valmaubuée mag Répondre à la crise du logement DOSSIER : HABITAT #120 HIVER 2013 VAL MAUBUÉE Le magazine des habitants du Val Maubuée

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1 ACTUS Des bords de Marne aux médiathèques en passant par le RER A 04 CULTURE, SPORT & LOISIRS Rendez-vous au Printemps du jazz et à l Open de tennis 24 L INVITÉ Patrick Bonjour, auteur, illustrateur, marcheur 27 VAL MAUBUÉE AGGLOMÉRATION DE MARNE-LA-VALLÉE valmaubuée mag Le magazine des habitants du Val Maubuée Champs-sur-Marne, Croissy-Beaubourg, Émerainville, Lognes, Noisiel, Torcy #120 HIVER 2013 DOSSIER : HABITAT Répondre à la crise du logement

2 Claude Aubertin 22 Les Ombres portées SOMMAIRE 04/07 ACTUS Quoi de neuf sur les bords de Marne? Dans les médiathèques? Pour les transports? 16/17 EXPANSION > Yprema depuis vingt ans à Émerainville > FCBA bientôt à la Cité Descartes 22/23 RENCONTRES Avec Valéry Aubertin, Ghislaine Detranchant, Aurélie Cournut et Farid Ben Ali 27 L'INVITÉ Patrick Bonjour, auteur, illlustrateur, marcheur 30 PASSÉ COMPOSÉ MJC-MPT : traits d union entre les villes et les habitants 08/15 DOSSIER Sujet de préoccupation national, le logement fait (trop souvent) l actualité. État des lieux au Val Maubuée. 18/21 INITIATIVES Emploi, formation, vie associative 24/26 CULTURE, SPORT & LOISIRS > Printemps du jazz > Ferme du Buisson > Mois de l Afrique > Open de tennis 28/29 TRIBUNES Les élus de l'agglomération prennent la parole 31 VIE PRATIQUE Informations pratiques et services utiles

3 ACTUS Des bords de Marne aux médiathèques en passant par le RER A Champs-sur-Marne, Croissy-Beaubourg, Émerainville, Lognes, Noisiel, Torcy CULTURE, SPORT & LOISIRS L INVITÉ Rendez-vous Patrick Bonjour, au Printemps du jazz auteur, illustrateur, et à l Open de tennis marcheur #120 VAL maubuée agglomération DE marne-la-vallée 04 valmaubuée mag Le magazine des habitants du Val Maubuée HIVER 2013 ÉDITO DOSSIER : HABITAT Répondre à la crise du logement valmaubuée mag Hiver 2013 / N 120 édité par la Communauté d agglomération de Marne-la-Vallée / Val Maubuée PAUL MIGUEL PRÉSIDENT DE LA COMMUNAUTÉ D'AGGLOMÉRATION DE MARNE-LA-VALLÉE / VAL MAUBUÉE VAL MAUBUÉE 5, cours de l Arche Guédon à Torcy Marne-la-Vallée Cedex 1 Tél. : Fax : agglo@valmaubuee.fr Directeur de la publication Paul Miguel Directrice de la rédaction Bahija Zraïra Rédactrice en chef Isabelle Terroir Rédaction François Carbonel, Julia Gualtieri, Laure Naimski, Sébastien Rys, Isabelle Terroir Photo Yann Piriou, Myriam Tisserand Nouvelle agglo nouveau magazine Conception/réalisation Agence Beaurepaire/ Olivier Gonçalves Secrétaire de rédaction Gaëlle Cazaban Secrétaire Aline Clerton Impression SIB Imprimerie ex. ISSN Distribution ISA Plus Code APE 751 A Dépot légal à la date de parution En ce début d année 2013, le Val Maubuée opère sa mue. En effet, depuis le 31 décembre, le Syndicat d'agglomération nouvelle est devenu Communauté d agglomération. Un changement de nom qui traduit bien l idée centrale : faire "communauté", mettre en commun nos idées, nos compétences, pour œuvrer sur le territoire qui est le nôtre, le Val Maubuée. Si le statut de SAN était contraignant, le nouveau statut de communauté d agglomération ouvre des perspectives et permet d appréhender l avenir avec plus de sérénité. La transformation réalisée, nous sommes aujourd hui tournés, en lien avec tous les acteurs du territoire, vers l élaboration d un projet d agglomération qui devra définir ce que les six communes veulent faire ensemble et mettre en commun. Car le Val Maubuée, ce sont bien six communes solidaires depuis quarante ans, une solidarité synonyme de richesse dans le contexte de crise que nous connaissons. Sur la forme, cette transformation juridique s accompagne d un changement de logo, bien sûr, de changements à venir dans la signalétique (notamment dans les zones d activité) et, vous l avez sans doute constaté, d un changement de magazine. Le Val Magazine a ainsi laissé sa place à valmaubuée mag qui, avec un format légèrement réduit, continuera à vous parler de ce qui fait le Val Maubuée à travers l actualité locale, à travers des portraits ou à travers des dossiers de fond sur des thématiques en lien avec les compétences intercommunales. Le dossier de ce premier numéro est consacré au logement. Si l Agglomération ne délivre pas directement les permis de construire, elle garantit les emprunts des opérations de logement social et octroie des aides pour les travaux dans le logement individuel comme collectif. Elle joue un rôle stratégique en orientant, par l intermédiaire de ses documents d urbanisme, les grandes évolutions de demain pour nos villes. Enjeu majeur à l échelle du pays et notamment de la Région Île-de-France, le logement est aussi pour nous une préoccupation permanente, tant le logement ancien et ses problématiques de vieillissement que le logement neuf et son rôle d accueil de nouvelles populations dans les meilleures conditions.

4 ACTUS Conseil communautaire, aménagement urbain, culture, développement économique, eau et assainissement, emploi et insertion, environnement, habitat, politique de la ville, sport, transports. Pointe de l'île de la Chocolaterie à Noisiel ENVIRONNEMENT Protéger et embellir les abords du parc de Noisiel L aménagement écologique et paysager des bords de Marne se poursuit. Un nouveau programme de travaux démarre fin février le long du parc de Noisiel, autour de la rivière anglaise et sur 1,8 km de berges. Entre le siège de Nestlé-France et la passerelle d accès à la base de loisirs de Vaires-sur-Marne, plusieurs aménagements devraient voir le jour à l'issue de dix-sept mois de chantier. > L aménagement paysager à vocation écologique de la rivière anglaise. > La reconstruction des passerelles sur la rivière anglaise. > La création d un ponton flottant pour l amarrage des barques de pêcheurs, à proximité de l ancienne chocolaterie. > L aménagement écologique, pour favoriser la biodiversité, de la pointe aval de l île de la Chocolaterie. > La création de six nouveaux pontons d observation le long de la rive (quatre en pied de berge, deux en belvédère). > La réhabilitation des deux fabriques (petits bâtiments) à proximité de la rivière anglaise. > L aménagement de l entrée est du parc de Noisiel. > De nouvelles plantations sur l ensemble du linéaire. coût des travaux : 1,5 M TTC, subventionnés à 50 % par la Région Île-de-France. Retrouvez en détail les nouveaux aménagements des bords de Marne

5 ACTUS 5 CONSEIL COMMUNAUTAIRE Lucie Kazarian, conseillère communautaire Lucie Kazarian, maireadjointe de Champs-sur- Marne, a été désignée par le conseil municipal de sa commune pour siéger à l Agglomération. Installée le 18 octobre, elle a remplacé Olivier Faure, élu député lors des dernières élections législatives et qui, conformément à son engagement de non cumul des mandats, a démissionné du conseil municipal de Champs-sur-Marne et de sa délégation à l Agglomération. Bernard Nain, 15 e vice-président Maire-adjoint de Croissy- Beaubourg, Bernard Nain a été élu vice-président de la Communauté d'agglomération lors du conseil communautaire du 23 janvier. Il sera en charge des moyens généraux (restauration collective, reprographie, équipes d'entretien). ORIENTATION Chercher et trouver son cap Plus de visiteurs se sont rendus aux 7 e Rencontres de l orientation et des métiers Cap AMOA, qui se sont tenues sous l égide de la Communauté d agglomération, les 7, 8 et 9 février au Centrex de Lognes. Sur place, près de 90 exposants ont pu présenter leur métier, leur activité, leur offre de formation et répondre aux nombreuses questions posées par les collégiens, lycéens et leurs parents. n COMMÉMORATION Devoir de mémoire Paul Miguel, président de la Communauté d agglomération, a participé le 27 janvier à une journée de commémoration de la libération du camp d extermination d Auschwitz, organisée à Noisiel par l association de la communauté juive de Marne-la-Vallée Beth El 77. Un moment d émotion partagé avec Michel Zylberman, historien, Frédéric Mac Kain, sous-préfet de Torcy, Guillaume Lelay-Felzine, maire de Torcy, Dominique Meyer, maire-adjoint de Noisiel, Sophie Cerqueira, représentant le conseil général de Seine-et-Marne, Charles Goldstein, représentant du Crif 77, Laurence Berlot, pasteur de l Église réformée de Marne-la-Vallée, et Jean-Charles Marchand, représentant de l association Amitié judéo-musulmane. EAU ET ASSAINISSEMENT Des factures adoucies Les élus de l'agglomération ont négocié avec Veolia Eau, concessionnaire chargé de la distribution d eau potable sur le secteur jusqu en 2015, la baisse du prix de l eau pour les usagers et la réalisation de travaux supplémentaires pour le renouvellement des réseaux d eau potable. Ainsi, le 1 er janvier, le prix du m 3 est passé de 1,50 à 1,41 euro. Parallèlement, l'agglo a décidé de baisser d un centime par m 3 la taxe qu il prélève sur l assainissement des eaux usées. Au final, avec une amélioration de la qualité du réseau de distribution d eau sans surcoût pour les consommateurs, les prochaines factures devraient être réduites en moyenne de 10 à 12 euros par an.

6 6 ACTUS CULTURE Les médiathèques à la page GRATUITÉ DES PRÊTS Jusqu à présent, les habitants du Val Maubuée pouvaient emprunter gratuitement des documents "papier" dans leurs six médiathèques préférées, mais devaient s acquitter d un forfait annuel de 20 euros pour emprunter un CD ou un DVD. Une situation économique difficile, la disparition des vidéoclubs, la démocratisation des téléchargements de films et de musique ont conduit les élus de l Agglomération à réviser les tarifs de prêt des médiathèques. Ainsi, depuis le 1 er février, le prêt de l ensemble des documents est gratuit pour tous les habitants du Val Maubuée. Un crédit supplémentaire de 20 euros dans le porte-monnaie familial qui pourra servir, pourquoi pas, à l achat d un livre, d un CD ou d un DVD INTERACTIVITÉ Un nouvel outil informatique a été installé début février dans les médiathèques. Un plus pour les bibliothécaires qui bénéficient aujourd hui d un logiciel de gestion des prêts, retours et inscriptions, plus performant. Un gros plus pour les adhérents qui ont désormais accès à un nouveau catalogue en ligne, à partir duquel ils peuvent réserver un document, suivre sa disponibilité, prolonger un prêt et faire des suggestions d achat. Découvrez les nouveaux services offerts par les médiathèques LES MÉDIATHÈQUES EN CHIFFRES 49 % augmentation des prêts de DVD entre 2008 et inscrits livres 300 titres de revues CD DVD 550 partitions prêts en 2011, tous supports confondus. TRANSPORTS Le Grand Paris voit rouge Annoncé pour 2025, le réseau Grand Paris Express pourrait n être bouclé qu en 2040! C est ce que suggère le rapport de Pascal Auzannet, remis à la ministre de l Égalité des territoires et du Logement Cécile Duflot, le 13 décembre. L ancien directeur des RER à la RATP propose en effet de repousser la mise en service de la totalité du réseau et de rééchelonner la réalisation des tronçons. Ainsi, initialement prévues pour 2018, les trois branches ralliant Noisy-Champs pourraient ne voir le jour qu en 2023 (ligne rouge nord, ligne orange) voire 2037 (ligne rouge sud)! Des préconisations que contestent les élus du Val Maubuée. Paul Miguel, président de la CA, et Maud Tallet, maire de Champs-sur-Marne, ont initié une pétition contre ces reports, remise au Premier ministre. Émeric Bréhier, député de la 10 e circonscription de Seine-et-Marne, est également intervenu auprès de Jean-Marc Ayrault afin de l alerter sur l importance du projet pour les habitants de l Est métropolitain. Affaire à suivre la-carte-du-projet Pour voir la carte du projet Rapport_C_Duflot_Version_Finalex.pdf Pour télécharger le rapport Auzannet Schéma d'ensemble du Grand Paris Express

7 ACTUS 7 Nous avançons sur l exploitation, nous avançons sur le matériel, nous avançons également sur les gares. Les efforts sont considérables, mais le suivi impose notre vigilance à tous, élus comme usagers. François Kalfon, président de la commission transport au conseil régional d Île-de-France TRANSPORTS Le RER A sur la bonne voie? Elle compte (presque) autant de mécontents que d usagers et fait (malheureusement) partie de ces quelques (précieux) sujets qui font consensus (contre eux). Moyen de transport aussi utile et indispensable qu il peut être exaspérant, la ligne A du RER méritait bien une réunion publique. Organisée par la Communauté d agglomération (CA), celle-ci s est tenue le 12 février et a réuni, autour du président de la CA Paul Miguel et du président de la commission transports à la Région Francois Kalfon, des membres du Stif (autorité organisatrice des transports en Île-de-France), de la RATP (coexploitant de la ligne, avec la SNCF), des élus (les maires de Noisiel et de Torcy ainsi que le président du conseil général de Seine-et-Marne) et des habitants du Val Maubuée. Son but? Présenter le schéma directeur de la ligne, qui programme quelques améliorations. Et échanger sur les problèmes récurrents d une ligne saturée : certains trains qui ne marquent pas l arrêt, l information aux voyageurs parfois défaillante, l affluence à certaines heures, les retards, etc. Après trois heures d échanges animés, les participants ont promis de se retrouver l an prochain, pour faire le point. Les avancées présentées Dès cet été > Mise en place des horaires d'été repoussée d'une semaine, soit après le 14 juillet > Renforcement de l'offre d été entre Noisy-le-Grand et Marne-la-Vallée / Chessy ou Torcy À court terme > Avant l'été 2014 : remplacement des trains à niveau unique (d une capacité de places) par des trains à double niveaux (d une capacité de places) > Amélioration de l information aux voyageurs > Rénovation des gares de Noisiel et de Torcy À moyen terme > Aménagement de la gare de Val de Fontenay pour permettre le retournement des trains en cas d incident à l est de Nation À long terme > Mise en place d'un système de régulation permettant aux trains de rouler de manière plus régulière > Aménagement du garage de la gare de Torcy > Augmentation des capacités de l arrière gare de Chessy usagers utilisent les gares du Val Maubuée quotidiennement. > 75 % en direction de Paris > 15 % au sein du Val Maubuée > 10 % en direction de Marne-la-Vallée / Chessy voyageurs par jour ouvré. La ligne du RER A est la plus fréquentée d'europe. 66 trains en circulation simultanément en heure de pointe sur les 109 km que compte la ligne. Source : STIF / RATP no _relative_au_schema_ directeur_du_rer_a.pdf Pour consulter le schéma directeur de la ligne

8 HABITAT Répondre à la crise du logement

9 Répondre à la crise du logement DOSSIER 9 Poste important du budget familial, sujet de préoccupation national, le logement fait (trop souvent) l actualité. État des lieux au Val Maubuée Construire et réhabiliter La question du logement n est pas nouvelle en Île-de-France. On se souvient des grands ensembles en banlieue pour résorber les bidonvilles, ou encore de l appel de l abbé Pierre qui, au cours de l hiver 1954, fondait la première communauté Emmaüs avec des accueils d urgence à Noisy-le-Grand. Conçues à la fin des années 1960 pour rééquilibrer une région ne jurant que par sa capitale congestionnée, les villes nouvelles sont alors imaginées en regard des grandes barres d immeubles qui lardent la banlieue et constituent (déjà) un contre-modèle. Elles doivent proposer des logements en nombre mais également diversifiés et de qualité. Marne-la-Vallée est de celles-là. En quinze ans, la population du Val Maubuée est multipliée par quatre. Ainsi, nouveaux habitants s installent sur un territoire où les grues font leurs nids. Quelque logements sont construits pour les accueillir. Trente, quarante ans plus tard, où en est-on? Quelles traces a laissé cette rapide éclosion? DES BÂTIS VIEILLISSANTS Lorsque tout naît en même temps, tout vieillit en même temps. Cette presque Lapalissade laisse deviner, sans se faire de nœuds au cerveau, l étendue du problème. Elle semble hanter le premier PLH (Plan local de l'habitat) du Val Maubuée, qui vient de s achever. Initié pour la période , ce document de programmation visait à dresser un constat de l existant et à tracer des pistes d amélioration. Pour le constat tout est clair : la ville nouvelle vieillit et son patrimoine, public PLH : QUÈSACO? "PLH" un drôle de borborygme qui masque l importance de l outil. Littéralement Programme local de l habitat, il est le document de planification qui dresse l état des lieux présent et futur de la question du logement. Initié par l Agglomération, il est le fruit d un travail mené avec tous les acteurs intéressés par cette problématique sur le territoire : communes, bailleurs, syndics, associations d insertion, services de l État, de la Région et du Département. Adopté pour une période de six ans, il vise à apporter des réponses aux attentes, mouvantes, de la population en matière de logement. L objectif final est simple : permettre à chaque ménage de trouver un logement correspondant à ses capacités financières, au nombre de personnes qui le composent et à leur mode de vie. Ce qui implique de diversifier l offre de logements pour que celle-ci "colle" aux différentes phases de la vie des ménages : départ des grands enfants, entrée dans la vie active, naissances, divorces/ séparation, recomposition familiale, retraite... Validé par l Agglomération, l État et les six communes du Val Maubuée, le PLH doit être conforme au SCoT (Schéma de cohérence territoriale) et s impose aux PLU (Plan local d urbanisme) des communes. 60% du parc de logements du Val Maubuée a été construit entre 1975 et 199O logements à construire (objectif du 1 er PLH) logements réalisés

10 10 DOSSIER Répondre à la crise du logement comme privé, ressent le poids des ans. Construits à une époque d insouciance énergétique, malgré deux chocs pétroliers qui avaient froissé quelques pattes d ef, les logements s apparentent trop souvent à des passoires, de plus en plus coûteuses avec l augmentation frénétique du prix de l énergie. Ils sont aussi de moins en moins adaptés à une demande qui a évolué. L émergence et la croissance de l université et des écoles supérieures, le passage à l âge adulte des jeunes enfants des années 1980 et le desserrement des familles entraînent une forte demande de petits logements, qui font cruellement défaut sur le territoire. Ainsi, aux besoins de réhabilitation de l ancien se conjugue la nécessité de construire du neuf. UN PREMIER PLAN D ACTIONS Fort de ce constat, le premier PLH prévoyait la construction de 395 logements par an sur la période Au final, la crise s invitant à la table, Qui fait quoi? Si l Agglomération a une mission de planification, d organisation et de coordination, l urbanisme réglementaire et le peuplement sont de compétence communale. L attribution de logement l est également POUR OBTENIR UN LOGEMENT HLM La demande doit être enregistrée en remplissant un formulaire (Cerfa n 14069*01) disponible en mairie ou sur le site Ce formulaire est à déposer dans la mairie de votre choix, chez les bailleurs sociaux ou auprès du comité interprofessionnel du logement (CIL) d Action Logement, si vous êtes salarié d une entreprise cotisant à cet organisme collecteur. la réalité s est plutôt située un cran plus bas, aux alentours de 335 logements édifiés annuellement (dont seulement 148 en 2008!). Côté réhabilitation, il instituait un dispositif de subventions, sous condition de ressources et d âge du bâti, pour aider bailleurs sociaux et propriétaires privés à réhabiliter leurs logements. Plus de euros ont ainsi été versés. Une première avancée à partir de laquelle œuvrer. Un second PLH, qui couvrira la période , est actuellement dans les tuyaux. Il devrait poursuivre la dynamique engagée, tout en intégrant la quadrature actuelle, celle d un climat économique morose, d une baisse des fonds publics, d une évolution insaisissable des modes de vie, mais d une demande sans cesse croissante Retrouvez un bilan du premier PLH, ses huit principaux objectifs et leur degré de réalisation. Une fois votre demande enregistrée, il vous sera demandé de fournir un certain nombre de pièces afin que votre dossier soit instruit. QU EST-CE QU ACTION LOGEMENT? C est la dénomination actuelle du fameux "1% logement". Ce dispositif, institué en 1953, consistait, pour les entreprises de plus de 20 salariés, à consacrer 1% de leur masse salariale au financement de la résidence principale des salariés. Après plusieurs baisses successives, ce taux a été ramené à 0,45 % en En contrepartie, 0,50 % est versée au Fonds national d'aide au logement (FNAL), qui finance diverses allocations logement. Chiffres clés Plutôt bien desservi en transports, proche des bassins d emploi, le territoire est prisé En 2011, le tiers des demandes de logements sociaux provenaient de l extérieur du Val Maubuée et les deux-tiers des acquéreurs d appartements n habitaient pas le secteur auparavant. Plus de logements sociaux 64 % des foyers fiscaux ont des revenus inférieurs ou égaux à 1,5 Smic/mois. (60 % à l échelle du département ; 59 % à l échelle de la région ; 67 % à l échelle nationale). 80 % des ménages du Val Maubuée sont éligibles à un logement social. (Source : Direction générale des impôts 2010) 50 % de propriétaires 48 % de locataires 2 % autres Typologie des logements au Val Maubuée : 19 % de 1 et 2 pièces 27 % de 3 pièces 29 % de 4 pièces 25 % de 5 pièces et plus Loyers privés : 15,2 /m² en 2011 au Val Maubuée 17,9 /m² en 2011 en Île-de-France Résidence "La Futaie" à Lognes

11 Répondre à la crise du logement DOSSIER 11 INTERVIEW MICHEL BOUGLOUAN vice-président en charge de l habitat L intercommunalité est une échelle pertinente pour échanger, se coordonner, chercher une cohérence avec les différents acteurs LA PROBLÉMATIQUE DU LOGEMENT EST TRÈS PRÉSENTE, NOTAMMENT EN ÎLE-DE-FRANCE. LES OBJECTIFS DU PLH RÉPONDENT-ILS AUX BESOINS EN NOMBRE? Durant les six années du premier PLH, 335 logements ont été construits par an. C est 20 % de plus qu au début des années 2000 (280 logements/an). Ceci dans un contexte difficile : quasi-disparition des aides à la pierre pour les sociétés HLM, ponctions répétées de l État sur les fonds du 1% logement,... Dans les années à venir, nous envisageons une montée progressive du rythme de construction, de 400 au début du PLH vers 700 par an quand le réseau du Grand Paris Express permettra de désengorger les transports et de redonner de l attractivité résidentielle à notre territoire. CELA SERA-T-IL SUFFISANT? À l échelle de l Île-de-France, on peut se poser la question. Pour autant, 280 logements par an suffiraient pour répondre aux besoins de desserrement des familles du Val Maubuée. Avec ces objectifs, nous ambitionnons de prendre toute notre part pour la mise en œuvre de solutions au mal-logement, mais il faut que cela reste compatible avec notre volonté, partagée, de préserver un cadre de vie qui nous est souvent envié. OÙ EN EST LE DEUXIÈME PLH? Nous achevons le diagnostic et le travail est engagé sur les enjeux prioritaires et les actions à entreprendre. Nous devons identifier les endroits de construction future de logements : en priorité dans les îlots déjà urbanisés, mais aussi en convertissant les emprises autoroutières (A103, A199) dont l abandon définitif sera rapidement acté. L état du patrimoine bâti continue de nous préoccuper, notamment les bâtiments collectifs en copropriété. Une construction datée, souvent mal isolée. Elles ont besoin d être accompagnées dans leur prise de décision, leurs choix de réhabilitation, dans l information et la formation des copropriétaires. Nous réfléchissons à l aide utile que nous pourrions développer. Autre enjeu d importance : comment peser sur le coût du logement afin d en réduire le poids dans le budget des ménages? En privilégiant le logement "public", à loyers mieux maîtrisés? En ayant des politiques foncières actives pour baisser le prix des terrains? En poussant aux réhabilitations énergétiques pour économiser dans la facture énergétique? Ou encore en travaillant sur la mobilité dans les parcs notamment dans les cas de sous-occupation? Autant de pistes en débat aujourd hui. LAURENCE FIESCHI-MÈGE responsable du service habitat/politique de la ville "Les objectifs du premier PLH avaient été construits de manière un peu arbitraire, car nous manquions d'informations sur la situation et les besoins. C'est pourquoi nous avons créé un observatoire de l habitat qui collecte les données des différents acteurs et nous permet d'avoir une vision d'ensemble! En ce qui concerne les aides financières, nous avions un peu surestimé la demande, notamment celle des propriétaires privés, mais le contexte a également beaucoup changé. Nous n intervenons que s il y a un autre financeur. En l occurrence, nous sommes très liés à des financements d État. Mais ceux-ci n ont cessé de s amoindrir. Nos aides étaient par voie de conséquence peu sollicitées. Nous avons dû régulièrement nous adapter en modifiant par trois fois les critères d éligibilité." Sur la durée du PLH , l'agglo a accordé des subventions à : > 99 propriétaires privés pour un montant global de > 6 organismes HLM pour un montant global de

12 12 DOSSIER Répondre à la crise du logement TORCY Logements livrés moins de 10 entre 10 et 29 entre 30 et 59 CHAMPS- SUR- MARNE NOISIEL plus de 60 Logements en travaux moins de 10 de 10 à 29 de 30 à 59 plus de 60 Travaux non-démarrés moins de 10 de 10 à 29 de 30 à 59 LOGNES plus de 60 espaces_verts Source : SIG du Val Maubuée 31 décembre 2012 ÉMERAINVILLE CROISSY- BEAUBOURG PLH Logements livrés et programmés > Les programmes de logements réalisés dans le cadre du premier PLH sont constitués à 65 % de logements familiaux (majoritairement des 2 et 3-pièces) et à 35 % de résidences (chambres ou studios) destinées aux étudiants et chercheurs, jeunes actifs et personnes âgées. > Le diagnostic du deuxième PLH laisse apparaître que l effort de construction doit être maintenu dans les années à venir pour répondre aux besoins des habitants, notamment des jeunes entrant dans la vie active et des ménages à faibles revenus. > Le SCoT, Schéma de cohérence territoriale, prévoit la construction de logements entre 2013 et 2030 : 400 logements par an entre 2013 et 2018, puis, progressivement, de 400 à 700 logements, de 2019 à 2030.

13 Répondre à la crise du logement DOSSIER 13 38,4 % de logements sociaux Bien au-delà des obligations légales de 20 %, le parc de logements du Val Maubuée comptait, en 2011, 38,4 % d habitations à loyer modéré (HLM). Celles-ci ont été construites avec le soutien de l État pour permettre l accès au logement des ménages aux revenus les plus modestes et sont actuellement gérées par une vingtaine de bailleurs sociaux. "Nous ne sommes pas là que pour encaisser des loyers, rappelle Jean-Baptiste Paturet, délégué départemental de l Aorif, l'union sociale pour l'habitat d'île-de-france. Nous sommes partenaires à part entière des villes et de l Agglomération sur tous les projets qui concernent l amélioration de l habitat et du cadre de vie (PLH, requalification des quartiers du Luzard à Noisiel et de l Arche Guédon à Torcy). Nous travaillons bien sûr sur la réhabilitation du bâti, mais aussi sur l adaptation des types de logements aux besoins des familles et à leurs revenus. Un logement trop grand, c est plus de charges à payer ; un logement trop petit, c est plus de promiscuité, des difficultés pour les enfants à étudier, des intérieurs qui se dégradent plus vite. Nous avons tous intérêt à veiller, collectivement, sur ce patrimoine. C est le gage de quartiers apaisés". " 50 % de copropriétés Beaucoup de gens vivent en copropriété sans en connaître les incidences juridiques et financières", prévient Laurence Fieschi-Mège, responsable pour l Agglomération du service habitat/politique de la ville. "Il est vrai que le fonctionnement des copropriétés est complexe. On constate, par exemple, que peu d entre elles prévoient un fonds de travaux pour l entretien, souvent coûteux, des parties communes." Une étude menée dans le cadre du premier PLH a révélé que sur les 447 copropriétés du Val Maubuée, 16 % se trouvent dans une situation "difficile" (bâti dégradé, part croissante des impayés, dysfonctionnements de gestion, etc.). "L enjeu du prochain PLH est de pouvoir anticiper ces difficultés, d éviter les dispositifs lourds de rénovation, tout simplement parce que, au final, ça coûte moins cher à tout le monde. Nous envisageons aussi de monter des formations pour apprendre aux copropriétaires à être copropriétaires." En complément du travail mené par les communes, l Agglo a commencé à accorder des subventions aux copropriétés pour leurs travaux de rénovation : à la copropriété les Rives de Maubuée II, à Torcy (ascenseur, étanchéité de toiture/terrasse) ; à la copropriété Ferme du Buisson, à Noisiel (toiture, ravalement avec isolation). Ces gardiens sont des anges Pascal Lidon, gardien d'immeubles et Frédéric Léonard, régisseur Sabine, Joëlle, Pascal, Nicolle, Sabah, Godefroid, Frédéric, Jacqueline Les gardiens d immeuble que nous avons rencontrés pour ce dossier sont unanimes : "Le métier a changé et en bien! Il s est professionnalisé." Oubliez le survêt informe qui vous toisait avec son berger allemand ou la blouse à fleurs qui surveillait vos allées et venues en gavant son canari, pensez entretien des parties communes, veille technique, suivi des entreprises, accompagnement social. "Depuis quelques années, il existe un CAP de gardien", indique Frédéric, régisseur chez Osica. "De plus nous bénéficions très régulièrement de formations", complète Joëlle, gardienne pour le Logement francilien. "Et ce, dans tous les domaines, précise Sabine, gardienne en couple pour Trois Moulins Habitat, de la gestion de l agressivité à l informatisation des dossiers de logement." "Nous sommes professionnels, mais nous sommes aussi des habitants, rapporte Pascal, parent d élèves, membre du club de tir à l arc, trésorier de la régie de quartier de Torcy. À l écoute de nos locataires, de nos voisins, nous nous sentons doublement investis dans la vie de la ville."

14 14 DOSSIER Répondre à la crise du logement Elisabeth Dubujet, conseillère énergie et développement durable de Seine-et-Marne Environnement. Comment réduire les factures énergétiques "Ce n est pas le tout d avoir un logement, encore faut-il pouvoir y rester dans de bonnes conditions et pouvoir faire face aux factures de gaz ou d électricité", alerte Elisabeth Dubujet, conseillère à l Espace Info Énergie mis en place par l agence environnementale du Conseil général, Seine-et-Marne Environnement, et partenaire du PLH. "Le prix de l énergie a beaucoup augmenté ces cinq dernières années (+ 30 % pour le gaz) et l Ademe* prévoit que, toutes énergies confondues, celui-ci pourrait encore grimper de 25 % d ici à 2015 et, a minima, de 50 % d ici à On estime qu un foyer est en situation de précarité énergétique dès lors qu il consacre plus de 10 % de son budget mensuel à l énergie (hors carburant). Avec ces hausses qui, mécaniquement, se répercutent sur le coût de la vie, beaucoup de ménages risquent de basculer dans la précarité tout court. À titre individuel ou collectif, nous devons tous nous sentir concernés." L un des enjeux du prochain PLH est donc d intégrer l amélioration de la performance énergétique des bâtiments dans les rénovations et dans les nouvelles constructions. "Nous accompagnons les collectivités dans leurs projets de développement durable et apportons aussi nos conseils, gratuitement, aux particuliers. Nous pouvons les aider à comprendre leurs factures, prioriser des travaux de rénovation thermique, analyser des devis, mais aussi les informer sur les aides financières telles que le crédit d impôt, l éco-prêt à taux zéro ou les subventions (CAF, caisses de retraite, Conseil général, ANAH, Pact 77, etc.). Chaque logement est un cas particulier, le mieux est de venir nous rencontrer pour en discuter." *Agence de l'environnement et de la maîtrise de l'énergie n ESPACE INFO ÉNERGIE Permanence le mercredi de 10 h à 17 h, sur rendez-vous, à la Maison départementale des solidarités Grande Allée des Impressionnistes à Noisiel Tél info-energie@me77.fr Petits écogestes, grandes économies > Couper le chauffage avant d aérer. Mieux vaut aérer son logement 5 minutes en créant un courant d air que 20 minutes pièce par pièce, les murs n ont pas le temps de refroidir et donc pas besoin d être réchauffés. > Une douche de 5 minutes (temps d eau qui coule) au lieu de 10 = 140 d'économie sur la facture d eau et d énergie, par personne et par an. > La température conseillée pour un logement est de 19 C la journée, 16 C la nuit. Chaque degré supplémentaire = 7 % en plus sur la facture. > Mettre un pull, c est augmenter de 1 C la température ressentie.

15 Répondre à la crise du logement DOSSIER 15 INFOS PRATIQUES SERVICES LOGEMENT DES COMMUNES Enregistrement des demandes de logement HLM > Champs-sur-Marne Tél > Croissy-Beaubourg Tél > Émerainville Tél > Lognes Tél > Noisiel Tél > Torcy Tél MDS Maison départementale des solidarités Service du Conseil général de Seine-et-Marne. Accompagnement social pour faciliter l accès à un logement ou éviter une expulsion. Grande Allée des Impressionnistes à Noisiel Tél ADIL 77 Agence départementale pour l information sur le logement en Seine-et-Marne Conseils juridiques liés au logement et à l habitat pour locataires, propriétaires, responsables d amicales de locataires et de conseils syndicaux. Tél Permanence à la Maison de justice et du droit (MJD) 4, place Gaston-Defferre à Noisiel Les 1 ers et 3 es mardis, de 14 h à 16 h 30 Tél Permanence à la Maison Léo-Lagrange 10, rue de la Fontaine à Torcy Les 1 ers et 3 ès mercredis, de 14 h à 16 h 30 ou sur rendez-vous Tél RELAIS JEUNES Résidence sociale et foyer de jeunes travailleurs 5, place des Rencontres à Torcy Tél PHARE Pour l hébergement et l aide à la réinsertion 2, avenue Jean-Jaurès à Champs-sur-Marne Tél CAISSE D ALLOCATIONS FAMILIALES 77 Prime de déménagement. Prêt à l amélioration de l habitat. Prêt à l amélioration du lieu d accueil (pour les assistantes maternelles). Tél PACT 77 Information sur les travaux d amélioration du logement et accompagnement à la recherche de financements. 649, avenue de Bir-Hakeim Le Mée-sur-Seine Tél ANAH Agence nationale pour l amélioration de l habitat Aides financières aux propriétaires privés pour l amélioration et la rénovation de leur logement. Délégation départementale 288, rue Georges-Clemenceau BP Melun Cedex Accueil téléphonique du mardi au vendredi de 9 h 15 à 11 h 30 et de 14 h à 16 h Tél Réception du public uniquement sur rendez-vous les mardis et vendredis de 9 h 15 à 11 h 30 et de 14 h à 16 h ADIL 77 Agence départementale pour l information sur le logement en Seine-et-Marne

16 EXPANSION EN BREF ÉCOLOGIE INDUSTRIELLE Yprema transforme nos déchets en matériaux Spécialisée dans le recyclage des matériaux de (dé)construction du BTP, l entreprise Yprema ouvre son centre de production aux artisans et aux particuliers. Savez-vous que chaque année, en France, les chantiers de déconstruction de routes et de bâtiments génèrent millions de tonnes de déchets, soit une tonne par habitant? Savez-vous que, aujourd hui, seulement un tiers de ces déchets est recyclé pour servir à de nouvelles constructions? "L objectif français et européen est que, d ici à dix ans, 70 % des matériaux de déconstruction puissent être valorisés, expose Dimitri Jourdan, directeur général d Yprema. Depuis plus de vingt ans, nous récupérons, trions, concassons ces déchets inertes. Une fois passés par chez nous, ils retrouvent une deuxième vie et peuvent à nouveau servir de matière première, ce qui évite les mises en décharge et les extractions de ressources naturelles dans les carrières." C est ainsi que récemment, à Émerainville, Yprema a traité les produits issus du décaissage de l allée de la Briarde, puis fourni la grave de béton nécessaire à son remblayage, et qu à la Cité Descartes, graves et cailloux industriels ont servi à réaliser une piste de chantier et des remblais autour du bâtiment "le Bienvenüe". MARCHAND DE SABLE Jusqu à présent réservé aux industriels du BTP, le centre de recyclage d Yprema accueille désormais les artisans et les particuliers."un monsieur est venu un jour nous demander quelques sacs de sable, raconte ainsi Dimitri Jourdan. N'étant pas habitués à vendre nos produits en petites quantités, nous les lui avons donnés. Mais depuis, nous avons développé la vente aux particuliers! "À raison d environ 2,40 euros la tonne (plus c est trié, moins c est cher), chacun peut donc déposer ses vieux parpaings, briques et blocs de bétons non ferraillés et repartir avec des matériaux qui seront de 10 à 20 % moins chers que dans les magasins de bricolage. Yprema commercialise également sablon et gravillons. Pensez-y la prochaine fois que vous aurez une allée, une terrasse ou un terrain de pétanque à (re)faire. Reprendre, réussir et concourir La Chambre de commerce et d industrie 77, avec ses partenaires du réseau "Transmettre et reprendre une entreprise en Seine-et-Marne", lance le 7 e concours "Reprendre et réussir en Seine-et-Marne". Ce concours s adresse aux chefs d entreprise ayant repris une affaire entre 2009 et Les meilleures "reprises" seront récompensées d un chèque de euros et d une tablette numérique dans deux catégories : TPE (de 0 à 10 salariés) et PME (de 10 à 250 salariés). Dépôt des dossiers avant le 29 mars n RENSEIGNEMENTS Tél corinne.deoliveira@seineetmarne.cci.fr wwww.seineetmarne.cci.fr Un nouveau livre sur la Ville nouvelle Marne-la-Vallée a 40 ans. Pour marquer l événement, l EPA Marne, établissement public d aménagement, a confié à dixhuit auteurs, historiens, urbanistes, architectes et ingénieurs la rédaction d un très bel ouvrage sur la genèse et l évolution de la Ville nouvelle. Au final, 300 pages et quelques kilos d informations fort bien illustrées au cœur desquels figure un article de Tricia Meehan, docteur en architecture, sur le Val Maubuée, "cité-jardin revisitée". À découvrir dans les médiathèques du Val Maubuée. n marne-la-vallée : de la ville nouvelle à la ville durable Sous la direction de Clément Orillard et Antoine Picon, Éditions Parenthèses, 33. n YPREMA 11, allée de la Briarde à Émerainville Tél

17 EXPANSION 17 FILIÈRE BOIS L'institut technologique FCBA s implante à la Cité Descartes Depuis sa création en 1952, le siège du Centre technique du bois, aujourd hui Institut technologique FCBA (Forêt, cellulose, boisconstruction, ameublement), avait pris racine avenue de Saint-Mandé à Paris. Le bail arrivant à terme, ce centre technique industriel a préféré transformer la contrainte d un déménagement en opportunité de construction de nouveaux locaux sur mesure pour des "équipements d excellence". CONSTRUCTION DURABLE Le choix s est porté sur la Cité Descartes pour "ses facilités d accès par l A4 et le RER A, mais aussi et surtout, pour la dynamique 'habitat et ville durables' des établissements déjà présents sur le site, explique Georges-Henri Florentin, directeur général de FCBA. Nous travaillons déjà avec le CSTB (Centre scientifique et technique du bâtiment), l École supérieure d architecture et le PRES Université Paris-Est. Nous pourrons ainsi ouvrir encore plus notre institut et nos professions à nos futurs voisins." BUREAUX ET LABORATOIRES Situé à l angle des rues Galilée et Alfred- Nobel, le futur bâtiment, signé Atelier 4+, structuré et habillé de bois, accueillera des bureaux, six laboratoires (essais, mesures, recherche et développement) et le siège social de FCBA ( m² de construction bois). "Ce déménagement a été accompagné d une réflexion sur le fonctionnement de l institut, poursuit son directeur, ici nous pourrons offrir, à notre personnel (150 personnes) et à nos clients, des outils de travail modernes dans un environnement plus fonctionnel et propice aux échanges." Les travaux ont démarré cet hiver pour une livraison attendue fin n Le projet est signé Atelier 4+ La filière bois regroupe les métiers de la sylviculture, l exploitation forestière, la scierie, la pâte à papier, les panneaux, l emballage, l industrie bois-construction, l énergie, l ameublement, l'agencement et la préservation du bois. L'Institut technologique FCBA est au service des professionnels de ces secteurs pour tout ce qui concerne l innovation, la recherche, la consultance, les essais, le transfert d'informations, la formation professionnelle, la certification et la normalisation. EN BREF CA et CCI 77 copropriétaires de la future Maison de l entreprise innovante La CA de Marne-la-Vallée/ Val Maubuée et la Chambre de commerce et d industrie de Seine-et-Marne vont signer un "contrat de réservation" pour la construction d une Maison de l entreprise innovante à la Cité Descartes. Le bâtiment, situé entre la rue Alfred-Nobel et la rue Albert-Einstein, conçu par le studio Bellecour Architectes, accueillera sur m 2 répartis sur trois niveaux : l incubateur Descartes, la pépinière d entreprises de la CCI 77, un hôtel d entreprises, le siège de l agence Marne-la-Vallée Descartes Développement et des parties communes (salles de réunion, bureaux, cafétéria, locaux techniques). Ce nouvel équipement sera géré en copropriété par l Agglomération (68 %) et la CCI 77 (32 %). Le démarrage des travaux est prévu en mars 2014 pour une livraison fin Requalification de la ZAI de Torcy La phase opérationnelle de la requalification de la zone industrielle de Torcy a démarré. Les premières tranchées ont été creusées pour permettre l arrivée de la fibre optique sur le site. Les travaux reprendront au mois de mai, pour un an de chantier, avec la réfection de l assainissement, des voiries et de l éclairage public, la création d espaces de stationnement, l installation d une nouvelle signalétique et la plantation de nouveaux végétaux.

18 INITIATIVES CRÉATION D ENTREPRISE La créativité a deux prix Parce que le chemin de l emploi passe aussi par la création d entreprises, la Maison de l emploi et de la formation du Nord-Ouest Seine-et-Marne (MDEF) récompense de deux "prix territoriaux de la créativité" les jeunes entrepreneurs entreprenants. C est ainsi qu un prix "Coup de cœur du jury" a été attribué à Tako Camara, créatrice, dans un secteur très concurrentiel, de I-novation care, société de fabrication et commercialisation de produits cosmétiques. Quant au prix "Maison de l emploi", il a été décerné à Jocelyn Kipré, pour le courage (et l audace!) dont il a su faire preuve pour monter "avec rien", Clean Service, une entreprise de repassage et retoucherie à destination des entreprises. Chacun a reçu un chèque de euros pour développer son activité. u Les prix de la créativité ont été remis au BASE (Bureau d'accueil et de services aux entreprises du Val Maubuée) le 17 janvier. EMPLOI Microtravail, maxisite La Maison de l emploi et de la formation du Nord- Ouest Seine-et-Marne (MDEF), en partenariat avec la société Nuxia, a récemment créé un site internet, Emploienplus.fr, sur le microtemps de travail. Quèsaco? Alain Yana, en charge du site, nous l explique : "Le microtemps de travail est un complément d activité qui représente un petit nombre d heures. Il peut être ponctuel (distribuer des flyers, qualifier un fichier par téléphone, cacheter des enveloppes, etc.) ou régulier (mettre à jour un site internet trois heures par semaine, prendre des notes cinq heures par mois, etc.). De nombreuses petites entreprises ou des associations peuvent avoir des petits besoins comme ceux-ci, mais pas forcément les moyens budgétaires ou administratifs pour recruter sur des contrats classiques." Dès lors, la solution du microtravail s impose. D autant que, de l autre côté, "de nombreuses personnes en temps partiel, à la retraite, ou foyer ou encore des étudiants ne sont pas contre travailler deux ou trois heures par semaine pour arrondir les fins de mois". Ces heures de travail ne sont pas prioritaires pour les acteurs de l emploi (Pôle emploi, etc.) qui se concentrent davantage sur les CDD, les CDI ou les longues missions. D où l utilité de ce site, qui constitue un espace où l offre et la demande se rencontrent. "Une fois sur le site, il suffit de créer un compte pour créer une offre ou une demande. Elles sont ensuite visibles par tout le monde." Emploienplus.fr recense par ailleurs les nombreux dispositifs (chèque emploi service, titre emploi service entreprise, groupement d employeurs, portage salarial) qui existent pour recruter sur ces travaux particuliers. u n mdef Alain Yana, tél

19 INITIATIVES 19 NOUVEAU SERVICE Et si vous (re)passiez à la repasserie? Au cœur du quartier de l Arche Guédon à Torcy, la repasserie (lavage-repassage) Faut Pas Sans Fer a ouvert ses portes le 5 novembre dernier. Cette initiative de la régie de quartier de Torcy, pilotée par Cécile Cazier, jeune licenciée en management de l économie sociale, a trois objectifs : proposer un service utile aux habitants, créer des emplois et du lien social dans le quartier. Opération réussie! La régie, dont le rôle est de faciliter l accès à l emploi en assurant suivi socioprofessionnel et création de contrats d insertion, a ainsi ajouté deux postes à sa liste de succès. Depuis, Mehmet Ozturk, pro du pressing et Danielle Zahui, souriante maman de retour dans la vie active, font tourner les machines à laver et coordonnent ramassage et livraison. Local, matériel, camion, tout est neuf grâce à l investissement de la mairie qui prête les lieux rénovés et des fondations Aéroports de Paris, Groupe Chèque Déjeuner et l ACSÉ*, qui ont financé l équipement matériel. Enfin, l association Bleu Lumière a apporté les premiers clients, salariés de Nestlé-France. Mais l histoire ne s arrête pas là. Au mois de mars, le petit commerce étendra ses tournées à la mairie de Torcy. Mieux : pour répondre à la demande des particuliers comme des entreprises et créer encore de nouveaux emplois, la repasserie compte offrir très prochainement les services d un pressing complet. u *ACSÉ, Agence nationale pour la cohésion sociale et l égalité des chances n repasserie faut pas sans fer 10, passage de la Mogotte à Torcy Tél / Horaires Lundi, mercredi, jeudi : 8 h 12 h 30 et 14 h 16 h 30 Mardi, vendredi : 9 h h 30 et 13 h h Danielle Zahui Tarifs 6,50 /kg de linge tous textiles hors soie 2 la chemise (8 les 5) Prix du ramassage et de la livraison pour les particuliers (3 kg de linge minimum) : Zone 1- Torcy : 3 Zone 2 - Noisiel, Lognes : 3,50 Zone 3 - Champs-sur-Marne, Émerainville, Croissy-Beaubourg : 4 Tarifs sur devis pour les entreprises.

20 20 INITIATIVES SERVICES À LA PERSONNE Des experts à domicile Créée en janvier 2010 par Michel Coutarel et son fils Julien, l association de service à la personne basée à Lognes "Aidom Expert" a le vent en poupe. En à peine trois ans d existence, le nombre de ses salariés a plus que doublé, passant de 12 à 27. Tous diplômés et expérimentés, ces derniers interviennent 7j/7 et 24h/24 dans cinq secteurs d activité : aide aux personnes (assistance dans la vie quotidienne, accompagnement, gardemalade jour et nuit) ; travaux ménagers et courses ; bricolage et jardinage ; garde d enfants ; soutien personnalisé (assistance informatique et Internet à domicile, cours à domicile et soutien scolaire, aide administrative). "Nous avons environ 200 clients, aussi bien des personnes âgées que des familles, que nous connaissons personnellement, car nous sommes une structure de proximité" note Julien Coutarel, le jeune directeur. Gage de qualité, Aidom Expert suit une charte d engagement et fait partie des associations du réseau ADMR de services à la personne qui existe depuis soixante ans. À noter que les prestations d Aidom Expert peuvent être rémunérées grâce aux chèques emploi service universel (CESU), que l on peut notamment se procurer dans une agence bancaire et qui permettent de bénéficier d un avantage fiscal. u n aidom expert 26, rue de la Maison-Rouge à Lognes Tél INSERTION PROFESSIONNELLE Jardin d acclimatation Côté jardin, au château de Champs-sur-Marne : redonner vie à un potager de m 2. Côté cours, à la Mission d éducation permanente (MEP) : permettre à des allocataires du RSA de se reconstruire socialement et professionnellement en apprenant les gestes du maraîchage. Depuis trois ans, la MEP et le domaine national de Champs-sur-Marne cultivent ensemble un extraordinaire jardin d insertion. Cette collaboration étant plus que fructueuse, chacun des partenaires a souhaité la prolonger et l'étoffer en augmentant, notamment, la capacité d accueil du chantier de 12 à 18 salariés. Une nouvelle convention de partenariat a donc été signée, le 14 février, par Philippe Bélaval, président du Centre des monuments nationaux et Julie Gobert, présidente de la MEP et vice-présidente de la Communauté d agglomération du Val Maubuée. > Depuis trois ans, 63 personnes embauchées sous contrat unique d insertion (CDD de six mois, 20 heures par semaine) ont travaillé dans le chantier d insertion de la MEP au château de Champs-sur-Marne. > Un tiers des bénéficiaires a quitté le chantier pour une formation qualifiante, un CDD de plus de six mois ou un CDI. > 5 personnes ont rejoint, en CDI, les équipes de jardiniers du domaine. JOURNÉE D'INFORMATION DE LA MJD Quid de nos aînés? La Maison intercommunale de justice et du droit du Val Maubuée organise, le 26 mars de 14 h à 17 h, une journée d information consacrée aux droits et obligations dus à nos aînés (protection juridique : tutelles et obligation alimentaire ; droit patrimonial : donation et succession). Des représentants du CIDFF 77, de l AVIMEJ, de l APCE et d'une étude notariale de Torcy, pourront répondre aux interrogations des seniors et de leurs familles. n MJD 4, place Gaston-Defferre à Noisiel Tél

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