Comportement Mécanique des
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- Juliette Bastien
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1 Comportement Mécanique des Matériaux Roland FORTUNIER École Nationale Supérieure des Mines 158 cours Fauriel Saint-Etienne cedex 2
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3 Table des matières Introduction 7 1 Essais mécaniques - Lois simples Paramètres importants Élément de volume représentatif Vitesse de déformation et température Direction de sollicitation Types de sollicitation Essais monotones Essais cycliques Dureté et résilience Quelques lois simples Thermodynamique des milieux continus Équations de base Définition des variables Équations de conservation, premier principe Inégalité de Clausius-Duhem, second principe lois de comportement Variables d état, potentiel thermodynamique
4 2.2.2 Lois complémentaires, potentiel de dissipation Cas de la dissipation instantanée Élasticité - Viscoélasticité Élasticité linéaire Loi de Hooke généralisée Énergie de déformation élastique Relations de symétrie Différents comportements élastiques Thermoélasticité linéaire Viscoélasticité linéaire Modèle de Kelvin-Voigt Modèle de Maxwell Plasticité - Viscoplasticité Résultats expérimentaux Limite d élasticité Anisotropie Modélisation mécanique Contrainte équivalente Variables d écrouissage Comportement élastoplastique Loi de normalité Condition de consistance Comportement élastoviscoplastique Loi de normalité Potentiel d écoulement
5 4.5 Quelques exemples Ecrouissage isotrope Ecrouissage cinématique linéaire Ecrouissage combiné Endommagement - Rupture Endommagement Description Mesure Rupture Description Mécanique de la rupture
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7 Introduction L étude du comportement mécanique des matériaux a pour but de connaître leur réponse à une sollicitation donnée. Les variables mises en jeu dans ce domaine sont : le tenseur des contraintes σ le tenseur des déformations ɛ L objectif de ce document est de donner un aperçu assez général du comportement mécanique des matériaux, et de sa modélisation. En effet, si l élasticité linéaire représente actuellement le cadre de la majorité des calculs de mécanique des milieux continus réalisés dans l industrie, d autres types de comportement sont de plus en plus utilisés car ils s approchent plus de la réalité, et permettent donc un dimensionnement plus strict des structures ou de certains procédés. Un premier exemple concerne le dimensionnement d une structure, en vue de l adapter aux sollicitations qu elle subira (choix du matériau, optimisation de la forme, respect des points de fonctionnement,... ). Dans des zones accidentées telles que les congés de raccordement, ou au voisinage de porosités ou d inclusions, la sollicitation mécanique en service est amplifiée par un certain facteur. On parle de concentration de contraintes. Lorsque ces zones sont relativement petites, le matériau peut avoir un comportement globalement élastique, alors que la structure plastifie localement. La prise en compte de cette plastification locale permet d améliorer par exemple les prévisions de durée de vie des structures dans l automobile ou dans l aéronautique. Un autre exemple est la mise en forme d une pièce (forgeage, emboutissage,... ), où la déformation plastique du matériau est à la base du procédé. La connaissance de son comportement plastique permet de mieux appréhender les efforts qui seront mis en jeu (gamme de fabrication, choix de la presse, cadence,... ), ainsi que les défauts susceptibles d être générés par cette mise 7
8 en forme. Dans le chapitre un de ce document, nous décrivons les essais mécaniques couramment utilisés pour caractériser le comportement mécanique des matériaux, puis nous donnons quelques lois phénoménologiques utilisées dans les calculs simples. Dans le chapitre deux, nous donnons le cadre thermodynamique dans lequel les lois de comportement des matériaux doivent s inscrire. Ensuite, nous nous intéressons aux comportement élastiques, thermoélastiques et viscoélastiques linéaires, puis à la modélisation de l écrouissage plastique ou viscoplastique. Le dernier chapitre est consacré aux principaux modèles d endommagement et de rupture des matériaux. Les concepts introduits dans ce document pourront être approfondis dans [4]. Le lecteur pourra également utiliser [2] pour mieux comprendre les liens entre les aspects microscopiques et macroscopiques du comportement des métaux, et [5] pour une analyse détaillée des mécanismes physiques et de la mécanique de l endommagement. 8
9 Chapitre 1 Essais mécaniques - Lois simples 1.1 Paramètres importants Élément de volume représentatif Pour réaliser un essai mécanique, un élément de volume représentatif du matériau doit être utilisé, afin que les hypothèses des milieux continus soient satisfaites. Le tableau 1.1 donne, en fonction du type de matériau, la taille caractéristique minimale de l éprouvette qu il conviendra d utiliser. Type de type et taille élément de volume matériau des hétérogénéités caractéristique métaux et alliages grain : 0,001 à 0,1mm 0,5 0,5 0,5mm polymères molécule : 0,01 à 0,05mm 1 1 1mm bois fibres : 0,1 à 1mm mm béton granulats : 10mm mm Tab. 1.1 éléments de volumes macroscopiques Le dépouillement des essais consiste ensuite souvent à transformer les courbes force-déplacement obtenues en courbes contrainte-déformation, appelées courbes rationnelles. La figure 1.1 donne une courbe rationnelle typique obtenue pour différents types de matériaux. Il faut noter ici que la courbe rationnelle relie deux scalaires entre eux (une contrainte σ et une déformation 9
10 ɛ), et non deux tenseurs. Le choix de ces scalaires dépend du type d essai et du type de matériau. Fig. 1.1 Courbes rationnelles typiques de différents matériaux Vitesse de déformation et température La vitesse de déformation peut avoir une influence déterminante sur le comportement des matériaux. Lors de la réalisation d un essai, on doit donc utiliser une vitesse aussi proche que possible de celle qui sera utilisée par la suite (e.g. lorsque l on utilisera la loi de comportement obtenue dans un calcul de dimensionnement). Par exemple, si l objectif est de valider la tenue en fluage d une structure, sous l effet de son propre poids, la vitesse de déformation à considérer sera très faible. Par contre, si l objectif est de valider la tenue aux séismes de cette structure, alors cette même vitesse de déformation pourra prendre des valeurs beaucoup plus élevées, et la loi de comportement à utiliser ne sera sans doute pas la même. Ceci conduit à différents types d essais, qui peuvent être classés en fonction de la vitesse de déformation mise en jeu (tableau 1.2). Par exemple, un essai quasi-statique de compression uniaxiale sera réalisé à l aide d une machine hydraulique ou mécanique. l éprouvette est fixée d un côté sur une traverse fixe, et de l autre sur une traverse qui se déplacera à une vitesse donnée, relativement lente. Le dépouillement de l essai se fera dans le régime quasi-statique, c est-à-dire sans prendre en compte les effets d inertie dans les équations d équilibre. Par contre, dans le régime dynamique, la machine classique ne suffira plus car la traverse ne pourra plus atteindre la vitesse requise. L essai sera alors réalisé sur un système de barres 10
11 temps vitesse de régime régime caractéristique (s) déformation (s 1 ) mécanique thermique fluage isotherme 10 4 à à 10 2 quasi-statique isotherme 1 1 intermédiaire intermédiaire 10 2 à à 10 4 dynamique intermédiaire impact adiabatique Tab. 1.2 temps caractéristiques et types d essais de Hopkinson (figure 1.2), où l éprouvette est sollicitée par l onde élastique de compression arrivant de la barre incidente. Pour dépouiller l essai, il faudra prendre en compte l inertie mécanique du matériau, qui produit un pic de force au début de la sollicitation. Enfin, dans le régime d impact, on utilisera par exemple un essai d impact de plaques (figure 1.3). Une plaque incidente vient impacter à 500m/s environ la plaque étudiée, qui est sollicitée directement en traction lors du croisement des ondes élastiques de traction issues de la réflexion des ondes de compression sur les faces libres avant et arrière. Le dépouillement de ce type d essais est relativement complexe, d une part à cause de l électronique nécessaire pour capter des phénomènes se produisant en quelques nanosecondes, et d autre part à cause du comportement mécanique du matériau, qui s approche ici plus d une courbe pressionvolume (diagramme de Clapeyron) que d une courbe classique contraintedéformation. Fig. 1.2 Barres de Hopkinson Dans la suite de ce document, nous nous limiterons aux régimes mécaniques de fluage et quasi-statiques, c est-à-dire à une vitesse de déformation comprise en 10 6 et 10 2 s 1. Cette plage de variation couvre la majorité des procédés de mise en forme actuels, bien que la tendance soit à l augmentation des cadences, et donc de la vitesse de déformation. Par exemple, lors du laminage à froid d une tôle d acier, la vitesse de déformation peut parfois atteindre 100s 1. Dans ce type de régime, les effets d inertie sont négligés dans le dépouillement de l essai, et également lors de la simulation du procédé. Par contre, même à l intérieur de ces régimes, la vitesse de déformation peut avoir 11
12 Fig. 1.3 Impact de plaques une forte influence sur le comportement mécanique du matériau. La figure 1.4 illustre cette influence (résultat typique d un essai de traction réalisé en changeant la vitesse de déformation). On dit alors que le matériau est sensible à la vitesse de déformation. Cette sensibilité sera d autant plus forte que les deux courbes en pointillés de la figure 1.4 seront éloignées. Fig. 1.4 Courbe de traction typique avec sauts de vitesse Dans le cadre thermodynamique général des milieux continus, les aspects mécaniques et thermiques sont naturellement couplés. Ceci met clairement en évidence l importance de la température de l éprouvette lors de la réalisation d un essai, et le couplage de cette influence avec la vitesse de déformation. 12
13 Dans le tableau 1.2, le régime thermique d un essai est indiqué, en fonction de la vitesse de déformation mise en jeu. La puissance de déformation plastique σ : ɛ p est essentiellement dissipée en chaleur dans l élément de volume considéré. Par exemple, il est aujourd hui communément admis que, dans les métaux, environ 90% de la puissance de déformation plastique est dissipée en chaleur, le reste étant stocké dans le matériau. Cette chaleur doit donc être évacuée par conduction thermique. Lors d essais lents (régimes mécaniques de fluage ou quasi-statiques), la chaleur a le temps de se dissiper, se sorte que l on peut considérer que l essai est isotherme. Dans un régime intermédiaire ou d impact, l éprouvette s échauffe vite, et la chaleur produite n a pas le temps de se dissiper. Ceci a une conséquence sur le comportement du matériau, et sur l évolution de sa structure. Pour simuler un procédé de mise en forme, la loi de comportement du matériau est donc souvent donnée à différentes températures. Des essais à différentes températures sont donc réalisés. Ceci peut changer non seulement le niveau de contrainte (pour une déformation donnée), mais aussi la forme de la loi elle-même (présence ou non de recristallisation dynamique,... ) Direction de sollicitation Lors de la réalisation d essais mécaniques, le choix de la direction de sollicitation peut s avérer primordial. En effet, il conditionne souvent le domaine de validité de la loi de comportement obtenue. On peut classer les directions de sollicitation en deux grandes catégories : les sollicitations uniaxiales et les sollicitations multiaxiales. On parle alors d essai uniaxial ou d essai multiaxial. Les principaux essais uniaxiaux utilisés sont : la traction-compression la torsion la flexion L éprouvette est alors sollicitée dans une direction de l espace des contraintes. La variation d un paramètre de l essai ne change pas cette direction. Les essais multiaxiaux sont nombreux et variés. Ils sont plus difficiles à interpréter. Ils consistent le plus souvent à combiner plusieurs sollicitations uniaxiales entre elles au cours du temps, de façon à tester l influence de la direction 13
14 de sollicitation sur le comportement du matériau. L essai multiaxial le plus courant est celui de traction-torsion. Traction-Compression La traction-compression est l essai le plus couramment utilisé sur les métaux (figure 1.5). Toutefois, les déformations atteintes par ce type d essai sont limitées par la rupture du matériau (en traction), et par le flambage de l éprouvette (en compression). Ce type d essai est donc principalement utilisé pour obtenir une loi de comportement simple et rapide en traction, ou pour solliciter cycliquement le matériau en traction-compression, à faibles déformations, et obtenir une loi de comportement en fatigue (voir paragraphe suivant). Fig. 1.5 Schématisation de l essai de traction-compression Pour avoir accès à une loi de comportement valable pour de plus grandes déformations qu en traction, on réalise donc des essais spécifiques de compression (figure 1.6). Le dépouillement de l essai est cependant rendu délicat par la présence de frottement à l interface éprouvette-outil. Torsion L essai de torsion (figure 1.7) permet d avoir accès à une loi de comportement pour de grandes déformations, sans problèmes de frottement entre l éprouvette et l outil. Cependant, la déformation et la contrainte ne sont pas homogènes le long du rayon de léprouvette. On utilise donc parfois un cylindre à paroi mince comme éprouvette. 14
15 Fig. 1.6 Schématisation de l essai de compression Fig. 1.7 Schématisation de l essai de torsion Flexion La flexion (figure 1.8) est l essai le plus couramment employé sur les céramiques. La flexion quatre points permet de solliciter le matériau avec un moment constant entre les deux points d application de la charge. Comme en torsion, la déformation et la contrainte ne sont pas constantes dans l épaisseur de l éprouvette. 1.2 Types de sollicitation Essais monotones Les essais monotones les plus classiques sont ceux de traction, de compression, de torsion et de flexion. La sollicitation est alors appliquée au matériau jusqu à sa rupture (traction, torsion, flexion) ou jusqu à une déformation suf- 15
16 Fig. 1.8 Schématisation de l essai de flexion quatre points fisamment grande (compression). En fonction du mode d application de la sollicitation, on peut réaliser principalement des essais d écrouissage, de fluage, ou de relaxation, et les combiner entre eux (essais d écrouissage-relaxation,... ). La figure 1.9 montre une courbe force-allongement (et la courbe contraintedéformation associée) typique obtenue sur un métal lors d un essai d écrouissage en traction monotone. Ce type d essai est généralement réalisé à des vitesses comprises entre 10 3 et 1s 1. On distingue successivement : un domaine de comportement élastique réversible, où l arrêt de la sollicitation permet à l éprouvette de retourner dans son état initial, et où les contraintes et les déformations sont reliées linéairement par la loi de Hooke un domaine de comportement plastique homogène, caractérisé par une déformation irréversible du matériau. un domaine de comportement plastique hétérogène, initié par l apparition d une striction. La déformation se localise dans l éprouvette jusqu à rupture de celle-ci. Les essais de fluage sont réalisés en appliquant une contrainte constante au matériau, en général en traction. Le type de courbe obtenu est donné sur la figure Elle représente la déformation de l éprouvette en fonction du temps, pour une contrainte constante donnée. Une première déformation apparaît instantanément à la mise en charge. C est la déformation correspondant à la contrainte appliquée dans un essai d écrouissage. Ensuite, une déformation lente apparaît au cours du temps. La vitesse de déformation est de l ordre de 10 6 à 10 4 s 1. Dans un premier temps (domaine de fluage primaire), elle décroît, pour atteindre une valeur constante dans le domaine de 16
17 Fig. 1.9 Essai d écrouissage en traction fluage secondaire (ou fluage stationnaire). Enfin, cette vitesse de déformation augmente (domaine de fluage tertiaire) jusqu à la rupture. Les essais de relaxation servent à caractériser l évolution au cours du temps des contraintes internes d un matériau. Pour cela, On applique une déformation constante à l éprouvette, puis on observe l évolution de la contrainte (figure 1.11). Ce type d essai est très utilisé pour obtenir les propriétés viscoplastiques du matériau. 17
18 Fig Représentation schématique d une courbe de fluage Fig Représentation schématique d un essai de relaxation Essais cycliques Les essais cycliques sont caractérisés par une suite de sollicitations alternées. Les plus courants sont ceux de traction-compression, mais on utilise également 18
19 des essais de flexion ou de torsion alternée. L objectif de ces essais est d obtenir la loi de comportement cyclique du matériau, qui caractérise son évolution au fur et à mesure des cycles de sollicitation. Les essais de tractioncompression peuvent être réalisés à déformation ou à contrainte imposée. La figure 1.12 montre le type de résultats obtenus en déformation imposée (traction-compression par exemple), dans le cas d un matériau à durcissement cyclique. Lorsque l amplitude de contrainte n évolue plus sur plusieurs cycles, on dit que l on a atteint le cycle stabilisé. Pour obtenir la loi de comportement cyclique du matériau, on effectue plusieurs essais à déformation imposée plus ou moins grande. Pour chaque essai, on note l amplitude de contrainte aux cycles stabilisés, que l on trace en fonction de l amplitude de déformation. La figure 1.13 montre le type de courbe obtenu, appelé courbe de consolidation cyclique. Cette courbe ressemble à celle obtenue lors d un essai d écrouissage, mais ne traduit pas du tout le même type de comportement. Fig Essai cyclique à déformation imposée Lors d essais cycliques, le matériau rompt au bout d un certain nombre de cycles. L endommagement du matériau au cours de l essai est appelé fatigue. On parle donc couramment d essais de fatigue lorsque la sollicitation est cyclique. La fréquence de sollicitation est ici donnée par le nombre de cycles par seconde. Notons également que les cycles de déformation (ou de contraintes) peuvent être plus ou moins compliqués. Ils peuvent par exemple présenter un plateau (déformation constante), de sorte qu à chaque cycle, il 19
20 Fig courbe de consolidation cyclique typique se produit un phénomène de relaxation des contraintes. Fig courbe de Woehler typique Le nombre de cycles à rupture lors d un essai de fatigue est un renseignement intéressant. Il pourra en effet être utilisé ultérieurement pour prévoir la durée de vie d une pièce en service, en fonction de ses sollicitations. La courbe la plus largement utilisée pour représenter la durée de vie des matériaux est la courbe de Woehler. L amplitude de contrainte est donnée en fonction du nombre de cycle à rupture (figure 1.14). On distingue sur cette courbe 20
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