La croissance fait-elle le bonheur? Jean Gadrey, Alternatives Économiques, hors-série n 68, avril 2006
|
|
- Emma Bureau
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 La croissance fait-elle le bonheur? Jean Gadrey, Alternatives Économiques, hors-série n 68, avril 2006 Les économies développées semblent «dopées» à la croissance. Lorsque cette dernière fait défaut, ou est trop faible, le chômage progresse, et avec lui d autres formes d exclusion. Tous les commentaires et toutes les actions économiques se tournent alors vers la recherche de recettes permettant le retour à une croissance forte, qui devient synonyme de progrès, ou condition nécessaire à tout progrès, parce qu elle permet de dégager des «marges de manœuvre», par exemple pour la protection sociale, l élévation des niveaux de vie, etc. À défaut de faire notre bonheur, une forte croissance en serait donc LE moyen incontournable. Cette idée, qui fait partie de nos conventions, est acceptée par presque toutes les écoles de pensée économique. Et si elle s avérait inexacte, ou historiquement datée? Le doute est de plus en plus permis : les divergences se multiplient en effet entre les tendances mesurées par les indicateurs classiques de croissance économique et celles qui résultent d indicateurs alternatifs de développement (humain, social, durable). Les limites du PIB Il faut dire que la plupart des facteurs de bien-être et de développement ne figurent pas dans la mesure du PIB (produit Intérieur Brut), dont la progression définit la croissance économique. En termes simples, le PIB c est, dans un pays, la somme des valeurs ajoutées de toutes les productions annuelles de biens et de services marchands, c'est-à-dire la différence entre leurs prix de vente et celle des achats qui ont été nécessaires pour les produire. Somme à laquelle on ajoute le coût de production des services non marchands des administrations (l enseignement, la santé publique, etc.). Avec des raffinements : pour suivre les évolutions du PIB dans le temps (c est la croissance économique), on «élimine» l influence des variations de prix, afin d estimer le PIB «en volume» ou «à prix constants», ou encore pour comparer les pays entre eux, on cherche à éliminer l effet des variations erratiques de taux de change en calculant des PIB «en parités de pouvoir d achat». Le PIB n a donc pas été conçu pour évaluer la «qualité de la croissance», qu il s agisse de prendre en compte les coûts des dégâts sociaux et environnementaux qu elle peut engendrer (qu on ne déduit pas), ou des facteurs de bien-être essentiels qu on ne compte pas parce qu ils ne sont pas marchands ou monétaires, comme par exemple le bénévolat, le travail domestique, ou la progression du temps libre choisi. Le PIB en lui-même (et plus généralement la comptabilité nationale et ses méthodes) n est pas coupable des dérives médiatiques et de la vénération politique dont il est l objet. C est un outil pertinent pour de nombreuses analyses économiques, mais il n épuise pas le sujet de la mesure du bien être et de son évolution. Les nouveaux indicateurs dont nous allons présenter quelques exemples ne visent pas à le supprimer. Ils visent à le compléter et à en relativiser l usage dans le débat public sur le sens du développement. Le compléter par quoi? Jusqu aux années 1990, rien de bien sérieux n existait. Ce n est plus le cas aujourd hui. De nouveaux indicateurs, fondés sur une vision plus large de la richesse et du développement, peuvent désormais être utilisés. Aucun d entre eux ne prétend cependant cerner à lui seul les innombrables dimensions du bonheur ou du bien-être. Le développement humain, selon le PNUD 1 Le plus connu de ces indicateurs alternatifs est l IDH, indicateur de développement humain, produit par le Programme des Nations unies pour le développement (PNUD). Le PNUD produit aussi d autres indicateurs synthétiques moins connus mais d un réel intérêt, dont l'indicateur de pauvreté humaine (IPH), et l'indicateur de participation des femmes à la vie économique et politique (IPF). L IDH est la moyenne de trois indicateurs portant respectivement sur le PIB par habitant, l éducation (taux d alphabétisation et de scolarisation), et l espérance de vie. L intérêt principal de ces indicateurs est qu ils font apparaître des classements des pays très différents de ceux que l on obtient sur la base du seul PIB par habitant. Ainsi, selon l indicateur synthétique de pauvreté humaine, les pays développés qui réalisent les meilleures performances sont dans l ordre la Suède, la Norvège, les Pays-Bas, la Finlande et le Danemark. Les plus mal classés (ceux où il y a le plus de pauvreté) sont l Australie, le Royaume-Uni, l Irlande et, en dernière position, les États-Unis. Selon l indicateur de participation des femmes à la vie économique et politique (IPF), les pays nordiques sont à nouveau en tête. 1 Programme des Nations Unies pour le Développement. Voir ses rapports annuels sur le développement humain dans le monde. 1
2 Santé sociale et BIP 40 En 1996, deux chercheurs américains, Marc et Marque-Luisa Miringoff, ont produit un indice synthétique de "santé sociale" pour leur pays, en faisant la moyenne de 16 indicateurs sociaux disponibles, dont chacun prend des valeurs comprises entre 0 et 100. Cet indicateur regroupe des critères de santé, d'éducation, de chômage, de pauvreté et d'inégalités, d'accidents et de risques divers. Il a acquis une certaine notoriété en Amérique du Nord et ailleurs, à partir de la publication, en 1996, dans le magazine Challenge, d'un graphique assez saisissant (cf. graphique) présentant simultanément la courbe de la croissance économique (celle du PIB) et celle de cet indice de santé sociale depuis On note un décrochage spectaculaire des deux indices à partir de Au total, la santé sociale des États-Unis était nettement moins bonne en 1996 qu en Les années Reagan et Bush Sr. ( ) ont été particulièrement néfastes. L'indice de santé sociale à neuf variables (valeurs entre 0 et 100) et le PIB aux prix de 1996 (base 50 en 1959), de 1959 à Indice de Santé Sociale PIB, indice base 50 en 1959 Une méthode analogue a été utilisée en France pour construire le BIP 40 (Baromètre des Inégalités et de la Pauvreté), qui est actuellement le seul indicateur synthétique alternatif digne de ce nom disponible dans notre pays. Cet indicateur, qui regroupe 60 variables, ne couvre pas autant de dimensions que l indicateur de santé sociale, mais il va plus loin en matière d'inégalités et de pauvreté. Selon cet indicateur la période aurait vu une sensible dégradation de la santé sociale de la France, avec toutefois des hauts et des bas (voir le site L empreinte écologique Les indicateurs précédents intègrent des données sociales dont le PIB ne rend pas compte, mais pas d indicateurs environnementaux. Dans ce domaine également on dispose désormais d outils intéressants. Nous avons en commun avec les tribus primitives le fait que notre consommation exploite un «territoire» de la planète. L empreinte écologique d une population, initialement diffusée dans le monde par l ONG WWF (World Wildlife Fund), s efforce de traduire en chiffres cette dépendance. L empreinte écologique d une population 2
3 c est la surface de la planète, exprimée en hectares, dont cette population dépend, compte tenu de son mode de vie, pour ses besoins en produits du sol (surfaces pour l agriculture, la sylviculture) et en zones de pêche ; en terrains bâtis ou aménagés (routes et infrastructures) ; en forêts capables de recycler les émissions de CO 2 (empreinte énergie) et plus généralement en surfaces d absorption des déchets. La surface d empreinte écologique peut être calculée pour l ensemble de l humanité, pour un pays, pour une région ou une ville, voire pour un ménage (sur la base de ce qu il consomme), ou pour un poste de consommation finale (alimentation, logement, transports ). Par exemple l empreinte moyenne d un Français est de 5,3 hectares. Pour un Américain, on obtient 9,7 hectares, record du monde. L empreinte par personne «supportable» par la planète, compte tenu de ses capacités de régénération des ressources naturelles, ne cesse pourtant de diminuer sous l effet de la progression de la population, de la régression des terres arables, des forêts, des ressources des zones de pêche, etc. Elle n était plus que de 1,8 hectares en À l inverse, l empreinte écologique moyenne des hommes a fortement progressé depuis 1960, passant de 0,7 planète en 1961 à 1,2 planètes actuellement : l humanité emprunte chaque année à la nature 20 % de ressources renouvelables de plus que ce que permettraient les flux annuels de régénération naturelle de ces ressources. Ce chiffre de 1,2 planète recouvre de fortes inégalités : la majorité des habitants du monde a une empreinte écologique assez faible, en raison d'un niveau de vie et de consommation très réduit (cf. graphique). Si tous les habitants de la planète avaient le mode de vie des Américains, il faudrait environ cinq planètes pour y faire face. Si tous avaient le niveau de vie moyen des Français, il en faudrait près de trois. L empreinte écologique par personne des grandes régions du monde (1999) 3
4 Cette comptabilité s appuie sur les modes de consommation et sur les techniques de production en vigueur. D autres modes de vie et d autres technologies de production (par exemple les énergies renouvelables) pourraient réduire fortement l empreinte écologique sans compromettre des objectifs jugés fondamentaux de la civilisation en termes de qualité et de diversité de l alimentation, des logements, des déplacements, des soins médicaux, etc. Mais la question de la poursuite indéfinie de la croissance matérielle resterait posée. La croissance peut-elle être infinie? Tous les constats sérieux convergent : la poursuite de la croissance dans sa forme actuelle ne cesse d augmenter la pression sur l environnement dans des conditions qui rendent certaines des catastrophes de grande ampleur et posent même la question de la survie de l humanité. Pour ne prendre que l exemple du réchauffement climatique, qui est loin d être le seul phénomène inquiétant, on sait désormais qu il s est fortement accéléré sous l effet des émissions humaines de gaz à effet de serre, dont le plus important est le gaz carbonique. Or, au-delà d un réchauffement de 2 par rapport à l époque préindustrielle, des catastrophes humaines mondiales sont prévisibles, bien plus graves que celles qui ont commencé à se manifester : sécheresses, inondations et tempêtes, élévation du niveau des mers, etc. On est actuellement à 1, et comme les effets des émissions passées se font sentir durablement, on atteindra 1,5 vers Au cours du 21 ème siècle, si les tendances actuelles ne sont pas inversées, ce qui exigerait une réduction drastique de nos émissions (encadré), le réchauffement sera compris entre 2 et 6, sans même évoquer des scénarios plus pessimistes mais non dénués de fondements. Encadré La limite des 500 kilos de carbone La planète (océans, végétation, dont les forêts) peut actuellement recycler un peu plus de 3 milliards de tonnes de carbone 2 par an, chiffre qui diminue cependant avec la déforestation. La population mondiale compte 6,5 milliards de personnes. Pour stabiliser le réchauffement climatique à terme, il est donc impératif que les émissions annuelles par personne n excèdent pas 500 kilos, deux fois moins que la moyenne mondiale actuelle, 12 fois moins qu aux États-Unis, 4 fois moins qu en France (mais c est grâce au nucléaire, qui pose d autres problèmes). Or que peut-on «se permettre» avec une contrainte de 500 kilos de carbone, sur la base des techniques actuelles? Un aller et retour Paris-New York, avec un avion rempli et efficace, émet, selon l IFEN, 275 kilos de carbone par personne, 55 % du «droit de tirage» annuel. Un Français qui utilise sa voiture dans des conditions moyennes (1,8 personne par véhicule), pour une distance de kms par an, émet 412 kilos de carbone, 82 % de son «droit à polluer». Une maison individuelle chauffée au gaz naturel émet 1,5 à 2 tonnes de carbone. S il y a quatre occupants, chacun émet 400 à 500 kilos par an. Dans l alimentation, surtout s il y a du bœuf, des surgelés et des produits qui viennent de loin, comptez 300 à 400 kilos de carbone par personne ayant un bon niveau de vie. Il manque de nombreux postes à ce bilan, dont l électricité, les achats de produits manufacturés, le traitement des déchets... On comprend pourquoi, en France, la moyenne est de 2 tonnes par personne, quatre fois la norme soutenable pour l ensemble de l humanité. Est-il possible d envisager une «autre croissance» (dite «durable») qui respecterait ces contraintes vitales, ou faut-il se résoudre à la «décroissance»? La réponse n est pas évidente, et il serait temps que de nouvelles collaborations entre scientifiques et citoyens, en liaison avec des associations et des institutions publiques, aident à bâtir des scénarios chiffrés. Diviser par trois l empreinte écologique des Français, et par quatre ou cinq leurs émissions de gaz à effet de serre, représente une révolution considérable, aussi bien sur le plan technique que sur celui des modes de vie et de l organisation mondiale de la production. Des restructurations majeures sont indispensables Parmi les restructurations qui semblent les plus importantes, trois pourraient être privilégiées. La première est la mise au point et la diffusion de technologies «propres» dans tous les domaines. C est la plus citée, elle est très importante, mais on ne peut pas tout en attendre, car l expérience montre que, si rien ne change par ailleurs, les technologies qui réduisent les impacts écologiques par unité consommée donnent souvent lieu à une relance des quantités consommées, ce qui peut annuler le bénéfice attendu. La seconde est une «re-localisation» des activités humaines, privilégiant systématiquement la proximité, les circuits courts, une autre occupation de l espace, dans une perspective non productiviste exigeant de nouveaux emplois. Le fait avéré qu un simple yaourt aux fraises industriel contienne des ingrédients qui ont parcouru kilomètres avant de se trouver sur 2 On mesure ces émissions en poids «d équivalent carbone». 4
5 notre table est une aberration environnementale qui, ajoutée à bien d autres, condamne à terme la forme actuelle de la mondialisation aussi sûrement que les dimensions sociales de ses excès. La troisième restructuration, baptisée «décroissance sélective» par l économiste Jean-Marie Harribey, consisterait à identifier les activités utiles à faible pression environnementale et à les favoriser systématiquement, en organisant la décroissance simultanée de celles qui mènent à des désastres écologiques et humains. Mais dans tous les cas, ces restructurations liées ne pourront se passer d une remise en cause de la religion de la croissance quantitative et du «toujours plus» en matière de consommation, et de politiques de réduction du temps de travail. Les restructurations mentales et celles des valeurs et du sens importent autant que celles qui concernent l économie et les technologies. Pour en savoir plus J. Gadrey, F. Jany-Catrice, Les nouveaux indicateurs de richesse, La découverte, Collection Repères, PNUD, Rapport mondial sur le développement humain (annuel) : Les rapports 2004 et 2005 ont été publiés chez Economica. Décroissance : J. M. Jancovici, L avenir climatique, Seuil, ATTAC (coord. J.M. Harribey), Le développement a-t-il un avenir? Mille et une nuits/fayard, Le développement durable, Hors série d Alternatives économiques, 1er trimestre
Les perspectives économiques
Les perspectives économiques Les petits-déjeuners du maire Chambre de commerce d Ottawa / Ottawa Business Journal Ottawa (Ontario) Le 27 avril 2012 Mark Carney Mark Carney Gouverneur Ordre du jour Trois
Plus en détailau concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde
Fiche prolongement 6 Du lien entre environnement et développement au concept de «développement durable» Pour une éducation ouverte sur le monde 20% de la population mondiale consomme 87 % des ressources
Plus en détailLisez la conscience tranquille
Lisez la conscience tranquille Une étude sur l impact environnemental Analyse du cycle de vie menée à bien par l institut de recherche Innventia et commandée par l association professionnelle Sveriges
Plus en détailCollection Au Quotidien
Collection Au Quotidien 2 La dernière crise économique a mis en lumière les limites de notre modèle de croissance, insoutenable à long terme. On s est ainsi aperçu, entre autres, que le PIB, indicateur
Plus en détaildu Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI
Ministère de l Environnement l et du Cadre de vie Secrétariat Permanent du Conseil National pour l Environnement et le Développement Durable Présenté par: Paul BOMBIRI Expert National Statisticien/Economiste
Plus en détailFONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES
FONDS D INVESTISSEMENT CLIMATIQUES CRITÈRES DE SÉLECTION DES PROGRAMMES PILOTES NATIONAUX ET RÉGIONAUX AU TITRE DU PROGRAMME D INVESTISSEMENT FORESTIER I. CADRE GÉNÉRAL 1. On s accorde de plus en plus
Plus en détailLes plastiques en débat 2014
Les plastiques en débat 2014 Pratique Léger Astucieux Solide Transformable Indispensable Qualifié Utile Esthétique 3eD_college_LES_CAMPELIERES Collège Les Campelières 121 Chemin Campelières 06250 Mougins
Plus en détailL équilibre Ressources Emplois de biens et services schématisé par une balance
IV) l équilibre ressources - emplois et son interprétation Cet article fait suite à ceux du 19 janvier et du 18 février 2013. Il en est le complément logique sur les fondamentaux macro- économiques d un
Plus en détailEco-Fiche BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1
Eco-Fiche Janvier 2013 BILAN DE L ANNEE 2012 QUELLES PERSPECTIVES POUR 2013? 1 Retour sur l année 2012 : l atonie En 2012, le Produit Intérieur Brut (PIB) s est élevé à 1 802,1 milliards d euros, soit
Plus en détailPOURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES?
Mai 2010 POURQUOI LE GABON A-T-IL BESOIN DE STATISTIQUES FIABLES? Direction Générale des Statistiques Ministère de l Economie, du Commerce, de l Industrie et du Tourisme Pourquoi le Gabon a-t-il besoin
Plus en détailBien vivre, dans les limites de notre planète
isstock Bien vivre, dans les limites de notre planète 7e PAE le programme d action général de l Union pour l environnement à l horizon 2020 Depuis le milieu des années 70, la politique environnementale
Plus en détail1. La production d électricité dans le monde : perspectives générales
Quinzième inventaire Édition 2013 La production d électricité d origine renouvelable dans le monde Collection chiffres et statistiques Cet inventaire a été réalisé par Observ ER et la Fondation Énergies
Plus en détailles outils les enjeux les applications locales Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement connaître pour agir
connaître pour agir Déchets ménagers : maîtrisons les impacts sur l environnement les enjeux les outils les applications locales Enjeux d une analyse environnementale et leviers d améliorations QU EST-CE
Plus en détailUNE REFLEXION PREALBLE
UNE REFLEXION PREALBLE NOUS N AVONS JAMAIS ETE AUSSI RICHES IL N Y A JAMAIS EU AUTANT DE PAUVRES QUI GERE LA REPARTITION? 1 ÉNERGIE ET TRANSITION Comprendre la situation est facile Ce qu il faut faire
Plus en détailNOTE D INFORMATION n 01 Janvier 2014
DIRECTION DE L ÉVALUATION, DE LA PROSPECTIVE, ET DE LA PERFORMANCE DEPP NOTE D INFORMATION n 1 Janvier 214 La dépense par élève ou étudiant pour un parcours dans l enseignement scolaire ou supérieur en
Plus en détailAnalyse et exploitation des données du rapport. du PNUD sur le développement humain
Royaume du Maroc Direction des Etudes et des Prévisions financières Analyse et exploitation des données du rapport du PNUD sur le développement humain Novembre 1995 Document de travail n 02 Analyse et
Plus en détailLIVRE VERT SUR LA COHESION TERRITORIALE ANNEXES
LIVRE VERT SUR LA COHESION TERRITORIALE ANNEXES Annexe 1 : Les fonds structurels, outils indispensables de reconversion du Nord -Pas de Calais La région Nord Pas de Calais a bénéficié d aides massives
Plus en détailTraité de Copenhague nécessaire
Traité de Copenhague nécessaire version 1.0 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague Résumé A4-TraiteResume.indd 1 6/07/09 17:58:38 Une proposition des ONG pour un protocole de Copenhague
Plus en détailDans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours.
Dans un siècle, il y a 100 ans. Dans une année, il y a 12 mois. Dans une année, il y a 52 semaines. Dans une année, il y a 4 trimestres. Dans une année, il y a 365 jours. Dans un trimestre, il y a 3 mois.
Plus en détailUne étude de différentes analyses réalisées par le BIT
Association internationale de la sécurité sociale Quinzième Conférence internationale des actuaires et statisticiens de la sécurité sociale Helsinki, Finlande, 23-25 mai 2007 Comparaison des hypothèses
Plus en détailNote méthodologique. Les principales différences avec les TES sont mentionnées dans l encadré 1.
Version intégrale Note méthodologique 1. Les tableaux des ressources et des emplois dans les comptes nationaux L élaboration des comptes nationaux de la Belgique s effectue conformément à la méthodologie
Plus en détailBulletin trimestriel de conjoncture n 59
Bulletin trimestriel de conjoncture n 59 2 ème trimestre 2013 Repli accentué au 2 ème trimestre (-2%) du volume de travaux d entretienrénovation de logements Cette baisse d activité correspond à une baisse
Plus en détailSITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE
SITUATION FINANCIÈRE DE L ASSURANCE CHÔMAGE pour l année 2014 Janvier 2014 1/12 Situation financière de l Assurance chômage pour l année 2014 14 janvier 2014 Cette note présente la prévision de la situation
Plus en détailPour l environnement. Strength. Performance. Passion.
Strength. Performance. Passion. Pour l environnement Réduire les émissions de CO 2 en optimisant les matériaux de construction et les méthodes de production Holcim (Suisse) SA Les fondements de notre avenir
Plus en détailTitre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de
Termes de référence pour l évaluation et la capitalisation du projet PMF-FEM Titre du projet : Contribution à la réhabilitation et à la sauvegarde de l'abeille jaune par l'introduction de ruches peuplées
Plus en détailPARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE
PARTENARIAT ENTRE LE SYSTEME DES NATIONS UNIES ET LE SENEGAL POUR UN DEVELOPPEMENT INDUSTRIEL INCLUSIF ET DURABLE Par Madame F. Bintou DJIBO, COORDONNATRICE DU SYSTÈME DES NATIONS UNIES AU SENEGAL Plan
Plus en détail75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-2010
75 ANS D HISTOIRE EN CHIFFRES : 1935-21 L économie canadienne depuis la fondation de la Banque du Canada Première édition : le 11 mars 21 Mise à jour : le 16 decembre 21 1 La Banque du Canada, fondée en
Plus en détailAvantages économiques procurés par le secteur des assurances
6 Avantages économiques procurés par le secteur des assurances Sans les assurances, rien ne va plus dans notre monde moderne Le secteur des assurances constitue un pilier central de l économie helvétique
Plus en détailLes indicateurs de développement durable
Les indicateurs de développement durable Odile Bovar, Magali Demotes-Mainard, Cécile Dormoy, Laurent Gasnier, Vincent Marcus, Isabelle Panier, Bruno Tregouët * Face aux interrogations sur les voies du
Plus en détailRéunions publiques janvier 2013. Présentation du Débat d Orientation Budgétaire
Réunions publiques janvier 2013 Présentation du Débat d Orientation Budgétaire 7 février 2011 LE CONTEXTE Une économie mondiale très ralentie En zone Euro : des incertitudes autour de la crise de la dette
Plus en détailLa révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations
La révision des indices du cours du franc suisse, nominaux et réels, pondérés par les exportations par Robert Fluri et Robert Müller, Direction de la statistique, Banque nationale suisse, Zurich BNS 42
Plus en détailla climatisation automobile
Un équipement en question : la climatisation automobile LES TRANSPORTS la climatisation en question La climatisation automobile, grand luxe il y a encore peu de temps, devient presque banale pour tous
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailDES PAROLES ET DES ACTES : LES 4 MENSONGES DE MONSIEUR LENGLET
Cette fiche élaborée par la commission économie du Parti de Gauche révèle les 4 "erreurs" fondamentales issues de l'argumentaire que Monsieur Lenglet a opposé à Jean-Luc Mélenchon lors de l'émission des
Plus en détailCONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE»
CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» > PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L INDICE DE LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE POSITIVE 2014 UNE INITIATIVE DE DÉROULÉ DE LA CONFÉRENCE
Plus en détailRio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012. www.uncsd2012.org
Rio de Janeiro, Brésil 20-22 juin 2012 www.uncsd2012.org «Rio+20 sera l une des plus importantes réunions internationales sur le développement durable de notre époque. À Rio, notre vision doit être claire
Plus en détailLES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ. Données clés 2012
LES ASSURANCES DE BIENS ET DE RESPONSABILITÉ Données clés 2012 Sommaire Sauf indications contraires, toutes les données ont pour origine les enquêtes de la Direction des études et des statistiques FFSA-GEMA.
Plus en détailLe réchauffement climatique, c'est quoi?
LE RECHAUFFEMENT CLIMATIQUE Le réchauffement climatique, c'est quoi? Le réchauffement climatique est l augmentation de la température moyenne à la surface de la planète. Il est dû aux g az à effet de serre
Plus en détailELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE
ELEMENTS DE COMPTABILITE NATIONALE Cours de M. Di Roberto Université Victor Segalen Bordeaux 2 Bibliographie Ce cours s inspire largement des ouvrages essentiels suivants. Merci à leurs auteurs. BOSSERELLE
Plus en détailSimulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé
Simulation d impact de l augmentation des salaires du personnel de l administration publique et du SMIG et du SMAG dans le secteur privé L augmentation des salaires du personnel de l administration publique
Plus en détailGUIDE de L ÉCO CITOYEN. au BUREAU
GUIDE de L ÉCO CITOYEN au BUREAU SUIVEZ LE GUIDE...................................................................... p.03 QUELS BESOINS, QUELS IMPACTS? ce qui est consommé ce qui est rejeté > Transport
Plus en détailREDRAWING MAP. World Energy Outlook Special Report RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT. French translation
REDRAWING THE ENERGY-CLIMATE MAP World Energy Outlook Special Report French translation RÉSUMÉ REDÉFINIR LES CONTOURS DU DÉBAT ENERGIE-CLIMAT Édition spéciale du World Energy Outlook AGENCE INTERNATIONALE
Plus en détailProspective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014. Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010
Prospective financière Saint-Etienne Métropole 2011 2014 Dossier de presse Conseil de Communauté Jeudi 24 juin 2010 COMPTE ADMINISTRATIF 2009 Des résultas de gestion satisfaisants mais une marge de manœuvre
Plus en détailLe contexte : l'agenda post-2015 sur le développement global
Les Nations Unies et leurs partenaires se sont associés pour rédiger et diffuser un sondage innovant et global, sous le nom de MY WORLD, pour que les citoyens puissent participer au processus d'après -2015,
Plus en détailLe recyclage du PET en Suisse. 2008 Verein PRS PET-Recycling Schweiz
Le recyclage du PET en Suisse 2008 Verein PRS PET-Recycling Schweiz 1 Partenaires LPE / OEB PET-Recycling Schweiz Récupérateur Producteur Consommateur Commerce PET-Recycling Schweiz» Organisation PRS fondée
Plus en détailCHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU
CHAPITRE VI - LES SOLDES COMPTABLES ET LES INDICATEURS DE REVENU 1. Le compte de production... 129 2. Le compte d exploitation... 129 3. Le compte de revenu d entreprise... 130 4. Les indicateurs de revenu
Plus en détailAgricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005. Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005.
Agricultural Policies in OECD Countries: Monitoring and Evaluation 2005 Summary in French Les politiques agricoles des pays de l OCDE: Suivi et évaluation 2005 Résumé Le soutien accordé aux producteurs
Plus en détailLa gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre!
La gouvernance foncière Agissons pour sa mise en œuvre! Directives volontaires pour une gouvernance responsable des régimes fonciers applicables aux terres, aux pêches et aux forêts dans le contexte de
Plus en détailTaux de risque de pauvreté ou d exclusion sociale le plus élevé en Bulgarie, le plus faible en République tchèque
168/2014-4 Novembre 2014 Risque de pauvreté ou d'exclusion sociale dans l'ue28 Plus de 120 millions de personnes menacées de pauvreté ou d exclusion sociale en 2013 Soit près d une personne sur quatre
Plus en détailChapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance?
CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 18 mars 2015 à 13:38 Chapitre 1 Quelles sont les sources de la croissance? Notions : PIB, IDH, investissement, progrès technique, croissance endogène, productivité
Plus en détailFinancement du sport, crise économique et politique sportive
Conférence SNEP: «Sport demain, enjeu citoyen», Créteil, 30-31 mars 2012 Financement du sport, crise économique et politique sportive Wladimir ANDREFF * * Professeur émérite à l Université de Paris 1 Panthéon
Plus en détailRésumé du rapport final du Projet ECDD
Résumé du rapport final du Projet ECDD Janvier 2010 avril 2013 A propos du projet ECDD Le projet ECDD a été mis en œuvre par la Bristol Conservation & Science Foundation (une unité opérationnelle de Bristol,
Plus en détailIndicateurs de développement durable et SNDD
Indicateurs de développement durable et SNDD Christian Brodhag DIDD Séminaire mercredi 13 juin 2007 Les grandes dates du développement durable 1972 Conférence des Nations Unies sur l environnement, Stockholm
Plus en détailENSAE, 1A Maths. Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr. Septembre 2010
Initiation à l économie ENSAE, 1A Maths Roland Rathelot roland.rathelot@ensae.fr Septembre 2010 Les ménages (1/2) Les ressources des ménages La consommation L épargne Les ménages comme agents économiques
Plus en détailFonction inverse Fonctions homographiques
Fonction inverse Fonctions homographiques Année scolaire 203/204 Table des matières Fonction inverse 2. Définition Parité............................................ 2.2 Variations Courbe représentative...................................
Plus en détailEconomie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech
Economie Générale Initiation Ecole des Ponts - ParisTech Stéphane Gallon Caisse des Dépôts stephane.gallon@caissedesdepots.fr https://educnet.enpc.fr/course/view.php?id=2 1 Macroéconomie : croissance à
Plus en détailLE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE
TABLEAU DE BORD LE TABLEAU DE BORD DE SUIVI DE L ACTIVITE DEFINITION Le tableau de bord est un support (papier ou informatique) qui sert à collecter de manière régulière des informations permettant de
Plus en détailDéveloppement durable : QU est-ce que c est?
Dossier pédagogique 5 Langues, géographie, sciences naturelles Développement durable : QU est-ce que c est? developpement durable, consommation, population, mondialisation, impacts environnementaux, empreinte
Plus en détailEnjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD
PRÉSENTATION POWER POINT Enjeux et Perspectives de la composante «Environnement Santé» du Plan d Action de l Initiative Environnement du NEPAD Cheikh FOFANA, Assistant au Secrétaire Exécutif, Secrétariat
Plus en détailBase de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *
Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données
Plus en détailLe Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté
18 ans après le référendum de 1995 Le Québec en meilleure situation économique et financière pour faire la souveraineté présenté par Marcel Leblanc, économiste pour le comité de travail sur la souveraineté
Plus en détailLes inégalités de conditions de vie dans le monde
Notes de l Observatoire N 2, février 2014 Les inégalités de conditions de vie dans le monde 89 % de la population mondiale a accès à l eau potable. L espérance de vie a progressé de 21 ans depuis les années
Plus en détailLe développement durable peut-il se passer d engrais minéraux?
Avec la participation i de l Le développement durable peut-il se passer d engrais minéraux? Philippe EVEILLARD UNIFA Union des Industries de la Fertilisation Le développement durable et l agriculture :
Plus en détailAvec Gaël Callonnec (Ademe)
Séminaire Développement durable et économie de l'environnement Les conséquences des politiques énergétiques sur l activité et l emploi Avec Gaël Callonnec (Ademe) Mardi 24 janvier 2012 Présentation du
Plus en détailDépartement des affaires économiques et sociales. études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale
ST/ESA/STAT/SER.F/85 Département des affaires économiques et sociales Division de statistique études méthodologiques Série F, n 85 Manuel de comptabilité nationale Comptabilité nationale : introduction
Plus en détailPOL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au choix à faire en équipe)
Université du Québec à Montréal Département de science politique Session Automne 2008 POL 4470-40 Introduction à l'économie politique des relations internationales Travaux pratiques (un des trois TP au
Plus en détailMonia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi
Version 4.7 Simulation d Entreprise «Artemis» Monia Amami Franck Brulhart Raymond Gambini Pierre-Xavier Meschi p. 1 1. Objectifs et Contexte Général L objectif de la simulation d entreprise «Artemis» est
Plus en détailCompétitivité des entreprises et maîtrise des consommations d énergie sont-elles conciliables?
Fiches extraites du dossier du participant remis à l'occasion du Débat national sur les énergies lors de la rencontre de Nice, le 15 avril 2003. Le thème de cette rencontre était " Énergie, entreprises
Plus en détailPlate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière
Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...
Plus en détailLOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1. Construire vert ne devrait pas être un casse-tête
LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 6/4/08 11:53 AM Page 1 Construire vert ne devrait pas être un casse-tête LOG 8869 Residential Brochure_FR:Layout 1 2 6/4/08 11:53 AM Page 2 LOG 8869 Residential
Plus en détailAssemblée générale. Nations Unies A/AC.105/772
Nations Unies A/AC.105/772 Assemblée générale Distr.: Générale 7 décembre 2001 Français Original: Anglais Comité des utilisations pacifiques de l espace extra-atmosphérique Rapport du deuxième Atelier
Plus en détailLe travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté?
ISBN 978-92-64-6795- Perspectives de l emploi de l 29 Faire face à la crise de l emploi 29 Chapitre 3 Le travail est-il le meilleur antidote contre la pauvreté? L emploi réduit considérablement le risque
Plus en détailCritique des conditions de la durabilité: application aux indices de dév...
1 sur 5 25/10/2007 4:04 Critique des conditions de la durabilité: application aux indices de développement durable. Bruno Kestemont Mémoire de DEA Version révisée, 2004 IGEAT-ULB Sous la direction du Prof
Plus en détailLa finance carbone pour les villes
1 La finance carbone pour les villes Source de revenus et levier d action pour des villes plus propres A travers la présentation de trois mécanismes de finance carbone mobilisables par les villes, cette
Plus en détailCrédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée?
Crédit à la consommation, un bon outil pour la rentrée? Contexte Empruntis intervient sur le crédit depuis 15 ans 370 000 ménages nous sollicitent chaque année pour leur besoin en crédit à la consommation
Plus en détailL immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise
ÉTUDE EN BREF Octobre 2011 L immobilier de bureaux en Europe 2010 : une parenthèse dans la crise Pour les investisseurs, l Europe de l immobilier de bureaux n est pas celle qui est délimitée par les accords
Plus en détailNPT/CONF.2010/PC.III/WP.39
Comité préparatoire de la Conférence des Parties chargée d examiner le Traité sur la non-prolifération des armes nucléaires en 2010 NPT/CONF.2010/PC.III/WP.39 15 mai 2009 Français Original : anglais Troisième
Plus en détailL ÉNERGIE C EST QUOI?
L ÉNERGIE C EST QUOI? L énergie c est la vie! Pourquoi à chaque fois qu on fait quelque chose on dit qu on a besoin d énergie? Parce que l énergie est à l origine de tout! Rien ne peut se faire sans elle.
Plus en détailContribution des industries chimiques
Contribution des industries chimiques au débat national sur la transition énergétique Les entreprises de l industrie chimique sont des acteurs clés de la transition énergétique à double titre. D une part,
Plus en détailLes émissions de GES au quotidien et les gains possibles
Les émissions de GES au quotidien et les gains possibles Un Français émet environ 2,2 tonnes équivalent carbone par an tous gaz à effet de serre confondus (et en tenant compte des puits de carbone que
Plus en détailNOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015)
NOTE D'INFORMATION SUR L'ÉMISSION OBLIGATAIRE DE $.US 1 MILLIARD SUR 10 ANS (JANVIER 2015) En vue d éclairer l opinion publique tunisienne, initiée et non initiée, sur l opportunité de l émission obligataire
Plus en détailUnited Nations (8) Nations Unies
United Nations (8) Nations Unies HEADQUARTERS SIEGE NEW YORK, NY 10017 TEL.: 1 (212) 963.1234' FAX: 1 (212) 963.4879 Distr. SECOND INTERNA1l0NAL DECADE FOR THE ERADICATION OF COLONIALISM RESTRICTED PRS/2010/CRP.9
Plus en détailL emploi permet-il toujours de s intégrer à la société française?
1) Analyse du sujet : T.E.S. Fustel de Coulanges 2013/2014 GALY marjorie.galy@wanadoo.fr http://www.toileses.org Eléments de correction du BAC BLANC de SES N 4 TESL L emploi permet-il toujours de s intégrer
Plus en détailPopulation active et pauvreté en région Centre
Population active et pauvreté en région Centre Conseil Economique et Social Régional du Centre Janvier 2010 Partie I. Périmètre de l étude quatre ménages touchant le SMIC ou le RSA Nombre potentiel de
Plus en détailLe calcul du barème d impôt à Genève
Le calcul du barème d impôt à Genève Plan : 1. Historique Passage d un système en escalier à une formule mathématique 2. Principe de l imposition Progressivité, impôt marginal / moyen ; barème couple/marié
Plus en détailEnergie Nucléaire. Principes, Applications & Enjeux. 6 ème - 2014/2015
Energie Nucléaire Principes, Applications & Enjeux 6 ème - 2014/2015 Quelques constats Le belge consomme 3 fois plus d énergie que le terrien moyen; (0,56% de la consommation mondiale pour 0,17% de la
Plus en détailDIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE. Ensemble, agissons pour des achats responsables
DIRECTION DES ACHATS RESPONSABILITÉ SOCIALE ET ENVIRONNEMENTALE Ensemble, agissons pour des achats responsables CONVICTIONS De l intention à l action systématique André SÉPANIAK Directeur des achats Le
Plus en détailUn essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013
Un essai de mesure de la ponction actionnariale note hussonet n 63, 7 novembre 2013 L objectif de cette note est de présenter une mesure de la ponction actionnariale. Son point de départ est un double
Plus en détailLa question sociale globale et les migrations. Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010
La question sociale globale et les migrations Présentation de Jean Michel Severino aux semaines sociales, 28 Novembre 2010 1. Nous connaissons un moment sans précédent de victoire contre la pauvreté 2.
Plus en détailIntroduction Quels défis pour l Administration Publique face àla crise? Crise et leadership : quelles relations? Quels défis pour les dirigeants?
Renforcement des capacités en matière de Leadership au niveau du Secteur Public dans le contexte de la crise financière et économique Par Dr. Najat ZARROUK Introduction Quels défis pour l Administration
Plus en détailOeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores
Oeuvrer pour que les populations rurales pauvres se libèrent de la pauvreté aux Comores La pauvreté rurale aux Comores Depuis leur indépendance en 1975, les Comoriens ont souffert de l instabilité politique
Plus en détailnotre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition?
2 Saviez-vous que notre système de consigne sur les boissons gazeuses est menacé d abolition? L avenir de la consigne au Québec est présentement incertain. Au printemps 2015, le Ministère du Développement
Plus en détailDEVOIR N 1 économie générale
PROGRAMME : DEVOIR N 1 économie générale L économie et son domaine Le circuit économique comme méthode d'analyse La production marchande et non marchande Le travail Le capital et le progrès technique Le
Plus en détailImpact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy
MPRA Munich Personal RePEc Archive Impact of slower economic growth in major trading partners on the Congolese economy Jean Blaise Nlemfu Mukoko Departement d économie, Université de kinshasa, Groupe de
Plus en détailL offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon. Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal
L offre d énergie: une comparaison France, Allemagne et Japon Par Pierre Lasserre, Sciences économiques Université du Québec à Montréal Plan Quelques faits stylisés caractéristiques de la France, de l
Plus en détailLe creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres
LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus
Plus en détailANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE
ANNEXE VII, PJ n 2, page 1 ANNEXE VII EFFETS MACROECONOMIQUES DE LA REFORME PIECE JOINTE N 2 SIMULATIONS REALISEES A PARTIR DU MODELE MACROECONOMETRIQUE MESANGE ANNEXE VII, PJ n 2, page 2 Les simulations
Plus en détailLE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT
11 CHAPITRE PREMIER LE MARKETING DIRECT, SUPPORT DU MARKETING CLIENT En moins d un siècle, le marketing direct a profondément évolué. Passant de la commande traditionnelle par courrier à la multiplication
Plus en détail