RAPPORT ANNUEL 2010 TABLE DES MATIÈRES. 04 Mise en situation. 04 Notre organisation. 05 Messages du président et du directeur général

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2 RAPPORT ANNUEL 2010 TABLE DES MATIÈRES 04 Mise en situation 04 Notre organisation 05 Messages du président et du directeur général 06 Réalisations de Développement économique 09 Organisation 12 Interventions physiques, revitalisation et patrimoine 14 Données économiques 16 Rapport de l auditeur indépendant

3 MISE EN SITUATION Le Commissariat au commerce de Drummondville est un organisme autonome créé par la Ville de Drummondville en 1991 pour s occuper de la revitalisation du centre-ville de Drummondville. En 1998, la Ville de Drummondville confiait à la Corporation, un nouveau mandat de développement de la fonction commerciale de Drummondville. Le mandat du CCD est : NOS VALEURS ET NOS PRINCIPES Le CCD cherche continuellement à : Avoir un effet transformateur investir dans des projets qui auront un impact profond et à long terme sur le milieu. Agir de manière responsable évaluer les impacts et tenir les parties intéressées bien informées, tout en s assurant que les fonds octroyés par la Ville sont utilisés de manière responsable. Être transparent s assurer que les processus d évaluation sont intègres et équitables, et que les décisions sont prises en toute indépendance. Favoriser la consultation maintenir un dialogue ouvert avec les divers intervenants, leurs partenaires et les autres parties intéressées. Offrir des services axés sur le client offrir des services efficaces, efficients et novateurs à sa clientèle. Faire preuve de souplesse savoir s adapter à un milieu en constante évolution et améliorer de manière continue ses politiques et services. Avoir un esprit novateur contribuer à la conception de programmes et aux pratiques d affaires en apportant des idées nouvelles. Mettre en place un milieu de travail qui favorise la créativité. La prospection et l accueil d entreprises commerciales. La revitalisation urbaine par l amélioration de l aspect physique des bâtiments, des artères commerciales et la création d un cadre attrayant autour du patrimoine urbain. De concert avec la Ville de Drummondville, la Corporation met en place des outils susceptibles de favoriser la création d entreprises et d emplois dans les secteurs commerciaux et la revitalisation urbaine des secteurs identifiés par la Ville ; SES PRINCIPAUX OBJECTIFS SONT : Se doter de stratégies et de plans d action de développement, de recrutement commercial et de promotion des lieux ; Planifier le développement commercial de la municipalité, effectuer des études et évaluer des dossiers ayant une incidence en matière de développement commercial ; Le recrutement commercial ciblé : poursuivre le processus de revitalisation du centre-ville, du quartier Saint-Joseph et des quartiers anciens ; Améliorer l aspect physique des bâtiments, des artères commerciales des espaces publics et créer un cadre attrayant autour du patrimoine urbain au profit des Drummondvillois. APPUYER LES OBJECTIFS DRUMMONDVILLOIS L expertise offerte par le CCD permet d innover et d établir nos propres priorités de développement en fonction des secteurs identifiés dans la Charte de développement commercial. Le CCD contribue au renforcement de la capacité de Drummondville en matière de revitalisation et de commerces : Appuyant la relance économique et la création d emplois en favorisant l amélioration de l environnement et de la qualité de vie ; Rehaussant la capacité de Drummondville à mener à bien d importantes activités de recherche et de développement ; Favorisant la collaboration et l établissement de réseaux productifs parmi l ensemble des villes du Québec et devenant par le fait même le leader en matière de développement commercial. 04

4 MESSAGE DU PRÉSIDENT ET DU DIRECTEUR GÉNÉRAL LE CHOIX DE L AVENIR Depuis maintenant 20 ans, le Commissariat au commerce contribue au développement économique la collectivité. Il agit activement, ajuste ses actions et tente d influer une énergie durable et positive aux acteurs avec qui il travaille, tant privés que collectifs. Le Commissariat est un organisme dont le rayonnement ne cesse de s intensifier sur la scène tant nationale qu internationale. Un grand penseur a déjà dit qu il n existe rien de constant dans la vie... si ce n est le changement. Puisque nous sommes en quelque sorte condamnés à changer, deux options s offrent à nous : refuser ce changement porteur de nouveautés, ou prendre acte des changements qui refaçonnent notre monde et s y adapter! Depuis que notre organisme s est donné une vision pour l innovation et de la diversification, nous avons dû nous adapter quotidiennement à ce virage et à ces implications. Le rôle essentiel du CCD et de ses membres relativement aux grands enjeux de la gestion de l appareil commercial, de la revitalisation urbaine et du patrimoine est en effet reconnu par les intervenants majeurs de la société. C est ainsi que le CCD siège au conseil d administration du Conseil des monuments et sites du Québec et de la Fondation de l Église St.George. Qu il est membre fondateur du Groupe d intérêt de l armature commerciale qui a comme mandat de promouvoir et valoriser le secteur du commerce au Québec et stimuler l essor de l armature commerciale. Il est membre de la Fondation Rues principale et membre du Conseil québécois du commerce de détail. Sans compter son implication au sein de diverses organisations en gestion des centresvilles en Europe et aux États-Unis. Depuis quelques années, le CCD connaît une croissance exceptionnelle. Il fait désormais partie des organismes modernes orientés vers la qualité, l innovation et la réussite. Depuis 1998, il a démontré sa capacité à innover et à agir de façon soutenue dans un but précis. C est ainsi que, grâce à son avant-gardisme, il a transformé le visage de la gestion commerciale et a permis à la Ville de Drummondville de devenir le leader dans le domaine en Amérique du Nord en adoptant la Charte de développement commercial et en mettant en place les études d impact dans le domaine commercial. Ce dynamisme et ce leadership, le CCD les a particulièrement démontrés dans l utilisation des nouvelles technologies de l information, ce qui le place dans une position stratégique idéale pour accélérer son développement et demeurer un interlocuteur de premier plan dans le monde du commerce, de la revitalisation et du patrimoine. C est ainsi qu il a décidé d offrir aux professionnels dans son domaine des infrastructures électroniques leur donnant accès à un réseau commun d échange d information et de communication : c est la Veille commerciale, l Info-commerce, les logiciels ProfilCité, CartoCité et Minesko et la recherche web. C est ainsi que le CCD demeure résolument tourné vers l avenir! Robert Pelletier Président Guy Drouin Directeur général Robert Pelletier Président Guy Drouin Directeur général 05

5 DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE INVESTISSEMENTS : UN SOMMET Nous atteignons avec 43,5 M un sommet de vitalité commerciale en battant notre record d investissements de l an 2007 qui s élevait à 42 M. Cette performance est dans l esprit des dépassements significatifs enregistrés au niveau des investissements résidentiels et publics dans la Ville de Drummondville. Suivant la liste cumulative des investissements produits par la Ville pour 2010, la fonction commerciale a produit pratiquement autant de nouvelles constructions que de rénovation avec respectivement 8,7 M et 8,5 M, alors que l agrandissement représente 6,4 M. UN SERVICE PROFESSIONNEL! Pour toute personne qui désire se lancer en affaires dans le secteur du commerce de détail ; Pour tout commerçant qui désire s'implanter à Drummondville, s'y relocaliser ou ouvrir une nouvelle succursale sur le territoire ; Pour tout commerçant à la recherche de conseils généraux de marketing, de positionnement et de développement de clentèle ; Le secteur qui se démarque en 2010 est celui du centre-ville, il atteint plus de 10 M. Il s agit d une performance exceptionnelle pour le centre-ville. Ce pic est justifié par la construction de nouveaux commerces et places d affaires tels le restaurant Le petit Québec et l Hôpital Vétérinaire Lindsay. Le secteur Galeries avec des investissements de 8,3 M renoue avec des investissements significatifs, 2005 étant la dernière année où ce secteur avait connu une hausse de cet ordre. Parmi les grandes réalisations de ce pôle commercial régional qu est le secteur Galeries, on dénombre le projet de la nouvelle implantation de Toyota, les rénovations majeures de la S.A.Q. Sélection, Buropro et le déménagement de JE Mondou. Le secteur Saint-Pierre arrive 3e à plus de 5 M d investissements commerciaux qui s expliquent notamment par les rénovations chez Tradition Ford et Laferté. Plusieurs autres secteurs démontrent cette effervescence commerciale soit les secteurs Promenades (4,9 M), Saint-Charles (4 M) ainsi que Mercure (2,8 M). STATISTIQUES ÉCONOMIQUES Autre signe que 2010 a été une année florissante, le bilan des fermetures de commerces s élevant à seulement 58. Il s agit d une baisse significative en comparaison avec les dernières années. De plus, les ouvertures de 78 commerces et la création de 841 emplois pour un gain net de 457 emplois permettent d assurer la santé commerciale de notre ville. L inventaire de commerces et de services se clôture en 2010 à plus de entreprises. Une importante balise appuyant cette progression est le faible taux de vacances commerciales s établissant à 6,16 % pour Drummondville. Nos secteurs ont également connu une amélioration de leurs taux de vacances grâce à l apport en quantité et en qualité des locaux commerciaux. Le centreville a même atteint un taux d occupation de plus de 90 %. Les autres secteurs ont connu des taux de vacances variant entre 3 % (Promenades) et 4 % (Saint- Charles) jusqu à 7,59 % (Galeries) ou 7,89 % (Saint-Pierre). AIDE AU DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL LOCAL Plus de 228 dossiers ont été traités par les conseillères en développement commercial. Il s agit d une performance inégalée. Ce résultat témoigne également de la renommée qu a acquise le CCD au fils des ans dans le cadre de son mandat au soutien du développement commercial local. Le CCD a affermi son expertise auprès des promoteurs. Notre soutien aux promoteurs immobiliers s est maintenu dans leurs projets d achat de terrains commerciaux et de développement de nouveaux immeubles commerciaux. 06 Nous avons appuyé les promoteurs par des services de positionnement, des recherches de sites potentiels, d études de marché, d analyses de l offre et de

6 DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE la demande, d analyses et diagnostics de vocation d un site, d études sur des projets d expansion et d accompagnement. Nous avons poursuivi notre soutien auprès d entreprises en démarrage par : l élaboration d études de viabilité, mais, également, conforter notre coopération auprès des entreprises existantes par des conseils stratégiques et la coordination d activités de formation. PROSPECTION ET RECRUTEMENT COMMERCIAL D importants projets relatifs à un développement suprarégional dont les retombées concrètes sont prévues à moyen terme ont été négociés au court de l an Le CCD a été partie prenante à ces rencontres de planification et de négociations avec les promoteurs, les propriétaires de bannières et les promoteurs immobiliers. Plusieurs rencontres de prospection auprès de restaurateurs ont été effectuées pour l implantation d un établissement à Drummondville. Dans certains cas, la réalisation a été reportée à plus long terme, alors que, pour les autres, le souci de maintenir la viabilité de l établissant existant a mis fin à ces démarches. Certains créneaux d activités ciblés pour le centre-ville par le CCD ont été comblés. Histoire de bulles, commerce spécialisé en produits de savon, en est un bon exemple. L apport du Commissariat se manifeste également dans le cadre de nouveaux projets d implantation de bannières non établis dans notre région ou spécialisés pour desservir une clientèle ciblée. ÉTUDE D IMPACT CHARTE DE DÉVELOPPEMENT COMMERCIAL Depuis l adoption de la Charte de développement commercial par le conseil municipal de Drummondville, celui-ci, de même que le CCU se réfèrent aux lignes directrices de cette Charte. Conformément au processus planifié en 2009, un comité de suivi composé du Commissariat au commerce, du Service d urbanisme de la ville de Drummondville ainsi que du consultant Demarcom a planifié et déterminé les critères au soutien de l étude d impact. Ce document constitue la procédure édictée par la Ville de Drummondville pour l évaluation et l examen des impacts sur l appareil commercial de Drummondville des projets commerciaux hors zones commerciales COLLABORATION ET PARTENARIAT RETOMBÉES La force de notre réseau de collaborateurs et partenaires s est toujours bonifiée au fil des ans. Le CCD en est fier, d autant qu il a été souvent l initiateur ; il affermit la multiplication des événements rattachés à ces partenariats et en augmente le nombre de collaborateurs. Ce réseautage, et les projets qui résultent de ces concertations ont des retombées directes sur le développement commercial de Drummondville et l épanouissement des commerces existants, mais également sur la fonction commerciale au niveau national et sur le rôle de ces acteurs comme les commissaires au développement commercial. COLLOQUE FORMATION DÉMARRAGE RESSOURCES Pour une deuxième année consécutive, le CCD s est uni à la Chambre de commerce et d industrie Drummond pour tenir le colloque du commerce NOS SERVICES Analyses de la concurrence, évaluations du marché potentiel, analyses de l offre et de la demande; Conseils dans l'élaboration de plan d'affaires. Conseils dans les projets de redressement ou d'expansion; Aide à la recherche d'un local ou d'un terrain commercial; Informations sur les prix moyens et les caractéristiques des locaux potentiels; Information sur les particularités des différents pôles commerciaux; Offre et demande des différents secteurs commerciaux; Habitudes de consommation des clientèles; Vocation de chacune des artères commerciales; Caractéristiques économiques, sociales et urbaines des pôles; Informations sur la concurrence, l'achalandage; Aide à la démarche d'intégration du nouveau commerçant (demande de permis, ouverture officielle, activités et contacts d'affaires, etc.). 07

7 DÉVELOPPEMENT ÉCONOMIQUE de détail «Outillez-vous pour les grands changements». Près de 140 participants, principalement des propriétaires et gens d affaires de la région de Drummondville, y ont pris part. C est grâce à de précieux collaborateurs que cet événement est rendu possible : Emploi-Québec, le journal L Express, Astral Medias Drummondville, le ministère du Développement économique, de l Innovation et de l Exportation, la Commission scolaire des Chênes, le Cégep de Drummondville et le Comité des affaires commerciales de la CCID. Plusieurs collaborations avec les institutions d enseignements dont le Cégep de Drummondville et la Commission scolaire des Chênes ont mené à la création de comités de travail pour de futurs programmes d enseignements dans le domaine commercial. La collaboration entre Emploi-Québec et le CCD a également concrétisé la planification et la coordination d une formation sur la planification des promotions pour les commerces de Drummondville. Les participants, 11 commerces (13 personnes), ont pris part à six heures de formations suivies de deux heures de coaching en entreprise. À l automne 2010, une entente de domiciliation entre le Commissariat au commerce et Femmesor provoquait une amélioration signification d un réseautage d entraide pour le démarrage de nouveaux commerces de détail et de service initié par des entrepreneures. L alliance entre une organisation accordant un soutien financier et le CCD accompagnant l entrepreneure dans sa démarche permettront à plusieurs projets commerciaux de voir le jour en GIAC Le Groupe d intérêt de l armature commerciale (GIAC) est né à la fin de l année C est un organisme assujetti à une adhésion par cotisation et le Commissariat au commerce en assure la gestion. Ce groupe était auparavant connu sous l appellation Comité inter-municipalités qui était alors régi informellement et sur une base volontaire. Le GIAC a pour mandat de représenter, promouvoir et valoriser le secteur du commerce au Québec et de développer des moyens pour favoriser l avancement de ses membres. Ces objectifs sont de décloisonner les actions menées en faveur de l armature commerciale, d encourager un échange concret avec ces acteurs et mettre l innovation au cœur des préoccupations. MISSIONS COMMERCIALES La mission organisée par le CCD a compris un itinéraire de 13 villes, dont la participation au colloque national de Management de centres-villes de Belgique. Les diverses rencontres avec des intervenants européens auront permis des échanges de procédés qui pourront être appliqués dans notre communauté. Nous avons aussi participé à la mission commerciale au Vermont, organisée par La Fondation Rues principales. Cette mission, riche d information, pourrait déboucher sur un Jumelage entre Burlington et la Ville de Drummondville. 08

8 LES COMMUNICATIONS ORGANISATION REPRÉSENTATIONS Nous avons poursuivi en 2010 notre tournée de diverses municipalités du Québec afin de présenter le logiciel «Profilcité» ainsi que le concept du «Commissariat au commerce». Ces derniers forums de discussion, incluant régulièrement une visite de Drummondville, regroupaient les acteurs de municipalités, dont des élus municipaux et des intervenants du développement commercial et économique. Les villes rencontrées : Saint-Lambert, Sherbrooke, Lac-Mégantic et Sainte-Agathe-des-Monts. Ces démarches ont donné naissance par le passé à diverses formules d organisation. La dernière mouture née, en début 2010 à la suite de nombreux échanges et consultations, est la formation d un commissariat au développement commercial à la Ville de Sherbrooke. COMMUNICATION Conformément au plan de communication visant principalement à favoriser la notoriété du CCD auprès des entreprises existantes, de ses partenaires, plusieurs actions ont été poursuivies en Trois projets sont à souligner : le colloque, la journée «En ville sans ma voiture» et le magazine Zone D. ZONE D Le lancement de la première édition du magazine Zone-D mis en place par le Commissariat au commerce et produit en partenariat avec Page Cournoyer. Ce magazine a été diffusé aux gens d affaires à 5000 exemplaires. La qualité des articles et de la mise en page ont été encensées. Cette sortie avait été précédée en mai du Contact Affaires citant les dix personnalités influentes de Drummondville dont, notre directeur général. CHRONIQUES INFO-COMMERCE La collaboration avec le Journal l Express s est poursuivi en Le CCD a conçu et rédigé au total 18 chroniques. Chacune comporte une version longue diffusée notamment sur le site Internet du Journal et le site du Commissariat, de même qu une version courte publiée aux deux semaines dans le Journal du dimanche. Voici quelques thématiques abordées au bénéfice des commerçants ou des entrepreneurs en démarrage : L Effet du bouche à oreille Choc démographique : où est la solution pour le marché du travail? Savoir «conclure» une vente La prévention des pertes par le service à la clientèle Les comportements d achat des Québécois, automne 2010 L entreprise infidèle INFO-COMMERCE Toujours dans le but d informer les commerçants drummondvillois sur les tendances du commerce de détail, neuf parutions ont été préparées en VEILLE COMMERCIALE L actualité commerciale de chaque semaine sur le commerce de détail et de services est envoyée à plus de 550 personnes et mise en ligne sur notre site Internet. 09

9 ORGANISATION MÉDIAS SOCIAUX Nous avons poursuivi nos campagnes de communication dans les médias sociaux. Notre stratégie donne des fruits, plus de 1450 adhérents et la publication de 16 blogues en CONGRÈS, COLLOQUES, SALONS ET AUTRES RENCONTRES Nous avons participé en janvier 2010 au congrès international du Management de centres-villes de Belgique. Cette participation a été un excellent moyen pour mesurer nos actions et nos stratégies de développement avec nos collègues européens. De plus, nous avons participé au 17e congrès du commerce de détail du CQCD. Nous avons également pris part au colloque des SDC et au 23e colloque annuel de la Fondation Rues principales. Le CCD a déposé sa candidature pour le prix d excellence de la Fondation Rues principales, il a également participé au répertoire des bons coups Nous avons également donné de multiples entrevues à divers médias locaux, régionaux et nationaux. DEMANDES DE STATISTIQUES ET DE RENSEIGNEMENTS EN URBANISME Le CCD a continué à livrer différents rapports statistiques sur la Ville de Drummondville à l aide du recensement de 2006 provenant de Statistiques Canada. Il a aussi fourni divers renseignements en urbanisme : le stationnement souterrain, le zonage, les piétons, les terrasses, etc. 70 demandes de renseignements ont été réalisées au cours de l année ENQUÊTES Durant la saison estivale, une enquête de provenance a été effectuée dans le secteur Saint-Charles afin de connaître le profil, le comportement d achat ainsi que les perceptions des personnes y circulant. Une enquête sur les stationnements au centre-ville a été effectuée, afin de mieux connaître la perception des usagers quant à l utilisation de la gratuité des stationnements dans le secteur centre-ville. Les consommateurs ont été questionnés sur le terrain tandis que les commerçants l ont été par téléphone. L équipe a effectué un sondage téléphonique pour dresser le portrait de la situation économique de notre région. Les répondants nous ont relaté une situation économique majoritairement bonne. Peu d entre eux ont connu des enjeux portant atteinte à leur santé financière. Un bilan qui demeure optimiste, et ce, en légère hausse avec celui de l année Le CCD a collaboré avec Statistiques Canada afin de fournir la liste de toutes les adresses résidentielles de la Ville de Drummondville, la liste des établissements publics, des établissements communautaires ainsi que la liste des hôtels et gîtes. 10 ENFOUISSEMENT RÉSEAU AÉRIEN Le CCD a préparé trois demandes pour le programme d enfouissement des fils électriques :

10 ORGANISATION Programme d enfouissement du boulevard René-Lévesque à la rue Janelle ; Programme d enfouissement sur la rue Lindsay de la rue Marchand à la voie ferrée ; Programme d enfouissement sur la rue Saint-Georges de la rue Hébert à la rue Lindsay. STAGES ET EMPLOIS D ÉTÉ Le CCD a accueilli deux étudiants de l Institut universitaire et technique de Fontainebleau. La qualité de leur soutenance et leurs recommandations ont été fort pertinentes pour l entreprise. Une étudiante a participé à la mise à jour de l inventaire architecturale. SDC QUARTIER SAINT-JOSEPH L année 2010 a été importante en termes de réalisation de projets, d organisation d activités et de collaboration avec les acteurs du milieu. L image de la SDC a rayonné à travers la Ville grâce à la parution d articles et de promotions dans les médias, soulignant les activités et le dynamisme des acteurs du quartier. Nous sentons plus que jamais un regain d énergie pour la revitalisation socioéconomique du quartier. Par la présence de ses marchands et entreprises de services, la SDC est un acteur de premier plan pour le développement du quartier, nous mettons en oeuvre des projets et soutenons les initiatives du milieu en mettant temps, énergie et argent pour cette organisation. TECHNOLOGIES Dans le domaine technologique, nous avons poursuivi l entretien des sites de la SDC Quartier Saint-Joseph, de la Fondation de l Église St.Geoge et du Commissariat. Nous avons aussi continué à offrir une expertise dans l analyse commerciale grâce notamment à la représentation des données avec Map Info. De plus, nous avons mis en place la phase 3 d un programme informatique de géoréférencement via Internet. PROFILCITÉ Nous avons effectué une révision du graphisme et du visuel du logiciel. Plusieurs mises à jour ont été effectuées afin de rendre cet outil de plus en plus performant et ainsi améliorer le produit pour nos clients. CARTOCITÉ Le Commissariat au commerce a élaboré un logiciel de géoréférencement pour soutenir de façon simple la cartographie de nos bases de données. Nous avons confié la création de ce logiciel à un consultant et nous coopérons à la conception de celui-ci. 11

11 INTERVENTIONS PHYSIQUES, REVITALISATION ET PATRIMOINE PROGRAMME DE RÉNOVATION Il faut souligner, encore une fois l engagement exemplaire de la Ville qui a permis la poursuite du programme de subvention à la rénovation. Il est toujours important pour la Ville d inciter les propriétaires des quartiers anciens à faire des efforts pour la sauvegarde du patrimoine. Le programme de rénovation Québec a été préparé en collaboration avec le Service d urbanisme de la Ville de Drummondville. Dans le cadre de ce programme, une centaine de propriétaires ont été rencontrés, ce qui engendrera des travaux sur environ une cinquantaine de bâtiments. La majorité de ses réalisations pourront être vues en CCU Nous avons poursuivi nos recommandations au Comité consultatif d urbanisme concernant les dossiers de PIIA en analysant les dossiers des secteurs patrimoniaux et commerciaux. Nous avons réalisé environ quarantesix recommandations. PRIX MITCHELL Le Prix Mitchell, qui célébrait ses seize ans, constitue une autre façon de promouvoir le patrimoine en soulignant les interventions de qualité et la persévérance des citoyens dans la conservation du bâti. Nous avons donc participé, conjointement avec le Service d urbanisme, à l élaboration des dossiers de candidatures, à leur analyse, à l organisation des rencontres et à la remise des prix. MINESKO L année 2010 a vu le lancement de notre outil patrimonial. Minesko est notre nouveau fleuron pour favoriser la connaissance de notre territoire. Ce logiciel d inventaire architectural a déjà été acquis par une autre organisation, la MRC maskoutaine. RENSEIGNEMENTS DIVERS EN URBANISME Nous avons fourni divers renseignements en urbanisme, entre autres sur le stationnement souterrain, les pistes cyclables, le zonage, les piétons, etc. D ailleurs, au total, 78 demandes de renseignements ont été réalisées au cours de l année ANALYSES Le Commissariat a présenté un rapport au conseil dans le but d améliorer le confort de fréquentation sur la rue Cormier. Cette analyse a permis de démontrer la discontinuité fonctionnelle et spatiale de la rue Cormier. Il a été proposé de lui conférer une certaine identité, en changeant le zonage à certains endroits, tout en minimisant les impacts sur les secteurs résidentiels. 12

12 INTERVENTIONS PHYSIQUES, REVITALISATION ET PATRIMOINE Nous avons effectué une recherche de normes sur l affichage dans différentes villes pour une enseigne communautaire pour les commerçants de la Ville de Drummondville. ÉLABORATION D UNE POLITIQUE DE CONTRÔLE ET D ÉLIMINATION DES GRAFFITIS À la suite des recherches et propositions que le Commissariat avait effectuées en 2009, les membres du Comité graffitis ont décidé à l unanimité de refaire des vérifications dans différentes villes pour proposer une formule propre à Drummondville. En référence à ce projet, un règlement a été préparé et adopté par le conseil. GUIDE SYNTHÈSE D AMÉNAGEMENT SÉCURITAIRE Le Commissariat a participé au Guide synthèse d aménagement sécuritaire en proposant des exemples de réussite en aménagement (photos et description). TERRASSES (ÉLABORATION DU RÈGLEMENT ET DES CRITÈRES) À la suite du projet pilote de terrasses temporaires à proximité de la Place Saint- Frédéric, la Ville de Drummondville a décidé d élaborer un règlement afin de permettre ce type de terrasse à travers la ville. Le Commissariat au commerce a proposé un règlement et des critères d aménagement qui ont été adoptés par la Ville. AMÉNAGEMENT RUE SAINT-PIERRE Le Commissariat au commerce en collaboration avec le service des Travaux publics et Teknika HBA ont développé un aménagement visant l amélioration de l aménagement de la rue Saint-Pierre entre le boulevard Lemire et la rue Saint-Onge. La deuxième phase du réaménagement de la rue Saint-Pierre s est réalisée au cours de la saison estivale 2010 par des aménagements paysagers à certains endroits stratégiques. 13

13 DONNÉES ÉCONOMIQUES INVESTISSEMENTS DRUMMONDVILLE Investissements bâtiments Investissements commerciaux Investissement global INVESTISSEMENTS CENTRE-VILLE Investissements bâtiments Investissements commerciaux Investissement global INVESTISSEMENTS QUARTIER SAINT-JOSEPH Investissements bâtiments Investissements commerciaux Investissement global INVESTISSEMENTS SECTEUR SAINT-CHARLES Investissements bâtiments Investissements commerciaux Investissement global INVESTISSEMENTS SECTEUR GALERIES Investissements bâtiments Investissements commerciaux Investissement global : INVESTISSEMENTS SECTEUR SAINT-PIERRE Investissements bâtiments Investissements commerciaux Investissement global NOMBRE D EMPLOYÉS COMMERCES ET SERVICES MRC Drummondville Centre-ville Promenade Galeries Saint-Nicéphore Saint-Charles Quartier Saint-Joseph CRÉATION/PERTE EMPLOIS DRUMMONDVILLE Création 861 Pertes 389 Total 472

14 INVESTISSEMENTS DE PLUS DE JEAN COUTU SAINT-CHARLES TOYOTA HYUNDAI DRUMMONDVILLE ARBRE EN ARBRE LAFERTÉ LTEE IGA CLÉMENT SAQ SÉLECTION NMÉDIA SOLUTIONS LA BELLE PROVINCE HÔPITAL VÉTÉRINAIRE LINDSAY L INDUSTRIELLE ALLIANCE PRO-NATURE TRADITION FORD BUROPRO LA MAISON DE BÉCASSINE BOUTIQUE DESIGN LADOUCEUR FERME DES VOLTIGEURS SUBWAY PNEUS VANASSE TRANSPORT GRÉGOIRE DR VILLE INC EXCELLENCE GOLF GARAGE MONTPLAISR LTÉE BISTROT LA MUSE J.E.MONDOU MC DONALD AU GRENIER DES PETITS CAFÉ BISTRO VAN HOUTTE TERRA NOSTRA TIM HORTONS LABORATOIRES SHERMONT HERIOT

15 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT Aux administrateurs de la CORPORATION RUES PRINCIPALES DRUMMONDVILLE Nous avons effectué l audit des états financiers ci-joints de l organisme Corporation Rues principales Drummondville, qui comprennent le bilan au 31 décembre 2010 et les états des résultats, de l évolution des actifs nets et des flux de trésorerie de l exercice terminé à cette date, ainsi qu un résumé des principales méthodes comptables et d autres informations explicatives. Responsabilité de la direction pour les états financiers La direction est responsable de la préparation et de la présentation fidèle de ces états financiers conformément aux principes comptables généralement reconnus du Canada, ainsi que du contrôle interne qu elle considère comme nécessaire pour permettre la préparation d états financiers exempts d anomalies significatives, que celles-ci résultent de fraudes ou d erreurs. incombe à la de l organisme. Responsabilité de l auditeur Notre responsabilité consiste à exprimer une opinion sur les états financiers, sur la base de notre audit. Nous avons effectué notre audit selon les normes d audit généralement reconnues du Canada. Ces normes requièrent que nous nous conformions aux règles de déontologie et que nous planifions et réalisions l audit de façon à obtenir l assurance raisonnable que les états financiers ne comportent pas d anomalies significatives. Un audit implique la mise en oeuvre de procédures en vue de recueillir des éléments probants concernant les montants et les informations fournis dans les états financiers. Les choix des procédures relèvent du jugement de l auditeur, et notamment de son évaluation des risques que les états financiers comportent des anomalies significatives, que celles-ci résultent de fraudes ou d erreurs. Dans l évaluation de ces risques, l auditeur prend en considération le contrôle interne de l entité portant sur la préparation et la présentation fidèle des états financiers afin de concevoir des procédures d audit appropriées aux circonstances, et non dans le but d exprimer une opinion sur l efficacité du contrôle interne de l entité. Un audit comporte également l appréciation du caractère approprié des méthodes comptables retenues et du caractère raisonnable des estimations comptables faites par la direction, de même que l appréciation de la présentation d ensemble des états financiers. Nous estimons que les éléments probants que nous avons obtenus sont suffisants et appropriés pour fonder notre opinion d audit. Opinion À notre avis, les états financiers donnent, dans tous leurs aspects significatifs, une image fidèle de l organisme Corporation Rues principales Drummondville au 31 décembre 2010 ainsi que des résultats de ses activités et de ses flux de trésorerie pour l exercice terminée à cette date, conformément aux principes comptables généralement reconnus du Canada. Autre point Les états financiers de l organisme Corporation Rues principales Drummondville pour l exercice terminé le 31 décembre 2009 ont été audités par un autre auditeur, qui a exprimé que ces états financiers une opinion non modifiée en date du 22 mars Raymond Chabot Grant Thornton S.E.N.C.R.L. 1 Drummondville Le 11 juillet Comptable agréé auditeur permis n o

16 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT CORPORATION RUES PRINCIPALES DRUMMONDVILLE RÉSULTATS EXERCICE TERMINÉ LE 31 DÉCEMBRE 2010 PRODUITS 2010 () 2009 () Ville de Drummondville Gestion des assurances collectives Société de développement économique Drummond (CLD) Location Vente de logiciels Charte commerciale de la Ville SDC Quartier Saint-Joseph Emploi et immigration Développement économique Autres Inventaire arcitectural Amortissement des apports reportés afférents aux immobilisations Total CHARGES Salaires et charges sociales Administration des assurances collectives Projets spéciaux Entretien et réparations de l équipement Honoraires professionnels Intérêts sur la dette à long terme Frais bancaires et intérêts Créances douteuses (note 13) Taxes et permis Publicité Fournitures et frais de bureau Représentation et déplacement Télécommunications Assurances Formation Cotisations Frais bancaires Amortissement des immobilisations Total Excédant des produits par rapport aux charges

17 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT CORPORATION RUES PRINCIPALES DRUMMONDVILLE ÉVOLUTION DES ACTIFS NETS EXERCICE TERMINÉ LE 31 DÉCEMBRE 2010 Investis en immobilisation Non affectés () Total 2010 () Total 2009 () Solde au début Excédant (insuffisance) des produits par rapport aux charges (34 333) Investissement en immobilisation et en actifs incorporels (76 124) Solde à la fin Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers 18

18 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT CORPORATION RUES PRINCIPALES DRUMMONDVILLE FLUX DE TRÉSORERIE EXERCICE TERMINÉ LE 31 DÉCEMBRE 2010 ACTIVITÉS DE FONCTIONNEMENT 2010 () 2009 () Excédent des produits par rapport aux charges Éléments hors caisse Amortissement des immobilisations corporelles et des actifs incorporels Amortissement des apports reportés afférents aux immobilisations (16 294) (18 297) Variation nette des éléments hors caisse du fonds de roulement et des apports reportés (note 3) Flux de trésorie liés aux activités de fonctionnement ACTIVITÉS D INVESTISSEMENT Immobilisations, actifs incorporels et flux de trésorie liés aux activités liés aux activités d investissement (22 689) ( ) ACTIVITÉS DE FINANCEMENT Facilité de crédit Remboursement du billet à payer (10 000) Billet à payer Emprunt à long terme Remboursement de l emprunt (53 435) (8 906) Flux de trésorie liés aux activités de financement (50 973) Augmentation (diminution) nette de la trésorerie (1 607) Encaisse (découvert bancaire) au début (3 874) Encaisse à la fin Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers 19

19 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT CORPORATION RUES PRINCIPALES DRUMMONDVILLE BILAN EXERCICE TERMINÉ LE 31 DÉCEMBRE 2010 ACTIF Actif à court terme Encaisse Débiteurs (note 4) Frais payés d avance Immobilisations (note 5) Actifs incorporels (note 6) PASSIF Passif à court terme Facilité de crédit (note 7) Créditeurs (note 8) Produits de vente de logiciels reportés Billet à payer sans intérêt Versement sur la dette à long terme (note 9) Apports reportés afférents aux immobilisations (note 11) ACTIFS NETS Investis en immobilisations et en actifs incorporels Non affectés Les notes complémentaires font partie intégrante des états financiers POUR LE CONSEIL D ADMINISTRATION, ADMINISTRATEUR 20, ADMINISTRATEUR

20 RAPPORT DU VÉRIFICATEUR NOTES COMPLÉMENTAIRES LE 31 DÉCEMBRE STATUT ET OBJECTIFS DE L ORGANISME L organisme, constitué en vertu de la Partie III de la Loi sur les compagnies (Québec), a pour but de faire des études et des recommandations quant au développement, à la gestion et à l administration des artères commerciales de Drummondville ainsi que de planifier, de préparer et d organiser des activités afin de promouvoir le développement de ces artères. Il est un organisme sans but lucratif au sens de la Loi de l impôt sur le revenu. 2. PRINCIPALES MÉTHODES COMPTABLES Base de présentation Les états financiers sont préparés selon la méthode du coût historique, à l exception de certains instruments financiers qui sont comptabilisés à la juste valeur. Aucune information sur la juste valeur n est présentée lorsque la valeur comptable correspond à une approximation raisonnable de la juste valeur. Estimations comptables Pour dresser des états financiers conformément aux principes comptables généralement reconnus du Canada, la direction de l organisme doit faire des estimations et poser des hypothèses qui ont une incidence sur les montants présentés dans les états financiers et les notes y afférentes. Ces estimations sont fondées sur la connaissance que la direction possède des événements en cours et sur les mesures que l organisme pourrait prendre à l avenir. Les résultats réels pourraient être différents de ces estimations. Actifs et passifs financiers L organisme a choisi d appliquer les recommandations du chapitre 3861, «Instruments financiers Informations à fournir et présentation», du Manuel de l Institut Canadien des Comptables Agréés relativement à la présentation et aux informations à fournir afférentes aux instruments financiers. Lors de la comptabilisation initiale, tous les actifs et les passifs financiers sont évalués et comptabilisés à leur juste valeur. Par la suite, les actifs et les passifs financiers sont évalués et comptabilisés comme suit : L encaisse est classée comme actif financier détenu à des fins de transactions. Les comptes clients, les assurances collectives à recevoir et les autres débiteurs sont classés comme des prêts et créances. Ils sont évalués au coût après amortissement, lequel correspond généralement au montant comptabilisé initialement, moins toute provision pour créances douteuses. Les créditeurs, à l exception des retenues à la source à payer et la dette à long terme, sont classés comme autres passifs financiers. Ils sont évalués au coût après amortissement calculé selon la méthode du taux d intérêt effectif. Les intérêts calculés selon la méthode du taux d intérêt effectif sont présentés à l état des résultats au poste Intérês sur la dette à long terme. Constatations des produits L organisme applique la méthode du report pour comptabiliser les apports. Selon cette méthode, les apports affectés à des charges d exercices futurs sont reportés et constatés à titre de produits au cours de l exercice où sont engagées les charges auxquelles ils sont affectés. Les apports non affectés sont constatés à titre de produits lorsqu ils sont reçus ou lorsqu ils sont à recevoir si le montant à recevoir a pu faire l objet d une estimation raisonnable et que son encaissement est raisonnablement assuré. Les produits de ventes de logiciels sont constatés lorsqu il y a une preuve convaincante de l existence d un accord, que la livraison a eu lieu, que le prix de vente est déterminé ou déterminable et que le recouvrement est raisonnablement assuré. 21

21 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT NOTES COMPLÉMENTAIRES 2. PRINCIPALES MÉTHODES COMPTABLES (suite) La société constate les produits de location selon la méthode linéaire sur la durée des contrats de location. L excédent des loyers constatés sur les montants à recevoir en vertu des contrats de location est présenté à titre de loyers à recevoir au bilan. Apports reçus sous forme de fournitures de services L organisme constate les apports reçus sous forme de fournitures et de services lorsque la juste valeur de ces apports peut faire l objet d une estimation raisonnable et que l organisme aurait dû se procurer autrement ces fournitures et services pour son fonctionnement régulier. Immobilisation et actifs incorporels Les immobilisations et les actifs incorporels sont comptabilisés au coût. Lorsque l organisme reçoit des apports sous forme d immobilisations ou d actifs incorporels, le coût de ceux-ci correspond à la juste valeur à la date de l apport ou à la valeur symbolique de 1 si la juste valeur ne peut être déterminée au prix d un effort raisonnable. Les immobilisations et les actifs incorporels sont amortis en fonction de leur durée probable d utilisation selon la méthode de l amortissement linéaire sur les périodes qui suivent : Bâtiment Équipement Mobilier et agencements Logiciels, site Internet Périodes 25 ans 10 ans 4 ans 2 ans 3. INFORMATIONS SUR LES FLUX DE TRÉSORERIE Les variations d éléments du fonds de roulement et des apports reportés se détaillent comme suit: Le flux de trésorie se rapportant aux intérêts des activités d exploitation se détaillent comme suit: Débiteurs (5 365) (41 864) Frais payés d avance Créditeurs Produits de vente de logiciels reportés Apports reportés Intérêts versés

22 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT NOTES COMPLÉMENTAIRES DÉBITEURS 2009 Comptes clients Taxes à la consommation à recevoir Assurances collectives à recevoir Autres Provisions pour créances douteuses (note 13) Coût 5. IMMOBILISATIONS Amortissement cummulé 2010 Coût non amorti Terrain Bâtiment (loué à 33 %) Équipement Mobilier et agencement Coût Amortissement cummulé 2009 Coût non amorti Terrain Bâtiment (loué à 33 %) Équipement Mobilier et agencement

23 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT NOTES COMPLÉMENTAIRES 6. ACTIFS INCORPORELS Coût Amortissement cummulé 2010 Coût non amorti Logiciels Site Internet Coût Amortissement cummulé 2009 Coût non amorti Logiciels Site Internet FACILITÉ DE CRÉDIT L organisme bénéficie d une facilité de crédit d un montant autorisé de , portant à intérêt au taux annuel de 8,25 %. 8. CRÉDITEURS Comptes fournisseurs et charges à payer Salaires et vacances à payer Retenues à la source à payer DETTE À LONG TERME 10. OBJECTIFS ET POLITIQUES EN MATIÈRE DE GESTION DES RISQUES FINANCIERS, ET RISQUES FINANCIERS Objectifs et politiques en matière de gestion des risques financiers L organisme est exposé à divers risques financiers qui résultent à la fois de ses activités de fonctionnement et d investissement. La gestion des risques financiers est effectuée par la direction de l organisme. 24 Emprunt, garanti pat la Ville de Drummondville, taux préférentiel plus 0,5 % (3,5%; ,75 % en 2009), échéant en octobre Versements exigibles à court terme

24 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT 10. OBJECTIFS ET POLITIQUES EN MATIÈRE DE GESTION DES RISQUES FINANCIERS, ET RISQUES FINANCIERS (suite) Risques financiers Les principaux risques financiers auxquels l organisme est exposé ainsi que les politiques en matière de gestion des risques financiers sont détaillés ci-après. Risque de crédit En règle générale, la valeur comptable au bilan des actifs financiers de l organisme exposés au risque de crédit, après déduction des provisions applicables pour pertes, représente le montant maximum du risque de crédit auquel l organisme est exposé. Comptes clients, assurances collectives à recevoir et autres débiteurs Le risque de crédit de l organisme provient principalement des comptes clients, des assurances collectives à recevoir et des autres débiteurs. Le solde des comptes clients, des assurances collectives à recevoir et des autres débiteurs est géré et analysé de façon continue et, de ce fait, l exposition de l organisme à des créances douteuses n est pas importante. Encaisse : L encaisse est déposée auprès d une institution financière reconnue. La direction considère que cet actif financier est à faible risque de perte. Risque de taux d intérêt La facilité de crédit porte intérêt à taux fixe et expose donc la société au risque de variations de la juste valeur découlant des fluctuations des taux d intérêt. La dette à long terme porte intérêt à taux variable et expose donc l organisme à un risque de flux de trésorerie découlant des variations des taux d intérêt. Risque de liquidité La gestion du risque de liquidité vise à maintenir un montant suffisant de trésorerie et d équivalents de trésorerie. Afin d atteindre ses objectifs et d acquitter ses obligations, l organisme établit des prévisions budgétaires et de trésorerie. 11. APPORTS REPORTÉS AFFÉRENTS AUX IMMOBILISATIONS NOTES COMPLÉMENTAIRES Les apports reportés afférents aux immobilisations représentent les soldes non amortis des apports reçus pour l achat d immobilisations. Ils sont imputés aux résultats au même rythme que l amortissement des immobilisations afférentes. Le solde des apports reportés afférents aux immobilisations se détaille comme suit : 2010 Solde au début Montant constaté à titre de produits (16 294) (18 297) (18 297) Montant reçu pour l exercice subséquent Solde à la fin

25 RAPPORT DE L AUDITEUR INDÉPENDANT NOTES COMPLÉMENTAIRES 12. GESTION DU CAPITAL En matière de gestion du capital, les objectifs de l organisme sont les suivants: - Préserver sa capacité de poursuivre ses activités; - Acquitter ses obligations financières. L organisme définit son capital comme suit: L organisme gère son capital principalement par le biais de ses activités courantes et au moyen de la recherche de subventions auprès des divers organismes. Afin de maintenir ou de rajuster sa structure de capital, l organisme peut être amené à modifier les dépenses prévues pour la réalisation de certaines de ses activités. L organisme est soumis, en vertu de règles extérieures, à des exigences concernant son capital. Ces exigences sont prévues dans certaines ententes avec des apporteurs de fonds et concernent les dotations et les apports affectés à des dépenses particulières. L organisme, de concert avec le conseil d administration, fait un suivi de ces exigences sur une base mensuelle. Au cours de l exercice, l organisme s est conformé à ces exigences. 13. ÉVÉNEMENT POSTÉRIEUR À LA DATE DU BILAN Subséquemment à la date de l exercice, l organisme a relevé des erreurs survenues au cours de l exercice 2010 dans la facturation de la gestion des assurances collectives. Les produits de l exercice ont été ajustés afin de tenir compte des produits de gestion des assurances collectives additionnels d un montant total de Étant donné que la conclusion de cette facturation ultérieure est difficilement déterminée ou déterminable, une provision pour créances douteuses de a été comptabilisée sur ces comptes clients. 14. CHIFFRES DE L EXERCICE PRÉCÉDENT Certaines données correspondantes fournies pour l exercice précédent ont été reclassées en fonction de la présentation adoptée pour le présent exercice Actifs nets Apports reportés afférents aux immobilisations Dette à long terme, incluant la tranche à court terme

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