie@

8 l e m o i s e n r e v u e Nominations de nominations sur AMUNDI l Amundi annonce l arrivée de David Benmussa, 45 ans, en qualité de responsable de la distribution externe en France. Diplômé de l Université Paris IX, il débute en 1993 comme conseiller du Commerce extérieur, avant de rejoindre, en 1995, Assurances Saint- Honoré (groupe LCF Rothschild). Il participe ensuite pendant deux ans au FFSA l Pierre Michel, 46 ans, est nommé délégué général de la FFSA. Polytechnicien, diplômé de Sciences po et de l Ensae, actuaire qualifié, il exerce dès 1993 le métier de commissairecontrôleur des assurances, avant d être détaché auprès de l Inspection générale des finances, puis auprès de la Commission européenne à Bruxelles, de 1995 à 1998, au sein de la direction générale du marché intérieur et des services financiers. Il entre alors dans le groupe PartnerRe, dont il dirige l actuariat vie global à Paris et à Zurich, puis l ensemble de l activité vie pour les marchés France, Europe du Sud, Scandinavie et Asie et enfin, pendant quatre ans, l activité de dommages et responsabilité au Canada (Toronto). De retour à Paris, il rejoint la Caisse centrale de réassurance en 2007 pour diriger la réassurance des catastrophes naturelles en France et l informatique, tout en étant secrétaire du conseil d administration, avant d être promu directeur général adjoint en charge des finances. CRÉDIT DU NORD l Clara Lévy-Barouch, 40 ans, devient directeur financier du groupe Crédit du Nord et intègre à ce titre le comité exécutif. Diplômée de l ESC de Reims, elle entre en 1997 dans le cabinet d audit Arthur Andersen (devenu Ernst & Young). En 2008, elle rejoint le groupe Société Générale, en qualité de responsable du contrôle permanent comptable et réglementaire. Depuis 2013, elle était directeur financier délégué du groupe Crédit du Nord. développement de la clientèle haut de gamme de VP Finance. En 2002, il prend la responsabilité de l activité de distribution auprès des banques privées, réseaux et assureurs de Schroders en France et à Monaco. Depuis 2011, il était en charge de l activité ETF ishares chez Blackrock à Paris. BNP PARIBAS l William De Vijlder, 53 ans, accède au poste de responsable de la recherche économique du groupe BNP Paribas. Titulaire d un doctorat en sciences économiques de l université de Gand (Belgique), il commence en 1987 au département de recherche économique de la Générale de Banque en Belgique où il devient stratège en chef dans la division gestion d actifs en Il exerce ensuite les fonctions de Managing Director et de Global Chief Investment Officer chez Fortis Investments. Depuis 2009, il est membre du comité exécutif de BNP Paribas Investment Partners, d abord comme chief Investment officer stratégie et partenaires et, depuis un an, en tant que vice-chairman. CAISSE D ÉPARGNE l Caroline Bruynoghe, 40 ans, prend les fonctions de directeur de l animation commerciale du pôle banque de détail de la Caisse d Épargne Nord France Europe. Diplômée d un Master spécialisé finances et gestion de patrimoine (Skema Lille), elle démarre son parcours en 1999 en tant que gestionnaire de patrimoine au CIC Banque Scalbert Dupont à Lille. En 2001, elle entre au Crédit du Nord où elle est directeur d agence à Dunkerque, responsable du développement sur Arras et enfin directeur de groupe du Cambrésis. Depuis 2010, elle travaillait au Crédit Immobilier d Île-de-France en tant que directeur du développement. CRÉDIT AGRICOLE ALPES PROVENCE l Serge Gaona, 50 ans, est promu directeur général adjoint du Crédit Agricole Alpes Provence. Expertcomptable de formation, il débute chez Ernst & Young à Toulouse. En 1990, il intègre le Crédit Agricole où il exerce des responsabilités dans les domaines de l audit, du financier, des entreprises et des affaires internationales. En 2005, il devient directeur des risques et compliance au Crédit Agricole des Savoie, avant d être nommé directeur financier en 2006 dans cette même Caisse régionale. Depuis 2009, il était directeur général de Crédit Agricole Financements (Suisse) à Genève. DEUTSCHE BANK l Thibaud de Maintenant, 48 ans, prend la responsabilité des activités de banque transactionnelle (Global Transaction Banking, GTB) de Deutsche Bank en France. Diplômé de l IAE de Paris et l École nationale supérieure d ingénieur de Caen, il rejoint Mazars à Paris en 1990 en tant qu auditeur. En 2005, il devient responsable pour la région Asie-Pacifique de la division Direct Securities Services (conservation, 22 Revue Banque n o 776 octobre 2014

9 compensation, prêts de titres et administration de fonds) puis, à partir de 2011, directeur au niveau mondial. GENERALI l Éric Merville, 49 ans, est recruté par Generali France pour assurer la direction de l indemnisation. Diplômé de l École française d électricité et d informatique, il entre en 1992 chez AXA Re comme analyste IT. En 2000, il participe à la création d AXA Liabilities Managers. En 2005, il retrouve AXA Re en tant que directeur des sinistres avant d entrer en 2007 chez AXA Corporate Solutions, où il dirige l activité Sinistres P&C (Property & Casualty IARD en français). En 2012, il a rejoint ACE pour prendre en charge les sinistres de la zone Europe Continentale et de l Est. HSBC l Éric Emoré, 41 ans, devient directeur général de HSBC Assurances France. Diplômé de l Essec, il débute en 1995 au sein des activités de marchés de taux de BNP Paribas avant de rejoindre le département institutions financières d Ernst & Young. En 2001, il intègre les équipes de fusions-acquisitions de HSBC France de la banque de financement, d investissement et de marchés. En 2008, il devient Managing Director de la banque d investissement, en charge du conseil auprès des entreprises du secteur de la banque et des assurances. À partir de 2009, il assure parallèlement la direction de l équipe d exécution des fusions-acquisitions de HSBC France. SOCIÉTÉ GÉNÉRALE l Aymeril Hoang, 38 ans, devient directeur de l innovation du groupe Société Générale. Normalien, agrégé d économie et gestion, titulaire d un DEA en droit public de l économie et d une licence d économétrie, il intègre l Arcep en 1999 puis Bercy à la DGCCRF en 2003 pour travailler sur l ouverture à la concurrence du secteur des télécoms. Entre 2005 et 2008, il dirige l équipe numérique de la direction générale du Trésor à San Francisco. En 2009, il rejoint l ambassade de France à Washington comme conseiller innovation et nouvelles technologies, avant de devenir, en 2010, directeur général d une start-up Internet en amorçage dans les services immobiliers. Nommé, en 2012, conseiller innovation puis numérique et attractivité au cabinet du ministre délégué aux PME, à l innovation et à l économie numérique, il était depuis 2014, conseil de 360 Capital Partners. l François Essertel, 47 ans, est nommé directeur de la banque privée de HSBC France. Il intègre le comité exécutif de la banque en France. Diplômé de l Institut commercial de Nancy, il débute en 1990 au Crédit Lyonnais en Asie, puis au sein d une équipe de financement LBO. En 1995, il rejoint Neuflize OBC, en tant que directeur d agence entreprises avant d être promu, en 1997, directeur du département des entreprises patrimoniales et président de Neuflize Art. Il devient responsable de groupe de la banque privée en 2006 et adjoint du directeur de la banque privée de Neuflize OBC en La même année, il intègre la banque privée de Crédit Suisse (France), en qualité de directeur de la clientèle privée et, en 2010, il devient président du directoire de Crédit Suisse (France). JP MORGAN l Pietro Grassano, 44 ans, est promu directeur général du bureau parisien de JP Morgan Asset Management. Titulaire d un master en économie et sciences sociales de l université Bocconi (Milan), il dispose d une expérience de plus de dix ans dans le secteur de la gestion d actifs. Il a notamment assumé des fonctions commerciales chez BNP Paribas Asset Management à Milan et de consultant dans le pôle financier d Andersen Consulting. Entré en 2002 chez JP Morgan AM, il était jusqu à présent directeur des ventes pour l Italie, chargé de la clientèle wholesale et retail. Réalisé par Christine Hauvette hauvette@ TELEX l AVALOQ Tecla Solari est promue en tant que directeur général pour l Europe de l Ouest et du Sud, et Enrico Ardielli au poste de responsable des acquisitions du groupe ; Anantha Ayer est nommée CEO du futur centre de Business Process Outsourcing (BPO) à Singapour l BOSTON CONSULTING GROUP Yann Sénant et Julien Dangles sont nommés directeurs associés à Paris l EY Jean-Yves Jégourel, associé en France, devient responsable de l activité audit pour la zone EMEIA (Europe, Moyen-Orient, Inde, Afrique) octobre 2014 n o 776 Revue Banque 23

10 d o s s i e r SHARING ECONOMY Un nouveau business tisse sa toile Dossier réalisé par Annick Masounave En dix années, l essor de la sharing economy a bouleversé les modes de consommation. Conséquence conjointe de la crise économique et de l explosion des réseaux sociaux, les consommateurs se sont faits «consommacteurs» et ont commencé à afficher d autres attentes vis-à-vis de ce qui n est plus pour eux un simple acte d achat. Lisa Gansky[1], l une des théoriciennes du concept, le résume ainsi : «Les entreprises traditionnelles respectent une formule simple : créer un produit ou un service, le vendre, collecter l argent de la vente. Mais au cours des dernières années un modèle fondamentalement différent a vu le jour dans lequel les consommateurs ont davantage de choix, d outils, d information, et de pouvoir d interaction.» Dans le secteur financier, les déclinaisons sont multiples et touchent désormais l ensemble des métiers de la banque. L assurance elle-même est concernée par ce mouvement, avec en France des initiatives de mutuelle solidaire. Il serait tentant de croire que le succès des initiatives est porté par un simple sentiment «anti-banques», qui se serait aggravé avec les années de crise. Mais ce serait réducteur que de l affirmer ; ce serait occulter l innovation et les promesses portées par ces «jeunes pousses», qui pour certaines ont déjà bien grandi. Cela reviendrait également à nier la professionnalisation et l influence croissante des nouveaux entrants, qui ont su saisir les opportunités offertes par la directive Ser- [1] Auteur en 2010 de The Mesh : Why the Future of Business is Sharing, Lisa Gansky a également créé «Mesh : The Pulse of the Sharing Economy», un site destiné à mettre en avant les initiatives liées à la sharing economy. 24 Revue Banque n 776 octobre 2014

11 Ils s appellent AirBnb, SideCar, BlaBlaCar, Uber, Albert, Neighborgoods, Kickstarters, Lending Club, Fon ou encore compte Nickel En quelques années, ces start-up de la sharing economy ont su s imposer dans le paysage de la consommation. Certaines sont devenues des marques mondiales, révélant une mutation profonde et durable des usages. La finance n échappe pas à ce vent d innovation, porté par ce qu il convient de nommer la révolution numérique de l économie. vice de paiements, et plus récemment en France, par l ordonnance Crowdfunding, qui donne aux acteurs un statut légal et une certaine crédibilité, via une régulation ad hoc. Avec des croissances à deux chiffres, les fonds collectés témoignent de l attractivité grandissante de cette branche de la finance, auprès du grand public mais également des investisseurs. Désormais, l equity crowdfunding figure en bonne place dans les sources de financement des start-up, aux côtés des acteurs traditionnels, publics et privés, du capital-risque. Chahutées dans leur business model et leur monopole par de nouveaux concurrents qui, à l instar de Prêt d Union ou du Compte-Nickel, communiquent crânement sur leurs avantages concurrentiels, les banques ne sont cependant pas en manque d initiatives. Cependant, se préparent-elles suffisamment à cette mutation numérique? Doivent-elles craindre la concurrence des GAFA [2], ou d homologues étrangères qui auraient mieux intégré les enjeux de la sharing economy? Jeremy Rifkin affirme que oui. Annonçant la fin du capitalisme, il fonde son raisonnement sur la théorie du «coût marginal zéro» et explique dans son dernier ouvrage [3] que la baisse des coûts induite par l économie du partage peut abattre des pans entiers de l économie globale, tous secteurs confondus. n SOMMAIRE DU DOSSIER BANQUE DE DÉTAIL 26 Compte-Nickel : la simplicité comme mot d ordre Hugues Le Bret, Financière des paiements électroniques CAPITAL AMORÇAGE 30 L equity crowdfunding vient combler un manque structurel de financement Stéphanie Savel, WiSEED CROWDFUNDING 34 Un secteur encore jeune, mais plein de promesses Annick Masounave, Revue Banque MONNAIES VIRTUELLES 36 Le bitcoin est-il une disruption ou une illusion? Annick Masounave, Revue Banque CONCURRENCE 38 Agrégateurs d informations et initiateurs de paiement : des prestataires en mal de réglementation? François Coupez, ATIPIC Avocat PAIEMENTS 42 À la conquête du e-commerce Bruno Gloaguen, HiPay [2] Acronyme désignant Google, Amazon, Facebook et Apple, dont il se dit qu ils pourraient considérer de venir un jour concurrencer les banques. [3] Jeremy Rifkin, La Nouvelle Société du coût marginal zéro : l Internet des objets, l émergence des communaux collaboratifs et l éclipse du capitalisme, Éd. Les liens qui libèrent, sept (édition américaine : mars 2014). octobre 2014 n 776 Revue Banque 25

12 SÉMINAIRES Atelier Jeudi 9 octobre h00-12h00 LA BANQUE DIGITALE UNE RÉVOLUTION EN MARCHE À L HORIZON h30 9h00 12h00 Accueil des participants et petit-déjeuner Introduction et animation de la séance Philippe BOURGEOIS, directeur Software Strategy and Design, Sopra Banking Software Panorama des grandes innovations dans les services bancaires (big data, paiement, crowdfunding ) George PAUGET, président, Economie, Finance & Stratégie Les innovations dans le secteur des paiements (Wallet, monnaies virtuelles ) : la vision européenne de la profession bancaire Pascale-Marie BRIEN, affaires européennes et internationales - antenne bruxelloise, FBF Le développement digital du secteur bancaire face aux exigences réglementaires? Frédéric LAURENT, directeur général adjoint, Crédit Mutuel ARKEA Le marketing à l ère digitale Fabienne HALLEREAU, directeur Développement Relation Client et Communication, Crédit Agricole Anjou Maine Le point de vue d un nouvel acteur : le Compte Nickel Hugues LE BRET, président du comité de surveillance, Financière des paiements électroniques Les impacts de cette innovation bancaire sur la sécurité et la gouvernance Didier GRAS, responsable de la sécurité des systèmes d information groupe BNP PARIBAS Clôture de la séance Inscription sur Lieu Auditorium de la FBF 18, rue La fayette Paris Tarifs 480,00 TTC (400,00 HT) Contact Magali Marchal Tél.: marchal@ Pour plus d infos DIF En partenariat avec

13 Revue Banque ABONNEMENTS 2014 Je choisis l abonnement à REVUE BANQUE coché ci-dessous : 1 MOIS DÉCOUVERTE : 1 n o + accès on line France (TTC) Étranger Quantité Total Nouveaux abonnés (offre réservée non renouvenable) 40,00 45, AN : 12 n os + 2 suppléments + accès on line France (TTC) Étranger Quantité Total Institutionnel (adresse professionnelle) 415,00 435, Individuel (adresse personnelle) 190,00 220, Étudiant (1) 99,00 130, ANS : 24 n os + 4 suppléments + accès on line France (TTC) Étranger Quantité Total Institutionnel (adresse professionnelle) 630,00 660, Individuel (adresse personnelle) 325,00 365, Étudiant (1) 185,00 225, LA BIBLIOTHÈQUE NUMÉRIQUE France (TTC) Quantité Total Abonnement annuel 1 compte (2) 165,00... Abonnement annuel 5 comptes (3) 625, TOTAL (TVA : 2,10 % incluse sur le tarif France) (1) Y compris CFPB, CESB, ITB. Joindre un justificatif. (2) Réservé aux abonnés à une des revues du groupe. (3) Au-delà de 5 comptes, nous consulter (bibliotheque@). Société... Nom... Prénom... Vos abonnements se poursuivent on line sur Feuilletage dès parution, newsletters, accès illimité aux archives de Revue Banque Fonction... Service... Adresse... Code postal/ville...pays... Code TVA (pour les pays de la CEE)... Téléphone...Télécopie... (indispensable) À retourner au SERVICE ABONNEMENTS REVUE BANQUE 18 rue La Fayette Paris Tél. : 33(0) Fax : 33(0) service.abonnement@ Règlement à l ordre de La REVUE BANQUE par chèque par carte bancaire* n Date limite de validité : _ / _ Notez les 3 derniers chiffres du cryptogramme visuel (au verso de votre carte) : _ * Sauf American Express et Diner s Club. Le règlement sur l étranger est à joindre impérativement à la commande et doit être effectué en euros, par chèque payable en France, net de frais. Pour les virements bancaires et CCP, nous consulter. DATE et SIGNATURE En application de la loi du 6 janvier 1978, les informations ci-dessus sont indispensables au traitement de votre commande et sont communiquées aux destinataires aptes à les traiter. Elles peuvent donner lieu à l exercice du droit d accès et de rectification auprès de Revue Banque. Vous pouvez vous opposer à ce que vos nom et adresse soient cédés ultérieurement en le demandant par écrit au secrétariat général de Revue Banque. BAN14 Rendez-vous sur pour découvrir nos offres de couplage d abonnement avec BANQUE & DROIT et BANQUE & STRATÉGIE

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