Schéma départemental de l animation de la vie sociale. t é. r i. l i d. S o C O O P É R AT I O N. I n i t i a t i v e s c i t o y e n n e s

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1 Démocratie LIEN SOCIAL Schéma départemental de l animation de la vie sociale ACCUEIL I n i t i a t i v e s c i t o y e n n e s S o INTERGÉNÉRATIONNEL l i d a r i t é D é v e C O O P É R AT I O N l o p p e m e n t s o c i a l l o c a l L A Ï C I T É

2 SOMMAIRE Schéma départemental de l animation de la vie sociale I/ Le cadre de référence La circulaire AVS du 20 juin P. 4 II/ Dans l Ain, un partenariat engagé depuis 2001 et une convention partenariale 1. Le partenariat engagé depuis 2001 a permis des avancées significatives... P L animation de la vie sociale à la croisée des objectifs et missions de la Caf de l Ain, du Conseil départemental de l Ain et de la Fédération des centres sociaux de l Ain...P D une convention à un schéma départemental... P. 10 III/ État des lieux de l existant à partir des diagnostics territoriaux et des données SENACS Le département de l Ain... P Quatre territoires aux caractéristiques très différentes... P. 13 IV/ Les orientations 2016/ La stratégie à l échelle départementale... P La stratégie à l échelle territoriale... P Quelques indicateurs communs d évaluation...p. 37 V/ Mise en œuvre, suivi et évaluation 1. Le financement de la Caf et du Conseil départemental... P L organisation... P L évaluation... P. 39 VI/ Annexes 1. Liste des centres sociaux et espaces de vie sociale... P Convention financière Caf / Fédération des centres sociaux... P Convention financière Fédération des centres sociaux / Conseil départemental... P. 45 GLOSSAIRE... P. 46 2

3 Schéma départemental de l animation de la vie sociale Introduction L animation de la vie sociale : c est quoi? L animation de la vie sociale, qui repose sur une dynamique de mobilisation des habitants et sur des interventions sociales, s appuie sur des équipements de proximité : centres sociaux, espaces de vie sociale. La caractéristique essentielle de cette dynamique est de permettre aux habitants de participer à l amélioration de leurs conditions de vie : développement de l éducation et de l expression culturelle, renforcement des solidarités et des relations de voisinage, prévention et réduction des exclusions, par une démarche globale adaptée aux problématiques sociales d un territoire. Ces structures sont un point d ancrage général pour les habitants, qui y trouvent des réponses en termes d accueil, d écoute et d orientation, notamment pour favoriser l accès aux droits et aux institutions. Les centres sociaux et les espaces de vie sociale s adaptent constamment aux besoins et attentes des habitants de leur territoire, en cohérence avec les partenaires locaux, notamment les collectivités locales qui sont, au côté de la Caf et du Département, les promoteurs incontournables de cette dynamique. Au-delà des réponses individuelles, les centres sociaux et les espaces de vie sociale permettent aux habitants de créer et de développer eux-mêmes des projets à dimension collective et sociale pour améliorer leur quotidien de vie sur leur territoire. Pourquoi un schéma départemental? La Caf de l Ain, le Conseil départemental de l Ain et la Fédération des centres sociaux de l Ain partagent la vision d un centre social contribuant à développer le «pouvoir d agir» des habitants. Le développement de la possibilité d exercer un plus grand contrôle sur ce qui est important pour les habitants, leurs proches ou la collectivité à laquelle ils s identifient, est primordial. Forts de ces enjeux communs, les partenaires entendent continuer leur action de promotion et de développement des structures d animation de la vie sociale. L élaboration d un schéma permettant une action concertée et efficiente, assure une cohérence globale à l échelle du département et donne aux acteurs locaux une visibilité sur les atouts de l animation de la vie sociale. Nous vous invitons à parcourir ce schéma. Bonne lecture. Robert FONTAINE Marie-Claire LAURENT-SANNA Damien ABAD Yann CRUIZIAT Président du Directrice de la Caf de l Ain Président du Conseil Président de Conseil d administration départemental de l Ain la Fédération des de la Caf de l Ain centres sociaux de l Ain 3

4 I/ Le cadre de référence de la Caf La circulaire Cnaf du 20/06/2012 appelée «Animation de la vie sociale» Inscrite dans les objectifs de la branche Famille / Convention d objectifs et de gestion , la circulaire «animation de la vie sociale» permet de soutenir une politique sociale déterminante pour les familles et les territoires. Elle réaffirme et renforce l engagement institutionnel et le rôle central de la branche Famille et la nécessité du partenariat. Texte de référence pour l ensemble des structures, elle participe au renforcement de l approche globale territoriale et donne aux Caf les moyens de dynamiser le partenariat pour mieux soutenir les structures. La clarification des finalités et des missions communes aux structures confère une plus grande lisibilité et davantage de cohérence à cette politique sociale. La politique d animation de la vie sociale est un axe constant de la politique familiale et sociale portée par la branche Famille qui se poursuit dans la Cog L animation de la vie sociale repose sur une dynamique de mobilisation des habitants et sur des interventions sociales. Elle s appuie sur des équipements de proximité (centres sociaux, structures d animation locale). La caractéristique de cette dynamique est de permettre aux habitants de participer à l amélioration de leurs conditions de vie, au développement de l éducation et de l expression culturelle, au renforcement des solidarités et des relations de voisinage, à la prévention et à la réduction des exclusions, par une démarche globale adaptée aux problématiques sociales d un territoire. L animation de la vie sociale constitue une réponse pertinente et adaptée car son action se fonde sur une démarche globale pour répondre : aux problématiques sociales collectives d un territoire, aux besoins des habitants et aux difficultés de la vie quotidienne des familles. L approche est multidimensionnelle : approche globale de la situation d une personne, prise en compte d une famille dans sa globalité, ouverture à tous les publics et à toutes les classes d âge, analyse globale du territoire d implantation. Ces lieux ouverts à la population recherchent la mixité des publics et l intergénérationnalité. Ils peuvent orienter vers les services publics, voire les accueillir (exemples : permanences). Les structures d animation de la vie sociale sont des lieux ressources pour l ensemble des acteurs du développement social local. Ils s appuient sur la participation de tous et sont donc facteurs de développement social local, travaillant ainsi les enjeux de cohésion sociale et d inclusion en cohérence avec les orientations européennes et ministérielles. C est pourquoi la structuration de l animation de la vie sociale constitue une des dimensions possibles de l aménagement du territoire. La politique d animation de la vie sociale de la branche Famille s appuie sur les centres sociaux et les espaces de vie sociale. Les Caf assurent l agrément des équipements et leur financement par le biais de plusieurs dispositifs. Pour les centres sociaux : prestation de service «animation globale», prestation de service «animation collective famille». Pour les espaces de vie sociale : prestation de service «animation locale». 4

5 La politique d animation de la vie sociale s appuie sur des équipements de proximité, principalement des centres sociaux mais également des espaces d animation sociale. Ces structures relevant de la politique d animation de la vie sociale portent des missions d intérêt général référées à un territoire délimité. Malgré la diversité apparente des équipements et les spécificités territoriales, toutes les structures de l animation de la vie sociale poursuivent les mêmes finalités et partagent des valeurs communes. «Le projet social» en est la clé de voûte. Centres sociaux et espaces de vie sociale répondent à des missions générales communes et se distinguent par des spécificités liées à leur champ et à leur capacité d intervention. Les structures de l animation de la vie sociale poursuivent des finalités identiques et partagent des valeurs et principes d action communs. Des finalités qui transcendent l ensemble des projets sociaux. Chaque structure de l animation de la vie sociale, quelle que soit son importance ou les particularités de son territoire d implantation, poursuivent trois finalités de façon concomitante : l inclusion sociale et la socialisation des personnes, le développement des liens sociaux et la cohésion sociale sur le territoire, la prise de responsabilité des usagers et le développement de la citoyenneté de proximité. Ces trois finalités communes à l ensemble des structures de l animation de la vie sociale visent à répondre aux besoins sociaux fondamentaux ; elles se réfèrent aux dimensions individuelles, collectives et sociales de tout être humain. Des valeurs et des principes à respecter et à faire vivre. Les valeurs et principes de la République française s appliquent tout naturellement aux structures de l animation de la vie sociale. En raison des finalités poursuivies, il en découle des principes qu il est opportun de rappeler pour faciliter leur appropriation par l ensemble des acteurs, professionnels, bénévoles, usagers et partenaires : le respect de la dignité humaine, la laïcité, la neutralité et la mixité, la solidarité, la participation et le partenariat. Pour un secteur d intervention qui a pour objectif transversal le «vivre ensemble», il s agit de points de repère qui renvoient à une éthique à partager avec toutes les parties prenantes. Un projet social qui adapte des missions d intérêt général aux besoins des habitants du territoire. Les missions générales des structures de l animation de la vie sociale : un lieu de proximité à vocation globale, familiale et intergénérationnelle, qui accueille toute la population en veillant à la mixité sociale. Il est ouvert à l ensemble de la population à laquelle il offre un accueil, des activités et des services ; par là même, il est en capacité de déceler les besoins et les attentes des usagers et des habitants. C est un lieu de rencontre et d échange entre les générations, il favorise le développement des liens familiaux et sociaux. un lieu d animation de la vie sociale permettant aux habitants d exprimer, de concevoir et de réaliser leurs projets : il prend en compte l expression des demandes et des initiatives des usagers et des habitants et favorise la vie sociale et la vie associative. Il propose des activités ou des services à finalité sociale, éducative, culturelle ou de loisirs, ainsi que des actions spécifiques pour répondre aux problématiques sociales du territoire. Il favorise le développement des initiatives des usagers en mettant des moyens humains et logistiques à leur disposition. 5

6 Les centres sociaux Animés par une équipe de professionnels et de bénévoles, l objectif global des centres sociaux est de rompre l isolement des habitants d un territoire, de prévenir et réduire les exclusions, de renforcer les solidarités entre les personnes en les «intégrant» dans des projets collectifs, leur permettant d être acteurs et d assumer un rôle social au sein d un collectif ou sur le territoire. Cinq missions complémentaires aux missions générales : Organiser une fonction d accueil et d écoute des habitants-usagers, des familles et des groupes informels ou des associations. L accueil, basé sur une écoute attentive, s étend à la capacité à proposer une offre globale d information et d orientation. Surtout, il doit être organisé de manière à recueillir les besoins des habitants et leurs idées de projets collectifs. Assuré à titre principal par une ou des personnes qualifiée(s), l accueil doit être appréhendé comme une fonction portée collectivement par l ensemble de l équipe d animation du centre social. Cette fonction doit être reconnue et repérée sur le territoire d intervention et l accueil doit être considéré comme une action à part entière. Assurer une attention particulière aux familles et aux publics fragilisés et, le cas échéant, leur proposer un accompagnement adapté. Développer des actions d intervention sociale adaptées aux besoins de la population et du territoire ; en raison des problématiques sociales auxquelles ils sont confrontés, ils peuvent développer des actions collectives avec une dimension d accompagnement social. Ces actions collectives, parfois expérimentales, sont réalisées en concertation avec les partenaires opérationnels. Mettre en œuvre une organisation et/ou un plan d actions visant à développer la participation et la prise de responsabilités par les usagers et les bénévoles. Organiser la concertation et la coordination avec les professionnels et les acteurs impliqués dans les problématiques sociales du territoire et/ou sur leurs axes d intervention prioritaires. La mise en place d un projet «familles» Les centres sociaux, acteurs de l amélioration de la vie personnelle et sociale des différents membres des familles, sont fortement invités à développer un projet «familles» visant à répondre aux problématiques familiales du territoire et à soutenir tout particulièrement les parents dans leur rôle éducatif. Dans la perspective d un agrément spécifique «familles», le projet «familles», intégré au projet d animation globale du centre social, doit présenter les caractéristiques suivantes : répondre aux problématiques familiales repérées sur le territoire, développer des actions collectives contribuant à l épanouissement des parents et des enfants, au renforcement de la cohésion intrafamiliale et aux relations et solidarités interfamiliales, coordonner les actions et services de soutien à la parentalité développés au sein du centre social, faciliter l articulation des actions «familles» du centre social avec celles conduites par les partenaires du territoire. Les espaces de vie sociale Les espaces de vie sociale contribuent à la politique d animation de la vie sociale au même titre que les centres sociaux. Ils adoptent les mêmes finalités et méthodologies mais leur action est adaptée aux moyens humains et financiers dont ils disposent. Leur territoire d intervention et leur projet social répondent aux besoins repérés et sont définis en fonction de leur capacité d intervention. 6

7 L implantation des espaces de vie sociale est favorisée dans les situations suivantes : les territoires totalement dépourvus d équipements d animation de la vie locale ; les territoires isolés d un pôle d activités, que ce soit en milieu rural ou en zone urbaine ; les territoires sur lesquels l action d un centre social a besoin d être renforcée au regard de problématiques sociales préoccupantes ; dans ce cas de figure, il devra y avoir deux gestionnaires distincts et une coordination des interventions ainsi qu une certaine vigilance concernant leur complémentarité. Le projet social des espaces de vie sociale répond aux finalités, aux principes et aux missions générales de l animation de la vie sociale. Le projet social, défini en fonction des ressources disponibles, souvent restreintes, doit prévoir prioritairement des actions permettant : le renforcement des liens sociaux et familiaux, et les solidarités de voisinage ; la coordination des initiatives favorisant la vie collective et la prise de responsabilité des usagers. Le soutien à l animation de la vie sociale, par la branche Famille, se traduit par une politique à la fois départementale et locale des Caf. Pour ce faire, les Caf développent une politique à la fois départementale et locale, intégrant l ensemble de leurs leviers d intervention. Les Caf et leurs partenaires établissent un schéma directeur de l animation de la vie sociale. 7

8 II/ Dans l Ain, un partenariat engagé depuis 2001 et une convention partenariale Cette convention a pour but de définir le partenariat entre la Caf de l Ain, le Conseil départemental de l Ain et la Fédération des centres sociaux de l Ain. Elle permet le renforcement de l action engagée entre la Caf, le Conseil départemental et la Fédération des centres sociaux depuis 2001, visant à : développer la mise en réseau des équipements, accompagner les acteurs dans la vie quotidienne, partager une connaissance des besoins locaux et assurer une veille stratégique, évaluer et valoriser le service rendu. 1) Le partenariat engagé depuis 2001 a permis des avancées significatives Développement du nombre de structures : en 2001, 18 centres sociaux et 0 EVS ; en 2015, 27 centres sociaux et 5 EVS. En matière de concertation avec les équipements bénéficiant des agréments de la Caf de l Ain. En matière de qualité des projets sociaux développés, notamment en relation avec la trame commune d élaboration des projets sociaux élaborés par la Caf et la Fédération. En matière de formalisation des relations locales entre les centres sociaux et les collectivités, notamment en lien avec le développement de conventions d objectifs pluripartites et pluriannuelles signées entre les centres sociaux, la collectivité locale et la Caf et reconnaissant le projet social sur la durée de l agrément. En matière de reconnaissance de l action des centres sociaux. Dans la collaboration développée avec les services d action sociale du Conseil départemental (MDS) et les centres sociaux. En matière de développement des outils d animation de la vie sociale dans le territoire du département de l Ain. Chaque partenaire, dans les champs de missions et compétences qui lui sont propres, a mis en œuvre des axes stratégiques et orientations concernant le domaine de l animation de la vie sociale. 2) L animation de la vie sociale à la croisée des objectifs et missions de la Caf de l Ain, du Conseil départemental de l Ain et de la Fédération des centres sociaux de l Ain 2.1 Orientations du Conseil départemental en matière d animation de la vie sociale et de développement social local Dans le cadre de son Agenda 21, le Département a validé fin 2012 un plan d actions et de mesures permettant de rendre visible et de réorienter son intervention en faveur des habitants de l Ain, dans une logique de développement durable (logique large qui intègre le développement social). 8

9 Certains de ces objectifs sont déclinés localement et traduits en priorités et actions dans le cadre du «projet d action sociale territorialisé» 2014/2017. La méthode privilégiée pour développer les actions locales de l axe «Agir pour les Solidarités» a ainsi été explicitement définie et approuvée par l Assemblée départementale dans son agenda 21 : «Privilégier le développement social local comme mobilisation citoyenne pour prévenir et traiter les problèmes sociaux». Cette orientation renforce le besoin de développer de nouvelles formes de collaborations avec les acteurs locaux pour développer un projet social de territoire. À ce titre, les centres sociaux sont repérés et cités (sous mesure) comme «outils pérennes de participation des habitants à la vie de la cité» qu il convient de soutenir. 2.2 Orientations de la Caf en matière d animation de la vie sociale et de développement social local Dans le contexte actuel de la Branche, l animation de la vie sociale concourt à l offre globale de services des Caf selon trois axes : tout d abord, ces structures (via les financements en prestation de service qui leur sont consacrés) participent, à l échelle de leur territoire d intervention, à la politique de la Caf concernant l environnement et le cadre de vie des familles (lien social, mixité) ; elles peuvent également être un point d appui au déploiement du travail social et des offres de service de la Caf en permettant une mise en relation directe avec les populations (accès aux droits, information et accompagnement dans les démarches) ; enfin, au-delà de leur mission première d animation de la vie sociale et au travers des services et activités qu elles proposent (EAJE, ALSH, RAM, CLAS, LAEP, etc), elles soutiennent les différentes politiques de la Caf et répondent aux quatre missions identifiées dans la Cog, notamment celles permettant d affirmer la recherche d un accès facilité à tous les publics. Du fait de leur responsabilité en matière d agrément, mais aussi en raison de leur neutralité, de leur connaissance des populations et des territoires, de leur capacité d expertise et d ingénierie sociale, des moyens qu elles engagent en faveur des structures, il est demandé aux Caf de formaliser une politique départementale de l animation de la vie sociale. En appui de la politique nationale en matière d animation de la vie sociale, la Caf de l Ain assure un accompagnement de proximité des centres sociaux et structures de proximité, en complétant les financements accordés dans le cadre des fonds nationaux (prestations de service). 2.3 Le projet fédéral de la Fédération des centres sociaux de l Ain La Fédération des centres sociaux de l Ain est une association créée il y a vingt ans, administrée par des bénévoles et professionnels engagés dans les projets locaux des centres sociaux. Elle regroupe 26 centres sociaux et 5 espaces de vie sociale. Elle s est dotée d un projet , coconstruit avec l ensemble de ses adhérents et porteur d une visée commune d un projet centre social sur son territoire. Elle définit le centre social comme «un foyer d initiatives porté par des habitants associés appuyés par des professionnels», capables d élaborer et de mettre en œuvre un projet de développement social pour l ensemble de la population d un territoire. Elle vise au renforcement du «pouvoir d agir» des habitants, c est-à-dire la possibilité concrète pour les personnes d exercer un plus grand contrôle sur ce qui est important pour elles, leurs proches, les groupes auxquels elles s identifient. 9

10 Les axes du projet fédéral sont les suivants : être un lieu ressources «stratégique» et «technique» des centres sociaux, représenter, promouvoir l action des centres sociaux, porter une parole collective, développer et animer une vie de réseau, notamment autour d enjeux sociaux jugés prioritaires à prendre en compte par les centres sociaux, être garant du sens d un projet commun, animer la vie associative du réseau fédéral. 3) D une convention à un schéma départemental Les partenaires du comité de pilotage ont fait le choix d une méthode participative et territorialisée avec une double entrée autour des structures existantes (responsables de MDS, conseillers de territoires Caf, centres sociaux) et sur les territoires non couverts avec une étude diagnostic des besoins et des points d appui. Les grandes étapes Printemps 2014 : validation de la démarche du schéma départemental par le comité de pilotage. Fin d année 2014 : rencontre des cadres de l action sociale du Conseil départemental, du service animation des territoires de la Caf et de la Fédération des centres sociaux, au cours de laquelle la démarche de construction du schéma a été présentée. Premier trimestre 2015 : rencontre sur chacun des 4 territoires des responsables des 2 MDS, du délégué de la Fédération des centres sociaux et du conseiller de territoire. Démarrage du diagnostic partagé, partage des constats et analyse. Deuxième trimestre 2015 : rencontre sur chacun des 4 territoires des mêmes personnes plus les représentants des structures de l animation de la vie sociale. Partage des données statistiques et enrichissement du diagnostic avec les acteurs locaux. Quatrième trimestre 2015 : validation du schéma par le comité de pilotage et signature de celui-ci. 10

11 III / État des lieux de l existant à partir des diagnostics territoriaux et des données SENACS ) Le département de l Ain Il compte : 27 centres sociaux dont 5 en gestion Caf et association et 2 en gestion municipale. 5 espaces de la vie sociale portés par une association. Équipements d animation de la vie sociale (Centres sociaux et espaces de vie sociale) Sources : données Caf de l Ain 2015, Fonds de carte IGN 5 Centre social dont CS Animation Collective Familale Espace de Vie sociale 11

12 Territoires couverts par une structure de l animation de la vie sociale Commune couverte par un/ou des centres sociaux et un espace de vie sociale Commune couverte par un/ou des centres sociaux Intercommunalité couverte par un centre social Sources : données Caf de l Ain - Carte Map info Commune couverte par un espace de vie sociale Intercommunalité couverte par un espace de vie sociale Le nord-est du département n est pas pourvu de structure de l AVS tandis que la partie sud-ouest (côtière proche du département du Rhône) est bien pourvue. On retrouve les structures de l AVS sur les communes les plus peuplées du département. 12

13 2) Quatre territoires aux caractéristiques très différentes Les caractéristiques sociales des territoires de chaque MDS présentés ci-dessous sont une synthèse des diagnostics effectués pour définir les priorités du projet de service «Agir pour la solidarité» de chacune d elles. 2.1 Le territoire Bresse / Bourg-en-Bresse Composé des territoires des Maisons de la Solidarité Bresse et Bourg-en-Bresse Le territoire de la MDS Bresse A. Caractéristiques sociales Territoire rural de plaine en ciseau entre deux pôles d attraction urbain (Mâcon et Bourg-en- Bresse). 67 communes. Une croissance démographique supérieure à la moyenne. Une évolution marquée du nombre de mineurs et des monoparents. Mais la part des personnes âgées reste conséquente. Un territoire rural étendu, marqué par le manque de ressources sociales. Une précarisation renforcée par l isolement En 2013, une progression du nombre de bénéficiaires Rsa soumis à droits et devoirs (+8 % sur les 12 mois) supérieure à celle du département, principalement sur le PAS de Pont-de-Vaux. Un nombre de demandes d aides financières en constante augmentation. Un isolement social et relationnel pour les nouveaux habitants et les personnes précaires, accentué par l habitat dispersé et isolé ainsi que par l étendue du territoire. Une part de personnes âgées de plus de 60 ans qui reste importante et supérieure à la moyenne départementale sur tout le territoire et plus particulièrement sur le PAS de Pont-de-Vaux. Une offre de logements peu diversifiée Peu de logements sociaux et une absence de structures d hébergement. Un soutien à la parentalité à renforcer Un taux de croissance des mineurs supérieur à celui du département. De nombreuses naissances et plus particulièrement sur le PAS de Montrevel. Une part des mineurs en mesure de protection de l enfance supérieure à la moyenne départementale fin 2012 (1,65 % contre 1,56 dans l Ain), mais une part importante s effectuait à domicile. Des problématiques jeunesse en évolution : sortie de scolarité sans diplôme et habitudes addictives fréquentes. Un accès aux droits et pôles de services difficile pour les personnes en difficulté Aucune permanence des organismes sociaux en dehors de la MSA, d où une sollicitation importante des PAS pour des demandes qui ne relèvent pas du Conseil départemental. Des problématiques de mobilité pour les personnes en difficulté économique et/ou sociale. B. État des lieux de l animation de la vie sociale Ce territoire n est pas pourvu de structures de l AVS mais les acteurs sociaux (Conseil départemental, Caf, association d aide à domicile ) ont développé des actions collectives à partir desquelles des points d appui potentiels pourraient permettre de développer des réflexions autour de projets d AVS. 13

14 2.1.2 Le territoire de la MDS de Bourg-en-Bresse A. Caractéristiques sociales 53 communes, 3 bassins de vie : Bourg-en-Bresse et Agglomération, Revermont, Bugey/Vallée de l Ain. La plus peuplée des MDS ( habitants au recensement 2009) mais avec une évolution de la croissance démographique différenciée entre la ville centre (perte de population) et les zones rurales (installations nombreuses de populations nouvelles). Une hétérogénéité des besoins entre la zone urbaine et les zones rurales Existence d un partenariat actif et de nombreuses réponses développées sur ce territoire, particulièrement sur Bourg-en-Bresse et son agglomération dans le cadre de la politique de Développement social urbain. Des réponses innovantes à adapter pour les élargir aux zones rurales. Une pauvreté importante qui touche différents publics 25 % des bénéficiaires du Rsa du département résident sur la MDS. L étude «pauvreté précarité dans l Ain» réalisée en 2010 a montré que Bourg-en-Bresse enregistrait les effectifs les plus élevés de populations pauvres et précaires du département, avec des taux supérieurs à la moyenne régionale. Une précarité grandissante des personnes âgées avec notamment des problèmes de surendettement. De nombreuses familles monoparentales, avec une surreprésentation des bénéficiaires du Rsa seuls avec enfants est surreprésentée, ce qui renforce l isolement social ou relationnel et l accès à l emploi. Des problématiques de déplacements (personnes âgées, bénéficiaires du Rsa, mais aussi familles avec enfants venues s installer en milieu rural ). Trois quarts de l enveloppe des crédits déconcentrés pour les publics en Rsa affectés au problème de la mobilité. Des difficultés familiales qui impactent l éducation et la prise en charge des enfants Des équipes qui constatent des troubles d adaptation sociale dès la maternelle, des difficultés de langage, des enfants de plus en plus livrés à eux-mêmes du fait de la vie quotidienne des parents et des enfants tiraillés par les violences familiales des parents (séparations conflictuelles, violences conjugales ). Une part de mineurs bénéficiant de mesures de protection de l enfance supérieure à la moyenne départementale (2, 74 % sur la MDS contre 1,56 % dans l Ain) et le taux le plus élevé sur Bourg-en- Bresse. L accès aux droits sociaux rendu difficile par l évolution des services publics Un éloignement des centres administratifs sur les secteurs ruraux et périurbains et une dématérialisation des modes de contact des administrations qui fragilise certains publics, des quartiers ou des populations, en difficulté pour se loger décemment. Les difficultés des jeunes à construire un parcours logement cohérent. L augmentation du nombre d aides concernant la précarité énergétique sur certains secteurs de Bourg-en-Bresse. 14

15 Population concernée par un centre social ou espace de vie sociale : habitants Territoire MDS Bourg-en-Bresse : habitants. Espace de Centres sociaux vie sociale 2013 CS de la Reyssouze à Bourg-en- Bresse CS des Vennes à Bourg-en- Bresse CS Amédée Mercier à Bourg-en- Bresse CS Terre en couleurs à Bourg-en- Bresse Pôle socioculturel à Saint-Denislès-Bourg CS Agora à Péronnas EVS Le Plateau à Bourg-en- Bresse Type de gestion Caf/Asso Caf/Asso Caf/Asso Asso Asso Asso Asso Territoire 4 quartiers Quartier Quartier Quartier Commune hab Commune hab Politique ville Oui Veille Oui Oui Non Veille Non Convention pluripartite ou quadri Nb adhésions individuelles Quartier Non Non Non Non Oui À venir Non adhésion familiale adhésion familiale Nb adhésions familles adhésion individuelle adhésion individuelle adhésion familiale / adhésion individuelle Nb bénévoles Nb de partenaires de projet Action spécifique moins 6 ans Oui Oui Oui Oui Non Oui Non Action spécifique 6/11 ans Non Non Non Oui Oui Non Non Action spécifique 12/18 Oui Oui Non Oui Oui Oui Non Action spécifique adultes Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Action spécifique séniors Oui Non Non Non Oui Oui Oui Animation collective famille (% de temps de travail) 100 % 100 % 100 % 100 % 50 % En cours / Nb ETP 18, ,5 8 4,1 2 1,5 Budget total, dont les contributions volontaires et gestion structures petite enfance, ALSH, LAEP, CLAS e e e e e e e 77 B.État des lieux de l animation de la vie sociale 6 centres sociaux et 1 espace de vie sociale, 51 % de la population de ce territoire sont concernés par une structure de l AVS. 3 centres sociaux en gestion Caf et associative, 1 centre social associatif et un espace de vie sociale associatif sur la ville de Bourg-en-Bresse. Les deux autres centres se trouvent sur deux communes de la première couronne. 3 centres sociaux sont sur un territoire en politique de la ville et 2 en contrat de veille. À la fin 2016, tous les centres sociaux auront un agrément animation collective famille. On peut considérer que ce bassin de vie burgien est bien équipé. Des qualités de partenariats avec les CS/EVS très diverses, selon les structures, les antériorités, les personnes en place. Constat d un territoire où l on pointe une plus grande stabilité des acteurs en présence que sur d autres territoires, avec les avantages et les limites. Quelques actions collectives portées par les travailleurs sociaux Caf et Conseil départemental, en lien avec les centres sociaux. 15

16 C. Territoires où il n y a pas de structure de l AVS mais des besoins évoqués La communauté de communes Rives de l Ain Pays du Cerdon, dont la commune de Pont-d Ain, connaît des problématiques fortes de précarité et d isolement. La commune de Villereversure rencontre également une problématique d isolement et d arrivée de populations nouvelles. 2.2 Le territoire Dombes/Côtière Val de Saône Composé des territoires des maisons de la solidarité Dombes et Côtière Val de Saône Le territoire de la MDS Dombes A.Caractéristiques sociales Un territoire rural en transition, proche de Lyon, caractérisé par la présence d étangs (Pays aux «1 000 étangs»), 60 communes et 5 intercommunalité. Une croissance démographique importante (2 e MDS pour le plus fort taux de croissance en 10 ans) essentiellement dû à l arrivée de nouveaux ménages habitants en Une partie importante des actifs qui travaille hors du territoire et une évolution de fonctionnement des nouveaux habitants qui font apparaître de nouveaux besoins : problématiques éducatives, isolement social et relationnel. L existence d actions coordonnées et des services de proximité mais inégalement développés sur l ensemble de la MDS. Des familles à soutenir Une augmentation importante du nombre de mineurs (29 % en 10 ans) et de jeunes adultes. Des familles qui sollicitent les PAS pour des demandes de soutiens éducatifs : lors de crises ou conflits avec leurs adolescents. Les conflits entre les parents qui retentissent sur les enfants. Une progression importante des mesures de protection de l enfance. Une précarisation disparate Un nombre d allocataires du Rsa peu élevé mais en augmentation continue (661) et avec une part importante d allocataires monoparentaux 38,4 % (33 dans Ain). Un faible taux de chômage qui masque cependant une forte progression sur certains secteurs du territoire (le nombre de chômeurs a augmenté de façon plus importante que dans l Ain pour le PAS de Châtillon + 36,6 %). Des demandes d aides financières qui progressent, principalement pour l alimentation et le logement (persistance d une offre de logement de qualité médiocre sur certains secteurs). Des personnes dépendantes à prendre en compte Le nombre de personnes âgées de 75 ans et plus a augmenté de 28,1 % en 10 ans et plus fortement sur le PAS de Châtillon. Un nombre important de personnes dépendantes maintenues à leur domicile dans le cadre de l APA qui repose sur l existence d un réseau important de partenaires et l existence de solidarités naturelles à soutenir et développer. Un isolement social, relationnel et géographique important Des problématiques de mobilité et plus particulièrement pour les personnes percevant le Rsa, les personnes âgées et certains nouveaux habitants. 16

17 B.État des lieux de l animation de la vie sociale Population concernée par un centre social ou espace de vie sociale : habitants ( si Communauté de communes Val de Saône/Chalaronne) - Territoire MDS Dombes : habitants Centres sociaux 2013 Chalamont Chatillon-sur-Chalaronne Thoissey Type de gestion Asso Asso Asso Territoire Intercommunalité hab Ville hab réflexion interco en cours Ville hab réflexion interco en cours Politique ville Non Non Non Convention pluripartite ou quadri Quadri-partite Tri-partite Non Nb adhésions individuelles Adhésion familiale Nb adhésions famillles Adhésion individuelle Nb bénévoles Nb de partenaires de projet Action spécifique moins 6 ans Oui Oui Non Action spécifique 6/11 ans Oui Oui Oui Action spécifique 12/18 Oui Oui Oui Action spécifique adultes Oui Oui Oui Action spécifique séniors Oui Non Non Animation collective famille (% de temps de travail) 100 % 100 % 0 % Nb ETP 14,2 19,2 9 Budget total, dont les contributions volontaires et gestion structures petite enfance, ALSH, LAEP, CLAS e e e 3 centres sociaux : 31,3 % de la population sont concernés par un centre social. Un pacte de coopération a été signé entre la Communauté de communes du canton de Chalamont, l association du centre social Mosaïque, le Conseil départemental et la Caf. Seul le centre social de Thoissey ne bénéficie pas encore d un agrément animation collective famille. Une volonté de travail en commun : participation des centres sociaux aux journées d accueil des nouveaux bénéficiaires Rsa ; coorganisation par les 3 centres sociaux, la Caf et la MDS du forum des acteurs sociaux et médico-sociaux en juin Bonne interconnaissance des acteurs. Quelques actions collectives portées par les travailleurs sociaux Caf et Conseil départemental, en lien avec les centres sociaux. C.Territoires où il n y a pas de structure de l AVS mais des besoins évoqués Montmerle : une volonté politique des élus qui ont mis en œuvre une ABS. Celle-ci a fait ressortir des problématiques intergénérationnelles et de jeunesse. Vonnas : des besoins et un travail à engager. Saint-André-de-Corcy : la commune se développe. Existence d un centre de loisirs qui pourrait évoluer vers un EVS. Ambérieux-en-Dombes et Sainte-Olive : réflexion intercommunale sur un EVS qui pourrait s appuyer sur l association Oxy Jeunes. Villars-les-Dombes : réflexion communale sur la création d un centre social. 17

18 2.2.2 Le territoire de la MDS Côtière Val de Saône A.Caractéristiques sociales Territoire caractérisé par une forte attraction de Lyon et de sa grande métropole et par la présence d un camp militaire important. 33 communes, 5 communautés de communes. La commune de Jassans-Riottier est rattachée à une intercommunalité du Rhône. 2 bassins de vie : la Côtière et le Val de Saône. Une MDS caractérisée par la plus forte densité de population et la plus petite superficie ( habitants) mais un taux de croissance de la population inférieur à la moyenne départementale, essentiellement lié à la croissance naturelle. Une inégale évolution des populations selon les territoires : augmentation importante des mineurs et jeunes mais aussi des + 60 ans (sur tous les PAS) qu il conviendra d anticiper et une part de monoparents importante (principalement sur le PAS de Jassans). Une hétérogénéité des besoins et des ressources due à la présence de territoires ruraux et périurbains, mais aussi de quartiers avec des problématiques urbaines et des publics aux besoins spécifiques. Enfance, famille et jeunesse : un travail partenarial à poursuivre Une quasi-stabilité du nombre de naissances et un nombre de mesures de protection de l enfance inférieur à la moyenne départementale mais des besoins nouveaux et des difficultés parentales par rapport aux jeunes enfants et aux adolescents : isolement des familles monoparentales, modes de garde inadaptés aux horaires des parents, conflits familiaux impactant les enfants, décrochage scolaire. Un réseau parentalité organisé et de nombreuses actions mises en place sur la Côtière à consolider et un travail partenarial à développer côté Val de Saône. Une tension importante sur le logement Peu de rotation dans les logements les plus anciens aux loyers moins élevés et dans certains quartiers. L inexistence de logements d urgence, accentuée par la fermeture du Foyer de Trévoux, qui pénalise les habitants les plus précaires, notamment les femmes victimes de violences intrafamiliales. Pauvreté /précarité et cohésion sociale Des indicateurs de pauvreté inférieurs à la moyenne départementale, mais une hétérogénéité selon les secteurs (taux de Rsa majoré supérieur à la moyenne départementale sur Jassans) et une part d allocataires Caf avec un taux d effort au logement élevé chez les locataires du parc privé et ceux en accession (supérieur à 30 %). Des difficultés d insertion pour les gens du voyage, qu ils soient ou non bénéficiaires du Rsa. Un isolement et une paupérisation marquée pour les familles monoparentales et les personnes âgées. Accès aux droits, aux soins et pôles de services Des difficultés de mobilité (axes secondaires) malgré un bon niveau d équipement en matière de transports sur les grands axes. Des difficultés d accès aux soins principalement psychiatriques. La complexification des démarches administratives tant numérique que papier, à laquelle s ajoute la suppression progressive des permanences locales des institutions, fragilise les publics précaires. 18

19 Population concernée par un centre social ou espace de vie sociale : habitants Territoire MDS Côtière Val de Saône : habitants. Espace de Centres sociaux vie sociale 2013 CS Le Tournesol à Trévoux CS Louis Aragon à Trévoux CS L Espace à Reyrieux CS à Montluel CS Cesam à Miribel CS Artémis à St-Mauricede-Beynost CS Mosaïque à Jassans EVS Grain de sel à Ars-sur- Formans Type de gestion Asso Asso Asso Municipal Asso Asso Asso Asso Territoire Quartier Quartier Ville hab Ville hab Ville hab Ville hab Ville hab Politique ville Non Non Non Oui Non Non Non Non Convention pluripartite ou quadri Ville hab Non Non Tripartite Non Tripartite À venir Tripartite Tripartite Nb adhésions individuelles NC Nb adhésions familles NC Nb personnes concernées par au moins une action NC Nb bénévoles NC Nb de partenaires de projet NC 5 14 Action spécifique moins 6 ans Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Action spécifique 6/11 ans Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Action spécifique 12/18 Oui Oui Non Non Oui Oui Oui Oui Action spécifique adultes Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Oui Action spécifique séniors Non Oui Oui Non Non Non Non Non Animation collective famille (% de temps de travail) 75 % 75 % 100 % 100 % 100 % 100 % 80 % / Nb ETP 19 8,1 24,4 8 8,5 5,2 12,8 3,6 Budget total, dont les contributions volontaires et gestion structures petite enfance, ALSH, LAEP, CLAS e e e e e e e e B.État des lieux de l animation de la vie sociale 7 centres sociaux et 1 espace de vie sociale. 45 % de la population ont accès à une structure de l animation de la vie sociale. 7 structures sont en gestion associative et 1 en gestion municipale. Le centre social de Montluel est sur un territoire en politique de la ville, ceux de Miribel et Saint- Maurice-de-Beynost sur un territoire en «contrat de veille active». Il existe une dynamique de partenariat des acteurs locaux avec les trois centres sociaux sur la Côtière notamment sur la thématique de l accès aux droits. Tous les centres sociaux ont un agrément animation collective famille. De nombreuses actions collectives portées par les travailleurs sociaux Caf et Département sont en partenariat avec les centres sociaux de ce territoire. On peut considérer que ce territoire est bien doté en structures de l animation de la vie sociale. 19

20 2.3 Le territoire Haut-Bugey / Bellegarde-Pays de Gex Composé des territoires des Maisons de la Solidarité Haut-Bugey et Bellegarde/ Pays de Gex Le territoire de la MDS Haut-Bugey A.Caractéristiques sociales Un territoire situé dans le massif du Jura (lacs et moyenne montagne), connu pour sa monoindustrie (Plastics Vallée). Un bassin de vie homogène : 37 communes et une quasi-superposition entre les territoires, MDS, intercommunalité et SCOT (moins une commune) depuis 01/2014. Un taux de croissance démographique le plus faible du Département (0,17 % par an) : départs de jeunes adultes compensés par un solde naturel élevé. Une implantation importante de population immigrée et étrangère (19 % contre 10,4 % dans l Ain). Une homogénéité des problématiques sociales mais une disparité des ressources sociales entre les bassins d Oyonnax et de Nantua. Précarité et pauvreté en hausse allocataires du RSA, dont 63 % allocataires du Rsa socle contre 59 % pour le département avec trois quarts d entre eux sur le PAS d Oyonnax. Un taux de chômage en forte progression depuis 2008, le plus élevé du département (1 er trimestre 2012 : 9,6 % sur la zone d emploi contre 6,9 % sur l Ain). Une augmentation des demandes d aides financières adressées à la coordination à laquelle s ajoute une hausse des demandes alimentaires dans les associations caritatives. Des problématiques de mobilité et de déplacements pour l emploi et l accès aux droits Une population marquée par le manque de qualification, des difficultés de maîtrise de la langue française et des problématiques de santé spécifiques. Des difficultés éducatives et parentales en évolution Une augmentation des problématiques liées aux conflits de couples qui pèsent sur la parentalité. Des difficultés psychiques voire psychiatriques des parents, qui impactent et accroissent les difficultés à assumer leur rôle éducatif avec une insuffisance de ressources médicales et/ou éducatives. Un nombre de mesures d enfants placés supérieur à la moyenne départementale (48 % contre 44 % dans l Ain) et plus encore sur le PAS de Nantua. Des difficultés éducatives dues pour partie à la spécificité des normes culturelles différentes avec des populations d origines diverses. Des difficultés dans la maîtrise de la langue française repérées dès la maternelle. Un parc social important mais ancien Un parc de logements sociaux le plus important du département mais avec des logements anciens et énergivores et un déséquilibre d implantation sur le territoire. Une part importante de logements vacants (due aux départs de familles et à la décohabitation) qui attire une nouvelle population (origine européenne, peu qualifiée). 20

21 Population concernée par un centre social ou espace de vie sociale : habitants Territoire MDS Haut-Bugey : habitants. Centres sociaux 2013 CS Ouest/La Plaine à Oyonnax CS Est à Oyonnax CS Jacques Prévert à Bellignat CS et culturel les Épicéas à Arbent Type de gestion Caf/Asso Asso Asso Asso Territoire Quartiers Quartier Ville hab Ville hab Politique ville Oui Oui - Veille Oui Oui - Veille Convention pluripartite ou quadri Oui Non Non Tripartite Nb adhésions individuelles Adhésion familiale 168 Adhésion familiale 819 Nb adhésions familles Adhésion individuelle Nb bénévoles Nb de partenaires de projet Action spécifique moins 6 ans Oui Oui Oui Oui Action spécifique 6/11 ans Oui Oui Oui Oui Action spécifique 12/18 Oui Oui Oui Oui Action spécifique adultes Oui Oui Oui Oui Action spécifique séniors Oui Oui Non Oui Animation collective famille (% de temps de travail) 100 % 100 % 70 % 80 % Nb ETP 25 9,5 9,65 15,5 Budget total, dont les contributions volontaires et gestion structures petite enfance, ALSH, LAEP, CLAS e e e e B.État des lieux de l animation de la vie sociale 4 centres sociaux dont 3 en gestion associative et 1 en gestion Caf et associative. 50 % de la population concernée par un centre social. Les centres sociaux d Oyonnax Ouest et Bellignat sont sur un territoire en politique de la ville. Tous les centres sociaux ont un agrément animation collective famille. Une habitude d un travail partenarial renforcé grâce au Contrat urbain de cohésion sociale mis en place sur Oyonnax et l existence de solidarités naturelles sur lesquelles s appuyer. Un lien important entre le centre social Oyonnax Ouest et les actions collectives portées par les partenaires sociaux. Quelques actions collectives sont menées sans lien avec les centres sociaux, notamment à Nantua et son bassin de vie. C.Territoires où il n y a pas de structure de l AVS mais des besoins évoqués Nantua : réflexion communale autour de l utilisation de l ancienne gare en vue de la création d un EVS. Montréal-La-Cluse : une perspective d EVS pour Izernore. 21

22 2.3.2 Le territoire de la MDS Bellegarde/Pays de Gex A.Les caractéristiques sociales Entre hauts sommets jurassiens et la Suisse : un territoire impacté par l agglomération genevoise. 41 communes, 2 communautés de communes (Pays de Gex et Bassin bellegardien) correspondant à 2 bassins de vie. La croissance de la population la plus importante du département (taux moyen annuel de 2,18 % contre 1,34 % pour le l Ain), très majoritairement liée à l installation de nouveaux ménages. Le taux d immigration le plus élevé du département, pouvant atteindre 35,8 % sur le PAS de Ferney-Voltaire. Un territoire marqué par la proximité avec la Suisse. Une pauvreté et une précarité accentuées par le différentiel de revenus et le coût de la vie élevée Des indicateurs de précarité préoccupants : une part d allocataires Caf avec des minimas sociaux et un taux de chômage (1 er trim. 2012) supérieurs à la moyenne départementale, mais un plus faible taux de bénéficiaires Rsa. Une cherté de la vie qui se traduit par une augmentation des demandes d aides financières et cela pour des publics divers (travailleurs, personnes âgées). Un isolement social et relationnel lié à l éloignement des familles d origine, l absence de solidarités naturelles et d entraide, la diversité culturelle et la paupérisation. Le contexte transfrontalier entraîne une grande précarité, entre autres pour les personnes arrivant des pays de l Est et du Nord qui perdent leur travail et pour qui l accès aux droits communs n est pas possible. Un accès au logement social difficile Malgré une augmentation du nombre de logements sociaux, l accès est désormais difficile sur tout le territoire et le parc privé est inabordable du fait de loyers très élevés. Un manque de places pour l hébergement d urgence. Une mobilisation conséquente des aides financières due à un taux d effort pour le logement très élevé et accentuée par une précarité énergétique sur certains secteurs. Des démarches complexes et laborieuses pour les demandeurs de logements sociaux mais l existence d un guichet unique logement sur Bellegarde qui montre son intérêt. Un accès aux droits souvent complexe et particulièrement difficile Une présence insuffisante des organismes publics et une évolution de leurs offres de services qui ne prend pas toujours en compte les besoins particuliers de cette population avec des statuts changeants et en provenance du monde entier. Les PAS sont énormément sollicités pour des tâches d explication et d aide au remplissage de documents qui ne relèvent pas du Conseil départemental. Une offre de soins limitée pour tous les publics (éloignement des hôpitaux, médecins généralistes et dentistes qui refusent de nouveaux clients, dépassements d honoraires importants, déplacements au domicile de plus en plus rares, même pour les personnes âgées). Famille, enfance, jeunesse : un soutien à poursuivre Malgré la plus forte évolution du nombre de mineurs du département, la MDS repère une relative stabilité du nombre de mesures de protection de l enfance, voire une diminution du nombre de placements. Ceci peut s expliquer par une politique de prévention large et de coordination des acteurs qui commence à porter ses fruits. 22

23 Des problématiques éducatives nouvelles à prendre en compte : enfants et/ou parents avec des troubles psychiques, des séparations conflictuelles impactant les enfants, des problématiques d addiction et de décrochage scolaire pour les plus grands. B.État des lieux de l animation de la vie sociale Population concernée par un centre social ou espace de vie sociale : habitants Territoire MDS Bellegarde / Pays de Gex : habitants. Centres sociaux 2013 CS Hauts de Bellegarde CS Maison de Savoie à Bellegarde-sur-Valserine CS et culturel Les Libellules à Gex Type de gestion Asso Caf/Asso Asso Territoire Quartiers Quartier Ville hab Politique ville Veille Veille Non Convention pluripartite ou quadri Tripartite Oui Tripartite Nb adhésions individuelles 14 Adhésion familiale 280 Nb adhésions familles Nb bénévoles Nb de partenaires de projet Action spécifique moins 6 ans Non Non Non Action spécifique 6/11 ans Oui Oui Oui Action spécifique 12/18 Oui Oui Oui Action spécifique adultes Oui Oui Oui Action spécifique séniors Non Non Non Animation collective famille (% de temps de travail) 100 % 100 % 100 % Nb ETP 5,7 6,2 6 Budget total, dont les contributions volontaires et gestion structures petite enfance, ALSH, LAEP, CLAS e e e Seuls 20 % de la population ont accès à une structure de l animation sociale contre 39 % en moyenne sur le département. 2 centres sociaux, dont 1 en gestion Caf et associative sur la commune de Bellegarde qui est sur territoire en contrat de veille politique de la ville. Tous les centres sociaux ont un agrément animation collective famille. Quelques actions collectives en lien avec le centre social de Gex, quelques actions collectives sont portées en partenariat avec la Caf et le Département. Plus d action collective actuellement sur la commune de Bellegarde. 2 actions collectives sont menées sur la commune de Saint-Genis-Pouilly. 2 territoires en politique de la ville sans structure d animation de la vie sociale. C.Territoires où il n y a pas de structure de l AVS mais des besoins évoqués L entrée en politique de la ville de Ferney-Voltaire et Saint-Genis-Pouilly a créé une dynamique partenariale pouvant conduire à deux projets de structures. Ferney-Voltaire : une volonté des élus à animer la commune, un projet d EVS est envisagé. Saint-Genis-Pouilly : existence d une dynamique des élus qui pourrait aboutir sur la réflexion autour de la création d un EVS. 23

24 2.4 Le territoire Bugey/Plaine de l Ain Composé des territoires des Maisons de la Solidarité Bugey et Plaine de l Ain Le territoire de la MDS Bugey A.Les caractéristiques sociales de ce territoire Un territoire situé majoritairement en moyenne montagne, constitué de bourgs et de nombreux villages à l exception de l aire urbaine de Belley. 80 communes et 4 communautés de communes. La plus grande MDS en superficie mais la plus faible en densité de population (46 habitants au km 2 contre 102 en moyenne dans l Ain). Une croissance annuelle moyenne de la population entre 1999 et 2009 supérieure à celle du département (1,49 % contre 1,34 % dans l Ain) liée à l arrivée de populations nouvelles, principalement des familles avec enfants. Malgré cela, le secteur reste soumis au vieillissement de la population avec une part des 60 ans et plus supérieure à la moyenne départementale. Des difficultés d accès aux droits Les caractéristiques du territoire compliquent les déplacements vers les services publics et de soins, qui sont par ailleurs peu nombreux voire absents sur certains secteurs (centrés sur Belley). Des sollicitations accrues des PAS pour faire face à l évolution des offres de services des organismes sociaux (dématérialisation des contacts, plates-formes d appels ). Un taux de médecins pour la population inférieur à la moyenne départementale et pourtant surévalué par la présence d établissements de soins sur le plateau d Hauteville. Une précarité qui se renforce et se transforme Une part d allocataires Caf à bas revenus dans la population des moins de 65 ans (13,3 %) supérieure à la moyenne départementale (11,1 %). Une population couverte par le Rsa légèrement supérieure à la moyenne départementale (3,6 % contre 3,4 % dans l Ain). Une augmentation en volume et en montant des aides financières, avec une pauvreté qui s accentue et se transforme (travailleurs pauvres, personnes âgées). Un isolement social, familial et relationnel qui touche toutes les tranches d âge. C est sur le PAS de Culoz que l on trouve la part la plus importante de bénéficiaires des minima sociaux (23,2 %) parmi les allocataires Caf du territoire de la MDS ainsi que la part la plus importante d immigrés (9,4 %) dans la population. Une évolution des besoins des familles avec enfants Une croissance du nombre de mineurs très supérieure à la moyenne départementale sur Belley et Culoz (26, 8 % et 23,4 % contre 16,6 % dans l Ain), un taux de mineurs avec des mesures de protection de l enfance supérieur à la moyenne départementale. Une progression du nombre de familles monoparentales sur le PAS de Belley. Des difficultés croissantes dans la fonction parentale avec des besoins qui évoluent et bousculent les normes éducatives : conflits de couples avec répercussions sur les enfants, pratique des écrans et des réseaux sociaux, problématiques ados Un accès au logement relativement facile Mais des charges de chauffage importantes dans un contexte climatique montagnard, accentué par un parc de logements privés souvent anciens et énergivores. 24

25 B.État des lieux de l animation de la vie sociale Population concernée par un centre social ou espace de vie sociale : habitants Territoire MDS Bugey : habitants. Centres sociaux Espaces de vie sociale 2013 CS L Escale à Belley CS culturel des 7 Lieux à Hauteville-Lompnes Asso Ain-terlude à Champagne-en-Valromey Type de gestion CCAS Asso Asso Territoire Ville hab Intercommunalité hab Intercommunalité hab Politique ville Oui Non Non Convention pluripartite ou quadri Non Quadri Tripartite Nb adhésions individuelles / Nb adhésions familles / Nb bénévoles Nb de partenaires de projet Action spécifique moins 6 ans Oui Oui Oui Action spécifique 6/11 ans Oui Oui Oui Action spécifique 12/18 Oui Oui Oui Action spécifique adultes Oui Oui Non Action spécifique séniors Non Oui Non Animation collective famille (% de temps de travail) 100 % 100 % / Nb ETP Budget total, dont les contributions volontaires et gestion structures petite enfance, ALSH, LAEP, CLAS e e e 43 % de la population ont accès à une structure de l animation de la vie sociale. 2 centres sociaux dont 1 en gestion municipale sur Belley ayant un quartier en politique de la ville. 1 centre social et un EVS situés dans les reliefs du Bugey. Un pacte de coopération a été signé entre la communauté de communes du Plateau d Hauteville, la commune d Hauteville-Lompnes, l association du centre social et culturel, le Conseil départemental et la Caf. Tous les centres sociaux ont un agrément animation collective famille. Quelques actions collectives portées par les travailleurs sociaux Caf et Conseil départemental. Des initiatives associatives qui émergent à partir d actions innovantes, ex. : Ma Barrac, Oasis. C.Territoires où il n y a pas de structure de l AVS mais des besoins évoqués Culoz Communauté de communes Rhône Chartreuse de Portes. Seyssel : des tentatives interpartenariales Ain/ Haute-Savoie ont été entreprises mais sans aboutissement. 25

26 2.4.2 Le territoire de la MDS Plaine de l Ain A.Les caractéristiques sociales Un territoire contrasté avec des zones urbaines et des zones extrêmement rurales, majoritairement situées en plaine, qui bénéficie de l attractivité de Lyon. 45 communes et 2 communautés de communes (Plaine de l Ain et Vallée de l Albarine). Une croissance de la population supérieure à la moyenne départementale due à l arrivée de populations nouvelles. Pour autant le solde naturel reste important habitants au recensement Et une progression des + 60 ans sur Meximieux. Progression forte des monoparents supérieure à la moyenne départementale. Enfance, famille jeunesse Une évolution du nombre des mineurs et des jeunes sur les PAS d Ambérieu et de Lagnieu. Peu d alternative à la garde des jeunes enfants chez les assistantes maternelles et peu de possibilités de gardes ponctuelles. Une étude récente a permis l arrivée récente de la prévention spécialisée. Un délitement de la cellule familiale et des problématiques parentales importantes qui ont des répercussions sur les enfants. Pauvreté/précarité : une inégale répartition selon les territoires Une persistance de l emploi, malgré des chiffres du chômage qui progressent. L emploi intérimaire est important mais avec des répercussions budgétaires lors de changements de situation. La part des bénéficiaires Rsa dans la population est inférieure à la moyenne départementale, mais avec de grandes différences selon les territoires : très faible sur le canton de Meximieux et forte sur celui de Saint-Rambert. Ces chiffres corroborent ceux des allocataires à bas revenu Caf. Les difficultés budgétaires sont de plus en plus nombreuses, la part importante des ressources consacrées au logement et à ses charges accentuant ces difficultés. L existence sur certaines zones d un parc de logements privés à bas prix mais vétustes Des logements sociaux qui se concentrent sur les grosses communes (42 % des communes ne disposent pas d un parc public), compensés par une offre locative privée à bas prix, mais avec des conditions de vétusté et des charges liées au logement extrêmement élevées. Un vieillissement important d une partie du territoire à anticiper La croissance du nombre de personnes de plus de 75 ans est plus forte qu au niveau départemental. Leur nombre augmente plus fortement sur le PAS de Meximieux que sur les deux autres PAS. Des besoins qui augmentent : vulnérabilité, paupérisation, insalubrité. Un besoin de soutien et de répit pour les aidants. L accès aux droits et pôles de services Un accès difficile aux pôles de services pour certains habitants des zones rurales. Des personnes démunies face à l écrit et au numérique. 26

27 B.État des lieux de l animation de la vie sociale Population concernée par un centre social ou espace de vie sociale : habitants (si totalité Ambérieu) - Territoire MDS Plaine de l Ain : habitants. Centres sociaux Espaces de vie sociale 2013 CS Le Lavoir à Ambérieu-en-Bugey CS culturel de l Albarine à St-Rambert-en-Bugey Asso Jeux Resto Centre à St-Maurice-de- Gourdans/St-Jean-de- Niost Corde Alliée à Ambérieu-en-Bugey 2014 Type de gestion Asso Asso Asso Asso Territoire Ville hab Intercommunalité hab 2 communes hab Basse de vie d Ambérieu hab Politique ville Oui Non Non Oui/Non Convention pluripartite ou quadri Quadri Tripartite Tripartite Non Nb adhésions individuelles Pas de principe Nb adhésions familles d adhésion au-delà des membres du CA Nb bénévoles Nb de partenaires de projet Oui Action spécifique moins 6 ans Oui Oui Oui Non Action spécifique 6/11 ans Oui Oui Oui Oui Action spécifique 12/18 Oui Oui Oui Oui Action spécifique adultes Oui Oui Oui Oui Action spécifique séniors Oui Oui Oui Oui Animation collective famille (% de temps de travail) 100 % 100 % / / Nb ETP 5 5,4 8 0,6 Budget total, dont les contributions volontaires et gestion structures petite enfance, ALSH, LAEP, CLAS e e e e 35 % de la population ont accès à une structure de l animation de la vie sociale. 2 centres sociaux associatifs et 2 EVS associatifs. Le centre social d Ambérieu-en-Bugey se trouve sur un nouveau quartier en politique de la ville. Il est signataire d un pacte de coopération avec la commune d Ambérieu-en-Bugey, le Conseil départemental et la Caf. Le centre social de la Vallée de l Albarine va bénéficier d un contrat de territoire dont l ensemble des acteurs de la politique de la ville seront signataires. Tous les centres sociaux ont un agrément animation collective famille. Peu d actions collectives en lien avec un centre social. Quelques actions collectives où il n y a pas de centre social. C.Territoires où il n y a pas de structure de l AVS mais des besoins évoqués Meximieux. Lagnieu. Loyettes. 27

28 IV/ Les orientations 2016/2020 Des valeurs partagées par les trois signataires autour d une même conception du centre social qui adapte des missions d intérêt général aux besoins des habitants du territoire et avec leur implication. 1) La stratégie à l échelle départementale 1.1 Objectif n 1 : formaliser les relations partenariales entre les trois signataires et partager une veille stratégique sur les réalités et besoins locaux Les partenaires s engagent à : participer à l analyse commune des projets sociaux portés par les équipements, analyse qui sera l un des éléments que la Caf prendra en compte dans les décisions d agrément qu elle rend. alerter les autres signataires en cas de sollicitations unilatérales des acteurs locaux, sur les domaines couverts par la présente convention. faciliter la poursuite du travail en commun des professionnels de la Caf, du Conseil départemental et de la Fédération des centres sociaux. articuler le travail des 3 signataires avec celui du Schéma départemental des actions éducatives et des services aux familles de l Ain (pour l accompagnement des territoires non-couvert, notamment). partager des enjeux stratégiques et des domaines d interventions dans lesquels les centres sociaux peuvent servir de points d appui importants (jeunesse, accueil des usagers, actions collectives d intérêt général ). promouvoir la signature de pactes de coopération entre le centre social, la ou les collectivité(s), la Caf et le Conseil Départemental. A partir d un diagnostic de territoire partagé, le pacte de coopération consiste à formaliser un accord politique ayant pour base le projet social agréé. Il est conclu pour la durée de l agrément. 1.2 Objectif n 2 : développer la mise en réseau des centres sociaux La Fédération des centres sociaux s engage à : permettre et organiser divers espaces de rencontres, d échanges entre acteurs salariés et bénévoles des centres sociaux. développer collectivement des éléments de réponse aux principaux enjeux sociaux jugés comme prioritaires à prendre en compte par les centres sociaux, notamment : renforcer la mixité sociale et générationnelle, le lien social, le «vivre ensemble», l intégration de nouvelles populations ; lutter contre les différentes formes d isolement ; développer les solidarités et des actions collectives visant l intérêt général ; prendre en compte les questions de jeunesse ; renforcer une fonction d éducation citoyenne, renforcer le sens critique et l accès à l information, contribuer aux relations entre citoyens et élus ; permettre et susciter des coopérations entre centres sociaux (développement d actions communes, mutualisation de moyens, échanges d outils ). 28

29 1.3 Objectif n 3 : accompagner les acteurs de terrain (administrateurs bénévoles, directeurs, professionnels) dans la mise en œuvre des projets sociaux La Fédération des centres sociaux s engage à : accompagner au renouvellement et à l évaluation des projets des centres sociaux / structures de proximité en développant des approches participatives. accompagner l émergence de nouveaux centres sociaux ou structures de proximité. accompagner les centres sociaux dans des situations difficiles (prévenir les crises potentielles, faciliter les relations partenariales locales ). développer des actions de formation pour les bénévoles et administrateurs des centres sociaux, des actions de formations pour les salariés des centres, visant notamment l émergence et l accompagnement d actions collectives, seront proposées. accompagner les centres sociaux dans leur démarche de recrutement, en particulier pour le recrutement des directions. développer, avec les centres sociaux, la mise en œuvre de «pactes de coopération» ou «conventions pluripartites» permettant la reconnaissance partagée du projet du centre social. transmettre des informations et analyses concernant l environnement des centres sociaux. exercer/relayer une fonction de veille sur l environnement des centres sociaux. relayer/diffuser et accompagner les centres sociaux à partir d outils travaillés par le réseau fédéral : livret d accueil des administrateurs, outils visant le renforcement de la coopération entre administrateurs et directions 1.4 Objectif n 4 : contribuer au suivi/évaluation des centres sociaux pour renforcer leur projet et leur contribution à l animation de la vie sociale de leur territoire Les partenaires s engagent à : maintenir la diffusion de documents repères pour les centres sociaux et espaces de vie sociale. Les signataires conviennent de l importance de l évaluation comme moyen d améliorer les projets des structures d animation de la vie sociale et de faire état de la bonne utilisation des fonds publics. Dans la prolongation de la convention précédente, ils s engagent à finaliser et diffuser, avec les acteurs concernés, un support de suivi et d évaluation des projets sociaux. faire vivre une démarche de veille «partagée» sur les situations des centres sociaux et espaces de vie sociale, notamment en termes de gestion financière. Dans la continuité de la précédente convention et afin de permettre aux directions d intégrer l ensemble des ces missions, les signataires s accordent sur les missions importantes des directions de centres sociaux en termes de gestion, de développement social, d animation et de relations politiques et stratégiques. Les trois partenaires s engagent à coélaborer, avec les acteurs, des outils de veille et de gestion sur la base des réflexions déjà engagées et les diffuser. mettre en œuvre une communication stratégique. 29

30 Les signataires souhaitent développer une communication permettant de valoriser, auprès des différentes cibles (collectivités locales, familles, bénévoles «potentiels», institutions ), l action quotidienne des centres sociaux et leur plus-value. Les partenaires s engagent notamment à : valoriser des projets et actions de centres sociaux dans les diverses publications de chacun des partenaires, tout en assurant une information complète sur les champs de compétence respectifs des partenaires signataires ; déterminer des indicateurs permettant de valoriser l action des centres sociaux. La Caf et la Fédération des centres sociaux s engagent à faire vivre l observatoire des centres sociaux (SENACS). 1.5 Objectif n 5 : partager, au plan départemental, des réflexions autour de quelques questionnements communs Le devenir des structures AVS dans le contexte de réforme territoriale, notamment avec la loi NOTRe ( Nouvelle Organisation Territoriale de la République ) Nous constatons sur plusieurs territoires ( CC de l Albarine, CC du Plateau d Hauteville, CC du Valromey que la question des compétences sociales d une nouvelle communauté de communes aura une incidence importante sur les structures de l AVS. En effet, sur certains territoires, cette compétence risque de revenir aux communes avec toutes les incertitudes que cela suppose. Par ailleurs, quelques réflexions sont en cours pour aller vers des projets de centres intercommunaux d action sociale. La place des structures de l AVS et l implication des habitants dans les territoires de la politique de la ville La nouvelle politique de la ville demande aux collectivités de mettre en place des conseils citoyens. La question de la place des centres sociaux se pose car ils ont dans leurs fondements la participation des habitants en fonction des choix locaux et des contextes. 30

31 2) La stratégie à l échelle territoriale 2.1 Objectif n 1 : renforcer les partenariats autour des structures de l animation de la vie sociale Développer : Objectifs Leviers Indicateurs d évaluation Une dynamique collective autour d une même vision pour peser, prendre en compte les réalités sociales des territoires, pour interpeller les élus et autres partenaires Une veille commune du territoire, la plus-value d un croisement des regards, des informations. Une meilleure inter-connaissance des structures, des personnes Des rencontres d opérateurs de terrain où le centre social peut être le moteur. Le renforcement des cultures communes autour du développement social local Développer des repères communs, y compris dans les termes utilisés (habitants, bénéficiaires, usagers, ménages ). La mise en place de formations-actions dans la durée à l échelle des territoires associant des interlocuteurs des différentes structures, CS/ Caf/MDS (approche DSL). Nombre de rencontres croisées, d implication et de projets et/ou actions qui mobilisent les différents partenaires Un partage de compétences, une complémentarité d actions, une mutualisation de moyens. Réciprocité MDS/CS avec la pertinence des approches collectives. Une mutualisation des forces pour faire davantage d approches collectives. Importance d associer la/les collectivité(s) sur cette fonction de veille partagée. Consolider la procédure d agrément des projets des centres sociaux Partager le projet social Un cadre posé facilitant les échanges, les réflexions communes La concordance des temporalités des projets (CS/territoires MDS) ou les présences communes dans les diagnostics partagés lors du renouvellement des projets des CS. Importance que ces temps de regards croisés puissent aussi associer les travailleurs sociaux de terrain. Les comités de suivi (ou de sites) des projets centres sociaux, associant le Département, la Caf, la collectivité et la Fédération des centres sociaux. Ceux-ci centrés sur la mise en œuvre du projet social et le partage de l actualité du territoire. Les démarches de suivi/évaluation des projets collectifs via l instance ISIC locale associant les structures. Un poste ACF à temps plein du côté des CS et du temps dégagé pour l action collective pour les travailleurs sociaux MDS et Caf. Des rencontres communes, en amont des réponses à des appels à projets (politique de la ville par exemple). Mobilisation des centres sociaux (élus et professionnels), des partenaires lors de la présentation du projet et des administrateurs de la Caf au regard de la nouvelle procédure d agrément. Signature de pacte de coopération pour partager et soutenir le projet. Organisation d un comité de suivi annuel, point d avancement du projet et suivi de l actualité du territoire. Nombre de pactes de coopération signés 2.2 Objectif n 2 : accompagner et soutenir des centres sociaux sur quelques enjeux repérés Dimension participative Accompagner le maintien de la dynamique existante et avoir une attention particulière sur les communes : de Montluel et Trévoux pour le développement de la participation des habitants dans les projets des centres sociaux ; de Jassans pour la participation effective des habitants dans le portage du projet social. 31

32 Fragilité financière Accompagnement technique et méthodologique à renforcer : sur le centre social de Gex ; sur le centre social de la Vallée de l Albarine en lien avec ses difficultés associatives et financières ; sur l espace de vie sociale La Corde Alliée à Ambérieu-en-Bugey. Ancrage partenarial au regard des politiques locales Signature de pactes de coopération avec un soutien financier complémentaire du Conseil départemental selon la problématique du territoire repéré en commun. Dans le cadre de la signature de pactes de coopération territoriale et en complément au soutien de la Caf et des collectivités, le Conseil départemental apportera un financement pour cinq ou six structures de l AVS (en simultané) pour lesquels des problématiques de développement sont repérées en commun par les trois partenaires. Ce financement couvre la durée du projet social. Les critères définis, pour déterminer les centres sociaux pouvant bénéficier du complément financier du Département, lors de l expérimentation en 2013 restent d actualité et sont rappelés ci-dessous : des centres sociaux qui sont portés par des associations locales d habitants (croisement avec la dimension implication des habitants et développement d initiatives) ; parmi ceux-ci, le complément financier s oriente en direction de centres sociaux pour lesquels des difficultés de développement peuvent apparaître ; des centres sociaux qui sont implantés dans des territoires urbains ou semi-urbains non reconnus en politique de la ville et sur lesquels il existe des quartiers d habitat social importants ou avec des indicateurs de fragilité repérables ; des centres sociaux qui n ont pas de poste animation collective famille (agent de développement social) à taux plein ; des centres sociaux sur des territoires ruraux ou semi-ruraux peu dotés financièrement avec un déficit de prise en compte du DSL ou avec des enjeux sociaux forts. 32

33 2.3 Objectif n 3 : accompagner et soutenir les dynamiques sur les territoires non couverts où il y a des besoins repérés Ces objectifs s appuient sur l organisation territoriale à fin Avec la loi NOTRe, l évolution des périmètres et des compétences des collectivités va changer. Les objectifs territoriaux ci-dessous seront réexaminés. Le territoire Bresse / Bourg-en-Bresse Le territoire de la MDS Bresse Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Saint-Laurent- sur-saône Communauté de communes Pays de Bâgé Communauté de communes de Saint-Trivier-de-Courtes Pont-de-Vaux Communauté de communes du canton de Pont-de- Veyle Communauté de communes du canton de Coligny Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS Ludothèque de Saint-Laurent, portée par le CLEM de Mâcon Accueil de loisirs Bâg Évasion «La Grange à Parapluies», petite association à Saint- Julien-sur-Reyssouze Association ADARA Association CantonAide Coligny : une action REAAP portée par un petit groupe de parents Stratégie de développement et d intervention possible Certains de ces points d ancrage sont repérés, ils sont à suivre, faire des liens entre les partenaires. Plus largement, il est préconisé d organiser de la sensibilisation autour des espaces de vie sociale, dans une logique de proximité, avec des témoignages potentiels d autres territoires. Faire la connexion avec une rencontre associant les diverses initiatives sociales et structures porteuses sur le territoire de la MDS Bresse, dans une logique d interconnaissance, de partage d expériences et/où avec un zoom sur les EVS. Le territoire de la MDS de Bourg-en-Bresse Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Communauté de communes Rives de l Ain Pays du Cerdon Communauté de communes de la Vallière Viriat Polliat Communauté de communes de Trefforten-Revermont Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS À partir de l action collective menée par les travailleurs sociaux du Conseil départemental et de la Caf. Ceyzériat : association Graine de parents Association familiale rurale de Viriat Polliat Association Loisirs Jeunes Fabriques du monde rural Stratégie de développement et d intervention possible Travailler le maillage et le partage de stratégies Caf/ Conseil départemental. Associer davantage les adjoints MDS. Cibler quelques priorités communes et acter d être moins présents sur d autres points/questions. Renforcer des liens qui peuvent être plus distendus que sur d autres territoires, du fait de la grande taille du territoire, du nombre important des interlocuteurs, des structures. 33

34 Le territoire Dombes/Côtière Val de Saône Le territoire de la MDS Dombes Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Montmerle-sur-Saône et la la Communauté de communes Montmerle 3 Rivières Vonnas, hab et hab pour la Communauté de communes des Bords de Veyle Ambérieux-en-Dombes et la Communauté de communes Dombes Saône Vallée La Communauté de communes Centre Dombes Villars les Dombes et la Communauté de communes Centre Dombes Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS Action collective «ateliers cuisine» Pas d appui Association Oxy Jeunes MJC et commune Stratégie de développement et d intervention possible Travailler une meilleure connaissance de l existant sur ce territoire. Le territoire de la MDS Côtière Val de Saône Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Saint-André-de-Corcy et la Communauté de communes Centre Dombes Territoire bien couvert Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS Association Le Blé en Herbe Réflexion en cours à la SCIC Coopérative de Béligneux qui porte la cantine, le périscolaire, les actions intergénérationnelles, le portage des repas aux publics fragiles et/ou âgés, le soutien à la parentalité Stratégie de développement et d intervention possible Travail partenarial qui reste à conforter côté Val de Saône. 34

35 Le territoire Haut-Bugey / Bellegarde-Pays de Gex Le territoire de la MDS Haut-Bugey Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Nantua Montréal-la-Cluse Izernore Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS Nantua : AMEP, association locale qui organise de l accompagnement scolaire et porte une action collective Projet d EVS voté par le conseil municipal en attente de pré-agrément Dynamique associative mais constat d isolement de jeunes parents. Stratégie de développement et d intervention possible Travail en partenariat Caf/Cd/Fédération des centres sociaux à renforcer. Le territoire de la MDS Bellegarde/Pays de Gex Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Ferney-Voltaire Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS Il y avait un EVS porté par la municipalité avec souhait d un portage par l association Atout Tattes le renouvellement de l agrément est en attente depuis deux ans. Stratégie de développement et d intervention possible Travail en partenariat Caf/Cd/Fédération des centres sociaux à renforcer. Saint-Genis-Pouilly Pas de point d appui 35

36 Le territoire Bugey/ Plaine de l Ain Le territoire de la MDS Bugey Culoz Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS Le groupe d habitants mobilisés sur l action collective Oasis. Une autre initiative d habitants est à suivre. Stratégie de développement et d intervention possible Travail en partenariat Caf/Cd/Fédération des centres sociaux à renforcer. Communauté de Communes Rhône Chartreuse de Portes Peu de point d appui à part les habitants mobilisés sur l action Ma Barrac à Lhuis Seyssel ( 01) Seyssel ( 74 ) Pas de point d appui repéré dans l Ain et partenariat difficile à mettre en œuvre avec les acteurs de la Haute- Savoie Le territoire de la MDS Plaine de l Ain Au regard de l état des lieux, besoins repérés de développement de centres sociaux ou d espaces de vie sociale Meximieux Lagnieu Loyettes Points d appuis potentiels pour développer des réflexions vers des EVS Les associations de solidarité qui travaillent sur l organisation de différentes actions et projets communs Les associations caritatives Pas de point d appui repéré Stratégie de développement et d intervention possible Travail en partenariat Caf/Cd/Fédération des centres sociaux, à partir des points d appui repérés et déterminer une stratégie de développement. 36

37 Territoires où des développements de structures de l animation de la vie sociale seront priorisés Développement de structures de l animation de la vie sociale Besoins repérés et/ou points d appuis potentiels Sources : données Caf de l Ain, Carte Map info Besoin repéré à l échelle d une commune Besoin repéré à l échelle d une intercommunalité 3) Quelques indicateurs communs d évaluation Les stratégies communes (entre les trois partenaires) pour cibler nos interventions. Les rencontres croisées. Les rencontres spécifiques. Les temps où les partenaires sont connectés sur des dynamiques locales (variées) avec mise en perspective de projets communs. 37

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